En réponse au Gouvernement dictatorial du Congo, la déclaration de Me Massengo-Tiassé sur le mandat d’arrêt international ; la pratique de la torture et du génocide en cours au Congo

Massengo-Tiassé et le Général Mokoko, le 7 mars 2016

Massengo-Tiassé et le Général Mokoko, le 7 mars 2016

Les autorités de la nouvelle république du Congo ont lancé contre ma personne un mandat d’arrêt international pour détention illégale d’armes de guerre. Cela me fait sourire. Je crois que c’est un canular, si c’en est pas un, dans ce cas je doute que ce ministre jouisse de toutes ses facultés ? Moi je suis persuadé qu’il est incapable de répondre aux faits évoqués dans le rapport de plus de 43 pages, déposé à l’ONU et à La CPI et qui a été remis dans plusieurs chancelleries en Europe, qui semble-t-il fait trembler le pouvoir.

En expert des droits de l’homme nous avons consigné avec précision toutes les exactions d’un pouvoir usé devenu tyrannique. Il faut bien entendu une bonne dose de mauvaise foi pour voir dans la dénonciation des violations des droits de l’homme au Congo et des crimes contre l’humanité en cours dans le pays et particulièrement au Pool et dans la Bouenza, une quelconque responsabilité dans ce qui s’est passé le 4 avril 2016 à Brazzaville, alors que je n’étais plus dans la capitale depuis le saccage de ma résidence de Mayanga.

A trois reprises les escadrons de la mort sont venus chez moi de jour comme de nuit. Ils n’ont jamais trouvé des armes. Ils se sont même rendus à l’hôtel Saphir, à ma recherche. Les armes dont on m’accuse de détenir proviennent d’où ? Le rapport déposé aux Nations Unies et à la CPI fait allusion à toutes ces opérations des milices du pouvoir qui avaient pour but également de m’attraper ou de m’éliminer physiquement et faire croire que je détenais des armes de guerre pour le compte du Général Mokoko dont j’étais le Conseiller pendant sa campagne présidentielle. La preuve lorsque la police politique et les escadrons de la mort sont arrivés à Mayanga avec plus de deux cents éléments représentants toutes les milices, j’étais sur place, je me suis éclipsé, sans qu’ils ne me voient. J’ai eu la vie sauve parce que Dieu m’aime, mes ancêtres et les victimes de ce pouvoir veillent sur moi. Ils m’ont aidé à quitter le pays, c’est aussi cela la vérité. Le Saint Emile Cardinal BIAYENDA, martyr de la foi m’a toujours protégé,  il ne m’abandonnera jamais. C’est aussi cela mon témoignage.
Tant pis pour ceux qui ne veulent pas croire. C’est pourquoi par la vérité de la miséricorde de Dieu, nous membres de l’association Emile Biayenda Santo Subito, interpellons le Vatican de proclamer la canonisation de ce martyr de la foi tué par Sassou Nguesso , voici bientôt 40 ans.
Ma vie était mise en danger à plusieurs reprises par des tentatives d’enlèvements nocturnes. Je n’ai pas fui le Congo, je suis parti en France pour un contrôle médical que je devais effectuer en décembre 2015, suite à l’empoisonnement dont j’étais victime en 2012, lorsque j’étais empêché de prendre le vol AF 897 du 5 décembre 2015. J’ai été persécuté durant une longue période d’octobre 2015 au 31 mars 2016. Après l’interpellation ratée du 28 mars 2016 à Mayanga où ils ont tenté de déposer deux caisses d’armes et de munitions, j’ai décidé de quitter Brazzaville le jeudi 31 mars 2016 en me réfugiant d’abord dans le Pool. Mon voyage en Europe était bel et bien prévu, afin d’une part, d’effectuer mes contrôles et soins médicaux attestés par mes Médecins et d’autre part, de fêter en famille les 30 ans de ma soutenance de thèse de doctorat d’Etat en droit dans la nouvelle spécialité du droit international des droits de l’homme.

Le juriste Mabiala, non expert sur les questions des droits de l’homme, est incapable de répondre ou de contredire les faits évoqués dans ce rapport, faits qui sont incontestables, irrécusables, irréprochables, irréfragables, irréfutables et inattaquables. Ce gouvernement illégitime qui pue le mensonge, la tricherie et les crimes en se servant des montages policiers pour étouffer la vérité, est réputé dans la théorie du complot initiée en mars 1977, par Sassou Nguesso chef de la junte militaire, reconnu responsable, par la conférence nationale souveraine, des assassinats des Présidents Marien Ngouabi et Alphonse Massamba Débat, du Cardinal Emile Biayenda , du Capitaine Luc Kimbouala Nkaya Saint cyrien, Ancien Chef d’Etat-major Général, Kikadidi, Samba dia Nkoumbi,Ndoudi Nganga et d’autres victimes innocentes.
J’avais toujours dit que la confiscation du pouvoir ne passera pas. Très tôt je l’avais dénoncé le 6 mai 2012 à RFI en tant qu’invité de Christophe Boisbouvier. C’est pourquoi je me suis rangé du côté du peuple, de l’opposition et du Général Jean Marie Michel Mokoko qui incarne l’assurance et l’espoir de voir un véritable Etat de droit au Congo avec une bonne administration de la justice et une force publique républicaine.
Je fais partie des Congolais qui résistent et résisteront jusqu’à la fin du régime oppressif et sanguinaire de Sassou Nguesso. Je le sais aussi qu’on a planifié et programmé mon assassinat à défaut de tenter un nouvel empoisonnement, car le premier a été un échec, mon organisme a résisté et digéré le poison qui n’a pas laissé les séquelles grâce à Dieu.
Moi je me bats pour faire valoir les droits de l’homme, c’est-à dire les droits humains qui sont différents des droits humanitaires, que le ministre ignorant confond aux droits de l’homme l’autre appellation « droits humains » adoptée à la conférence mondiale des droits de l’homme du 14 au 25 juin 1993 à Vienne en Autriche.

Le régime qui s’est imposé par les armes le 4 avril 2016 veut légitimer son pouvoir qualifié de tyrannique en nous donnant une leçon dans un domaine que son ministre de la justice ne maîtrise pas, ni même son ministre de la communication. Je connais les règles du droit international et particulièrement le droit international des droits de l’homme dont je suis le premier spécialiste francophone depuis mars 1986. Ce pseudo mandat d’arrêt sera voué à l’échec. Ce n’est pas la première fois que je suis confronté à ce genre de poursuite illégale. Me reprochant de faire valoir ma liberté d’expression, en octobre 1994, le régime du Professeur Pascal Lissouba, qui pourtant assista à ma soutenance de thèse, avait lancé un mandat d’arrêt contre moi. Monsieur Mabiala était l’avocat de l’Etat et le mandat d’arrêt était nul et non avenu.
Il faut que le Ministre sache que le droit international des droits de l’homme est un droit de protection permettant à l’individu d’obtenir le rétablissement de ses droits fondamentaux, c’est pourquoi en ma qualité de spécialiste et défenseur des droits de l’homme, je ne peux pas me taire et boucher les oreilles lorsque j’ai connaissance des exactions dans un pays et surtout le mien. Je considère ce qu’on me reproche comme un grossier montage policier, qui trouve probablement sa source en faisant avouer par la torture des jeunes desperados ou des pauvres jeunes innocents, et d’affirmer qu’ils ont reçu des armes et de la drogue de ma part.
La fachosphère actuelle du Congo poursuit tous ceux qui résistent contre la tyrannie de Sassou et son clan. La preuve nous est donnée par les enlèvements des opposants ou des cadres qui n’adhèrent pas à son projet de confiscation du pouvoir et d’épuration ethnique. Le Colonel Loembé et le Docteur Augustin Kalla Kalla ont été sauvagement torturés à mort. De nombreux anonymes subissent le même sort, récemment des dizaines de jeunes de Mouyondzi.
Je ne suis pas un criminel et je ne crois pas que le Pasteur Ntumi soit un terroriste. Il ne fait que résister comme l’a fait Sassou Nguesso de juin à octobre 1997, contre le pouvoir de Lissouba. A cette époque j’étais le premier à alerter l’opinion internationale pour l’attaque de sa résidence de Mpila. Et pourquoi aujourd’hui on me reproche de me placer du côté des résistants contre la tyrannie. Le 26 septembre 1992, le général Sassou avait déclaré: « j’insiste pour dire, lorsque la Constitution est violée, les démocrates ne doivent pas l’accepter ! Nous prenons l’opinion internationale à témoin… Pour la défense de la démocratie et de la constitution nous ne céderons jamais. » .
Aujourd’hui, nous démocrates sommes dans cette logique de la résistance contre la tyrannie de Sassou. Nous ne céderons jamais face à la folie meurtrière de Sassou dont l’objectif final est de dépeupler le Pool et le nord de la Bouenza en donnant la mort ; – par des bombardements aveugles ; – par l’empoisonnement des sources d’eau ; – par le maintien des déplacés dans les forêts par la terreur du pilonnage des villages et les pousser à la mort lente par la famine et les maladies ; par l’achat aux chinois et autres étrangers des milliers d’hectares dans la zone dépeuplée et enfin terroriser les résistants de l’étranger. Voici un plan concerté et des meurtres que ne peuvent nier les 3M, Mouamba, Mabiala et Moungala, les corrompus qui se sont embarqués dans cette barbarie de Sassou. Le gouvernement est responsable du génocide en cours dans le pays. Il répondra un jour de ce crime, nous en avons déjà les preuves.

S’il y avait une justice digne de ce nom, j’aurais pu affronter mes accusateurs,car on ne peut pas continuer de diriger un pays dans le mensonge. Je sais que le système est habitué à fabriquer et monter les preuves. C’est facile de prendre des desperados dans la rue et leur remettre la drogue ou des armes et leur faire dire ceci: « nous avons été armé par untel». Depuis mars 1977, un mois particulièrement sanglant, la règle et les méthodes du système Sassou, ce sont les fausses accusations, les montages policiers, la falsification, les faux coups d’état et surtout son plan de génocide contre les populations du pool et de la Bouenza. Qu’on ne se trompe pas et qu’on ne dise pas de mensonges sur le Pasteur Ntumi. Ce plan diabolique d’extermination des populations civiles au Pool et une partie de la Bouenza est de la seule responsabilité de Sassou Nguesso qui tient coûte que coûte à modifier la démographie de cette partie du territoire. Connaissant ce plan concerté, son ami,le Général Bouissa Matoko alias Casis a été tué mercredi 5 avril 2006, des suites d’un empoissonnement imputé à Sassou Nguesso.

Nul n’ignore au Congo que Sassou a préparé la situation actuelle de trouble et de génocide, d’abord en recrutant massivement dans la fameuse pseudo force publique, milices secrètes, entre juillet et novembre 2015, des jeunes gens issus de l’espace utile de la Cuvette Ouest, ensuite a provoqué des vraies et fausses attaques le 4 avril 2016 à Brazzaville. Ce qui lui a donné l’occasion de brandir « le fait d’un tiers ». Ntumi et les anciens combattants constituent la cible désignée pour justifier les attaques dans le Pool et entamer une épuration ethnique dans le silence de la communauté internationale à qui on veut faire croire, que le Pool est en proie au terrorisme de Boko Haram. Et pourquoi interdire une commission d’enquête internationale libre de ses mouvements au Congo?
La proclamation de l’état d’urgence a permis d’opérer des arrestations arbitraires des opposants. Souvenez-vous que le 18 mars 1977, après avoir assassiné Marien Ngouabi, le faux tiers comme l’écrit Moudileno Massengo, « ce faux tiers fut l’impérialisme international dit aux abois, puis Massamba-Débat. En 1979, il fut Yhomby Opango, le traitre de la vie exemplaire de Marien Ngouabi. Le 5 juin 1997, il a été Pascal Lissouba, le traitre de la démocratie. En 1998-1999, ce furent les exilés revenus dans leur pays, après promesse d’une amnistie, puis les populations du Sud, qui devaient être exterminées, aveuglement dans le cadre des opérations Mouébara etc. » Référence Afrique Education N°379 du 1er au 15 novembre 2013.

Le 4 mars 2012 une explosion est organisée à Mpila et le coupable désigné est le Colonel Marcel Ntsourou, un brillant officier supérieur qui n’adhère pas au projet de la confiscation du pouvoir par le clan Sassou. Sassou a fait comme Néron qui a brûlé Rome à l’an 64 afin d’incriminer les chrétiens et de les envoyer à la mort. Aujourd’hui sous le prétexte de chercher le Pasteur Ntumi, « responsable désigné des attaques du 4 avril 2016 », Sassou poursuit son plan d’extermination des BaKongos en bombardant les villages du Pool et de la Bouenza. On comptabilise déjà plus de 3000 morts et disparus.

Au lieu de lancer un mandat d’arrêt qui ne va pas aboutir, pourquoi ne pas accepter les observateurs et les Organisations humanitaires pour aider les populations en détresse.
Atteinte à la sûreté de l’Etat est le chef d’accusation qui est retenu contre tous ceux qui s’opposent à la dictature de Sassou, c’est le cas du Général Jean Marie Michel Mokoko en tête au 1er tour des élections du 20 mars 2016, c’est le cas de Paulin Makaya qui a eu le mérite de mobiliser des foules pour contester le référendum constitutionnel, c’est aussi le cas d’Okombi Salissa, aujourd’hui dans la clandestinité pour avoir refusé d’accompagner le hold- up électoral de Sassou Nguesso, et aujourd’hui c’est moi qui suis dans le collimateur de la justice. Le peuple n’est pas dupe. Il sait que ce gouvernement est incapable de lui donner l’eau potable, l’électricité, les soins de santé primaire, l’emploi, les lieux culturels comme des salles de cinéma, les bureaux de postes pour la distribution des courriers, les services d’hygiène etc…
Aujourd’hui, ce sinistre ministre de l’injustice aux méthodes du 3è Reich aurait pu autoriser les enquêtes sur toutes les allégations de torture et de décès en détention et poursuivre les auteurs d’actes de torture dans les prisons. La torture et le crime dans la république des barbares sont complètement banalisés. Le ministre se tait sur le cas de mon ami le Docteur Augustin Kalla Kalla torturé sauvagement et laissé pour mort à l’entrée de la morgue de Brazzaville. Ecoutons le récit très choquant fait par son épouse qui l’a récupéré en pleine nuit à la morgue :
« A 22 heures, je reçois un coup de fil et c’est la voix de mon mari : Chérie viens vite, vite viens vite. On s’est rendu sur les lieux et quand on lui a demandé, mais comment ça s’est passé ? Ils sont venus me jeter ici et j’ai vu des petits qui passaient ; je leur ai demandé un service, si vous avez un téléphone de passer un coup de fil pour appeler ma femme. Mon mari était si mal en point que j’ai eu du mal à le reconnaître. Il était vraiment dans un état critique. On ne savait même pas qu’il allait vivre jusqu’à aujourd’hui. Il ne pouvait pas marcher, il avait de grosses plaies partout surtout au dos, les pieds enflés ».
Augustin Kala Kala a raconté les séances de torture et les interrogatoires qu’il dit avoir subis.
« Il articule difficilement. Il a tout de même pu dire qu’on le baladait d’un coin à un autre, de nuit comme de jour. On le déplaçait et comme il était cagoulé, il ne pouvait pas savoir où on l’amenait. Et lorsqu’on l’enfermait dans un petit container, il était interrogé et on lui posait des questions pour savoir où se trouvait monsieur Okombi Salissa, quel était le soutien de l’opposition, où est-ce que nous trouvions de l’argent pour faire ce que nous faisons, est-ce qu’il y a des puissances étrangères qui nous soutiennent? Puis, il a pu aussi nous dire ces tortionnaires lui ont proposé un marché, c’est à dire de quitter les rangs de l’opposition, comme ça il pourrait bénéficier des soins intensifs et de l’argent et qu’il quitte l’opposition en dénonçant ce que l’opposition était en train de faire». Fin du récit.
Voici une autre preuve de l’Etat de non droit instauré par la nouvelle République.
Et le gouvernement ose nier que les forces de l’ordre ne sont pas concernées par cette affaire. En racontant une fois de plus des inepties du genre : « qu’Augustin Kala Kala avait choisi de se soustraire volontairement à la vie publique depuis la présidentielle avant de réapparaître gravement blessé, mais qu’il n’est ni recherché ni poursuivi par aucune force de police».
Le mercredi 19 octobre 2016 un hélicoptère de la milice tribale de Sassou Nguesso et piloté par les mercenaires ukrainiens a atterit dans Mouyondzi village. Les miliciens ont fouillé maisons par maisons, embarquant les jeunes gens valident pour le village Bantounga où ils ont subi des tortures pendant toute la nuit, trois d’entre eux ont succombé des suites de la torture. Un grand nombre de jeunes ont été déférés à Brazzaville.

Voilà comment ce pouvoir sanguinaire qui a tenté de m’appréhender et de m’éliminer physiquement aurait pu justifier son forfait. Et aujourd’hui gêné par tous les témoignages rapportés dans le rapport, il ose me traduire en justice pour des faits que je ne reconnais pas.
Aujourd’hui, nous demandons aux jeunes de résister contre la barbarie de Sassou.
Le droit international des droits de l’homme et le droit international humanitaire sont deux branches du droit distinctes, mais complémentaires. Toutes les deux traitent de la protection de la vie, de la santé et de la dignité des personnes. Le droit humanitaire s’applique en situation de conflit armé, tandis que les droits de l’homme s’appliquent en temps de paix comme en temps de guerre.
Le « droit de résistance à l’oppression » est un des droits naturels et imprescriptibles cités au 3è considérant du préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme. La résistance à l’oppression relève, du fait des expressions du préambule de cette Déclaration, de ces droits inaliénables et sacrés qui encadrent l’action des pouvoirs publics et fondent les réclamations des citoyens. Son objet est de lutter contre les abus et privilèges, de s’opposer au despotisme, à la tyrannie, de rappeler à tout système de gouvernement que la cause principale des malheurs publics sont « l’ignorance, l’oubli et le mépris des droits de l’homme ».

Le droit de poursuite est nul et non avenu à ceux qui revendiquent leurs droits et qui dénoncent un régime dictatorial. Le Congo est-il dans une démocratie pluraliste? Je ne le pense pas.
La démocratie est une expression du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes; Le peuple congolais avait disposé de sa souveraineté en écartant Sassou Nguesso le 20 mars dernier. Rien ne me fera changer d’opinion, comme en 1994, quand j’ai commencé à dénoncer les dérives du régime Lissouba, qui avait institué les milices. Imposer la dictature, c’est donc méconnaître le droit des congolais de disposer d’eux-mêmes. Le droit de poursuite qu’évoque Mabiala pour le Pasteur Ntumi, n’a pas de fondement juridique. Tout acte juridique ou toute décision imposant le droit de poursuite des citoyens résistants à une tyrannie et une oppression reconnue est nulle et de nul effet sur le plan international. Ce ne sont pas des manœuvres des tricheurs, des néo nazis et des franquistes qui peuvent nous apeurer, en utilisant la presse comme la DINA, la police politique du dictateur Pinochet.
Quand le gouvernement ne s’acquitte pas de ses obligations fondamentales envers l’ensemble de la population, quand un dirigeant s’impose par les armes pour se maintenir au pouvoir, quand les milliers d’individus souffrent de la faim lorsqu’il est possible de les nourrir, quand les jeunes gens sont exposés à la fureur du tyran Sassou Nguesso, par les arrestations arbitraires, détentions abusives les brutalités inadmissibles et assassinats aveugles par les forces dites publiques, on ne peut que contester cette démarche. Le parlement n’est qu’une chambre d’enregistrement des décisions d’un régime dictatorial. La justice est entre les mains de la dictature. les magistrats au lieu d’appliquer la loi et de dire le droit, ils sont instrumentalisés et intimidés. Aucun gouvernement respectueux des principes du droit international des droits de l’homme ne peut vous suivre dans cette aventure du droit de poursuite. Poursuivre qui? un opposant politique, un résistant ou un défenseur des droits de l’homme?
Le droit international relatif aux droits de l’homme énonce les obligations que les États sont contraints de respecter. En devenant parties aux traités internationaux, les États assument des obligations et des devoirs au titre du droit international et s’engagent à respecter, protéger et satisfaire les droits de l’homme. L’obligation de respecter signifie que l’État doit se retenir d’intervenir dans l’exercice des droits de l’homme ou de les restreindre. L’obligation de protéger exige de l’État qu’il protège les personnes et les groupes contre les violations des droits de l’homme. L’obligation de satisfaire signifie que l’État doit prendre des mesures positives pour faciliter l’exercice des droits de l’homme fondamentaux. Ce n’est pas le cas dans ce régime autoritaire où l’administration de la justice est inexistante ou c’est la loi de l’arbitraire de la police qui est la règle.
Les droits de l’homme sont inexistants au Congo. 1- Il n’existe pas une société organisée sous forme d’un Etat de droit, c’est-à dire un état dans lequel toutes les autorités et tous les individus se trouvent liés par la loi. Dans la fraude, Sassou a changé la première loi, la constitution pour se représenter. – 2 – A l’intérieur de l’Etat, les droits de l’homme ne sont pas exercés dans un cadre juridique préétabli, l’administration de la justice est supplantée par l’arbitraire de la police politique;
3 – L’exercice des droits de l’homme par les Congolais qui en sont les titulaires n’est pas assorti de garanties juridiques précises. Des recours pour en obtenir le respect sont négligés d’où l’immixtion de la police politique dans les décisions de justice.
En ratifiant les traités internationaux relatifs aux droits de l’homme, le gouvernement congolais s’est engagé à mettre en place des mesures et une législation nationales compatibles avec les obligations et les devoirs inhérents à ces traités. Malheureusement le système juridique du Congo ne fournit pas la protection juridique principale des droits de l’homme garantis par le droit international. Au contraire les procédures juridiques que défendent le gouvernement tyrannique et répressif ne remédient pas aux violations des droits de l’homme, il encourage les montages policiers et les arrestations arbitraires.
Voilà un montage grossier et grotesque qui me fait passer pour un criminel ayant armé les jeunes gens le 4 avril 2016.
Ce fameux mandat d’arrêt « international » n’a aucun fondement juridique, car délivré par un régime criminel. Il repose sur rien. Il est le fruit de l’imagination d’une police politique spécialisée dans l’extorsion des aveux des jeunes gens sous la torture.
Comment peut-on faire passer un vice-président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du statut de défenseur des droits à celui de criminel armant les jeunes drogués? Il y a que dans une tyrannie où l’on vivre ce genre de situation. Son rapport de 43 pages remis à l’ONU et à la CPI a offert à la meute de Sassou Nguesso de se lancer sur ses traces et d’aboyer à ses chausses.
Ne vous étonnez pas que Denis (Congo) emboite le pas de la folie de Pierre et de Jacob (Burundi et Afrique du Sud) en quittant la CPI. Ces maîtres chanteurs oublient que leurs crimes restent imprescriptibles et leur retrait de la CPI n’entraine aucun effet rétroactif. Peine perdue.
Le chemin de la paix reste une voie difficile et impossible à atteindre par ce pouvoir tyrannique qui a décidé d’exclure le pluralisme politique de son projet.
Qu’est-ce que le pervers ministre sait d’une bonne administration de la justice, de la primauté du droit et de la protection des droits de l’homme, pour me donner une leçon sur la défense des droits de l’homme. Ce n’est pas son petit confort acquis par des pratiques douteuses qui peut m’ébranler. Ce n’est pas son discours creux, forcément lénifiant et mensonger qui peut m’ébranler. Moi je me bats pour faire valoir les droits de l’homme qui sont différents des droits humanitaires.
Aujourd’hui ce pouvoir en contestant mon engagement pour les droits de l’homme, me pousse dans l’activisme politique soit à créer ou à rejoindre un mouvement politique, afin de répondre aux nombreux appels des Congolais résignés, qui m’apportent un grand soutien dans ce combat contre la dictature implacable au Congo Brazzaville. Je suis prêt pour défendre les Congolais opprimés, du pouvoir sanguinaire, par un engagement actif dans la politique de mon pays.
Je termine cette mise au point en renouvelant mes propositions contenues dans ma déclaration de candidature au poste de Premier Ministre du Congo à la Conférence Nationale Souveraine le 7 juin 1991:
« … Il est temps pour nous Congolais de nous mettre à la tâche car la liberté ne saurait s’établir sans de solides institutions dirigées par des hommes et des femmes à la probité sans tâche et sans défaillance comme l’a exigé notre Conférence nationale souveraine. L’ère du monopartisme est révolue. Ainsi ceux d’entre nous qui ont agi par le passé en accord avec les pouvoirs que nous avons dénoncés doivent comprendre que leur présence au gouvernement de transition serait une insulte au peuple, une honte pour le Congo. Ce serait indigne de nous, nous conférenciers qui avons la mission de mettre en place et de développer des institutions démocratiques qui seront la colonne vertébrale du Congo de demain. Pas de cohabitation avec les hommes de dictature. Ainsi, chers compatriotes, j’ai l’impérieux devoir de vous mettre en garde contre la stérilité de certaines actions et de certaines promesses. Le Congo profond ne nous pardonnera jamais une quelconque complicité avec les hommes usés qui comportent le risque évident de bloquer le processus démocratique par leurs calculs politiciens et par leurs intérêts égoïstes qui empêcheront pour cela toute procédure de récupération des fonds pillés….

« Je suis fier en tant que défenseur des droits de l’homme de contribuer aux grands changements démocratiques intervenant dans notre continent. Je serai encore plus fier demain dans douze mois de donner aux congolais les moyens d’affronter l’ère démocratique dans la liberté, la paix et la dignité… Nous avons été de ceux qui ont demandé à la France d’avoir une attitude claire par rapport aux Etats africains qui favorisent les libertés et les droits de l’homme et d’appliquer le principe de la conditionnalité liant la coopération économique aux progrès des libertés et des droits de l’homme et pour cela , j’espère que la France nous comprendra, et nous ferons jouer toutes nos relations dans les milieux parlementaires européens, américains et auprès des hommes d’affaires pour obtenir des moyens de faire asseoir notre jeune démocratie, conformément au sommet de la Baule et aux décisions de la CEE …

« En effet depuis 1988, je suis de ceux qui réclament dans toutes les instances internationales, l’adoption d’une Convention internationale sur le rapatriement des fonds provenant du Tiers Monde… Le premier acte de mon gouvernement serait de traduire en justice toutes les personnes qui ne nous remettrons pas dans un délai de 15 jours un ordre de virement de leurs fonds à l’étranger au Trésor public…. Le recouvrement de ces centaines de milliards spoliés donnera à notre pays un certain crédit moral à l’égard des institutions financières internationales afin d’enclencher le démarrage économique qui favorisera, le plein emploi, la gratuité des soins au plus démunis de notre société, le droit au logement salubre, le droit d’être à l’abri de la faim et à la réalisation d’autres droits de l’homme…

« Nous allons dans l’immédiat réorganiser notre administration afin de mettre tous les fonctionnaires au travail productif. Afin de renflouer les caisses de l’Etat, les services des impôts et des douanes seront mieux structurés.

« Pour le respect du droit à l’information, une attention particulière sera accordée à la presse afin de faire échec à la désinformation et à la manipulation des journalistes… A vous chers amis journalistes de favoriser la naissance d’une véritable démocratie dans notre pays. Dans une démocratie, lorsqu’il y a un scrutin, les candidats à ce scrutin doivent avoir le même traitement. Je m’adresse à vous jeunes du Congo, courageux dans cette salle, ne ratez pas cette occasion pour mettre fin à jamais la tyrannie, le tribalisme, le régionalisme et empêcher enfin ceux qui veulent toujours confisquer les postes que vous devriez occuper. Ceux-là même qui n’ont pas dit la vérité sur certaines affaires…. ».

Fait à Genève le 23 octobre 2016
Maître Maurice MASSENGO-TIASSE 
Docteur d’Etat en droit
2è Vice-Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme

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49 réponses à En réponse au Gouvernement dictatorial du Congo, la déclaration de Me Massengo-Tiassé sur le mandat d’arrêt international ; la pratique de la torture et du génocide en cours au Congo

  1. le fils du pays dit :

    Pour destabiliser le regime elu par les Congolais de Mr Lissouba tout a ete mis en oeuvre avec les massacres des populations Congolaises pour remettre sur le perchoir le serviteur eternel de l’empire francais.Maintenant il est grand temps que les Congolais s’organisent et se debarrassent du valet et de l’empire qui l’emploie.Aseptiser le pays que Mr Sassou et sa caste ont transforme en pays (soft touch) et arreter la ruee sur le Congo des migrantes venus de quatres coins du monde par la decheance de la nationalite Congolaise a tous les etrangers,le verrouillage des terres et les explusions hors du Congo (Libanais,Malaisiens,Chinois,Vietnamiens,Francais etc).
    Il faut mettre de l’ordre dans la maison Congo

  2. Robert POATY PANGOU dit :

    Mes très chers frères,

    Si mes souvenirs sont bons, il me semble q’il y a eu quelqu’un qui avait dit ceci :

    « Pascal LISSOUBA est un danger pour la démocratie ».

    Je dis bien si mes souvenirs sont bons.

  3. Le fouineur dit :

    Je n’y comprends rien.
    Il dit bien. …Le premier acte de mon gouvernement …,.

    Ne croit-il plus en Mokoko?
    Ou c’etait juste un tremplin son fameux soutien?

  4. Jules NGOYO dit :

    RPP, si mes souvenirs sont bons, une personne qui s’appelle Robert Poaty écrivait en 2009 sur congopage, que le problème du Congo était Sassou qui divisait les congolais, et qu’il ne fallait pas jouer son jeu.

    Voulez-vous le lien ou une copie d’écrits pour vous rafraîchir la mémoire ?

    Massengo Tiasse fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, pendant que RPP peut aller comme bon lui semble au Congo.

    Pour mémoire, RPP est issu du parti qui avait fait alliance avec Sassou pour déstabiliser le pouvoir de Lissouba en 1993.

    RPP doit avoir besoin d’une cure…

  5. OYESSI dit :

    Je comprends quelque chose quand il dit que mon gouvernement parce que c’est lui qui allait être Premier Ministre si Mokoko était passé Président.

    Malheureusement, il y a eu un traite qui est allé chercher l’argent chez sassou le 21 Mars 2016 et a trahi tous les plans de l’opposition. C’est Bienvenu Mebilemono qui le dit et mets quiconque au défi de le contredire et lui porter plainte pour fausse information. Il a les noms et preuves de ce qu’il avance.

    Voici au moins ce qui est clair.
    Les amis de PAKO qui sont en France comme celui qui accuse leur champion et pourquoi pas PAKO lui même devraient croiser le fer devant les tribunaux Parisiens pour qu’on nous dise la vérité sur cette traitrise, si elle est avérée.

    Un seul rectificatif dans le plaidoyer de Maître M.M TIASSE, les jeunes gens ne sont pas issus de l’espace utile de la Cuvette Ouest. L’espace utile ne peut être que celui de l’autre Cuvette avec capitale Owando transférée désormais à Oyo.

  6. Blogs, internautes, médias et réseaux sociaux dit :

    POURQUOI LES AMIS DE KOLELAS ET LUI-MÊME NE RENDENT PAS SERVICE AU POOL, AU PEUPLE ET A SASSOUFIN?
    Philosophie et interface entre la prise de conscience à la fois politique et morale au Congo Brazzaville, mode d’emploi !

    Le premier devoir d’un responsable politique quel qu’il soit au pouvoir ou dans l’opposition politique quelle que soit associée ou non à un régime politique ne serait-il pas de défendre d’abord l’intérêt général puis les intérêts de son électorat et enfin ceux des droits fondamentaux et de la condition humaine? – c’est à dire ceux du souverain peuple, non?

    Mais quand par ailleurs, un responsable politique, et dans le cas spécifique du Congo Brazzaville par exemple – Peut-on aujourd’hui et demain être digne et crédible aux yeux de l’électorat et du peuple tout entier ; lorsque les droits humains, les libertés fondamentales, les droits fondamentaux, la condition humaine du souverain peuple, le cadre de vie et la survie de toute nation sont en jeu ou en danger?

    Alors, c’est quoi ou que sert désormais un responsable politique, aujourd’hui et demain au Congo Brazzaville? Explication en vidéo: http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/10/pourquoi-les-amis-de-kolelas-et-lui-meme-ne-rendent-pas-service-au-pool-au-peuple-et-a-sassouffin.html

  7. brikx dit :

    Mais il faut resister par tout les moyens ce pouvoir fou. Aux jeunes de la bouenza et du pool, vous devez le savoir que ce pouvoir est contre vous donc preparer vous pour une resistance. Les annees qui suivent seront mauvaises donc soyer pret a tout defendre vos populations. La bouenza et le pool etait une meme region c’est Sassou et complices qui avaitent partager cette region en deux aujourdhui appele la bouenza et le pool. le complot contre ces deux regions datent de long date.

  8. Un Patriote Mbochi-Téké dit :

    Lorsque l’auteur de cet édifiant article parle de son programme pour sa candidature au poste de Premier Ministre, il fait allusion à l’élection qui a été remportée par André Milongo en 1991, en tant que Premier Ministre de la transition, ayant préparé les seules et vraies élections démocratiques et transparentes jamais organisées au Congo-Brazzaville.

    Soutien à tous les démocrates, qui doivent unir leurs forces, pour aider le Pasteur NTUMI, qui est pour l’heure, le seul résistant capable de changer la donne dans ce pays, que Sassou et les siens ont pris en otage, en usant de la force des armes, lesquelles armes demeurent le seul moyen pour vaincre ces usurpateurs.

    Organisons la résistance autour du Pasteur NTUMI, en laissant, pour l’heure, nos divergences de côté, car notre ennemi commun est Sassou et ses partisans.

    Par des moyens financiers, logistiques, matériels, y compris les armes, nous devons soutenir NTUMI et la résistance armée dans le Pool.

    Vive la République !… Vive le Congo !… Unis à jamais, nous vaincrons la dictature de Sassou !

  9. SASSOUFIT,DEGAGE dit :

    @OYESSI

    Arretez de venir nous divertir avec le nom PAKO,c’est comme si PAKO était le malheur du Congo.
    Le rapport de maitre Masengo-Tiassé est implacable pour le monstre Sassou.
    Trop c’est trop,ne soyez pas comme Sassou qui est allergique au moukongo.

  10. Okombi Biayenda dit :

    Sasssou Nguesso est fidèle à ses méthodes qui lui ont permis de devenir président du Congo. Assassin à l’âge de 11ans déjà dans son village natal avant de retrouver refuge dans un village de Fort Rousset aujourd’hui owando. Sassou nguesso continue de semer la diversión pour orienter ailleurs le regard des congolais sur des actes insensés et barbare qu’il pose dans notre pays. Voilà, les heures qui ont suivi la mort du président Marien Ngouabi, il lance auprès de la famille du président ngouabi cette phrase tristement célèbre » bakongo babomi marien ». Le but était de se cacher derrière la famille du Président assassiné pour organiser la violence entre les kouyous et les bakongo. Ayant échoué dans cette démarche, ét pour effacer les traces sur ce crime odieux, il organise avec Yombi Opango et Louis Sylvain Goma, la chasse au laris Kongo. Ainsi l’archevêque de Brazzaville Mgr Emile Biayenda à qui le président Ngouabi avant sa mort au mistral avait confié que le ministre de la défense ( Denis Sassou) venait de l’appeler pour une urgence,fut accusé d’avoir été au palais pour oter les pouvoirs mistérieux du président et le rendre vulnérable. Sur la base de ce mensonge le cardinal Biayenda, sans être entendu sérieusement sera enlevé et sauvagement assassiné par les escadrons de la mort au service de sassou nguesso comme on le voit aujourd’hui. Ensuite le tour en est venu au président Massamba Debat puis à beaucoup de cadre Kongo laris qui n’ont ni de près ni de loin organise la mort de marien ngouabi. Les methodes utilisées pour commettre ces crimes en 1977 permettent de comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le pool. Ntoumi a tué et fait tuer beaucoup de gens entre 1998 et 2007, pourquoi sassou nguesso l’a nommé a un poste d’Etat payé à gros frais sur l’argent publique? On sait bien par Pierre Anga, selon la video sur internet que Sassou Nguesso avait lancé une rumeur par ses services de propagande que c’est lui Anga Pierre et Yombi Opango qui ont fait tuer Ngouabi. C’est pour cela que Pierre Anga à Pointe Noire et à Brazzaville a pris l’initiative de passer dans les casernes militaire pour demasquer ce mensonge grossier de l’assassin Sassou Nguesso. On sait comment Sassou Nguesso a assassiné Pierre Anga pour avoir demasqué ces mensonges. Le problème qui se passe dans le Pool emploie donc la méthode ayant été mise en place à la suite pour tuer les lari kongo après l’assassinat de Marien Ngouabi. La vérité est que Ntoumi n’a rien fait, ni personne dtétient illégalement des armes au Congo si ce n’est les miliciens à la solde de Denis Sassou nguesso. En 2008 on s’en souvient que le général Adoua a fait exploser le quartier ou il vivait à Talangai, mettant en danger la vie des congolais vivant dans ce quartier, Adoua n’a jamais été inquité, ni interpellé par un juge au Congo. Ce qui se passe dans le pool est la suite d’une élection que Sassou Nguesso n’a pas gagné et qu’il a fait publier les resultats dans la nuit du 3 au 4 abril 2016. Pour détourner les cameras sur ce regime ilegal, Sassou nguesso cree la diversión dans le pool pour éloigner la pressions des cameras internationales sur lui. Voilà la réalité. n’y a pas autres choses. Comme en 1977, il a fait de Pierre Mabiala et de Thierry Moungala et Jean Pierre Piagsse , les caisses de resonnances de cette propagande criminelle. Les gens du Pool, qui travaillent avec Sassou Nguesso, pourquoi acceptez vous que Sassou Nguesso blague avec la vie des votres? La famille Kolelas est en parti responsable de cette tragédie! Par ailleurs pourquoi Sassou Nguesso est mediateur dans d’autres pays et qui n’a jamais demandé ailleurs de resoudre les conflits par les helico,sinon le dialogue, et au Congo se sont des contingents de miliciens et mercenaires qu’on envoient dans un département pour tuer les compatriotas pour assouvir la diversión d’un assassin multirécidiviste?

  11. VAL DE NANTES, dit :

    MASSENGO TIASSE , soulève un coin du tapis de mensonge ourdi , par le terroriste venu d’oyobeek .
    Toujours , ce n’est pas lui .c’est l’autre.
    QUI a tué MARIEN NGOUABI , c’est ONTSOU , non ce n’est pas lui , c’est MOTANDO non , c’est une erreur , bien qu’ayant enjambé les murs de L’ETAT MAJOR pour ne pas être confondu .Et brutalement , on trouva l’assassin idéal , KIKADIDI , lequel s’avère être un de ces amis .
    SASSOU le dribbleur , au pays des idiots ,s’encanaille de ce que l’on peut penser de lui .La vie
    est un combat , peu lui chaut , les drames qui ont endeuillé des milliers des familles congolaises il a essentialisé le plaisir de l’argent , au détriment du respect de la vie humaine .
    Ce film DE LA MORT DE MARIEN se déroule , sous nos yeux , au pool , sous la forme d’un remake .Le contenu et la manière restent parfaits , sauf qu’ici ,on officialise les crimes , sous les oripeaux de terrorisme villageois .
    La philosophie politique de SASSOU, tirée de MACHIAVEL est la marque de gouvernance de ce dernier .

  12. Le fouineur dit :

    @Oyessi

    Massengo Tiassé promu Chef du Gouvernement si Mokoko avait été élu.

    Pourquoi pas.

  13. Londi dit :

    Une information d’une importance capitale a été publiée par le journal Le Monde du 25/10/2016, sous le titre « Après le Burundi, l’Afrique du Sud quitte la Cour pénale internationale ».
    Bien que l’option de se retirer d’un traité relève de la souveraineté de l’Etat, je regrette ces décisions, écrit Sidiki Kaba.

    L’Afrique du Sud confirme sa décision, trois jours après le Burundi. Jamais aucun pays dans le monde n’a encore quitté cette institution judiciaire, entrée en fonction en 2003.

    Je vous signale cette information pour l’intégrer dans nos réflexions afin de prévoir la possibilité que le petit dictateur de Brazzaville pourrait suivre la même trajectoire. S’il entreprenait cette démarche, sa nouvelle constitution prévoit des clauses qui ne l’obligeraient de passer par le parlement illégal de Brazzaville. Il est exempté de tous les crimes commis pendant l’exercice de son mandat et le refus d’extrader tout criminel vers un pays tiers. Cela ne serait donc pas anticonstitutionnel ? Le délai d’instruction du dossier par l’ONU est d’environ 1 an. Ceci doit nous faire prendre conscience que le temps ne joue pas pour les forces vives du pays.

    Tous les corrompus du pouvoir dont Kolélas et autres savent bien que la stratégie de Sassou est de gagner du temps. Ils donnent le temps au temps parce qu’inexorablement il s’acharne à combler les vides. Les pièces du puzzle pour la reconnaissance définitive de son pouvoir usurpé se mettent petit-à-petit en place. La diplomatie a peur du vide. J’avais déjà signalé que la communauté internationale n’a besoin que d’une situation de non-guerre et de démocratie. Pour l’instant, au Congo Brazzaville il n’y a pas la guerre, Sassou est en train de pourchasser un terroriste. Cette théorie vicieuse est en train de gagner les têtes surtout celles des Congolais qui n’ont que Téléfoufou comme média d’information. Nous devons donc être vigilants pour ouvrir l’oeil sur les faits et gestes de ce pouvoir surtout ceux, en direction de la communauté internationale. Pour couper l’herbe sous les pieds de Sassou, il faudrait que l’on arrive à cett esituation insurrectionnelle que nous devons préparer incessamment. Le congo ne sera plus dans une situation de paix, à partir de là, tout deviendra possible. C’est la seule option qui nous reste.

    Une fois pour toutes les APAKO, APAKI ou autres doivent arrêter de nous distraire, nous entrons dans une phase au cours de laquelle les positionnements flous ne seront plus permis. Notre vraie opposition est muselée, elle ne peut même pas tenir un point presse digne de ce nom pendant que les faux organisent des conventions pour distraire le peuple. Nous avons besoin d’unité pour cette insurrection du nord au sud, de l’est à l »ouest pour qu’elle réussisse donc nous devons éloigner toutes celles et tous ceux qui, par des théories fumeuses, divisent le pays.

    Aucune région ne peut s’en sortir seule. Nous avons besoin d’unité. Je concède que tout le pays n’est pas au même diapason et alors que faisons-nous quand nous intervenons, ici ? Nous devons travailler à convaincre les réticents, les hésitants ou les tièdes pour qu’ils comprennent que ce régime est personnifié et non régionalisé. Tous les habitants de la partie septentrionale ne roulent pas sur l’or, ils ont aussi faim, souffrent de tous les maux, manquent d’hôpitaux dignes de ce nom et d’écoles capables de scolariser les enfants dans les meilleures conditions. Nous devons tous prendre conscience que le petit dictateur de Brazzaville, dans sa folie, plonge tout le pays dans une détresse innommable. La seule raison qui le pousse à commettre le génocide dans le Pool, c’est la volonté d’asseoir son pouvoir. Soumettre cette région rebelle depuis Tchimpa Vita revient à sécuriser son pouvoir. Si une autre région était dans la même situation, il la bombarderait autant. Il ne peut, logiquement, pas exister une autre raison. Garder le pouvoir, le transmettre à son fils sans heurts, sans contestation et protestation. L’unité est la condition sine qua non pour nous sortir de ce guêpier.

  14. OYESSI dit :

    @ SASSOUFIT,DEGAGE,

    Bien sûr que non, PAKO n’est pas le malheur du Congo,n’empêche qu’il fait partie du malheur du Congo. Vous devez plutôt vous en prendre à Bienvenu Mebilemono qui dit que c’est lui qui a trahi toute l’opposition moyennant nguiris et vous mets au défi de le contredire parce qu’il a les preuves au lieu de parler de moi.

    Et pourquoi votre PAKO ne vient pas le démentir au lieu de nous distraire avec ses dialogues qui n’intéressent que ses amis traites de l’opposition ya zala. C’est parce qu’il a peur que Mebilemono sorte les preuves?, Je n’ai non plus dit que sassou n’était pas le mal du Congo.

    Oui, le rapport de maitre Masengo-Tiassé est implacable pour le monstre Sassou qui aidé dans ses basses besognes par des gens comme ton PAKO qui est dans son association des malfaiteurs. Continuez toujours à raisonner en terme de moukongo, mais je n’ai rien contre les moukongo

    @Le fouineur

    Qu’est ce qui vous surprends que Massengo Tiassé soit promu Chef du Gouvernement si Mokoko avait été élu. Parce qu’il n’en a pas les capacités? Ou ce n’est pas un congolais comme tout autre Congolais?.

  15. OYESSI dit :

    @ Cher Londi,

    Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles. Ce qui s’est passé au Beach où des jeunes gens au motif d’être ressortissants d’une même contrée ont été massacrés, dans le Pool et les pays du NIBOLAND de 1998 à 2002 dite opération Mouébara, le 4 Mars 2012, et ce qui se passe maintenant dans le Pool ne restera jamais impuni car tant qu’on a pas rendu justice aux innocents à qui sassou a donné gratuitement la mort, le Congo ne sera jamais lavé de ses pêchés qui doivent disparaître avec le départ de celui qui a souillé depuis longtemps la terre Congolaise.

    Vous pouvez être sûr que son chiffon de constitution sera vite jeté dans l’Alima ou dans le Komo dès qu’on aura dégagé sassou du pouvoir.
    Quel pays au monde peut se prévaloir d’être fière d’une telle loi fondamentale monarchique taillée sur mesure et qui protège des voyous. Sassou peut faire sortir le Congo de la CPI, nous y adhérerons de nouveau parce que la république après sassou ne sera plus celle des combinards et des petits copains et coquins. Elle se voudra démocratique ne nous y arriverons.

    Comme le souligne Maître Massengo Tiassé qu » En ratifiant les traités internationaux relatifs aux droits de l’homme, le gouvernement congolais s’est engagé à mettre en place des mesures et une législation nationales compatibles avec les obligations et les devoirs inhérents à ces traités. » nous en arriverons là car ce ne serait plus la république de sassou avec sa loi fondamentale, mais notre république et notre loi et une fois cela fait, nous irons chercher tous ceux qui se croient aujourd’hui protégés par la loi fondamentale inique de sassou pour qu’ils soient jugés quelque soit là où ils se trouveront sauf au cimetière..

  16. kongo dit :

    ICI AUSSI C’ EST LA FAUTE DE GUY BRICE PARFAIT KOLELAS C’EST UNE EPIDEMIE OU QUOI ?????

  17. MPONDO MBIMI dit :

    A Me MASSENGO

    Bravo à VOUS, Me MASSENGO-TIASSE pour tout ce travail au service du Congo et des Congolais.

    Vous faites partie de ces hommes de valeurs et de compétences dont le Congo aura besoin pour renaitre de ses cendres.
    CHAPEAU BAS !!!

    A TOUS,

    Maître MASSENGO-TIASSE est la preuve que des hommes de valeurs et de convictions existent encore au Congo au delà les clivages nord, sud, est, ouest dans lesquels on veut nous enfermer.

    Que ceux qui trahissent qu’ils soient du nord ou du sud, en croyant que tout leur est acquis et que plus rien n’entravera la marche des usurpateurs se détrompent.
    Suivez mon allusion… si vous le pouvez. Je crois que mon frère OYESSI a capté le message. Enfin, on se comprend. Pas la peine mon cher frère de s’époumoner à éduquer les incrédules qui ne pensent qu’en terme de protection clanique. Quand bien même l’image de Me MASSENGO-TIASSE du POOL à côté de J3M du nord est édifiante et catéchisante.

    Les causes de l’échec de notre opposition finiront tôt ou tard par être dévoilées au grand jour.

    « Tous ceux qui s’opposent à la dictature de SASSOU… sont dans le collimateur de la justice » dixit Me MASSENGO.

    Quid donc de ceux qui organisent des conventions et …… ?

    TOLEKA !

    Quelqu’un pourrait-il me dire où trouver ce rapport de 43 pages de Me MASSENGO-TIASSE S.V.P ? Merci.

    PETITE PRECISION :

    Quand Me MASSENGO parle du poste de « Premier Ministre » , il parle de sa déclaration de candidature au poste de Premier Ministre du Congo qu’il avait faite à la Conférence Nationale Souveraine le 7 juin 1991. Donc pas de confusion ni de procès d’intention avec les récentes élections.

    Du reste il le mériterait beaucoup plus que certains autres ignares, incompétents, traîtres et médiocres qui fourmillent dans le paysage politique congolais actuel. Personnellement je soutiendrais sa candidature… les yeux fermés.

  18. Delbar dit :

    Quelle que soit l’autorité d’un pays démocratique qui reçoit un mandat d’arrêt du Congo de ce genre, il est mis directement à la poubelle.
    Sauf à aller dans des républiques bannières comme le Burundi, Me Massengo ne risque rien.

    Je suis beaucoup plus inquiet pour Sassou et ses copains français car ils auront un jour des comptes à rendre , que ce soit devant la CPI ou non.

  19. Anonyme dit :

    Que tous ceux qui ont des preuves de la forfaiture de G.B.P. Kolelas, nous les montrent. Nous avons besoin de savoir, de connaître la nature de ces preuves. Sinon, c’est de la pure diffamation qui cacherait une entreprise de decridibilisation De Kolelas. N’ayez pas peur, a priori, Kolelas n’est pas armés. Il ne vous fera rien. Si vous êtes si sûr de ce que vous avancez, rien ne vous empêche aujourd’hui de nous présenter ces preuves. On en a marre des rumeurs qui pour l’instant ne reposent sur rien. Que du blabla. Ces preuves sont-elles crédibles, sont-elles recevables à ce titre ?Nous n’en savons rien. Que de supputations en supputations qui distillent insidieusement l’idée selon laquelle Kolelas serait un traitre. Mais où sont ces preuves dont on nous parle tant. Les « On dit » ne sont pas des preuves. On attend…….!!!!!!!!!?

  20. VAL DE NANTES, dit :

    @anonyme, EXACT . Beaucoup n’aimeraient pas voir un fils du pool , au pouvoir ,dont BIENVENU MABILEMENO .
    Le pouvoir doit absolument appartenir à SASSOU .C’est le pool , qui est visé par cette campagne de désinformation .
    Je ne mange pas de ce KOLELAS là , mais je ne céderai pas à la haine contre une région martyrisée .ON LA BOMBARDE et on la calomnie , trop c’est trop .

  21. Mpassi Za Buta N'si dit :

    Ah le Congo,comment un anonyme peut demander des preuves à un Congolais digne,amoureux de la justice comme MABILEMONO.Que l’anonyme se présente et fixe le cadre,les preuves tomberont !Je crois que MABILEMONO a des preuves de ce qu’il dit et il appartient à monsieur Kolelas que l’anonyme ne connaît pas très bien d’apporter la contradiction pour infirmer ce qui est dit par monsieur MABILEMONO.Alors anonyme,dites à Kolelas d’aller au Mbongi porter plainte et vous verez que NSONI KUA ZA BUTA N’SI.

    Congolaisement Vôtre.

  22. endirectdebrazza dit :

    trop de littérature bete, présente toi aux élections et gagne, les americains , les français ont des drones qui peuvent tout filmé, maitres massengo machin tu est là a faire de long discours creux, tes enfants et tes nieces sont ou, c’est grace a vous que sassou peut etre encor etre président, il vois plus loin que vous;

  23. Ubuntu dit :

    @Mpassi Za Buta N’si. C’est celui qui accuse qui doit apporter les preuves de ce qu’il avance. Pas l’inverse. Sinon pourquoi faire des saillie pareil sans en apporter les preuves ? A quoi ça sert ? Car que cela soit vrai, il faut des preuves. Où sont les preuves, on ne veut plus attendre. Soit vous en avez, soit c’est du vide, de l’inox pour nous divertir traduisant par là, cette allergie du Mukongo partagée pour une large frange du congolais.

  24. macktchicaya dit :

    très cher ROBERT POATY PANGOU
    Tes souvenirs sont toujours bons dans la mesure où tu oublies de te rappeler que le kouilou est vendu aux libanais et autres nationalités mafieuses, et comme tu n’en parle point je te le rappelle. Autrement la cible du combat que nous avions et que nous menons est la même : c’est la tyrannie pour la libération du Congo, étant donné que ton état du « sud Congo » reste illusoire. L’article de Maître M.T illustre bien la situation actuelle mettant à la lumière la vraie cause de cet acharnement du pouvoir contre les résistants.

  25. macktchicaya dit :

    Maître MASSENGO,

    Comme vient de le souligner un compatriote (Ubuntu) rien ne sert d’attendre longtemps je pense que s’il est vrai que la plainte est déposée avec des preuves accablantes le pouvoir de Brazzaville devait déjà trembler mais au regard de ce qui se passe actuellement on a l’impression qu’aucune pression n’est exercée contre cette tyrannie et d’ailleurs qui continue de sévir avec la bénédiction des enfants du Pool et de la Bouenza patentés au service du prince.

    C’est l’histoire d’un homme contre une résistance, Ntoumi n’est que la porte par laquelle ce pouvoir entre en action pour causer son désastre. Les vrais enfants du Pool et de la Bouenza n’y adhèrent point et le peuple le sait. Les vendus et corrompus ont été à la manœuvre lors de la réunion des cadres du Pool (tenue il ya une semaine de cela) les images sont là et d’aucun ne dira qu’il ne savait pas ,,,,,un jour le peuple le vrai demandera des comptes à ceux là.

    J’attendais que R. Poaty P, fustige ceux -là; mais à ma grande surprise il encourage plutôt Kolelas et Tsaty Mabiala dans leurs missions de déstabilisation de la résistance. l’histoire nous dira la vérité mais déjà les langues se délient car une vidéo tourne en boucle sur l’un des sites où Bienvenu Mabilemono explique des choses mais graves sur la traîtrise de kolélas fils, sur également Dzon Mathias et Mokoueké.,,,,

    Nous attendions que Dalla Graille nous ponde un extrait à propos,,,,,lui qui connait bien l’histoire politique du pays et de surcroît conseiller du prince

  26. Londi dit :

    certains d’entre nous cherchent des preuves. Un simple raisonnement à partir des faits permettent d’arriver à la conclusion que Parfait Kolélas a trahi. Je repète ici, ce monsieur a combattu le référendum qui a ouvert la voie à l’élection de Sassou. Kolélas n’a jamais pris la parole pour dire à haute et intelligible voix qu’il ne reconnaissait pas la victoire de Sassou. Il a fait des recours dont on n’a jamais vu les résultats. Il a, au contraire, déclaré que Sassou était le Président de tous les Congolais. Je peux vous affirmer une chose, il n’est pas mon président.

    Pour moi c’est un criminel qui détruit ma région et la précarise au point d’en faire disparaître toute la population. Il est allé siéger dans une assemblée illégale pour interpeler un premier ministre illégal. Comment peut-il continuer à faire confiance à des institutions qui l’ont envoyé balader quand il a déposé sa requête sur le recours contre les résultats du conseil constitutionnel ? Comment peut-on être naïf à ce point ? Je ne lui ferai pas l’affront de penser qu’il l’est.

    Ma conviction est qu’il s’inscrit dans une stratégie globale d’accompagnement du pouvoir avec des coups d’éclat de temps à autre pour crédibiliser sa félonie. Il reprend le discours du pouvoir qualifiant de délinquants ou terroristes tous les vaillants enfants du Pool qui ne veulent pas se soumettre. Je suis surpris que l’on ne puisse pas analyser les faits pour comprendre une telle situation. Cela me dépasse. Pourquoi ne fournit-il pas un rapport détaillé de la situation au Pool pour éclairer la communauté internationale au lieu de s’abriter derrière des mouvements comme Caritas.

  27. OYESSI dit :

    LU POUR VOUS DANS ZENGA MAMBU:Oct 24 2016

    Abolir le Sassouisme pour unir et développer le Congo

    Les pratiques politiques, sécuritaires, dictatoriales de Denis Sassou Nguesso sont une forme de Nazisme nègre, il s’agit d’une forme de racisme d’Etat sur des bases tribales et claniques qui vise la confiscation perpétuelle du pouvoir d’Etat par un seul clan et une seule famille, dans des visées de domination absolue des autres Congolais.

    Pour exécuter cette idéologie, Sassou et ses adeptes entreprennent depuis 40 ans de multiplier des crimes de sang et des crimes économiques pour conserver un pouvoir usurpé. Ils doivent savoir que « l’overdose » des ruisseaux de sang entrainera leur chute brutale.
    Depuis le 17 Octobre 2015 à nos jours, des centaines de Congolais ont été assassinés par les adeptes de Sassou dans leur quête extrémiste de confiscation perpétuelle d’un pouvoir usurpé.
    Des dizaines de leaders politiques sont soit emprisonnés ou soit en clandestinité forcée à cause de la « machine à détruire » de Mpila.

    Des milliers de Congolais anonymes ont été enlevés et mutilés depuis le 17 Octobre 2015 parce qu’ils se sont opposés à la stratégie d’installation d’une monarchie au Congo : le dernier exemple parmi 1.000 est celui d’Augustin Kalla Kalla, dont le corps a été saccagé à l’extrême et les os brisés parce qu’il a dit NON à Sassou et son clan.
    Kalla kalla est passé sur la table du « boucher d’Oyo ».

    Sur le plan social, le Sassouisme est une forme « d’apartheid ethnique » où tous les leviers du pouvoir militaire, civil et financier sont entre les mains des membres du clan ethnique au pouvoir. Ils forment les jeunes et recrutent dans les corps publics pour installer une hégémonie ethnique et clanique au Congo sur plusieurs générations.

    Nous sommes en présence d’une résurgence de la théorie de la tribu classe, où le clan ethnique de Sassou veut dominer tous les autres Congolais dans une sorte de relation de « vassalité », où le droit de prospérer et d’exister est lié à l’allégeance au clan au pouvoir.

    Nous voulons dire à nos chers frères et compatriotes originaires du Nord du Congo : le pouvoir de Sassou n’a jamais été un pouvoir du Nord, car Denis Sassou Nguesso veut que vous, nos chers compatriotes du Nord, vous soyez toujours ses esclaves et ceux de ses enfants après lui, il veut que vos vies soient dépendantes de sa famille, au point de vous faire croire que sans lui, les autres Congolais vont vous exterminer pour se venger.
    Il vous trompe, vous manipule et vous exploite, alors que vous avez plus de valeur, plus d’intelligence, plus de courage que lui.

    Avez – vous déjà vu un des fils ou neveux de Sassou sur un front ? Sachez que Sassou veut que votre sang soit versé pour que ses enfants vous dominent. Ouvrez les yeux !
    Le Peuple Congolais est aujourd’hui mature, l’exemple de Jean Marie Michel MOKOKO et André OKOMBI SALISSA qui ont été aussi soutenus et votés au Sud du Pays comme au Nord, doit tous nous enseigner. La guerre ethnique Nord contre Sud est un « mythe » des adeptes de Sassou qui veulent diviser le Peuple Congolais pour rester encore au pouvoir.

    Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest du Congo, nous sommes un seul Peuple, nous avons un futur commun, les mêmes problèmes et les mêmes défis, notre intérêt commun du moment est de mettre un terme à l’épopée sanglante et destructrice de Sassou sur le Congo.
    Le Peuple Congolais doit protéger et développer son « Unité Sacrée » face aux politiciens ténébreux de l’espèce de Sassou Nguesso, qui ont fait de la division du Peuple leur sombre vocation, pour assoir la domination de leur famille et de leur clan sur notre Nation.
    C’est au nom de l’Idéal de l’Unité de notre Nation, que tant d’hommes et de femmes de nos royaumes historiques successifs de Mbanza Kongo, Téké, Malouango, nos chefferies des territoires Kugny, Bémbé, Yombé, Mbochi etc. ont sacrifié leurs vies.

    Nos ancêtres se sont efforcés d’unir par tous les moyens les différentes communautés ethniques, pour en faire une seule Nation qui a fait face au colonisateur Français avec bravoure.
    Par la suite les pères fondateurs de notre République moderne, YOULOU, OPANGAULT, KINGOUNGA NGOT, TCHITCHELE… se sont battu avec intelligence et sagesse pour remporter solidairement la victoire du 28 Novembre 1958 face au colonisateur.

    YOULOU et OPANGAULT se sont donné la main pour sauver la Nation et le Vivre ensemble, quand ils ont senti la montée du tribalisme dans le pays sous l’instrumentalisation des nouveaux politiciens ténébreux des années 60, parmi lesquels figurait Denis Sassou Nguesso.
    Marien NGOUABI, qui était un homme d’une grande sensibilité et d’une humilité au-delà de son militarisme très prononcé, n’hésita pas à vouloir s’unir avec ses frères Alphonse MASSAMBA – DEBAT et Emile BIAYENDA pour redresser le Congo à la fin des années 70.

    Hélas, cet ouverture d’esprit patriotique dont voulu faire montre NGOUABI suscita une haine meurtrière de la part des extrémistes tribalistes du Comité Militaire du Parti (CMP) qui orchestrèrent les assassinats de ces trois grands leaders successivement entre le 18 Mars et le 25 Mars 1977. Qu’est-ce que le Congo serait devenu si NGOUABI, MASSAMBA – DEBAT et BIAYENDA étaient restés vivants au moins 10 ans de plus ? DIEU seul le sait.

    Le Peuple Congolais profond est prêt à faire table rase de notre passé tumultueux et sanglant, pour construire un nouveau Congo sans Sassou, sans sa famille et sans son clan.
    Le Peuple Congolais désire intimement et profondément écarter à jamais les personnalités politiques nuisibles, de l’espèce de Sassou Nguesso, qui entretiennent insidieusement ou ouvertement le clivage Nord – Sud à des fins claniques, égoïstes et nécrophiles.

    Jean ITOUA – NGOMA

  28. Le fouineur dit :

    il est curieux de debattre des propos de Milebimio. Il est evident que C’est un discours clivant qui a pour dessein de Souder tous les mbochis autour du pouvoir. La preuve est que ce discours a été repris par tous les mbochis sans Aucun dementi.

    Il cite des noms.
    Moloko m’a dit que Kolelas l’a trahi.
    Okombi m’a dit que Kilelas l’a Trahi
    Bowao m’a dit que Kolelas l’a Trahi.

    Personne n’a dementi. Bowao est bien en liberté et que dit-il de tout ça sinon acquiescer.

    L’IDC FROCAD a été une escroquerie.
    C’est outil que des gens ont voulu utiliser à leur fin politique regionale, la conservation du pouvoir Au Nord. La vindicte autour de Tsatsy et de Kolelas
    trouve sa raison d’etre Au fait qu’ils n’ont pas envoyés Les jeunes a l’abattoir.
    Cet acte est fondateur de la haine ambiante actuelle.

    Il est paru sur dacpresse une reponse de Moudilou qui demonte point par point Les propos de mamibelo. C’est un document a contre courant de la pensee dominante mbochis. Si on peut s’offtir la lecture du Mbochi de service, Le Kongo de service merite d’etre aussi lu. Vous y verra un pare allude de pensee.

    Helas, Le discours clivant et Haineux de Mabilemobo crée une crispation dont Le gagnant est l’initiateur C’est a dire, Le PCT donc Sassou

  29. WOUMELA dit :

    Quand on lit le texte dans son entièreté on finit par avoir l’impression que les terroristes ninjas n’silulus sont des espèces de saints anges descendus du Ciel. Comme ci ces groupes de malfrats n’étaient pas concernés par les rapports sur le respect des droits de l’Homme. Je trouve l’article peu objectif.

  30. Londi dit :

    @Woumela,

    jadis quand les résistants français faisaient dérailler les trains, le gouvernement de Vichy les traitait de terroristes, de malfrats, comme vous dites. Le premier droit humain est celui relatif à la Paix. Qui sème le vent, récolte la tempête. Il ne faut tout de même pas inverser les rôles ? Pourriez-vous me dire qui est l’agresseur dans cette histoire ? Je ne sais pas si vous avez eu l’occasion de lire le rapport sur l’opération Mouebara si oui, pensez-vous que cette population devrait se laisser faire ad vitam aeternam comme des agneaux que l’on conduit à l’abattoir sans riposter ? La résistance à l’injustice fait partie aussi des droits humains, mr Woumela.

    Avez-vous conscience de l’Enfer dans lequel est plongée cette région, des conditions de vie horribles, un taux de scolarisation en chute libre passant de plus 90% à près de 70% depuis 1998 et les dégâts causés par les bombes sont inestimables ? Ces chiffres sont consultables dans les rapports sur le sujet qui ont été produits dans cette région.

    Sachez, mr Woumela, que cette région résiste depuis que le portugais a posé ses pieds sur ces rives, à la fin du 15e siècle. Le Pool sera le tombeau des espoirs de Sassou.

    Qui êtes-vous, mr Woumela ?

  31. J’apprécie cette excellente analyse juridique avec toutes ces notions de droit en général et de droit international des droits de l’homme en particulier, notamment ce passage (.Mabiala…….non expert sur les questions des droits de l’homme, est incapable de répondre ou de contredire les faits évoqués dans ce rapport, faits qui sont incontestables, irrécusables, irréprochables, irréfragables, irréfutables et inattaquables).et de la situation politique au Congo (… Ce gouvernement illégitime qui pue le mensonge, la tricherie et les crimes en se servant des montages policiers pour étouffer la vérité, est réputé dans la théorie du complot initiée en mars 1977, par Sassou Nguesso chef de la junte militaire, reconnu responsable, par la conférence nationale souveraine, des assassinats des Présidents Marien Ngouabi et Alphonse Massamba Débat, du Cardinal Emile Biayenda , du Capitaine Luc Kimbouala Nkaya Saint cyrien, Ancien Chef d’Etat-major Général, Kikadidi, Samba dia Nkoumbi,Ndoudi Nganga et d’autres victimes innocentes) ». Bravo.

    En revanche, comme un cheveu sur la soupe, je ne vois aucun lien entre cette belle analyse et le « renouvellement de sa déclaration de candidature au poste de premier ministre de la transition à la Conférence nationale souveraine, sauf s’il exprime, de façon manifeste, le besoin de devenir candidat au poste de Premier ministre dans un proche avenir ( Départ de sassou du pouvoir). Je pense qu’avoir de lourdes responsabilités en matière de défense des droits humains exige plus de recul et une certaine distance voire une distanciation entre ses fonctions juridiques difficiles à exercer dans nos pays où tatonne la démocratie et l’exercie du pouvoir en tant qu’acteur politique.

    En guise de conclusion, je salue le courage et la rigueur dont a fait montre le docteur d’Etat Massengo-Tiassé avec lequel j’ai eu le plaisir, en tant que jeune chercheur en doctorat Nouveau régime de droit international, d’échanger sur sa thèse de doctorat d’Etat, en cours de rédaction, à la Bibliothèque de Paris Cujas en 1984-1985.

  32. Massamouna dit :

    Mon frere Massengo,

    Je ne voudrias pas être sévère avec vous, vue la situation qu’endure nos parents du Pool en particulier, mais plus generalement toutes les populations du Congo, et surtout celles de la partie sud du pays.

    Je voudrais tout de meme vous rappeler ceci: En 1991, le peuple congolais dans sa grande majorite avait dit NON a sassou Nguesso lors de la Conference Souveraine Nationale. En 1992, ce NON fut largement confimé lors de la seule libre et democratique election presidentielle tenue dans ce pays; election qui avait eu pour vainqueur monsieur Lissouba.

    Vous, Massengo Tiasssé, et autres Kolelas bernard, Sassou Nguesso, Koumba Justiin, Bounkoula, vous tous, a partir de Septembre 1992,, vous avez alors commencé vos basses manoeuvres de destabilisation du pouvoir de Lissouba.
    Pour destabiliser le regime democratiqument elu par les Congolais en 1992, vous aviez trouvé en Sassou Nguesso votre meilleur allié. Alors, Tout avait ete mis en oeuvre avec les massacres des populations Congolaises. la suite vous la connaissez !

    Vous, Massengo Tiasse, vous aviez alors qualifié Lissouba de « genocidaire, de criminel, de dictateur, de fou, anti-democratique. ». Vous aviez alors rejoint Sassou Nguesso et Chirac en France pour preparer la guerre contre le Congo. En fait, en realite, la guerre contre la democratie. Vous aviez alors tout fait pour remettre sur le perchoir le serviteur eternel de l’empire francais. La suite esxt connue. (Au passage, le « roi du congo » vous a donné tout ce qu’il fallait (en termes d’argent) pour montere vos entreprises (y compris votre television et radio).Il vous a meme nommé a un poste, pour vous recompenser de votre « fidelite dans la lutte contre le « banni et criminel Lissouba ».

    Aujourd’hui, vous, Massengo Tiassé, vous voilà… avec nous, dans le camp de ceux qui pleurent les morts, les victimes des balles Sassou (depuis 1968, 1972, 1974, 1977, 1980, 1987, ….).

    Maitre Massengo, je vous plains.
    Bon courage.

    je suis un ressortissant de Kidamba, dans le Pool, justement.

  33. David Londi dit :

    Notre rôle, maintenant, c’est de contribuer à une rapide diffusion de ce que représentent la guerre et les violences perpétrées dans le Pool pour générer un sentiment de refus au sein de toute la population du pays, du nord au sud et de l’est à l’ouest, pour produire une clameur populaire d’aversion à la destruction programmée de toute une région. Faire prendre conscience des horreurs, des souffrances, des morts, oui, des enfants morts, assassinés ou déscolarisés… La libération ne peut se faire qu’aux termes d’une prise de conscience qui sera alimentée par le comportement velléitaire du petit dictateur de Brazzaville dans sa folie de chercher à conserver le pouvoir au prix d’un génocide.

    Toutes mes interventions, ici, n’ont pour seul et unique objectif, recoudre le tissu national en dépassant le Mythe, la duperie de l’opposition Nord / Sud qui lui sert de prétexte pour s’attirer la sympathie et le soutien du peuple de la partie septentrionale du pays et ainsi commpettre des exactions innommables : des villages brûlés, des compatriotes condamnés à l’exil, des réfugiés dans leur propre région, des milliers de personnes blessées, dans leur corps et leur esprit. C’est la seule démarche qui empêchera d’entrer dans un cycle de revanche perpétuel selon que le pouvoir est au nord ou au sud.

    Il est temps de dire à ceux qui ne le savent pas encore, qu’il y a aujourd’hui des méthodes non seulement plus modernes mais surtout plus efficaces, qui font appel à l’intelligence, au réalisme et à la préparation. Il s’agit de véritables stratégies, conçues pour gagner et non seulement pour résister ; cela change tout. D’autres l’ont fait dans d’autres pays, d’autres régions et d’autres continents. Elles n’excluent pas l’utilisation dans certains cas de la force militaire mais d’ores et déjà on peut affirmer qu’on ne pourra plus parler d’actions de force sans envisager sérieusement ces nouvelles voies. L’insurrection populaire et la désobéissance civile en sont quelques unes.

    Je remercie, ici, frère Oyessi de m’avoir apporté une contribution appréciable sur ce point, dans ses phases d’initiation et de préparation. A ce propos, toutes les contributions seront les bienvenues parce que nous devons progresser vers une phase plus active. Je sais que de nombreuses initiatives sont prises localement et au sein des diasporas congolaises dans le monde (Europe, USA et Canada) mais chacun de nous doit être conscient qu’il fait partie d’une longue chaîne dont chaque maillon est important. la question simple que l’on doit se poser est celle-ci : que fais-je d’utile dans ce combat parce que personne d’autre ne viendra se battre à notre place.

    Pour ce faire, nous devons contribuer au développement de l’intelligence collective sur l’ensemble du territoire. La culture de paix est loin d’être suffisante lorsqu’on voit, encore aujourd’hui, le déclenchement des massacres, des tueries contre nos peuples pendant que les institutions internationales (l’UA, l’OIF et l’ONU) restent sur le côté et observent, silencieuses.

    Il faut d’urgence investir la société civile du pouvoir de la conscience collective, de la capacité, pour la première fois, de s’exprimer sans entraves et de sortir de ces prisons de la peur que Sassou a construites autour de chacun de nous. La solution aux crises de l’économie, de la démocratie, de l’environnement, de l’éthique… est, je dois le répéter, la transition de la force à la parole. Le petit dictateur doit savoir que désormais les citoyens – « Nous, le peuples… » comme établi au Préambule de la Charte de Nations Unies – ne seront pas seulement victimes impavides de ses agressions mais acteurs de leur avenir. D’ores et déjà ils ne sont plus endormis. Merci à tous les sites et médias audiovisuels qui ont fait perdre à Sassou la bataille de la communication.

  34. Je confirme Massengo tiassé est bien originaire de Kindamba un vrai docteur en Droit car ton rapport a été un vrai travail de juriste! Tiassé n’est pas Centrafricain comme certains mauvaise langue amis de Parfait Kolélas ont voulu salir ce jeune homme ! Pour une fois je suis d’accord avec la démarche de Tiassé , cher petit frère reste cohérent maintenant défend le pool , refuse l’argent du crime ! Demain la nation s’aura récompenser ses fils honnêtes . Surtout méfie toi du petit Rasta faux Matsouaniste proche de l’homme de Tsambitso ! Cher petit frère le pool continu à le payer très chère la folie meurtrière de Sassou !

  35. marechal mobutu dit :

    massengo thiasse n’a pas dit qu il avait traite pascal lissouba de « malade mental ».c’etait une insulte d’une extreme gravite.vs dites avoir soutenu le gl mokoko et vs n’avez rien dit sur marc mapingou.vs n’avez donc pas soutenu gbp kolelas.

  36. PIRI dit :

    Oh,Marechal mobutu, idiot comme mobutu avant sa mort.
    Me Massengo a bel et bien soutenu le général.Matingou est en France.Massengo était le premier avec sa presse,à organiser les émissions sur le général.Ne soyons pas égoïste même si tu es un proche du général.Nous savons que vous aviez voulu en faire un fond de commerce.
    Il est vrai,je l’affirme,que Massengo a soutenu le général.

  37. OYESSI dit :

    @ CHER FOUINEUR,

    Vous dites ceci;

    « Il est paru sur dacpresse une reponse de Moudilou qui demonte point par point Les propos de mamibelo »

    De votre post, je ne retiens que cette phrase ci dessus. Je souhaiterai que vous me citez la presse dans laquelle, Moudilou Tony Gilbert, Premier Ministre Congolais en exil a démonté les propos de Mabilémono. Il y a surement des bonnes nouvelles comme celle qu’il nous déjà données dans sa communication parue le 20 Février 2016 dans Zenga Mambu sous le titre;

    « ET POURQUOI VOUS CHERCHEZ LES MORTS PARMI CELUI QUI EST VIVANT: »

    Extrait; ( ce paragraphe était écrit en gros caractères)

     » Oui sassou Nguesso, le coup d’état pour lequel tu cherches des poux sur la tête bien rasée du général , à t’acharner contre un paisible général, ce n’est pas lui, C’EST MOI.

    Oui sassou Nguesso C’EST MOI, Moudilou Tony Gilbert, fils de DIAMBAKA Paul et de NKATOUKOULOU Henriette qui suis l’initiateur, qui ai eu l’idée salvatrice pour notre peuple et notre pays de te mettre hors d’état de nuire, nous voler, nous assassiner et nous prendre pour des cons que nous ne sommes pas; non ce n’est pas le général, ce n’est pas lui, C’est moi.  »

    Pourquoi je cherche à savoir ce que Moudilou a dit à propos de ce que Mabilemono nous a donné comme information pour laquelle, il se dit détenir les preuves et qu’il peut le démontrer, ce qui n’engage que lui jusqu’à ce qu’il nous le prouve, c’est justement parce que quand je lis Moudilou sur ce qu’il a dit dans cet article et quand j’entends ce que dit Mabilemono dans sa vidéo, je pensais que les deux mènent le même combat contre sassou.

    Or je constate que Moudilou qui est poursuivi par le pouvoir dictatorial de sassou au même titre que le général qu’il dédouane dans sa lettre se balade entre Brazzaville et Paris sans être inquiété pendant que Mokoko est en prison. Drôle non mon cher fouineur? Qu’en pensez vous?

    Mais pourquoi quelqu’un d’autre démentira ce que dit Mabilémono si ce n’est ceux qu’ils accusent. Mabilemono les mets même au défit de l’ester en justice s’ils estiment être diffamés, ce n’est pas suffisant?

    Et qu’est ce Bowao qui est bien en liberté et que vous voulez voir en prison ou quelqu’un d’autre peuvent dire ? sur une vidéo dont ils n’ont aucun élément que détient seul Mabilémono. Sur quelle base vous pouvez affirmez que Bowao ne peut qu’acquiescer. Mais acquiescer quoi?

    Cher FOUINEUR, de grâce, essayons d’être un tant soit peu lucide et ne pas toujours voir tout sous le prisme des Mbochis- Kongo ou nord et sud car vous l’aviez bien dit vous même » Le gagnant est l’initiateur C’est a dire, Le PCT donc Sassou » Du nord au sud,nous sommes beaucoup à le dire ici depuis. Ne venez donc pas surfer dessus à chaque fois.

  38. PIRI dit :

    WOUMELA,
    Tu as raison.Mais si on te demandait de répondre: 10 +6=?,tu répondras ,certainement et de façon juste 16;bien qu’il y a d’autres possibilités de répondre à la question. 5+3×2-1+10-4= 16.
    L’équation à équilibrer par Massengo était simple.Comment penses-tu qu’il devait prendre en compte toutes les informations qui ne cadrent pas avec sa défense suite aux poursuites judiciaires dont il est victime de la part de Mabiala.La question à lui poser est claire.Que penses-tu des poursuites judiciaires …contre toi!
    ce n’est pas parce que ta femme est infidèle que le jour de régler votre différent conjugal que tu t’en prendras aussi à ton fils qu’il n’obéit jamais et que lui aussi est responsable de ce qui se passe dans le foyer. Kanisa!

  39. Moina Obeka Jeanne dit :

    TOUT SIMPLEMENT MERCI À MAÎTRE MASSENGO-TIASSE ! !!!
    Vous les hommes du Congo Brazzaville vous nous avez détruit, détruit l’avenir de nos enfants , détruit notre pays .
    RENDEZ-NOUS NOTRE FIERTÉ, LA FIERTÉ D’ÊTRE FEMMES CONGOLAISE .

  40. Bakala dit :

    Massengo est l’archêtype du politicard congolais. Une personne imbue de haine et dépourvue de vision au point de choisir l’alliance avec satan pour détruire le Congo parce qu’il voue une haine à Lissouba et aux siens.

    Oui, chers compatriotes, ne soyons pas étonnés du bégaiement de l’histoire quand nous oublions vite nos fossoyeurs. Que Valent les écrits de Massengo par rapport aux crimes de Sassou dont il est complice? Quand Sassou détruisait le Sud Congo, Massengo était avec lui. Qu’a-t-il dit? Il fermait la bouche.

    Avez-vous oublié son propos au moment de son évacuation sanitaire en France? Il se disait appartenir à la classe des privilégiés que Sassou rnvoie en occident se faire soigner.

    Pour une fois, il faut arrêter cette naïveté.

  41. YAMOUWONDA dit :

    Massengo tiassé , quel role jouais tu lorsqu on te voit faufiler parmi les cobras sur la route aux environs de Nganga lingolo,dans une video, quand Sassou revint au pouvoir? N es tu pas de ceux qui pourchassaient aussi les Ninjas ?

  42. NATTA dit :

    T. Massengo n’inspire confiance qu’aux naïfs

    On ne peut pas avoir étudié le Droit et croire aux jeux de scène d’ un despote putschiste récidiviste. Qui au Congo ou par delà les pays, ignore que Sassou est une racaille et surtout, un champion du crime?

    T. Massengo est en fait une girouette qui veut que nous le prenions pour un démocrate. Il est perçu par beaucoup de compatriotes comme un opportuniste tel que le dépeint DUTRONC un individu  » qui change sa veste  » à chaque secousse politique.

    Sassou ne peut pas être fréquentable pour tout homme bien portant. Aussi, dans le passé se liguer contre le Pr Lissouba afin d’être couvert des faveurs du putschiste de Mpila, fait de T. Massengo un débutant inconstant et naïf . Malgré le temps passé à apprendre le Droit français, T. Massengo est demeuré un ridicule tartuffe en politique.

    Bon appétit cher Monsieur !

  43. Ubuntu dit :

    Pourquoi M. Mabilemono ne mentirait t-Il pas? Pourquoi serait-il plus vertueux que les autres. D’où tiendrait t-il sa probité morale. Où sont les preuves. C’est celui qui accuse, qui doit prouver. Pas l’inverse. Vous raisonner à partir faits qui prouve rien, on sera toujours et encore dans le domaine de la rumeur. Ce n’est pas digne pour des gens qui luttent pour un état de droit. On attend !!!!!?

  44. OYESSI dit :

    @ Ubuntu,

    Je suis d’accord avec vous que c’est celui qui accuse qui doit prouver. Le pouvoir dictatorial accuse bien Ntumi que c’est lui et ses ninjas qui ont foutu le bordel ce 4 Avril sans nous en apporter la preuve.
    Mabilemono ne fait pas partie de mes amis,c’est vrai qu’il peut mentir, mais il a mis au défit ceux qu’il accuse de porter plainte. Pourquoi voudriez vous qu’il apporte ses preuves alors qu’il entends les opposer à ses contradicteurs. Sommes nous le tribunal? Ce n’était qu’une question de bon sens, pas vrai?

    Personnellement je souhaiterai qu’on donne à PAKO le soin de répondre par le même moyen de la vidéo, à celui qui l’accuse ou encore demander aux amis de PAKO qui sont en France de porter plainte contre sieur Mebilémono afin qu’il réponde de son mensonge afin que nous soyons édifier de ce qui en ressort parce que c’est trop grave ce que dit ce Mabilemono vu ce qui se passe actuellement dans le Pool.

  45. OYESSI dit :

    @ UBUNTU,

    J’ajouterai que le génocide qui est entrain de se passer dans le Pool sous nos yeux est la conséquence de l’élection volée par sassou et quand Mebilemono accuse PAKO d’avoir trahi toute la stratégie mise en place par toute l’opposition à laquelle il appartenait;

    Ne voyez vous pas que c’est très grave et que ce PAKO a des explications à nous donner nonobstant le mensonge de son accusateur?

    Au lieu de dire que Mebilemono ment,que PAKO nous dise ce qu’il en sait de ce mensonge, lui qui nous distrait avec ses demandes de dialogue de toute l’opposition pendant que sassou brûle tout dans son fief électoral.

  46. KOO' NGOH dit :

    Avez-vous lu Afrique Education?
    Tout est confirmé…. Kolela en passe d’être nommé chef de l’opposition de son bien aimé « papa »… Ce n’est plus qu’une question de quelques jours seulement, selon nos infos a Brazzaville
    Que ces Apako ou autres hauts parleurs-perroquets de leur genre, dont la tenue ridicule ne tue pas (disent-ils); puissent sortir a présent et démentir ce que l’on avait ici criée depuis des mois et des mois aussitot que leur Imparfait Kolela avait commencé a lécher la main de son père dans le but d’obtenir ce fameux poste,,,
    Un puant traire du Pool comme tous les autres, vous dites?

    KOO’ NGOH

  47. KOO' NGOH dit :

    Bon appétit a tous les APAKO et leur transgenre politique non constant, instable et traitre: Imparfait Kolela…

    KOO’ NGOH

  48. Grd Paul DOUNGA DOUNGA dit :

    A Le Fouineur

    je vous cite :  » La vindicte autour de Tsatsy et de Kolelas
    trouve sa raison d’etre Au fait qu’ils n’ont pas envoyés Les jeunes a l’abattoir… »

    Juste une question : Pensez vous donc que le Pool n’est pas un abattoir en ce moment ?

    Au fait le NTSATOU MABIATA que vous défendez bec et ongles est celui là même qui organise déjà des meetings et autres réunions dans sa région au cour desquels il ne se gêne pas pour danser allègrement pendant que des paysans meurent sans compter dans le Pool.

    Les morts se multiplient dans le Pool et MABIATA danse à côté. C’est impudique, irrévérencieux et une vraie injure à tous nos morts. INDIGNE D’UN HOMME POLITIQUE.

  49. Jeanne Marie Michelle Moncoco dit :

    Plus IDIOT, BARBARE et RIDICULE que ce haineux tout faux réparateur virtuel d’ordinateurs, tu meurs net. Bouché comme un trou.

    ZZZZZZZZZZOBA!

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