IMPUNITÉ : JUSQU’OU L’AFRIQUE EST-ELLE PRÊTE ?

Publié le 05/09/2014 par congo-liberty.com

impunitéL’attitude toute récente de l’Afrique et des Africains de poursuivre en Afrique même, les leaders et les dirigeants convaincus de crimes contre l’Humanité, exprime une inversion de tendance qu’il y a lieu de soutenir et d’élargir, pour les portes qu’elle ouvre comme pour les nouvelles lignes d’horizon de pensée et d’action qu’elle laisse entrevoir. Voici donc venu le Temps de Repenser les questions stratégiques de l’Afrique, à commencer par celle des futurs africains, en rapport avec l’Action.

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3 réponses à IMPUNITÉ : JUSQU’OU L’AFRIQUE EST-ELLE PRÊTE ?

  1. Mfoa dit :
    06/09/2014 à 11:43

    Quoi d’étonnant?

    Ainsi va Kama (nom antique de l’Afrique)!
    Tant que les peuples africains ne se lèveront pas pour faire des révolutions internes! Le calvaire africain a encore de beaux jours devant lui.

  2. Isidore AYA TONGA dit :
    07/09/2014 à 11:00

    Voici donc venu le Temps de Repenser les questions stratégiques du Congo Brazzaville, à commencer par celle de la gestion de l’individu ou du citoyen , en rapport avec l’Action des politiques socioéconomiques et environnementales sur différentes échelles: locale, régionale et nationale.

    Problème: une organisation quel qu’elle soit état, entreprise ou association peut-elle efficacement fonctionner sans prendre en compte les problématiques traçabilité, fiabilité et cycle de vie des données entrantes et sortantes?

    Un état peut-il planifier et élaborer un management socioéconomique, culturel et sociétal stratégique et opérationnel sur différentes échelles – quand les données biostatistiques de la population sont faussent? Ça ne colle pas !

    Le plan d’action de tout gouvernement reste-il une œuvre humaine et donc perfectible? Cela implique t-il la prise en compte de bien d’autres informations au-delà du simple état civil, carte d’identité et passeport informatisée biométrique, et carte électorale des citoyens?

    Fiabiliser scientifiquement et techniquement les données statistiques – c’est aider les différents acteurs de la vie publique ou politique, juridique, sécuritaire, militaire, socioéconomique, culturelle, environnementale et sociétale à se libérer et à pouvoir conquérir la maitrise de ces données et donc construire pas à pas la démocratie, la société et la civilisation nouvelle.

    En effet, la fiabilité des données statistiques est le signe tangible des connaissances, de la liberté, de la justice, de la démocratie, du savoir, de savoir-faire, de la créativité, de l’innovation, des technologies, des valeurs ajoutées, du progrès, de la société et de la civilisation.

    Objectifs !
    Restructurer l’état,
    Restaurer le rang africain,
    Développer un état digne et respecté par la communauté africaine et internationale.

    Devenir un vrai pays émergent à l’horizon 2050 à 2083, c’est à dire  » maitre d’œuvre » d’au moins 30 à 50% des infrastructures, superstructures et ou des grands travaux – tel est le vrai sens ou définition de pays émergent.

    État d’esprit 2017 à 2050: éducation/recherche/développement/innovation/croissance économique/ grand marché africain et international.

  3. PATRIOTE ATTERRE dit :
    07/09/2014 à 16:44

    CE QU’ON NE DOIT PLUS PARDONNER

    Le Congo avait décidé d’utiliser la cérémonie de lavement des mains très symbolique dans nos coutumes BANTOU pour pardonner et repartir d’un bon pieds; mais quel est le résultat:

    LISSOUBA se sentant peut être menacé a créé des milices parallèles en moins d’une année et le résultat est connu par la suite en liquidant en 1 année tous les acquis de la CONFÉRENCE NATIONALE. Et quand on connait son passé dans les assassinats politiques de la Défense civile, Fallait-il le pardonner?…

    SASSOU revenu au pouvoir semble faire pire en matière de délinquance financière que dans SASSOU I avec une tribalisation décomplexée dans la gestion de la chose publique. Et avec cette histoire de miliciens de TSAMBITITSO, Fallait-il le pardonner?…

    Non je crois que cela ramène au CONCEPT DE HAUTE TRAHISON.

    Quand il s’agit de HAUTE TRAHISON, il ne faut pas pardonner:
    Il ne faudra pas pardonner :

    – A SASOU, s’il nous entraine dans une nouvelle guerre civile car il n’aura aucune circonstance atténuante vu son parcours et ses antécédents: La solution JERRY RAWLINGS

    -Aux Universitaires qui ont poussé leur cupidité jusqu’à créer des TRÉSORS PUBLICS privés d’ou se volatisent nos précieuses ressources, eux qui fils de paysans ont passé 10ans aux frais du pauvre CONGO, n’arrivent pas à verser 3 mois de bouses aux étudiants sur 12 mois en tant SUPER MINISTRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCE. HAUTE TRAHISON:LA PERPET.

    -AUX ÉTERNELS MINISTRES qui assistent à cette saignée alors que des jeunes du Métier Ministériel comme Le Ministre SILOU arrivent à s’émouvoir sur des ouvrages bâclés en s’écriant:

    NOS ENFANTS DETRUIRONT SES OUVRAGES qui les ont endetté pour rien.
    Ce qu’on avait leur pardonner quand ils sont arrivés à 30 ans MINISTRE en achetant RICHESSE et LONGÉVITÉ à coups de bradage pétrolier, il ne faut qu’on le leur pardonne à presque 68 ou 70 ans: HAUTE TRAHISON: PERPET.
    M. NDZON estime le gap a: 13000 MILLARDS – 1200 MILLIARDS entre 2003 et 2013 TERRIBLE d’entendre des choses comme ça, quand un Doyen est aux affaires, parce que sans le connaitre, j’ai partagé avec lui les mêmes professeurs des années après qui m’a dit du bien de lui sur la maitrise des politiques économiques.
    En attendant je commande le livre….

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