https://youtu.be/RAiI3ZQCrpc
« De Palerme à Chicago, de Shangaï à Marseille, les mafias ne naissent jamais par hasard : faiblesse des Etats, corruption des élites, les causes sont nombreuses et connues. Nées dans le secret, les mafias prospères dans la clandestinité, déploient leurs réseaux dans l’illégalité et pénètrent tous les lieux de pouvoir. Leurs colossaux profits irriguent les marchés d’une économie noire, leur puissance menace aujourd’hui nos démocraties. Une des mafias les moins connues et pourtant les plus puissantes se niche au cœur de l’Europe : la mafia corse étend sa toile sur tous les continents depuis un siècle. Elle n’a pu exister et se développer qu’avec la complicité d’une partie de l’Etat français. C’est l’histoire de cette relation dangereuse que racontent ces films. »
Ainsi débute Mafia et République « le récit de l’histoire complexe et occultée de la mafia corse à partir de la fin des années 1920 avec la complicité de l’Etat français » comme l’indique la note de présentation de la chaine franco-allemande ARTE qui a assuré la diffusion, le 7 février 2017, du film de Christophe Bousquet écrit par Buch, Vanessa Ratignier, Christophe Nick et Pierre Péan.
« En trois volets, cette série documentaire ausculte les liens scélérats qui ont uni mafieux corses et politiques de tous bords sur trois générations » (sic). Le dernier volet aborde la « Corsafrique » et sans surprise, pour qui a l’habitude de lire Péan, l’entrée en scène d’un Sassou Nguesso en 1979 survient, très innocemment, sans que ne soient évoquées les années sanglantes précédentes – assassinats des présidents N’Gouabi et Massemba-Débat, et du Cardinal Emile Biayenda – et l’implication des réseaux corses dans le choix du tyran qui a été imposé au peuple congolais depuis 40 ans. Les mécanismes obscurs sont décortiqués – services rendus contre impunité – et « l’organisation criminelle méconnue et pourtant toute-puissante pouvait s’exporter sur tous les continents » et infiltrer les antichambres du pouvoir français tout en contrôlant, comme ce fut longtemps le cas pour la dictature congolaise, les régimes fantoches mis en place en Afrique.
A aucun moment du récit, la narration ne s’est arrêtée sur les conséquences dramatiques engendrées par ce choix : les 400.000 morts des guerres civiles de 97-98, les ruines consécutives du pays par la prédation des ressources considérables du Congo et l’appauvrissement extrême de sa population. Pointe Noire et le Congo n’ont véritablement rien gagné avec l’exploitation pétrolière qui n’ait été détourné par la dictature. Tous les services publics ont été tirés vers le bas. La gestion de l’Etat congolais s’est très vite inspirée des pratiques calamiteuses importées et favorisées par la compagnies pétrolière ELF et plus tard par ENI ; la manne pétrolière, qu’elles voulaient bien distribuer localement, faisaient de gueux immédiatement des princes et elles n’hésitaient pas à faire éliminer, politiquement et économiquement, les gêneurs ou les curieux… Quant à Sassou Nguesso, à la tête du Congo en réalité depuis 40 ans, les pétroliers ont fait de lui un Roi. Un roi de la fraude, du crime et de la corruption qui a fini par échapper à tout contrôle.
ELF avait été créée par le Général de Gaulle pour assurer l’approvisionnement énergétique de la France. La jeune société était supervisée par Jacques Foccart et il y avait placé ses agents au moment où un condisciple de Chirac à l’ENA, André Tarallo né en Haute Corse, intégrait l’entreprise. Ce dernier a vite été connu sous le nom de « Monsieur Afrique ». En 1969, le gisement Emeraude était découvert au large de Pointe Noire et la saga corse au Congo pouvait débuter avec l’entrée en scène des frères Feliciaggi, Charly et Robert. Ils ont été en effet les premiers à bénéficier officiellement de la sous-traitance pétrolière, avant que Robert ne soit mis plus en avant dans le système ELF en Afrique avec sa proximité avec Charles Pasqua et « son entourage ».
Dès le deuxième volet – Aux services de la France (1945-1975) – apparaît un personnage emblématique, Etienne Léandri.
Léandri est né en 1915 à Gap dans une famille corse. Il grandit à Marseille. Dans les années 1930, Léandri monte à Paris. À cette époque, il aurait participé à du trafic d’héroïne. Sous le régime de Vichy (1940-1944), il est l’associé du parfumeur et pharmacien américain, l’immensément riche E. Virgil Neal. Gestapiste notoire et grand ami de Tino Rossi, Léandri devient une des coqueluches du Fouquet’s et fréquente le Tout-Paris. Après le débarquement allié, il se réfugia en Italie après être passé par Berlin lors de l’écroulement du IIIème Reich ; puis il s’installa à Genève, ensuite à Milan. À la fin de la guerre, le 21 juin 1948, la Cour de justice de la Seine condamna Léandri à 20 ans de travaux forcés « pour intelligence économique avec l’ennemi ». Il était accusé d’avoir été un auxiliaire de la police allemande.
« Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, mafieux et politiques luttent main dans la main contre les communistes. En 1947, la grève des dockers marseillais est brisée par l’action simultanée des Guerini, sollicités par la CIA, de la DST (Direction de la surveillance du territoire) dans le Sud-Est, et de Marcel Francisci et Jo Renucci, autres figures de la pègre, membres du service d’ordre gaulliste. Paris s’appuie par ailleurs sur la diaspora corse pour défendre ses colonies : de nombreux mafieux deviennent agents du SDECE, le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage. » De son côté, Etienne Léandri fut protégé par la CIA après la Libération. Le 3 mai 1957, le tribunal permanent des forces armées de Paris le déclare « non-coupable de haute-trahison ». Il rentre en France par le biais de réseaux de la CIA. « Parallèlement, la French Connection déploie sa toile avec la complicité de l’État. Embourbée en Indochine, la France rachète des stocks de pavot en échange du soutien des populations locales et les écoule auprès des trafiquants corses de Saigon. La marchandise, venue également d’Iran, de Turquie ou du Liban, est transformée en héroïne dans les laboratoires français, expédiée vers les États-Unis grâce à aux liens tissés par Étienne Léandri avec la mafia sicilo-américaine, et l’argent est blanchi dans les cercles de jeux. Mais en 1969, l’élection de Georges Pompidou change la donne. Le président, qui collabore avec Nixon dans sa guerre contre la drogue, place ses hommes au SDECE et purge le SAC (service d’action civique), la police parallèle des gaullistes, également infiltrée par le milieu… »
Le troisième volet commence après la mort des grands parrains, le démantèlement de la French Connection, la rupture avec Causa Nostra. Dans les années 70, la mafia corse à un genou à terre. Une fois encore l’Etat français va lui permettre de se relever (sic) en lui offrant une place de choix dans les grands contrats d’Etat, des grandes entreprises et du monde des affaires. Une troisième génération prend le pouvoir, le rêve cubain (version Battista) est à portée de main, la contamination de pans entiers de la République française s’accélère… Ce dernier volet a pour titre : La République gangrenée (1975-2016).
« Affaiblie par la décolonisation, le démantèlement de la French Connection et la mort de ses grands parrains, la pègre corse se relève en devenant l’un des rouages du « système Elf ». Représentée par Robert Feliciaggi et Michel Tomi, qui investissent dans les salles de jeux en Afrique, Jean-Jé Colonna, qui règne sur la Corse-du-Sud, et Richard Casanova, l’un des leaders de la Brise de mer, principal gang de Haute-Corse, la troisième génération de parrains corses noue des liens complexes au sein de la Société d’étude et de développement (SED), qui prendra part, en lien avec Elf, au financement occulte des partis politiques (RPR et PS). Au cœur de cette mécanique : un intermédiaire, l’incontournable Étienne Léandri, proche de Charles Pasqua. »
Mitterrand, au début de son second mandat en 1988, voulait « casser le monopole de la droite dans les rétro-commissions du pétrolier français dont l’argent occulte va également arroser le Parti Socialiste ». Alfred Sirven, appelé au côté de Loïk le Floch Prigent dès son arrivée en 1989 à la tête d’ELF, créera son propre réseau au sein du groupe pétrolier avec l’aide d’Etienne Léandri. « C’est aussi cela que l’on venait chercher auprès d’Etienne Léandri. C’est pas donné à tout le monde de savoir détourner des centaines de millions d’euros d’une opération sans que personne ne vous prenne…
Ce sont sur ces opérations surfacturées avec des rétro-commissions, ce sont sur ces opérations secondaires qu’Etienne Léandri intervient pour les plus grandes entreprises françaises » rappelle un ancien secrétaire. « Etienne Léandri est l’un de ceux qui a transporté les mécanismes de la grande criminalité dans l’économie moderne et perverti le système capitaliste français… ! »
Après avoir fait fortune sur le continent noir, les Corsico-Africains reviennent aux sources. Entré en politique, Feliciaggi ambitionne de transformer l’île de Beauté en paradis des mafieux avec l’aide des nationalistes. Mais le rejet du projet de réforme territoriale au référendum de 2003 et l’escalade de violence qui décime malfrats et nationalistes enterrent son rêve. Seul survivant : Michel Tomi, qui gère tranquillement son empire depuis le Gabon, jusqu’à sa mise en examen en juin 2014… » Léandri, contrairement aux autres, était mort dans son lit à 80 ans en 1995.
Si les grands chefs mafieux corses ont disparu, le véritable roi de la Corsafrique et de la Françafrique, Denis Sassou Nguesso, est toujours bien vivant. Témoin clé des financements occultes et « des rétro-commissions qui ont inondé le système politique français et gangrené la République française lorsque ELF était à son apogée ! »
Abandonné par Charles Pasqua, mort en juin 2015, l’empire bâti par les Corso-africains a peut-être vacillé, mais celui de Sassou Nguesso l’a repris à son compte en usant les mêmes méthodes et les mêmes relais, à son seul profit.
« Aucune démocratie n’est condamnée à cohabiter avec une mafia qui la gangrène. Pour la combattre, il faut déjà prendre conscience de son existence, de sa toxicité et de son enracinement et rendre visible ce pouvoir invisible. Tout le reste dépend des pouvoirs publics. » Par ce dernier message, le narrateur Christophe Bousquet conclut son excellent récit filmé.
Le seul reproche que l’on puisse lui faire, c’est qu’il n’ait pas précisé de la mafia corse ou de la mafia congolaise laquelle était la pire pour la démocratie française !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 09 février 2017, par www.congo-liberty.org
SI NOUS VOULONS FAIRE PARTIR SASSOU IL D’ABORD PENSER A LA FERMETURE DE L’AMBASSADE DE FRANCE AU CONGO. CAR SASSOU ÉGAL INDÉPENDANCE, LE CRIMINEL SASSOU N’EST QU’UN NOM, LE RESPONSABLE C’EST L’AMBASSADEUR DE France. C’EST LA France QUI MAINTIENT CE NOM POUR PILLER LE CONGO.
LE MONDE ACTUEL, LA POLITIQUE EST TOTALEMENT SÉPARÉE DE L’ÉGLISE, MAIS LA France CONTINUE AVEC SA POLITIQUE COLONIALE EN UTILISANT L’ÉGLISE POUR NOUS ENDORMIR.
A QUAND L’INDEPENDANCE DU CONGO
Ceci pourrait le cas échéant être fait dès que vous nous aurez expliquer comment vous comptez vous y prendre pour obtenir la fermeture de l’ambassade et avec quels moyens.
Nous pourrons écrire des milliers de livres, d’articles et reportages sur la françafrique, le résultat sera toujours insignifiant si les peuples néocolonisés ne prennent pas conscience qu’ils sont les premiers acteurs de leur développement économique, politique et intellectuel. Nous avons les dirigeants et les politiques que l’on mérite. L’esclave n’attend pas, assis sur sa chaise en criant liberté ! liberté !, que son maître va l’affranchir.
Nous devons dépasser cet état d’infantilisation permanent et de pleureurs patentés dans lequel nous nous enfermons depuis la période coloniale. La françafrique a été dénoncée depuis les années 70 par des intellectuels, des politiques et des économistes africains et français avec pour résultat, un renforcement de cette politique au fur et à mesure que la crise économique mondiale prend de l’ampleur dans les pays colonisateurs.
Comment peut-on remettre en cause une politique qui contribue à l’amélioration des indices économiques stratégiques dans le domaine de l’emploi, de l’investissement et de la protection sociale en France ? Croire cela c’est un principe simple : la France n’a pas de pays amis mais elle n’a que des intérêts. N’est-ce pas suffisamment clair ? La françafrique disparaîtra par la volonté farouche des exploités.
Chers compatriotes,
à tour de rôle, chaque intervenant a apporté ici, selon le degré de son éveil intellectuel, son opinion sur le débat actuel d’où est ressorti un constat amer unanime sur le tribalisme. Ce constat observé pointe le tribalisme comme étant de loin, le facteur majeur qui perturbe d’en haut (car instauré par la politique) le « vivre ensemble » que nous avions pratiqué depuis la nuit des temps dans notre pays.
Mais là où nos anciens démons semblent reprendre le dessus sur nos raisonnements cartésiens dans ce débat, sont les pistes de sortie que chacun semble vouloir privilégier de son côté. Pourquoi diable, n’arrivions nous pas à devenir un peu plus audacieux dans notre plan de sauvetage de la nation congolaise? Nous ne parlons pas de cacahuètes chers compatriotes, il s’agit d’un sujet majeur sur la survie de l’unité nationale. Au demeurant, j’ai fait un constat amer sur les appels que certains ont lancés en privilégiant une prise de conscience nationale de chacun, ou bien à une pédagogie depuis la maternelle jusqu’à l’université et pour en finir avec une plainte nauséabonde sur le manque d’intelligence endogène aux citoyens congolais sur la maîtrise des sciences et des techniques de pointe pour sauvegarder l’intérêt général. Tout le monde semble caresser l’idée qu’une fois ces idéaux atteints, le tribalisme disparaitrait comme par enchantement tout seul au Congo.
Moi je dis que ce n’est pas du tout suffisant. Tous ces appels ne sont qu’une virtuelle architecture socioculturelle que le Congo ne pourra pas obtenir d’ici 40 ans. Le tribalisme n’est pas un reflexe naturel du congolais lambda, il se cultive dans certains milieux par des soi-disant « intellectuels du bled» et c’est là où le bât blesse. Le tribalisme, qui est utilisé par ses adeptes comme instrument de conquête du pouvoir, en institutionnalisant la discrimination ethnique comme arme d’attaque, puis formaté comme vecteur idéologique et le tout engouffré dans une mode de pensée unique est bel et bien une invention de l’élite congolaise. En rappel, le congolais lambda n’est pas tribaliste. Et comment voulez vous vous imaginez un seul instant que cette même élite puisse désister d’une bonne foi (main sur le cœur) d’un outil si simple de galvanisation des masses sans en être contraint de le faire ? Je ne dirai pas que vous êtes naïfs, mais je dirai autre chose :
Vous êtes des bons rêveurs chers frères et sœurs…
Pour revenir un instant sur vos appels combien nobles, je vous dirai que ces approches ne peuvent pas être prises d’une façon isolée de peur qu’elles n’atteignent pas les objectifs visés. Elles doivent être prises en addition avec les résultats des autres recherches futures autour de cette thématique puis tout ceci sera suivi d’un accompagnement réglementé dans un cadre juridique bien conçu à l’évidence. En rappel, les sociétés européennes n’ont pas été bâties avec de la conscientisation innée de ses habitants. Les fléaux sociaux étaient plus calamiteux que chez nous.
Ces sociétés ont été formatées par des règles et des lois issues et initiées par certaines élites d’entant. Et pourquoi les congolais se paieraient –ils le luxe de ne pas combattre le tribalisme juridiquement ? Ah bon … Peut-être que certains voudraient bien garder une petite flèche dans leur gibecière, car diriez vous : on ne sait jamais !
Je me positionne fermement dans ce débat et martèle une fois de plus ma conviction sur ce crime longtemps caresser dans le sens du poil par des milliers de congolais: le tribalisme est un crime contre l’humanité et nous devons le détruire ensemble. Basta !
Vive le Congo
PAS FAUX LONDI
DES REMARQUES REALISTES
LES INTELLECTUELS CONGOLAIS SONT DANS UN RESEAU INTELLECTUEL ENDOGAMIQUE AU SEIN DUQUEL ILS SE CONGRATULENT EN SE REPONDANT SANS AUCUNE ANALYSE GEOPOLITIQUE DES TERRITOIRES ET DES STRATEGIES DES MEMBRES DE LA FRANCAFRIQUE
ET OUI LONDI LA FRANCE PRESERVE SES INTERETS ET LA PLUPART DES CONGOLAIS ON SE CONTENTE DE DENONCER
C EST BIEN MAIS QUI ENTEND LES CONGOLAIS QUI SE PLAISENT A S INDIGNER DE MANIERE ENDOGAMIQUE
PLEUREZ ET PASSEZ VOTRE CHEMIN PERSONNE NE VOUS ENTEND
UN RESEAU ENDOGAMIQUE SE MEURT CAR IL A BEAUCOUP A ETABLIR DES RELATIONS CONNEXES AVEC D AUTRES RESEAUX
DANS UN RESEAU ENDOGAMIQUE LE JEU EST FERME ET NE GAGNE QUE CEUX QUI ONT INTERET A CE QUE LA SITUATION N EVOLUE PAS
VOICI UN ENSEIGNEMENT SIMPLE ET MODESTE DE LA THEORIE DES RESEAUX ET DES TRAJECTOIRES QUI AGACENT CERTAINS D ENTRE NOUS ET POURQUOI
BIZARRE
Effectivement on voit bien le réseau mafieux de la Corse dans son influence sur l’exécutif français , la ville de Marseille la plus corrompue de France ayant des liens scélérats avec les influents politiques de Paris, des ramifications en Afrique notamment au Gabon et au Congo-bzv. Mais le paradoxe c’est la prise de position de pierre pean (son interview sur le net) qui semble minimiser l’influence de la france en Afrique aux dépens des USA, RU, BRICS et Israel! Je pense que Boloré, Total et autres multinationales francaises , espirito santo …décident bien officieusement de la politique francaise dans la francafrique. Et j’ai peur qu’il nous detourne de la Francafrique qui a fait ses preuves pour nous faire avaler la corsafrique qui est sous tutelle de Paris. C’est très complexe cette géopolitique-géostrategie mondiale surtout en Afrique.
Merci Mr Ossebi pour ce texte qui nous éclaire sur cette mafia qui a pris le Congo en otage.
Mais dans le monde d’autres peuples avec des leaders vaillants, patriotes et déterminés ont pu décapiter la mafia.Une régnait a l’havane(Cuba),elle avait fait de Cuba une plaque tournante de tous genres de crimes.Fidel Castro,ses compagnons de lutte et son peuple ont mis hors d’état de nuire la mafia.C’est possible d’eradiquer la mafia dans un pays, pour le cas Congolais il suffit d’avoir des hommes courageux, patriotes et déterminés.Regardez seulement la mafia nationale made in Edou-Penda dont possède le Congo.Un vrai cancer qu’il faudra extirper en premier lieu.