Sassou Denis et son serviteur Martin MBeri
Par Djess dia Moungouansi
« C’est le peuple qui s’asservit […] veut vivre sous l’iniquité, sous l’oppression et l’injustice, au seul plaisir du tyran. C’est le peuple qui consent à son mal ou plutôt le recherche » Etienne de La Boétie
Au-delà de la démarche pour le moins étrange du « Collectif des parents d’étudiants refoulés de Cuba » d’aller se prosterner devant le piètre tyran qu’est Sassou Dénis, la dimension paradoxale de l’oxymore (contradiction sémantique) « servitude volontaire » nous permet de mesurer les incidences psychopathologiques dans la société congolaise.
S’en remettre à un homme que de faire confiance aux institutions
Dans leur imaginaire, régenté par des considérations purement fantasmagoriques, il est plus judicieux de s’en remettre à un homme, fut-il tyran, que de faire confiance aux institutions qui sont abstraites par définition. Cette soumission par consentement volontaire met en relief la double violence subie par les parents et leurs enfants. Les enfants traumatisés par 30 mois sans bourse et par des affres de la dictature cubaine doivent non seulement, affronter l’angoisse suscitée par l’incertitude de leur avenir mais, également, digérer l’humiliation vécue par leurs parents, obligés d’avaler leur dignité en se couchant à plat ventre devant Sassou, le responsable exclusif de leurs malheurs.
Est-il besoin de rappeler que 90 % des enfants refoulés font partie de l’électorat traditionnel de Sassou, d’autant plus qu’ils sont originaires de la partie nord de notre pays ? Comme on le sait, ces enfants avaient été envoyés à Cuba non par le mérite, mais par une sélection ethnique. Ce n’est pas du tribalisme que de le rappeler. C’est son antidote par excellence !
Il vous souvient en effet qu’après le drame du 4 mars 2012, résultant de l’obsession des armes du boutefeu d’Oyo, les victimes – du moins, les survivants- s’empressèrent de se retourner indirectement vers lui. Contre toute attente, ce n’était pas pour lui demander des comptes et exiger son départ. Au contraire, mus par une manifestation de l’inconscient, ils étaient poussés par le premier but de l’être humain : la survie. Dans leurs fantasmes, en s’attirant la sympathie du dictateur, les oppressés se croient hors du danger, croyant contrôler, même inconsciemment, les émotions du dictateur. En réalité, c’est de l’angoisse que ces Congolais se protègent, car le danger est toujours réel.
C’est hallucinant de voir nombre infini de compatriotes non pas obéir, mais servir ; non pas être gouvernés, mais tyrannisés, n’ayant ni bien, ni parents, ni femmes, ni enfants, ni leur vie même qui soient à eux, souffrir les pillages, les paillardises, les cruautés non pas d’une armée, non pas d’un camp barbare contre lequel il faudrait répandre du sang, et sa vie avant, mais d’un seul individu.
Plus que de l’affliction, on ne peut qu’exprimer une grande préoccupation quant aux ravages de cette servitude volontaire au sein de la société congolaise. Un despote devenu pour un temps plus ou moins long, l’objet d’amour et d’admiration et que l’on doit s’interdire de critiquer ou de haïr. Se touillant à la flétrissure, la cupidité finit par éclater dans toute son horreur.
En toute modestie, j’avoue mon amertume, tant les raisons d’un ras-le-bol s’amoncèlent chaque jour dans ma boite de déception. Fondamentalement, je suis déçu.
Déçu de voir des êtres humains se transformer en bêtes politiques, à commencer par Sassou Dénis, qui, il faut le dire, est à l’origine de tout ce qui se passe ou de tout ce qui ne se passe pas. Il est vrai que c’est trop lui accorder d’importance, en le considérant ainsi, comme un « Dieu », mais force est de constater, qu’en fin de compte, un homme à lui seul peut bel et bien pourrir la vie de plusieurs.
Quand un piètre tyran est pris pour un Dieu, c’est le peuple qui s’en mord les doigts
L’histoire de l’humanité en regorge. Mais ce qui est plus décevant, comme avec tous les personnages du genre de Dénis Sassou, c’est qu’on l’a regardé faire, pendant longtemps, et il ne s’en est pas privé. Il fait ce que bon lui semble. Il cache 14 000 milliards de FCFA, destinés aux générations futures dans les paradis fiscaux, il distribue de l’argent de gauche à droite, même à ceux qui n’en n’ont pas besoin, sans qu’on lui demande de rendre des comptes. Il nomme, gomme et dégomme qui il veut sans que l’on ne se pose des questions. Il manie et remanie le gouvernement comme un jouet et on est là, à le regarder faire. Il s’adonne à son exercice favori : le tribalisme. Les critères de compétences et de probité ont été tout bonnement relégués au second plan. Tout le monde est à genou devant lui. Mais au nom de quoi ou de qui ? Quand les êtres humains prennent pour « Dieu » un autre être humain, tôt ou tard, ils s’en mordront les doigts. Nous y sommes !
Déçu de voir des êtres humains confisquer et emprisonner la vérité dans leur camp, croyant et disant que dans l’autre camp, il n’y a que mensonges et errements. Tous les historiens reconnaîtront que toutes les dictatures sont nées de cette seule prétention de détenir la vérité à l’exclusion de tout le monde, et de vouloir commander en son nom. Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, est une véritable arnaque au Congo, surtout que ce pouvoir s’applique à plonger ce peuple dans l’errance, dans l’obscurantisme, dans la servitude, dans l’aliénation.
Déçu de voir qu’un peuple au passé glorieux, qui a su vaillamment relever les grands défis qui s’imposaient à lui, soit assujetti au rôle marginal que lui impose un pouvoir minoritaire, sans réelle légitimité. Pourquoi ne pas exhumer la ferveur des journées insurrectionnelles du 13-14-15 août 1963 qui entrainèrent la chute de l’abbé Fulbert Youlou ?
Ne l’oublions pas très vite, l’avènement de CNS en 1991 n’était pas une sinécure, car, rien n’était gagné d’avance. Il a fallu se battre sur tous les plans et l’apport de la diaspora congolaise de France dans le succès de ces assisses était déterminant. Nous avons tous en mémoire celle de l’ex-Zaïre, phagocytée par les manœuvres dilatoires du maréchal Mobutu. Après 12 mois de tergiversations, elle n’avait accouché que d’une … souris.
C’est de notoriété publique, un syndrome peut en cacher un autre. Pour l’instant, la grande priorité reste, sans nul doute, de porter l’estocade, par tous les moyens, au système odieux incarné par Sassou Dénis qui a fait de notre pays le temple du tribalisme et des injustices de toutes sortes. Au risque de voir arriver un autre syndrome plus nocif. Rwandais, celui-là.
Djess dia Moungouansi
Diffusé le 07 juillet 2019, par www.congo-liberty.org
SASSOU NGUESSO EST LE PROBLÈME DU CONGO
LES ASSISES NATIONALES DU CONGO et La Diaspora Congolaise aux USA doivent exercer une saisine du FMI.
Le FMI peut donner tout son argent à Satan Nguesso.
Satan Nguesso le dilapidera et l’engloutira sans rien faire de bon et sans enrayer la misère et les multiples problèmes du Congo.
Ce que le FMI doit savoir c’est que Satan Nguesso est un mortel.
Satan Nguesso est plus proche de la mort que de la vie. N’en déplaise à ses protecteurs des réseaux françafricains dont il est la poule aux œufs d’or.
APRÈS LA MORT OU LA DESTITUTION DE SASSOU, MÊME UN MOUTON QUI LE REMPLACERA, SERA A MÊME DE REFUSER DE PAYER CES PRÊTS DU FMI, SANS QU’AUCUNE JURIDICTION AU MONDE PUISSE L’EN BLÂMER.
On ne donne pas de la viande à un chien pour le garder. On ne peut pas mettre de l’argent de tout un peuple à portée de main d’une personne DONT ON CONNAIT PERTINEMMENT LE PENCHANT AU VOL et croire qu’il ne va pas le voler.
A l’avenir, LE FMI NE POURRA JAMAIS DIRE QU’IL NE SAVAIT PAS QUE SATAN NGUESSO ET SON CLAN SONT DES VOLEURS.
NUL NE PEUT SE PRÉVALOIR DE SA PROPRE TURPITUDE.
LE FMI NE POURRA JAMAIS SE PRÉVALOIR DE SA PROPRE TURPITUDE ET EXIGER LE PAIEMENT DE CES PRÊTS AU PEUPLE CONGOLAIS DANS LES ANNÉES FUTURES.
On ne peut pas résoudre le PROBLÈME avec ceux qui ont crée les PROBLÈMES.
Le PROBLÈME du Congo, c’est SASSOU NGUESSO ET SON CLAN DE KLEPTOCRATES.
Le congo pays en faillite donc débiteur, contracte une dette auprès d’un grand créancier qu’est le FMI dans des conditions d’insolvabilité ne pourra, en aucun cas, s’acquitter de sa dette le moment venu.
Le FMI aura beau faire, cette créance certaine, liquide et exigible, sera irrécouvrable car ne reposant sur aucun fondement juridique en l’état. Le créancier dispose de très peu de gage. Parce qu’à l’avènement de la démocratie, que nous appelons de tous nos voeux; les nouvelles institutions qui en résulteront et les nouvelles lois de finance qui entreront en vigueur, car il faudra légiferer; permettront de revoir dans les détails, les mécanismes de l’octroi de ce prêt qui sest fait dans des conditions tres peu conventionnelles et à la faveur d’une dictature qui sévit nuit et jjour. Ce prêt aurait dû être une aide au secours a la dictature et non une démarche conventionnelle qui sort des sentiers battus.
le congo subit la méthode de servage comme au temps du moyen age, composé de serfs volontaires d’un côté et d’un Dieu seigneur de l’autre.
Le problème des intellectuels Congolais, c’est d’écrire au lieu d’agir et de croire que ces écrits vont absoudre ou détruire les maux qu’ils dénoncent.
C’est pour cela qu’on arrive pas à se débarrasser de sassou nguesso depuis autant de temps.
Des actions concrètes plutôt que des mots, même pertinents.
C’est incroyable qu’un pire idiot comme sassou nguesso, même protégé par les réseaux françafricains continue à soumettre autant de grands cerveaux, parmi lesquels des médecins, des avocats, des professeurs, des chercheurs, des écrivains, des ingénieurs…
Il me prend l’envie de vomir quand je pense que sassou n’a même pas son certificat d’études primaire.
Sans doute écrit-on mieux qu’on agit. Sinon sassou ne serait plus là.
Il est sans doute temps d’inverser la tendance pour virer le dinosaure d’Oyo
La franc-maçonnerie, (dont tous nos grands cerveaux font partie), et la superposition des égos (chacun veut être président, même le petit Ngombé) sont aussi autant de freins à l’éviction du génocidaire, criminel multi-récidiviste sassou nguesso.
STOP DISTRACTION – STOP PRÊT FINANCIER DU F.M.I – OBJECTIF : SASSOU NGUESSO DÉGAGE. POINT BARRE.
DISTRACTION MADE IN SASSOU NGUESSO + STRATÉGIE DE CONSERVATION DE SA TYRANNIE = COLLABOS A LA CON = SERVITUDE VOLONTAIRE A LA CON = ESCLAVES A LA CON = DIALOGUE A LA CON = FAUX SAGES A LA CON = CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LE CONGO A LA CON = CONFÉRENCE NATIONALE BIS A LA CON = GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE A LA CON = PRÉSIDENTIELLES 2021 A LA CON = OCCUPATION = PEUPLE AUX ARRETS = PAYS VENDU A LA DÉCOUPE = ETRANGER DANS SON PROPRE PAYS = APATRIDE A VIE MÊME MORT. https://www.youtube.com/watch?v=ig802beJYDA
Lire ci-haut: il ne pourra, en aucun cas, s’acquitter…
Qu’est ce qui Vous étonne Djess dia Moungouansi ? Qu’est ce qui Vous déçoit ?
C’est dans la logique des choses les problèmes se règlent en famille selon les us et coutumes de la chefferie mbochi
C’est leur chef spirituel ,moral, militaire ,politique leur kani leur dalaî lama
un chef qui peut tuer, affamer leurs propres enfants la chair de leur chair pendant 30 mois ils trouvent quand même la force d’aller faire des génuflexions devant lui
Un comportement qui expose les autres ressortissants du pays qui ne se comportent pas de cette façon
Voilà une population lorsqu’on lui demande d’agir n’agit pas et lorsque lui souffle de ne pas agir eh bien agit ainsi va ce pays uni qu’est le Congo Brazzaville
Un jour viendra où on leur mettra ces images sous les yeux j’espère qu’ils auront la décence de ne pas demander pardon et d’assumer totalement leurs actes
Vendre sa dignité, c’est perdre toute son existence.Le plus grand honneur humain est de se contenir dans le malheur, de supporter la douleur avec égalité et dignité. Vous parents des étudiants expulsés, vous aviez déshonorez à votre existence ainsi que ceux de vos enfants.
Le diable te châtie, t’inflige la souffrance ou te dépouille tous ce que tu as de plus précieux, et toi en retour, tu va te prosterner devant sa malice et demandant pardon, ha non! Grave est l’erreur que vous aviez commis, jamais vos enfants ne vous le pardonnera, car leur avenir est devenu incertain au Congo, peut-être à raison de les intégrer dans l’armée tribale.
C’EST TRÈS DUR POUR LES PARENTS. EN EFFET, C’EST TENTANT, VOIR FACILE DE FAIRE UNE ERREUR. CE N’EST PAS TOUJOURS FACILE POUR CERTAINES PERSONNES DE RECONNAÎTRE QU’ELLES SE SONT TROMPÉES.
NOUS ESPÉRONS, QUE SES ENFANTS HUMILIÉS, PUISSENT DONNER UNE LEÇON DE VIE RAISONNABLE À LEURS PARENTS.
LE RESTE N’EST QUE CINÉMA. SI L’IDIOT sassou PEUT SE RÉJOUIR DE CET ACTE, IL SAIT QUE TOUT LE MONDE JOUE LA COMÉDIE AUTOUR DE LUI.
LE MALHEUR VA RATRAPPER TOUT LE MONDE.
A voir cet homme , manifestement nous sommes devant un cas de narcissisme pathologique où l’autre tend à être considéré comme un objet . FREUD réveille toi .;
Figurez vous chers amis , c’est la leçon de l’histoire ,non pas que NARCISSE tombe amoureux de lui même ,mais ,incapable de reconnaitre son propre reflet ,il ne possède pas le concept de la différence entre lui même et son environnement .
Une alternative s’offre à nous post SASSOU :
Soit on continue de déifier cette institution républicaine ,rétrograde ,criminelle et arrogante à souhait , soit on prend la tangente institutionnelle c’est à dire ,y mettre fin pour un Congo sauvé de l’humiliation quotidienne .
Regardez le comportement de SASSOU rempli de suffisance et d’assurance tous risques ,on le prendrait ,un peu pour un DIEU ..,le ZEUS CONGOLAIS ,,,MAWOUA .
Voilà jusqu’où ,une fonction peut déshumaniser un homme ..
pourquoi ce monsieur se courbe comme ça, la peur mdr et vous au lieu d’ecrire des long discours venez sur le terrain
Vu sur Brazza news l’idiot international s’est vu accorder une somme minable et parfaitement dérisoire par le fmi
Comme on dit chez nous « éééééééééééh ngué mosiééééééééé »