Par Benjamin BILOMBOT BITADYS
Il y a comme un alignement des planètes, une mise au pas. Le lobbying forcené de Denis Sassou Nguesso auprès des institutions financières internationales produit ses premiers effets. On le savait, le regard du monstre d’Edou est capable de faire baisser l’œil à un aigle. Voilà, c’est fait.
L’intransigeance du FMI en matière de gouvernance, de transparence, de lutte contre la corruption qui est de mise dans ce type de négociations a été mise sous le boisseau. Bruno Le Maire, ministre français des finances, avait donné le ton. « Sans transparence, il n’y a pas de confiance. Et sans confiance, il ne peut pas y avoir d’aide, ni de la part du FMI ni de la part des autres Etats. » Et, l’argentier de la France de poursuivre : « Quand vous avez des Etats qui vous aident, vous leur devez la transparence, vous leur devez l’assainissement du climat des affaires, vous leur devez une stratégie économique cohérente, qui soit suivie et qui soit respectée ».
Et, d’ajouter : « la France est prête à aider le Congo-Brazzaville à hauteur de 135 millions d’Euros en trois ans sous condition de la signature d’un accord avec le FMI. »
C’est ce qu’on appelle souffler le chaud et le froid. Christine Lagarde, ancienne directrice du Fonds monétaire international, avait enfoncé le clou : « Nous avons des exigences en matière de gouvernance qui devront être mises en place très vite après l’approbation du conseil d’administration et qui nous paraissent de nature à garantir une bonne utilisation des finances publiques et la bonne réalisation des objectifs du programme ».
Tigre de papier
Les membres du Conseil d’administration du FMI ont foulé aux pieds ces beaux principes. C’est d’autant plus dommageable que dans la promesse de Christine Lagarde qui succédait à Dominique Strauss-Kahn il y avait l’idée d’une rupture non seulement avec la vieille classe dirigeante du FMI mais surtout avec ses pires mœurs et ses privilèges. Sassou Nguesso leur a-t-il cloués le bec avec les espèces sonnantes et trébuchantes le 11 juillet 2019 ? Le FMI, tigre de papier ?
Curieusement, le FMI a passé sous silence les engagements non respectés du Congo-Brazzaville des réformes économiques. Les oiseaux de proie se sont rendu compte que le FMI n’est qu’un simple épouvantail. Le gouvernement de Brazzaville avait promis, la main sur le cœur, requérir l’expertise d’un cabinet de réputation internationale chargé d’auditer les comptes certifiés de la SNPC et promettait de publier les résultats des études sur son portail officiel dans les meilleurs délais (Les Dépêches de Brazzaville, 14 juin 2018). Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. L’audit de la société pétrolière nationale, la SNPC, se fait toujours attendre.
Lune de miel
Les pourparlers avec les traders pétroliers ne sont pas rendus publics. Le montant exact de la dette intérieure reste inconnue. L’opacité se poursuit. Sur quels critères donc le FMI a-t-il fondé sa conviction ? C’est la lune de miel entre le Congo-Brazzaville et le FMI.
L’institution de Washington avait donné le ton en saluant les avancées économiques des pays de la CEMAC. Le bouquet final a été l’annonce le 11 juillet 2019 avec la signature d’un accord sur la facilité élargie de crédit (FLEC) entre le FMI et le Congo-Brazzaville .
La dernière réunion du Conseil d’administration de l’institution financière sur les politiques communes de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac) , en appui aux programmes de réformes des États membres, s’est clôturée par des félicitations autour du rebond de la croissance régionale.
Une embellie qui se caractérise « par un rebond de la croissance régionale, une position budgétaire globale de la région proche de l’équilibre, et une accumulation des réserves extérieures au-delà des attentes » a souligné le Fonds monétaire international (FMI).
Le clando
En légère hausse (1,7 %) au cours de l’année 2018, la croissance économique dans l’espace Cémac est au-dessus de 3 % à fin juin dernier, selon le gouverneur de la Banque centrale des États de la communauté (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, Centrafrique et Guinée équatoriale). Les réserves de change des six pays de la Cémac atteignent 3 822 milliards francs CFA à fin juin 2019, alors qu’elles étaient à 2552 milliards francs CFA au 31 décembre 2017, et à 3 360 milliards francs CFA à fin 2018 (Les dépêches de Brazzaville, 10 juillet 2019). Quelle est la situation réelle du Congo-Brazzaville ? Le vilain petit canard, le Congo-Brazzaville, le cancre, profite de l’embellie économique de la sous-région de l’Afrique Centrale. C’est un passager clandestin.
Le soutien financier de l’institution de Bretton Woods dans le cadre de la facilité élargie de crédit d’un montant de 448,6 millions de dollars, va aider le Congo à viabiliser sa dette publique estimée en 2017 à 5329 milliards de francs CFA, soit 110% du produit intérieur brut (PIB). En mars dernier, le comité national monétaire et financier a évalué cette dette à 84% du PIB.
Le FMI a décidé de l’octroi immédiat au Congo d’un appui d’un montant d’environ 44,9 millions de dollars au titre de la première tranche. Cet accord ouvre la voie à de nouveaux crédits de la part d’autres bailleurs internationaux de la trempe de la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD), le Club de Paris, le Club de Londres… Une aubaine pour les rapaces pour se remplir la panse.
Au regard des besoins de financement du Congo-Brazzaville, des fonds cachés dans les bas de laine et dans les paradis fiscaux par les membres du clan Sassou, 448,6 millions de dollars de crédits du FMI, sont dérisoires. 224 milliards de francs CFA, c’est un petit crédit. Denis Sassou Nguesso a déployé de grands moyens. « A pessa a tala té ». Dans ce petit pays pétrolier d’Afrique Centrale, 14 000 milliards de francs CFA se sont volatilisés sans autre forme de procès.
Le syndrome mozambicain
Les associations qui luttent contre la mauvaise gouvernance, la corruption et les malversations financières estiment que ce nouvel imbroglio politico- financier va nourrir le ressentiment des Populations du Congo-Brazzaville à l’égard de la communauté financière internationale.
Le Congo-Brazzaville sera-t-il victime du syndrome « mozambicain », un pays qui a bénéficié de la première tranche de l’aide financière et dont l’accord avec le FMI a été suspendu pour non application des conditionnalités ? Le risque est grand.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Finalement c’est la réalité financière qui mettra fin à la barbarie de Sassou , au regard des 224 milliards accorder par le FMI . Alors qu’il faut 374 milliards annuel pour payer les salaires des fonctionnaires sans compté la garde pléthorique non budgétiser . Rappelons que le régime mafieux avait une prévision budgétaire annuelle de 2O74 milliards pour l’année 2019 . Sassou doit tirer les conséquences et partir . Aussi dire grand merci à mon petit frère Bitadys le seul qui se distingue parmi les nombreux économistes que compte le pays .
On ne lui a pas donné les milliards que des millions ? éeh mais ses fétiches n’ont pas fonctionné ?
Le FLEC,c’est le Front de Libération de l’enclave du CABINDA(ancien Congo-portugais);territoire occupé depuis très très longtemps par l’Angola.IL y règne un conflit oublié,destructeur des vies car figurez-vous le CABINDA est situé entre le Congo-Brazzaville et le Congo-démocratique ET n’a aucune frontière avec l’Angola dominateur.
Le FLEC est donc un mouvement indépendantiste cabindais dirigé par le docteur Emmanuel NZITA WA NZITA et qui n’a rien à voir avec la Facilité Elargie du Crédit(F.E.C).
Pour revenir à notre Congo-Brazzaville,Sassou et son système viennent de manger leur dernier pain noir.L’étape suivante sera la chute et la fin de la parenthèse de sang;livre de Sony Labou Tansi.
Pour la première fois une visibilité apparaît,la dictature va bientôt tomber et les signaux sont là!!!
L’heure des comptes arrive où chacun va répondre,rendre,voire vomir ce qu’il a pris ou appris.De nouvelles mentalités,de nouvelles dispositions de patriotisme et de talents seront exigées pour le Congo et les Congolais.
DJEMBO TATY.
Merci pour ce message d’espoir. La patience est un arbre dont les racines sont amères et dont les fruits sont bons. Tôt ou tard la nature finira par recadrer les choses dans l’ordre.
L’économie passe par l’actif, la création de l’emploi, le développement des industries (ici industrie veut dire savoir faire),etc. Et l’homme dans sa condition améliorée doit etre l’alpha, le bêta et l’oméga de tout ce processus de restructuration de notre économie. La majorité des jeunes, ceux issus de la population active demeure sans activité par manque de débouché. L’économie est en berne loin de la floraison d’Anton, le secteur primaire, secondaire et tertiaire couvrant tout un panel d’activités diverses ne contribue pas efficacement au développement du pays faute de main d’oeuvre hautement qualifiée (ingénieurs, experts , là en locurrence ça concene le secteur secondaire ), faute d’investissement public/privé. Le pétrole, un element d’actif qui contribue à près de 80% au pib national subit depuis peu une vague de dépréciation. Il est plus question ici de faire des plus values à moyen ou court terme comme ce fut le cas autrefois notamment sous le président massamba debat avec la création des industries mais de générer des moins values latentes dans l’exploitation massive des mines dont les prix sont régis par les autres (l’opep et la communauté internationale). la rente pétrolière est à la base de la crise, la seule alternative c’est de diversifier l’économie en optant concomitamment pour l’industrialisation de tous nos secteurs y compris celui du pétrole. L’industrie pétrolière (son raffinage, son extraction, etc.) devrait être du ressort des congolais et non des expatriés blancs experts dont le travail consiste a minorer nos intérêts et a accroitre les leurs, selon la tradition; après tout le rôle d’une entreprise c’est de faire du profit. Tout cela prendra fin Le jour où il y aura un vrai changement du systeme et des gens qui Le composent.
Le FMI nous tient en laisse pour l’instant . Il faut considérer ce prêt comme une aide à la subsistance du clan au pouvoir (pour eviter un eventuel soulevement) plutôt qu’un prêt en tant que tel.
Cette aide aurait pu être salvatrice pour la cemac si elle était considérable , elle aurait permis la relance de l’economie, levolution de la croissance, l’intégration macro et micro economiques par un syteme de ruisselement et d’incubation par ex., mais ici on voit bien qu’elle est plutôt destinée à la subsistance.
PEUT-ON ENCORE SAUVER LE CONGO-BRAZZAVILLE DE LA COLONISATION DE LA CHEFFERIE MBOCHI DE SASSOU ?
COLONISATION DES BANTOUS CONGOLAIS DU NORD AU SUD PAR LES MBOCHIS DÉPORTÉS D’AFRIQUE DE L’OUEST AU XIX E SIÈCLE/PRÉSIDENTIELLES 2021/PRIMAIRES AU SEIN DU CLAN DE LA CHEFFERIE MBOCHI/HOLD-UP ÉLECTORAL 2021/CONSERVATION DE LA TYRANNIE ET COLONISATION DES BANTOUS. EXPLICATIONS: https://www.youtube.com/watch?v=8cUcgGW9eC4
POUR LE PLUS IDIOT DES IDIOTS DE SERVICE AFRICAINS, UN PETIT CRÉDIT RESTE UN SOUTIEN ÉNORME POUR CONTINUER SON ŒUVRE DIABOLIQUE AU CONGO ET EN AFRIQUE CENTRALE. DANS UN MONDE RAISONNABLE, IL NE MÉRITE QUE LA JUSTICE DES HOMMES HONNÊTES ET RESPONSABLES ENVERS LES GÉNÉRATIONS.
Mes très chers frères,
Je vous invite tous à rester serein.
En effet quand un État se retrouve dans une situation au point de devenir un État qui vit des prêts alors que c’est un État producteur de pétrole, alors un prêt peu importe son volume, c’est État devient un État soumis.
La soumission contrainte est la pire des choses pour un Être humain ou un État.
NB : Ce prêt, n’est pas un Prêt pour le Développement, c’est un prêt de survie.
A ce niveau, vous n’avez plus aucune parole.
On vous tiré du bout du nez.
Tout ceci va être suspendu le moment venu.
Cher Congo, mon beau pays, jusqu’à devrons nous supporter cette décente aux enfers ?!!
MON CHER PANGOU,
L’IDIOT sassou SAIT TRÈS BIEN QUE C’EST POUR LA SURVIE QUE LE fmi DONNE CET OXYGÈNE. PUISQUE C’EST UN PERVERS. CE PRÊT PERMET AUX PERVERS QUI SONT AUTOUR DE LUI ET À LUI-MÊME DE MAXIMISER LEUR PROFIT SANS PUISER DANS CE QU’ILS APPELLENT ABUSIVEMENT LEURS CAPITAUX PROPRES (LES RECETTES ET LES COTISATIONS CONFISQUÉES).
LE fmi AUSSI LE SAIT TRÈS BIEN. C’EST L’AISANCE FINANCIÈRE DES BANQUES FRANÇAISES ET OCCIDENTALES QUE LES PERVERS DU fmi RECHERCHENT. UNE FOIS LE PROFIT MATÉRIALISÉ, ILS VONT ANNULER LA DETTE.
L’IDIOT VA SURVIVRE ET LES PERVERS VONT S’ENRICHIR SUR LE DOS DES PAUVRES QUI ONT DES RESSOURCES. ET ON RECOMMENCE LE FILM AVEC LE fmi.
LES PERVERS COMME LES dom-nique pique-gaz, hasard APPELLENT CELA ÉCONOMIE FINANCIÈRE. LES MERDES QU’ON NOUS A ENDOSSÉES PEUT-ÊTRE À VIÉ.
LA SORTIE PASSE, EN PARTIE, PAR LA JUSTICE AU NIVEAU INTERNATIONAL.
C’EST-À-DIRE, COMMENT RENDRE LES DÉMOCRATIES OCCIDENTALES EFFICACES?
CAR L’OPACITÉ ET L’IMPUNITÉ DES HOMMES POLITIQUES SONT LA RÈGLE DANS SES DÉMOCRATIES. C’EST POUR CETTE RAISON QUE LA SIXIÈME RÉPUBLIQUE DÉRANGE.
NOUS DEVONS NOUS INSPIRER DU TRAVAIL DE MEDIAPART QUI ESSAIE DE FORCER LA MAIN DE LA JUSTICE FRANÇAISE DÉPENDANTE DES GAULLISTES ZÉLÉS.
DES INDIVIDUS COMME LES LARCHER ET LES AUTRES COURTISANS DOIVENT FAIRE L’OBJET DES ENQUÊTES APPROFONDIES.
L’IDIOT VA SE LIVRER TOUT SEUL COMME UN SOLDAT AFFAMÉ.
» GRAND LOBBYING DE SASSOU » dites vous ? Comme si les charognards ou les mouches avaient besoin d’un puissant lobbying ou d’une invitation pour prendre part au festin offert par les restes d’un animal en putréfaction, comme si Mobutu avait besoin de lobbying pour se retrouver à la tête du Zaïre, ou monsieur Sassou avait-il besoin de lobbying pour organiser l’assassinat du président Marien Ngouabi et de la jeune démocratie Congolaise, c’est comme si Blaise Compaoré avait besoin de lobbying pour assassiner Thomas Sankara, c’est aussi comme si Ouattara avait besoin de lobbying pour déloger Laurent Gbagbo,… Quasiment à tous les drames en Afrique sont liés les noms des présidents Français corrompus et d’entreprises Européennes, Total, Elf, Chirac, Mitterrand, Hollande, Sarkozy , et de plus en plus la main de Macron. En réalité ces entreprises, ces présidents et états voyous, sangsues, parasites,… s’assurent de la survie toutes les marionnettes en Afrique. Vous vous imaginez un jour la situation économique de tous les pays Européens s’ils perdaient le contrôle sur les richesses des sous-sols Africains ? Que deviendra la France par exemple si subitement le Niger décidait une forte augmentation des prix de l’uranium, ou si encore la RDC ou la Côte d’Ivoire décidaient de faire autant sur les prix du Cacao et du Coltan,..?
Trouvez vous normal ou logique qu’une organisation qui se dit prestige international puisse prêter de l’argent à un état gangsters, qui assassiné, torture, emprisonne gratuitement et arbitrairement des opposants politiques, des journalistes, mêmes de simples étudiants pour avoir juste voulu réclamer un droit ? Au moment où ces gangsters ont conclu ce honteux et immoral accord, le vrai vainqueur des élections est en prison, et vous me parlez du lobbying ? Non c’est de l’assujettissement et l’esclavage volontaire et moderne.
Mes très chers frères,
Moi je dis NON à toute cette Gesticulation, à toute cette Diversion.
Je répète et je reprécise que le Congo souffre de 2 problèmes majeurs :
– Celui du Pouvoir entre le NORD et le SUD.
– Celui de notre Dépendance à la France.
NB : L’Unité Nationale n’existe pas entre le les MBOCHIS et les KONGO d’une part et d’autre part le Congo n’a jamais obtenu l’indépendance.
Voilà les 2 problèmes que nous avons à régler.
Toutes les Institutions financières vont suivre dès lors que la SCISSION va se faire.
En effet, tout le monde semble comprendre maintenant qu’il s’agit là de la manœuvre du NORD.
Manœuvre qui a pour finalité de de sécuriser l’avenir des MBOCHIS telque nous l’avions tous entendu lors du Procès des Généraux MBOCHIS.( DABIRA/NIANGA MBOUALA).
Enfin,
Je me résume en disant ceci :
Le Peuple pour son Avenir à lui n’est pas concerné par ces Accords qui soumettent les Peuples à l’humiliation.
Que Denis SASSOU NGUESSO nous dise où sont passés les Milliards du Pétrole de Pointe Noire et du Kouilou.
Voilà là où chacun de nous doit se situer.
ERRUTUM
Lire : Le Peuple KONGO pour son Avenir….
Merci.
MON CHER PANGOU,
LA NORDISATION DU POUVOIR EST UNE PRATIQUE D’UN GROUPE DE QUELQUES NORDISTES QUI ONT SU ENTRAÎNER AVEC EUX UNE BONNE PARTIE DES CONGOLAIS ORIGINAIRES DU NORD ET DES OPPORTUNISTES ORIGINAIRES DU SUD.
QUI ENTRETIENT CE FLÉAU ? CE SONT LES PERVERSES ÉLITES FRANÇAISES EN PARTICULIER ET LES INSTITUTIONS INTERNATIONALES D’UNE MANIÈRE GÉNÉRALE. CAR, NOS IDIOTS NE SAVENT PAS CRÉER LA RICHESSE. C’EST POUR CETTE RAISON, QU’ILS FERONT TOUJOURS AUX PERVERS DES INSTITUTIONS INTERNATIONALES.
IL FAUT QUE NOUS FASSIONS CETTE NUANCE.
LES IDIOTS DE SERVICE CONGOLAIS DU NORD ET DU SUD AVEC LEURS AMIS PERVERS OCCIDENTAUX FONT SEMBLANT D’IGNORER QUE LES CONGOLAIS ONT DES ENFANTS QUI NE SE RETROUVENT PAS DANS LES APPARTENANCES NORD-SUD OU OUEST-EST.
NOUS NE VOULONS QU’UNE CHOSE POUR CE COUPLE DE PERVERS, LA JUSTICE.
CHERCHONS DES ALLIÉS AU NIVEAU NATIONAL ET AU NIVEAU INTERNATIONAL POUR DÉMASQUER CES IDIOTS ET SES PERVERS OCCIDENTAUX.
LES GILETS JAUNES ET MEDIAPART FONT LEUR TRAVAIL, FAISONS LE NÔTRE.
Au fait ,frangin @Rabbi ;qu’en pense ou qu’en penserait ,le grand MAHA ,de la situation ubuesque de notre cher CONGO ?
@Robert POATY PANGOU, si le problème du Congo ne se résumait qu’à un simple conflit entre le Nord et Sud, de quoi s’agissait il la guerre entre le Niboland ( terme que je n’apprécie pas du tout ) et le Sud , même s’il y avait la main noire de monsieur Sassou Nguesso? Je suis convaincu que le contrôle des ressources naturelles de notre pays ou de n’importe quel pays Africain, utiliserait n’importe quel débile mental pour mater n’importe quelle portion contestataire de la population. Je repose ma question : que deviendrait l’Occident si c’est qui fixait les prix des matières premières ? Au lieu de la balkanisation de l’Afrique, les Africains feraient mieux de se mettre ensemble, à ton avis, pourquoi n’ont-ils pas assassiné monsieur Sassou en 2016 pour les mêmes raisons qu’ils se sont précipités pour assassiner le colonel Mouammar Kadhafi ? Les Kolelas, les Mberi, les Thystere, les Vouba, les Mikolo, les Doukaga, les Munari, les Lissouba,… Ne savent-ils ou ne savaient -ils pas que leurs frères du Sud sont maltraités ou massacrés ? Ce sont des équations auxquelles on devrait préalablement apporter des solutions avant de parler scission du pays.
La grande question est pourquoi ceux de la partie nord regardent leurs parents faire ? sans rien dire aucune protestation aucune grande voix du nord ne s’élève pour dénoncer ce qui se passe dans la pays c’est ça le problème
Qui divise qui ? qui balkanise qui ?
Au sud c’est pas tout le monde qui est derrière Koléla tsasy mabiala ou lissouba ou tchystrère tchicaya ? d’ailleurs c’est un sujet de moquerie vous n’êtes pas unis disent ils ! alors que c’est normal c’est le contraire qui est anormal
Pour quelle raison ceux du nord sont ils toujours unis derrière une seule et unique personne
Qui ne veut pas s’associer aux autres pour chasser la dictature ?
Qui rend les autres étrangers dans leur propre pays sur la terre de leurs propres ancêtres il faut quand même oser !
Je trouve extraordinaire qu’il y’ait encore des gens pour croire à l’unité de ce pays
Avant de venir comme ça donner des leçons de morale avez vous un tant soi peu réfléchi à la situation dece pays
Trouvez vous normal qu’aucun militaire ne prenne la décision de renverser la dictature est ce que c’est normal ? et qui compose l’armée maudite ce sont les sudistes ?
Sommes nous unis ?
VDN
Loin d’être un modèle d’exemple, du simple fait qu’aucune oeuvre humaine n’est parfaite, pour autant, au regard de la situation difficile que traverse notre cher et beau pays, il en serait sans doute, estomaqué.
La dévolution du pouvoir confisqué, peine à se faire et nos espoirs samenuisent au fil du temps laissant place au désespoir, à la mélancolie, au défaitisme…, or, à y voir de si près, le prélude d’une fin tragique qui pointe à l’horizon, ne fait plus lobjet dun doute.
En cela, je peux dire sans coup férir que nous avons une vraie parité de préoccupations, des dangers communs auxquels nous devons répondre efficacement.
@rabbi
Ok ,je ne pense pas que les non initiés aient compris le sens de cette interpellation de haute facture ,dont acte .