Election présidentielle au Congo-Brazzaville en mars 2026 : 3 scénarios pour Denis Sassou-Nguesso…

Par Lucien PAMBOU

Pour le président Sassou, démissionner, accepter une transition politique, se représenter à l’élection présidentielle ?

            En attendant mars 2026, le Congo-Brazzaville est traversé par de gros nuages qui traduisent des turbulences politiques et institutionnelles liées à l’élection présidentielle. Au pouvoir depuis 1979 avec une pause entre 1992 et 1997, le président Denis Sassou Nguesso est contesté par une opposition quasi absente, voire taiseuse, et une société civile qui met en avant ses revendications comme le manque d’eau, d’électricité, d’emplois et l’ingouvernance généralisée des politiques sociales et économiques.

            La question du futur président pour 2026 est donc au cœur des préoccupations des populations congolaises politiques ou civiles. Pour certains Congolais, surtout ceux qui appartiennent à une partie de la population civile, à la diaspora en France et à l’opposition politique, le président Sassou doit démissionner, favoriser une transition politique à l’issue de laquelle il ne doit pas se représenter. Pour les autres Congolais, ceux qui appartiennent au pouvoir politique du président Sassou et surtout à son parti politique (le Parti Congolais du Travail), le président Sassou est légitime pour se représenter à l’élection présidentielle de 2026. Nous sommes là au cœur du marigot tropical congolais dans lequel cohabitent des lézards, des caïmans, des poissons, des troncs d’arbre, c’est à dire tout un aéropage d’êtres vivants ou morts qui n’attendent qu’une chose : comment s’affronter de façon durable. Pour ma part, j’espère que cet affrontement se fera de façon paisible, sans guerre fratricide et sans intimidation au nom d’une démocratie dont certains pensent être les dépositaires.

            L’opposition, la diaspora en France et la société civile réclament un changement profond du fonctionnement des institutions et de la gouvernance au Congo. Pour certains, le président Sassou doit continuer son œuvre, même si les résultats en termes de gouvernance et de développement économique ne sont pas à la hauteur des espoirs attendus par la société civile. Pour d’autres, il est temps que le président Sassou passe la main car, après de nombreuses années de gouvernance politique, les populations congolaises restent pauvres. Le bien-être de celles-ci n’est pas au rendez-vous et on assiste de plus en plus à une errance sociétale qui se traduit par un désordre avec des crimes sociaux ou économiques.

            Parler du Congo, c’est toujours très délicat car très vite on vous oblige à choisir un camp. Mais, au nom de mon maître à penser Max Weber, sociologue et économiste allemand, dans son ouvrage « Le savant et le politique », je vais modestement adopter son principe de neutralité axiologique qui consiste à se départir des prénotions et du parti pris en ne décrivant que les faits et les approches théoriques éventuels de ce qu’il va se passer au Congo. Je laisse aux thuriféraires des deux camps le soin de voir les avantages et les inconvénients de la démarche que je vais adopter autour de trois propositions, à savoir démissionner, accepter une transition politique et se représenter à l’élection présidentielle.

1. Le président Sassou démissionne.

            Après de nombreuses années au pouvoir, après le « j’assume » à la conférence nationale, ce serait un acte politique fort du président Sassou pour montrer qu’il est l’homme de paix qu’il se dit être, et qu’il est prêt à la mise en place d’une alternance démocratique. Par cet acte politique fort, le président Sassou éviterait des revendications violentes d’une part de la société civile et contribuerait ainsi à calmer les oppositions radicales entre les membres de l’opposition et ceux de la majorité présidentielle. Néanmoins et c’est là  qu’il faut être clair, démissionner suppose qu’une structure politique de transition a été mise en place pour éviter le vide politique et le risque d’instabilité. Cette démission soulève des questions ontologiques fortes de l’après Sassou. Doit-il être traduit devant les tribunaux ? Doit-il obtenir des garanties fortes en termes d’amnistie ? D’ailleurs la constitution ou un des amendements de celle-ci dit que le président ne peut être rendu coupable des crimes économiques commis pendant son mandat. Ceci n’est pas une lecture juridique de ma part mais un fait politique de la discutation au sens hégelien. Il ne me revient pas le droit de dire si le président doit être poursuivi ou pas.

2. Le président Sassou accepte la transition politique.

            La transition politique doit être le moyen de réfléchir sur une durée assez courte sur les réformes institutionnelles à mettre en place comme la révision du code électoral, la mise en place ou pas d’une nouvelle constitution, la réforme des institutions gouvernementales et administratives, la réforme de l’armée et de la police, l’intégration de la société civile et des médiateurs internationaux dans les débats autour de la transition politique. Plusieurs questions émergent pendant la transition. Le président Sassou doit-il continuer à rester en fonction ? A qui revient le pouvoir pour contrôler la transition. Au président de la République ? Aux partis de l’opposition ? Lesquels ? Quelle sera la place de la plateforme de changement qui réunit certains membres éminents de l’opposition ? Ces travaux de la transition doivent-ils être rémunérés pour les membres qui y participent ? Et si on introduisait pour une fois l’idée de gratuité pendant les travaux ? Les effets de la conférence nationale sont encore dans les têtes, il faudra s’en départir et trouver des protocoles nouveaux pour faire réussir la transition.

3. Le président Sassou se représente à l ‘élection présidentielle.

            Actuellement la constitution permet au président Sassou de briguer un autre mandat présidentiel. Se représenter à l’élection présidentielle permettrait au président Sassou d’articuler un discours simple fondé sur la stabilité et la continuité sur le plan sécuritaire, même si les objectifs en termes de développement n’ont pas tous été atteints. Cette représentation soulèvera forcément des problèmes car seront posées les questions relatives à l’impartialité des membres de la commission nationale électorale indépendante. Le PCT, parti du président, est présent sur l’ensemble du territoire, ce qui n’est pas le cas les partis de l’opposition. Cette distanciation spatiale soulève deux problèmes politiques : la gestion du processus électoral et l’organisation impartiale du scrutin. Quelle place sera réservée aux observateurs nationaux et internationaux ? Il semblerait (mais c’est à confirmer) que l’Union européenne n’enverrait pas d’observateurs à l’élection de mars 2026. Comment, dans cette hypothèse d’une candidature de Denis Sassou Nguesso, pourra-on traiter les recours électoraux par des institutions politiques et juridiques perçues comme peu crédibles et souvent inféodées au pouvoir politique en place ? La candidature du président Sassou à l’élection de mars 2026 est souvent critiquée par l’opposition et une partie de la société civile comme un moyen pour lui d’avoir un avantage financier et logistique des institutions aux dépends de ses adversaires. L’élection du président Sassou entrainerait-elle des troubles sociaux ? Que se passerait-il en cas de boycott ou de contestations ?

Le Congo est donc à la croisée des chemins avec comme phare mars 2026. Il faut espérer que 1997 ne soit qu’un lointain passé, il faut espérer que l’alternance politique, si alternance il y a, se fasse dans des conditions démocratiquement acceptées par tous. Malheureusement, j’ai bien peur que les Congolais que nous sommes, plus enclins au bavardage politique qu’à la mise en place des solutions pratiques de consensus et de convergence, continuons à laisser planer des gros nuages sur nos comportements politiques malgré notre hubris conceptuel « Le vivre-ensemble ».

Lucien PAMBOU

Diffusé le 06 juillet 2025, par www.congo-liberty.org

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11 réponses à Election présidentielle au Congo-Brazzaville en mars 2026 : 3 scénarios pour Denis Sassou-Nguesso…

  1. Le fils du pays dit :

    @ Doyen Pambou c’est toujours un grand plaisir lire vos articles.
    Ailleurs ou les peuples sont conscients et coriaces Ngouabi et cohorte qui etaient venus soit disant redresser la revolution qui etait sur la mauvaise pente n’auraient pas passe vingt quatre heures au pouvoir.Cinquante sept ans apres jour pour jour le Congo de tout malgre la manne petroliere.Dans d’autres pays ou les femmes et les hommes sont serieux devant un cas comme celui du congo il devrait pas avoir aucune ambiguite c’etait tout simplement faire degager la fripouille,caste mafieuse,ses enfants,ses ministres,sa nomenklatura et tous ses courtisans toutes categories confondues par tous les moyens.Tous les congolais qui parlent d’autres options qui ne sont pas faire partir la fripouille et sa bande ne sont pas serieux,ce ne sont que des opportunistes.Ecoutez plus d’un demi siecle au pouvoir le pays n’a meme pas de l’eau potable et certains veulent toujours voir ceux qui ont echoue sur tous les plans au pouvoir.Franchement ces gens marchent par leurs tetes.
    Il faut faire partir ces vauriens

  2. Le fils du pays dit :

    @Doyen Pambou vous etes economiste et enseignant des Universites.
    Vous avez vaincu l’epoque du President Massamba ou il y avait du miel et du lait
    Du plein emploi.Le Congo est troisieme producteur du petrole au Sud du Sahara exploite depuis la moitie des l’annees 60.Le President Massamba Debat et ses collaborateurs n’avaient considere cette ressource comme principale source de moyen financier du pays.Cinquante sept ans apres les opportunistes qui proposent les alternatives bidons a la chasse du congo de la fripouille et sa bande sont tres inconscients et ne mesurent pas l’ampleur des degats causes par la fripouille et les agents du pct.Le pays manque absolument de tout.
    Doyen maintenant en tant qu’ecomiste,la construction de Dubai ou la fripouille et sa caste mafieuse aiment aller faire la Java et cacher l’argent vole du tresor public congolais est estime a 108 milles milliards de dollars.Vous croyez depuis l’annee 2000 jusqu’a nos jours le congo n’a pas encore eu une somme similaire pour construire ce pays?.Comment un pays arrose par le grand fleuve et ses affluent peut -il manquer de l’eau potable alors que l’eau c’est la vie.
    Certaines personnes probablement corrompus par les agents de la fripouille veulent que cet individu qui n’a pas d’etoffe pour etre a la tete du congo,qui a echoue sur tous les plans malgre la rente petroliere reste encore la.Mais pour faire ?
    Non,ce type et ses amis il faut absolument les faire partir parce que les valets ne quittent pas la chose de leur propre volonte.Ce pays a besoin des femmes et hommes capables de travailler pour l’interet de tout le peuple congolais.La fripouille et sea amis sont tous des echoues et hommes passes,tous enfants des paysans pauvres devenus milliardaires en volant l’argent congo.

  3. pierre martin dit :

    n’accordez aucun credit intellectuel au spot publie le 07/07/ 2025 a 09h 49.

    a compter du 16 juillet prochain brazzaville sera reliee a johanesbourg par une compagnie aerienne gabonaise.

    depuis le mois de juin dernier air france assure 10 vols hebdomadaires entre brazzaville et paris.plus les 6 autres vols entre paris et pointe noire le total france congo brazzaville est de 16 vols hebdomadaires

    en 2026 brazzaville va abriter les assemblees annuelles de la bad comme en 1985 juste apres linauguration du palais des congres de brazzaville

    ON NE PEUT PAS PARLER DE FAILLITE DANS UN TEL CONTEXTE

    du texte

    denis sassou ng ne peut pas demissionner et ce dans quel but?

    une transition politique non mr c’est contraire a la constitution

    une candidature de mr denis sassou ng pour un autre quinquennat oui mr cest admissible

    une election presidentielle est une affaire privee qui engage les seuls ressortissants de ce pays. il n’est ecrit nulle part dans les status de lue qu elle doit envoyer des observateurs dans un pays non membre de l’ue qui organise des elections presidentielles legislatives ou municipales.

    la presence des observateurs de l’ue dans un pays est anti statutaire.

    n’accordez aucun credit intellectuel au spot publie le 07/07/ 2025 a 09h 49

  4. pierre martin dit :

    vous dites ceci

    Et si on introduisait pour une fois l’idée de gratuité pendant les travaux ? Les effets de la conférence nationale sont encore dans les têtes, il faudra s’en départir et trouver des protocoles nouveaux pour faire réussir la transition.

    l’erreur commise par les conferenciers etait de n’avoir pas eu la presence desprit d’instutionnaliser la conference nationale. en ce sens que sa convocation aurait du etre inscrite dans la constitution du 15 mars 1992 dont le referendum en passant fut qualifie dechec par le pct et l’upads. vous devrez en principe vous en souvenir.

    s’il fallait convoquer la conference nationale prealablement a la tenue de l’election presidentielle de juillet 1997 et ce tous les cinq ans par ex mr p lissouba mberi martin moungounga kombo nguila b kolelas et ses ninjas …. tous auraient ete bloques et la guerre civile du 5 juin ou coup detat selon certains ( meme si sa duree nest pas celle dun coup detat 5 mois pour un coup detat cest trop!) naurait pas eu lieu

    les conferenciers navaient pas mis en place une cartographie des risques relatifs au (x) lendemain(s) de la conf nat.

    POURQUOI NAVEZ VOUS JAMAIS FORMULE DES BLAMES A LENDROIT DE LUPADS POUR NAVOIR PLUS JAMAIS ORGANISE LELECTION PRESIDENTIELLE DE JUILLET 1997?

    POUR RAPPEL LUPADS ETAIT LE PARTI AU POUVOIR. IL AVAIT DONC DES OBLIGATIONS CONSTITUTIONNELLES A HONORER

  5. Le fils du pays dit :

    Aux congolais conscients de la réalité nationale et des dégâts causés au pays par les cinquante sept ans de la fripouille et sa cohorte ne prêtez sans jamais l’oreille aux inepties des agents et propagandistes du Pct en France comme ce Noko alias Pierre Martin alias Ponyo Matata alias Fonseca alias Opimba alias DSD etc
    Lui c’est l’un des pigeons qui mangent dans la main de la fripouille avec l’argent détourné du trésor public Congolais.Il vit comme un pacha en France avec cet argent volé des caisses du Congo.Ceux et leur parrain sont des médiocres,un tas de ramassis.

  6. pierre martin dit :

    a mr l’administrateur de congo liberty

    vous avez ete saisi par mail ce jour 08/07/2025 a 11:48. veuillez ne pas prendre en compte ce spot, c’etait un spam

    pour completer l’idee d’hier il fallait donc convoquer la conf nat TOUS LES CINQ ANS convocation inscrite dans la constitution et cela aurait epargne le congo des guerres ethniques, et elle aurait permis aux congolais d’attribuer des bons points ou des mauvais points a un gouvernement et au besoin attribuer une note a ce chef de letat

    si cela avait ete applique, cad qu en fevrier 1997 devrait se tenir une conf nationale

    mr p lissouba aurait eu combien sur 20?

    mr b kolelas aurait eu combien sur 20?

    apres le referendum du 15 mars 1992 qualifie « dechec du gouvernement  » les conseillers avaient decide du remplacement immediat de tous les maires nommes par mr andre milongo cest officiel mr ca cest lupads qui etait a la manette dans lopposition a mr milongo

    c’est un peu l’idee de l’auteur de cet article

    si me massengo thiasse peut nous faire une belle video sur le concept dechec du gouvernement selon l’and ( formation politique formee par lupads et le pct) il rendrait des grands services a la nation congolaise a lapproche des elections de mars 2026

    ME MASSENGO THIASSE A FAIT UNE BELLE VIDEO SUR YOUTUBE SUR LA NON ORGANISATION DES ELECTIOSN PRESIDENTIELLES DE JUILLET 1997 PAR LUPADS CONDAMNATION ZERO DEMENTI DE LUPADS FRANCE ZERO IL A POURTANT CITE DES NOMS, VOLEE DE BOIS VERT ZERO IL DISAIT DOCN VRAI

    il est demande a me massengo thaisse de revenir sur l’echec du referendum et du renvoi illegal des maires nommes par mr milongo. s’y trouvait parmi les victimes de cette decision ignoble le regrette marcel thiomvo maire de pointe noire

    ces maires nont jamais ete indeminise pour le repejeudice cause sutrtout que land ne leur jamais signifie les fautes commises qui justifiaient leurs evictions

    decision illegale car juridiquement le conseil superieur de la transition navait pas competence de nommer ou de revoquer tel ou tel autre de ses focntions. cela relevait du gouvernement

    voila pourquoi lupads au pouvoir avait radie des effectifs des facs sans faute professionnelles les generaux comme mokoko dabiera motando….cest tout ca la guerre alors vous radiez des facs des fripouilles

    eh ben les fripouilles vont vous sauter au visage et vous envoyer hors du territoire national

    est ce que lupads avait ete un parti salutaire pour la democratie congolaise posez vous des bonnes questions

  7. Le fils du pays dit :

    le fils du pays
    Au webmaster vous etes une excellente personne et vous faites du bon travail pour informer et conscientiser tout le peuple Congolais.
    Mon message au peuple Congolais:Les peuples conscients,travailleurs,coriaces et battants de cette planete terre ne tolerent pas et ne permettent jamais les mediocres,cancres,imbeciles,idiots,incompetents et vassaux a la tete de leurs pays.
    Vous les Congolais avez baisse la garde et laisse les mediocres,imbeciles et incompetents miliciens Ngouabi,Sassou et consorts vous prendre en otage et la tete du pays.Apres cinquante sept ans,les resultats des courses malgre la rente petroliere,le Congo n’a pas avance d’un seul iota,le pays manque de tout,les populations decimees,une partie de la population en errance dans le monde entier,la region du pool complement detruite et le vol des deniers publics dans l’impunite totale.Reflechissez,prennez votre destin et celui de votre pays en mains.Battez vous car aucun autre pays ne fera le boulot a votre place.Il n’y a que des interets entre etats ou pays apprennez une fois pour toute cette maxime.
    Certains Congolais corrompus surtout ceux de place de Place,une vraie et eternelle plaque tournante des inconscients et affames qui veulent que la fripouille garde sa chaise de valet et serviteur des interets etrangers obscures au Congo et continue a detruire ce pays,reflechissez tres tres bien.La fripouille et ses amis sont des femmes et hommes qui ont echoues sur toute la ligne et ils sont des gens du passe.
    Le Congo a besoin des femmes et hommes dignes,integres hors des clivages ethniques,rassembleurs des populations Congolaises,competents et capables de travailler pour l’interet et le bien de tout le peuple Congolais.Pas les mediocres,traitres,incompetents,paresseux,jouisseurs,voleurs,criminels et diviseurs des Congolais pour pouvoir se servir et servir leurs maitres comme la fripouille et sa cohorte.Une fois de plus reflechissez,comptez sur vous memes,battez vous,prennez le destin du Congo en mains et prennez vous en charge.
    Ntele Manichi comme dit souvent ma mere.

  8. Le fils du pays dit :

    le fils du pays
    @ Noko alias DSD alias Opimba alias Pierre Martin
    Le gestionnaire de ce site n’est pas un Yaka Noki Noki c’est un éminent homme.
    Et congoliberty est un organe libre qui informe le peuple Congolais.C’est n’est pas la Pravda d’Oyo géré par un mercenaire qui était incapable de gérer un journal et avait lamentablement échoué dont vous par votre manque de culture,votre imbécillité et idiotie avaient rendu riche.Noko dans les pays sérieux on ne reprend pas les médiocres et échoués.Laisse congoliberty et son administrateur tranquilles va voir la Pravda d’Edou.Ici c’est un espace sérieux ou les gens sérieux parlent des sujets sérieux.Va voir la fripouille et votre journal géré par un mercenaire.

  9. Samba dia Moupata dit :

    Cher Lucien Pambou , mieux vaut la fin de l’horreur que l’horreur sans fin , disent les Allemands .Une élection c’est comme un match de football avec un arbitre dont l’impartialité ne fait nulle doute, or cette fameuse élection est organisée par une équipe des voyous Mbochi nommé par Sassou Denis le compétiteur de cette même élection. Est-ce que c’est sérieux de participer à une telle élection ? J’ai déjà démontré cette familiarité entre Sassou Denis avec les acteurs majeurs de cette organisation de parodie d’élection , j’ai cité Boulou Raymond, Henri Bouka et ce mercenaire de droit à la cour constitutionnelle Auguste Iloki . Appelons le sud Congo à un pays mort le jour de ce simulacre d’élection Mbochi !

  10. Jean OKOMBA dit :

    Nous venons de commencer la deuxième moitié de l’année 2025, année du Congo pays émergent. Ou en sommes nous avec l’émergence en question? Que dit le PCT porteur de ces idées d’émergence? Je ne comprends pas pourquoi les journalistes qui interrogent Mr. Moungala n’ont jamais posé des questions à ce voyou de ministre habitué à soutenir tout ce qui concerne le PCT malgré la médiocrité de ce système qui saute aux yeux de tous.

  11. ddjes9 dit :

    Considéré comme son assurance-vie, SASSOU n’a aucune intention de quitter le pouvoir en 2026. Il met tout en œuvre pour se reproduire à la tête du Congo ad vitam aeternam. Il sait que l’article 96 de sa funeste constitution ne sera jamais un bouclier qui le protègerait contre la justice pour les crimes et délits qui ont jalonné son règne interminable, une fois qu’il aura quitté le pouvoir. Les lois sont faites et défaites par les hommes. De même, nonobstant certaines ambitions venant de son propre camp et des éventuels ennuis de santé inhérents à la vieillesse, il ne désignera jamais un successeur pour le défendre après le pouvoir. L’expérience de l’Angola, avec l’héritage de José Eduardo DOS SANTOS mis à mal par son successeur Joao LURENCO, ne le rassure point. Sa fille Isabel DOS SANTOS, jadis désignée « la femme la plus riche d’Afrique » est aujourd’hui obligée de s’exiler à Dubaï pour échapper aux poursuites judiciaires.
    Il n’est pas superflu de rappeler que SASSOU et ses sbires sont passés maîtres dans l’art d’organiser des « dialogues bidons » à la veille de chaque élection présidentielle et dont les conclusions sont toujours tout bonnement jetées aux orties. Une procrastination stratégique ! De même, les officines oyocratiques n’accepteraient jamais l’organisation d’un dialogue national inclusif, comme jadis la CNS, sans y être contraintes. Elles ne sont pas devenues soudainement des patriotes, amoureuses de ce pays, car, elles savent qu’elles y perdraient quelques plumes. L’organisation d’un tel dialogue serait nécessairement une conquête nationale, gagnée de haute lutte par le peuple.

    Djess

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