Denis Sassou Nguesso, le mendiant international  

Il est coutume de dire trivialement que les chiens ne font pas des chats ; la démonstration a été faite lors du sommet sur un « Nouveau pacte financier mondial » à Paris du 22 au 23 juin 2023.    

Après les sorties hasardeuses pécuniaires de madame Arlette Soudan-Nonault, celle qui nous sert de ministre de l’Environnement au Congo-Brazzaville dans le seul but de capter l’aide financière internationale, monsieur Denis Sassou Nguesso enfonce le clou en réclamant à tue-tête les 100 milliards de dollars américains promis chaque année au continent africain pour la préservation de la forêt afin de lutter contre le réchauffement climatique, et pour  favoriser la transition énergétique vers des matières moins polluantes que les énergies fossiles dont l’Afrique regorge.   

L’on croirait vivre un mauvais rêve de la part de cet homme qui n’a toujours pas perçu la quintessence de la fonction de Président de la République après plus de 39 années cumulées de pouvoir absolu. Mais, c’est une réalité honteuse qui rattrape le Congo-Brazzaville, le pays aux multiples scandales.   

Il s’est tenu à Paris, en France, du 22 au 23 juin 2023, un sommet sur un « Nouveau pacte financier   mondial ». Force est de constater que les deux institutions issues de la conférence de Bretton Woods de juillet 1944 que sont le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) afin de réguler la finance internationale et de réduire la pauvreté dans le monde ont lamentablement échoué. Par ailleurs la guerre que se livrent la Fédération de Russie et l’Ukraine a rebattu la donne géopolitique et géostratégique.   

À la solde des Occidentaux, la Banque mondiale, dont le poste de directeur général revient tacitement à un Américain, et celui du FMI à un Européen, ces deux institutions à travers la mondialisation, la libéralisation anarchique des économies au marché ont davantage servi à paupériser l’Afrique peu aguerrie en la pillant, et en la livrant aux multinationales occidentales et orientales. Ce sont mis en place des mécanismes de financement sous forme de dettes ne servant que la cause des Occidentaux, et la corruption des élites et des dirigeants africains, l’un des plus grands crimes contre l’humanité. Dans ce décor pittoresque, les Africaines et les Africains sont considérés comme des miséreux.   

Lors de ce sommet de Paris, le Président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, a réaffirmé sa volonté de réduire à zéro le déboisement de l’Amazonie en 2030, et de lutter encore plus efficacement contre la pauvreté, contre les inégalités sociales dans son pays comme il le fit lors de ses précédents mandats. Pour le Président brésilien, il est plus que temps de changer les mécanismes au niveau des échanges financiers et commerciaux entre les pays, en mettant fin à la suprématie du dollar américain. C’est le principe de la souveraineté des nations de décider d’elles-mêmes de ce qui est bien pour elles qui est ici réaffirmé. Ce qui va de soi car la politique c’est une question de bon sens, et chaque pays doit faire de son mieux pour le bien-être de son peuple.   

Ce qui ressort de l’intervention du Président Lula da Silva, c’est la dangerosité de la verticalité dans le fonctionnement des institutions financières mondiales, comme le G7, ce club des happy few (quelques heureux), décidant pour le reste du monde alors que tous les peuples sont « théoriquement » égaux. La démocratie ne peut et ne pourrait être que bonne pour les Européens, et non pour les Sud-Américains et les Africains. Le principe d’un dialogue franc et constructif dans la prise des décisions qui impactent le monde entier doit être dorénavant la norme.     

Les Occidentaux à travers le G7, le FMI et la Banque mondiale ne doivent plus imposer leur vision au reste du monde. Le monde change, ainsi la gestion du monde doit être commune.   

L’intervention du Président de l’Afrique du Sud lors de ce sommet de Paris, monsieur Cyril Ramaphosa, qui s’est mué en porte-parole de monsieur Denis Sassou Nguesso, a consisté en des lamentations sur la pauvreté qui sévit sur le continent africain. Il y a lieu de remarquer que ce sont ces mêmes Présidents africains, pour certains des milliardaires en dollars américains comme monsieur Denis Sassou Nguesso, qui gèrent ces pays relégués au rang des lieux bannis à cause de leur mauvaise gestion des affaires publiques, de l’injustice sociale, de l’absence de démocratie, de la gabegie, de la corruption, de la violation des droits de l’homme qui y règnent.    

Le continent africain si riche voit ses enfants se noyer dans la méditerranée en fuyant la misère, la faim qui les tenaillent sur la terre de leurs ancêtres. Et ça, ce n’est pas uniquement la faute des Occidentaux messieurs les Présidents africains !   

Après plus de 60 ans d’indépendance pour la majorité des pays africains, il est toujours dérangeant d’entendre de la bouche des dirigeants africains le terme des « pays en voie de développement » alors qu’ils sont eux-mêmes le frein à ce développement par un enrichissement illicite de leurs familles, de leurs clans et d’eux-mêmes au détriment de la population. C’est l’hôpital qui se moque de la charité.   

Toutes les bonnes résolutions et réformes financières internationales pourront voir le jour, mais tant que la mentalité prédatrice des dirigeants africains privilégiant l’intérêt privé à l’intérêt général prévaudra, tous ces sommets seront inutiles, futiles et source de gaspillage d’argent public africain. L’évasion fiscale à travers la corruption tue l’Afrique.   

Le Congo-Brazzaville excelle dans les mauvais maux qui ruinent le développement en Afrique à savoir le vol des deniers publics, la mauvaise gestion, et l’injustice sociale entre autres. Notre pays est devenu tristement célèbre à cause des nombreux scandales financiers sans fin que l’on feint d’ignorer et qui restent impunis. Nous sommes devant un État mafieux dans lequel l’on peut investir 5 milliards de dollars américains sans se soucier de la provenance des fonds et de son utilité. C’est du blanchiment d’argent sale dans un pays devenu une lessiveuse.     

Monsieur Denis Sassou Nguesso s’est dérobé, car il n’y avait pas d’argent à se faire, lors de la visite des Présidents africains à Kiev et à Moscou dans le but de trouver une solution aux répercussions négatives de la guerre sur le plan alimentaire au niveau du continent africain. En ce qui concerne les engrais et les céréales, le Congo-Brazzaville dispose de 10 à 12millions d’hectares de terres arables dont moins de 5 % sont exploités pour une agriculture vivrière. Il est plus que temps pour celui qui avait promis au peuple congolais « L’Autosuffisance alimentaire d’ici à l’an 2000 » et « L’Agriculture priorité des priorités » de se mettre à la tâche au lieu de tout attendre de la Fédération de Russie et de l’Ukraine.   

La souveraineté des pays africains ne doit pas être seulement un vain mot, mais doit se traduire dans les faits. Les pays africains peuvent produire des engrais et cultiver des céréales nécessaires à la survie de leurs populations.   

La seule préoccupation de monsieur Denis Sassou Nguesso lors du sommet de Paris était les 100 milliards de dollars américains promis dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Dans le cadre du Bassin du Congo, le Congo-Brazzaville ne représente que 8% de ce dernier, loin derrière la République démocratique du Congo (RDC) qui a 60%. Monsieur Denis Sassou Nguesso, monsieur 8% comme lors de l’élection présidentielle du 20 mars 2016, a la manie de vouloir rafler la mise à la fin de la partie. Ainsi, ce dernier s’échigne contre vents et marées à vouloir organiser à tout prix en octobre 2023 un sommet des trois bassins (Amazonie, le Bassin du Bornéo-Mékong et le Bassin du Congo) déjà reporté à moults occasions. Il faut par ailleurs souligner qu’un accord climatique de coopération pour protéger les forêts tropicales a déjà été signé entre la RDC, le Brésil et l’Indonésie en marge du sommet du G20 à Bali le 14 novembre 2022.        

Comment faire confiance à un monsieur qui a dérobé 14 milles milliards de francs CFA, soit 28 milliards de dollars américains d’alors, du Fonds de générations futures ? La kleptomanie qui caractérise l’État congolais à travers monsieur Denis Sassou Nguesso est inquiétante car depuis plus de 39 années cumulées de dictature, le peuple congolais est en mode survie nonobstant les 133 milles milliards de francs CFA engrangés pendant toute cette période. Les besoins vitaux basiques en termes d’eau potable, d’électricité, des soins de santé, d’éducation, d’infrastructures sont inexistants.   

L’on pourrait confier le budget de la terre entière à monsieur Denis Sassou Nguesso, le Congo-Brazzaville restera ce qu’il est aujourd’hui, un pays arriéré. Il est plus que temps que les dirigeants responsables du monde comprennent que le Congo-Brazzaville dirigé de main de fer par monsieur Denis Sassou Nguesso et son clan est un État voyou qui ne se soucie guère du bien-être du peuple congolais.    

Il sied de rappeler à monsieur Denis Sassou Nguesso qu’il est de son devoir, fonction oblige, d’apurer les arriérés des salaires, des retraites et des bourses des citoyennes et des citoyens congolais, au lieu de vouloir organiser des sommets budgétivores pour sa petite personne, sans intérêt pour le peuple congolais qui croupit depuis des lustres dans une misère innommable. C’est le minimum vital que l’on se doit d’attendre dans la gestion des affaires publiques dans un pays, même de la part d’un dictateur.   

Les solutions de sortie de crise de cette chienlit sont connues de tous à savoir la libération des prisonniers politiques, le retour des exilés politiques, la restauration des libertés fondamentales, et un dialogue national inclusif qui poseront définitivement les bases d’un Congo nouveau.   

La mendicité des capitaux étrangers de monsieur Denis Sassou Nguesso en vue d’entretenir son train de vie luxueux et celui de ses courtisans n’est que le reflet d’un tyran qui prend ses désirs pour des réalités.    

Le peuple congolais n’est pas partie prenante de cette escroquerie à grande échelle.  

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSSA

Diffusé le 01 juillet 2023, par www.congo-liberty.org

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11 réponses à Denis Sassou Nguesso, le mendiant international  

  1. Samba dia Moupata dit :

    Cher patrice , Sassou Denis répète toujours que le ridules ne tue pas. Alors le monde de la finance le place au dernier rang . Voilà quelqu’un qui a perdu toute lucidité, l’homme qui a dilapidé 1400 milliards des générations futur sans aucune explications.
    Prions pour ce pays, qui est tenu par un fou furieux .

  2. LPambou Mkaya Mvoka dit :

    Réponse à Patrice et à Samba

    Si Sassou n’est pas l’homme idoine pour le Congo, il faut donc le remplacer. Mais par qui ?

    Je développe sur ce site l’analyse politique des comportements de nos responsables politiques congolais pour expliquer la situation dans laquelle nous sommes. Les institutions sont adaptables mais pas avec les hommes politiques qui estiment que eux seuls peuvent diriger le Congo. C’est vrai de Youlou à Massambat, en passant par Ngouabi, Sassou, Lissouba et Sassou. Les présidents cités n’ont pas une conscience très claire pour le développement intégral et global du Congo.

    Revenons au président Sassou. Les élections de 2026 approchent. Où sont les figures tutélaires de l’opposition capables de s’adresser au peuple congolais pour asseoir de façon durable le remplacement de Sassou et donc l’alternance politique. C’est bien de crier comme le fait Samba dia Moupata et d’autres que le président Sassou et son clan ont pillé le Congo, il faut avancer et sortir de l’émotion politique qui caractérise les intervenants de ce site et réfléchir concrètement. Je vais essayer, même si je me trompe, de vous y aider et n’allez surtout vous répandre sur ce site en disant que je suis en mission commandée pour le président Sassou aux motifs que j’ai travaillé pour la revue Géopolitique dont il était le président et j’ai été rémunéré. Je ne me cache pas, même si certains me reprochent d’avoir fait un interview d’allégeance au président quand je l’ai interrogé sur Africa 24. Ma formation à Sciences Politiques Paris m’a ouvert à l’analyse des comportements politiques des dirigeants pour expliquer leurs attitudes face aux institutions qu’ils mettent en place.

    Mon point de vue sur le changement de la constitution congolaise importe peu. Ce qui est important c’est d’expliquer comment au cours d’une guerre civile le vainqueur utilise ce moment de victoire pour imposer en 2000 et en 2015 une révision constitutionnelle pour continuer d’exister aux affaires. Le problème de nous congolais est que nous sommes des émotifs et des égarés intellectuels qui ne comprennent pas les rapports de force qui s’installent en politique. Ce sont les hommes qui créent des institutions et non l’inverse.

    La plupart des Congolais se sont faits avoir par les sorties outrancières de Obama qui mettait l’accent sur des institutions solides pour faire fonctionner l’Afrique. Obama était un doux rêveur et un président incompétent qui n’a pas compris qu’il faisait un transfert du modèle démocratique américain sur l’Afrique qui méconnait ce modèle.

    Il reste aux intellectuels africains, sans se déjuger, de voyager intelligemment à l’intérieur de leurs connaissances acquises dans les universités occidentales pour expliquer les réalités africaines plus complexes et plus marquées par les rapports de force entre les hommes, les ethnies, les clans et les réseaux.

    Ceci étant, je vais maintenant essayer de donner mon point de vue à propos de l’article de Patrice.

    1. Cher Patrice, Sassou est un échoué, vous le dites. Pour lui ou pour le Congo ? Pour Sassou, il est milliardaire comme vous le dites et réclamer les 100 milliards pour les pays du sud est une action politique positive du point de vue de l’Afrique mais nulle de son point de vue car il sait très bien que l’Occident ne sort pas l' »argent aussi facilement. Sassou le fait parce que c’est un politique et, même si au Congo cela n’est pas compris, il s’en fiche car depuis son accès à la présidence en 1979 le président Sassou soigne plus sa communication internationale qui lui permet de rester au pouvoir que nationale.

    2. Le président Sassou n’a pas fait beaucoup d’études, comme certains d’entre nous, mais il est le Machiavel congolais en politique. Nous sommes là au coeur de ma thèse, à savoir que la science politique comportementale est plus importante que la science politique des institutions pour expliquer les fondements du pouvoir en Afrique avec la bénédiction des Etats Unis et de la France.

    3. Les changements d’alliance au Mali, au Burkina Faso constituent le résultat des hommes politiques maliens et burkinabés et non des institutions. Vous avez ici la démonstration de ma théorie sur la prééminence des hommes politiques sur les institutions.

    4. Cher Patrice, vous dites Sassou a échoué. Il faut donc le remplacer. Que fait l’opposition ? En 2026, c’est l’élection présidentielle. Il se dit que le président Sassou va se représenter comme la constitution lui en donne l’occasion et pour éviter les règlements de compte dans son réseau clan ethnique Mbochi. Où sont les thuriféraires de l’opposition pour battre le président Sassou s’il se représente ? Dzon, Tatsy Mabiala, Munari, Miekassisas ou d’autres ? C’est bien de pleurer, c’est bien de vouer aux gémonies Sassou (là je suis sûr de recevoir des bouts de bois et de fer car ceux qui ont une lecture limitée de ma pensée vont croire que je souhaite que le président se représente et soit élu).

    Je ne suis qu’un présentateur d’idées qui utilise sa formation intellectuelle académique française pour construire son propre modèle rhétorique et théorique. Mes papiers nombreux sur les sites (et en tapant mon nom Pambou Lucien sur Grioo, Blasting news, Nouvel obs, Huffington post, Jeune Afrique, le Monde et Amadoo, à la télévision LCI sur la mort de Mandela, Africa 24 TV, France 24 TV sur le Togo et dans la revue Géopolitique africaine ainsi que pendant 7 ans mes débats politiques sur Africa n°1 avec Eugénie Diecky) attestent ma liberté de ton et d’analyse concernant l’Afrique et les pays développés comme la France.

  3. Lpambou Mkaya mvoka dit :

    Lire Mierassa au lieu de MieKassissa
    Merci

  4. Val de Nantes dit :

    Oui ,rester au pouvoir pour le pouvoir insipide ; quelle tristesse !!..
    Louons le bon sens pour se départir de ces affects qui ne font qu’enfoncer notre pays dans les ténèbres de tartare.
    Quelles qu’aient été les facultés de falsification,de manipulation ,de mensonge ,de machiavélisme ,de Sassou ,ce dernier demeure la honte de l’Afrique centrale et notamment du Congo Brazzaville..
    Inutile de faire susciter un débat sur ce personnage dont on sait qu’il ne brille que par son cynisme.
    Peu importe, sa malice diabolique à être au pouvoir ;,le temps est notre allié..
    À quoi ça sert de justifier l’injustifiable , d’excuser son peu de culture , pour stigmatiser ceux qui auraient fait des grandes études ??..
    Faudrait -il abdiquer aux études pour singer Sassou ???. Ne tombons pas dans ce sophisme dévastateur sur le plan du savoir ..
    Son inculture est à la base de son incompréhension des exigences multiples auxquelles se trouve confronté notre pays..
    Oui , l’échec scolaire en soi est un handicap dans l’appréhension des problématiques,dont l’homme cherche à trouver des solutions… D’où l’échec ne peut servir de valeur à l’homme ,car il porte en lui une insuf
    C’est aussi, grâce à l’intelligence que Macky Sall à renoncer à un troisième mandat,en ayant soupesé les risques qu’il fait courir à son pays pour une violation constitutionnelle…
    Ce qui démontre la nécessité d’être intelligent..
    Mon doyen@ Lucien , à travers votre post ,j’y vois une mauvaise manière de fructifier ,d’alimenter le débat autour de la perception de la gouvernance réelle de notre pays , dirigée par ce médiocre personnage…
    Que peuvent faire les opposants face à un dictateur ,possédant tous les leviers du pouvoir ??.
    Y a-t-il un vrai rapport de force entre le dictateur et l’opposition ??.
    Dans un régime dictatorial ,seule existe la dictature ., l’opposition est abstraite

  5. Val de Nantes. dit :

    L’échec scolaire ne peut servir d’excuse à la criminalité du pouvoir qu’incarne Sassou. C’est, aussi , la magie de l’intelligence , qui a raisonné l’instinct animal de Macky Sall, pour renoncer à la violation constitutionnelle..

  6. Samuel Noko dit :

    @LPambou Mkaya Mveka.

    Notre pays est en crise. Pendant le sommet de Paris, c`est le Prèsident Ramaphosa qui a parlè pour Dènis Sassou Nguesso concernant l`argent pour la gouvernance nationale du Congo Brazzaville. C`est du jamais vu dans l`histoire de notre pays. Le poisson commence toujours à pourrir par la tête.

    Pambou tu raisonnes comme un vèritable outil programmè qui rend visible tout juste les instructions disponibles sur le processeur. Ainsi est ton language stagnè comme l`etat du Congo Brazzaville.

    Nous devrons tous bien savoir que une nation qui est composèe de plusieurs règions, communes et secteurs, sont des mècanismes politique qui se fait pratiquè sur le plan international. Chaque nation qui est l`ensemble du peuple souverain dèpend de ce mècanisme concernant les bèsoins du bien commun. L`interêt du peuple doit être la prioritè de chaque gouvernement.

    La rèussite du bien vivre pour toute la nation, c`est une gèstion des dèpartements qui ne sont pas inhibè pour servir les bèsoins du peuple qui est la nation. Les dèpartements sont le facteur administratif nous appelons aussi les institutions. Nous pouvons aussi appelè les institutions les pistons d`un moteur qui fonctionne très bien quand y a accès d`energie.
    Le gouvernement qui est un ensemble des differents institutions est le principal facteur pour mieux servir le peuple sur toute l`etendue du tèrritoire.

    Malheureusement le faux gouvernement de Denis Sassou Nguesso, c`est un essemble qui excerce la cleptomanie en complicitè avec l`opposition. En outre, il s`agit d`un clan qui à pris la nation Congolaise en otage sous la domination de la pratique du nèocolonialisme.

    La personne qui peut remplacè Denis Sassou Nguesso existe belle et bien de nos jours. La vèritable histoire de l`humanitè n`a pas encore ètè exposer dans la place publique. Le jour viendra et c`est pour bientôt. Le Pape nous a dèja fait voir que Jèsus-Christ et sa mère fut des êtres humains à la peau noire. Cela nous relate aussi que le dèbut de l`histoire de toute l`humanitè c`est en Afrique. La question qui se pose alors est la suivante

    Maitrises-tu l`histoire de ta propre identitè ?

    Au Congo Brazzaville nous trouvons plein des èvidences qui confirment que la rèsidence d`Adam et Eve se localise au Congo et tout ce tèrritoire nous appelons Bassin du Congo, c`est le vèritable Jardin d`Eden dans son etat tropical dans lequel nous trouvons aussi plusieurs fruits agrèable à manger chaque saison annuelle. Bref.

    Si aujourd`hui Dènis Sassou Nguesso tombe, nous allons prendre le pouvoir sans la moindre hèsitation, car nous avons dèja en place toute notre nouvelle politique pour le Congo Brazzaville pour le bien vivre de toute la nation Congolaise. Indèpendant de n`importe quelle ethnicitè. Nous avons aussi en place un budget pour une pèriode de 10 ans.

    C`est tout juste pour te dire que ton mendiant international doit se foutre a la retraite. A bon entendeur… ❤️❤️❤️ ☀️☀️☀️

  7. Val de Nantes dit :

    Ce que nous savons de la gouvernance criminelle de Sassou est une goutte d’eau ; mais ce que nous n’en savons pas est un océan..
    Le Congo Brazzaville,post Sassou ressemblera à un désert dévasté par un incendie.

  8. Val de Nantes. dit :

    Tous nos échecs procèdent d’une mauvaise éducation,d’in manque de capacité d’analyse ,de compréhension ou d’une disposition perverse et donc nuisible à la réalisation de soi ,et par soi .
    Sur ce point, Miakassissa a nettement raison.. Sassou ,c’est un sociable d’insociabilité , qui a pu espérer tirer un profit considérable des largesses d’un peuple congolais , largement,imbu des valeurs humaines..
    Selon Kant « : la docilité humaine est le lait des bourreaux ».
    L’échec scolaire de Sassou peut se révéler être un avertissement à l’ensemble de la nation congolaise , sur la vie de la nation.
    L’ échec scolaire s’inscrit dans une trajectoire de sublimation de toutes les libéralités,dont certaines s’appuient sur les crimes humains et financiers.
    La caractéristique de l’échec scolaire , c’est de se venger des humiliations subies , éprouvées , endurées ,aussi sur le banc de l’école que sur le reste de la société , qui lui était hostile..
    D’ailleurs, c’est la philosophie de la gouvernance publique de Sassou , où peu d’intelligence est activement souhaitée ; ceux qui s’en distinguent sont littéralement mis au ban de la république bananière..
    Ainsi, faire de l’échec scolaire de Sassou un modèle d’un politique exceptionnel, qui échappe à l’entendement congolais me paraît être une erreur incompréhensible..et sadique.
    Quel horrible message, adressé à la jeunesse congolaise ?…
    Hitler ,un raté scolaire, avait causé la mort des milliers d’hommes ,en croyant avoir raison sur le reste de l’humanité : Nous en connaissons la suite ..
    Nb: un homme,peu instruit, ne satisfait que de l’exercice de son manque d’éducation..
    Quelle différence, faîtes -vous entre un Macky Sall et Sassou ??.
    J’ai l’intime conviction que le premier s’est servi de ses facultés intellectuelles pour revenir à la raison…
    L’échec scolaire est un Hitlerisme.

  9. Val de Nantes dit :

    Lire,,, ,ne se satisfait que de l’exercice de son manque d’éducation.
    Que penser d’un homme fermé à l’idée de laisser le pouvoir pour la régénération des idées ? .
    Avoir étudié est un plus dans la conception de l’architecture de l’écosystème humain et surtout congolais.
    Je parie que si Sassou avait accompli un parcours scolaire raisonnable ,le Congo Brazzaville n’en serait pas là..
    Le coût de l’échec scolaire a privé les congolais du bonheur économique , qu’ils devaient tirer des revenus pétroliers..
    Pour moi ,vanter un échec , quelle qu’en soit la forme ,est un reniement à la quête du savoir et donc de la vérité . C’est le mensonge qui triomphe de l’intelligence ,une inversion des valeurs !.
    On a beau être narquois ,le cas de Sassou mérite que l’on y réfléchisse sérieusement ,car c’est tout un pays qui en paie le prix…
    Cette propension à titiller les congolais en se servant de la valeur politique de son échec scolaire est aussi malsaine qu’ a- patriotique…
    Le Congo Brazzaville souffre de l’inculture assumée de Sassou…

  10. Val de Nantes. dit :

    Sassou a réussi à améliorer son vécu terrestre ; mais a échoué à moderniser ,selon les règles de l’art, le Congo Brazzaville… C’est ce dont retiendront les congolais…
    À 82 ans ,passés , il est temps de se rendre l’évidence…

  11. Anonyme dit :

    La corruption au Congo Brazza n’est pas une résultante du système mafieux en place mais est inhérente à ce système, c’en est même le pilier le plus important. Sans cette corruption endémique organisée qui lie l’ensemble des acteurs le système actuel qui sévit au Congo depuis plusieurs décennies ne pourrait perdurer.

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