La directrice de cabinet du Professeur pascal Lissouba ne s’en était jamais cachée. Le voyage qui avait permis à Claudine Munari Mabondzo d’assister aux obsèques à Perpignan de Pascal Lissouba avait été financé par Denis Sassou Nguesso. Jacqueline Lydia Mikolo a été mis sur orbite au gouvernement et au PCT par Denis Sassou Nguesso. Et, c’est par la volonté de Denis Sassou Nguesso que Jacqueline Lydia Mikolo est candidate du PCT à Mouyondzi en face de Claudine Nunari Mabondzo.
Les relations de Denis Sassou Nguesso et les deux dames de pique de Mouyondzi sont au beau fixe. Jusqu’à nouvel ordre électoral.
PAS DE QUARTIER
Pendant quelques jours, Mouyondzi sera l’épicentre de la politique du Congo-Brazzaville avec le duel qui opposera les deux dames de Mouyondzi, Claudine Nunari Mabondzo et Jacqueline Lydia Mikolo, deux connaissances de Denis Sassou Nguesso. « Moto a séparé té ». Le temps de mettre sous le tapis le rôle trouble de Claudine Munari Mabondzo et la bande des quatre (Moungounga, Tamba Tamba, Mbéri et Moukouéké) dans la chute de Pascal Lissouba en 1997. Denis Sassou Nguesso tire les ficelles.
Les populations du Congo-Brazzaville ont la mémoire courte. « Nsimou ni mayéla ». Si, Denis Sassou Nguesso, voulait mettre le feu aux poudres dans cette localité de la région de la Bouenza, il ne s’y prendrait pas autrement. Chaque camp affûte ses armes (au propre et au figuré). La bataille des législatives à Mouyondzi donne l’illusion des élections libres, régulières et transparentes. Loin s’en faut. Les dénonciations des fraudes et les réclamations se multiplient au point de jeter un discrédit sur ces élections. Le fils de « Mama Mouébara », Denis Sassou Nguesso et le PCT n’ont jamais organisé des élections libres, régulières et transparentes. Elles ont toujours été entachées de graves irrégularités comme celles observées à travers les différentes circonscriptions où ont été proclamées la victoire de Vadim Mvouba, Inès Ingani, Claudia Sassou, Chrystel Sassou,Stella Sassou… Aussi longtemps que Denis Sassou Nguesso et Henri Bouka de la CENI auront la mainmise sur les élections au Congo-Brazzaville, les résultats des scrutins n’auront aucune valeur.
QUI PERD GAGNE
Et, si Jacqueline Lydia Mikolo l’emportait face à Claudine Munari Mabondzo comme ce fut le cas en Guinée en 2010 avec la victoire inattendue d’Alpha Condé. Arrivé en deuxième position avec seulement 18 % des voix au premier tour – contre 43 % à Cellou Dalein Diallo -, le candidat du RPG avait réussi à retourner la situation en emportant avec 52,5 % des voix contre 47,4 % à son adversaire Cellou Dalein Diallo ? Jacqueline Lydia Mikolo réalisera-t-elle la « remontada » face à Claudine Munari Mabondzo à l’instar D’Alpha Condé ? Dans l’art de brouiller les pistes, Sassou Nguesso est un maître. Mouyondzi est une école anormale de la politique comme partout ailleurs dans le « Congo de Sassou. »
FRANC-MACONNERIE
Dans la manipulation, Sassou Nguesso est un seigneur. L’éclatement de la localité de Mouyondzi en différentes chapelles selon que l’on soutient Munari ou Mikolo en est la preuve. A Mouyondzi, les deux camps s’observent dangereusement en chiens de faïence. Les deux sœurs ennemies sont pourtant logées à la même enseigne : toutes deux sont franc-maçonnes. Difficile de dire qui joue le rôle de plastron dans cette farce de très mauvais goût. Ce qui est sûr, il y aura un seul vainqueur : Sassou. Avec, en prime, les échauffourées dans la région. Cela donnera l’occasion au Khalife d’Oyo de mater avec plaisir ces jacqueries qui se préparent dans ce fief naturel du lissoubisme.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Cher Bitadys, ces deux dames sont financées par la mafia Mbochi pour jouer cette pièce de comédie à Mouyondzi ! Une personne censée ne peut mettre son argent dans les nominations de Sassou Dénis. Nos jeunes de Mouyondzi sont très affamés Munari , Mikolo sont agents de Sassou Denis pour créer les conditions d’une guerre civile a Mouyondzi, comme la zizanie de Kolelas Bernard et son fils Parfait dans la pool . Cher Bilombot , ces dames sont ne sont pas dignes d’êtres élevés Francs-maçonnées d’une obédience régulière, mais plutôt la maçonnerie Mbochi du chef d’orchestre Sassou Dénis , Selon un jeune frère maçon depuis mai 1999 au grand Orient de France. Viens de m’écrire ceci : Très cher grand frère les initiés ne supporte pas la médiocrité ! D’ailleurs un rituel maçonnique dit le devoir d’un maçon c’est fouir le vice et pratiquer la vertu. J’ai dit …´´
Oui ,la meilleure réponse à apporter aux inepties politiques , anesthésiantes et enfumantes de cette période politique dantesque est d’acquérir des connaissances et savoirs afin de reconstruire un Congo où l’intelligence sera le seul juge de paix sociale ..
La politique créé de la misère , l’économie l’écrase ….
Le bon sens ou l’intelligence ,tout le monde en dispose ,il suffit d’en faire bon usage.
Ce n’est qu’à ce prix, que chaque Congo pourrait améliorer le sort social qui est le sien ..La marchandisation du pouvoir politique est une aberration et un arrièrisme mental qui plongent tout le pays dans une espèce de désespoir total ….
Sassou a fait de la politique un haut lieu d’enrichissement ,en ne misant que sur l’exploitation frauduleuse de l’or noir .
Ces batailles politiques auxquelles nous assistons démontrent ,s’il était encore besoin , la perdition du sens du but principal qu’un pays se doit d’atteindre…
Si l’économie nationale dérive de l’exercice politique ,il faudrait revoir notre logiciel existentiel.
Munari et Mikolo doivent y réfléchir…
Que sont devenus leurs savoirs acquis sur les bancs des écoles et universitaires ?.
Diluer les savoirs dans la sphère politique pour se créer une richesse matérielle est indigne…….
Ex: Qu’est ce qu’un ingénieur physicien à y faire , surtout dans un pays sous développé comme le Congo ?…
Voir Mvouba célébrer la victoire électorale volée par son fils , et en faire un futur politicien ,au détriment de ce supposé pedigree est ontologiquement navrant….
Ce Vadim Mvouba a – t-il étudié ou pas ?…
C’est hallucinant !!.
Un futur politicien n’ayant qu’un seul objectif : vivre de l’argent public comme papa ,ad Vitaa aeternam… Voilà le nouveau legs familial que s’octroie Mvouba à son Ukrainien de fils. ..
Quelle utilité pourrait avoir un docteur en statistiques industrielles en faisant de la politique une préoccupation intellectuelle ?..
Etc.
Une folie congolaise !!.
Ne -serait ce pas une perte de compétences utiles à l’émergence économique pour un pays ?…
Faire des promesses économiques et financières pendant les périodes électorales est une chose ,mais en concrétiser les réalisations en est une autre ,au vu de l’absence des structures économiques dont le Congo , chroniquement souffre le Congo…
D’où cette liesse électorale , dans Mouyondzi ,relève plus de l’ensauvagement que du progrès et du respect envers cette population qui n’en demandait pas tant..
Voilà la victoire de la médiocrité nationale sur l’intelligence collective…
Des sous -développés qui ne cessent d’éprouver leur envie de rester dans le sous développement …
Misère sociale, quand tu nous tiens !!…
Vite ,le fédéralisme…
Pour mieux surligner l’importance individuelle à la contribution de tous à l’ envol économique du pays ,cette maxime lumineuse « : le politique congolais crée de la misère , l’économie , comme manifestation d’une pensée objective et objectivante ,l’écrase .
Pourquoi ?
Rien ne manque à nos parents de la BOUENZA et ceux notamment de MOUYONDZI d’être riches au regard des nombreuses potentialités agricoles et autres .La politique n’a rien à y faire ,c’est une véritable illusion .
L’ÉCONOMIE ne se vit pas à travers le personnage politique ,mais sur le terrain pratique ,d’où son caractère objectif .
L’ÉCONOMIE NE DIVINISE PAS LE POLITIQUE , mais les actions concrètes produites par le congolais lambda en vue d’améliorer son quotidien .
C’est donc du modèle économique que dépend le développement économique dans un espace déterminé au sein duquel se jouent toutes les dynamiques engendrant des richesses spatiales .A la limite , un modèle économique bien prouvé se passe de la rhétorique politique dans la mesure où il n’y a aucune interaction entre les deux .
Ce qui se passe au CONGO ,C’EST LE MARIAGE entretenu et forcé entre l’herbe et le cabri . L’UN NE VA PAS SANS L’AUTRE , CE QUI EST FAUX .Autrement dit : entre le politique ,vendeur des souffrances , et les économies locales …
Une herbe peut exister sans être sous la menace d’un cabri .
Alors pourquoi vouloir lier la richesse de MOUYONDZI au futur élu de MOUYONDZI ?
Aucune élection législative ne changera la misère de nos parents de MOUYONDZI .Ce dont MOUYONDZI a bien besoin ,c’est d’une politique économique puisée dans la philosophie autonome des économies régionales .ou encore le libéralisme économique régional …
Pourquoi ?
Une région doit disposer d’un PIB qui lui permet de mesurer sa richesse locale créée à partir des initiatives économiques locales c’est à dire de sa propre population ….
MUNARI ET MIKOLO ne sont pas des paradigmes économiques et donc ne sauraient satisfaire aux besoins vitaux de cette population ..Une illusion criminelle .
Nous sommes dans la culture du faux et du mensonge en faisant croire aux populations locales que leurs vies sont liées à la bonne volonté du politicien du coin ;ce qui est injurieux et avilissant .
L’économie existe en dehors des élucubrations politiques ,elle est une réalité objective qui se comprend par un partage en commun d’une vision du modèle économique porteur des germes du bonheur national .
Penser une économie florissante détachée des scories politiques ne passe pas par la case politique .En témoigne le modèle économique fédéral pensé par la diaspora dont beaucoup des membres ne sont nullement des politiques …
MOUYONDZI est l’une des nombreuses défaites de la pensée politique d’antan et d’alors .
Le problème de MOUYONDZI est national et non local .Le reste est purement de la fumée .
LIRE ,dont chroniquement souffre le CONGO.
lire ;; qu’octroie mvouba
Une fois de plus ,je voudrais dire à mes chers parents de Mouyondzi d’être exigeants sur le choix de votre représentant à l’assemblée nationale.
Et si cette bataille législative sur Mouyondzi était le signal de prise de conscience individuelle et collective de l’état primaire ,de délabrement social dans lesquels se trouve votre quotidien ..
C’est Jacques Lacan qui parlait de » stade de miroir « pour un enfant qui commençait à prendre conscience de lui même…
Ainsi,vos conditions de vie exigent une sévérité économique dans le choix de votre député , si tant est que ce dernier soit à la hauteur provisoire de vos attentes ,car le fédéralisme viendra y apporter les solutions idylliques et durables..
Et surtout ,ne vous leurrez pas sur les promesses politiques intenables du fait de l’absence d’une vision économique ciblée sur l’exploitation exclusive des ressources du terroir de la Bouenza..
Le salut ne deviendra que de la libération des chaînes politiques auxquelles vous êtes attachés.
Victoire de Munari : oui pourquoi faire ?…
Est ce un cadeau empoisonné ou la réalité objective d’une victoire électorale ?.
Munari ne fera pas des miracles économiques sur Mouyondzi ,car privée des soutiens financiers et d’un poids électoral conséquent ,pour un parti limité géographiquement , la population de Mouyondzi reste le dindon de la farce électorale tout comme celles de Kinkala ,Ewo , Sibiti etc .
On en a vu d’autres .Si l’on tient aux passés politiques de tous ces leaders dont l’une des missions téléologiques ou causales est l’exercice du pouvoir sans réel pouvoir…
Les élections passent ; les conditions de vie misérable y demeurent …
Ce sont des victoires sans lendemain fructueux , c’est dommage.
Lire ,, ,si l’on s’en tient.aux passés .
La seule joie dont je puisse tirer , c’est de voir Mouyondzi , hostile indécrottable au pouvoir de Sassou et son PCT….