Faisant le bilan du premier cycle de « la municipalisation accélérée » débutée à Pointe-Noire en 2004 et qui vient d’être clôturée ce 14 août 2016 dans la Bouenza, l’omnipotent responsable des Grands Travaux du régime illégitime de Brazzaville, M. Jean-Jacques Bouya vient de reconnaître l’échec cuisant de cette opération qui avait pour objectif de doter tous les départements du Congo-Brazzaville d’infrastructures de base. Celles-ci se résumant pour le pouvoir de Monsieur 8% à la construction d’un palais présidentiel dans chaque département, du bitumage d’un tronçon de 2 kilomètres pour le défilé de la fête d’indépendance célébrée le 15 août , aux seules fins de la gloire du tyran. Tout ceci en lieu et place des besoins fondamentaux et primaires que sont les structures éducatives et sanitaires dont le peuple a le plus besoin.
Jean Jacques Bouya a déploré que « les municipalisations accélérées tenues dans les année 2004 à Pointe-Noire et en 2005 dans la Likouala n’ont pas atteint leur objectif ». Selon lui, cela s’explique par le fait « ces années étaient les années du balbutiement de ce programme ».
En réalité, cet échec était annoncé, car « la municipalisation accélérée » non viable sur le plan économique était en réalité une opération de détournements massifs des deniers publics, dont tous les marchés publics étaient attribués à des opérateurs économiques de circonstance et membre du clan ou proche de la famille présidentielle. Pour preuve, sur les 450 milliards prévus pour la municipalisation accélérée de la Bouenza, Jean-Jacques Bouya a reconnu que seulement 90 milliards ont été utilisés …nous osons croire que le différentiel a été rétrocédé au Trésor public !
La Rédaction
Diffusé le 14 août 2016, par www.congo-liberty.org
Et quant est-il du fiasco de Ecuatorial Congo Airlines?
Oui, cher Mingwa, la municipalisation accélérée était un échec annoncé. Les Chinois disent : « Si tu veux aider un pauvre, ne lui donne pas du poisson, apprends-lui à pêcher. »
La municipalisation accélérée était aussi un cache-sexe sur le retard de l’urbanisation du Congo. Un ami rwandais qui était arrivé au Congo après le génocide m’avait avoué son étonnement de voir à quel niveau l’arrière-pays était sous-développé : routes inexistantes, logements insalubres et vétustes, pauvreté endémique. Son étonnement venait du fait que dans sa tête, le Congo, riche en matières premières, nanties de terres arables en abondance sur des surfaces planes (plaines et plateaux), d’une hydrographie généreuse etc. devrait être un vrai paradis. Il n’en revenait pas de constater que notre arrière-pays était si moyenâgeux.
La municipalisation accélérée est une double calamité. Les infrastructures installées (inachevées) pour la plupart génèrent très peu de plus-value et vont se dégrader très vite, faute d’entretien. En cette période de crise aigüe, la priorité ne sera pas l’entretien des routes. Ce qui en plus m’a étonné, c’est l’accent mis sur le bâtiment, les stades etc. alors que les populations demandaient la création d’usines. La municipalisation du Pool et de la Cuvette-Ouest avaient coûté plus de 600 milliards de cfa, chacune soit près de 2 milliard de dollars. Avec cette somme, on aurait pu créer des centaines de PME dynamiques, mais cela aurait eu l’inconvénient (aux yeux du pouvoir) de donner une autonomie financière aux régions qui risquaient de s’émanciper de l’esclavage de Brazzaville.
Le Congo est un Etat-Cigale en quasi-faillite qui veut diversifier son économie et surtout activer l’agriculture, éternelle priorité des priorités au moment où les caisses sont vides. Ceux qui ont mené le pays à cette banqueroute devraient être jugés pour « catastrophe économique organisée » et monsieur Bouya en premier devrait donner quelques explications au peuple congolais sur ces « balbutiements » à plusieurs milliards de dollars.
La municipalisation a ressemblé à l’arrivée d’un père de NOËL sans cadeaux .Les villageois ou encore le lumpen prolétariat n’ont que leurs yeux pour pleurer , car derrière , on compte les cadavres ( chantiers non aboutis , déchets alimentaires des fêtards ambulants etc ;;).
En un mot , cette tournée de popote sassouienne , est une opération annuelle d’enrichissement du clan camorique .
UNE FAMILLE D’ESCROCS
Des non-diplômés sans formation aucune pour prétendre gérer 40.000 milliards de FCFA dont ils auront pillés la plus grande partie. Tous les Nguesso devront rendre des comptes !
Quand on veut tricher sur son voisin de table banc,il faut être sûr que vous aviez bien vu sinon,çà ne sert à rien et c’est l’échec au bout.
La municipalisation accélérée, je ne sais même pas pourquoi elle est accélérée, n’est qu’une pâle copie collée de ce que le beau père de M.8% le sieur Bongo Ondimba appelait, les fêtes tournantes qui se déroulaient chaque année dans une des provinces de son pays, sauf que Bongo avait d’abord pris le soin de construire toutes les structures année par année par un budget bien précis voté chaque année au parlement pour donner à sa chaque province des infrastructures.
Quant cette étape avait pris fin, il a institué ses fêtes tournantes et les budgets spéciaux votés dans ce cadre n’ont servi qu’à améliorer ce qui existait déjà et ce qui devait être ajouté. C’est ainsi qu’il a pu construire ses palais dans chaque chef lieu de province qui aujourd’hui sont presqu’ à l’abandon. J’ai au moins eu le privilège d’y être invité 3 fois quand je roulais encore ma bosse dans ce pays.
Sassou n’a su que l’imiter sauf que pour lui sa municipalisation n’a servi que pour chiffonner le trésor public aidé en celà par son neveu ou petit frère Bouya, piètre co-pilote qui n’a pas avancé dans son propre métier pour devenir Commandant De Bord( CDB) d’un avion même le plus petit qu’avait Lina Congo son sel employeur au Congo.
Mettre autant d’argent aux mains d’un inculte sur le plan de la gestion, par dessus, un voleur,pensions nous qu’il fallait s’attendre à quoi, si ce n’est à un échec annoncé avant le printemps.
A quoi a servi tous les aéroports construits dans tout le congo aux normes des B.737 sans qu’on ne voit le nez d’un aéronef si ce n’est pour accueillir sassou et pour recevoir ses amis du club des dictateurs et autres Koffi Olomidé pour amuser la bande des voleurs.
Pensez vous un seul instant qu’en matière de bonne gestion rationelle l’on puisse construire deux aéroports de grand gabarie à moins de 100 Km l’un de l’autre comme Dolisie et Kayi ou Ollombo et Owando. A quoi sert celui d’ Ollombo si ce n’est pour recevoir des mercenaires et au dépôt des armes puisqu’aucune compagnie aérienne ne se pose sauf la Compagnie familiale et clanique EC’Air désormais disparu du ciel congolais.
Ceux de Djambala, Ewo, Owando ne sont devenus que des abris de cabris faute de se faire déranger par un aéronef.
Je voudrai savoir pourquoi sassou et sa bande ont construit autant de Mairie qui ne coûtent que de l’argent au trésor public pour rien. Si le rôle premier d’un Maire est celui d’officier d’état civil donc tenir le fichier des naissances et officier les mariages, je ne vois pas pourquoi le sous préfet qui a toujours tenu ce rôle et qui est toujours en poste ne le ferait pas. En gestion normale Brazzaville, Pointe Noire, Dolisie,Ouesso mériteraient d’avoir une Mairie parceque grandes villes, faut-il encore qu’elles puissent vivre de leurs ressources propres.
Mais quand je vois des bleds comme Souenké, Kelle, Itoumbi, Tchikapika, Kakamouéka, Boko Songho érigés en mairie, je me demande bien de quelles ressources vivent elles.
Bon puisque c’est le pouvoir PCT, il faut bien que tous trouvent leur compte pour continuer à être des obligés de sassou et aller l’applaudir à chacun de ses passages touristiques à travers son royaume.
C’est toujours bien de chercher à singer le blanc, malheureusement nous n’avions pas les mêmes problèmes. Tout cet argent mis dans les constructions à Itoumbi Mbomo et Kellé auraient servi par exemple à goudronner le tronçon Itoumbi- Kelle/ Itoumbi- Mbomo ce qui aurait pu désenclaver ces districts. Ailleurs, on aurait pu mettre en mouvement un projet qui arrangerait les populations.
Au lieu des projets fédérateurs, sassou et sa bande ont fait leur municipalistion accélérée pour mieux voler et pour l’auréole du bâtisseur infatigable. Les pécétistes applaudissent comme des illétrés sans que sassou et son Bouya ne nous disent comment chaque sous a été dépensé après chaque municipalisation avec autant d’éléphants blancs. Le parlement nommé à la mode communiste n’a rien a dire, roulez, c’est notre pouvoir.
Chers compatriotes, questionnons notre peur. Allons au fond des situations qui nous paraissent insurmontables. Pourquoi et de quoi avons-nous peur ? Le petit dictateur a érigé la peur en système de gouvernement pour nous maintenir dans un état de domination permanente. Vous savez tous que tout se dégrade dans le pays. Les hôpitaux ne sont plus que des mouroirs. Les écoles et lycées, l’ombre d’eux-mêmes. L’université n’est plus dans les 40 universités de l’Afrique francophone et au-delà de la 100e place des universités africaines. Vos salaires ne sont plus versés, des unsines ferment, jetant à la rue des milliers de salariés qui vont grossir la population des chômeurs dont la situation plonge des familles entières dans la misère la plus révoltante. Les projets sont conçus au mépris des besoins les plus élémentaires, c’est-à-dire les besoins physiologiques, de la pyramide de Maslow :
– Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif, sexualité,…).
– Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Il s’agit donc d’un besoin de conservation d’un existant, d’un acquis. Il s’inscrit dans une dimension temporelle.
– Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, association, …). L’individu se définissant par rapport à ses relations, ce besoin appartient au pôle « relationnel » de l’axe ontologique.
– Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. L’individu souhaite être reconnu en tant qu’entité propre au sein des groupes auxquels il appartient.
– Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement. Nous le considérons donc comme antagoniste aux besoins physiologiques.
Satisfaire ces besoins ne peut être la priorité d’une dictature. La dictature est dans le clinquant, le visible célébrant sa gloire, sa puissance et son pouvoir sur tout ce qu’elle a mis sous domination, en esclavage, ceux qui sont passés de citoyens à sujets. Nous acceptons cet état de fait si nous ne questionnons pas notre peur. Celle qui nous envahit et nous paralyse quand il faut revendiquer nos besoins les plus élémentaires pour vivre, évoluer et être soi tout simplement. Cette peur qui nous prend aux trippes quand il faut affronter le petit dictateur de Brazzaville. Il le sait et déploie tous les efforts pour entretenir ce climat qui lui est tant favorable. Il n’est point nécessaire être un grand clerc pour savoir que le tyran ne peut plus se permettre d’exercer sa force brutale sans se faire désavouer par la fameuse communauté internationale dont il cherche déséspérement l’approbation de son hold-up électoral. Il cherche à se réinstaller dans le concert des nations par des initiatives dont il a usé par le passé de conciliateur, de médiateur ou de faiseur de paix. Tout sait qu’il a fait tout ceci pour se maintenir au pouvoir.
Si nous comprenons cette logique dont dépend tout son plan d’action, la conclusion est aisée à tirer à tirer. Monsieur 8% avait un fusil à 2 coups, il les a tous tirés, une fois pour le référendum avec des morts et une deuxième fois pour les élections volées avec le bombardement du Pool. La communauté internationale et ses soutiens se déroberont s’il commet d’autres atrocités de ce genre. Le fardeau sera trop lourd à porter pour les Hollande, l’OIFet l’UA qui sont implicitement ses soutiens parce qu’à un moment donné toute cette clique peut avoir des comptes à rendre à leurs opinions respectives. Les scandales peuvent faire tomber des démocraties surtout celles qui s’affichent comme défenseuses des droits de l’Homme.
Alors, chers Compatriotes, le moment est venu de poser des actions définitives avant que cela ne soit trop tard. Demain, le 15/08, fête de la pseudo-indépendance, sortez sur le pas de vos parcelles, de vos maisons, partout dans le pays, à 10h et levez pendant 5 mn un point rageur pour dire NON, 5 mn seulement et à côté de votre domicile sans chercher à défiler ou à s’exposer aux tontons macoutes du petit dictateur de Brazzaville. Postez toutes les photos dans les réseaux sociaux, radios et tous les médias. Sassou peut avoir la force mais celle-ci, il ne peut la démultiplier à l’infini. Il devra construire des prisons aussi grandes que Brazzaville pour enfermer tout le monde. Il devra avoir une armée de millions d’individus pour mater tout le monde dans tout le pays du nord au sud et de l’est à l’ouest. Dites NON ! Je sais que le taux de couverture internet est assez faible mais le bouche à oreille peut participer à la propagation du message. Vous êtes un peuple debout, courageux et fier. Dites #Sassoufit !
Monsieur le Prmier Ministre de fait,
Prenez les choses en mains en dénoncant meme le contrat AERCO! Vous n’avez qu »à vous insperer de ce qui se fait dans le monde entier, puisque vos partenaires n’ont pas apportés de capitaux!
Une maladie mal diagnostiquée, est mal soignée.
Quel est le problème du Congo?
Bien sure que c’est le terroriste sassou, mais il n’est que l’autoroute de la France. TOUT LE SYSTEM SASSOU EST UNE CRÉATION DE LA France. En s’attardant sur le terroriste sassou, nous faussons les choses car aujourd’hui sassou peut mourir mais le system restera et rien ne sera résolue.
LE PROBLÈME DU CONGO C’EST LA France C’EST-À-DIRE UN PROBLÈME D’INTENDANCE. CAR C’EST LA France QUI EST LE GARANT DU SYSTEM SASSOU.
Si tous les congolais se mettent a demandé la nationalité française la France va répondre vous êtes indépendant.
Quant le congolais rejet le system dirigeant, ou quant il s’agit de nos richesses, d’une résolution a l’ONU nous ne sont plus independant la France doit nous représenter.
LA SOLUTION DU CONGO C’EST D’ÉRADIQUÉE LE SYSTEM SASSOU A LA BASE C’EST-À-DIRE UN SOULÈVEMENT POPULAIRE DANS TOUT LE PAYS DEMANDANT NON SEULEMENT LE DÉPART DU TERRORISTE SASSOU ET SON SYSTEM MAIS EN MÊME TEMPS LA FERMETURE DE L’AMBASSADE DE France AU CONGO, POUR UNE PÉRIODE AU MOINS 10 ANS FAIRE ASSOIR L’INDÉPENDANCE D’ABORD AVANT DE REDIALOGUER AVEC LA France.
Un pays tropical, ou l’eau est partout le Congo importe plus de 85% de sa nourriture, les personnes vont jusqu’à importer les produits agricoles au loin du nord américain, et voila le griot de sassou qui n’est rien d’autre de RFI dit ceci : http://www.rfi.fr/afrique/20160801-congo-brazzaville-le-president-s-engage-le-developpement-agriculture
Je pense que le journaliste de cet article est maudit.
Rien n’est plus fort que le droit de veto. Pour le problème de l’Ukraine l’occident y compris les USA ont voulu une résolution sur la guerre le l’Ukraine, la Russie seul avec son droit de veto contre cette résolution cette résolution n’a jamais vu le jour.
Les bombardements dans le Pool, amnistie internationale a voulu voir de plus prés se problème pourquoi, cette organisation c’est tue? La droit de veto français
Va-t-on accuser Ntsaty M. , Kolelas, Mokoko, Ou Bowao.
Que personne ne cache la vérité le trésor congolais se trouve a Paris, tout l’argent congolais rentre a Paris, c’est la France qui décide les miettes a données au terroriste sassou et sa bande. C’est par ce que sassou est ignare un cancre de naissance donc il ne peut pas démissionner.
QUEL EST LA DIFFÉRENCE ENTRE LES TERRORISTES DE L’EXTRÊME ORIENT ET LA BANDE DE ASSOU?
SASSOU A DÉJÀ TUE PRÉS D’UN DEMI-MILLION DES CONGOLAIS, LE PLUS SANGUINAIRE DE PRÉSIDENT QUE L’Afrique n’ jamais eu.
ALORS CHER COMPATRIOTES EN ROUTE VERS L’INDÉPENDANCE SI NOUS VOULONS VIEUX VIVRE DEMAIN. L’INDÉPENDANCE N’A PAS DE PRIX.
SASSOU N’EST PLUS PRESIDENT DEPUIS LE 13 /08/2016
Une information sur le nombre d’abonnés au Congo Brazzaville (2011)
Le nombre d’abonnés haut débit concerne le nombre de personnes titulaires d’un abonnement Internet haut débit, cet abonnement pouvant être partagé par plusieurs personnes au sein d’un même foyer. Il est donc mécaniquement moins élevé que le nombre d’Internautes, qui recense le nombre de personnes se connectant à l’Internet.
Est considéré comme un accès Internet haut débit un accès à Internet offrant un débit d’au moins 500 kbit/s.
Congo-Brazzaville Rang Afrique Rang monde
Nombre d’abonnés haut débit (2011) 124 n°45 sur 54 n°169 sur 195
Taux de pénétration de l’Internet haut débit 0,00 % n°43 sur 54 n°167 sur 195
Source : http://www.journaldunet.com/web-tech/chiffres-internet/congo-brazzaville/pays-cog
NB. Ces chiffres sont de 2011. Espérons qu’à l’heure qu’il est, ils ont énormément augmenté.
Ce qui a réussi , c’est la masturbation accélérée des esprits .Tout est un peuple a été floué par un modèle économique dont le nom reste encore à trouver .
Investir tant d’argent sur des projets économiques dont les bénéfices sont nullissimes ,relève d’un niveau intellectuel de bas étage .
Cette municipalisation est une contre économie , car elle n’a pas répondu aux attentes marginales de ceux pour lesquels , il a été initié .
BAKABADIO ET DIATTA seraient venus au chevet de cette funeste facétie , des grands soirs , de l’indépendance congolaise .
Cette curieuse politique kéneysienne s’est soldée par endettement abyssal ,dont le CONGO ne se remettra de sitôt ….
Ce fut une grosse erreur d’interprétation , des politiques de relance , conçues par les économistes du bord de L’ALIMA;
lire ,,, keynésienne ,,,
Le débat sur la modernisation du Congo B, a toujours été entaché d’arrière pensée de ceux qui ont défendu le choix de ce programme de municipalisation dite accélérée. Leur objectif principal, utiliser ce programme pour détourner de sommes colosales et se faire des réserves devant les préserver en cas de « traversée du désert » après la perte du pouvoir. Échaudés par leur fameuse « Traversée du désert » pendant la période de règne de Lissouba, ils ont finalement de prendre comme une revanche.
Le Congo B a bien besoin de la diversification de son économie, afin de poser les bases solides d’une croissance durable tant demandée par les institutions financières internationales. Mais cette diversification économique exige concomitamment la mise en place de ces infrastructures de base. Mais de quoi s’agit il exactement ? Des routes et des infrastructures de transport, des école et centres de formation professionnelle, des hôpitaux ou centres de santé, de l’électricité, de l’eau, des télécommunications, des équipements utils pour la production agricole et industrielle, des infrastructures pour la distribution et la commercialisation des produits, et enfin, des mesures d’accompagnement en faveur de la création d’un réel secteur privé pour usage efficient de ces infrastructures.
De cette liste ne devraient pas figurer les stades et gymnases, les palais présidentiels, les aérodromes ou aéroports (pas partout), les gigantesques bâtiments administratifs (mairies, préfectures, sous-préfectures, tribunaux, etc.)…
Autrement dit, commencer par ce qui sert à créer de la richesse et ensuite, ériger les structures consommatrices de cette richesse (au titre des dépenses…). Pourtant avec un tel choix, ils avaient quand même de quoi voler. Mais tel n’était pas de leur entendement. Que nous rapportent aujourd’hui les stades et gymnases, le complexe sportif de Kintele, les aéroports et aérodromes ainsi que de gigantesques bâtiments administratifs identiques dans tous les départements ? Quelle croissance avons nous enregistrée à la suite de tous ces investissements publics ?
L’industrie, l’agriculture, l’industrie du tourisme, la production et la distribution d’électricité, la télécommunication, la production et la distribution d’eau, l’industrie médicinale et la santé, l’industrie des services et des savoirs, etc. sont autant délaissés au profit des fêtes et du paraître pour le plaisir de Sassou et de son clan. Bouya n’est pas économiste, mais le Congo B pourtant n’en manque pas. Étant donné l’objectif de voler les deniers publics, ils sont devenus sourds de toutes analyses et recommandations ainsi que de tout bon sens. Bouya avec ses jointes ceintures chinoises; Ondongo et asperbras; Sassou et les masters pétroliers ; Christel Nguesso et la snpc ; bref, aucun n’est enclin à objectiver et à développer notre pays de façon durable. Ils créent l’éphémère et la dépense perpétuellement, pour mieux assurer leur enrichissement à vie.
La municipalisation est un programme de dupes.
La municipalisation accélérée c’était l’idée des Ivoiriens sous Houphouët-Boigny. Ils l’ont laissé tomber car c’était un gouffre et les infrastructures, faute de suivi,sont restées inachevées. Comme toujours, le Congo suit les mauvais exemples.
On parlait d’Ecair en premier commentaire de cet article.
Laissez-moi vous conter quelques histoires que j’ai glâné ici là.
Ecair est actuellement en état de faillite, mais n’a pas déclaré sa faillite auprès des tribunaux. Ecair est immunisée contre le Droit.
Le but de Ecair était de « désenclaver la sous-région », thème cher et récurrent repris par sa pêtasse, heu pardon, patronne, la fille Pierre Moussa; Fatima Beyina-Moussa. A ce jour même Pointe-Noire n’est plus desservie depuis des lustres. Ecair est immunisée de sa raison sociale première.
En ce 15 Août, jour de l’indépendance de notre pays, Ecair est est redevenue une coquille vide. D’opérateur fantôme incapable d’opérer ses propres avions (soit-disant pour cause de liste-noire UE), Ecair est devenue une compagnie mono-avion opéré par un tiers: AerCap. Les autres avions sont très loins (Belgique, USA…) officiellement pour cause de maintenance.
A ce jour tous les fournisseurs (même les consultants Coem, c’est vous dire) sont payés en retard voire pas payés du tout. Le dernier « bug », Servair Congo menace de couper les ponts et prendre le large. Pourtant, cette filiale congolaise du groupe francais appartient a Cendrine Sassou N’Guesso en grande partie. Et cette dernière a donné instruction d’arrêter toute prestation de service tant que les 2 Milliards de retard de paiement depuis 2011. En 2011 il faut le rappeler, on promettait l’équilibre financier pour 2014. A ce stade Ecair en est réduit, encore et toujours, à de vagues promesses; soit promesses de paiement partiels en urgence depuis Kinshasa de 50.000 dollars américains, soit promesse par écrit depuis l’adresse privée de la CEO de Ecair (pourquoi l’adresse privée?) [email protected] de sa « requête Ecair ».
La pêtasse Cendrine N’Guesso va-t-elle se plier à son ennemie l’autre pêtasse Fatima Beyina-Moussa? Nous le saurons ce jour. En attendant il y a 700 employés Ecair qui n’ont pas demandé tout ce foutre, papa Sassou devrait s’en souvenir. Bibendum Bouya aussi.
… Et pourtant, il y a des urbanistes au congo, des architectes, des sociologues, des paysagistes, des ingénieurs à qui on aurait pu confier des missions de diagnostics, des études de faisabilité pour cerner le problème d’aménagement du territoire que pose le Congo !?? Mais nous sommes au congo. Pays de merde comme dirait l’autre.
PAUVRE CONGO:
OSSO est tenez vous:
– PCA d’ECAIR
-PCA de AERCO
-PCA du port de POINTE-NOIRE
-PCA de CONGO HANDLING
L’Economiste illuminé par le trou des horreurs qui a pour bagage une licence en science Eco et un DESS en transport aérien de l’IFURTA (Institut de formation en Transport Aérien) a été vu à PONTE-NOIRE esseyant de refuter les faits qui prouvent l’un des plus grands scandales économiques du Congo moderne….
@ Bulukutu
Il n’y a pas que la politique qui ne marche pas au Congo. C’est tout le système. Loin de la politique, il faut avouer que le Congo d’aujourd’hui n’a plus de cadres compétents. BOUYA s’est donc retrouvé devant ces cadres bidon qui l’ont roulé dans la farine.. Je regardais le journal de Télé Congo, édition de 20h du 13 Août, 2016. C’est une dame journaliste au plateau qui était en direct avec un autre journaliste, chargé d’interviewer Joseph Bitalabitemo à Nkayi. J’était choqué de voir les deux journalistes en train de se tutoyer. C’est un manque de profesionalisme. C’est de l’incompétence professionelle qui n’a rien à voir avec la politique. Le journal de Télé Congo n’est plus celui d’avant presenté par Jean Claude Kakou ou Joseph Bitalabitemo. J’ai envie de vomir quand je vois les présentateurs des journaux sur télé Congo.Toujours sur Télé Congo, j’ai vu la ministre de la jeunesse du Congo de Sassou, les mains sur les hanches comme une bonne paysanne, pendant que les enfants en colonie de vacances à Aubeville (Bouenza), chantaient l’hymne nationale du Congo et deux autres faisaient monter le drapeau. Imaginer un ministre chanter l’hymne nationale de son pays les mains sur les hanches…..Le Congo souffre de la mauvaise politique de ses dirrigents et l’incompétence de ses cadres.
Municipalisation accélérée il n’y a qu’au Congo que l’on a inventé cette absurdité qui ne sert qu’aux mafieux à s’en mettre plein les fouilles en s’offrant au passage une fête privée ou ils peuvent ripailler sur le dos de la population qui vient faire allégeance au tyran en défilant devant lui.
Pauvre pays de MERDE
Pour mettre un terme à ces approches qui ont servi de paravant aux dilapideurs, Kleptomanes de tout acabit et vampires des richesses du Congo: LA PAROLE DOIT REVENIR AU PEUPLE POUR SE PRONONCER SUR SON DESTIN!
Vidéo à voir!
À l’occasion du Congrès des Congolais du Canada, Robert POATY PANGOU s’adresse aux Congolais:
http://independancesudcongo.blogspot.fr/2016/08/robert-poaty-pangou-sadresse-aux.html?m=1
RECTIFIER:…servi de paravent…
Foutage de gueule, permettez moi l’expression…
Attendre 12 ans pour faire le bilan de toutes ces municipalisations, cela
prouve une fois de plus qu’il y a vraiment un réel problème dans ce pays.
En gestion de projet, l’effet tunnel est la première cause d’échec. Dans le cas d’espèce, cet effet tunnel est dû au fait que qu’aucun suivi n’a été effectué durant toute la phase de projet et ce pendant 12 ans, mis à part la dilapidation des fonds prévus pour l’exécution du projet.
Doit-on avoir de la compassion pour Mr Bouya!
J’ai envie de dire et maintenant!!!!
Le fiasco,ce n’est pas seulement de 2004-2016,c’est quarante huit ans de démolition du Congo par Mr Sassou et ses amis.Municipalisation accélérée,un concept bidon comme le vivre ensemble,une escroquerie pour siphonner les deniers publics en applicant l’ingénierie a l’usure ( surfacturation) ou d’autres méthodes.Les chinois ont bien dit a la fripouille d’Edou que Mr Bouya est parmi ceux qui ont vole et planque 500 millions en Chine.Mr Sassou,ses amis et ses parents doivent plier bagages et quitter le plancher c’est ce que le peuple Congolais leur demande.Le peuple Congolais ne veut plus voir des hommes de cette race a la tete du Congo car ils ont montre leur limite,leur incapacité de travailler pour le Congo surtout leur manque d’elegance.
Sassou le champion des fiascos, il n’a jamais réussi à mener un projet à bon port ,Pour lui c’est un moyen d’obtenir des crédits auprès des institutions bancaires internationales à fin finir la démolition du Congo ! La vrai opposition devrait déclaré là vacances du pouvoir, a fin de dessaisir ce fou furieux de continuer de amener notre pays au suicide collectif !!!
@Mr Bulukutu,je vous cite:Et pourtant,il y a des urbanistes au Congo,des architectes,des sociologues,des paysagistes,des ingénieurs a qui aurait pu confier des missions de diagnostics,de s etudes de faisabilité…Oui le Congo possède toutes ces ressources humaines mais Mr sassou et ses amis font tout avec les étrangers qu’ils appellent .. les experts.. particulierement les chinois.
En 2011,j’avais visite le ministère de Mr Nsilou et j’avais longuement discute et echange avec nos compatriotes du domaine de la construction,leur constat sur la manière dont les projets sont menes dans notre pays était amer,que de l’amertume,ils ne sont pas considérés ni associes de loin comme de près dans les projets.Mr Sassou et ses hommes sont des anti-Congolais,ils doivent plier bagages et dégager le plancher c’est ce que le peuple Congolais leur demande.
AUCUN CABINET D’ETUDES NATIONAL NE PROSPERE AU CONGO A CAUSE DE LA JALOUSIE ET DE LA VORACITE DU CLAN D’OYO!
NSILOU SE NVOUBARISE!!!
@CHER FILS DU PAYS . ADMIS ……..DU COUP .
Ce n’est plus un secret pour personne que le Congo-Brazzaville va très mal. Les cérémonies marquant le 56e anniversaire de la fête de l’indépendance, dans la Bouenza, sont, littéralement, boudées par les populations locales.
Pour faire bonne figure, le pouvoir achète, à coup de billets de banque, les figurants venant de plusieurs localités lointaines dont Brazzaville, pour remplir le stade et d’autres lieux de la manifestation. Les forces de l’ordre sont, parfois, transformées en figurants autochtones afin de boucher les trous, dans les tribunes. Le dictateur qui n’a obtenu que 8% lors de la présidentielle du 20 mars, et qui s’est octroyé un score de 60% pour lui permettre de passer dès le premier tour, se rend compte que son vote usurpé est difficile à porter sur les épaules.
Cela dit, le dictateur ne veut pas tomber seul. Il veut entraîner l’opposition dans sa chute. Pour y parvenir, il arrose, copieusement, deux anciens signataires de la Charte de solidarité, qui ont vite fait de se désolidariser du Groupe des Cinq : Guy Brice Parfait Kolelas et Pascal Tsaty Mabiala, on peut le dire, sont membres de l’opposition, avec les deux pieds chez Sassou Nguesso. Zéphirin Mboulou est leur intermédiaire auprès du dictateur. Après avoir pris beaucoup de galon pour avoir parfaitement conduit le processus qui a abouti au hold up électoral, il est devenu un homme de confiance du dictateur.
La pêche de Sassou ne s’est pas limitée à Kolelas et à Mabiala. Moukoueke, Itadi, Oba, Madingou et autres Mpouele, auraient comme interlocuteur, Demi-Dieu. Jean Dominique Okemba s’occuperait d’eux pour ne pas tout laisser entre les mains de Mboulou.
Comme on voit, le dictateur est dans le trou. Mais, il ne veut pas couler seul. Il réussit à entraîner quelques brebis galeuses dans sa chute. Car face aux véritables résistants comme Mokoko et Makaya (qui aurait, selon certaines sources, été trahi par son « frère » Kolelas), en prison, Okombi en fuite, Munari, Bowao, Mierassa, et d’autres, sous surveillance à Brazzaville, il est conscient de leur inflexibilité, après avoir tout tenté.
Avec un baril à 45 dollars qui ne lui permet plus de payer les salaires, à temps, il sait que le compte à rebours (de la chute) a commencé..
Source: afrique education, 13 aout 2016
L’ENRICHISSEMENT ACCÉLÉRÉ DES MBOCHIS A ENTRAÎNÉ L’APPAUVRISSEMENT ACCÉLÉRÉ DU PEUPLE SURTOUT CELUI DU SUD. MÈME PAS UNE GOUTTE D’EAU POTABLE.
@HALLO, J’ai failli lancer un communiqué ,pour te retrouver genre yaka noki noki .Bon bref bon retour .;;;saches que SASSOU continue à nous emmerder ….
Effectivement ,c’est 12 ans d’enrichissement en turnover départemental .le 15 août , on champagne au prorata , des milliards volés ,,,
Le pays est mis dans une illusion fêtarde , car les gagnants au loto , repartent avec leurs tickets gagnants …
Parait il , il y a un deuxième round , tu peux déjà imaginer notre état de misère sociale .Nous n’aurions rien , chez rien .
En témoigne la nomination de JEAN ROSAIRE IBARA à la place de KIMBEMBE qui a longtemps cru au père NOËL pour consolider son poste intérimaire de recteur .
TOUT revient au peuple élu , les mbochis ,et LA MOUAMBE nous distrait sur le VIVRE ENSEMBLE , au lieu de VIVRE POUR LES MBOCHIS ;;
ON EST MAL , TRES MAL , les dirigeants mbochis , raclent même le fond de la marmite .ON EST MAL , très MAL;
@ VAL DE NANTES
Je lis tes Posts tous les jours. Face à la déliquescence de l’état, je ne peux m’empêcher de réagir. Un minuscule groupe de gens venus du nord qui pillent l’état en violation de toutes valeurs morales, éthiquesi. …Ils décomposent la société congolaiset sans gêne.RIEN À FOUTRE SANS GÊNE.
De la municipalisation accélérée, on etait passé à la l’enrichissement accéléré des Mbochis=appauvrissement accéléré du peuple. La phase suivante c’est la décomposition accélérée de l’état. On y est déjà.
Bouya a commencé à parler… il reste qu’Ondongo le complète dans cet exercice; et on saura tout, alors tout!!!
Lequel d’entre vous a déjà vu le Bâtiment de la sous préfecture de tchikapika? Belle et fière bâtisse avec colonnades élégantes située au bord de l’alima mais entourée de masures en torchis, les pieds dans l’eau!!! C’est le village de Bouya qui y possède deux grosses pinasses inutilisées; pas de commerce de poissons mais de boites de sardines et de beignets. Il en est de même pour tongo du « docteur en économie » jean didier elongo; dire que la grosse bourgade de Bokouélé, capitale du poisson est à quelques encablures de là; négligée. Le transport sur l’eau est un exercice terrible et pénible voire terrifiant. Où sont passés Bouya, Ondongo,Elongo etc. Aux abonnés absents, comme d’habitude
Mais BOUYA donne des explications sur les premières municipalisations au Congo.je trouve ses arguments plausibles. Toute chose pose problème au début. Les cadres de ce département n’avaient pas encore la main…c’est normal…mais après il Ya eu que des réussites au pool, cuvette Ouest…
je vous informe que les nouvelles municipalisations seront économiques. Le président mettre tout en œuvre pour la création des PMI/PME…en vue de la création d’emploi des jeunes et personnes âgées. On parlera des crédits financiers…
Un pays ne se développe pas, en cinq ans.
C’est pour cette raison, je vous exhorte pour une durée dans le temps. Donnez du temps au président SASSOU,et va transformer le pays.il a un rêve pour ce pays.
Et il veut qu’on donne encore de l’argent pour le prochain cycle…..