Le tyran congolais ne sait plus où donner de la tête. Les échecs se poursuivent au même rythme pendant qu’il embastille à tours de bras et continue son nettoyage ethnique dans le Pool grâce à sa brigade internationale de mercenaires-ex-terroristes.
Après le pathétique séjour américain, de la fin de l’année 2016, à courir derrière Donald Trump qui avait refusé de le recevoir ; après son sauvetage ridicule de Bamako, du 16 janvier dernier, par un François Hollande qui n’avait plus rien à perdre (et « tout à gagner ») à s’afficher ostentatoirement au côté du pestiféré de Brazzavole ; après le sommet du 27 janvier sur la Libye qu’il a organisé à domicile sans que les véritables intéressés – Libyens, Egyptiens, Algériens, Tunisiens et Italiens – ne daignent faire le déplacement malgré les habituelles « mallettes (et non jetons) de présence », le-voilà qui doit sacrifier le symbole de sa mégalomanie, qui aurait dû faire sa fierté : la compagnie d’aviation ECair, dans un coma profond et sans avion depuis des mois… !
Ecair est au tapis et l’on ne sait plus qui est aux commandes… Sa médiatique directrice générale, Fatima Beyina-Moussa « intouchable fille-de … » se serait envolée avec un fonds de caisse de quelques milliards de FCFA ; impunément le système de voleurs qui règne à Brazzavole s’est bien gardé de lancer un mandat d’arrêt contre elle. Vincent Petra Pitra, le Cabindais, plus prisonnier politique que de droit commun, vient d’être condamné à 5 années de prison pour de prétendues fraudes dans la liquidation d’Air Afrique. Concernant Ecair, pour des montants 500 fois plus importants, aucun membre du clan n’ira le rejoindre derrière les barreaux !
A l’image du pays, Ecair est avant tout un immense gâchis financier : 289 milliards de FCFA soit environ 500 millions de dollars apportés par l’Etat congolais-Nguesso, auxquels il faut ajouter les prêts des banques locales dont la BGFI, les salaires impayés des personnels, les dettes de l’entreprise et surtout l’emprunt obligataire de 110 milliards de FCFA (garanti par le même pseudo-Etat) lancé en février 2016 par le plus vénitien et le plus corrompu de nos ministres, Gilbert Ondongo. Sans compter très sûrement des engagements non-tenus auprès de partenaires suisses dont la très mystérieuse Privatair, Marco Villa et autres consultants douteux qui se faisaient payer à prix d’or leurs services dans les Emirats. Et sans oublier, bien entendu, le Boeing 787 Dreamliner VIP, naufragé dans les sables du désert du Nevada, qui aurait dû sûrement servir d’appartement volant pour le dictateur ou encore pour une ligne de vols VIP Brazzaville-La Havane comme certains l’affirmaient devant un Henri Lopès sidéré…. Mais, le lourd bilan ne pourra seulement être complètement établi que lorsque la page Nguesso aura été définitivement tournée !
Le gouffre financier est abyssal, et c’est justement en Abyssinie que nos incompétents sont allés chercher de l’aide, auprès d’Ethiopian Airlines, la très performante compagnie d’aviation. Fleuron de l’économie éthiopienne, elle a été créée en 1945 avec pour partenaire la compagnie américaine TWA. Ce n’est qu’en 1975 qu’elle devint totalement éthiopienne. Souvent désignée comme la meilleure compagnie d’Afrique, Ethiopian Airlines emploie plus de 7000 personnes et compte une flotte de 65 appareils très récents ; pour la plupart des Boeing dont 15 Dreamliner 787, tous en service et bien entendu aucun stationné dans le Désert du Nevada. Rien n’interdit de penser, lors de la création d’ECair, que le général-instituteur, ivre de ses pétro-milliards de dollars, n’ait eu le désir profond de supplanter la compagnie éthiopienne. Avec le baril à 100 dollars tous ses rêves étaient permis. Dommage qu’il n’ait pas rêvé alors au juste bonheur de sa population !
En 1985, Brazzaville était encore ignorante qu’elle allait droit dans le mur de son plan quinquennal mal conçu, mal orienté et mal dirigé par des individus qui sont encore aux affaires aujourd’hui, pour la plupart. Les Congolais mangeaient encore à leur faim alors que toutes les radios du monde reprenaient sur leurs ondes « We are the World », la chanson caritative écrite par Michael Jackson et Lionel Richie. L’Ethiopie était alors cruellement frappée par une terrible famine ; les fonds récoltés étaient destinés à ce très pauvre pays d’Afrique de l’Est. Sur notre continent, cette mobilisation internationale avait été diversement appréciée, spécialement par des dictateurs bourrés d’orgueil mal placé.
Une trentaine d’années s’est écoulée et la donne s’est quasiment inversée entre les deux Etats, du Congo et de l’Ethiopie. Cette dernière, sans matières premières réellement exploitées, exporte des produits manufacturés, des fleurs et des denrées alimentaires (3ème producteur au monde de café Arabica). Le Congo des Nguesso, à part ses mauvaises pratiques dictatoriales, ses bois et son or noir n’exporte rien de transformé et importe tout, ou presque, qui est nécessaire à la maigre survie de sa population. Heureusement, la pauvreté qui s’y est généralisée, n’a pas encore provoqué de crise humanitaire aigüe mais le risque ne saurait véritablement en être écarté.
La compagnie Ethiopian Airlines, qui a annoncé un bénéfice de 189 millions de dollars pour 2016, avait pour projet de drainer la clientèle d’Afrique occidentale et centrale, à destination de la Chine, au travers d’un hub à Kinshasa. Il se pourrait alors qu’il soit établi à Brazzaville. La prise de contrôle d’Ecair permettrait également à Ethiopian Airlines d’opérer des vols directs très lucratifs sur l’Europe. Elle aurait alors le choix d’une politique commerciale très concurrentielle, vis-à-vis d’Air France par exemple, en baissant les tarifs. Elle pourrait également pencher pour une entente tarifaire avec ses concurrents et maintenir une stratégie juteuse de prix élevés ; au détriment de la clientèle locale. Les autorités congolaises n’auront alors rien à dire. Les équipages techniques seront principalement éthiopiens et il faudra du temps pour que des nationaux congolais se retrouvent à des niveaux de commandement. Alors, les droits de trafics partagés entre Air France et Ethiopian, l’incompétence, l’irresponsabilité des dirigeants criminels qui ont créé et coulé ECair priveront pour longtemps le Congo de sa souveraineté et de son indépendance dans le transport aérien.
Il reste cependant un détail important à régler avant la conclusion d’un accord entre les parties, congolaises et éthiopiennes. La compagnie ECair avait été portée sur les fronts baptismaux de l’aviation civile congolaise sans que son statut soit connu réellement. L’acte officiel de décès de la moribonde Lina Congo n’ayant pas été prononcé (il eut fallu pour cela que la loi 37/65 du 12 août 1965 ait été abrogée) il semblerait bien que les droits de trafic appartiennent encore à cette dernière et non pas à ECair ! Cette situation sera-t-elle régularisée avant la signature ? Sûrement ! Les Ethiopiens ne se feront pas avoir par les minables bandits du clan Nguesso. Il faudra alors sûrement s’occuper des droits des travailleurs survivants de la compagnie nationale, que le dictateur méprisant n’a jamais voulu régler !
Dans le domaine de l’aviation civile, comme dans tous les autres, Denis Sassou Nguesso préfère voir le Congo perdre sa souveraineté au profit de sociétés ou d’Etats étrangers plutôt que d’assurer la promotion de Congolais qui ne soient pas de son village de pêcheurs. Peu importe pour lui, que le Congo soit plus peuplé de Chinois, de Rwandais ou de Nigérians, que de Congolais authentiques minoritaires et exploités par ces derniers, sinon exilés… Curieux constat que ce désamour voire cette haine à l’égard de sa propre population.
Maigre consolation pour les CONgolais, la France de François Hollande, de Manuel Valls, de Jean-Yves Le Drian, de Christiane Taubira, de Laurent Fabius, d’Anne Hidalgo et de Yamina Benguigui est toute aussi cocufiée qu’ils le sont. Le juteux marché du transport aérien qu’Air France avait depuis si longtemps en Afrique Centrale (Libreville, Brazzaville, Kinshasa, Luanda) sera au mieux rapidement partagé avec Ethiopian Airlines. Au pire, il se pourrait qu’il ne reste à Air France que les miettes que la compagnie éthiopienne voudra bien lui laisser…
Décidément, dans le secteur aérien, le moins que l’on puisse dire est que Denis Sassou Nguesso n’est pas un grand ami de la France surtout si l’on pense à un certain DC10… Par contre la France de François Hollande et de Michel Sapin vient tout juste de lui sauver son Falcon 7X valant 50 millions de dollars (actuellement en France pour une révision générale), grâce à l’article 24 de la loi Sapin2 sur lequel un Juge de l’Exécution s’est appuyé pour refuser sa saisie par un créancier.
Dans tous les sens du terme, grâce à ce président sortant, Denis Sassou Nguesso ne s’arrêtera pas de voler de sitôt !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 31 janvier 2017, par www.congo-liberty.org
Congolais! Reveilleez vous! Comment pouvez vous depuis plus de 33 ans laissez un individus si médiocre prendre les Biens , les richesses de tout un peuple, d’une république pour ses Biens personnels , de sa famille ert son clan? Comment pouvez vous laisser faire un président de fait, illégitime aller mener des´massacres, genocide dans le Pool, il transforme le Congo en prison ouverte comme si de rien n’était et tout le monde quarde le silence et s’enfonce dans la peur. Sassou Nguesso est le personage le plus Trouble, terroriste, génocudaire de la génération après Hitler. Sa place et celle de son clan est la prison à vie.
MOUSSA BEYINA Diplômée en faillites industrielles et financières .Voilà ce que LE CANADA offre aux pauvres congolais , déjà mal en point avec des irréductibles incompétents locaux .
Des ramassis des diplômes sans consistance professionnelle , pour embrouiller le clan NGUESSO qui n’ont rien à revendre en la matière .
IL SUFFIT d’être mbochi , et mieux parrainé et hop , c’est le graal au CONGO DE SASSOU pour des résultats nauséabonds .
LE CONGO tel un ivrogne chaloupe tous les jours .
La conjoncture économique mondiale y est pour beaucoup (disons à ~92,97%) dans les difficultés actuelles, elle n’épargnera pas les pays aux économiques peu diversifiées tel que le notre. Vu la chute du prix du baril de pétrole. En dépit de tout, l’Etat doit tout mettre en œuvre pour maintenir la compagnie en activité, sous la bannière nationale.
« Congolais réveillez ». De qui parlez vous? Y a-t-il encore des congolais idoines qui aiment leur pays qui peuvent se réveiller pour bouter les nguessos dehors? Tout le monde, la populations, diaspora, combattants ,opposants et ceux de la majorité sont acquise à Sassou.
Nos contradictions à travers les médias interposés et les réseaux sociaux témoignent,combien chacun de nous contribue à pérenniser le pouvoir du dictateur: des divisions ,calomnies, médisances, corruption, tribalisme,régionalisme,leadership, … voilà des maux qui nous éloignent petit à petit de l’essentiel.
Réfléchissons,et revenons à la case du départ.
à Anonyme 22:34, pour une compagnie aérienne, le prix cu baril est une charge! Plus le prix est bas plus les compagnies aériennes atteignent facilement l’équilibre financier.
Dans le cas de ecair, ils ont toujours promis l’équilibre sous peu. En 2011 il prévoyaient l’équilibre pour 2014, et en 2014 pour 2017, en 2016 c’était pour 2019.
La mauvaise gestion de ECAir est l’unique raison de la débâcle. Une compagnie qui a percu 500 millions $ sur 5 ans pour opérer seulement une poignée d’avions et pour avoir transporté moins de 2 millions de voyageurs sur 5 ans est une société male gérée. Ces 500 millions de $ ne sont pas perdus pour tout le monde.
Ecair! Tout était déjà écrit d’avance dès l’achat des premiers avions 737 au double de leur valeur et en passant par Privatair, ces avions n’étaient même pas un bon choix car dépourvus d’escaliers mobiles. Comme cette opération a bien rapporté, ils ont ensuite acheté des 757 puis des 737 NG (nouvelle génération) payés 17 millions de dollars puis des Dreamliners, toujours en impliquant Privatair, en Suisse, tout comme la société de consultance CoeM.
Comme ces incompétents ne pouvaient opérer leurs propres avions (mêmes avec la liste-noire, ils pouvaient toujours opérer les vols vers Pointe-Noire et Oyo mais ils ne l’ont pas faits), ils ont loués leurs propres avions nus à Privatair, et Privatair a à son tour loué les avions propriétés de ECAir à ECAir avec un équipage Privatair/ECAir, pour 6000€ l’heure de vol. Louer ce type d’avion, sans en être propriétaire, coûte environ 1800€ l’heure, mais Privatair facturait plus du triple, en 2011 déjà!
Personne n’y a jamais trouvé à redire, ni Ernst & Young (où à travaillé Fatima Beyina-Moussa), ni les différents ministres en charge des transports, des finances qui étaient pourtant informés de ces points de détails en particulier, ni lors du dernier audit réalisé par CACOGES au Congo. Lorsque ces derniers demandent à ECAir de justifier les prix d’achat des avions, Fatima Beyina-Moussa répond à CACOGES le 03 Janvier 2017 en ces termes:
[« Le prix de vente représente un pris (sic) de marché normal pour ce type d’avion, tenant compte de la faculté de location achat qu’ECAir avait pu négocier avec PrivatAir (ECAir ne disposait pas des moyens financiers pour acheter immédiatement le B737-300 JJB en 2011). Le prix était également influencé par la rareté dudit avion. Bien qu’il s’agit d’un avion de la génération dite (classic), il était rare d’en trouver encore auprès des compagnies Européennes de renom »………]
Fatima Beyina-Moussa tu es une menteuse! Rares les 737? Il s’agit de l’avion le plus fabriqué de toute l’histoire de l’aviation avec 10.000 exemplaires construits, abondamment disponible! La société d’audit CACOGES n’y conaissant rien, n’a pas creusé plus que cela et comme toujours, les dirigeants de ECAir pourtant notoirement incompétents et corrompus se sont encore tirés d’affaire, une fois de plus. Lorsque des incompétents vérifient d’autres incompétents…
Heureusement qu’il reste les différentes justices en Europe pour traiter toutes ces affaires parrallèles liées à ECAir et à ses fournisseurs, La liste est longue, j’en révélerai une partie prochainement, à commencer par la cuccursale ECAir à Paris, en cessation de paiement depuis des mois et avec des dettes cumulées de plusieurs millions d’euros. Pas de chance, c’est Fatima Beyina-Moussa qui est la dirigeante de cette succursale et la justice francaise ne va pas la râter.
@HB FUCK AU TRAVAIL, ON ATTEND LA SUITE .TU EN AS SOUS LES COUDES MERCI ;
Je continue sur mon premier post. La succursale Ecair bat de l’aile depuis des lustres. Au départ ils avaient 3 locaux, 1 local administratif proprement-dit au Terminal-1 de Roissy, des comptoires d’enregistrement et 1 local administratif au Hall 6 du Terminal 1, ainsi qu’un comptoir de vente au centre de Paris. Pour résumer, les 3 points Ecair en location sont tous fermés, les deux premiers repris par ADP (Aeroport de Paris)… les huissiers continuent de faire la file, au nom des nombreux fournisseurs impayés, au siège francais de Ecair, lui aussi fermé. A noter que, à nouveau, la société CoeM de Marco Villa a effectué les travaux avenue Ledru Rollin au siège de Ecair en plein Paris.
Dans la succursale francaise travaillent une dizaine de personne, dont la cousine de Fatima Beyina-Moussa, c’est-à-dire Olga Ibara « Directrice D’agence » payée 5.500 euros nets, et payée sans retard jusqu’en Novembre 2016. Les 8 autres employés sont eux sans salaires depuis 6 mois, et jusqu’à il y à 1 semaines, aucun n’a osé broncher. Notons que parmis ces salariés figure Ashley N’Guesso. Comme c’est un emploi fictif et que Fatima Beyina-Moussa, fille de Pierre Moussa, lui-même exilé en CEMAC depuis l’accident (où attentat?) de M’Pila méprise le président Denis Sassou N’Guesso, la fille Ashley est payée au tarif d’une nettoyeuse de bidets. Bonne décision Fatima, voler l’argent d’une NGuesso (Mbochi) pour le donner à une Ibara est un acte citoyen, malgré ta demi-nationalité congolaise (passeport 0A0039271), et ton autre demi-nationalité francaise (passeport 11CZ66042), cela mérite un peu de respect.
Comme Ecair n’opère plus depuis le 11 Octobre 2016 par manque d’argent, et malgré les (fausses) promesses de relance le 15 Décembre puis le 15 Janvier et maintenant Ethiopian arrive à la rescousse (en fait ils ont juste signé un petit papier sans engagement), la Direction de ECAir fait face à ses 300 fournisseurs, ainsi qu’à ses employés non-payés. Parmis eux, une « sans-grade » basée en France, sans salaire depuis 6 mois, enceinte, visitée par les huissiers (elle-même débitrice puisque sans revenus), s’est permis de consulter un avocat. Avant même le contact entre l’avocat et ECAir, le siège écrivait les lignes suivantes à l’employée « qui osait consulter un professionel du droit »: (par courtoisie, les noms et contacts de l’employée victime ont effacés)
Laure Mombongo 25 janvier 2017 à 17:36
À : [email protected]>
Cc : Olga IBARA , Fatima Beyina-Moussa
Bonjour XXX,
J’apprends que tu voudrais te présenter aux Prudhommes pour y assigner ton entreprise car tes salaires ne sont pas payés. J’entends très bien que ta situation est difficile et qu’attendre un enfant dans ses conditions n’est pas idéal.
Mais j’aimerai juste attirer ton attention sur 2 choses :
1. Avec les prudhommes, tu vas t’engager dans une procédure qui va durer si pas quelques mois, voire quelques années;
2. L’improbabilité que je te reprenne en qualité d’agent une fois l’assignation faite.
Nous sommes tous dans la meme situation que toi et j’ai à Brazzaville des couples qui sont 100% ECAir et qui n’ont donc aucun revenu du tout or tu es mariée, tu peux donc t’appuyer sur ton conjoint meme si je le conçois ce n’est pas évident si on est indépendante financièrement.
Je me souviens que notre DG t’a reçu personnellement dans son bureau et qu’elle se faisait une joie de t’embaucher au vu du background que tu avais et le potentiel que tu allais mettre dans ECAir Paris. Je me souviens de ta mobilité de ECTAR a ECAir que j’ai consenti car je savais que ton apport à l’ATO ne passerait pas inaperçu. Et ce fut le cas car j’ ai eu de nombreux retours de tes collègues et de certains passagers qui furent très élogieux.
Il est dommage que tu n’aies pas attendu le redémarrage d’ECAir, car ECAir va redécoller, pour te retourner
contre ta boite.
Il y a un adage qui dit : A l’impossible nul n’est tenu. Nous avons rencontré d’énormes difficultés qui se résolvent au fur et à mesure que les jours passent. Mais je constate une chose : c’est ton manque de LOYAUTÉ envers ta DG, envers ta DRH et tes collègues, et envers ton entreprise et c’est bien dommage.
J’espere simplement que tu as mesuré toutes les conséquences des actes que tu es sur le point de commettre.
Cordialement,
Laure Mombongo
DRH
Laure Mombongo
Chère Laure Mombongo, tu es grillée ici en France. Menaces, chantage, intimidation, tu es bonne pour au minimum une peine avec sursis selon le Droit Francais. Ne pense même pas à remettre un pied ici. Profite du Congo, le climat y est plus clément.
@ Tous! prendre exemple sur HB FUCK . C’est ce type d’interventions qui va aider à l’élaboration de la stratégie la plus apte à mettre à mal la dictature. Vivant dans la misère congolaise au Congo, nous sommes trop nombreux à ignorer tout ce qui vient d’être dit. Merci à vous HB FUCK.
@HB FUCK TU PASSES A COLOGNE , IL Y A DU CHAMPAGNE .
~ Sango Ya Mabala Commission,
Chantez Rossignol, chantez mwana mama ah
Chantez Rossignol, chantez Moumbochi ih !
Ba pandzi ngai sango na famille mobimba ngoya oh… ~
Article dans « la lettre du Continent »
Politique & pouvoirs
N°746 DU 01/02/2017
Denis Christel se « paie » la presse internationaleDenis Christel se « paie » la presse internationale
Le fils préféré du président congolais a invité plusieurs journalistes français – tous frais payés – à Brazzaville pour vanter ses actions caritatives. Stratégie.
Poussé sur un marchepied politique par son père Denis Sassou Nguesso, Denis Christel Sassou Nguesso, dit « Kiki », a mandaté l’agence parisienne BernasCOM pour inviter – tous frais payés – plusieurs journalistes de médias français et internationaux à Brazzaville, du 24 au 27 février. Objectif de cette opération de « com » intitulée « Voyage de presse VIP : « passer un moment de détente et de découverte au Congo-B »… pays où les tirs d’armes lourdes crépitent encore et où les principaux opposants du chef de l’Etat sont tous emprisonnés. L’agence affirme vouloir présenter, à ces heureux représentants des médias, les actions et les réalisations de la Fondation perspectives d’avenir du fils de Sassou.
Dans un message adressé le 16 janvier aux membres de la presse invités, cette agence de relations publiques spécialisée dans le domaine sportif, mais n’ayant jamais travaillé avec l’Afrique, affirme vouloir faire découvrir cette structure, son « centre de formation de football » ainsi que sa « future université verte ». Les journalistes débarqueront d’ailleurs au moment où se déroulera un semi-marathon organisé par cette fondation à Brazzaville. BernasCOM n’a pas assez de mots encenseurs pour vanter les mérites des actions du DGA de la Société nationale des pétroles du Congo-B (SNPC). Exemple : « La Fondation souhaite contribuer significativement à la formation technique et professionnelle de la main-d’œuvre spécialisée dont le pays a besoin pour se développer » ; « grâce à la fondation, 2017 verra la construction de la 2e université du pays et la première entrant dans les normes environnementales fortes » ou encore « l’un des projets phares est le programme de santé (…) pour apporter des soins aux populations ». BernasCOM, basée dans le 9e arrondissement de Paris, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin avec son nouveau client. Un événement du même type pour promouvoir les actions de « Kiki » est déjà programmé avec « une grosse soirée à Monaco avec le Prince Albert ».
Suggestions:
Vu l’offensive médiatique du club d’oyo et associés je suggère aux associations de la diaspora qui s’inscrivent dans l’ordre de la lutte contre la tyrannie de mettre en place les actions également médiatiques pour contrer celles du clan criminel d’oyo et de bien saisir ce scandale français de l’affaire Fillon ou Penellopegate pour dénoncer la mafia française qui soutient les dictateurs africains.Rappelons-nous que l’affaire Fillon n’est que l’arbre qui cache la foret, Au fait, les sulfureux politiques et hommes d’affaires français habitués a vivre de détournement et de l’ escroquerie des fonds en afrique et ailleurs mais cette fois ci par querelle de prise de pouvoir en france une partie de la mafia mécontente du partage du gâteau a décidé de lâcher prise.Ceci n’est qu’un debut.
Alors soyons nombreux a commenté et relayer ces scandales et faits mafieux pour la lutte de liberation des peuples noirs d’afrique francophones opprimés.
Encourageons tous la » récupération » d’Ecair par Ethiopian Air lines. Cela fera une charge de moins pour le Trésor public. Le même sort devrait être réservé à la sne et la snde en attendant de réduire la voilure de la snpc, sociétés tribalisées à mort ( on n’y trouve que les mbochis et leurs copines de l’ethnie lari). Des véritables pompes à fric pour tous les assoiffés de la république : a kongo a bera mbonda, bishi la bina otchotsa…
Motéké morowa akota takou. On ne peut pas faire des frites françaises avec de la purée de pommes de terre.
ni des frites Belges avec des épluchures de patates
A m e n !
ZEKI dit :
01/02/2017 à 16:15
il est absolument hallucinant de voir que les gens pensent toujours en terme de médias français et de s adresser aux français pour combattre Sassou soutenu par le gouvernement ou l’état français.
les français ne s’intéressent pas aux noirs ou à la condition des noirs dans leurs pays d’origine ILS NE LES AIMENT PAS , A COTE, LES ANIMAUX ONT PLUS DE VALEUR .
LES FRANÇAIS PRÉFÈRENT S’INTÉRESSER AUX ANIMAUX QUI ONT ÉTÉ PRIVES D’UN REPAS A MIDI ,POUR CA ILS PEUVENT SE MOBILISER ET CROYEZ MOI ILS SERONT DES MILLIERS A ALLER PROTESTER SI D’AVENTURE IL LEUR ÉTAIT DEMANDE DE MANIFESTER POUR LE CHIEN QUE LE VOISIN A BOUSCULE DU PIED CAR IL LUI ABOYAIT DESSUS.
BREF JE VEUX DIRE ICI QUE IL FAUT CESSER D’ÊTRE NAÏF AVEC LES MÉDIAS FRANÇAIS ? LE GOUVERNEMENT FRANÇAIS , LE PEUPLE FRANÇAIS…;.NE COMPTEZ PAS SUR EUX POUR LIBÉRER LE CONGO DE LA DICTATURE
VOUS VOULEZ GÊNER LE GOUVERNEMENT FRANÇAIS EH BIEN FAUT SE SERVIR DES MÉDIAS NON FRANÇAIS. UTILISER PAR EXEMPLE LES MÉDIAS ANGLAIS , BELGES MOYENNANT FINANCE ON PEUT FAIRE PUBLIER DANS LES JOURNAUX DE CERTAINS PAYS D’EUROPE DES ARTICLES QUI METTENT A MAL LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE DE LA FRANCE. CERTAINS PAYS N ATTENDENT QUE CA !!!!!
SOYONS GRAND!!!!!!!!!!!!!!
Lu sur le net et a relayer…..
L’affaire Fillon fait les gros titres aussi à l’étranger. Ce cas de possible emploi fictif dans les coulisses du pouvoir révèle une corruption ancrée dans la Ve République, estime le magazine américain Foreign Policy.
“Qui imagine le Général de Gaulle mis en examen ?” Cette phrase, lancée par François Fillon au mois d’août 2016 en référence à son rival Nicolas Sarkozy, a tendance à être souvent reprise par les médias depuis la révélation de l’affaire Penelope Fillon. Le magazine américain Foreign Policy ne fait pas exception, ajoutant dans la foulée :
Maintenant que les enquêteurs financiers ont entamé leurs recherches sur l’affaire Fillon, le Général semble plus seul que jamais.”
Dans un article au titre évocateur – “Pourquoi la France est si corrompue” – le bimestriel va chercher les racines de cette affaire dans les règles politiques françaises. “La France n’est pas un pays particulièrement corrompu au sens large, écrit-il, mais c’est un cas atypique en Occident.” En effet, d’après le classement 2016 de Transparency International sur la corruption, la France est classée 23e sur 170, juste derrière l’Estonie.
Au plus haut sommet du pouvoir
Ce qui aggrave ce constat, c’est que la corruption française concerne avant tout ses élites : elle ne vient pas de ses policiers demandant des petits pots-de-vin ou d’entreprises achetant des bureaucrates. Au lieu de ça, grâce au système très français de monarchie républicaine, la corruption en France implique des sommes considérables et se déroule au plus haut sommet du pouvoir.”
Pour le magazine américain, la raison de cette corruption des élites est due à l’exemple donné par le sommet de cette pyramide et aux fondements de la Ve République. “Le président, par principe, n’a pas à répondre de ses actes face au Parlement : il règne et ses ministres gouvernent à peine.” Et si de Gaulle avait montré l’exemple par “son autorité personnelle et son incorruptibilité”, ses successeurs ont conservé le principe de règne mais “ont saccagé l’incorruptibilité”, constate Foreign Policy. Et la revue de citer une série de scandales présidentiels français, des diamants de Bokassa au “kaléidoscope d’affaires judiciaires entourant Sarkozy”.
Un remède bien timide
Foreign Policy reconnaît tout de même un début d’effort en France pour “remédier à ce problème” grâce à la loi Sapin 2, adoptée en 2014 et relative à la transparence et la lutte contre la corruption. Si elle va dans le bon sens, admet la revue américaine, “la majeure partie de cette loi vise des cibles bien en dessous de l’Élysée”.
Et le magazine de conclure que, si la campagne pour la présidentielle est plus indécise que jamais en France, “une chose apparaît clairement : grâce au Penelopegate, une vieille tradition française semble destinée à se perpétuer.”
Fondé en 1970 dans le but de “stimuler le débat sur les questions essentielles de la politique étrangère américaine”, Foreign Policy a longtemps été une revue académique avant de devenir un bimestriel en 2000. Son ambition aujourd’hui : être le premier “magazine sur la politique, l’économie et les idées internationales”. Dirigé depuis 2012 par David Rothkopf, le titre appartient à la Graham Holdings Company, ancien groupe du Washington Post, qui possède aussi le site Slate. Foreign Policy a lancé au début des années 2000 plusieurs éditions étrangères, en Europe, en Afrique, Au Moyen-Orient, en Asie et en Amérique latine.
Outre le contenu du magazine, on trouve sur le site des articles originaux, des blogs, des brèves et bien d’autres rubriques. Aux enquêtes et reportages journalistiques s’ajoutent de nombreuses contributions d’experts des relations internationales, avec des orientations politiques très variées. ForeignPolicy.com se veut le premier quotidien en ligne traitant des questions de politique étrangère et de sécurité nationale.