Presque bientôt une année après le décès du premier président du Forum des Gens de Lettres, l’illustre Ernest Bompoma Ikele, survenu le 6 février 2018, il était temps de réorganiser les instances de la direction du Forum des Gens de Lettres pour la bonne marche de cette institution culturelle qui ne cesse de participer à la promotion des écrivains congolais en général et celle de la nouvelle génération en particulier.
Novembre 2018, plus précisément le samedi 3 novembre ont été présentées au public au cours d’une cérémonie au Ministère de la Culture et des Arts, les nouvelles instances du Forum des Gens des lettres.
Avaient honoré de leur présence, quelques figures du monde culture culturel du pays tels Madame La Directrice de L’IFC (Institut Français du Congo, Monsieur le Ministre Essayiste, Charles Zacharie Bowao, Florent Sogni Zaou, Président du Pen-Centre Congo, le Professeur Dominique Niossobantou, les dramaturges Stan Matingou et Arsène Fortuné Bateza, de nombreux écrivains, amis du livre, des Arts et des Lettres sous le regard avisé de Monsieur Claure Kombo, Directeur Général du livre et de la lecture publique, Conseiller aux Arts et aux Lettres au Ministère de la Culture et des Arts.
Les nouvelles instances se présentent ainsi qu’il suit :
Bureau exécutif
1-Président chargé de la coordination, de l’orientation et du contrôle : Jessy E. Loemba
2-Vice-président chargé de l’organisation: Obambe Mboundze Ngakoso
3-Secrétaire chargé de l’administration et des archives: Emeraude Kouka
4-Secrétaire chargé de la communication et des relations publiques: Prince Lekouelewe
5-Secrétaire chargé de la coopération et des relations extérieures: Huppert Malanda
6-Secrétaire chargée des finances et du patrimoine: Virginie Awe
7-Secrétaire Chargée du suivi et de la promotion du livre: Prestige Itsoukou
Commission de discipline, suivi et évaluation
1-Président : Willy Gom
2-Secrétaire rapporteur : François Filankembo
3-Secrétaire chargée de la discipline : Gilberte Mbon Tombet
Profitant de l’occasion, les écrivains du Congo-Brazzaville et particulièrement les jeunes auteurs rassemblés au sein du Forum des Gens de lettres ont eu à adresser leurs remerciement au site Congo Liberty l’un des sites panafricains qui contribue à la promotion de la culture africaine en général et du Congo Brazzaville en particulier ainsi que leur rayonnement dans l’espace francophone.
Noël Kodia-Ramata
LE CLAN DES IGNARES MBOCHIS… CULTURE CONNAIT PAS !
Quand il s’agit des domaines où on ne brasse pas les milliards ou qu’on ne manipule pas les hommes en armes… comme par magie on revoit plusieurs noms des hommes du sud aux manettes.
Mais s’il s’agissait de palper et gérer les institutions « à gros sous »… y’aurait que des O, des I et des A.
BA MBOCHIS KISSALOU BA ZABA KAKA MOUYIBI… NA KOUBEBISSA BOUALA.
J’ESPÈRE QUE VOUS ÊTES LIBRES, MESSIEURS DE LA COULTOURE DANS UN PAYS LIBRE?
Noël arrête ta connerie quelle gens de lettres que vous êtes qui ne défendent pas le pays contre la barbarie ? Méfiez vous de ce garçon kodia Noël c’est un proche du proxénète Isidore Mvouba . Les hommes de lettres civilisés comme les Maleraux en France défendaient le petit peuples .
C’est de la masturbation intellectuelle sur fond de flatterie politique .Créez des activités générant des richesses économiques pour éviter de charmer SASSOU .
Culture , oui , indépendance financière ,c’est mieux .
Avec des lettres ,vous ne sauverez pas ce pays de la misère chronique .
La dictature a tout avalé plus d’éducation plus de culture le théâtre a disparu. Qu’est devenu le Cfrad? Et la bibliothèque nationale? les écrivains se couchent ils ont peur pour leur vie n’osent plus écrire. ils n’existent plus.
Chapeau aux jeunes musiciens de Pointe-Noire et de Brazzaville. Ils dénoncent à travers des textes courageux la dictature maçonnique de sassou sur des rythmes modernes de rap soukous hip hop.
Ses jeunes musiciens au risque de leur vie bravent le système mortifère d’OYO. ce que nos lettreurs ne font plus. zut ils n’existent plus. alors n’en parlons plus. Nos héros sont les jeunes musiciens.
A Samba dia Moupata
Voilà le genre d’intellos qui font honte au pays. Peut-on renier un parent ou un ami parce qu’il est homme politique au pouvoir ou dans l’opposition?J’ai eu du respect pour les hommes de culture tels Tati Loutard, Sylvain Bemba, Letembet, hommes politiques des années 70-90 et même au-delà qui ne pensaient pas peut-être comme moi en politique, mais que je consirais. Ces grandes figures de notre littérature m’ont adopté dans la création littéraire. Heureux de recevoir un de tes ouvrages pour le donner aux jeunes Congolais du Forum des Gens de Lettres que l’on devrait féliciter car continuant l’oeuvre des doyens tels Jean Malonga, Makouta Mboukou et autres..
Mon cher Samba dia Moupata, la critique est aisée, mais l’art difficile. Faut pas mélanger Politique et Littérature, l’une est concrète, l’autre est abstraite.
A propos des écrivains civilisés dont tu fais allusion, parle-moi au moins de Sony Labou Tansi, de Dongala ou de Mabankou au lieu de me rappeler le passé avec Malraux (dont tu ne connais même l’orthographe du nom). Les ouvrages de ce grand écrivain du siècle passé ont fait partie de mes études doctorales à Paris IV Sorbonne. Autres temps, autres moeurs!
Proche d’Isidore Mvouba? Je ne peux que l’être et j’en suis fier car c’est un parent et nous à Ouenzé, on n’abandonne jamais un parent ou un ami même si l’on ne pense pas comme lui.
Parle-moi plutôt de la littérature de notre pays et comment faire pour aider les jeunes du Forum des Gens de Lettres au lieu de venir faire le « matalana » sur Congo Liberty, un site que les jeunes écrivains respectent.
L’écrivain est le contemporain de son époque. Il la décrit et la peint à travers ses écrits en faisant partager ses émotions sa vision mais aussi ses interrogations sur le temps qui s’écoule.
L’écrivain, l’homme de lettre ou le lettreur comme je l’appelle (c’est une caricature) questionne la société, la vie. Il peut changer le monde et insuffler un sang nouveau, régénérer une société qui se meurt comme la notre. les jeunes lettreurs que vous êtes dormiez sur vos lauriers. D’ailleurs quels lauriers avez vous gagné ? aucun. A l’exception de quelques uns, vous êtes plongé dans un sommeil paresseux, incapables de prendre la relève des grands écrivains que le Congo ait connu. Incapables de repenser la réflexion sur des sujets sociétaux du pays, l’Afrique, le monde; Alors que la matière à peindre existe. Elle est là devant vous.
Mais prenez l’exemple de notre Alain Mabanckou nationale. Lui au moins il sauve la littérature congolaise. Il est loin du pays et proche à la fois par son écriture, et le poids de ses mots font chavirer la planète du livre.
Oser chers jeunes lettreurs, sortez des chantiers battus de la peur. L’écrivain échappe au choix tribal et ethnorégionaliste du politique. Il est libre dans sa tête parce que La littérature est une œuvre intellectuelle qui naît de l’esprit. Le génie congolais existe alors écrivez et faite nous rêver.
@Dieu m’a dit: bon rappel.
Mais moi je ne crois pas à tout ça. J’ai connu des gens si malmenés par la belle prose, qu’ils en ont oublié de voir la misère qui envahissait leurs villages, leurs villes-villages.
L’Afrique noire est mal partie. Et l’Afrique noire continue de s’enfoncer dans ce chemin-destin malgré la réputation de la présence des sables mouvants sur son parcours: aujourd’hui on sort des docteurs en philosophie, en histoire, par fournées entières dans les universités africaines, congolaise… aujourd’hui encore on ignore l’impact prodigieux d’un ingénieur dans le progrès; aujourd’hui, on sort des professeurs en médecine, par fournées entières, au lieu de former des médecins qui ont à cœur de soigner…; aujourd’hui encore on sort par fournées entières des docteurs en droit, qui ne connaissent rien de la coutume propre de leur société…; Non!
Si c’est pour nous vendre du rêve…, pour l’instant Zao le fait si bien.
@Mangwou.Au panthéon .
Honneur aux mathématiques .P.Tsengue Tsengue en est un parfait exemple .
Mwangou Salut.
L’Afrique noire mal partie, le Congo qui s’enfonce. L’intelligence et la sagesse, qu’elles viennent des métiers ou des secteurs différents sont tout ou presque au service d’un déterminisme socioéconomique redhybitoire. Mal repartis ou très peu representatifs des besoins réels et qualitatifs du devellopement de la cité. Cette carence structurelle pénalise grandement le progrès social. Jusque là nous sommes bien d’accord;
Justement la societé congolaise qui se meurt est bien une source de cogitation et d’inspiration qui devraient être prise à bras le corps par nos jeunes lettreurs, dans une littérature engagée et sans compromission avec le fait politique.
C’est est une évidence, la littérature autant l’ingénierie ou autres, ont leur place dans une société congolaise à repenser mieux à refonder. Encore faudrait il que les jeunes lettreurs, en tout cas les jeunes écrivains, sinon les jeunes mettent la main à la pâte et le coeur à l’ouvrage. Tout n’est pas perdu.
VOUS ÊTES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX À SUIVRE LES MATCHS DE DEMI-FINALES PASSIONNANTS QUI OPPOSENT DANS LA PREMIÈRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICAINS ET DANS L’AUTRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICONS (JE CITE REMY NGONO).
NOUS NOUS SOMMES QUITTÉS LA DERNIÈRE FOIS SUR LES SÉANCES DE TIRS AU BUT.
DANS LA PREMIÈRE DEMI-FINALE, LES PANAFRICAINS (SOUS ENTENDU, LA DIASPORA CONGOLAISE ET LA DIASPORA GABONAISE) ÉTAIENT À ÉGALITÉ. LES DEUX AYANT RATÉ LEUR PREMIER TIR AU BUT CHACUNE.
LE SCORE SEMBLE AVOIR ÉVOLUÉ. LA DIASPORA GABONAISE PAR L’INTERMÉDIAIRE DE SES ACTIVISTES VIENT DE MARQUER LE DEUXIÈME TIR AU BUT. LA DIASPORA CONGOLAISE A RATÉ SON DEUXIÈME TIR AU BUT. LE JOUEUR CONGOLAIS S’EST AUTO DÉSIGNÉ, ET EVIDEMMENT LA CONSÉQUENCE EST TRÈS LOURDE POUR L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICAINS. IL VA FALLOIR SE RESSAISIR, AMIS CONGOLAIS.
DANS TOUS LES CAS, BRAVO À L’ÉQUIPE GABONAISE, UNE DIASPORA MIEUX ORGANISÉE, ET POURTANT QUI A LES MÊMES PROBLÈMES DE TRAHISON. ELLE DOIT RESTER VIGILANTE EN CE QUI CONCERNE LES PROCHAINS TIRS AU BUT.
DANS LA DEUXIÈME DEMI-FINALE, CELLE QUI OPPOSE LES PANAFRICONS, LE CONSTAT EST LE MÊME DANS LA MESURE OÙ LE TIREUR GABONAIS, ALI BONGO, COMME SON PRÉDÉCESSEUR OMAR, VIENT DE MARQUER SON PENALTY. DU CÔTE CONGOLAIS, NDENGUET QUI A ÉTÉ DÉSIGNÉ, APRÈS EDITH, TERGIVERSE UN PEU. IL A PEUR DE LA RÉACTION DU PUBLIC CONGOLAIS S’IL N’ARRIVE PAS À LOGER LA BALLE AU FOND DES FILETS. TOUTEFOIS, IL IMPLORE SES FANS PANAFRICONS, VENUS EN MASSE POUR L’ENCOURAGER, DE DEMANDER À DIEU DE LUI DONNER LA FORCE DE RATER SON PENALTY. CE QUI EST SYNONYME DE TIR AU BUT MANQUÉ POUR LES PANAFRICAINS VENUS ESPIONNER LEUR FUTUR ADVERSAIRE. DANS L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICONS, ON ENVISAGE MÊME DE CHANGER LE DEUXIÈME TIREUR À LA DERNIÈRE SECONDE.
GARDER L’ÉCOUTE, ON VOUS ASSURE QUE CES DEMI-FINALES SONT PASSIONNANTES.
« C’EST PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS LA FORCE IMBÉCILE ET QUE NOUS SOMMES BIEN ÉDUQUÉS, QUE NOUS RELATONS CES FAITS. C’EST UNE DE NOS MANIÈRES DE RÉSISTER AUX IDIOTS DE SERVICE, AUX OCCIDENTAUX ET ORIENTAUX MAL ÉDUQUÉS ».