Eugène Fernand Loubelo affirme que Sassou-Nguesso a transformé le Congo-Brazzaville en Royaume Mbochi, où tous les postes de la haute fonction civile et militaire sont occupés par les mbochis qui appartiennent à son clan. Cette communication a été faite le 25 juin 2022 à Paris à la Conférence sur les Forces Armée et de Sécurité du Congo-Brazzaville.
LE CONGO-BRAZZAVILLE APPARTIENT AUX NGUESSO…YANGO NA YANGO
Diffusé le 26 juin 2022, par www.congo-liberty.org
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Le Congo-Brazzaville c est une colonie et c est la France qui en tire profit.
« C’est le pays à eux « : disait un ancien conférencier..
La marchandisation du pouvoir politique est en marche forcée, validée par le grand maître Sassou.
Il est le faiseur de tout ,et cause de soi …
Les institutions du Congo l’y autorisent et il en joue …..
La libération du Congo de sassou est plus que prégnante…Si c’est l’homme politique qui est la cause de notre malheur ,car ne respectant les règles institutionnelles , alors le Congo pourra toujours attendre cet homme politique parfait, omniscient, et omnipotent…
Voilà une utopie intellectuelle qui ridiculise ceux qui y croient…
Les fédéralistes ont pensé à rebours de cette argumentation en priorisant la conception d’une idée institutionnelle,en amont,qui rend inoffensive la fonction présidentielle.
D’où l’idée du président de la république symbolique ,ou absence de cette fonction au sommet du Congo….
C’est la nouvelle épidémie familiale politique emmenée par ce parti de criminels qu’est le PCT…
Cette génération nourrie au bain mari politique souhaite jouer les prolongations de manière éternelle ,le Congo leur appartenant exclusivement …
C’est la magie du goût politique dont se délectent tous ces enfants inconscients des enjeux du Congo,mais conscients du bénéfice financier qu’ils en peuvent tirer …
Une reproduction nuisible à la bonne marche du Congo dont l’unique but est garantir et la sécurité familiale et la sécurité financière…
Le Congo, à travers le fédéralisme saura y répondre de façon magistrale . Cette racaille n’a qu’à bien se tenir ..
Faire reposer l’avenir du Congo sur la volonté d’un homme politique supposé être parfait tient de la folie et d’une inconséquence pathologique…
Car l’exercice du pouvoir politique peut aliéner ,animaliser et diaboliser son comportement politique au point d’en faire un dictateur… à l’image stupéfiante de
Sassou….
C’est une erreur intellectuelle de croire en l’homme politique congolais.. Comprendre l’homme politique, c’est croire à sa capacité à fournir des idées qui permettent à un pays de prendre le chemin du progrès sans y associer son envie de profiter du pouvoir…
On ne peut présager du comportement politique d’un politique,une fois arrivé aux affaires publiques….
C’est Spinoza qui disait : » l’homme est un dieu pour l’homme » , c’est à dire l’homme est un mystère pour l’homme .
C’est la précaution institutionnelle qui doit l’emporter sur une éventuelle arrivée du messie politique congolais..
Que disait – on de sassou ?
Certains le prenaient pour une femme ,un mou , un abbé Pierre congolais, etc .
Résultat : un véritable cauchemar congolais…
Chers compatriotes ,
Au vu de la difficile expérience politique que connait le Congo ,la meilleure parade contre toute folie politique à l’instar de celle que Sassou administre au pays, c’est la neutralisation de cette maldonne institutionnelle que nous héritons de nos anciens obsédés par la libido dominadio , cette espèce d’affect impactant et la raison et l’ataraxie de tout un peuple.
Le Congo n’a nullement besoin de cette fonction présidentielle pour enclencher son développement économique..et social…
Une bonne idée suffirait de transformer le cauchemar en un océan de bonheur…
Le frère Loubelo relate une réalité factuelle que l’état Mbochi est bien établi ! Seuls des imbéciles ,des ignorants et les éternels sans avis peuvent ne pas réagir contre cette Mbochitisation de l’état ! Sachant que Toute neutralité caches une lâcheté qui a honte de sa vouer ! Marien Ngouabi rêvait d’un état nordiste, Sassou Dénis a créé l’état Mbochi . Nous devons conscientiser les esprits moins éclairés pour un éventuel soulèvement populaire contre cette barbarie Mbochi !
La synthèse orale de M. Loubelo relève désormais d’un consensus. il n’y a guère plus de place ni pour une relecture ni pour une réécriture de notre histoire collective récente. Au demeurant, elle renvoie au concept d’Etat-Cartel développé par M. Constant Peya, concept vis à vis duquel il convient d’apporter des données supplémentaires d’analyse.
Dans l’esprit et la lettre de son auteur, l’Etat congolais comme Etat-Cartel est d’abord et avant tout un réseau de familles, du moins, une articulation et/ou un entrelacement politique et idéologique de noms figuratifs d’arbres généalogiques. La distinction entre ces familles selon qu’elles soient de la majorité-le PCT- ou de l’opposition-l’UPADS- est une fiction qui serait risible, s’il n’y avait jamais eu le million de morts innocents sur l’autel de ce pacte familial. D’ailleurs, cette distinction factice n’apparaît qu’ en 1992, à l’issue des travaux de la Conférence Nationale Souveraine. Sinon, tous sont issus d’un seul et même creuset du PCT. Et tous se réclament de la sociale démocratie, sans qu’on ait su de leur part, à quel contenu renvoyait la social-démocratie dans un pays dépourvu de prolétariat.
En somme , ce qui définit ce pacte familial, c’est moins le principe de la culture que celui socio-biologique de la nature, du sang. Sang symbolique et sang physique. Avec l’endogamie de « clan » ou de groupe familial comme clef de circulation des femmes, clef d’autorisation de la baise et de la procréation indifférenciées -sans observation de la loi de l’inceste-, de la répartition des différentes rentes (pétrolières, forestières, minières) et de structuration des types et des niveaux d’allégeances, les clientèles.
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Le principe du sang opère doublement: il assure d’une part la cohésion interne et externe du groupe familial et, d’autre part, il autorise que s’opère la distinction entre les bonnes et les mauvaises familles, les alliées structurelles des alliées conjoncturelles. Par son extension à l’ethnie ou à la tribu, le sang crée un phénomène redoutable, le tribalisme, et donc, l’exclusion des autres -l’apartheid- et le racisme. De sorte que le tribalisme-idéologie des bureaucrates – nous indique Hannah Arendt, n’est rien d’autre que du racisme.
Le fait nouveau apparu récemment et très avantageusement pour » l’Etat-Cartel », c’est la naissance sociale et politique des « héritiers », au titre de la reproduction sociale de ces familles, du « pacte familial », de pensées et autres actes de ségrégation et de domination posés par leurs parents. Au regard de l’histoire et des pratiques électives douteuses au Congo, il ne fait l’ombre d’aucun doute que la trentaine d’héritiers répertoriée sera élue à la députation en Juillet 2022.
Pour en assurer la cohésion interne et externe, M. Peya nous fait observer la place et le rôle de la « corruption » et de la bureaucratie -l’appareil idéologique et répressif d’Etat- dont la pertinente légitimité devient une arme dissuasive, anti-démocratique, au service des intérêts particuliers du réseau.
La dimension morale et éthique de la corruption ne fait pas oublier qu’ elle témoigne du fait redistributif des rentes entre les membres de ce réseau de familles. Des familles qui s’appliquent à elles et aux allegeants, la théorie du ruissellement à partir « Trésor public ». Avec, en contrepartie, le silence, le mutisme, à observer. Même devant un avocat.
Pour Nietzsche, la corruption est une « maladie sociale ». Elle est le signe d’un « relâchement » devant les exigences collectives et d’un « brouillage » de la raison. Elle donne lieu à la naissance d’un César qui, lui, est un « individu plus mûr », qui va profiter de la » lassitude générale ». De Napoléon à son épouse qui émettait des réserves sur sa fidélité, Nietzsche rapporte ceci: » J’ai le droit de répondre à toutes vos plaintes par un éternel moi. Je suis à part de tout le monde, je n’accepte les conditions de personne. Vous devez vous soumettre à mes fantaisies et trouver tout simple que je me donne de pareilles distractions ».
En somme, l’Etat impérialiste-colonial puis néo-colonial- dans son expression historique congolaise est un « Etat-Cartel », doublement fondé par le racisme et par la bureaucratie. Pas du tout médiocre au regard des intérêts du réseau. D’où la violence politique et tous ces meurtres d’innocents. Sans jugement. Souvent. Cet Etat n’est alors jamais rien d’autre que le prolongement de celui-là même qui a été fabriqué par Savorgnan de Brazza et les siens.
Merci à M. Constant Peya pour la pertinence de ses observations et de ses analyses. En guise de porte de sortie, vivement la loi réhabilitée et le droit , à commencer par notre droit coutumier. Vivement l’Etat fédéral.
Monsieur Loubeo parle d’ un fait bien établi actuellement au Congo. L’état Mbochi . Ciomment est on arrivé là et que kles Congolais laissent les choses évoluer ainsi et ne se préocupent qu’aller à la soupe, attendre chaque élection pour prendre quelques maigres billets de franc CFA distribués par le Parti bidon PCT, cela est une honte épouvantable.
Combien de temps allons nous laisser cette Mbochitisation humiluante de l’état ?
Sassou Nguesso, son PCT, sa famille sont le mal du Congo.Sassou Nguesso, son PCT sont des terroristes. Avec eux toujours au pouvoir le peuple Congo , lea république du Congo ne connaitrons plus une vie paisible, saine un progres notable. Congolais unissons nous, Laissons la peur à part pour notre liberté
C’est Max Weber qui parlait du « : désenchantement du monde » , c’est à dilre la rationalisation de la pensée .Car le Congo sous Sassou est à l’état nature, et sauvage où la progéniture se croit obligée d’imiter les libéralités criminelles dont se rendent coupables leurs indignes géniteurs..
D’où le recours à la pensée bien pensée pour un Congo ouvert sur soi et donc sur le monde ..
Ce Congo croule ,sans fard , sous la loi des plus indigènes des individus congolais. Ce qui en fait un pays d’où ne sortent que des ratés de la vie intellectuelle,qui se vengent de l’échec scolaire,en prenant en otage les finances publiques..
Comment expliquer que ces jeunes s’adonnent à la gestion des affaires publiques sans disposer d’aucunes expertises et expériences dans une quelque profession que ce soit ?.
Quelle est l’expérience professionnelle du fils d’Edgar Nguesso ?.etc.
Ce Congo nous offre une image pathétique,qui le rabaisse au ras de pâquerettes…
Voilà comment on construit un pays d’émigration où tout espoir fondé sur l’utilisation efficiente de l’esprit est relégué aux calendes grecques…
Les vraies causes de tout ceci est Mr KOLELAS BAKANA Bernerd…., il avait signé le pacte avec le diable du jour au lendemain de la nomination d’un premier ministre issue des forces de l’opposition de l’époque, alors aujourd’hui dansons puis qu’ayant chanté tout l’été…
La culture de la bêtise congénitale a remplacé celle de l’effort de soi .Quels mérites ont ces renégats de la morale pour oser traduire dans les faits ce que leurs géniteurs n’ont pas pu réaliser pendant plus d’un siècle au pouvoir ?
A croire qu’ils seraient nantis d’un brevet de pure congolité pour se prendre indispensables à la vie de la nation congolaise .
C’est HUME qui croyait à l’accoutumance pour nier la causalité des faits pour justifier la connaissance empirique .
Ces divers fistons nous en donnent l’expérience sensible .HUME doit s’en frotter les mains ,car l’habitude de voir leurs géniteurs voler , piller , tuer et empoissonner les a séduits au point d’en devenir des véritables assassins en puissance .
Pour une fois , DAVID HUME s’offre une victoire sur KANT pour qui la connaissance s’appuie sur deux facultés : l’entendement et la sensibilité .
Au CONGO de SASSOU , c’est l’habitude qui est le fondement de notre connaissance .
A force de voir leurs parents voler ,ils deviennent aussi des futurs voleurs ….Sacré HUME .
Sa doctrine gnoséologique est validée au CONGO de SASSOU .Il fallait y penser .Et moi , je n’en pense pas moins .
Eh oui . Un chien n’engendre pas un chat .
Ces enfants , au regard d’ARISTOTE , sont des puissances en acte ,car c’est l’acte qui actualise la puissance .
Autrement dit : la puissance ,c’est ce désir de devenir quelque chose ou quelqu’un .L’ACTE ,C’EST LA FINALITÉ OU THÉLOS ,c’est à dire le poste de député .
En gros , c’est le réalisme ARISTOTÉLICIEN qui se déploie au CONGO BRAZZAVILLE .
Nous sommes entrain d’assister à la manifestation de la pensée antique initiée par ARISTOTE sur la métaphysique des quatre causes .
C’est en cela que la philosophie peut nous aider à appréhender la réalité de la réalité ,c’est à dire du monde .
Dommage que cette pensée antique soit ,politiquement ,mise en scène dans notre pays SUPPOSÉ DÉMOCRATIQUE ,mais qui ,dans la pratique mbochiste ,s’est inscrit dans une logique monarchique…..
C’est l’envers de cette confiance aveugle que l’on accorde à un politique congolais pour qui respecter l’esprit institutionnel tient de la mascarade et de l’ignorance du peuple congolais .
Question :
Comment casser cette forme d’Aristotélisme du pouvoir politique congolais ? Sachant que sa prédiction entélechique est en marche .