Je rentre du pays de mes ancêtres où je viens de séjourner pendant un mois. J’ai parcouru comme tous les ans les coins et recoins des villes et villages où j’ai pu voir, écouter et vivre ensemble le quotidien de nos compatriotes. Je vais droit au but…
Petit rappel historique : un pays, un homme
Le Congo Brazzaville ? c’est ce petit pays où un homme, Sassou Nguesso, homme disponible et bien aimé des puissants de ce monde mais aussi du monde des tyrans, des félins, de la corruption, des crimes protégés, des biens mal acquis, des manipulations secrètes, est à la fois un homme qui bat les records que nul autre président sur la planète Terre, fût-il dévoué corps et âme au service dominateur et stratégique de l’ancien colonisateur, n’oserait réaliser pour ainsi se faire amadouer : réhabiliter la colonisation en ayant transféré les restes de la dépouille mortelle de l’explorateur Pierre Savorgnan de Brazza à Brazzaville et en ayant érigé un mausolée en sa mémoire. Pour n’évoquer que ce peu en reconnaissance de la protection, de la gloire, des honneurs et des privilèges qui lui sont dus par l’ancien colonisateur !
Un homme qui s’est approprié ce petit empire d’au moins 3 millions d’âmes, truffé des richesses touffues sous les eaux des fleuves et des océans, dans le sous-sol, au sol et dans les airs et qui s’étend sur une vaste profondeur et une superficie de 342 000 km². Un petit empire devenu république le 28 novembre 1958, décolonisé le 15 août 1960 et arraché par Sassou Nguesso des mains de cinq chefs d’État : Fulbert Youlou (1960-1963), Alphonse Massamba-Debat (1963-1968), Marien Ngouabi (1968-1977), Jacques-Joachim Yhombi Opango (1977-1979) et Pascal Lissouba (1992-1997), qui cherchaient naïvement et en vain d’en faire un respectueux État-nation.
Un homme qui – d’auto-proclamation en auto-proclamation, aidé de l’intérieur par les institutions de l’État qu’il s’est privatisé et de l’extérieur par la France qui l’a fait roi en l’ayant conféré une place noble dans la race d’« hommes forts » -, a banalisé l’usage des méthodes martiales qui ont fini par infantiliser le peuple congolais dans une misère inhumaine, assouvir les appétits des courtisans irrésistibles à la politique du ventre qui les a disciplinés dans les rangs d’où ils sont devenus arrogants, emprisonner les « indisciplinés » dont la conviction passe avant l’appât du gain, faire assassiner les insaisissables pour apeurer et terroriser ceux qui seraient tentés de suivre le modèle.
Ainsi assuré de maîtriser tous les Congolais après avoir éliminé physiquement ses vrais opposants, emprisonné les éléments gênants et convaincu les puissants de ce monde qu’il est le seul et l’unique faiseur de paix contre laquelle il est pourtant le principal instigateur dans son pays, Sassou Nguesso règne sur le Congo et les Congolais, de nombreuses décennies durant. Imperturbable ! Impuni !
Du fait d’un État, tout révèle en réalité que le Congo de Sassou Nguesso n’est qu’une propriété privée clanique placée sous la jouissance des courtisans, des traîtres et des corrompus prêts au sacrifice de leur vie pour que leur demi-dieu reste éternellement au pouvoir.
Un non-État
Gangrené dans une corruption nationale et internationale, Sassou Nguesso a structuré sa propriété privée en trois institutions qui bénéficient chacune d’une autonomie budgétaire et de gestion :
- la présidence de la République: elle est l’unique institution gérée par « Son Excellence » (autoproclamé) et son clan avec le budget des richesses nationales ;
- les institutions de l’État: il y en quatre : Assemblée nationale, Sénat, Gouvernement et Hauts gradés des institutions du peuple, gérées par des « Honorables » avec le budget de la présidence de la République (qui s’est substituée à l’État et au Trésor public) ;
- les institutions du peuple: il y en a quatre : Administration/armée/gendarmerie/police, Entreprises publiques/privées, Débrouillardise et Prière, animées essentiellement par « MessieursMesdamesToutlemonde » avec les budgets de la débrouillardise et de l’extorsion selon les cas.
Comment fonctionnent ces institutions ?
J’illustre par des exemples concrets le quotidien des Congolais qui caractérise le fonctionnement des institutions de la propriété privée de Sassou Nguesso.
L’institution de la présidence de la République a englouti les revenus des richesses nationales dans la corruption et l’achat des consciences au point que le Congo est actuellement un pays tombé en faillite définitive aussi longtemps que Sassou Nguesso sera à la tête, avec des indicateurs au rouge sur tous les plans : politique, économique, social, financier, le pays s’étant remis à genoux devant les FMI et autres organisations internationales, exactement comme dans les années 1980 sous le même Sassou Nguesso.
Les conséquences sont celles de toute structure en situation de cessation de paiement : le peuple à la grève, telle une chèvre qui broute où elle est attachée, est là, silencieux, immobile, résigné, apeuré mais attentif quand le bourreau tranche une tête :
- l’hôpital général de Brazzaville (CHU) a fermé ses portes : dans la débandade finale d’où la plupart des malades ne se relèveront pas, on a assisté à des scènes inédites, tel ce malade transporté à moto par un parent avec sa perfusion collée au bras pour aller mourir n’importe où ;
- le train (CFCO), pour ceux des Congolais qui l’ont connu, n’existe plus au Congo de Sassou Nguesso: les rails qui reliaient Brazzaville et Pointe-Noire ont été purement et simplement arrachés à de nombreux endroits et sur de longs kilomètres notamment dans le tronçon du département du Pool, cette région dont Sassou Nguesso a une haine viscérale et qu’il est déterminé de rayer de la carte avant la fin de sa vie ;
- les principaux marchés de Pointe-Noire (Grand Marché, Tsiétsié, Fonds-Tsiétsié…) sont fermés, remplacés par le « Marché Oui» (quartier OCH), en reconnaissance des électeurs qui ont voté « Oui » pour le maintien de Sassou Nguesso au pouvoir ;
- par manque d’hôpitaux et d’écoles, le clan Sassou Nguesso et ses « Honorables » vont se soigner à l’étranger et envoient leurs enfants dans les écoles européennes où il n’existe pas, comme dans le village Kibina (proche de Brazzaville) des classes de 398 élèves confinés les uns les autres, assis à même le sol et en manque d’enseignant ;
- les victimes des licenciements (sans indemnité) des entreprises en cessation de paiement qui ferment continuellement rejoignent la race d’anciens chômeurs et des diplômés qui n’ont jamais connu le monde du travail pour se retrouver dans les « nganda (débit des boissons) » où l’alcool est seul bon maître aux soucis constants, du moins pour ceux d’entre eux qui ont appris ou se sont recyclés aux métiers de contrôleur dans un minibus privé ou de vendeur de foufou dans un coin du quartier ;
- quant au racket des militaires, des gendarmes, des policiers et des agents de l’État, racket inscrit dans la gestion légale et quotidienne de l’État, on aurait dit une mauvaise série de la télévision américaine ; les scènes ne se passent pourtant pas à Los Angeles mais dans Pointe-Noire et ses périphéries au Congo Brazzaville :
– premier point de rançonnement sur la route de la frontière du Cabinda, à l’entrée du village Ndjeno, les policiers extorquent les automobilistes, en règle ou non, pour 2 000 F CFA, de janvier à décembre, du lundi au samedi, de 7h30 à 18h30 : interpellé, le chauffeur qui m’a pris à bord d’un taxi quoique disposant d’un Permis de conduire et de tous les papiers en règle à été sommé de payer la rançon pour « défaut de taille (il lui a été reproché d’être trop petit de taille pour conduire une voiture) » ; le taximan de l’autre jour a eu la chance de ne pas payer et de se faire excuser par le policier pour m’avoir présenté (costume-cravate) comme un « Honorable » à bord de son taxi ; le plus célèbre des policiers extorqueurs (surnommé Le Blanc) venu de Brazzaville et rackettant au rond-point de Mongokamba n’a pillé que six mois avant d’être piégé par 2 000 F CFA « ensorcelés » qu’il voyait partout jusqu’à en mourir et être enterré à Brazzaville au mois d’octobre ;
– deuxième point de rançonnement sur la route de la frontière du Cabinda, à la sortie du village Ndjeno, les gendarmes arrêtent les mêmes voitures, toujours de janvier à décembre, du lundi au samedi et de 7h30 à 18h30 : mon taximan (assuré de l’intervention d’un colonel pour annuler l’amende) a préféré prendre une contravention faute d’avoir sur lui les 12 000 F CFA qu’on lui réclamait de payer immédiatement pour manque d’un médicament dans sa boîte à pharmacie ;
– les marins positionnés au village Nkoti-Futa rançonnent à leur manière : j’ai assisté à la scène du voleur d’une motopompe neuve d’une valeur de 180 000 F CFA qu’il a dû revendre à 20 000 F CFA à un passant automobiliste inconnu, copieusement tabassé par les marins au domicile du propriétaire où il a été conduit après avoir été dénoncé et enfermé dans leur geôle jusqu’à la restitution de la somme due, il a été relâché la nuit même après que sa mère a payé 50 000 F CFA aux marins, le propriétaire de la motopompe n’ayant plus que ses yeux pour pleurer quand l’un des marins est venu l’informer que son voleur avait cassé la fenêtre et s’était évadé dans la nature et en l’ayant vu le lendemain boire ensemble avec les marins ;
– troisième point de rançonnement sur la route de la frontière du Cabinda, après le site-restaurant-plein-air-touristique « Maboké », bien que la raison a fini par l’emporter sur la pillerie d’avoir installé le Péage en plein quartier Ngoyo, son déplacement sur la rivière Louémé n’a fait que renforcer le racket des militaires en arme et en tenue, racket qui s’applique désormais aux automobilistes et aux passagers à bord, de retour ou à destination de la frontière du Cabinda, qui prennent le risque de se promener sans carte nationale d’identité ;
– sur la route de Loango, trois jeunes frères diplômés sans travail profitent de la maison en construction de leur oncle pour vendre la boisson quand deux agents de l’État débarquent un dimanche, code de commerce à la main et lisant des articles qui les sommeraient à payer deux attestations, l’une à 10 000 F CFA qu’ils payent sur le champ, l’autre à 150 000 F CFA qu’ils promettent de payer prochainement s’ils ne veulent pas voir leur activité fermer sans préavis : on leur reproche de n’avoir pas déclaré leurs salariés à la Sécurité sociale ;
– dans le bus « Mal à l’aise », qui roule un jour sur sept à l’essai du personnel gréviste qui n’a pas été payé depuis six mois, l’ambiance est à la fête quand l’un des passagers debout à l’arrière lance haut et fort : « Mais alors, à quoi vous attendiez-vous d’un animal devenu tyran… (je vous fais économie de la suite ! » ;
– sorti du restaurant « Gaspard », j’assiste à une scène de vie courante d’une jeune fille folle, comme il y en a de nombreuses actuellement à Pointe-Noire et à Brazzaville, racontant les prouesses qui la lieraient à un « Grand Monsieur (terme à la mode) » : « victime des Maisons et d’amants friqués, elle sortait, pas si longtemps, avec un Honorable » (chose courante), commente l’assistance ;
– aux abords de la grande avenue au quartier Mpaka, derrière un « nganda », la foule assiste à l’accouchement public d’une adolescente de 15 ans qui, venue du Pool où elle venait de perdre ses parents à la guerre, était abusée régulièrement par son oncle depuis l’âge de 13 ans et demi, signe de la débauche, de viols et de l’inceste devenus courants au Congo du fait de l’oisiveté, de la misère et de la pauvreté…
Tous les indicateurs montrent que ce que Sassou Nguesso considère comme sa propriété privée n’est plus ce Congo qui serait un État. Ce n’est plus rien d’autre qu’une communauté d’arrogants, de parvenus, de moralisateurs, d’ambitieux et d’anarchistes impunis qui se jouent d’un peuple en manque de relais politique, apeuré par la tyrannie d’un homme et livré à lui-même.
C’est donc ici et maintenant qu’il est demandé à tout patriote, où qu’il soit et quoiqu’il fasse dans sa vie, de sortir de la peur pour contribuer à la mise hors d’état de nuire cette bande de voyous qui agissent au nom de la loi et de l’État.
Je reste convaincu pour ma part de deux vérités inaliénables :
1°/ Il n’est point d’homme fort qui soit plus fort que son peuple.
2°/ Tous les tyrans finissent par tomber mais la chute est brutale à ceux qui, n’écoutant que les compliments des courtisans et croyant que cela n’arrive qu’aux autres, ne font rien pour anticiper leur départ (fin de règne).
Suffit la révolte populaire !
Cher calixte Baniafouna je me rend compte que tu n’a pu te rendre à Mindouli chez toi ou à kindamba kouédi . Mon frère tu as été proche des idées du père kolélas puisque j’ai fait ta connaissance lors du premier séjour parisien de Barnard kolélas sur paris et maintenant que pense tu du fils parfait surtout avec sa récente interview de Jeune Afrique , l’interview du frère Guitoukoulou , d’ Isidore Mvouba ,du clergé Milandou Anatole et de Ntoumi ? Car tu as su bien le dire que sassou à des complices intérieur ,la diaspora doit être intraitables avec ces traîtres du pool qui font perdurer la barbarie Mbochi pour se faire davantage les poches .
Monsieur Calixte Baniafouna je me souviens de votre livre » de la démocratie à la democrature » où vous tiriez a boulet rouge sur la première alternance démocratique jamais connue au Congo a peine élu et pour 5ans seulement… qu’est ce que vous en dite maintenant ? Guy Mankassa
en 1963 sassou ng netait pas la. en 1968 sassou ng netait pas la non plus.cetait pour recadrer vos urines ce texte est un urinoir je suis desole dites clairement que la voie ferre a etet detruite pour la cinquieme fois par les ninjas. ils laveint deja fait en 1994 a goma tse tse en 1998 a mindouli sassou ng avait achete pour ses concitoyens des trains comme le train soleil et le train bleu. il n avait jamais demande aux usagers du cfco de detruire la voie ferree non non et non.
en 1992 denis sassou ng avait accepte la volonte populaire. il navait jamais conteste la victoire de p lissouba sur b kolelas. cest b kolelas du pool lari et teke puisque tous les laris sont des tekes donc cest le sous groupe lari du grand groupe des tekes qui avait conteste l’election de p lissouba. ou etait la responsabilite de denis sassou ng des l’instant ou il avait appele au second tour pour p lissouba VOUS NETIEZ PAS LA LORS DES ELECTIOSN PRESIDENTIELLES DE JUILLET 1992
la democratie congolaise a ete saccagee par les laris il faut le leur dire
jai aussi decele que vous avez des insuffisances en matiere de gestion publique vous navez pas cite la cour des comptes par exemple qui est une institution de la republique
il faut arreter ce jeu de lari nibolek mbochi il faut arreter ca
Sassou ses cobras, c’est-à-dire, as milice, l’armée tribale mbochi, et toute l’ensemble des mercenaires de la francEafrique, il tue détruit les villes et les villages no seulement au Congo, mais en Centre Afrique, au Gabon, au Cameroun en RDC, et autres.
L’heure de la libration approche, mais il faut être mobilisé et être prêt pour la grande manifestation au Congo, en poussant ce cannibale et tout son system hors d’état de nuire.
à « la democratie congolaise a tete saccagee par le pool »
Vous décelez des insuffisances chez les autres, mais je remarque que vos insuffisances ne vous étouffent pas. Il est vous est fort aise de voir la paille dans l’œil du voisin que la poutre dans votre propre œil..Vos méconnaissances historiques sentent de l’ammoniaque. En 63, Sassou était déjà militaire; en 68, ilétait au côté de Marien Ngouabi. Mais j’imagine que vous n’étiez pas encore né, et de l’histoire vous ne savez que les inepties qu’on vous fait avaler. Concernant les Laris et les Téké, Votre inculture est criarde.Bernard Kolelas est un Téké qui a vécu dans la culture kongo, comme beaucoup de Tékés du Pool qui parlent parfaitement le Kikongo-Lari dont ils ont une maîtrise incontestable. Certains kongo, plus particulièrment Laris et Sundis ont une ascendance Téké. Mais cela ne fait pas des Laris un sous-groupe téké. Tout petit, dans nos familles on nous apprend que Bakongo Manianga de Boko, Laris et Sundis, venons de Kongo dia Ntôtela. Les Tékés étaient nos plus proches voisins amis, « Banziku ». Votre histoire à la Théophile Obenga, c’est du pipi de chat. Aucun missionnaire, ni catholique, ni protestant de 1890 aux années 1930-1940, n’a écrit que les Laris étaient un sous groupe Téké. Mais peut-être avez-vous mal compris. Le Kikongo-Lari, (comme le Bembe et le Dondo, y compris le Vili aussi) a subi des influences Téké. Lisez Karl Lamman missionnaire protestant qui a écrit le dictionnaire de référence: « Etude phonétique des dialectes les plus importants de la Langue Kikongo 1936 ».
Vous dégagez Sassou de toute responsabilité; très curieux! N’avait-il pas à l’époque demandé à Mokoko de faire intervenir l’armée? mais que celui-ci avait refusé. Avec Sassou, que des morts!
Sassou 1: résultat, intervention du FMI
Sassou 2: résultat, intervention du FMI, malgré les milliards de dollars du pétrole engrangés
Apprenez à être objectifs, sinon on n’avancera pas.Bien sûr pendant ce temps un clan s’est enrichi, et pour sa gloriole, Monsieur Sassou peut distribuer à tout va, l’argent du Congo, et vous applaudissez.
le general jean marie michel mokoko sen etait prit a mr andre milongo par le fait que mr milongo ignorant tout de la hierarchie militaire AVAIT NOMME UN COLONEL A LA TETE DU MINISTRE DE LA DEFENSE. ce colonel teke repondait au nom de MICHEL GANGUO voila ce qui avait enerve le general jean marie michel mokoko.michel ganguo etait le premeir miliatire non memebre du cercle du dossier marien ngouabi qui avait accede a la defense. il etait question de le stopper net de peur qu il naccedat aux archives. voila pourquoi cher oiseau mr raymond damas ngollo teke egalement avait ete remis en selle.
un tout petit secret pour vous de grace ne le dites a personne surtout pas aux laris sous groupe du grand groupe teke. les laris sont tous des tekes.
DANS LA VALISE DANDRE MILONGO SE TROUVAIT MARCEL TSOUROU QUI ETAIT UN PROCHE DE MICHEL GUANGUO.
le general denis sassou ng etait absent lors de l’hysterie du pool en 1963. le general denis sassou ng etait absent lors des attaques de nuit par le lieutenant kinganga lari en passant de la radio et de la television
oui le texte est truffe d’incoherences en matiere d’inventaires des institutions de la republique et de grammaires francaise
deja a premeire vue il ne s’y connait pas en matiere de pouvoir executif: on ne peut pas parler dun president fautif et ignorer le gouvernement or les deux constituent le pouvoir executif et sont comptables de droit des actes poses par eux.je suis desole pour mr baniafouna. il fallait docn parler en treme de pouvoir executif le gouvernement est une institution de la republique placee sous lautorite de la primature chargee de sa coordination.je suis desole pour mr baniafouna.
ensuite il n a pas parle du pouvoir judiciaire je suis egalement desole pas de revue institutionnelle sans se referer au pouvoir judiciaire constitue de cours et tribunaux
enfin dans ces nombreux songes qu il a eus a pointe noire le plus risible est le suivant:
« les marins positionnes a nkoti futa…. J’AI ASSISTE A LA SCENE… » alors deja mr baniafouna TEMOIGNAGE UNIQUE TEMOIGNAGE NUL ce recit d’outre tombe est NUL faute de contradiction.
ensuite les fautes de grammaire je suis desole cest ca le grand probleme du pool
il dit que »il a été relâché la nuit même après que sa mère a payé 50 000 F CFA aux marins » cest incorrect evidemment exprimez vous en bon francais
voici ce que denis sassou ng aurait ecrit s’il etait opposant et calixte banafounia president de la rep depuis 1979
IL A ETE RELACHE DANS LA MEME NUIT APRES QUE SA MERE EUT PAYE UNE SOMME DE 50 000 AUX MARINS REPRESENTANT LE MONTANT DU PREJUDICE CAUSE….
chez calixte baniafouna le subjonctif n’existe pas
@TINTIN AU CONGO ,grosse validation ce serait TINTIN à COLOGNE….
Je partage l’état de lieu fait , par CALIXTE et son anti sassouisme ne souffre d’aucune ombre de doute .
L’essentiel , c’est d’être du bon coté de l’histoire .
Je cite:
« aux abords de la grande avenue au quartier Mpaka, derrière un « nganda », la foule assiste à l’accouchement public d’une adolescente de 15 ans qui, venue du Pool où elle venait de perdre ses parents à la guerre, était abusée régulièrement par son oncle depuis l’âge de 13 ans et demi, signe de la débauche, de viols et de l’inceste devenus courants au Congo du fait de l’oisiveté, de la misère et de la pauvreté »
À travers le long article, seul ce fait divers invraisemblable a retenu l’attention du congolais solidaire que je suis. Au lieu de polémiquer inutilement dans des débats politiciens clivants j’ai fait le choix d’aborder un sujet de société, surtout à une époque où les valeurs civilisationnelles de l’Afrique sont plus que jamais contestées. Les déclarations à caractère raciste d’E.Macrona en plein sommet du G-20 ont été assez explicites, à ce propos.
Bien que n’étant pas un adepte des folklores mondialistes occidentaux de type Charlie Hebdo à visée impérialiste inavouée, j’associe à titre exceptionnel la présente à la campagne médiatique en vogue sur les réseaux sociaux, contre les violences conjugales et le harcèlement incestueux que je condamne du reste. Voilà un cas flagrant propice au fameux « Hashtag #BalanceTonPorc », c’est le moins qu’on puisse dire, en guise de soutien patriotique à une jeune compatriote.
Je le présume, le souhait de la future citoyenne congolaise éprise d’égalité entre les genres est de voir sa région d’origine libérée des groupuscules politico-sectaires. Ca passera nécessairement par le dialogue national demandé par les sages, lesquels n’ont fait que transmettre aux autorités le message des miliciens désabusés qui sont résolus à sortir de la forêt.
Après les trois premiers paragraphes qui ne peuvent que nous émouvoir et recevoir notre assentiment, L’Anonyme ci-dessus aurait mieux fait de s’abstenir de son dernier paragraphe qui est une allégeance non dissimulée au régime mafieux en place.
@ « c’est bien le pool qui est auteur co auteur et complice des drames connus par le congo. »
Décidément, vous êtes incorrigibles. Vous voulez faire le savant, mais vous révélez plutôt la profondeur de votre ignorance en matière de grammaire française.
Quand Mr Calixte Baniafouna dit: » il a été relâché la nuit même après que sa mère a payé 50 000 F CFA aux marins « .Rien n’est plus français que cela. C’est du français correct; je dirais même que c’est du Très Très Bon Français. C’est vous qui parlez le français de la rue. Vous faites une confusion grammaticale
Voici la règle:
Règle de conjugaison derrière » après que »
Puisqu’on dit « avant qu’il ait mangé », il est tentant de dire, de la même façon, « après qu’il ait mangé » au lieu de « après qu’il a mangé ».
À la différence de « avant que », et quoi que l’on pense souvent, « après que » doit être suivi d’un verbe à l’indicatif et non au subjonctif :
– Il fait toujours une sieste après qu’il a mangé.
– Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu’il avait mangé.
– Après qu’il eut mangé quelques petits enfants, l’ogre fit une sieste.
Mais pourquoi donc? Rien que de très logique.
Voici les Explications de Bruno Dewaele, champion du monde d’orthographe, professeur agrégé de lettres modernes:
« après que » introduit une action qui a ou aura eu lieu avant celle de la proposition principale, et qui suppose donc l’usage de l’indicatif. Au contraire, l’action qu’introduit « avant que » est, par rapport à cette même principale, encore à venir (« Le mieux est de s’attaquer au mal avant qu’il n’apparaisse »). D’où le subjonctif, mode de ce qui n’est pas réalisé, mais seulement envisagé…
Alors cher Monsieur qui m’avez traité de petit oiseau, c’est l’arroseur arrosé; tel est pris qui croyait prendre.
Monsieur, vous êtes un crypto-soutien au régime mafieux, barbare et sanguinaire du Sieur Sassou, ne m’en déplaise, c’est votre droit absolu, mais de grâce épargnez-nous l’exhibition de votre nullité crasse. Monsieur Sassou dans une interview a déclaré qu’il était sorti major de sa promotion. Que nenni.!, dans ses rêves, oui! Mais qui donc était sorti instituteur-adjoint?. Le mensonge au plus haut sommet de l’état. C’est sidérant. Ignorance + Mensonge + Incompétence = Congo à terre après 40 ans. Solution trouvée: imposer la terreur et la dictature.
Avec vous et Sassou, je comprends mieux la débâcle économique et sociale du pays
Cher Monsieur pour votre gouverne, je vous ai trouvé des exercices de grammaire française sur l’usage de « après que ». Entrainez-vous!
Exercices (cherchez les erreurs)
1 Après qu’il eût fait son service militaire, il ouvrit un commerce.
2 Après que les lumières se soient éteintes, il quitta les lieux.
3 Après qu’il aura envoyé le personnel à tous les diables, il se calmera !
4 Après que chacun ait gagné sa place, le cours commence.
5 Après que la grève eut été décidée, il se fit un grand silence.
6 Nous nous montrions plus efficaces après que nous nous étions détendus.
7 Après que vous ayez rempli le questionnaire, vous le remettrez à l’appariteur.
8 Tout le monde se tait après que le chef a pris la parole.
9 Après qu’il eut donné ses ordres, il s’offrit un moment de repos.
10 Après que le soleil se soit couché, nous rentrons au camp sans tarder.
Réponses
1 Faux. Il faut écrire : Après qu’il eut fait son service militaire, il ouvrit un commerce.
À la différence de « avant que », la locution « après que » est toujours suivie d’un temps composé de l’indicatif : ici, le passé antérieur.
2 Faux. Il faut écrire : Après que les lumières se furent éteintes, il quitta les lieux.
À la différence de « avant que », la locution « après que » est obligatoirement suivie d’un temps composé de l’indicatif : ici, il s’agit d’un passé antérieur.
3 Phrase correcte.
4 Faux. Il faut écrire : Après que chacun a gagné sa place, le cours commence.
Si la locution « avant que » est suivie du subjonctif, « après que » entraîne nécessairement l’indicatif, ici au passé composé.
5 Phrase correcte.
6 Phrase correcte.
7 Faux. Il faut écrire : Après que vous aurez rempli le questionnaire, vous le remettrez à l’appariteur.
Dans une proposition introduite par « après que », le verbe n’est jamais au subjonctif. On a affaire ici à un futur antérieur de l’indicatif.
8 Phrase correcte.
9 Phrase correcte.
10 Faux. Il faut écrire : Après que le soleil s’est couché, nous rentrons au camp sans tarder.
Ce passé composé de l’indicatif est autrement correct que le subjonctif, lequel ne doit pas se rencontrer dans une proposition introduite par « après que ».
([le general jean marie michel mokoko sen etait prit a mr andre milongo par le fait que mr milongo ignorant tout de la hierarchie militaire AVAIT NOMME UN COLONEL A LA TETE DU MINISTRE DE LA DEFENSE. ce colonel teke repondait au nom de MICHEL GANGUO voila ce qui avait enerve le general jean marie michel])
Mais ce mokoko michel, général en carton, ne s’énerve donc plus contre son bienveillant mentor, là où il pisse en prison?
Tu rentres du pays de tes ancêtres ? J’ai cru que tu rentrais de ton pays! Merci d’avoir visité le pays de tes ancêtres.
La nomination de Michel NGANGOUE en qualité de secrétaire d’état à la Défense n’avait rien d’anormale même dans la hiérarchie militaire. ETA ONKA au moment de sa nomination en tant que CEMG était encore colonel. Il l’a été aussi pour MONDJO? Ce n’est qu’après, ils furent bombardés généraux. Et pourtant, il y avait des généraux dans les corps de l’armée pour prendre le poste de CEMG. MOKOKO avec NGANGOUE c’est une affaire de vie privée qu’ils ont amené au sommet de l’Etat. MOKOKO était marié à l’une des sœurs du Colonel NGANGOUE. Tout le monde sait ce qui s’est passé de leur couple.
Merci à calixte baniafouna pour ces témoignages et les risques pris. Quant à ces tristes personnages remplis de haines sans fondement objectif en vers des lari-kongo ou autres congolais; ces acharnements ne sont que du vent, qu’ils s’élèvent d’abord au rang des êtres élevés en cherchant à trouver des vraies solutions à la belle formule citée par @TINTIN AU CONGO « Ignorance + Mensonge + Incompétence = Congo à terre après 40 ans. Solution trouvée: imposer la terreur et la dictature. »