Nianga Mbouala dans son Palais de Brazzaville
Analyse à froid du conflit avorté ou reporté entre Nianga-Mbouala et Jean Domique Okemba
A peine venons-nous de commémorer le quarantième anniversaire de la mort de Marien Ngouabi que les stratèges du PCT nous préparent un nouveau scénario macabre. Mais pour leur malheur, si en mars 1977 la seule source d’information au Congo était la presse officielle, 40 ans plus tard, l’apparition des réseaux sociaux et leur phénoménale puissance d’information est venue brouillée les cartes. Ces dernières semaines, la rumeur fait état de façon persistante d’un conflit larvé entre Nianga-Mbouala et Jean Domique Okemba (JDO). Le conflit aurait même atteint des sommets avec la convocation de Nianga-Mbouala au parquet d’Oko Ngakala. Sachant comment se sont soldées les précédentes interpellations de personnalités, on était en droit de s’attendre à une arrestation pure et simple de Nianga-Mbouala. En effet, le scénario est rôdé et usé jusqu’à la corde depuis belle lurette.
Le féticheur jean dominique Okemba
D’abord, une cabale médiatique est montée contre la future victime à l’aide du journal le Troubadour. Une fois l’opinion publique « acquise » à la cause, on passe à la phase pratique : Convocations, inculpation, arrestation, emprisonnement. Cela s’est passé ainsi pour Paulin Makaya, Mokoko, Okombi et maintenant Nianga-Mbouala. Avant cela, le scénario a été appliqué avec la même précision du métronome au cas Ntsourou qui vient de mourir en prison. Quand est-ce que ce système arrêtera de torturer et tuer ses propres enfants ?
L’affaire Nianga-Mbouala n’est pas encore conclue qu’on entend déjà les rumeurs d’une éventuelle arrestation de Parfait Kolélas. Comme toujours, c’est le Troubadour qui monte à la charge. Serions-nous en face d’un vaste complot dont la finalité est la prise du pouvoir ? Si c’est le cas, de quel droit, ceux qui ont ramené Sassou au pouvoir par les armes au seul prétexte de mettre fin à sa « démocratie de l’intimidation » de Lissouba nous serviraient-ils ce désolant spectacle ? Pourquoi les différents courants qui s’affrontent désormais à découvert au sein du pouvoir ne passent pas par la voie démocratique en présentant chacun son projet de société au peuple, seul souverain primaire puisque c’était la raison du retour forcée en 1997 ?
On a l’impression d’être revenu en pire à la sinistre époque des Mabouaka, Ngayo et autres trublions de la JMNR. Sommes-nous un pays maudit incapable d’inventer une gouvernance civilisée ?
Il s’agit ici d’une analyse à froid d’une situation qui risque de replonger notre pays dans l’horreur. L’analyse est basée sur la presse locale et les éléments circulant sur les réseaux sociaux. Que vaut une rumeur au Congo ou ailleurs ? A l’heure de l’intox et des « fake news », on a le devoir d’avancer prudemment. Toutefois la presse ayant pignon sur rue à Brazza agit ces derniers temps d’une façon qui ne laisse aucun doute : Elle est au service d’une cause obscure, use et abuse de la manipulation.
Pour revenir au cas Nianga-JDO, force est de constater qu’au sommet de l’Etat, une dérive est en train de s’installer au vu et au su de tout le monde. Tout le monde semble impuissant à arrêter cette tragicomédie destructrice, d’où ce cri de gueule pour interpeller la nation entière.
La rumeur, toujours la même, prête à certains cercles proches du pouvoir en 1977 l’affirmation suivante : « Mieux vaut perdre un homme que perdre le pouvoir. » C’est sur l’autel de cette ambition hégémonique que Marien aurait été sacrifié. Malheureusement, ces fameux cercles obscurs n’avaient pas eu le courage d’assumer leur forfait. Aujourd’hui, face à l’échec patent de Sassou sur le plan économique et sécuritaire d’une part et d’autre part la velléité de plus en plus manifeste de son fils à prétendre au pouvoir suprême, des voix s’élèvent pour s’opposer à une succession dynastique.
Nous avons déjà exprimé ici-même notre opposition catégorique à toutes les démarches anticonstitutionnelles depuis la violation en octobre 2015 de la constitution de 2002 jusqu’au hold-up électoral de mars 2016. Tous les fallacieux prétextes avancés le 05 juin pour justifier l’injustifiable sont aujourd’hui mis à nue. Nous avons aussi montré comment le PCT est passé en 20 ans d’un pouvoir du grand nord à un pouvoir de la Cuvette Centrale et de ce dernier au pouvoir d’Oyo et environs. Aujourd’hui, nous sommes entrés dans la phase finale : concentration du pouvoir au sein de la famille biologique, d’où les tensions actuelles qui en sont un aboutissement logique. Ceux qui en doutent n’ont qu’à aller consulter les listes des candidats du PCT aux législatives. Ils y trouveront la main mise d’un clan sur tous les leviers du pouvoir.
On aurait pu se réjouir de ces conflits qui fragilisent un pouvoir autocratique et donc augmentent les chances d’un retour potentiel à la démocratie. Sauf que le risque est immense de voir le pays sombrer dans une nième guerre civile aux conséquences catastrophiques. Un ami parisien du PCT auquel je confiais récemment mon inquiétude de voir deux barrons d’un pouvoir illégitime prendre tout un pays en otage a éclaté de rire en me disant : « Laisse ces irresponsables s’entredéchirer, en politique, il faut une certaine dose de cynisme. » Combien de Congolais sont de cet avis ? Il est à craindre que la majorité de nos concitoyens soient aujourd’hui, de guerre lasse, acquis à cette thèse. Ce que cette probable majorité oublie, c’est qu’un conflit entre deux courants dans un pouvoir autocratique conduit rarement à une solution démocratique. En 1977, ceux qui ont sacrifié Marien pour conserver le pouvoir au nord n’ont pas fait grand-chose pour faire avancer le Congo sur le plan politique, économique et social. Bien au contraire ! Plus grave encore, ils ont réussi à faire passer leur complot pour un crime commis par les Bakongo : « Bakongo ba bomi Marien »
Bakongo ba bomi Sassou :
Je n’ai jamais adhéré à la pensée politique de Marien Ngouabi, mais je ne me suis jamais réjoui de sa mort ignoble. Bien au contraire, j’y trouve une des causes de notre drame actuel : l’incapacité de concevoir un système politique qui transcende les clivages ethnocentrés. Sassou Nguesso a accentué les clivages ethniques du Congo. Incroyable mais vrai, il a même réussi à détruire le socle de son pouvoir : « l’unité » politique du nord-Congo. Dans la dérive dynastique, il n’a pas hésité à sacrifier tous ceux qui l’ont accompagné dans sa difficile et douloureuse reconquête du pouvoir. Tout porte aujourd’hui à croire qu’il a définitivement cédé à la tentation d’une succession dynastique à la Bongo ou Eyadéma. La démarche en soi déjà est exécrable. Elle suscite en plus un rejet légitime d’une grande partie de la population. Le réflexe atavique d’une population qui a subi trois décennies d’un pouvoir autocratique aux résultats socio-économiques misérables est de se poser la question suivante : « Pour quelle raison et quel bénéfice nous taperions-nous le fils pendant des années après avoir subi le père pendant des décennies ? »
Aveuglés par l’ivresse du pouvoir d’une part et l’obsession de couvrir ses arrières d’autre part, père et fils se sont lancés dans une opération de charme vouée à l’échec car condamnée par sa nature antidémocratique. Sont-ils encore capables d’entendre la voix de la raison ? Je l’espère bien, mais j’y crois de moins en moins. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir milité depuis 2014 en faveur d’une sortie honorable de Sassou Nguesso. Inexorablement, le piège se referme sur les Nguesso et leurs affidés. L’unique issue pour eux est la sortie démocratique, un retour à octobre 2015, donc à l’ordre constitutionnel. L’alternative est une lutte fratricide au sommet, lutte dont ils sortiront laminés. Le phénomène est connu dans l’empire ottoman où celui qui accède au trône s’empresse de liquider tous ses rivaux, de peur de se faire tuer lui-même. Comme mentionné plus haut, on aurait pu s’en réjouir, sauf que la perfidie des courants qui se livrent à cette bataille de tranchée est telle qu’ils auront vite fait de faire porter le chapeau à leur souffre-douleur désigné : La région-martyre du Pool. En effet, quoi de plus facile que de pousser un Parfait Kolélas à la faute en privant son parti de compétition électorale ? Yuki qui a présenté un candidat à la magistrature suprême serait brusquement devenu un parti hors-la-loi. Casus-belli tout trouvé pour soulever Brazza-sud. Les pêcheurs en eau trouble n’auront plus qu’à laisser les hordes de Kolélas ou de Ntoumi avancer jusqu’à Mpila. Une fois sur place, dans la confusion la plus totale, on règlerait froidement le cas de Sassou comme ce fut pour Marien en mars 1977. Le reste ne serait qu’un petit jeu, lancer la chanson : Bakongo ba bomi Sassou »
Politique-fiction ? Je vous le concède. Cette analyse est cependant basée sur la stricte observation de la scène politique congolaise depuis des décennies. Une scène où la bassesse et l’hypocrisie le discutent à la félonie et à la lâcheté.
Messieurs Nianga et Okemba, arrêtez de prendre le peuple en otage. Arrêtez de croire que le peuple est idiot et ne voit pas vos magouilles cousues de fil blanc. Vous avez soi-disant ramené ou aidé à ramener la démocratie à coups de canon en 1997. Nous vivons en démocratie ? alors épargnez-nous vos postures belliqueuses. Présentez-nous plutôt vos projets de société, vos solutions de sortie de la crise aiguë où vous avez plongé le pays. Présentez-vous devant le peuple en personnes civilisées capables de ramener l’ordre constitutionnel d’avant octobre 2015. Le faire, c’est répondre à l’appel de Sassou qui disait : « Quand l’ordre constitutionnel est menacé, tous les républicains se lèvent. » Le peuple souverain vous en sera reconnaissant et vous accordera peut-être des circonstances atténuantes. Et pour cela, vous n’avez pas besoin de tuer Sassou. Vous pourriez alors braver les urnes placées par une commission électorale réellement indépendante dans un pays apaisé. De grâce, ne nous replongez pas dans les affres de 1977. L’analyse vaut bien sûr pour tous les officiers républicains soucieux de l’ordre constitutionnel.
Pascal Malanda
Diffusé le 23 juin 2017, par www.congo-liberty.org
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#URGENT : Enlèvement de Christine BALANDAKANA et ses deux enfants de 12 ans et 8 ans pour lien présumé avec Ntumi
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@MALANDA , le simple fait d’évoquer cette période satano – criminelle me fait froid dans le dos ;;;
Enfant , j’en fus un grand témoin ;;;
Nous enfants BAKONGOS DE POTO POTO , ET OUENZE avons frôlé la guillotine nordiste . Il s’en était fallu de peu , OUF …
Ces criminels doivent en payer l’écu , car les cicatrices restent vivaces dans nos esprits ;;;
Et , je redoute que ce soit ce jour , où , l’unité nationale avait signé son arrêt de mort ;;;;
Les soubresauts politiques actuels ,fondent leur déterminisme dans ce passé politique très ombrageux et dont notre pays ne s’est pas toujours relevé ;;;;
@MALANDA , je devine chez toi , cette souffrance psychologique qui avait , toutes proportions gardées , déchiré notre quiétude infantile .Rassure toi , je partage ce même sentiment ;;;
Ce fut terrible ;;;;; DIANTRE …
Les Congolais doivent faire attention. Il ne faut pas se laisser distraire par la soit disant affaire Nianga-Mbouala et Jean Domique Okemba. La naïveté ne doit pas continuer á etre propre aux intellectuels, opposants politiques Congolais. C’est en tout cas décevant d’entendre certains opposants et nomn des moindres compter sur un coup d’état de palais pour changer les donnes au Congo. Souhaiter à ce que la disant guéguerre entre bourreaux Nianga mbouala et Dominique Okémba; des truans, parvenus, génocidaires du clan Sassou puisse constituer la solution pour soulager le peuple congolais meutri est une véritable escroquerie intellectuelle,une véritable farce dangereuse qui ne tient pas surtout compte de l’expérience très malheureusement de la république du Congo. Comment espérer que des individus infréquentables, connus entant criminels, génocidaires, adeptes des antivaleurs du clan Sassou prèts à « prolonger un système qui risque de tout annihiler, tout détruire, tout anéantir et nous ramener à un peuple irréfléchi, soumis et carrément inexistant. » viennent sauver le Congo et son peuple?
„Denis Sassou Nguesso n’a pas gagné l’élection présidentielle du 20 mars 2016, c’est donc un dictateur illegal, illkégitime qui est au pouvoir et aux commandes de l’ethnie-Etat. le PCT qui se prépare à aller aux législatives en désordre. » Pour ceux qui se laissent manipuler, qui veulent aussi nous tromper et qui vont aller aux législatives pour donner une certaine légitimité au pouvoir illégal, illégime, mafieux, génocidaire, tribal, clanique, de Sassou Nguesso, il faut le savoir que personne ne leur pardonneront cette imposture.La poursuite éhontée contre Ntoumi, qui contrairement à ce qu’on avance n’est pas du tout responsable de la crise du Pool est un pretexte pour masquer l’épuration éthnique à huit clos dans le Pool.
L’implosion ou à défaut l’explosion, ce sont des lois physiques, des lois de la nature, tous ont péché et tous vont payer, tous sont condamnés et personne n’y échappera; c’est juste une question de temps, ils ont trop versé du sang et les âmes innocentes crient justice.
Je suis du Nord Congo plus précisément d’OWANDO. Je me souviens de cette période. Mes parents du Nord m’avaient dit que les Bakongos sont des méchants, ils viennent de tuer Marien en plein jour et au Palais Présidentiel. Croyez-moi c’était une période difficile pour tout le monde en particulier mes Parents du Sud. Aujourd’hui avec le recul et quand je regarde tous ces dirigeants politiques du Nord, je me rends compte qu’ils ne sont pas intelligents et ne savent que faire de leur lourd passé. En même temps, j’accuse tous mes Parents du Sud. Quand comprendront-ils que Dieu ne les aidera jamais? Quand comprendront-ils qu’un homme qui a commis un crime doit être jugé par le tribunal de l’homme ici bas et on le met en prison et non pardonner encore et encore? Nous au Nord nous avons l’arme à la main et vous la bible alors combien de temps faudra-t-il attendre pour que la bible prenne le dessus sur l’arme? Biayenda est mort, Nkombo est mort, Massamba Débat est mort. Tous vos cadres sont morts et demain par coup de chance vous avez le pouvoir, comme d’habitude, vous allez encore à l’église prier et finalement relaver les mains. Pendant ce temps les enfants sassou avec l’aide des blancs reviendront au pouvoir dire BAKONGO BA BOMI Marien et cette-fois-ci sassou. J’accuse aussi tous les Bakongos qui sont Fran-Maçons; à quand votre prise de conscience?
A Mr Malanda,un petit rappel historique.Le 31 juillet 1968,un groupuscule de miliciens appelés a tort par officiers militaires,manipules par les services secrets français disaient prendre le pouvoir pour redresser la revolution qui était sur la mauvais pente.Quarante huit ans après ou se trouve le Congo et dans quel état?.Mr Malanda,je le réitère une fois de plus la seule solution au malheur Congolais c’est un coup de pieds dans cette fourmilière qui est devenu le Congo.Entendez par coup de pieds, l’usage de la force brute par les vrais fils du Congo determines a chasser du Congo cette vermine et l’empire français qui l’emploie habilement.Voila la solutionne reste c’est du bla bla.
Une vaste operation militaire suivie d’une take force pour mettre fin a cette pagaille et ce désordre
A Pascal Malanda,
Merci pour les faits historiques que tu présentes et qui trouvent leurs clefs d’explication dans l’utilisation du réseau comme outil analytique. Dans le réseau Congo, il y a le noeud central, Sassou, et les points de bifurcation, JDO et Nianga Bouala. Pour ceux qui pensaient que le réseau c’est farfelu, le texte de Malanda vous apporte la preuve et je joins aussi l’exemple de Macron qui est devenu Président et qui va peut-être s’y maintenir grâce au réseau.
Le Figaro
État, business, médias : les réseaux Macron
Par Vincent Nouzille Mis à jour le 23/06/2017 à 09:39 Publié le 23/06/2017 à 09:00
@ Lucien Pambou,
Je suis d’accord avec vous quand vous parlez de reseau et Sassou sait en faire usage. Trump est au pouvoir grace aux reseaux. Macron aussi. Nianga-Mbouala et Jean Domique Okemba font parti des elements du reseau national de Sassou. Jean Domique Okemba n’a pas de moyens de neutralizer Nianga-Mbouala sauf Sassou le maitre du reseau. Si Sassou veut detruire Nianga-Mbouala ou Jean Domique Okemba, cela ne prendra pas des heures.
Merci Pascal. Ton analyse est pertinente. Le résumé est fait ici : « (…) Tous les fallacieux prétextes avancés le 05 juin (1997) pour justifier l’injustifiable sont aujourd’hui mis à nue. Nous avons aussi montré comment le PCT est passé en 20 ans d’un pouvoir du grand nord à un pouvoir de la Cuvette Centrale et de ce dernier au pouvoir d’Oyo et environs. Aujourd’hui, nous sommes entrés dans la phase finale : concentration du pouvoir au sein de la famille biologique (…) »
L’engouement de tous les originaires du Nord autour du pouvoir du Nord est tombé depuis le retour de M. 8% au pouvoir, en 1997, dans les conditions barbares et macabres que l’on sait.
En presque 50 ans de pouvoir du Nord, un demi-siècle (vous vous imaginez !), le PCT a formé des dizaines de milliers de cadres dans presque tous les domaines, supplantant toutes les autres régions du Congo, puisque les attributions de bourses se sont faites au prorata avec majorité au Nord et dans ce Nord majorité à la Cuvette centrale, et dans cette Cuvette pour être réduite au Clan et autres griots, lécheurs et cireurs de pompes… Ainsi donc, le Nord en général et la Cuvette en particulier, disposent à eux seuls tous les cadres qui occupent toutes les fonctions civiles et militaires du pays. La Fonction publique est devenue mbochi à 90 %. Mais, malgré cette pléthore et cette domination territoriale des cadres du Nord en général et de la région de la Cuvette en particulier, il manque l’efficacité, la compétence… Le fiasco des militaires congolais en Centrafrique, pour ne citer que cet exemple, dit tout et en dit long. Ils sont le reflet des dirigeants du pays : LA NULLITE et LA MEDIOCRITE, en dehors du caractère et comportement criminogènes qui les caractérisent. Ils portent tous costumes et cravates, il n’empêche qu’ils incarnent : LA BARBARIE.
Seules compétences reconnues : PILLAGES, PREDATIONS ET CRIMES DE SANG
QUAND NIANZI BOULA GATSE va rejoindre NTUMI pour venger la mort de son pote NTSOUROU ,,,,????
Les grimaces sont réservées aux singes , un militaire de ce rang , agit et frappe , alors , et alors
on fait quoi ,,, GATSE ?????
Saches que , tu es un mort vivant , alors il faut dégainer le premier ;;;;
MERCI …à toi de jouer .
Les généraux Congolais sont compétents lorsqu’ils vont dan la région du POOL terrorisé les populations. Vous verrez, ceux des militaires qui reviendront à Brazzaville vivant, seront décorés par leur Président. Le général Mbouala Nianga n’a jamais combattu en dehors du Congo sinon au Pool. Aujourd’hui tout comme NTSOUROU, OKOMBI et même MOKOKO se rendent compte que les KONGOS ne sont pour rien dans le malheur du Congo. Oui NIANGA MBOUALA est un général déjà mort la question est de savoir quand. Il avait prêté serment le jour de sa nomination tout comme NTSOUROU de ne jamais trahir sassou. Mais avec le temps, l’homme NIANGA s’est rendu compte que c’était une erreur mais dans ce milieu, reculer c’est mourir. NGOUABI avait inauguré le chemin des « allongés » du Nord.
MME AMBIERRO , l’audit est tombé du CHU .Les causes de la gabegie sont clairement identifiées .MME AMBIERRO , causons un peu ;;;;;;;;
Prenez votre 4/4 , allez , longez la route nat2 , après LE CENTRE DE PLAISIR ELONDA , vous verrez un panneau , sur lequel il est écrit .NGANDA MOSSAKA .Vous prenez à gauche , une piste qui vous y conduit ;;;;.
Aux abords , de cette piste vous y verrez , des villas de haut standing , on se croirait au QUEBEC pays de WILLY NGUESSO ;
Dans ces villas ,neuves , personne n’y habite sinon peu .OK , jusqu’à là vous me suivez ;;;;d’accord ;allons seulement ;;
Arriver , aux abords de nganda MOSSAKA , vous y verrez des voitures de luxe , stationnées dans un parking exotique .D’aucuns auraient dit , des voitures appartenant à des joueurs du PSG ….
Et , après , c’est ce nganda , AU BORD DE LA RIVIERE DJIRI .MME AMBIERRO ,attention AVC…
Causons un peu .Ce nganda , est composé des paillotes , au nombre de 30 .On y bouffe du poisson frais tiré du DJIRI …
La fine fleur de la corruption congolaise y dépense son magot , sans problème , en bonne compagnie , des jolies filles de BRAZZA ET KIN MALEBO …
MME AMBIERRO , tes grands frères y passent le clair de leur temps , avec l’oseille cueillie au CHU DE BRAZZA j’ai cité NGAKALA ET AVOUNDOU , bayaya na yo ;;;;
On mange du poisson frais , en contemplant l’eau de DJIRI , le tout arrosé des bières locales NGOK et autres ;;;.
C’est ça , la vie , oh dé mokili , bissengo ya tsé , bantou de la capitale ;;;MME , passons du bouillon aux villas , construites aux abords de cette piste ..
D’où vient l’argent ,,,,,????DE NTUMI qui aurait dévalisé le trésor , m ‘objecterez vous ;;;;;;
Causons un peu …Après retour vers le centre ville , vous verrez à quelques centimètres , le centre de plaisir du COLONEL OTINA , vous connaissez ????
Au bord du fleuve CONGO …On y entend que , des cris des oiseaux , cet autre elonda est pratiquement mort .On y découvre , des traces de la vraie vie , des cellophanes jetées par ici et là
des tribunes , édentées aucun client n’y vient ,car OTTINA , aurait manqué de respect à son mentor ;;;;;
MME AMBIERRO , l ‘argent qui y a été investi , donne le tournis , plus d’1 milliard de cfa ;;PARTIS en fumée ;;;;;;;;
Et , vint le patron des patrons du secteur , le propriétaire d’ELONDA ., encore un colonel UN FAISEUR DES BILLETS DE CFA …dont la famille habite à BRUXELLES dans une villa hors de prix ;;;;.
MME AMBIERRO , notre pays , a un seul et unique problème , il s’appelle SASSOU ….
MERCI tona tona
merci par tes remarques pour mettre en evidence une regle non ecrite du réseau
les boucles ne sont pas situées au meme endroit sinon les trajectoires vers le noeud central seraient a equidistance ce qui n’est pas le cas
MOKOKO ET OKOMBI en acceptant d étre dans le réseau n ‘ont jamais compris les regles de fonctionnement implicites et explicites de celui ci
DOMMAGE CAR LE RESEAU FONCTIONNE DE MANIERE ENTROPIQUE ET ENDOGAMIQUE NE PAS LE COMPRENDRE C EST SIGNER AU MINIMUM LA MISE A L ECART AU MAXIMUM LA MORT
Bonne journee à tous
Pambou
Eh oui,cette femme fait partie des criminels dont Mr Sassou est le chef qui ruinent et détruisent le Congo sans sourciller.Les pétro cfa engrangés plus de 250 milles millards de 2001-2013 ont été siphonnes par ces indecrottables.Cette somme colossale qui aurait été gérée avec parcimonie en exécutant les projets bien penses, bien etudes suivant l’ordre prioritaire selon les besoins du pays et ses populations.L’argent qui aurait pu servir a panser et repenser le Congo en le sortant du système romain-colonial hérité de la france.Helas,ces criminels l’ont tout dilapide en bricolant les constructions par ici et par la.Les projets sans réglementations surtout très enfantins,un étudiant de premiere de genie civil ferait nettement mieux.
Que cette pirhana feminine reste tranquille,elle passe a la casserole comme tous ses acolytes.
MERCI A TOI AUSSI VAL DE NANTES POUR TA DEMONSTRATION DE FACON EXPLICITE LE FONCTONNEMENTDES RESEAUX SECONDAIRE OU TERTIAIRE QUI SONT ACCOLES AU RESEAU CENTRAL
LES ELEMENTS APPARTENANT A CE RESEAU NE SONT PAS CENTRAUX POUR EXPLIQUER LE FONCTIONNEMENT DU RESEAU CENTRAL MAIS CES RESEAUX SUPPLETIFS ONT LEUR PROPRE LOGIQUE
LA FORCE DU RESEAU EST DE MONTRER LA NORMALITE QU IL FAUT DECODER
IL FAUT LIRE A CES RESEAUX (paragraphe2)
Parlant justement de la règlementations du secteur de la construction,un projet d’elaboration de normes de construction traine depuis les années de les tiroirs de Michelin alias Bouya jean jacques ministre du bricolage alors que les entreprises et les particuliers continuent a construire de réglementaires.Un cadre réglementaire urge surtout pour les sociétés étrangères qui exercent sans règle par exemple les chinois.
Le pseudo conflit entre Nianga Mbouala et Jean Domique Okemba a pour but de divertir les gens pour mieux cacher leurs réels intentions. C’est le tabac de la même pipe. Ils s’aiment et s’adorent en privé. Ils sont tous frères de la loge maçonnique de Brazzaville. Responsables du KO que connait notre pays. Ils sont tous des frères diaboliques de la RIPOU-BLIQUE du Congo.
Pour info, voici l’interview sur TV5 Monde du fou génocidaire du Congo. Il est dans le déni absolu.
https://fr-fr.facebook.com/brazzanews1/videos/876692532493993/
MERCI MON GRAND PAMBOU , une petite causerie la der des der , j’en aurai terminé et surtout un merci infini à mon frère bien aimé MINGWA BIANGO on est ensemble ;;;.
MMME AMBIERRO , notre retour au centre ville a été parsemé des visites impromptues .par miracle on arrive , au quartier MANIANGA ;DE LA VOUS PERVECEZ LE NOUVEAU STADE .
Fait curieux dans ce quartier clairsemé , des lampadaires qui éclairent les arbres 24h /24 .UN MATHEMATICIEN y détient un nganda ;;;;
Encore , une grosse surprise , NGOKANA JEAN MARIE y détient une ferme en superstructure .
NGOKANA L’ ANCIEN PETROLIER devenu conseiller chez SASSOU .;;;;;;;Là , aussi un petit bouillon des viandes et des poissons ;;;;
Après , MANIAMGA ..un petit détour , chez l’ancien voleur des boites des sardines de LILLE le nommé BOUYA …
lire ;;;; vous apercevez le stade kintele ;;;
Chers compatriotes BOUYA , s’est craque muré , impossible de s’approcher de sa demeure multiforme .IL Y AURAIT MËME un parc Disney ;;;;
Voir la maison de BOUYA et mourir ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;à kintélé ;;;limite NGAMAKOSSO …
entourée , des palmiers et des arbres , l’homme vit dans la lune ;;;;;;;;;
Pour , valoriser ce coin ; il a dit à son mentor d’y construire .Ce boulevard en hauteur qui va de la case de GAULLE à stade , en desservant son milieu ;;;
On va y construire , un centre commercial , en gros une nouvelle ville , autour décomplexer les habitants du coin ;;;.
MME AMBIERRO , vous connaissez un peu , l’après DJOUE ,CHIMOU djoué ;qu’avez vous vu ,,,,,???
Des maisons en étage ????
lire ;;;; au stade
Ok Val de Nantes, vous faites un excellent guide touristique.Un tout petit bémol. On ne dit pas « chimou Djoué » mais « simu Djoué » ou plus précisement « simu dia Djoué ».
Simu = rive, rivage, l’autre bord
Cétait Tintin au Kongo
Lorsqu’on a fait ce tourisme numérique du BRAZZA NORD on est en droit de se poser la question sur la rhétorique sado – étatique du VIVRE ENSEMBLE ;;;
Le vrai refrain , ce serait , tout pour BRAZZANORD ET la dalle pour BRAZZA SUD …
CHERS COMPATRIOTES , beaucoup de nos compatriotes vivant à BACONGO et autres quartiers ne savent pas , ce qui se passe au nord de BRAZZA …
D’abord , pour des raisons financières , et par manque d’amour patriotique entre les deux blocs ;;;;
Cette dichotomie existentielle est imposée par le pouvoir aux fins de prolonger leur sinistre bail ;
A , monsieur des finances MR GANONGO . Si vous ne dégagez pas MR OKANDZE directeur du budget , vous allez en répondre plus tard , devant la justice ;;;
Son complice intime , vient de subir le dégagisme à la direction de la fonction publique , le sieur EMMANUEL OBAMI …
Ce fut , le premier péage , avant d’entrer dans la fonction publique à coup des millions .Le deuxième péage , est assuré par ce décapeur de peau OKANDZE …là , aussi à coup des millions .
Des faux arrêtés d’intégration , des fictifs dans la fonction publique , c’est eux ;;;;;;.
Cette combine louche coute à l ‘Etat ,des milliards de CFA ..
Que , le premier ministre ivoirien CLEMENT MOUAMBA , se penche sérieusement sur son cas .
AUREVOIR , OBAMI , rendez vous au tribunal , post SASSOU ..
lire ;;; A , LE MINISTRE DES FINANCES
@ Val de Nantes
à César ce qui est à César. Mr Melenchon a paraphrasé un proverbe Kongo sans en citer l’origine et tout le monde lui en attribue la paternité. Voici le proverbe Kongo:
« Nkabi wa dia muini, wa ki yanika » ,
c-à-d. littéralement « l’antilope qui broute en plein jour s’expose elle-même au feu », car une fois aperçue par le chasseur, elle sera tuée et cuite au feu et boucanée.
D’où le conseil moral: ayez la « Prudence de l’antilope » qui est devenu » Pudeur de gazelle ».
On nous dit que nous n’avons pas de philosophie, nous n’avons pas ceci celà, mais qu’on nous pique nos aphorismes, on n’ose pas nous citer. Mais je n’en suis pas surpris, parce que la sagesse Kongo m’a déjà instruit: « Nkabi, et oui encore lui, ce Nkabi, l’antilope ou gazelle pourquoi pas, puisqu’une gazelle n’est qu’une petite antilope;
donc « Nkabi ga nianga, fulu kiandi kia ntama », litt. « une antilope sur une botte de paille, c’est son gîte habituel, c-à-d : il est difficile de se débarrasser de ses vieilles habitudes: « coutume de gazelle »
C’était Tintin au Kongo