Pionnier des combattants congolais en France et panafricaniste, Anicet MAPA est un membre actif de la société civile et de la diaspora du Congo-Brazzaville. Dans cet entretien exclusif, il condamne la lâcheté de Parfait KOLELAS qui accepte les massacres dans le Pool , et fustige l’asservissement et la compromission politique de Tsaty-Mabiala avec le sanguinaire Sassou-NGuesso.
Anicet MAPA exhorte les Congolais à contribuer au financement de la lutte de libération dans le cadre de l’Association Citoyenne de Solidarité du Congo-Brazzaville (ACSCB) dont il est le coordinateur en France…
Diffusé le 22 juillet 2017, par www.congo-liberty.org
Appeler un avocat qui défend le despotisme, la tyrannie, qui prend part à la kleptomanie d’un Etat, et lui dire : » Vous faîtes fausse route, le peuple congolais est asservi et opprimé. Vous êtes l’instrument de la tyrannie d’un putschiste », est illicite?
Instruire un sot, moraliser un tartuffe cupide, c’est bon pour quelques Français qui voient l’Afrique comme un éternel espace exploitable à souhait.
M. Mapa, face à la barbarie, aucun être humain, guidé par la raison, ne doit économiser son indignation et sa révolte.
Je partage votre engagement.
Que nos patriotes injustement emprisonnés par le putschiste Sassou, aient le moral au beau fixe !
SASSOU, UN VIRUS DEVASTATEUR DANS LE SANG DU CONGO, IL A DETRUIT LES INTESTINS, LES REINS, LES YEUX, LE CERVEAU, LES TESTICULES, LES ORGANES GENITAUX, BREF IL NE RESTE QUE L’ENTERREMENT. UN VIRUS PIRE QUE LE SIDA, EBOLA ET LA PESTE. CE MONSIEUR DE 80 ANS EST HEUREUX DE DETRUIRE LE CONGO. POURQUOI S’EN ETONNER FACE A UN VIEUX DICTATEUR QUI UTILISE DES PRODUITS DECAPANTS POUR ECLAICIR SA PEAU, D’AILLEURS AVEC LA VIEILLESSE SON FRONT DEVIENT ROUGEATRE, LES JOUES JAUNATRES, LES MAINS TRES NOIRATRES, SASSOU UN PAUVRE TYPE, CE MONSIEUR EST NUL, PAPA ZERO
• International
Best off 5: lifting sévère de la politique africaine de la France
par
Nicolas Beau
–
24 juillet 2017
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38
On se doutait bien un peu que la politique africaine d’Emmanuel Macron ne serait plus celle de François Hollande. La marginalisation d’un Jean Yves Le Drian très amer aux Affaires Etrangères, cornaqué par un fidèle de l’Elysée comme directeur de cabinet, ainsi que la transformation du ministère de la Défense en un simple ministère des Armées confiée à une proche de Lionel Jospin, Florence Parly, formée … aux finances publiques, montraient clairement qu’il ne s’agissait plus de confier les clés de la politique africaine de la France au général Pugat, chef d’état major particulier de Nicolas sarkozy puis François Hollande, et aux siens.
Adieu à la Françafrique
Mais ce dimanche 2 Juillet à Bamako, Emmanuel Macron a franchi un pas supplémentaire. On sent désormais le poids de ses conseillers Afrique, de brillants technocrates formés à Bruxelles et à New York aux idées de bonne gouvernance et de respect des droits de l’homme. Sur fond d’une culture anglo saxonne
. Dans le discours qu’il a adressé aux chefs d’Etat du G5 le dimanche 2 juillet à Bamako, Emmanuel Macron a prévenu les présidents présents (Niger, Mali, Mauritanie, Burkina et Tchad) qu’il recherchait des objectifs et des résultats. On est loin du sentimentalisme d’un Hollande expliquant en 2013 au Mali au milieu des soldats qu’il avait vécu « le plus beau jour de sa vie ».
Avis de tempète
« Ce sera à vous et à vos armées, a tranché Emmanuel Macron; de convaincre que le G5 peut être efficace dans le respect des conventions humanitaires. Les résultats doivent être au rendez vous pour convaincre nos partenaires ». Comprenons, « je suis prêt à aller chercher de l’argent à Bruxelles et à Berlin pour maintenir le niveau de l’aide actuelle, mais à vous de prouver que cet argent sert vraiment la lutte anti terroriste et ne connait pas quelques pertes en ligne du fait des bakchichs prélevées par les gouvernements en place.
Et ce n’est pas tout. « La bonne gouvernance » est désormais à l’ordre du jour. Alors que « Papa Hollande, à l’ancienne, fermait les yeux sur les présidences à vie et les atteintes aux libertés de ses amis de l’Internationale socialiste comme Issoufou le nigérien ou IBK le malien, le ton a changé. Il faut, affirme le président français, mener « des réformes constitutionnels ».
IBK au piquet
L’avertissement d’Emmanuel Macron s’adresse particulièrement au président malien IBK porté au pouvoir par la France en 2013 et qui n’a guère avancé depuis sur « des accords de paix » avec des mouvements dissidents du Nord Mali, tels qu’ils avaient été prévus à Alger en 2015. Prudemment, le chef de l’Etat français parle de « décentralisation » pour ne pas lâcher un gros mot comme autonomie qui pourrait effrayer une majorité de la population malienne hostile aux touaregs minoritaires du Nord du Mali. Mais il ne s’agit plus, selon lui, « de faire semblant de faire ».
A bon entendeur salut!
La réthorique anti terroriste qui se mord la queue ne sera pas celle de l’Elysée. « Les assassins », affirme Emmanuel Macron, se sont nourris de nos faiblesses, de nos hypocrisies, des complexes du passé, de notre inefficacité collective ». On l’aura compris, le droit d’inventaire selon Macron concernera, et plus vite qu’on pensait, la politique africaine de la France.
LU POUR VOUS DANS « LE MONDE AFRIQUE’
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Best off 5: lifting sévère de la politique africaine de la France
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Nicolas Beau
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On se doutait bien un peu que la politique africaine d’Emmanuel Macron ne serait plus celle de François Hollande. La marginalisation d’un Jean Yves Le Drian très amer aux Affaires Etrangères, cornaqué par un fidèle de l’Elysée comme directeur de cabinet, ainsi que la transformation du ministère de la Défense en un simple ministère des Armées confiée à une proche de Lionel Jospin, Florence Parly, formée … aux finances publiques, montraient clairement qu’il ne s’agissait plus de confier les clés de la politique africaine de la France au général Pugat, chef d’état major particulier de Nicolas sarkozy puis François Hollande, et aux siens.
Adieu à la Françafrique
Mais ce dimanche 2 Juillet à Bamako, Emmanuel Macron a franchi un pas supplémentaire. On sent désormais le poids de ses conseillers Afrique, de brillants technocrates formés à Bruxelles et à New York aux idées de bonne gouvernance et de respect des droits de l’homme. Sur fond d’une culture anglo saxonne
. Dans le discours qu’il a adressé aux chefs d’Etat du G5 le dimanche 2 juillet à Bamako, Emmanuel Macron a prévenu les présidents présents (Niger, Mali, Mauritanie, Burkina et Tchad) qu’il recherchait des objectifs et des résultats. On est loin du sentimentalisme d’un Hollande expliquant en 2013 au Mali au milieu des soldats qu’il avait vécu « le plus beau jour de sa vie ».
Avis de tempète
« Ce sera à vous et à vos armées, a tranché Emmanuel Macron; de convaincre que le G5 peut être efficace dans le respect des conventions humanitaires. Les résultats doivent être au rendez vous pour convaincre nos partenaires ». Comprenons, « je suis prêt à aller chercher de l’argent à Bruxelles et à Berlin pour maintenir le niveau de l’aide actuelle, mais à vous de prouver que cet argent sert vraiment la lutte anti terroriste et ne connait pas quelques pertes en ligne du fait des bakchichs prélevées par les gouvernements en place.
Et ce n’est pas tout. « La bonne gouvernance » est désormais à l’ordre du jour. Alors que « Papa Hollande, à l’ancienne, fermait les yeux sur les présidences à vie et les atteintes aux libertés de ses amis de l’Internationale socialiste comme Issoufou le nigérien ou IBK le malien, le ton a changé. Il faut, affirme le président français, mener « des réformes constitutionnels ».
IBK au piquet
L’avertissement d’Emmanuel Macron s’adresse particulièrement au président malien IBK porté au pouvoir par la France en 2013 et qui n’a guère avancé depuis sur « des accords de paix » avec des mouvements dissidents du Nord Mali, tels qu’ils avaient été prévus à Alger en 2015. Prudemment, le chef de l’Etat français parle de « décentralisation » pour ne pas lâcher un gros mot comme autonomie qui pourrait effrayer une majorité de la population malienne hostile aux touaregs minoritaires du Nord du Mali. Mais il ne s’agit plus, selon lui, « de faire semblant de faire ».
A bon entendeur salut!
La réthorique anti terroriste qui se mord la queue ne sera pas celle de l’Elysée. « Les assassins », affirme Emmanuel Macron, se sont nourris de nos faiblesses, de nos hypocrisies, des complexes du passé, de notre inefficacité collective ». On l’aura compris, le droit d’inventaire selon Macron concernera, et plus vite qu’on pensait, la politique africaine de la France.
Avec les MWANA OYOUROU , AU POUVOIR POINT D’espoir ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;MON Père avait raison quand il fustigeait , ces gens de l’eau , des canailles futiles et incompétents , dont les blancs sont friands ;;;;;;;;;;;;;;
Résultat ;; c’est tout un pays à la dérive .
La gestion orthodoxe ,Certaines tribus n’en ont pas dans le sang ;;;;et cela ne s’invente pas ;
lire ;;; incompétentes
Toujours des messages toxics de nos parents soit disant diaspora,la haine ne conduit pas au developpement d un etat.alors votre bavardage na pas de place dans toute societe surtout africaine ,il me s emblerait que vous vivez dans un monde abstrait la ou les faits sont imaginaires.et pour ceux qui se font anonyme sa prouve que vous etez pas veridique et vos infos n ont pas d actes de naissance.si nous sommes fatiguer de vivre a l etranger il faut rentree au lieux de se faire idiot et ridicule en parlant pour distraire les gens.si vous voulez de la politique ne faite pas online ,voila pouquoi nous devons laisser la politique aux politiciens.en afrique tout le monde veut devenir president pas etonnant.ceux vos avis .mais il faut apaiser les mots pour un lendemain positif ,parlant plus paix que guerre c est pour le bien de tous .
Cette question interrogative a fait l’objet d’une orageuse discussion A COLOGNE …
Certains tribus congolaises sont elles prédisposées à diriger notre pays ,,,,,?????.
Ce dont souffre , notre pays , c’est l’absence de réponse patriotique à cette question ;;;
l y a eu quand même certains congolais de la diaspora candidats aux élections legislatives au Congo. S’ils étaient élus, ils allaient donc travailler pour ce même Sassou Nguesso que nous critiquons. Je réalise que les gens critiquent Sassou parcequ’ils sont dans la galère. Si Sassou leur proposait des posts, ils iront travailler pour lui. C’est pourquoi, la bataille contre Sassou est loin d’être gagnée. Les congolais ne sont que des hypocrites.
Mark ,tu as plainement raison c est une attention particuliere ,car un enfant a besoin de sa mere pour le lait maternel.ils doivent aller faire la politique je trouve que sa leurs vos .cessez le bavardage et n imposer pas vos opignions aux gens de les acceptees gratuitement sont quelles soient verifier ,car il ya beaucoup de fakes news.le climat de paix ce c est qui va faire que nous solvons les frictions et fractions ,alors ne prenez pas le pays en hotage en bloquant tout processus democratique.ecoutez vous avez les enfants ils chercheront le pays de leurs parents,voila pourquoi vous etez oblige d etre pacifique dans vos propos
Un mot pour vous dire mes encouragements pour votre initiative. L’Association citoyenne du Congo Brazzaville mérite le soutien de tous les épris de justice et de liberté. La situation « privilégiée » de la diaspora lui assigne un devoir de solidarité avec les victimes innocentes d’une classe politique congolaise aux abois. Victimes d’une classe politique ou victimes de Sassou ? Vous préférez, j’en suis sûr, la 2ème formulation et c’est cela qui m’effraie. Vous usez comme d’une ruse qui consiste à instrumentaliser notre profonde aversion pour Sassou dans le but de nous refaire le coup de 1992. Prendre le pouvoir par des élections démocratiques et ensuite le confisquer au profit d’une élite tribalo-régionaliste, au sectarisme assumé.
Il est dangereux de faire de Sassou l’arbre qui cache la forêt c’est-à-dire le prétexte qui permet d’éclipser la seule question qui vaille aujourd’hui sur le cas du Congo, à savoir comment la quête démocratique actée par la Conférence nationale qui a rejeté Sassou a-t-elle pu engendrer Sassou II ? Pourquoi de 1992 à nos jours la violence politique continue-t-elle à embraser notre pays ? Cette question heurtera certainement votre croyance profonde selon laquelle il y aurait une discontinuité historique entre le dictateur sorti des urnes en 1992 et le dictateur qui a pris le pouvoir par les armes en 1997. En effet, grâce à cette croyance nécessaire à votre démarche et que vous essayez de nous faire partager subrepticement, vous pouvez continuer à nous asséner cette réponse toute faite et largement usée mais qui continue à satisfaire les antissassouistes primaires : « c’est la faute à Sassou ». Il suffit donc de le faire partir et tout ira pour le mieux. Comme si on n’avait pas déjà réussi à le faire partir.
Si pour ma part, je salue l’élan qui préside à votre initiative tout en me refusant d’y prêter main forte, c’est que, comme vous le savez, le plus important ce n’est pas « la chute mais l’atterrissage ». Il est certes plus facile de nous mobiliser en vue de faire chuter le tyran -parce que nous espérons tous ce moment- que de nous fédérer sur la base des transformations à opérer au Congo pour tarir la source de la tyrannie afin que cette dictature soit la dernière dans le pays. Or, en l’occurrence, c’est le difficile qui est le chemin et non la facilité. Ma vraie frayeur, c’est de constater que, pour l’après Sassou, vous continuez à rêver d’un autre homme fort, un messie plénipotentiaire, Mokoko peut-être, pour nous sauver. Non, la situation est trop tragique pour penser y remédier par le changement d’un homme fort par un autre. C’est à désespérer d’une intelligentsia embourbée dans la politique là où on attend d’elle une pensée politique, donc de l’inventivité et de l’imagination. Dénoncer, c’est bien mais énoncer, c’est mieux mais, bien sûr, plus ardu.
ZIKA WA ZIKA