Les États-Unis ont conclu qu’un coup d’État militaire avait eu lieu au Gabon. Conformément à l’article 7008 de la loi de crédits annuelle du Département d’État, les États-Unis suspendent la majeure partie de leur aide au gouvernement du Gabon. Cette aide étrangère est temporairement suspendue par les États-Unis depuis le 26 septembre.
Nous soulignons que notre aide humanitaire, sanitaire et éducative continuera de bénéficier à la population gabonaise.
Les États-Unis réaffirment leur engagement à aider le Gabon à mener une transition rapide et durable vers une gouvernance civile démocratique et à faire progresser les intérêts de sécurité partagés dans le golfe de Guinée. Nous reprendrons notre assistance parallèlement aux actions concrètes du gouvernement de transition en faveur de l’établissement d’un régime démocratique. Nous continuerons à travailler en étroite collaboration avec le peuple gabonais et les partenaires régionaux.
Les États-Unis se tiennent aux côtés du peuple gabonais dans ses aspirations à la démocratie, à la prospérité et à la stabilité.
C’est le bon sens cartésien qui a triomphé de l’obscurantisme fétichiste africain..
Les dirigeants autoproclamés sont des simples homo faber de la puissance coloniale française…
Comment un docteur en droit, comme Ali Bongo, ne soit pas en mesure d’impulser une dynamique économique dans son pays ,à partir des revenus pétroliers conséquents , non produits par l’esprit gabonais ; mais par la bonté de la dame nature ??…
L’homme africain,et notamment le dirigeant de cette Afrique noire, n’est pas encore entré dans l’histoire de la pensée industrielle..
C’est ça le Néocolonialisme déguisé… exiger et imposer des gouvernances civiles manipulables à souhait par les Occidentaux. Et le Général de GAULLE qui a dirigé la France pendant plus de 10 ans c’était du poulet ?
Est ce que dans le cas du Gabon et de bien d’autres pays de la sous région où le processus démocratique d’alternance a toujours été bloqué- un demi siècle d’une famille au commande du pays- on peut logiquement s’offusquer d’un coup d’Etat pour redresser les choses? S’en tenir aux principes sans discernement en ce qui concerne l’Afrique relève de la cécité intellectuelle.