Le 7 novembre 2023, l’autocrate Sassou Denis a inauguré le Lycée Antoine Ndinga-Oba (nom du défunt oncle maternelle de Sassou Denis) à Oyo, son village natal.
Ce lycée a été intégralement financé par la Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC) dont tous les fonds sont détournés par le clan mbochi au pouvoir.
Le Lycée est un internat composé de 13 bâtiments avec 16 salles de classe pouvant accueillir chacune 30 élèves. Il dispose également de 2 réfectoires d’une capacité de 400 personnes par rotation, d’un dortoir de 300 lits, d’une bibliothèque, d’un laboratoire de langues, de 2 laboratoires de sciences, d’un complexe sportif, d’un transformateur électrique dédié et d’un groupe électrogène de 110 kVA. Il s’agit de la première installation de ce type dans la région.
Le Lycée Antoine Ndinga-Oba répond aux aspirations tribalistes de Sassou Denis, de ne privilégier que l’ethnie mbochie dont sa jeunesse, malgré que le pétrole est produit dans le sud du pays où les écoles sont toutes délabrées .
L’Apartheid ethnique de Sassou Denis est une véritable stratégie qui montre sans complexe sa haine des sudistes et sa volonté de les esclavagiser…Alors, vive l’avenir des Mbochis !
TOUT POUR LES MBOCHIS, RIEN QUE POUR LES MBOCHIS !
La Rédaction
Diffusé le 07 novembre 2023, par www.congo-liberty.org
Le chef Mbochi , Sassou Denis pour bien n’argüer les kongo a qui il vole son pétrole pour réaliser les infrastructures chez lui à Oyo . Chers compatriotes nous vivons une colonisation Mbochi et un génocide intellectuel au sud Congo , a l’instar de l’université de kintélé qui est essentiellement étudiants Mbochi au détriment de Marien Ngouabi qui formait trop d’étudiants kongo du grand Niari qui avec l’arrêt des bouses , ne pourront plus supporter la vie chère de Brazzaville. Collinet Makosso fils de pointe Noire qui assiste à l’ouverture de ce Lycée est un traître ! Ce garçon ne me surprend guère, ce dernier accusant ses propres parents assassinés au Beach de Brazzaville qu’ils se promènent sur Paris, alors que paradoxalement l’assassin Sassou Denis indemnisait les familles des victimes kongo après une parodie de justice.
Antoine Ndinga Oba fut linguiste. Jamais vu ses travaux. Un Antoine éclipse un autre : Antoine Letembe Ambilly, écrivain dramaturge, méritait que son nom soit donné à ce Lycée régional rural. Un autre Antoine le méritait : Antoine Ngatsé de Padoue, enseignant émérite, excellent organiste à Ste-Marie de Ouenzé. Dommage. Mais l’historien Théophile Obenga, indigène de Boundji, a la mémoire courte. Un nom emblématique aurait surtout pu être exhumé pour honorer cette école au bord de l’Alima : celui de l’Abbé Eugène Kakou, premier prêtre congolais ayant exercé à St-Benoit de Boundji. Nombre de cadres Mbochi lui doivent leur formation pédagogique, intellectuelle et spirituelle. Pourquoi les partisans de l’avenir des Mbochi n’ont-ils pas fait le choix de cet ecclésiaste ? Ah j’allais oublier : l’Abbé Eugène Kakou fut Mokongo.
Ces dysfonctionnements mentaux justifient amplement l’avènement du fédéralisme au Congo Brazzaville Point n’est besoin d’en faire la liste exhaustive.
La sphère politique congolaise est gangrenée par l’idée de faire prévaloir l’intérêt ethnique et régional aux dépens de ceux qui n’ont pas le pouvoir politique..
Maintenant s’il y a des congolais, capables de nous trouver une formule institutionnelle idyllique, nous en serons preneurs. Toute idée qui ferait l’apologie de l’économie régionale autonome serait la bienvenue….
Peu importe la forme du contenu de cette idée , l’essentiel réside dans la responsabilité économique régionale….
Demain ,si nous élisons un mari , Bembé ,vili ,etc nous nous trouverons dans les mêmes dispositions mentales. Mieux vaudrait y mettre fin par le compartimentage de l’économie nationale….
Que ceux qui ont des formules de modèle économique autres que celles du type fédéral en fassent connaître à la communauté congolaise..
C’est maintenant qu’il faudrait esquisser des pistes de réflexion sur le modèle économique qui convienne au Congo Brazzaville de demain…
C’est le travail sur lequel nous devons mettre notre énergie intellectuelle pour essayer de sauver le Congo Brazzaville des lendemains qui augurent d’un climat électrique et anxiogène entre les frustrés et les nantis d’hiver, nourris au biberon sassouphile..
Oui ,place à l’économie régionale, pour une économie nationale réelle…
Si Oyo s’est embelli , c’est Sibiti qui pourrait s’embellir de ses propres revenus régionaux… notamment en industrialisant son café. Je connais le potentiel agricole de cette région pour ne pas me tromper de mon pronostic..
Sibiti ,Panda ,ibe ,hindo , moukassi etc j’en passe, toutes ces localités, en cas de fédéralisme, point n’est besoin d’État central pour créer de la richesse locale. Le café y est une ressource stratégique dans le développement économique de cette région…
Et surtout point n’est besoin de droit constitutionnel pour décider de l’avenir économique de tous les habitants de cette région pour qu’ils se prennent en charge en termes de production de richesses agricoles et minérales.. Seul compte le modèle économique adéquat aux attentes légitimes de cette population.
Arrêtez vos enfumages institutionnels nocifs et illisibles, qui font la part belle aux politiques tribalistes et voleurs….
Produire du café industriel n’exige point des théories constitutionnelles inopérantes..
Il faudrait aller franco sur l’économie afin d’en extraire les bienfaits nécessaires à l’amélioration des vies congolaises….
Trop de constitutions tue l’initiative économique ; une infinité nous rapproche de la félicité…
Tenez :Brice Olingui n’a pas eu besoin d’une messe constitutionnelle pour apurer les dettes extérieures du Gabon et maximiser les recettes fiscalo – douanières….
Pourquoi les partisans de l’avenir des Mbochi n’ont-ils pas fait le choix de cet ecclésiaste ? Ah j’allais oublier : l’Abbé Eugène Kakou fut Mokongo. C’est bien de nous rappeler que « l’Abbé Eugène Kakou fut Mokongo ». Mokongo i e fut vraiment au point où mort en 1942 et enterré à Boundji, ses restes mortels furent exumés et ramenés sans raison en terre des kongo. Qui peut nous expliquer cela. On pense parfois que e tribalisme est né avec les rivalités autour du controle du pouvoir politique mais en 1942 déjà en pleine colonisation, les kongo avaient montré les velléités d’instauration du tribalisme au Congo.
Cet anonyme ci-dessus est vraiment un toto. En quoi le fait d’être, pour Eugene Nkakou, exhumé et enterré ailleurs qu’à Boundji IMPLIQUE t-il l’érection d’un tel lycée à Oyo ??!!! vraiment zoba
Pour assurer l’avenir de toutes les ethnies congolaises , le fédéralisme semble répondre à cette préoccupation…
Puisque toutes les ethnies se valent ,et donner la possibilité institutionnelle, sinon économique à toutes les régions fédérées ou agrégées pour définir le modèle économique qui régirait la gestion autonome et responsable de ces territoires , politiquement ,discriminés du fait de l’incompatibilité tribale…
Sassou a fait d’oyo le laboratoire d’un fédéralisme qui n’a pas dit son nom, mais nous en avons retenu la leçon.: On peut développer une région,un village, une ville au moyen d’une volonté politique.. Et ce ,sans crier au loup !!.. Dont acte.
L’avenir des mbochis, c’est le début du chemin de croix pour nos compatriotes mbochis dont Sassou s’est servi comme d’une échelle pour arriver à maximiser ses désirs délirants..
De la necessite d ‘étendre la logique( realisatrice de la SNPC Societe nationale des petroles du congo) des infrastructures du lycee d oyo a toutes les departements du Congo
par lucien pambou Mkaya Mvoka
Le lycee d oyo est un bel ouvrage qui demande a etre replique dans tous les departements du congo
La SNPC qui est le maitre d ‘oeuvre de l ouvrage peut faire voter par son conseil d administration des credits annuels consacres a chaque departement, ce qui permet de facon indirecte de contribuer a la redistribution des revenus du petrole sur le territoire et d en faire profiter a la jeunesse congolaise
Si le conseil d administration eprouve quelques difficultes pour opter pour cette suggestion le Ministre des hydrocarbures Bruno Itoua peut soumettre la question au debat lors d un conseil de ministre
De plus les parlementaires congolais plus habitues au suivisme de l executif peuvent se saisir de cette question de financement de la construction des lycee dans chaque departement ouvrant ainsi une reflexion a un debut de preoccupation de la chose publique par le parlement
Ouf on ouvrirait ainsi un chemin et une methode sur l amenagement du territoire on reflechirait ainsi sur les entreprises de la place ou etrangeres retenues pour ce type de travaux et en parallele on cree les conditions d affectation des professeurs dans ces lycees
les conditions de logement et de remuneration de ces professeurs seraient mises sur la table
Voila le prix a payer et l effort national et republicain si on souhaite que l excellence irrigue tout le territoire congolais et non un seul departement
Nous sommes au debut d un chemin concret qui necessite du pragmatisme gouvernemental
Il suffit d y croire et de le vouloir en se debarrassant des scories tribales et ethniques qui freinent la mise en place d une reflexion globale dans l amenagement du territoire congolais riche de potentialites non utilisees efficacement et rationnellement par ses gouvernants . Nous sommes au pied du mur et face a un cas d Ȏcole concret . Que fait on?
lpambou Mkayamvoka
Il faut absolument chasser Sassou Denis et son clan du Congo.
Cet indecrottable personnage detruit le Congo depuis 1968 sous la barbe de tous les Congolais.Quelle passivite des Congolais.Ce n’est pas possible d’assister a plus d’un siecle de destruction du pays par cet individu et ses lieutenants.
Abas Sassou Denis et son clan
Sassou Denis,cet agent de l’empire et destructeur du Congo que Ngouabi Marien avait promu au poste de responsabilite par cecite tribale.Le reste de l’histoire nous la connaissons tous.Les Congolais tournent au rond depuis plus d’un demi siecle sans chasser cet indecrottable personnage et son clan du Congo de nos ancetres.