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JEREMY LISSOUBA , LE NOUVEL ES-« PION » DE SASSOU-NGUESSO A L’UPADS ET DANS LE NIARI
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Il m’étonnerait qu’il ait 35 ans, au-delà du fait que sa manipulation par des forces noires ne souffre d’aucun doute, la famille régnante voulant ainsi, par l’initiation d’une série de ‘fils de…’, assurer une autre soupape de sûreté à la stratégie de la dynastie! Il serait tout de même très regrettable que le parti qui a offert au Congo le premier président de la République démocratiquement élu à la suite d’une élection transparente et disputée, tombe dans les errements des autres partis délinquants, et surtout du fait du fils de son créateur! Qui réussira à lui faire comprendre qu’il est diaboliquement instrumentalisé !!
NOUS NE VOULONS PAS DE DYNASTIE POLITIQUE AU CONGO BRAZZAVILLE
Au lieu de passer votre temps à vous offusquer et à vous énerver, réfléchissez un peu. Malgré les violences politiques qui ont jalonné notre pays et dont certains ont dit que Sassou était responsable (car je fais remarquer que pour qu’il y est de la violence, il faut être deux et c’est le plus fort qui l’emporte). Celui-ci a toujours su, habilement, alors qu’il n’a pas fait de grandes études comme certains intellectuels congolais qui se vantent alors qu’ils ne sont rien, montrer aux populations qu’il était pour la paix car il est capable en politique de prendre les enfants de ses adversaires.
Sortez un peu de votre empathie et votre colère, et réfléchissez à froid. Le fils Ganao, le fils Tchikaya, et aujourd’hui Lissouba sont politiciens grâce à Sassou, c’est une bonne chose parce qu’ils sont jeunes et vous savez que moi, Lucien Pambou, bientôt dans la soixantaine, je me contente de la vie politique et je souhaite que mes petits frères ou mes enfants accèdent au pouvoir pour le renouveau de la politique.
Si je dois apporter une contribution à mon pays, c’est en tant qu’expert intellectuel et non en tant que militant politique pour le pouvoir au Congo.
Je fais de la politique en France et modestement j’ai été élu conseiller municipal de ma ville de 2008 à 2014 sous le label UMP. Si j’avais été un traître, j’aurais pu concourir sous le label de Macron pour les législatives, comme on me l’avait demandé.
Ne blâmez pas Jérémy Lissouba, essayez de comprendre son attitude et de l’expliquer rationnellement, comme pour le fils de Ganao.
Le réseau joue un rôle important. Même si vous estimez que ce n’est pas le cas, vous vous trompez car les faits politiques au Congo vous apportent la preuve de la puissance d’un outil analytique que représente le réseau.
MAITRE HAMIDOU , que je connais très bien , depuis OUENZE , dit avoir reçu , dans l’avion qui ramenait les combattants corrompus au pays , une somme de 1500 euros , à chacun des membres qui en faisait partie ;;;; .
1500 euros ;;;;;J ‘INSISTE mes chers amis ;;;;;;;;;;;;;;;;.;
Lorsqu’on additionne , toutes ces sommes , affectées à l’intoxication des cerveaux infertiles , on pouvait arriver à financer des projets diasporiques à rendements économiques et sociaux , bénéfiques à la population congolaise ;;;.
La leçon que l’on doit tirer de cette interview ,c’est la mort morale de notre pays ;;;.
Maintenant , imaginez les sommes consacrées à la corruption internationale pour le soutien , tous azimuts à ce régime satanique , et vous avez un pays financièrement à genoux ;;;;;;;;;;;;;
@LUCIEN PAMBOU
Vous auriez pu encourager ce malfrat en préparation à entamer une formation technique ,pour créer des emplois à l’instar d’un MAMKOU VERONE ….
La politique n’est pas le lieu d’excellence , pour faire rêver les jeunes congolais .Car toute fortune acquise dans ce domaine , vos expose à la vindicte populaire ;;;;
Ce sont des réseaux , qui sont venus vers MAMKOU VERONE , pour une exploitation efficiente de son cerveau ;;;;.
Ce recrutement tous azimut des « bana ya » est pour moi un non évènement, c’est une grosse ficelle pour compromettre tout le monde dans la débâcle et la gestion chaotique du pays et ainsi justifier l’activisme des enfants et neveux nguesso autour des deniers publics (il n y a pas que les nguesso il y a aussi les enfants des autres leaders diront-ils)).
Ces agissements me font vraiment comprendre que nous avons imbéciles à la tête du pays, comment peuvent-ils s’imaginer que parce qu’ils ont embrigadé quelques « bana ya » ils peuvent gagner la confiance des congolais. Tout cela est dérisoire et idiot.
Tant pis pour ceux ce qui vont à la soupe et peut-être dégrade le capital sympathie dont pouvait bénéficier leurs ascendants, ils répondrons de la dérive du pouvoir comme les autres, le moment venu.
La politique par definition c’est l’art de gerer la cite.Au Congo depuis le 31 juillet 1968 les membres du Pct et les membres des autres partis satellites ont transforme la politique en tremplin pour se faire une place au soleil,ils l’ont transformee en repas de gala.Le president Massamba Debat a des enfants aucun fesait la politique a cote de lui,Mr Ngouabi a des enfants aucun ne fesait la politique a ses cotes,Mr Lissouba a des enfants aucun non plus ne fesait la politique a ses cote meme Houphouet Bouagny,valet de l’empire francais et pere du fameux mot francafrique a des enfants aucun ne fesait la politique a ses cotes.Alors chez Mr Sassou,tout le monde est dans la politique(un moyen de siphonner les deniers publics) ses femmes,ses enfants,petits enfants,soeurs,cousins etc.
Mr Pambou devrait demander a Mr Sassou dont il soutient de façon subtile ou sont passes plus 250 milles millards de petro cfa engranges ces dernieres deux decennies.Mr Sassou est bien le responsable des violences dans le pays,vouloir dire le contraire c’est aller en contre de ce que ses propres lieutenants dissent et ils sont tous unanimes sur ce point.
Incorrigible Lucien Pambou! Toujours égal à lui-même, dans le soutien de la bêtise et de petits intérêts, dans les raccourcis! L’essentiel étant que cela l’arrange, parce que cela lui fait du bien d’apparaître comme un proche des Sassou, donc quelqu’un qui appartient au groupe des dominants, et prend ainsi son plaisir par les frustrations que cela peut susciter auprès d’autres! Mine de rien, il est loin de se douter que, partant, il s’affiche lui-même comme appartenant à la catégorie qu’il se plaît à accabler, à complexer! Écoutez-le: » Malgré les violences politiques qui ont jalonné notre pays et dont certains ont dit que Sassou était responsable (car je fais remarquer que pour qu’il y est de la violence, il faut être deux et c’est le plus fort qui l’emporte). Celui-ci a toujours su, habilement, alors qu’il n’a pas fait de grandes études comme certains intellectuels congolais qui se vantent alors qu’ils ne sont rien, montrer aux populations qu’il était pour la paix car il est capable en politique de prendre les enfants de ses adversaires »
En clair, selon lui, Sassou peut bien initier des violences et des guerres (puisque même Raymond Césaire, l’ex-ambassadeur du Congo en France qui l’a soutenu en 1997 l’a reconnu dans son récit), mais il n’est pas ou plus responsable, parce que selon sa science et son raisonnement « pourqu’il y est violence, il faut être deux et c’est le plus fort qui l’emporte »! Le message que véhicule ainsi Lucien Pambou est que si vous voulez que Sassou soit responsable, il faut subir sa violence, ne jamais répliquer! Sacré analyste!
Il ne manque pas d’aggraver ou de confirmer la bêtise en faisant de Sassou un homme plus futé que « certains intellectuels qui se vantent alors qu’ils ne sont rien », parce que selon l’intelligence de L. Pambou, « il (Sassou) était pour la paix car il est capable en politique de prendre les enfants de ses adversaires »!
Autrement dit, selon son intelligence toujours, c’est pour la paix que Sassou a renversé l’ordre politique librement choisi par les Congolais au début des années 90, c’est pour la paix qu’il a mobilisé les armées les plus féroces de la sous-région d’Afrique centrale pour venir tuer dans son pays, c’est pour la paix qu’il a grossièrement et illégalement modifié sa propre Constitution, c’est pour la paix qu’il fait bombarder le Pool depuis une année! De surcroît, ce n’est pas pour conforter son pouvoir et celui programmé de son fiston, en lui cherchant une autre soupape de sûreté (les ignobles ‘fils de…’), qu’il coopte ces derniers, mais par philanthropie! Et, c’est un analyste qui pond ce genre d’inepties! Si vous tentez de le contredire, ou plutôt essayez de le ramener à la raison, vous êtes des militants ou ne valez rien du tout!
Comme dirait notre cher Jacques Chirac en son temps, il y en a qui loupent toujours l’occasion de se taire, et on ne sait pourquoi! Peut-être parce qu’ils sont trop intelligents!!! Et c’est avec ce bagage qu’ils osent inviter les gens à échanger avec eux, et qu’ils s’autoproclament donneurs de leçons! Certainement pour entraîner tout le monde dans le caniveau de la honte, de l’indignité et des vils intérêts…
Jeremy LISSOUBA ,Aurèle GANAO , Pascal THYSTERE Landry KOLELAS coptés ,il ne reste que les éternels porteurs de casseroles pour continuer à jouer les seconds roles. les fils des paysans repartiront aux champs, ceux des ministres seront ministres et il n’y aura jamais de MACRON au CONGO
EVIDENCE aussi qu’en 2022 OU 2030 lorsque tous les contestataires qui ont donné le score de 8% au dictateur, seront tués les congolais resteront toujours privés de démocratie car il y aura toujours de la tricherie. POURQUOI CEUX QUE L’on copte ne mesurent-ils pas leur audience auprès du peuple martyr? QU’adviendra-T IL SI lISSOUBA EST CANDIDAT ? Subira t-il le sort de PAKO? C’est encore des querelles en perspective. Des guerres.les fils mobiliseront-ils autant que leurs géniteurs?
Lucien PAMBOU devrait philosopher sur ce devenir de son pauvre pays.
Comment en 1997 personne n’avait pu entrevoir la situation conflictuelle que nous vivons ces 20 années.
D’avance, excusez moi d’utiliser ci-dessous un vocabulaire non familier à mes usages.
Je réagis suite aux commentaires postés par monsieur Pambou relatifs a cet article.
Je trouve monsieur Pambou PLUS que PITOYABLE.
Pambou traite « certains intellectuels congolais (qui se vantent)…qu’ils ne sont rien. » Il devrait lui-même se classer dans cette catégorie.
Lui qui se vante d’être « économiste », il nous donne chaque jour les preuves que lui aussi est vraiment un rien.
Il trouve par cet article, un canal pour faire des appels de pieds a monsieur Sassou pour sa propre personne nommée Pambou.
Au fait, tant qu’on y est, pourquoi Pambou, au lieu de justifier l’injustifiable (nommer les fils des Lissouba, Ganao, Kolelas, Tchycaya, Mberi, Mvouba, Okemba, …coome députés), au lieu de faire des appels indirects de pieds a Sassou, au lieu de féliciter (depuis Paris ou il habite) Sassou pour ses pratiques en faveur des enfants de ses adversaires, au lieu de défendre de façon feutrée les usages du pouvoir clanique dont Sassou est le maitre, …, au lieu de, …, pourquoi Pambou ne part-il pas directement à Brazzaville pour se faire nommer ministre de la propagande ou ministre de quoi sais-je.
Ce monsieur est vraiment PITOYABLE.
Il ne manquait à monsieur Pambou que d’étaler l’argument suivant: « ces enfants ont plus de mérite que tous les autres enfants congolais.Donc Sassou a raison de les nommer députés, ministres, sénateurs, DG, et … »
A PAMBOU
Pambou écrit » certains ont dit que Sassou était responsable (car je fais remarquer que pour qu’il y est de la violence, il faut être deux et c’est le plus fort qui l’emporte ». En d’autres termes Sassou n’est pas un sanguinaire. Pambou est pathétique, il entend absoudre les crimes massifs de sassou son mentor. Pitoyable et pathétique, le pambou lucien
Pambou, tu n’est pas YENGO Patrice ou Alain Mabanckou, a
a tous surtout a mpele dont la charge est la plus exquise
Comme d habitude vous foncez tete baissée pour me répondre
je ne suis pas un homme politique congolais comme certains d’entre vous peuvent en etre
je me contente de partir des faits et de la strategie utilisee par sassou en s appuyant sur les enfants de ces opposants pour asseoir sa suprematie au sein du réseau
loko balossa je suis fonctionnaire a l education nationale donc je n attends rien du congo ma vie professionnelle et intellectuelle se trouve ici je ne peux me comparer a mabanckou car je ne suis pas lui et ses centres d ‘intertes intellectuels ne sont pas les miens
vous aurez noté que j ai fait un papier sur congo libertty dans lequel je lui ai rendu hommage ce qui n avait l’heur de plaire a certains compatriotes
c est bien felix car sans t en apercevoir tu fais de l analyse réseautale continue et merci de venir grossir le groupe
Cocasse! Sacré Pambou !!!
@ Lucien Pambou,
Cette fois, je ne peux me retenir…
Cécité intellectuelle, invalidité intellectuelle congénitale,… simplement, mon sieur Pambou Lucien, je vous reconnais publiquement pitoyable; je vous tourne le dos et vous hausse mon derrière avec ma jupe de raphia levée… Vous êtes donc bannis à jamais de notre société et de son future… Tout le reste qui émane de vous ne sera que gesticulation… Simplement, sans intérêt. Point!
Aux congolais des à présent de savoir avec qui nous comptons bâtir ce Congo de demain…
Sans commentaires de plus…
Merci!
KOO’ NGOH
Le goût victimaire inextinguible de notre @LUCIEN PAMBOU , nous prive des vraies analyses objectives et intelligibles , dont il est capable ;;;;.
Dommage , qu’il se couvre le plus souvent , des oripeaux , des écarts de langage , qui ne reflètent pas son épaisseur intellectuelle ;;.
Le narcissisme ambiant dans lequel il se vautre va le perdre , bien qu’il ait socialement réussi , en France ;;;;
Le prefet-zident gère son pouvoir comme les rois des époques moyenâgeuses d’Europe, où les corruptions des esprits étaient le maître mots (maux) pour conserver le pouvoir. Favoriser un pouvoir dynastique et nommer une armée de gogillots au parlement, est typique de ce que l’on pouvait observer au 15° siecle en Europe. Un pur calcul politique qui ne sert aucunement l’intérêt supérieur de la république, si République, il y a. Ce qui témoigne de la barbarie et du caractère profondément rétrograde de ce pouvoir. La question est: qui sommes nous Congolais pour accepter ce genre d’infamie ? Perpétuer le pouvoir politique de génération en génération comme si l’aura d’un homme politique était héréditaire. Nous sommes pas nos pères, ni nos mères. On ne peut pas nous imposer les fils ou filles de, sous prétexte qu’ils sont les fils ou filles de. Au nom de quoi? De leur caractère divin? Même dans la constitution ignoble qui a été imposé le 20 Octobre 2015, vous ne trouverez un article justifiant le népotisme, car cela ne relève que fait du prince.
IL va de soi , que SASSOU est dépassé par les exigences du monde moderne .Sa posture de gouverneur d’une colonie ,est dictée par des flatteurs friands des deniers publics ;;;
Tel un robot ,téléguidé , il ne maitrise rien , si ce n’est , corrompre et tuer ;;;;;Ses fanatiques doivent implorer , DIEU pour qu’il soit immortel ;;;;;;
Kolelas, Moungala, Tsaty Mabiala, Jérémie Lissouba, tous des traitres Kongos.
A tous,
Cocasse, sacré Mpélé Félix, je te retourne le complément et je pense que tu me comprends très bien. Quant à Loko Balossa et les autres, mes chers frères, je suis peut-être de culture française, mais je ne fonctionne pas comme le Français de souche et comme un certain nombre nombre d’entre nous de culture française qui tracent une ligne rouge, soit tu avec moi, soit tu es contre moi. je préfère de loin la culture anglo-saxonne.
On peut critiquer quelqu’un, on peut être en désaccord avec quelqu’un et lui reconnaître des mérites. C »est ma démarche sur le plan intellectuel quand je parle de rationalité. Nous sommes trop émotifs et trop en pleurs. Voilà pourquoi les européens et les Chinois nous considèrent comme des naïfs incapables de se prendre en charge.
Suite de mon message plus haut ….
C’est la réalité, nous nous plaignons et nous tendons la main, même avec un sous-sol riche, parce que scientifiquement et techniquement nous sommes nazes, incapables de construire nos routes, nos ponts, de mettre en place une politique industrielle. Alors, nous nous battons dans le champ politique pour accéder aux ressources financières et privilèges que donnent le Trésor public.
Que l’on apporte ici et maintenant le contraire de ce que je dis, après les guerres civiles, les vaincus partent avec des sacs d’argent du Trésor public pour vivre un exil doré en attendant le retour. Les vainqueurs se repaissent sur la bête vivante, toujours du trésor, qui fait rentrer grâce aux taxes et diverses redevances. Je suis emmerdeur, car je décrits tous ces mic-macs et tic-tacs dans le réseau. Ne me prenez pas pour un naïf, car les Congolais malgré leurs dires et déclarations ne savent p)as ce que c’est l’Etat Nation qui reste à construire.
Le Congo,pays du soleil, de terre fertile, d’eau,des architectes,d’urbanistes et d’ingénieurs.
A tous ceux qui soutiennent Mr Sassou dans sa bêtise de façon subtile ou claire, il faudra lui dire d’être enfin util pour le Congo en regroupant toutes les ressources humaines Congolaises de l’linterieures et celles éparpillées dans le monde entier autour d’un projet sérieux.
Dites lui de sortir cette somme colossale de plus de 250 milles millards de petrocfa appartenant au peuple Congolais qu’il garde dans les paradis fiscaux, dans ses chambres et dans ses tombes familiales afin de bâtir le pays.Voila les choses que les fanatiques aveugles de cet indécrottable personnage devraient lui conseiller ou recommender au lieu de l’encourager dans le crime.
Aux économistes Congolais qui polluent cette page.A quand les theories Congolaises sur l’économie puisque celles élaborées par l’écossais Adam Smith ont montré leur limite.D’ailleurs,lui meme l’avait dit que l’économie basée sur le sang et la sueur des noirs n’avait pas d’avenir.J’attends que nos économistes sortis droit des écoles des colons arrêtent de mimer et nous élaborent les theories Congolaises sur l’économie qui seront une alternative au model actuel en faillite.Allez les gars.
A fils du pays, je te remercie de mettre l’accent sur l’économie, comme tu peuxle noter en réponse que j’ai fais sur Tatsy Mabiala
. Les Congolais n’aiment pas les débats économiques comme moyens d’accéder à l’enrichissement grâce au travail économique et à la planification. Les Congolais préfèrent l’économie à d’autres et s’occuper de politique. Les théories unverselles ont été par les grands penseurs de l ‘analyse économique smith ricardo petty hicks keynes et d’autres
il reste aux congolais de partir de ces analyses et de construire des modeles empiriques pour le congo qui s’appuient sur les faits capables d’orienter et de conseillerles politiques économiques
congolaises
les autorites congolaises sont elles capables de changer leur logiciel mentalo ideolique vis a vis du développement
ce n ‘est pas évident mais il ne faut pas désepérer
pambou
C’est indécent de commenter l’égarement d’un enfant sans éducation quand des milliers de Kongo sont assassinés et des dizaines de milliers souffrent de malnutrition.
Quant à toi Pambou, tu es un vrai étourdi teinté de cynisme et de schizophrénie. Qui est celui qui n’arrive pas à construire des ponts, routes et à mettre en place une politique industrielle? Ton “nous” n’a aucun sens quand on sait que ton Sassou est au pouvoir depuis juillet 1968. C’est lui l’incapable et non “nous”. Aie le courage de le dénoncer au lieu de tourner en rond. Où est passé ton courage d’intellectuel? Ah, j’oublie que l’écriture peut être aussi du mercenariat.
Tu dis: “ On peut critiquer quelqu’un, on peut être en désaccord avec quelqu’un et lui reconnaître des mérites. C »est ma démarche sur le plan intellectuel quand je parle de rationalité.” Si ce que tu écris est vrai, alors rationnellement disserte sur les mérites du règne de Sassou de 1968 à 2017. Les émotifs brûlent d’envie d’entendre sur le sujet.
J’ai le privilège de connaître quelques grands entrepreneurs que le congo a compté jusqu’au début des années 80. Ces messieurs ont commencé dans les affaires du temps des blancs. Je suis allé à l’école avec l’idée d’être un “Grand monsieur “ comme les Lissouba, Galiba, Mbouramoué, Makani,etc. J’ai rêvé de rentrer dans l’armée pour être comme le colonel Mountsaka, Ebadep, Ngouabi, Mitsantsa. Tous ces grands hommes étaient des exemples, des modèles pour nombre d’enfants de ma génération, car chacun dans leur domaine cultivait l’excellence. Ils sont devenus des anti-modèles quand ton Sassou a pris le pouvoir.
Aie la rationalité intellectuelle de reconnaître la datation du déclin économique, politique, intellectuel et social du Congo et qui en est le géniteur à savoir Sassou. Sassou qui se moquait de Ngouabi parce qu’il était reparti à l’université. Sais-tu au moins cette histoire de Sassou? En se moquant ainsi de Ngouabi, Sassou montrait son mépris pour l’excellence et son goût pour la médiocrité qu’il a fini par élever au rang de valeur cardinale: ebonga ebonga té, toujours meilleur. C’était l’ère de la médiocrité qui s’ouvrait pour toujours. Alors ton “Nous” n’a aucun sens.
Du temps de Youlou, l’état, pour encourager l’élevage bovin et porcin, distribuait des vaches, bœufs et porcins aux populations dans certaines régions dont le Pool, le Niari et la Bouenza. Idem pour les plants de café et cacao. Il en va de même pour l’arachide. Plusieurs familles ont pu envoyer leurs enfants à l’école grâce à ces activités économiques initiées par l’état. Sassou au pouvoir à tout détruit. Fermeture de l’OCV, OCC, des routes agricoles; interdiction aux congolais d’être des entrepreneurs,etc. Résultats: faillite du pays. Cette faillite a eu lieu pendant le règne de Sassou.
Du temps de Youlou et Massambat Débat, le Congo était en phase de progrès économique et social. Le réseau mis en place par ces deux présidents était au service du progrès économique, social et culturel du Congo. Saisis-tu la différence avec le lingomba ya ba ndoki mis en place par Sassou? Le réseau des autres a construit, celui de Sassou détruit! Et tu es mercenaire de service qui fait l’apologie de cette destruction en voulant faire assumer au “Nous” la responsabilité de la faillite du Congo alors que tous les faits pointent Sassou comme l’unique responsable.
Tu écris : “Alors, nous nous battons dans le champ politique pour accéder aux ressources financières et privilèges que donnent le Trésor public.”
Dis-nous qui sont ces “Nous” qui ont accès au trésor public? Ce trésor public est où ? Les nouveaux riches congolais, qui siphonnent le trésor public, défraient les chroniques des médias internationaux. Certains d’entre eux sont inculpés par les tribunaux de certains pays démocratiques où les droits des justiciables sont respectés. Parles-tu de ces individus quand tu dis “Nous” ou veux-tu embrouiller ton monde en associant les victimes aux crimes de leurs bourreaux?
Pambou, ta défense des amis de la famille ne passe pas. Et c’est vraiment déplorable de la part d’un fils de fraiseur-outilleur et d’une mère au foyer comme la plupart des familles congolaises. Tu oublies d’où tu viens. Tu n’as aucune notion de classe sociale. C’est ce qui explique ton soutien au plan de Sassou de reproduire la société congolaise à l’identique et aussi ton indifférence au martyr de ton propre sang et de ta propre chair que Sassou tue dans le Pool.
Voilà plusieurs semaines que je t’avais posé la question sur la volonté de Sassou de reproduire le Congo à l’identique. J’attends toujours ta réponse. Toi le fils de fraiseur-outilleur, trouves-tu normal que les fils de ceux qui ont détruit ce pays succèdent à leurs pays-fossoyeurs à la tête de l’état congolais? Trouves-tu normal que les emplois soient toujours réservés aux seuls enfants de ces fossoyeurs? Trouves-tu normal que ce soient toujours ces gens aient accès aux soins de santé et à une meilleure éducation?
La cooptation par Sassou du fils sans éducation de Lissouba et autres enfants de Tchicaya et Ganao tend vers le féodalisme du Congo avec ses castes de seigneur. j’avais déjà écrit sur le sujet. J’avais écrit sur le sujet parce que le gouvernement de Sassou m’avait placé devant un dilemme à savoir le maintien de ma bourse ou le financement de mes études d’expertise comptable au CNAM. Mais le choix qu’il m’imposait il ne l’avait pas imposé à une des filles du directeur de cabinet de Sassou à l’époque des faits ( ce directeur est déjà mort, suivait mon regard). Elle avait sa bourse et ses cours d’expertise comptable payés par l’état congolais. À moi, le gouvernement de Sassou demain de faire des études doctorales alors qu’avec un diplôme d’expert comptable le travail était assuré à la fin des études.
Voilà un exemple concret de la reproduction à l’identique d’une société. Cette fille en rentrant au pays avait plus de chances de trouver un emploi très bien payé que moi à qui ils demandaient de faire un doctorat. Donc, après leurs parents, ils prenaient la relève. C’est ce qui explique que Fatima Mboussa soit nommée PDG d’ECAIR, que Christel Sassou soit le D.G des ventes de la SNPC, etc. Pourtant, leurs parents sont nés sur des feuilles de bananiers dans des buissons ou forêts infestées des bêtes sauvages. Ils ont parcouru des dizaines de kilomètres à pieds pour aller à l’école; logés à l’internat parce que leurs parents n’avaient pas de maisons en ville où étaient situés les collèges et lycées. Bref, tout ceci est pour dire que leurs grands-parents n’étaient des Crésus qui roulaient sur l’or. Aussi, au nom de quoi ces gens ont plus le droit de diriger ce pays que les enfants des autres?
J’ai eu des camarades d’école qui sont retournés dans leurs villages malgré leurs diplômes faute de travail. Est-ce normal? Certains avaient abandonné leurs études à Brazzaville faute de parents pouvant les soutenir financièrement.
C’est ce modèle de société que soutient Lucien Pambou, lui l’enfant d’un cheminot fraiseur-outilleur. Tu es une honte. Pire tu es un égoïste. Tu es ce genre d’individu qui a réussi et qui ne veut pas voir d’autres personnes réussir. Et dire qu’il est un partisan du réseau. S’il l’était vraiment, alors il a dû lire ce que Saint-Simon a écrit sur le réseau et ce que le réseau est aux saint-simoniens. Pour résumer, pour Saint-Simon, ceux qui ont mieux réussi sur le plan économique, intellectuel, scientifique, artistique ont le devoir d’améliorer le BIEN-ÊTRE PHYSIQUE ET MORAL DU GRAND NOMBRE DES PAUVRES i.e. de ceux qui ont réussi. Pour atteindre cet objectif, Saint-Simon se fondait sur la structuration d’un réseau de ceux qui ont mieux réussi.
Le Congolais au quotidien, se projette vers l’avenir, objet dans notre pays d’une appréhension.
La conscience de Sassou vis-à-vis de l’avenir du Congo est celle de l’attente, pétrie de fraudes, de rapines à grande échelle et d’incompréhension.
Quiconque est un peu lucide ou de bonne foi, peut voir se succéder les images politiques les plus diverses de la gouvernance du putschiste Sassou. Des images qui ne corresponent à rien de raisonnable. Ses actions politiques vers un avenir démocratique et éthique sont un échec pour la population, sauf pour sa famille et flatteurs de tout acabit.
Les Congolais se projettent dans une absence, ils tendent nécessairement leur esprit vers des dangers possibles liés aux incertitudes sociale, économique et politique. D’où viendrait la moindre parcelle de sympathie pour quelqu’un qui suscite incertitude et danger ?
On croit faire de l’esprit, on fait le sot !
Pense t-on que le peuple souverain qui bute contre la tyrannie, la fraude et la kleptomanie de Sassou, trouve cet autocrate intelligent ? Depuis longtemps, il a perçoit Sassou comme un profond déséquilibre, une sorte de toxine dont les actions s’arc-boutent dans la vacuité.
Le Congolais perçoit l’ avenir avec Sassou et clan comme marqué par le non -être, un vacuum politique.
Courage à nos compatriotes injustement embastillés.
Lucien Pambou
Lis ce que le Point vient d’écrire sur un digne fils d’Afrique qui n’a jamais oublié d’où il vient, le feu Sir Ketumile Masire.
Tu comprendras que c’est l’envers de Sassou qui veut reproduire sa médiocrité à l’identique.
*********
Botswana : Quett Masire, un président discret pour inspirer l’Afrique
REVUE DE PRESSE. Sa gouvernance du Botswana est restée dans les annales. Quett Masire vient de s’éteindre et l’Afrique lui rend hommage.
PAR AGNÈS FAIVRE
Publié le 01/07/2017 à 14:51 | Le Point Afrique
Sir Ketumile Masire, dit Quett Masire, a été salué à travers toute l’Afrique.
C’est un titre accrocheur que choisit la revue britannique African Arguments pour célébrer la mémoire de l’ancien président du Botswana décédé le 23 juin à l’âge de 91 ans, et dont les funérailles ont eu lieu ce mercredi 28 juin : « Quett Masire, le grand leader africain dont vous n’avez jamais entendu parler. »
Moins célèbre que ses voisins et contemporains Nelson Mandela ou Robert Mugabe, moins populaire à travers le continent que les Nkrumah, Lumumba et autre Sankara, Ketumale Joni Masire, dit Quett Masire, deuxième président du Botswana (1980-1998), n’en demeure pas moins une source d’inspiration, bien au-delà des frontières de son pays. Et en premier lieu, une référence en matière de gouvernance. Il n’est pas rare de voir invoqué le « miracle botswanais » pour qualifier la prospérité de ce petit pays de près de 2,5 millions d’habitants bordé par l’Afrique du Sud, le Zimbabwe et la Namibie, et qui a su accumuler les performances. Croissance économique soutenue et durable (6,6 % de hausse du PIB entre 1980 et 2010), faible corruption (le Botswana est classé 35e sur 176 pays selon l’index de perception de la corruption de Transparency International), taux d’alphabétisation et espérance de vie bien plus élevés que la moyenne africaine, redistribution effective des richesses issues de l’exploitation du diamant, dont le Botswana est le premier producteur africain et le deuxième producteur mondial… Ce pays, pauvre à l’indépendance en 1966, est devenu le symbole d’une réussite, dont Quett Masire fut, assurément, l’un des artisans.
Une pluie d’hommages à travers l’Afrique
FARE THEE WELL OUR FATHER..until we meet again #RIPMasire pic.twitter.com/8Ih7RRzoBq
— Botswana Government (@BWGovernment) 29 juin 2017
« Homme de principe et d’engagement », qui a incarné « les valeurs de travail et d’intégrité », selon l’ancien dirigeant nigérian Olusogun Obasanjo, ou « excellent exemple à imiter dans le reste de l’Afrique », pour le chef de l’État kenyan Uhuru Kenyatta, Masire semble compter peu de contempteurs sur le continent. Le président zimbabwéen Robert Mugabe a encore salué le dirigeant « vertueux et humble », quand son homologue angolais José Eduardo dos Santos s’est, lui, dit « consterné » par sa disparition.
Mbeki: Masire’s leadership ‘made us proud to call ourselves Africans’https://t.co/5x2rymAmt7 pic.twitter.com/gjVbRsh0Cn
— News24 (@News24) 29 juin 2017
À l’heure du dernier hommage, le 28 juin, à Kanye, village natal de Masire, celui de Thabo Mbeki était particulièrement appuyé. Aux côtés de Robert Mugabe, du roi du Lesotho Letsie III et d’anciens chefs d’État d’Afrique australe, l’ex-président sud-africain a souligné la richesse de son héritage. Quett Masire fut, a-t-il rappelé, « l’un des principaux architectes de ce Botswana démocratique qui s’est extrait de la malédiction d’être l’un des pays les plus pauvres du monde », un bâtisseur « de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SACD) » et « un combattant de première ligne pour la libération totale du colonialisme et de la domination des minorités blanches en Afrique ».
La terre et la politique
Quett Masire se décrivait comme « un fermier attiré par la politique ». Né en 1925, il est gardien de troupeau durant son enfance. Après ses études secondaires, il devient enseignant, puis investit dans une ferme agricole, qu’il veut moderne. Cofondateur en 1961 du Botswana Democratic Party (BDP), il devient vice-président du pays lors de l’indépendance en 1966 et de l’accession au pouvoir de Seretse Khama. Les « barons du bétail » prenaient alors le pouvoir, explique The Daily News, en allusion à leurs origines paysannes. Le quotidien botswanais rappelle surtout l’importance de l’élevage et de l’agriculture dans l’économie du pays. Des secteurs que ces dirigeants postcoloniaux ont cherché à encadrer, à moderniser et à dynamiser. C’est sous la présidence de Masire, en 1991, qu’est adoptée la Politique nationale pour le développement de l’agriculture, « qui est encore aujourd’hui perçue comme pertinente », selon The Daily News. L’homme, ajoute le quotidien de Gaborone, avait « une passion pour l’agriculture ». « C’était un bourreau de travail, obsédé par l’agriculture et le production alimentaire », renchérit l’ancien président Festus Mogae, qui a travaillé une vingtaine d’années à ses côtés avant de diriger à son tour le Botswana en 1998.
Three reasons why Quett Masire should be remembered as one of Africa’s greatest post-colonial leaders https://t.co/gjMsUOkhH4
— Africa@LSE (@AfricaAtLSE) 29 juin 2017
@ Bakala TELEMA
SI je ne t’ai pas repondu cela a du m echapper par étouderie.je te prie de m ‘en excuser
je te réponds.je suis d’accord avec toi concernant l ‘ensemble de ta reflexion sur ton post
SASSOU ne peut reproduire a l’identique une sociéte d’inegalites.
je ne suis pas en contradiction avec toi et je ne suis pas d’accord avec la situation congolaise actuelle.je te remercie bakala car certains pensent qu ‘en analysant le congo sous forme de réseau me mettrait en accord total avec sassou.j ‘essaie de comprendre pourquoi c’est ainsi et pourquoi sassou est au pouvoir depuis fort longtemps.Essayer d’analyser de comprendre de dissequer des faits et de les reformuler ne signifie pas accord
comprennez le une fois pour toute et merci a toi bakala de m ‘avoir donné l ‘occasion de le dire
Rien n’est fait par Sassou sans volonté de se maintenir au pouvoir. Frauder, corrompre et asservir sont ses méthodes intelligentes. Un compatriote qui espère les félicitations du clan trouve ces pratiques géniales. Sa conscience est-elle intacte ?
Ayons toujours en tête qu’il s’agit d’un putschiste récidiviste qui s’accroche au pouvoir.
Il sait qu’en le perdant, il sera arrêté et sévèrement jugé. Aussi, il fait tout pour s’attacher les services de petits fretins et autres goujons des rivières afin de se régaler.
Sassou veut placer son fils !!! Telle est l’urgence du moment.
@ tous
Bakala MAYINDA EST MORT
qui ‘ las tué, SASSOU,, comme le disent certains opposants le réseau ces ennemis?
CONGO COMPLEXE CONGO COMPLIQUE CONGO INGOUVERNABLE CONGO DE NAZES ET DE NZOBAS COMME DISENT CERTAINS OUEST AFRICAINS DONT LES BENINOIS
PAMBOU
Je me pose toujours la question de savoir pourquoi vous vous accrochez toute fois sur le comment fonctionne le réseau Congo mr Pambou? pendant que d’autres réfléchissent sur le comment s’en sortir de la misère où nous sommes. Jadis brillant éditorialiste de partout mais devenu méconnaissable depuis votre éviction d’Africa-24 dont j’ai pas apprécié d’ailleurs la méthode, cette façon d’écarter ceux qui sont doués d’intelligence. Vos prises de positions provocatrices dérangent sincèrement, vous le savez d’ailleurs mais vous persister. Lorsqu’on vous critique, vous traitez les autres de nazes.
Il est temps de vous ressaisir, revoyez votre façon de faire si vous n’arrivez pas à convaincre, au cas contraire c’est mieux de vous taire pour éviter le ridicule. Moi je peux vous aider en vous apportant ce conseil: soyez entreprenant, créez votre chaîne ou un site où vous serez vous même acteur à l’exemples des Mingwa, Constant NEmalé…que je respecte bcp de ce qu’ils ont pu faire au lieu de traiter d’autres de paresseux alors que ce n’est pas toujours le cas. Vous vous sentez moindre en vous, alors que vous avez des atouts de vous engager dans les gros moyens, faites-le et vous vous sentirez ragaillardi au lieu de chercher à flatter le pouvoir de Sassou afin qu’il vous soutienne dans vos entreprises. Le vrai congolais meurtri par ce qui se passe dans son pays s’en tape de savoir comment fonctionne un réseau, apportez un plus à ça, du lourd et du costaud dans vos réflexions avec des exemples pratiques et les gens vous prendront au sérieux, sinon théorie théorie et théorie à la pambou que les français se moquent comme vous aimez trop dire.