Dans un Congo sinistré et totalement dépouillé de ses ressources par un petit clan de malfaiteurs au pouvoir, le FMI de Madame Lagarde parait avoir finalement botté en touche. Le salut de Sassou Nguesso attendra encore un peu…
La leçon aurait pu être entendue et comprise par la France du Président Macron. Toutefois, cela ne semble pas être le cas, autour de lui, bien qu’il n’y prête lui-même le flanc : la Françafrique bouge toujours et remue encore, spécialement en direction de Brazzaville pour sauver le tyran.
Pas rancunier à l’égard d’un Sassou Nguesso qui « le tenait » avec le fameux cahier à spirales de Claudine Munari, de Villepin est revenu auprès du dictateur sans que la presse française ne le vilipende. Silence radio total de la part de cette dernière. Mission alimentaire pour certains ; « Envoyé spécial » du Président Macon pour d’autres, afin de convaincre le dictateur de se retirer. Rien de sérieux n’a encore filtré de cette prétendue célébration du 77ème anniversaire de la proclamation de « Brazzaville, capitale de la France libre.
Quelques jours auparavant, un projet concernant le CHU « a été présenté le 20 octobre à Brazzaville par le chargé de missions pour Expertise France, Maxime Bost, et le Pr Gilles Brucker, lors de la cérémonie de restitution de la première proposition dudit projet au plus grand établissement sanitaire du pays, en vue de donner des soins de qualité à la population congolaise. »
Vu et lu ainsi, cela ressemble à un conte à dormir debout. Pour ne rien écrire de plus désobligeant… Une mission d’Expertise France, société publique française – créée en 2015 par Laurent Fabius et Michel Sapin — pourrait assurer aux Congolais le traitement hospitalier digne que le système tyrannique d’un Sassou Nguesso leur a refusé depuis une quarantaine d’années. On croit rêver ! Coût de l’opération : 10 millions d’euros financés par l’Agence française de développement (AFD) dans le cadre d’un contrat désendettement et développement, sûrement lié au PPTE. Neuf millions d’euros consacrés à des travaux et un million au renforcement de la gouvernance hospitalière. Si le premier volet n’est pas clair et ne permet pas de se prononcer, le second apparait totalement superflu et témoigne soit d’une méconnaissance de la réalité congolaise, soit d’une complicité totale avec le système.
Aucun de nous n’a oublié, en juin dernier, la détresse de Madame Gisèle Amberio, alors Directrice de ce même CHU, réduite à publier dans la presse locale une lettre ouverte au dictateur qu’elle ne parvenait pas à rencontrer. Elle fut remplacée quelques semaines plus tard pour avoir dénoncé le système mafieux qui gangrénait le premier centre hospitalier du pays, sans savoir que Sassou Nguesso avait apporté sa bénédiction à ce pillage, comme à tous les autres qui saignent à blanc le Congo.
Ce qui vaut, et prévaut, au CHU est valable pour tout le reste du pays, pas seulement pour le secteur de la santé, comme l’hôpital de Louandjili à Pointe Noire. Cela l’AFD ne saurait l’ignorer ! La corruption est l’essence de ce pouvoir et de ses gouvernants. La corruption est à son degré le plus élevé, le plus fort de tout le continent africain. Rien n’est exempt de celle-ci ! Même les représentations étrangères, sur le sol congolais, en sont infectées. Alors, le constat très récent de Madame Amberio, sans oublier les grèves actuelles du personnel hospitalier et des médecins du CHU, devraient interdire l’AFD de tout projet de coopération avec ce dernier. Et ce ne sont pas tant ces quelques petits millions d’euros, qui seront injectés dans le système Sassou Nguesso, qui sont condamnables, mais aussi et surtout la crédibilité que l’on témoigne encore à un pays complètement ruiné par une mafia.
A part quelques petits tronçons de routes confiés à des entrepreneurs adoubés par le tyran congolais pour ne pas dire de mèche avec lui, le bilan de la coopération française est bien maigre. Certes l’ex-ministre du gouvernement Ayrault2 qui en avait la responsabilité, s’est reclassée au côté du dictateur congolais auprès duquel elle occupe une position personnelle de choix. Quant aux projets de réel développement initiés ou menés à bien, on a beau chercher, on ne trouve rien.
Le constat est malheureusement aisé, car le Congo, à part son industrie extractive ou de déforestation, ne produit rien ! Strictement rien à part le peu de sucre, à Nkayi qui a été toléré au Groupe Vilgrain. Toléré est bien le mot, car il ne fallait surtout pas qu’un tissu économique solide vienne concurrencer l’obscure production pétrolière. Dans le secteur industriel, une exception demeure : la MACC, l’unité de production de cartouches qui alimente le conflit centrafricain en fournissant toutes les parties rivales. Il faut alors espérer qu’elle n’ait pas bénéficié de l’aide de l’AFD…
Cette dernière aurait pu aisément contribuer, depuis des décennies, au renforcement des productions agricole, avicole, piscicole, horticole, bovine et autres dans ce pays où toutes étaient possible… Des dizaines de milliers d’emplois auraient pu être créées avec l’aide de la France-AFD en favorisant l’exportation de ses matériels et techniques. Rien de tout cela ! Un bilan incroyablement négatif, comme pour mieux accompagner le Congo dans les tréfonds du sous-développement souhaité par Denis Sassou Nguesso pour mieux le piller ! Et par qui d’autres ?
Ce tableau noir n’a pas empêché les bonnes relations personnelles avec les dirigeants de l’AFD. Avec Dov Zerah, ex-patron de l’Agence, Sassou Nguesso aime toujours être à tu et à toi. Comme beaucoup, il était un invité rémunéré pour honorer de sa présence les forums bidon organisés par Richard Attias ou par Lucien Ebata, contre chèque consistant sans compter les petits cadeaux d’usage à Brazzaville…
Avec Rémy Rioux, l’actuel Directeur de l’AFD qui a une solide expérience de l’Afrique, Denis Sassou Nguesso, n’est pas en territoire inconnu. A Bercy, à la Direction générale du Trésor et de la politique économique(DGPTE) le haut fonctionnaire s’était beaucoup occupé de l’Afrique. Le Pays Pauvre Très Endetté du Congo n’a pas dû lui échapper avec toutes ses incohérences, en 2009-2010, mais les ordres venaient d’en haut… En 2012, Directeur de Cabinet de Pierre Moscovici, il a été à l’origine des travaux confiés à Hubert Vedrine, Lionel Zinsou, Jean-Michel Severino, pour une redéfinition des relations économiques entre l’Afrique et la France (2013), et du rapport de Jacques Attali sur la francophonie économique (2014). Tous des amis de Sassou Nguesso qui n’ont pas dû l’égratigner.
Aujourd’hui, le constat est implacablement désastreux. Ces réseaux amicaux qui ont accompagné le monstre congolais, qui l’ont soutenu, voire tiré profit, doivent être considérés comme des complices. Sans eux, Sassou Nguesso n’aurait jamais été aussi loin dans ses prédations et dans ses folies meurtrières.
Ce n’est plus le moment, pour l’AFD comme pour le FMI, d’apporter un concours quel qu’il soit à ce pouvoir agonisant. L’aide extérieure, qui devrait être apportée à notre pays, n’est envisageable que pour une transition démocratique, pour l’accompagner et pour la renforcer. Le Congo sans les Nguesso a un énorme potentiel de développement. Avec ou sans l’AFD, ce développement se fera !
Olivier Mouebara
Diffusé le 01 novembre 2017, www.congo-liberty.org
C’est mettre du blé dans un tonneau des danaïdes ;;;;;;;;;;;;;;;;;.Le CONGO SOUS SASSOU est un paquebot sans capitaine ;;;;.
Une coopération civilisée plutôt qu’une aide à l’ ensorcellement des consciences endoctrinées .
Le CONGO a produit des fils dignes de prendre le relai , aux français de le faire savoir à SASSOU .
On n’envoie pas étudier des milliers étudiants à l’étranger , pour les y laisser mourir .
Comment expliquer la déportation de l’intelligence congolaise dans les iles françaises ???.
Les français peuvent s’en expliquer , sachant que ces diplômés sont issus d’un pays en voie de développement ;;;;;;;;;;;;.
L’hypocrisie française a un effet létal sur l’éveil des congolais , et nous devons nous en éloigner
pour prioriser l’intelligence congolaise au profit de notre pays ;;;.
Les médecins français repartiront plus vite qu’ils sont venus car la corruption s’est encastrée dans l’ADN des congolais , si au préalable , aucune opération de nettoyage de logiciel mental n’ ait été entamée .
La sassoufication des esprits a abimé l’âme des congolais .L’argent , ne peut y remédier , un processus d’éducation psychologique , s’avère indispensable pour remettre les congolais sur des valeurs fondamentales régissant le mieux être dans une société civilisée ;;;;
Sachant que celles qui prévalent au pays de SASSOU ensauvagent plus qu’elles ne modernisent ;;;
LIRE ;; dignes capables de prendre le relai ;;
Et , puis cette opération de sauvetage du CHU , par les colons français , est une défaite manifeste et bien assumée de l’intelligence congolaise .
A , voir trop ethniciser l’intelligence on en arrive à des situations de honte internationale ;;;;.
Des diplômés congolais , de toutes natures , on les ramasse à la pelle , mais des diplômés labellisés MBOCHIS ne courent pas de rue ;;;
D’où ces modes de management d’approche tribale , donc a -scientifique ont déboussolé de manière organique toutes les entreprises placées sous l’étau tribal , n’ont pas donné des résultats comptables escomptés ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;.
La conception de gestion des entreprises , SELON SASSOU , contient deux entités , la superstructure qui est animée par un MBOCHI et l’infrastructure est cédée , à un non mbochi .
En témoigne un notaire fût il un fils bâtard du président à la tête , d’une société d’Etat de valeur stratégique .
Derrière l’AFD se cache en fait une OPA sur le système de santé Congolais de la part des entreprises françaises. Privatiser la santé au congo et favoriser les entreprises hexagonales qui opèrent dans le domaine de la santé en prenant le contrôle du plus grand hôpital du congo. C’est toujours la même mécanique qui est en mise en œuvre. On vient vous berner avec de bonnes intentions, et bien évidemment la main sur le cœur, et derrière c’est une mise sous tutelle française de l’économie liée au domaine de la santé. Du foutage de gueule!
Il faut noter que le capital de l’AFD a été triplé, grâce à ses actionnaires tels que la Caisse d’Epargne, le Crédit Agricole, Natixis, la BNP Paribas ou encore la Coface (Compagnie Française d’Assurance pour le Commerce Extérieur). Toutes institutions sont bien connues pour leur altruisme et leur vertu!!!!!???? N’est-ce pas?
J’espère que je me trompe…
Vous ne vous trompez guère cher Bulukutu. Avec l’eau et l’électricité, la même stratégie avait été employée. Au départ, ils disent qu’ils vont vous aider à mieux gérer vos structures dont ils confient la gestion à leurs entreprises. Une fois le contrat de renforcement institutionnel à termes, ils vous obligent à signer un contrat de concession avec leurs entreprises qui ont travaillé sur le soi-disant renforcement de vos capacités. Et la boucle est bouclée. Voilà comment les Bouygues, EDF, bolloré, SNCF ont mis la main sur plusieurs entreprises africaines. Le domaine la santé s’inscrit dans le même filon. Avons-nous oublié Kouchner Bernard qui vendait des dossiers de compagnies d’assurance maladie aux pays africains?
Agence francaise pour le developpement avez vous dit?Laissez moi rire.Et les noirs croient a cet enieme bras de l’empire francais dont l’une de ses missions c’est vendre les illusions.Sassou est l’agent saboteur et destructeur du Congo de la France.Seuls les gens atteints ce la cecite qui be prudent pas le voir.Continuez a attendre votre liberation par les autres et le developpement que les francais,Indiens ,les arabes et les chinois vous promettent.
Les Mbochis ont fait humiliés les congolais , les conséquences néfastes de la Mbouchitisation de l’appareil d’état sont très désastreuses .Heureusement ces criminels sont au bout du rouleau , ils s’en sortiront plus jamais . Sassou ne fera plus le chantage pour les salaires . viva la libération !!!
L’Agence Française de Développement promet la Lune au CHU, FOUTAISE.
Ce qu’elle donnera d’une main, elle le récupèrera à une puissance n. En pillant nos ressources. C’est un plan de sous développement. C’est une supercherie. C’est de la prostitute charity business . Il n’y aura aucun développement.
Le développement viendra de nous même. Pas d’une puissance extérieure dont le seul but est de maintenir l’AFRIQUE la tête sous l’eau avec une perpétuelle dépendance.
Voir le lien :
Après avoir sucé tout le contenu du boyau , pourquoi ne pas remettre tout le CONGO aux mains des français ;;;;;;;;;;;;;;;.
La cession par palier du CONGO à des étrangers est la dernière astuce de SASSOU pour camoufler l’incompétence notoire qui caractérise son règne de 32 ans au pouvoir , où il était question plus de pillages que de gestion saine des finances publiques ;;;
OUI , SASSOU est arrivé en fin de course , repu , tel un boa ayant avalé sa proie il délaisse les os , à d’autres prédateurs ;;;
32 ANS de pouvoir pour finir dans les mains des étrangers , en dépit des diplômes divers obtenus , par des congolais ,.IL FALLAIT LE FAIRE …
Les congolais vous retireront la nationalité congolaise , à l’issue de votre règne jonché des crimes disparates .
Comment peut on imaginer dans un pays normal qu’un CHU ne soit pas dirigé dans les règles de l’art ????.
Nous sommes au 21 siècle , 57 ans après le sevrage mental ,voilà qu’on repart en arrière , pour avoir priorisé une tribu au détriment des autres .;;
Chez SASSOU tout se résume à sa tribu , les entreprises d’Etat en portent les stigmates avec les résultats financiers qui s’y rapportent .
Le tribalisme d’Etat est plus nocif qu’un cancer , car il tue indifféremment tout ce qui y vive ;;;;;;;;;;;;;
et nous y sommes .
32 ANS DE CANCER ETHNIQUE et le PAYS sombre et le classement de DOING BUSINESS NOUS le rappelle de façon têtue notre suicide collectif ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
179 éme place avant dernier , bientôt , nous sortirons carrément du classement ;;;
OUI, mon cher VAL DE NANTES. Nous assistons toutes et tous aux descentes aux enfers occasionnés par cette bande d’ethnie barbare MBOCHIS. C’est cela les conséquences de la MBOCHISATION du pays. Voilà ce qui arrive quand une entreprise ou un pays est dirigé par des individus qui ne pensent qu’avec leurs sexes. Le moment venu; une fois que le pouvoir aura basculé; il faudrait déchoir tous ses individus de la nationalité congolaise.