INTERVIEW DE BENJAMIN TOUNGAMANI : Sassou-NGuesso doit dégager par tous les moyens ; Le divertissement de l’élection Présidentielle 2021 ; Transition Politique excluant Sassou-NGuesso et la Table ronde du 26 octobre à Paris…

Benjamin Toungamani est le Président de la Plateforme Congolaise Contre la Corruption et l’Impunité (PCCI). Il affirme que l’unique solution pour le Congo-Brazzaville, est une Transition Politique « Excluant Denis Sassou-NGuesso », et qu’une Election présidentielle 2021 n’est qu’un leurre. A défaut, le pays déjà ruiné par le dictateur congolais sombrera de plus bel dans le chaos politique et économique…

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TABLE RONDE SUR UNE TRANSITION POLITIQUE « EXCLUANT SASSOU-NGUESSO » AU CONGO-BRAZZAVILLE, LE SAMEDI 26 OCTOBRE 2019 À PARIS (FRANCE).

Objectif du Projet : Concevoir les bases d’un projet commun sur une « Transition Politique et Pacifique » dans le cadre de la Restauration de la Démocratie et des Droits humains au Congo-Brazzaville.

À l’issue des travaux, un ouvrage collectif « LIVRE BLANC » sur la Transition au Congo-Brazzaville sera publié, pour mettre à la disposition de toutes les Congolaises et les Congolais, un projet alternatif et ambitieux pour la refondation de notre pays.

Prérequis : Tout participant s’inscrivant dans ce projet d’une « Transition Politique et Pacifique Excluant Sassou-NGuesso » que nous initions, doit intégrer le fait que, que les débats seront exclusivement axés sur la thématique proposée. En aucun cas, le débat portera sur l’élection présidentielle 2021 ou sur un Dialogue inclusif…

THÈME : L’IMPÉRATIF D’UNE TRANSITION POLITIQUE POUR LE CONGO-BRAZZAVILLE ?

Objectif de la Table Ronde du samedi 26 octobre : Identifier les points essentiels, définir les thématiques qui permettront d’élaborer le programme de la Transition. 

LIEU : CICP , 21 ter rue Voltaire, 75011 Paris – Metro 9, Station ‘‘Les Boulets’’

PROGRAMME DU SAMEDI 26 OCTOBRE 2019

14h30 : Accueil des invités

15h00 : Présentation des objectifs du Projet de la Transition Politique et Pacifique au Congo-Brazzaville ;

15h15-18h15 : Brainstorming pour collecter les points essentiels de la Transition Politique

NB : Tout participant aura 5 minutes pour faire des 5 propositions argumentées.

18h30-19h00 : Synthèse des débats et planification des prochaines journées

Inscription obligatoire[email protected]

Les places sont limitées, n’attendez pas pour vous inscrire s’il vous plaît.

Diffusé le 07 octobre 2019, par www.congo-liberty.org

INTERVIEW DE MINGWA BIANGO : Coup d’état militaire ; Révolution pacifique ; Transition politique « sans Denis Sassou-NGuesso » ; Rencontre avec la Diaspora des USA ; l’inutilité de l’institution Présidence de la République responsable du malheur des Congolais…

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19 réponses à INTERVIEW DE BENJAMIN TOUNGAMANI : Sassou-NGuesso doit dégager par tous les moyens ; Le divertissement de l’élection Présidentielle 2021 ; Transition Politique excluant Sassou-NGuesso et la Table ronde du 26 octobre à Paris…

  1. Kalou dit :

    Excellente vision. Sans transition peine perdue.
    Il faut obligatoirement faire table rase. Se reunir et replacer les grandes Bases. Un Dictateur ne perd difficilement une Election:Car il dispose tous les leviers du pouvoir.
    Bravo et Brillante Intervention.

  2. Serge B dit :

    Benjamin Toungamani Grand combattant
    Propos juste, cohérent et absolument raisonnable
    Très belle énergie d’un sage.
    Bravo Ben

  3. SAMBA DIA MOUPATA dit :

    Cher Benjamin , une révolte à besoin d’un visage connu . Cependant au congo les visages connus sont tous corrompus par Sassou ! Nous avons le fils kolélas avec son histoire sur l’abattoir sans parler de son patron boucher Sassou , Tsaty Mabiala un super comédien membre de la mafia d’oyo . Bowao , Munari Dzon , une bande des escrocs . réfléchissons dans la diaspora comment nous pouvons organiser une révolte au pays ? Avec le temps nous avons découvert que Ouabari , Motoki, Sadio et Ngombet étaient les agents de sassou qui ont infiltrés les mouvements de la résistance en France . Je serai injuste de n’est pas dénoncer nos frères bien que du pool qui ont succombé à l’argent du crime j’ai cités Norbert et Missamou au USA . Cher Tougamani nous avons nos parents qui sont en danger de mort au pays , où les les bloques opératoires sont fermés au CHU de Brazzaville et à Louandjili et Adolphe Cissé à Pointe-noire .Réduisant l’expérience de vie à 35 ans . Dans les deux grandes villes les morgues battent des record en record . Cher frère Sassou est un dérangé mental ,il faut parler de cet individu au passé . La révolte reste l’unique solution pour chasser ces fous furieux qui ont pris le pays en otage .

  4. Isidore AYA TONGA dit :

    MERCI BEN… NO COMMENT !!!

  5. Itoua J.P. dit :

    Mr. Toungamani a parlé des forces du changement des années 1990. Je lui suggère de prendre contact avec ceux qui étaient dans ce mouvement, et qui ne se sont pas compromis avec Sassou, surtout ceux qui sont encore à Pointe-Noire et Brazzaville. Si Nzambé et les ancêtres vous ont gardé en vie, c’est pour vous permettre de corriger vos erreurs du passé.
    C’est de votre réseaux des FDC que vient le salut du pays.

  6. VAL DE NANTES. dit :

    La maladie des congolais a un nom : Présidence de la république .
    Nous devons faire un travail sur nous, pour penser par nous mêmes ,afin de trouver la vérité de notre égarement .
    La cause des causes de la cause . Voilà la trilogie suicidaire que nous nous sommes fixée .

    Je m’explique : Notre conscience politique est la cause ,première de notre erreur politique .

    Nous théorisons des institutions qui régissent la vie de notre nation ,dont la présidence de la république ,( causes ).

    La mise en pratique de ces institutions ,c’est à dire ,sa traduction dans les faits sociaux ,économiques , et politiques est la troisième cause .

    Cet enchainement causal est nocif à la paix définitive de notre paix ,d’où il y a lieu d’opérer un changement de logiciel de l’étant congolais (acteur vivant ) pour valoriser l’être congolais ,comme individu vivant réellement sur le territoire congolais .

    Ne pas entreprendre cette mue existentielle ,c’est le néant ,c’est à dire ,le vide ou la masturbation intellectuelle .

    La présidence est plus une idée sophiste qu’une forme idéale .Notre imagination politique transcende notre réalité immanente ,c’est là qu’intervient notre erreur .
    EN RÉSUMÉ , il y a d’un coté des congolais qui croit en DIEU ( président ) dont l’utilité ne change en rien la réalité immanente ( problèmes sociaux ,etc ) .
    De l’autre , des congolais qui prônent l’athéisme présidentiel ,car le salut du CONGO ne dépend pas de l’élection d’un connard au sommet du pays .
    Pourquoi demandez aux congolais de regarder au ciel ,alors qu’ils vivent dans l’ici -bas ?

    Merci …
    IGR ,VAL DE NANTES .

  7. Justin Balonga dit :

    Mon cher Samba Dia Moupata, j’ai lu avec intérêt ton commentaire à la suite de l’intervention de Benjamin TOUNGAMANI. Il est incontestable que l’opposition de Brazzaville est de pure façade, elle est à la fois corrompue et incapable de faire partir le général Denis Sassou Nguesso. Donc, le salut du peuple congolais martyr depuis des décennies ne viendra pas de cette opposition à la solde du dictateur.

    C’est pourquoi, nous pensons qu’il est urgent d’imaginer d’autres voies susceptibles de précipiter la fin du régime dictatorial en place au Congo. En effet, la transition sans Sassou nous semble être le moyen adéquat par lequel les congolais pourront se débarrasser de Sassou. Pourquoi? Les raisons sont multiples.
    D’une part , la voie du dialogue, inclusive soit-elle ne résoudra pas le problème du départ de Sassou. Par le passé, le pouvoir de Brazzaville a instruit plusieurs dialogues ( Ewo, Sibiti…) qui ont fini par un monologue et le Général en est toujours sorti vainqueur.
    D’autre part, la voie électorale est aussi une impasse, jamais un dictateur, de surcroît expert, dans le monde n’a perdu le pouvoir à la suite d’une élection. Ainsi, tous ceux qui se préparent pour l’échéance électorale de 2021 sont des ennemis du peuple par le fait même d’accompagner le général de commettre une fois de plus sa forfaiture électorale.

    Pour toutes ces raisons, les couches sociales congolaises doivent s’emparer de l’idée de la transition sans le général. Concrètement, chaque catégorie des congolais doit faire ses revendications. Ainsi par exemple, les étudiants doivent revendiquer les bonnes conditions de travail et le payement des bourses d’études, les retraités de leurs pensions, les enseignants de la considération de leur métier, les mamans des marchés de leur pouvoir d’achat, les militaires de leur rôle de défense de la nation et non d’un pouvoir et ainsi de suite…
    En somme, il faut enclencher dans le pays un foisonnement de revendications puissantes, comme celui des gilets jaunes en France, capable de bloquer le pays et d’entraîner la chute du pouvoir.

    Enfin, la transition d’une durée de 4 à 5 ans aura pour mission de remettre les choses à plat, car à la suite du départ du général, il sera impossible d’envisager une élection libre et démocratique. Il faudra en substance mettre en place une police et une armée au service du peuple, une justice indépendante, et des listes électorales correctes. Ce n’est qu’à la suite de tout cela qu’il sera possible d’organiser des élections justes et équitables, et à partir de là on pourra dire: QUE LE MEILLEUR GAGNE.

  8. Ariens B dit :

    Ariens B ^

    Bjr.l initiative est coherente,reste a prouver que nous sommes en mesure de tenir un debat fructueux sans avoir en notre sein des infiltres pour pourrir nos idees concues pour l avenir de notre pays.en effet un dictateur ne craint pas les elections mais plutot la rebellion.cet etranger qui porte un nom unique qu aucun Congolais n a entendu nulle part n est pas notre compatriote alors normal qui nous affame et pille nos richesses pour se les partager avec ses acolytes occidentaux principalement francais.il est temps que ca change.c est pas un reve nous pouvons le faire il faut de la discipline dans ce projet.Vive le Congo !!!

  9. Justin Balonga dit :

    Cher compatriote Ariens B, je suis parmi les organisateurs de la journée du 26 octobre, j’espère vous comptez parmi ceux qui vont nous rejoindre, afin de réfléchir ensemble comment mettre hors d’état de nuire le général.
    La lutte est une démarche gratuite et désintéressée, elle a besoin des gens intègres comme vous.

    A samedi 26 octobre.

  10. tebola dit :

    J’ai écouté avec intérêt mes amis des assises. J’ai suivi également mon frère Toungamani. J’ai lu et je discute souvent avec mon frère Justin Balonga qui reste fidèle dans ses convictions. Je n’oublie pas également les projets de notre sœur Tamba Tamba, ni de Madédé ni d’Andréa Ngombet, ni tous les autres.
    Il y a un point commun pour tous : le départ de Sassou. Cependant, les stratégies qui divergent.
    Je voudrai faire observer une chose, s’agissant de la rencontre du 26/10/2019 pour laquelle je suis totalement en phase. Mais je pense que cette volonté de bien vouloir organiser un pouvoir que l’on a pas et que l’on aura peut-être pas montre une certaine faiblesse dans notre stratégie d’action politique. Au lieu de concentrer nos efforts pour chercher comment arracher ce pouvoir aux mains du dictateur, nous bâtissons un rêve bien qu’il soit permis de rêver.
    Depuis très longtemps, nous attendons un soulèvement qui ne vient pas. Eh bien évidemment, on ne peut pas compter sur les autres pour enclencher ce soulèvement. Il y a ceux qui parlent d’une absence de figure emblématique qui pourrait incarner ce soulèvement. Il y a ceux qui évoquent l’idée que nos leaders locaux sont corrompus etc…
    L’idée selon laquelle 2021 est un non événement, il me semble que c’est une fausse bonne idée.
    Moi je pense qu’on devrait réfléchir pour faire de 2021 un événement. Tout ce que nous voulons ou nous souhaitons peut s’enclencher à ce moment-là, à condition de bien préparer cette date.
    Ma piste pour en faire un événement :
    – c’est la candidature unique de l’opposition,
    – et que ce candidat soit le chef de l’opposition qu’il choisit lui-même et qu’il a « adoubé »,
    – le travail de la diaspora consistera de rendre populaire cet événement au niveau national et international pour chercher les financements, des observateurs crédibles et former les jeunes dans l’organisation et la supervision des élections.
    En 2021, Sassou nguesso va organiser sa présidentielle, c’est sûr. Mais il ne faudrait pas le laisser le terrain libre pour faire ce qu’il veut. Il faudrait faire en sorte que tous les regards soient braqués sur cette élections. Il faudrait qu’elle soit un événement international afin que tout le monde le regarde en train de tricher et qu’il mette en prison une fois de plus son chef de l’opposition qu’il a lui-même « adoubé ».
    En voulant ridiculiser Tsaty Mabiala, Sassou se rendra compte que sa stratégie lui a échappé a été détournée.
    Et cet événement pourrait créer une situation susceptible de faire bouger les choses car le peuple sera en ébulition et sera derrière son candidat unique.
    Le seul problème et qui n’est pas mineur, c’est la position de nos leaders locaux. Pour l’intérêt du pays, accepteront-ils d’être derrière un seul et unique candidat. Donc les négociations peuvent commencer dès aujourd’hui afin de pousser ces leaders à bâtir un projet commun qui intégrera l’idée d’une transition et de former un ticket pour la présidentielle de 2021.
    J’ai critiqué vos rêves, je m’en rend compte moi-même que ma réflexion n’est qu’un rêve mais un rêve fondé sur une stratégie action.
    Tebola babins

  11. Samba J.C. dit :

    A tebola
    votre propos est la matérialisation d’une diversion des gens du pct. Sassou n’a plus de pouvoir, ce qu’il fait maintenant, c’est de préparer un chaos après son départ. Il faut donc s’organiser pour l’après Sassou, pour éviter ce chaos.
    Ceux qui participent au débat en cet espace ne sont plus à votre niveau des élections ou pas en 2021, de la pure conquête du pouvoir.
    Le débat est maintenant à un autre niveau, beaucoup plus fondamental, celui d’un meilleur régime ou système politique pour le Congo, après Sassou. L’idée d’une transition se justifie à ce niveau: car on ne passe pas d’un système politique à un autre sans transition. Alors, pour rejoindre les autres à ce débat de font, vous devriez vous oublier vous-mêmes et penser au Congo.
    Si vous en êtes pas capables, vous pouvez oublier votre carrière politique après Sassou.

  12. tebola dit :

    A samba J.C.

    A moins que vous ayez un plan B que vous ne souhaitez pas dévoiler, je le comprends volontiers, auquel je m’associe d’emblée. Mais c’est seulement pour demander au peuple ou aux autres catégories sociales ou socio professionnelles de prendre ses responsabilités, je suis septique car personne ne peut mettre en application nos souhaits. Il faut théoriser et être en action.
    l’élection présidentielle de 2021 peut être un moment très important si nous pouvons être capable d’en faire un événement et non un non événement.
    Il faut utiliser les mêmes armes de la manipulation que celles utilisésees par sassou lui même.
    sassou nguesso dégage n’est pas une stratégie.
    La transition sans sassou, c’est ce qu’il faut pour notre pays mais encore faudrait que sassou n’y soit plus!
    La question fondamentale est comment faire pour que sassou n’y soit plus?
    Un petit peu terrasser un géant si le petit arrive à mettre le géant en déséquilibre. Si le déséquilibre est établi, il suffit de pousser le géant, il s’écroule.
    pour Rappel, le président Gbagbo a pris le pouvoir au général Gueye à la suite d’une élection conflictuelle.
    Le problème que nous avons, et que nous pouvons avoir en 2021, c’est parfait kolélas et tsaty Mabiala. Si Parfait Kolélas et Tsaty Mabiala font un mariage de raison comme ça se fait souvent en politique, et non un mariage de raison. Sassou Nguesso partira en 2021.
    Les discours doivent être suivis de plan d’action.
    Et 2021 est un bon moment pour agir. Ne laissons pas sassou tout seul occuper le terrain pendant cette période. Il va certes tricher mais c’est aux yeux de tout le monde.
    Notre travail aujourd’hui va consister à prendre langue avec l’opposition locale pour un projet commun entre les deux représentants de l’opposition locale qui sont parfait kolélas et Tsaty mabiala, et pour une candidature unique. Si l’opposition congolaise réussit cette union véritable de raison. on parlera de sassou au passé après 2021. je ne l’écris pas avec gaité de cœur mais c’est le prix à payer pour dégager, stratégiquement, sassou nguesso du pouvoir. Lorsqu’un arbre est penché d’un côté, on le coupe afin qu’il tombe du côté où il se penche.

    Tebola Babins

  13. Anonyme dit :

    « parfait kolélas et Tsaty mabiala,représentants de l’opposition locale » C’est sérieux cette affirmation ou c’est de l-humour ?
    Ces deux individus font parti du système mafieux de sassou et jouent parfaitement le rôle qui leur a été assigné d’opposants fantoches pour habiller cette dictature d’un semblant de démocratie.

  14. Anonyme dit :

    Par contre sur le point de la médiatisation je vous rejoint, comment au temps de l’internet et des réseaux sociaux sommes nous incapable de dénoncer et de diffuser aux yeux du monde cette dictature infâme.
    Regardez ce qu’il a été possible dans d’autres pays pour mobiliser les opinions publiques avec seulement un petit groupe très engagé et de simples smartphones. La médiatisation de nos jours est une arme bien souvent plus forte que la kalachnikov, mais nous ne savons pas nous en servir nous restons trop concentré sur des analyses intellectuelles et théoriques ainsi que nos égos démesurés.

    Ce système mafieux craint par dessus tout cette médiatisation, pour preuve, le budget pour la contrer qui lui est consacré est sans limite.

    Allons seulement

  15. Samba J.C. dit :

    A Tebola
    Oui, nous avons un plan B, qui ne peut pas être étalé sur le Net. Au fond, la chute de Sassou et ses collaborateurs de son opposition n’est pas une affaire de plan ou de stratégies. Sassou a pris le pouvoir par des mécanisme spirituels; il se maintient au pouvoir par des mécanismes spirituels. Cela passe par des tueries de masse. Il est en train de partir par des mécanismes spirituels.
    En 2016, plus de 10 000 sacrifiés par des rituels, dans tous hopitaus du pays, dans des accidents bien montés, dans la région du pool où il y a plus de militaires sacrifiés que de population civile, avec son montage de Ntumi. Bref, avec Sassou et son système, le jeu n’est pas politique, mais spirituel.
    Mais le Créateur a mis une loi, à savoir que tout ce qui commence a une fin, et Sassou est à sa fin. Des sources sûres, ses fétiches ne marchent plus, les ancêtres du Congo et tous les esprits des corps qu’il a tués le troublent, au point où il n’arrive plus à fermer l’oeil à Brazzaville et à Oyo…
    Il ya donc un chaos qui se prépare. Sassou sait qu’il partira avec tous ses enfants et ses proches. Mais avant, il veut éliminer tous ceux qui détiennent des secrets de grands sacrifices humains comme Dabira.
    Alors, plutôt que de perdre du temps à spéculer sur le jeu de Sassou avec ses fausses élections, il faut plutôt travailler sur le côté visible du travail invisible que font les ancêtres du Congo.
    Quelque soit le lieu où vous êtes, si vous êtes pour le renouveau du Congo, faites appel à l’aide des ancêtres du Congo, et vous verrez leur manifestation.

  16. tebola dit :

    Alléluia, Alléluia, Alléluia !
    Le seigneur va faire le reste !

  17. VAL DE NANTES dit :

    Si l’on ne définit pas de façon philosophique ,Dieu seul sait ,LES GRANDS penseurs antiques et contemporains ont parlé ,écrit sur l’essence du bonheur ,nous n’arrivons jamais à créer un pays autour des valeurs morales .
    Quand un congolais prétend diriger un pays , il faut lui poser la question de savoir ,pourquoi veut il diriger tant de corps eux mêmes habités des âmes (immatérielles ) et des esprits ( immatériels ).
    Car ,doit il savoir qu’un pays est un ensemble des êtres vivants ?
    C’est pourquoi ,la formule de SOCRATE va lui être appliquée . Le fameux « connais toi ,toi même est factuelle dans le projet politique de demain .( DIALECTIQUE SOCRATIQUE ).
    Si tu ne te regardes pas toi même , comment pourras tu connaître l’autre .?
    La critique sur soi même est un début de délivrance des contractions mentales pour aller vers la vérité ,même si ,il n’existe pas de vérité absolue .
    Le futur homme politique doit faire plus une introspection qu’une méditation …
    Avez vous vu ,le président d’URUGUAY ?
    Ce n’est pas peut être l’apologie de l’ascétisme épicurien ,mais une grandeur d’esprit qui confine au divin .
    J’aurais aimé qu’il soit congolais , dommage ;;;
    Engagez des débats abstraits ,sans toucher l’essence des mots qui peuvent changer le destin d’un pays ,ne sert à rien ….
    Ce serait demander à chrétien de s’adresser directement à DIEU ,le père ,sans passer par JESUS , son fils ….
    SASSOU est un exemple de désordre mental , d’esprit et d’absence d’âme ,d’où nos souffrances .

  18. tebola dit :

    Si on intègre pas un volet stratégique pour faire partir Sassou, cela se traduit comme si on faisait faire le sale boulot aux autres et le travail de réflexion à la diaspora. Il y a un côté mépris dans cette façon d’agir. Le problème congolais ne peut pas être traité d’une façon dichotomique. C’est un tout! Cette dichotomie laisse apparaître un manque de réalisme. Pourquoi on ne s’en sort pas? C’est parce que, en réalité, on a jamais abordé le sujet dans l’objectif de trouver une solution. « Sassou Nguesso doit partir, point barre! 2021 est un non événement! Transition sans sassou Nguesso! Toutes ces déclarations incantatoires ne sont pas des stratégies de combats.
    Ce sont des vœux, mais on ne lutte pas en faisant des vœux. on mène des actions. Et ces actions doit être menées en tenant compte de la réalité et non en l’écartant. Nos actions doivent être menées tout en sachant que l’opposition congolaise est corrompue, sassou nguesso ne rate pas une occasion de manier dextérité le bâton et la carotte. Il faut doubler d’imagination en étant plus malin que lui afin de mettre en place des actions qui vont déjouer ces manœuvres.

  19. Benoît YOULOU dit :

    Le Congo un bien commun. Toutes les initiatives tendant à préparer la chute du système et préparer les lendemains certainement difficiles vu le grand chaos mais pour un avenir qu’on souhaiterait serein et meilleur sont les bienvenues. La démarche consistant à préparer un livre blanc sur quatre thèmes ciblés est une très bonne démarche. Il ne s’agirait pas d’arriver aux affaires en apprentis sorciers en train d’improviser. Qui veut aller loin se doit de ménager sa monture. Nous avons décrié une opposition corrompue sur le terrain mais il nous faudrait des collaborateurs sûrs susceptibles de relayer nos actions sur le terrain on ne peut pas envisager une quelconque démarche en écartant ceux qui sont sur le terrain ce serait faire fausse route et un peu présomptueux. Beaucoup ont trahi nous les connaissons cependant, il en existe encore certains qui sont restés dignes et farouches opposants , un trait d’union devrait se faire pour conjuguer nos synergies avec ceux-là afin de rendre possible cette dynamique. Pour ce qui est de la transition inéluctable, en effet il faudrait effectivement une transition de quatre à 5 ans pour daigner remettre l’ordre des pans entiers des fondamentaux de nos institutions à savoir l’armée, les finances publiques, la santé, l’éducation, la Justice juste pour dire vraiment le Droit,garde fou des grands principes du droit pour sauvegarder les libertés publiques, celle d’aller et de venir , la notion de proprièté privée et ainsi marquer la différence entre droit privé et droit publique ce qui aboutirait par voie de conséquence à la création de la grande commission de réconciliation nationale. les juristes on en manque pas comme d’ailleurs dans les divers domaines relatifs à la gestion de la chose publique pour permettre ainsi l’émergence du bien être dans la vie de la cité Congolaise ainsi que du vivre ensemble. Il conviendrait également d’envisager de revoir aussi tout en réhabilitant, la constitution de 1992 qui à la consolider en l’amendant au regard des réalités conjoncturelles. Un travail de titan mais pas impossible. Partant du principe ; je Veux, je Construis, le Congolais a le génie il est capable de se transcender pour un vrai nouveau départ. Pensons sinon envisageons la limitation des partis dont l’adhésion se ferait sur la base de programme de société non pas sur la base régionaliste ethnique. Nous devrions êtres capables de dépasser ces clivages.Taisons nos égos, tout le monde veut devenir Président dans ce petit pays. Travaillons d’abord et comme on dit chaque saison a ses légumes, il y a un temps pour tout , pour l’instant cessons de nous divertir dans les positionnements. La division est faiblesse et favorise le tyran qui a su activer ce grand levier pour nous affaiblir ainsi je dirais rassemblons ce qui est épars dans l’unité et le cher désir de vouloir le changement, nous vaincrons. l’union fait la force. 2021 une illusion, Bis répétita placent, ne rêvons plus debout, ce serait encore lui donner la part belle pour proclamer les résultats à deux heures du matin tout en ayant pris soin de bloquer tous les canaux de communication, ne soyons pas naïfs à ce point, un fichier électoral erroné, les urnes bourrées. ce système excelle en la matière ceux qui prétendent y aller au nom des principes démocratiques se trompent sinon jouent le jeu du tyran c’est de la mascarade pour accompagner le tyran. Organisons nous autrement toutes les conditions sont réunies pour une implosion mais sachons orienter notre peuple pour ne pas tomber dans un piège catastrophique risque d’ hécatombe. Il n’a rien à craindre. Les stratégies il en existent. le fruit est bien mûr. J’y crois.
    Voilà mon cher Toung’s ma pensée. Loin des yeux mais toujours près du coeur.

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