Coup de gueule contre ce machin de « Francofolie »
Je viens de parcourir les six pages de la « Résolution sur les situations de crise, de sortie de crise et de consolidation de la paix dans l’espace francophone », issu de la XVIème conférence des chefs d’États et de gouvernement des pays ayant le Français en partage, qui s’est tenue à Antananarivo (Magadascar), les 26 et 27 novembre 2016. Ce texte est une insulte proférée aux Citoyens du Congo-Brazzaville. Je m’insurge contre ce travestissement de la vérité et j’incrimine l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) d’être en collusion avec le général Denis Sassou-Nguesso sur le génocide dans le Pool au Congo-Brazzaville.
En octobre 2015, Sassou-Nguesso avait eu le droit de consulter son peuple (sic), pour lui imposer une constitution mortifère. Grâce à celle-ci, il est en train d’achever, de finaliser, dans le département du Pool, dans un huis clos complet, avec la bénédiction de la communauté internationale, et de la France plus particulièrement, le génocide qu’il avait commencé le 18 décembre 1998.
De quoi s’agit-il exactement ?
Depuis le 04 avril 2016 tout un département d’une superficie de 34000 km2 – superficie largement supérieure au territoire du Rwanda (26338 km2), ou du Burundi (27834 km2) –, est bombardé par des hélicoptères de combat pilotés par des Ukrainiens, des Chinois. Ces bombardements sont complétés par des fantassins, pour la plupart des mercenaires venus du Rwanda, du Burundi, du Tchad, de France, d’Angola, d’Ukraine, de Chine, etc. Lesquels mercenaires se déplacent de village en village et détruisent toute forme de vie sur leur passage. A ce jour plus de 100 villages ont déjà été détruits.
Aucun organisme international, malgré nos appels répétés ne s’émeut devant une telle tragédie, une barbarie qui n’est en réalité que la continuité d’une extermination coloniale inachevée à cause de la seconde guerre mondiale.
Et alors !
Mais ce qui nous semble plus grave, c’est que le sommet de la Francophonie qui vient de se dérouler à Antananarivo (Madagascar) aurait pu gagner en estime s’il n’avait rien dit sur le Congo Brazzaville. Ce sommet est resté silencieux sur le Gabon voisin, sur le Tchad, mais pourquoi diantre a-t-il décidé de falsifier une histoire congolaise qui est en train de s’écrire quotidiennement sous nos yeux, sur le sang, les larmes et la négation des droits humains des populations Kongo et Téké, ressortissantes du département du Pool ?
Les rédacteurs du texte intitulé « Résolution sur les situations de crise, de sortie de crise et de consolidation de la paix dans l’espace francophone » ont vraiment rusé intellectuellement quand il s’est agit du Congo-Brazzaville.
Primo, ils ont encensé le dictateur, le Général d’armée Denis Sassou-Nguesso dans un paragraphe qui traite de la République Centrafricaine en ces termes :
« … Saluons l’action de M. Denis Sassou-Nguesso, président de la République du Congo et médiateur international, pour son implication personnelle et les efforts constants qu’il a déployés pour contribuer à la réussite du processus de transition et une sortie de crise pacifique ; » (Page 5, 3ème paragraphe).
Secundo, pour plaire à Denis Sassou-Nguesso qui dilapide l’argent du contribuable Congolais avec lequel il achète les consciences du monde entier, la situation du Congo-Brazzaville a été évoquée, juste après celle de la RDC, en page six, au 4ème paragraphe, sans employer le terme Congo-Brazzaville. Ce qui prête volontairement à confusion pour que le lecteur non averti puisse penser que ce 4ème paragraphe ainsi que les suivants s’adressent au Congo voisin, la RDC.
Pourquoi cet escamotage voulu, par les rédacteurs de cette résolution ? C’est parce que, la Francophonie adoube Sassou Nguesso, la Francophonie entérine la constitution de Denis Sassou-Nguesso que tous les Congolais ont rejeté et continuent de rejeter. Que dit cette constitution ?
-En son « Article 10 : Sauf en cas de perte ou de déchéance de la nationalité, aucun citoyen congolais ne peut être ni extradé, ni livré à une puissance ou organisation étrangère, pour quelque motif que ce soit. L’État a le devoir de porter assistance à tout citoyen congolais poursuivi devant une juridiction étrangère ou internationale. »
-En son « Article 96 : Aucune poursuite pour des faits qualifiés crime ou délit ou pour manquement grave à ses devoirs commis à l’occasion de l’exercice de sa fonction ne peut plus être exercée contre le Président de la République après la cessation de ses fonctions. La violation des dispositions ci-dessus constitue le crime de forfaiture ou de haute trahison conformément à la loi. »
Les Congolais ne doivent plus se tromper d’allié et/ou d’adversaire.
Que raconte ce sommet de la Francophonie sur notre pays, sommet tenu à Antananarivo (Madagascar) du 26 au 27 novembre 2016 ?
« … Encourageons les autorités de la République du Congo et l’ensemble des acteurs congolais à multiplier les efforts de dialogue afin de promouvoir la restauration de la confiance et la consolidation de la paix dans ce pays ;
Rappelons la nécessité de respecter les droits de l’Homme en toutes circonstances, notamment dans le cadre des procédures engagées contre certains responsables politiques à la suite du contentieux né de l’élection présidentielle du 20 mars 2016 ;
Réitérons l’engagement de la Francophonie à apporter aux autorités congolaises le soutien nécessaire à la mise en œuvre des réformes prévues dans le cadre de la nouvelle constitution issue du référendum du 25 octobre 2015 ; … »
L’engagement de la francophonie, dans ce dernier alinéa concernant le Congo est simple. L’état des lieux, les 26 et 27 novembre 2016, pendant la tenue du sommet d’Antananarivo, au Congo-Brazzaville, montre une situation d’épuration ethnique, de génocide dans le département du Pool qui dure déjà neuf mois. Si la Francophonie encourage le général d’armée Denis Sassou Nguesso dans la mise en œuvre de cette nouvelle constitution, en ses articles 10 et 96 ci-dessus cités, c’est que cette institution est complice du crime de génocide en cours. En outre, la Francophonie travaille également pour que le Congo se désengage du Tribunal Pénal International de la Haye.
En France un président sorti des urnes il y a à peine cinq années (5), a été contesté par ses proches, ses propres ministres, son propre parti politique, jusqu’à être, presque contraint de démissionner, de se renier en ce 1er décembre 2016.
Quelle leçon les Congolais peuvent-ils attendre de la Francophonie qui leur demande d’aller dialoguer avec un bourreau qui pendant cinquante années s’est spécialisé dans les crimes de masse, le coup d’état, la corruption, le terrorisme international (Avion UTA dans le désert du Ténéré en 1989), le détournement des deniers publics (biens mal acquis) etc., dans une période qui est la plus sombre de notre pays, avec un génocide qui se poursuit, et pour lequel cette Francophonie ne s’est jamais prononcée.
De 1998 à 2002, dans la 1ère phase de ce génocide, le gouvernement français dirigé par le président Jacques Chirac avait tenu une attitude similaire à celle du gouvernement actuel. Tous les médias français étaient orientés vers la guerre du Kosovo dans les Balkans, se détournant sciemment des six mois (Déc. 1998 à juin 1999) de siège et de ratissage des quartiers Bacongo et Makélékélé. Et pour cause, c’est l’ambassade de France qui supervisait le ramassage des cadavres dans ces deux quartiers très peuplés de Brazzaville, dans lesquels toute forme de vie avait disparue pendant ces six mois.
De nos jours, les médias sont orientés à Alep, en Syrie, en Irak, et il n’y a rien à voir au Congo-Brazzaville.
Mais le cynisme de la Francophonie va plus loin encore.
La résolution condamne les massacres dans l’Est de la RDC alors que la situation est pire au Congo-Brazza voisin puisqu’elle est méthodiquement organisée par celui qui s’est autoproclamé « président » de ce pays, le dictateur Denis Sassou Nguesso.
La résolution de la Francophonie exhorte les autorités de la RDC à respecter la constitution, alors qu’au Congo-Brazzaville, elle avalise un brûlot constitutionnel qui fait du crime de sang, de l’impunité internationale, du déni des droits humains, une loi.
Oui c’est vrai, nous sommes passés en l’espace de trois sommets, depuis celui de 2012, à Kinshasa, de 2014 à Dakar, de la Francophonie à la « Francofolie »…
« Les démocrates africains ont désormais compris que : « Les Congolais ne trouveront jamais dans l’espace francophone le soutien nécessaire pour faire prévaloir la justice, le droit, et la démocratie dans leur pays », pour prendre l’antithèse du discours dakarois du président français. » (Emo N’Tsiabaro, « Crimes de masse et décivilisation dans le Pool. Pourquoi l’indifférence ? », Lettre du Pool, n° 2-3 du 1er octobre 2016, Paari, Paris 2016, p.3).
Comptons sur nos propres forces, compatriotes congolais. Unissons nos efforts et intensifions la désobéissance civile à l’intérieur du pays, pour la libération nationale, car un autre Congo est possible.
Paris le 03/12/2016
Mawawa Mâwa-Kiese
Alliance Congolaise pour la Renaissance Africaine (ACRA) [[email protected]]
Pour comprendre quels sont les rédacteurs qui ont influencé le contenu de la résolution de l’OIF à Dakar, il suffit d’observer les rendez-vous que ces deux chefs d’état ont eu avant et après ce sommet :
http://www.lesoleil.sn/2016-03-22-23-17-43/item/58499-en-route-pour-la-havane-le-president-sassou-nguesso-recu-par-le-chef-de-l-etat.html
La France et sa langue, la francophonie, le cfa, les francafricains diplomes en France et n’ayant connu que la France et sa politique, la francmaconnerie, les dictateurs-prefets ou prefets elus, le CAMES corrompu par les dictateurs prefets de la francafrique… sont les differentes parties d’un meme object: la LAISSE par laquelle la France tient comme des chiens ces noirs africains depuis la periode esclavagiste jusqu’aujourd’hui. L’homme noir execute la volonte de son maitre comme tout bon chien. Sous les ordres de ses maitres, l’africain peut tuer meme sa propre famille pour esperer la reconnaissance du maitre. Cette reconnaissance du maitre est utilisee dans la societe inhumaine africaine comme etant une valeur selective qui permet de se prendre pour le plus fort, donc au dessus de tous. En francafrique, le degre eleve de mediocrite et de cruaute d’un individu constitut un passport vers des spheres eleves aboutissant au titre de dictateur-president-prefet.
Il faut donc quitter la francophonie, abandonner le francais comme l’a fait le Rwanda, abandonner le fcfa et trouver un meilleur moyen pour former les cadres de demain capable de s’affranchir de cette laisse esclavagiste de la France. N’oublions pas que 99% des francafricains ont ete eduques dans les ecoles francaises et les resultats de leurs oeuvres en francafrique sont desastreux. Ces diplomes issus de France constituent une des menaces serieuses et un frein a la liberation de l’homme noir.
Mon cher frère Mawawa
Au 1er plan, je salue votre texte auquel j’apporte mon soutien. A chaque fois qu’un enfant innocent , une femme, un homme du Pool en particuleir et du Congo en général, tombe sous les balles de la barbarie humaine, nous versons tous des larmes. Toutes des victimes innocentes de la bêtise humaine.
Mais avec un peu de recul, vous me surprenez. Je m’explique.
Avec l’efficacité de votre plume, j’ose croire que vous un congolais né avant 1991. Donc vous savez l’existence de l’histoire récente du Congo Brazaaville, surtout celle des années 1990-2015.
En 1990, (comme en 1963) les syndicalistes congolais se levèrent pour s’opposer à la politique menée dans le pays. En 1991, il eut une Conference Nationale Souveraine Nationale. La seconde en Afrique francophone apres celle du Benin de Mathieu Kerekou.
Et pendant cette grande messe de grandes gueules de Brazzaville, les congolais exprimèrent leurs émois et leur soif de libertés et de démocratie. Et dirent: PLUS JAMAIS CA.
En 1992, les 1ères racines de la democratie naissante virent jour avec l’élection libre et transparente de Monsieur Pascal Lissouba.
Juste à titre de rappel, et vous le savez bien frere Mawawa: dans aucune digne democratie du monde, aucun président, aucun député, aucun élu n’a jamais été élu à 100% de voix contre son opposant.
Lissouba ne fit pas exception à cette règle democratique.
Hélas, le même jour que les resultats etaient proclamés en fin Aout 1992, une partie des congolais rejetèrent son élection, avec à leur tête certains dirigeants que vous connaissez bien.
En lieu et place d’une digne bataille politique dans une democratie naissante, on vit alors prendre naissance a l’expression des haines les plus abjectes des congolais contre des congolais.
Le Journal de Brazzaville La Rue Meurt en fut le porte flambeau.
S’en suivirent cinq (5) années de travail de démolition de la jeune democrtaie chèrement acquise.
Dans ce travail de démolition et d’assassinat de la democratie au Congo Brazzaville, les enfants illustres du Pool et des autres regions du Congo prirent activement . Citons pêle-mêle: Bernard Kolelas, Sony Labou Tansi, Massengo Tiasse, Mbemba Martin, Ndalla Graille, Mvouba Isidore, Boukadia Modeste, Makaya Paulin, Bounkoulou Benjamin, Tchicaya Tchistere , Koumba Justin, Ibovi Francois, Nguimbi Francois (ambassadeur en France) , etc, etc, et peut-etre vous-meme Mawawa Kiesse inclus dans cette liste. Sans oublier, bien sur, « le seigneur de la mort des autres, le surnommé Matsanga Willy – qui se croyait inamovible, invincible et immortel ». A la tête de cette liste se trouvait alors l’actuel president du Congo. En logistique bien sur, Elf Aquitiane et Chirac manoeuvrant pour assurer les bons fonctionnements de tout.
Pendant ce travail d’assassinat de la democratie naissante, on n’entendit aucune voix digne des enfants du Pool pour denoncer l’ignonomie qui se passait au Congo. Meme l’ancien 1er ministre Andre Milongo se contenta de se taire, mais sans prendre part à l’assassinat.
Pour rappel, Sassou Nguesso, Kolelas Bernard, Elf et la France (pays mere de la Francophonie que vous denoncez aujourdhui) formèrent armèrent – en 1er – les milices Ninjas pour tuer les congolais et mener le travail de l’assassiant de la democratie à fond. Aucune voix digne de nom des enfants du Pool ne se leva pour dénoncer cela.
Aucune voix digne de nom au Congo ne se leva pour en appeler a la Francophine pour denoncer les dérives tant des gouvernants d’alors que des opposants alors en cours au Congo.
Le pauvre Federico Mayor fit alors un tour au Congo en 1996 pour prêcher dans le désert des coeurs endurcis par les haines et les intolerances.
En 1997, conscient que le pouvoir etait pratiquement inaccessible par les voix veritablement democratiques, la France, l’Angola, le Tchad, le Rwanda, le Gabon, etc, appuyèrent Sassou dans ses entreprises des crimes (qui commencèrent cette année-là à Owando : Mai 1997), jusqu’à l’assassiant final de la démocratie en Octobre 1997.
Nous y voilà.
Au sortir des années 1997-1998-1999, des enfants du Pool furent récompensés pour leur travail: Mvouba Isidore, Manoukou kouba, Mampouya Hellot, Silou, et autres. Le temps pour Kolelas de récolter sa moisson vena aussi. Et les enfants d’ailleurs continuent de récolter. Massengo Tiasse eut enfin les moyens de s’enrichir et de creer ses entreprises de communicatiomn (Le Forum). Mbemba Martin et le meme Massengo trouvèrent les honneurs et le pouvoir tant cherchés dans une organisation (dit-on des droits de l’hommes dont les tenants et aboutissants ne dépassent pas les frontieres de Brazzaville.) Bitsangou Frederique alias Ntoumi eut aussi sa part. Les malchenceux furent ou sont les Boukadia, les Makaya, les Tsourou, et autres comme aujourdhui Okombi.
Aujourdhui, un enfant de Bacongo et Makélekelé, j’ai nommé Moungalla Thierry est le porte-parole et éminence grise du gouvernement de Brazzaville.
Aujourdhui, avant de condamner (ou tout en condamnant) la Francophonie et la France (complice éternelle de ce qui se fait dans les génocides en Afrique: Rwanda, Congo 1997-2002, 2105 -present), nous devons demander à tous les enfants du Congo d’arrêter d’être complices des boureaux de leurs propres freres et soeurs, c.a.d les bourreaux de nos populations.
La cannadienne d’origine haitienne , Michaelle Jean, Francois Hollande, Valls, Fillon, Fabius, Taubira, les emissaires africains et autres, qui recoivent tous de l’argent des mains de Sassou (argent qui devrait servir a ameliorer les conditions de vie des congolais) pour l’encencer, ne se mettront pas a l’oeeuvre de condamner le reigime de Brazzaville tant que les plus grands complices des crimes contre les congolais sont d’abord et avant tout les congolais, de tous bords.
Et comme j’ai parlé du Benin quelque part dans ce texte, pendant que le Congo s’enfonce, le Benin lui avance cahi-cahan, sans les genocides et les barbaries tant dénoncées ci-et-là.
Fraternellement.
Cher Gabriel , certes la francophonie est une organisation mafieuse , mais la diaspora doit s’organisé pour casser les gueules des Mbochis et ces deux akouas très proche de sassou je cite ONDAYE JB et AYESSA le proxénète de sa propre fille Bellinda . Voilà le seul mérite D’AYESSA c’est vendre les services de sa fille à Sassou .
Tout ceci ne dédouane pas les Congolais de leur propre responsabilité et incapacité à se libérer du tyran.
Ou sont les Congolais « DEBOUT » !!!! comme on aime à le chanter fièrement lorsqu’on entonne l’hymne national qui fut, d’ailleurs, inspirée d’une chanson intitulée « Debout congolais »
Refrain
Congolais, debout
Fièrement, partout
Proclamons l’union
de notre nation.
Oublions ce qui nous divise,
Soyons plus unis que jamais.
Vivons pour notre devise :
Unité, Travail, Progrès.
Ingeta, Ingeta, Ingeta
Ces derniers jours , j’ai dû mal à avaler un morceau de semoule , au regard de ce qui s’est passé en GAMBIE;
Je me consolais du fait que nous étions dans le bateau dictatorial avec les gambiens , et là GROSSE surprise , ils nous abandonnent dans cette saleté , en devenant brutalement démocrates .
Je n’en peux plus de SASSOU ;
QUE DIEU m ‘accorde longue vie , car au rythme où SASSOU brutalise le pays , je risque de me suicider .
QUI A MAUDIT MON PAYS ,,,,????
ah mawawa !!!! bouzoba quoi benakou? katou vouatou zonza lou mpouto ko !!!! bouabou stonikicana mou lari!!!!mindelé mi na bi nvouka biahouka biahou taba yina!!!! kou rawanda ni boba bassa boubou mindele mi bouzitou ba yika bahana. phyisque yo you wa longoka longekela yo moulari. me mpe mikanda mio mi longoka na balula mio mou tilari. ti zou dia nzeza longoka !!! longoka ti nguerso ( anglais). kou songila nti ngue loupoutou loua zebi . loupoutou zou dia ba bizoba ba ngaya….ta mawawa ah mbe songuela ngue kou loukolo wa yenda . zebi mindele me ka ba tou zololoua ko. ZONAZA MOULARI TCHONEKA MOULARI TI ZOU DIA ZENZA ZONGA TI ZONZA TI GUEROZO TIKANI LONGA TI NGUEROZO. SOBA TA MAWAWA !!!!!!!!!!!!!!
ouba ouna foua messo !!!!
faut plus tot ECRIRE J ACCUSE LA FRANCOPHONIE ET NON INCRIMINE…………………
TSONICA KA MOU TILARI LU MPUTU CA DIENA ZOU DIA KOUKO.
@VAL DE NANTES
C’est nous les Congolais qui avions maudit notre pays,ne cherchons pas ailleurs.
Nos parents ont chassé le président YOULOU en le traitant de voleur,53 ans après on se retrouve devant un vrai voleur,un fou,un criminel sans pitié.A part nos claviers pour écrire et se lamenter,ils ne nous reste que nos yeux pour pleurer,incapable de nous révolter.
Au lieu de vous demander ce que la communauté internationale peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous faites pour chasser le voyou et sa clique qui squattent le pouvoir à Brazzaville. La communauté internationale est toujours le « grand machin » du Général De Gaulle. Bougeons-Nous, elle bougera, subissons et elle se taira !
Bravo MONSIEUR David Londi
UNITE dit : L’auteur de cet article aurait mieux fait d’avoir ce coup de gueule en dénonçant le silence de : Maître Mbemba Président de la Commission des droits de l’homme du Congo, Lenga Placide premier président de la cour suprême du Congo, Les ministres et parlementaires Nsilou Jean Claude, la famille Kolélas, Tchibambelella, Matondo Rosalie, Thierry Moungalla, Hellot Mampouya, Adélaïde Mouhani, Emilienne Raoul, Mr et Mme Lounana, Mvouba Isidore, Mme Milongo, Mr Bakabadio, Les généraux Kakou Aaron et Conta ect.
Ce coup de gueule à leur encontre serait une preuve de courage et patriotisme, parce qu’il ne revient pas à la communauté internationale de se battre à notre place pour arrêter le sanguinaire Sassou, alors quelle sait pertinemment qu’il bénéficie de la complicité des politiques du pool pour commettre ses crimes.
En outre les résolutions de la francophonie ou de la communauté internationale ne sont exécutées que par une population qui ne résiste pas. Nous avons les exemples du Sénégal, du Bénin et du Burkina Faso, où les populations ont rejeté toutes les résolutions de l’UA et de la francophonie qui voulaient leur imposer des personnes qu’elles ne voulaient pas voir à la tête de leur pays, ou pour lesquelles on torpillait le jugement.
Ce coup de gueule laisse supposer que son auteur n’a pas compris que l’indépendance et la liberté, ne sont pas des dons de la communauté internationale. C’est notre résistance face à l’oppression qui leur fera comprendre que nous sommes mûrs dans notre volonté de vouloir y arriver.
DEMAIN LE CONGO RDC , sera démocrate sous la pression américaine , donc pas de KABILA et NOUS , nous aura toujours du SASSOU .
C’est INVIVABLE …
Personnellement , j’accuse le coup .J ‘ai l’impression que ,nous tournons en rond .VOIR CE CONNARD se balader de pays en pays , sans craindre pour son pouvoir , c’est vraiment hallucinant .
INCROYABLE ,PIED DE NEZ , AUX CONGOLAIS .
LIRE…… NOUS AURONS TOUJUORS
Devinettes:
Pourquoi Sassou qui adore les honneurs et souhaite retrouver une respectabilité internationale n’a pas fait le voyage d’Antananarivo du 26 au 27 novembre 2016 ?
Pourquoi Macky Sall en partance pour Antananarivo s’est-il brusquement arrêté à Brazza ? Que se sont-ils dit, lui et Sassou ?
Pourquoi Sassou, après son absence remarquée à Antananarivo s’est-il envolé 5 jours après pour Cuba ?
Pourquoi Sassou annonce-t-il un séjour de deux semaines à Cuba, alors que le pays est en crise économique et politique profonde, alors que la grogne de l’armée se fait de plus en plus bruyante ?
BRAVO à UNITE pour avoir cité le un-dixième (10%) des noms de tous ces enfants du Pool qui accompagnent Sassou depuis 1992 et qui sont donc tous complices des crimes commis contre le Pool et contre le Congo.
Ajoutez à cette liste les noms des dignitaires de l »eglise catholique comme Anatole Milandou, ceux des journalistes du Pool comme Joseph Mbanza de La Semaine Africaine, et de tous les operateurs economiques qui croient que leurs affaires au Congo ne marchent que quand Sassou fait tourner l’argent de la corruption.
Mawawa Kiese n’a qu’à se gaver de son foufou de semoule en France. Et laisser la Francophonie tranquille tant il sait combien ce machin a déjà régler les affaires politiques d’un pays.
PENSEZ QU’aucun militaire digne de ce nom , ne peut lui rentrer dedans , c’est pathétique pour les congolais ….
LE TEMPS COMMENCE à nous ronger la moelle épinière , car nous ne savons plus à quel militaire kamikaze se vouer .
OH , que c’est terrible de se voir imposer de vivre avec un multicriminel. C’est comme cohabiter dans le même lit , avec le violeur de sa dulcinée .C ‘est terrible ;;;;;;; la sangsue s’est encastrée dans le corps de ces pauvres congolais en mal des solutions libératrices .
Pendant , combien de temps , notre ordinateur doit nous servir de mur des lamentations DIGITALES ?????.
OUI , nous devons nous libérer sans aide extérieure mais à cette allure pachydermique ,SASSOU va se MUGABENISER c’est à dire il y aura tranquillement ses 90 ans et mourir de sa belle vieillesse .
SASSOU , adapte malicieusement , sa vie politique , au gré des changements politiques européens et américains .
Il vient de cadeauter FINANCIEREMENT les centrafricains , à la clé , des félicitations DE LA PETITE ESCLAVE HAITIENNE ;Michel jean ….
Tant que , les occidentaux le condamnent en sirotant du champagne , sur les malheurs des congolais passifs , SASSOU a encore bon dos .
ATTENTION LES années passent vite .
Il cherche aussi surtout a rencontré Lula et Dilma pour ces soucis de mafia avec le bresil à travers Asprebras, et Andrade gutierrez ces sociétés ecrans de blanchiment d’argent volés aux congolais.
,
@
CONGO
DES MILLIONS DÉTOURNÉS PAR LA FAMILLE DU PRÉSIDENT BLANCHIS À MONTRÉAL
Le « clan familial mafieux » qui contrôle le gouvernement de la République du Congo (communément appelée Congo-Brazzaville) a blanchi à Montréal une partie des centaines de millions volés à ce pays où 70 % de la population survit avec moins de 1 $ par jour, confirme une vaste enquête des services d’immigration canadiens obtenue par La Presse. Retour sur l’affaire en six temps.
VINCENT LAROUCHE
LA PRESSE
INTERDICTION DE TERRITOIRE
La Cour fédérale du Canada a validé la semaine dernière les conclusions de l’enquête, qui détermine que Wilfrid Nguesso, fils adoptif du président congolais Denis Sassou-Nguesso, est interdit d’entrée au Canada parce qu’il existe des motifs raisonnables de croire qu’il appartient à une organisation criminelle. Depuis 10 ans, Wilfrid Nguesso tente d’obtenir le statut de résident permanent canadien. Sa femme et certains de ses six enfants résident à Montréal, où il est souvent venu en visite. En 2013, il avait essuyé un premier refus, mais il avait réussi à faire casser la décision l’an dernier, sous prétexte que les fonctionnaires avaient été injustes en n’identifiant pas précisément l’organisation criminelle dont il serait membre et les articles du Code criminel canadien qui correspondraient aux infractions dont il est soupçonné à l’étranger.
DICTATURE
Après ce premier revers, les fonctionnaires canadiens ont mis le paquet. Une preuve abondante a été déposée pour démontrer que M. Nguesso appartenait à ce que les avocats du ministère de la Justice ont décrit comme « un petit clan familial mafieux » qui exerce une « dictature » et détourne les fonds du pays pour son bénéfice personnel. Le président Sassou-Nguesso, homme fort qui a dirigé le pays sous un régime de parti unique de 1979 à 1992, est revenu au pouvoir par la force au terme d’une guerre civile en 1997. Il a depuis remporté toutes les élections dans la controverse. L’organisation criminelle identifiée par les fonctionnaires canadiens comprend Wilfrid Nguesso, son père adoptif, ainsi que plusieurs associés qui les aident dans la gestion de leurs finances, notamment Stéphane Saintonge, un consultant en fiscalité québécois qui avait été condamné pour fraude fiscale en 2012.
FRAUDE ET BLANCHIMENT
Les crimes en droit canadien qui correspondraient aux actions posées à l’étranger par Wilfrid Nguesso et son clan sont aussi clairement nommés cette fois : fraude, fraude fiscale et recyclage des produits de la criminalité. Les crimes seraient liés à Socotram, l’entreprise dont il est PDG. Le Congo-Brazzaville a délégué à l’entreprise la charge de percevoir des droits de trafic maritime de plusieurs millions par année sur les chargements de pétrole qui quittent le pays. En retour, l’entreprise devait bâtir une flotte maritime nationale, ce qui n’a jamais été accompli. En fait, selon l’enquête, il existe des motifs raisonnables de croire que Socotram « n’existe que pour fournir [à Nguesso] une source très importante de revenus, au détriment de l’État ». À titre de PDG, Wilfrid Nguesso jouit d’un salaire annuel de 3,5 millions de dollars, de véhicules de luxe dans plusieurs pays, de la prise en charge des frais d’éducation de ses enfants, d’une possibilité de se transférer des fonds pour ses dépenses personnelles et de plusieurs logements de fonction.
INVESTISSEMENTS À MONTRÉAL
Une partie de la fortune détournée au profit de Wilfrid Nguesso a été recyclée à Montréal, toujours selon l’enquête. En 2007, la famille a acquis sans hypothèque une maison à Mont-Royal au coût de 840 000 $. La résidence a été rénovée au coût déclaré de 220 000 $ en 2011, selon les registres municipaux. Plusieurs des enfants de M. Nguesso ont été scolarisés dans une école privée française de Montréal. M. Nguesso et sa conjointe ont ouvert plusieurs comptes bancaires canadiens où au moins 1,2 million a été transféré à partir d’Europe. Ils ont aussi acquis ici une Mercedes GLK, un Chrysler Voyageur ainsi qu’un autre véhicule.
DES APPUIS
Wilfrid Nguesso jouissait d’appuis au Québec pour sa demande de résidence permanente. Édouard Préfontaine, président de la firme de consultants Stratem, a signé une lettre pour appuyer la demande de celui qu’il appelait son « collaborateur » pour les projets en Afrique centrale. Il le disait « très bien adapté au pays ». Joint hier, M. Préfontaine a précisé avoir travaillé à un seul projet de cimenterie avec M. Nguesso, projet qui n’a pas abouti. Il dit ne pas avoir eu de ses nouvelles depuis sept ou huit ans. « Ce n’est pas parce que quelqu’un est dans le cercle du président qu’on ne peut pas faire affaire avec lui », observe-t-il. Une avocate de Laval, Valérie Jolicoeur, avait aussi signé des documents à l’appui de M. Nguesso, certifiant qu’il avait bien payé ses impôts au Congo. Mais la juge de la Cour fédérale est restée perplexe devant sa démarche. « Elle n’explique pas comment, pratiquant à Laval au Québec, elle peut avoir une connaissance personnelle des faits allégués, ou en quoi les documents en question seraient confidentiels. Au mieux, il s’agit là d’une preuve par ouï-dire ; au pire, d’une déclaration complaisante », a observé la juge Jocelyne Gagné. Valérie Jolicoeur a été radiée du Barreau depuis pour non-paiement de sa cotisation. Elle n’a pas rappelé La Presse hier.
« VISION BIAISÉE DU CONGO »
L’avocate de Wilfrid Nguesso, Me Johanne Doyon, a tenté de faire valoir que l’enquête était basée sur une « vision biaisée et entachée de préjugés du Congo ». Elle a aussi expliqué que Socotram pouvait accorder les conditions de travail de son choix à son PDG. Mais la juge n’a pas retenu ces arguments. « Il ne s’agit pas, comme le prétend le demandeur, d’ingérence dans les affaires de la Socotram ou encore dans celles de l’État du Congo, mais bien de déterminer si le demandeur est inadmissible au Canada pour des gestes que la société canadienne ne tolère pas et qu’elle qualifie de criminels », écrit-elle. Me Doyon n’a pas rappelé La Presse. Elle dispose d’un mois pour porter la décision de la cour en appel.
Info ou intox? Et si la perquisition au domicile de la 2è épouse d’Okombi Salissa n’est que machin de plus, machination bien orchestrée contre l’esprit si incrédule des internautes de congo liberty?
Qui a dit que cet opposant est parti du Congo, incognito?
Quia dit que la corruption n’est pas dans cette évasion?
qui a dit que le clan ne sait pas où est cet opposant?
@Bissa Bo dit :
03/12/2016 à 21:00 []
Francophonie et la France (complice éternelle de ce qui se fait dans les génocides en Afrique: Rwanda, Congo 1997-2002, 2105 -present), nous devons demander à tous les enfants du Congo d’arrêter d’être complices des boureaux de leurs propres freres et soeurs, c.a.d les bourreaux de nos populations.]]
Réaction:
Lissouba qui voulu changer a été chassé.
Il faut bien lire pour faire la politique. J’ai du respect pour vous.
Il faut fermer ambassade de France pour être Congolais(e). Le Congo de Mr Sassou Ngesso est UN TERRITOIRE FRANÇAIS. Et Mr RPP vous l’a expliqué, et vous semblez ne pas comprendre.
Le monde existe. Nous sommes né dans ce contexte qui est vrai.
NOUS SOMMES EN DROIT DE DEMANDER POUR CHAQUE, UN RMI(Français).
Oui, nous sommes des français de sous zone.
C’est pourquoi il faut demander indépendance. Si vous docteur/ingénieur vous ne comprenez pas àplus forte raison le Congo du village?
Il faut faire parti de l’équipe qui déposera les « positions » à Bruxelles.
[[..
Et comme j’ai parlé du Benin quelque part dans ce texte, pendant que le Congo s’enfonce, le Benin lui avance cahi-cahan, sans les genocides et les barbaries tant dénoncées ci-et-là.]]
Réaction:
C’est normal vu la politique de la France. La France pille le Congo-Gabon-Ci… pour redistribuer aux pays sans « or » et qui sont par la suite publicités.
L’indépendance est L’UNIQUE SOLUTION POUR l’Afrique.
Si la France ne le comprend pas, c’est l’Afrique qu’elle va perdre.
Une mission sera envoyée à Bruxelles le 16-12-2016.
Bon courage pour l’État du Sud Congo.
Le 11 Janvier 2017,ouverture au tribunal correctionnel de Paris de l’audience sur les biens mal acquis de Sassou Nguesso Denis,fils et neveux.
Tous ceux qui peuvent avoir d’autres documents sur les biens mal acquis de Sassou et famille surtout en Europe et en France,peuvent les transmettres à l’association survie
Survie France (siège national)
47 avenue Pasteur 93100 Montrueil
Tél. 01 44 61 03 25
[email protected]
@ Val de Nantes
Que te dire de plus. Il ne se passe pas un jour que je maudisse mon appartenance au Congo. Je n’arrive pas à comprendre que des militaires ne puissent pas protéger leur pays contre un criminel notoire qui s’octroie le droit de vie et de mort sur une partie de la population du pays. Je suis tellement hors de moi que j’en viens à souhaiter leur mort par pendaison ou tout autre moyen. J’en viens à échafauder des plans pour leur disparition du paysage politique congolais.
Je n’en peux plus de cette chienlit. Cette situation est entrain de me consumer de l’intérieur. On n’a même pas des relais militaires pour apporter un coup fatal à ce régime. Kiadi Mingui !!
@ Pasteur D. MIZELE dit :
04/12/2016 à 16:48
[Lissouba qui voulu changer a été chassé.]
Non Pasteur D. Mizelé. Beaucoup ont cru dans Lissouba. Résultat, on n’a rien vu venir. On a assisté à des situations ubuesques et indignes d’une personne en qui les congolais ont mis de l’espoir. Je vais vous raconter une situation honteuse.
Après plusieurs mois sans pensions, les retraités se sont rendus au Trésor afin de réclamer leur dû. Savez-vous comment ils ont été accueilli au Trésor? Ils ont été tabassés. Et les images passaient sur télé Congo. Si vous pensez que tabasser des vieillards qui réclament leur pension, c’est du changement alors j’ai une autre son de cloche sur ce que j’entends par changement. Vous allez peut être me parler, entre autre, du CPP, je vous le concède. Mais, ça ne suffit pas.
Ce qui me gène chez nous les congolais, c’est que notre indignation se limite à notre appartenance ethnique. Notre indignation est subjective. Comme certains ont su le dire, on bombarde le Pool depuis plusieurs mois, nous passons notre temps à condamner un criminel notoire comme Sassou. Sassou, ce n’est plus à démontrer, il a le crime chevillé au corps. Cependant, que font les autres (Mampouya Hello, Moungani, Mvouba …) ? Ont-ils exprimé le moindre remord ou contestation ? On critique Parfait Kokélas, ces soutiens apportent la contradiction sans avoir le recul nécessaire, ils soutiennent et avalisent tout ce que ce dernier dit. M. Bedel Baouna critique et donne son point de vue sur Okombi salissa, on le traite de tous les noms au lieu d’avoir le recul nécessaire et d’apporter un soutien nuancé. Voila comment les congolais pensent construire une Nation sur leur posture ethnique. Ainsi va le Congo.
@MON FRERE RIVELINO tu ne peux imaginer à quel point , j’en ai marre de ce connard .Le simple fait de le voir , m’horripile .
J’ai décidé de vendre ma maison , en partance en ALLEMAGNE , mais je me suis engagé à mettre 20 mille euros à la disposition des résistants internes .
IL RESTE à savoir le créneau , par lequel , je ferais transiter cette somme .;
Ma maison à NANTES sera vendue , sous peu , car j ‘ai décidé de quitter la FRANCE en juillet 2017 .
Bravo, Val de Nantes !
@Bissa bo,
j’adhère entièrement à ce raisonnement qui éclaire le côté obscur et corrompu des acteurs politiques congolais. Merci, surtout pour la conclusion !
Encore une publication qui corrobore cet article comme quoi, même l’Assemblée Nationale Française encourage le génocide dans le Pool.
http://www.adiac-congo.com/content/congo-france-michel-terrot-salue-lengagement-du-congo-dans-la-stabilisation-de-lafrique
Une délégation des députés français conduite par Michel Terrot, président du groupe d’amitié France-Congo, a été reçue par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso.
Les députés français et le chef de la diplomatie congolaise ont eu un large échange de vue sur la situation dans les deux pays. Ils ont notamment passé en revue la situation du Congo après la réforme institutionnelle et l’élection présidentielle. Pour ce qui est de la France, Jean-Claude Gakosso et Michel Terrot ont, entre autres, fait le tour d’horizon des changements politiques qui y sont intervenus ces derniers temps.
Nous avons parlé des « changements qui, pour certains d’entre eux, n’étaient pas a priori annoncés d’avance avec notamment des primaires du parti les Républicains remportés par François Fillon ; de l’annonce de François Hollande du fait qu’il ne se représentera pas aux élections présidentielles, et de la démission de Manuel Valls », a précisé Michel Terrot à la presse. « Vous remarquez que le paysage politique français, en l’espace de quelques semaines a été évidemment bouleversé », a-t-il relevé.
Les députés français ont, en outre, apprécié les efforts entrepris par Brazzaville pour la stabilisation de l’Afrique centrale. « Nous avons parlé du rôle éminent que joue le Congo dans la sous-région. La France est évidemment très sensible à l’engagement de la République du Congo au sein de la Minusca, avec une participation forte », a déclaré le chef de la délégation française. « Nous avons tenu à souligner l’engagement personnel du président Denis Sassou N’Guesso dans le secteur des Grands Lacs avec des inquiétudes qui peuvent résulter de la situation politique en République démocratique du Congo », a noté Michel Terrot.
Abordé sur ce que la France pense de la réforme institutionnelle au Congo, le chef de la délégation française a dit que Paris « a pris acte » de ce qui s’est passé en rapport avec cette réforme. « Aujourd’hui tout cela est derrière, il faut regarder l’avenir, et la réforme institutionnelle est une question de politique intérieure. En vertu de quel principe la France peut s’opposer au choix qui relève de la souveraineté pleinement entière du peuple congolais », s’est-il interrogé.
Nestor N’Gampoula
thank you unite you have just what is the reality .pool children are killing there parents with their silence. pool children had always help those who had always wanted to destroy the pool and its people.but now it is time the truh about those so called learders from the pool who work with our dictator