Moment d’échange autour de la situation politique au Congo-Brazzaville avec Aunel Arneth, réalisateur du film, et un représentant de l’OCDH
À propos de cet événement
Événement co-organisé par l’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH) et Agir ensemble pour les droits humains avec la présence du réalisateur Aunel Arneth et d’un représentant de l’OCDH
Un lien et un code vous seront transmis suite à votre inscription afin de visionner le documentaire (disponible sur la plateforme Vimeo)
En République du Congo, l’espace civique et démocratique continuent de se réduire. Le prétexte « d’ordre public », brandi par les autorités, justifie les arrestations de syndicalistes, journalistes, activistes et opposants politiques qui ne font qu’exercer leur droit à la liberté d’information, d’expression et/ou syndicale.
Le documentaire « Se taire ou mourir » retrace les violences liées au contexte électoral en République du Congo en 2015-2016. Il a été tourné à Brazzaville à la fin de l’année 2015, alors que Denis Sassou Nguesso annonçait l’organisation d’un référendum constitutionnel pour briguer un 3ème mandat. L’opposition politique et la société civile ont rapidement réagi en organisant des manifestations et des meetings populaires. Ces manifestations ont été réprimées dans la violence. Des journalistes ont filmé ces évènements en caméra cachée. Internet a été coupé, le pays s’est fermé.
Par la suite, aucune enquête n’a été menée sur les violations des droits commises pendant les deux processus électoraux, malgré les demandes répétées des organisations de la société civile et des Nations Unies. Le documentaire est unique en ce qu’il montre : des images de la répression congolaise qui n’existent nulle part ailleurs.
A moins de 100 jours des élections présidentielles en République du Congo, prévues en mars 2021, nous vous proposons de visionner le documentaire « Se taire ou mourir » et de participer à une rencontre en ligne avec Aunel Arneth et un représentant de l’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH).
Rendez-vous le 17 décembre 2020 à 18h30 pour échanger avec le réalisateur et un représentant de l’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme. Le film sera accessible en amont de la conférence.
Un lien et un code vous seront transmis suite à votre inscription afin de visionner le documentaire (disponible sur la plateforme Vimeo)
Une initiative soutenue par National Endowment for Democracy
Cliquer sur ce lien pour vous inscrire à la projection du film
Diffusé le 04 décembre 2020, par www.congo-liberty.org
Quand je vois le visage de Bruno , je plains les moins de 5% des congolais en grande majorité Mbochis supporters de Sassou Dénis . Comment être intelligent et participer à la démolition de son propre pays avec Sassou Dénis ? Nous allons rétablir la république et Bruno Ossebi devrai être hissé héros national .
Impossible de se taire en fixant le visage de Bruno Ossebi que nous avons visité avec Joe Washington Ebina juste quelques heures avant sa mort. Impossible d’expliquer sa mort alors qu’il se remettait des brûlures et parlait sans peines. « Pouvez- vous m’apportez des mangoustants demain? Les gars pas questions de baisser les bras… » ce fût les dernières paroles de Bruno Ossebi. Le lendemain sa mort retentit comme l’onde de choc. L’émotion..
Merci Ghys pour ton témoignage.
D’autres suivront et te suivront.
Nous t’avons libéré de ta prison, sorti de ton cachot.
Les Congolais y sont encore plongé dans la sordide maison d’arrêt qu’est devenu le Congo ; mais leur parole, comme la tienne va se libérer. Nous apprendrons tous les détails de l’assassinat de Bruno et du Congo perpétré par ce pouvoir criminel.
Quarante trois années de souffrances, de privations pour la mégalomanie sans pitié d’un homme et de sa famille, qui se sont accaparés tous les privilèges, vont s’achever et s’écraser comme la mangue bien mûre, trop mûre ; avec la bienveillance et l’aide mystique du Cardinal Émile Biayenda et de Bruno Ossebi avec sa compagne et ses enfants assassinés !
L’heure de la libération à sonné !
En mémoire et à l’honneur du bloggeur et journaliste franco-congolais, Bruno Ossebi, résistant, mort assassiné par le régime actuel de Brazzaville/ Rendez-vous le 17 décembre 2020 à 18h30 pour échanger avec le réalisateur et un représentant de l’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme. https://www.youtube.com/watch?v=bp_7GQb648A
#Balance ton escroc balance ton voleur balance ton prêtre balance ton corrompu
Un mal profond ronge la ville de Pointe-Noire. Ce mal c’est un homme en soutane qui le jour prie et la nuit compte les millions amassés grâce aux dons des paroissiens. Sous couvert d’une association ou chaque membre de la famille s’est attribué un titre pompeux pour soi-disant aider les autres. Ces gens ne sont pas des philanthropes. Il est temps que chaque habitant de Pointe-Noire prenne son destin en main et arrête de le mettre dans les mains de corrompus.
Lorsque cet escroc en soutane officie la messe, récupère votre obole que fait-il de votre argent ?
Il construit des écoles, des lycées ou des villas. Ecoles et lycées que vous avez tous contribués à bâtir mais dans lesquels vos enfants seront exclus. Vous savez pourquoi vos enfants ne pourront pas aller dans ces écoles ? Tout simplement parce que soit vous n’êtes pas VILIS. Tout simplement parce que vous êtes PAUVRES. Tout simplement parce que vous ne lui versez par la DIME.
Posez-vous la question : quel est le salaire d’un prêtre au Congo ? Comment ce prêtre Alain LOEMBA MAKOSSO avec son salaire de prêtre finance son train de vie qui est manifestement supérieur à ce qu’il déclare gagner. Avec quel ARGENT finance-t-il tous ses allers-retours en France ?
Et bien pendant qu’ils construisent avec votre argent tous ces édifices qui participent à leur rayonnement, il y a l’escroc Landry MAKOUELA LOEMBA, le petit frère de l’homme en soutane qui officie tous les jours à Christ-Roi. Cet escroc se prend pour un entrepreneur. C’est lui qui gère les chantiers du frère abbé. Cet escroc, ce véreux se sert sur les chantiers de l’église pour construire leurs villas.
Cet escroc s’auto-qualifie d’honorable et se fait passer pour un propriétaire foncier.
Avec quel argent, cet escroc nommé Landry MAKOUELA LOEMBA a pu devenir un propriétaire foncier dont je tairais le nombre de propriété car indécent ?
Les manœuvre de cette famille se nomment : détournement de fonds, abus de biens sociaux… et sont condamnées par la loi.
Chers amis qui tous les dimanches vous rendez à Christ Roi pour célébrer notre seigneur Jésus-Christ. Vous avez assez enrichi ces escrocs.
Si vous voulez aider votre prochain :
– Achetez une boite de lait et offrez-la à votre voisin qui vient d’avoir un enfant.
– Achetez un sac de riz et partagez-le avec cette mère de famille qui peine à joindre les deux bouts.
– Balayez la cour de cette vieille dame qui n’a plus de forces
– Donnez des cours de maths, de français ou d’anglais aux enfants de votre quartier
Toutefois, si vous voulez continuer à maintenir le train de vie de l’escroc en soutane et de sa famille, vous en avez le droit.