Interviewé par Aristide Mobebissi de » Brazza Paris Infos « , Alexis Richard Miayoukou, ancien Conseiller du Premier Ministre Milongo, Conseiller Supérieur de République (parlement de transition de 1991), réaffirme les axes stratégiques du volet « Justice Transitionnelle » du Projet « l’Impératif d’une transition politique réparatrice sans Sassou et son système: poursuites pénales contre les crimes humains et économiques, réparations pour les victimes, réformes des forces de sécurité…Il invite les congolais, cadres civils et militaires qui hésitent à vaincre « la peur des lendemains » et à partager une idéologie de la libération fondée sur un changement qualitatif maîtrisé pour une nation réconciliée.
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Pour mieux lutter contre les virus de la famille des coronaviridaes (coronavirus) et contre les pouvoirs antisociaux et criminogènes de type Sassou Nguesso ; les résistants congolais doivent pouvoir travailler ensemble, sans naïveté, mais animés d’un même esprit de conscience et de responsabilité individuelle et collective.
Cher frère Alexis,
Juste un mot, merci pour cette excellente prestation qui montre une fois de plus, qu’une Transition politique « excluant Sassou et son système » est un impératif, et qu’il est plus qu’urgennt de proposer des solutions pour un changement maîtrisé , car ce système mafieux qui ne doit sa survie qu’à ses alliés étrangers finira par s’effondrer comme un château de carte.
Un pays réconcilié sur la base de la justice » Transitionnelle » est possible…TO BE CONTINUED
Un pays réconcilié avec tous ses crimes ??? faut pas rêver
La réconciliation avec les meurtriers les génocidaires et les voleurs c’est une autre façon de faire la cérémonie de lavement de mains
Ce début de prise de conscience institutionnelle va dans le bon sens .Mais ,il va falloir nihiliser toutes les missions présidentielles au point de néantiser le statut du président de la république au CONGO BRAZZA..
C’est le sort qu’offre ,de façon institutionnelle ,le fédéralisme à la fonction présidentielle .C’est le figurant de la république réduit au simple symbolisme .Que désormais ,nul congolais ne peut se prétendre omniscient et transcendant du simple de la magie de l’élection démocratique …
Voilà ,c’est acter pour tout le monde …
Votre ébauche de réflexion institutionnelle est , pour l’heure ,compatible aux exigences fédéralistes et nous attendons d’en savoir davantage au terme de vos travaux ..
L’ESSENTIEL , CHERS COMPATRIOTES ,C’est la vie bonne pour tous les congolais .Mon obsession maladive ,c’est de revoir , après SASSOU ,une autre dictature tribale et sauvage au CONGO BRAZZA …
Imaginons tous les scénarii institutionnels possibles évitant au pays sa finitude .
Par contre, notre compatriote Alexis ,semble verser dans l’excusisme aux relents de la conférence nationale où nous avons appris plus à échouer qu’à réussir..
Votre rhétorique, selon laquelle ,ceux qui collaborent avec Sassou n’ont rien à craindre de la probable vindicte populaire qui se dessine postsassou ,crée un doute métaphysique..
Pourrait on excuser un Mvouba, entre autres.?
L’histoire politique congolaise nous a habitués à repasser les mêmes plats et avec la même appétence gustative , devrons nous ,cette fois ci , y succomber ?