Vague jaune : la sortie négociée de Sassou est-elle encore possible ?
Il y a quelque temps, en observant l’évolution de la situation au Congo depuis le changement de la constitution jusqu’à la crise post-électorale d’avril 2016, nous évoquions le risque de déliquescence du pouvoir qui pouvait aboutir à des éliminations physiques au sommet de l’Etat. Nous soulignions l’absurdité d’en arriver là pour un pouvoir conquis au nom de la restauration de la démocratie.
Roi isolé dans une forteresse assiégée
Tous ceux qui ont accompagné Sassou dans sa reconquête du pouvoir livrent aujourd’hui au pays un pitoyable spectacle de bataille de chiffonniers. Le résultat de cette lutte sans merci est la disparition physique de certains « héros » de la guerre de juin 1997, et l’emprisonnement pur et simple de nombreux autres. L’impression qui se dégage de cette pièce tragicomique à laquelle on assiste est que monsieur Sassou, affaibli par l’âge et traumatisé par la chute de Mugabe, ne fait plus confiance à son entourage immédiat. Ce dernier, excité par les signes de fin de règne, s’agite autour de la forteresse dans laquelle s’est enfermé Sassou pour sa propre sécurité. Les prétendants à la succession ne cachent plus leurs intentions. Chacun y va de son coup d’Etat.
Le rêve dynastique évanoui ?
Si la succession prend une tournure de plus en plus violente, c’est que le schéma dynastique auquel on voulait nous habituer depuis un certain temps semble avoir du plomb dans l’aile. En effet, depuis les mésaventures parisiennes du « dauphin » non désigné, mais qui s’imposait progressivement malgré la levée de boucliers au sein du PCT, la donne a complètement changé. Le « dauphin » s’étant tiré une balle dans le pied, fait profil bas et semble chercher consolation en convolant fastueusement en noces avec sa nouvelle dulcinée. Les autres prétendants essaient activement d’occuper l’espace devenu libre.
Le syndrome de Marien
A en croire les folles rumeurs qui circulent sur le réseau et dans le pays, certains généraux auraient conçu le « noble » projet de sauver le pouvoir ethnique menacé par l’irresponsabilité du « dauphin » et la « sénilité » de son père. Il serait donc question de perdre un homme au lieu de perdre le pouvoir. Formule qui ressemble étrangement à la rumeur qui avait précédé la mort de Marien. D’où la conclusion qu’on prête aux mauvaises langues : Qui a tué Marien mourra comme Marien.
Bakongos ba bomi Sassou
S’agissant de Marien, la Conférence Nationale Souveraine avait montré que sa mort avait été mise injustement sur le dos des « Bakongos ». Serions-nous de nouveau dans ce scénario macabre où les tombeurs d’un président accuseront lâchement le souffre-douleur de la nation qui est le sud en général et le Pool en particulier ? Combien de Biayenda, de Massambat-Débat, de Kimbouala Nkaya etc… sacrifieront-ils dans la foulée ? Combien d’officiers, et de civils liquideront-ils pour maquiller leur forfait ?
Ils n’ont qu’à s’entretuer, Dieu reconnaîtra les siens
Face à ce carnage programmé, de nombreuses voix (surtout au sud du pays) s’élèvent pour dire : « Laissez-les s’entretuer, cela les affaiblira et on reprendra le pouvoir comme on cueille une mangue mûre. » Cela ressemble étrangement à la rumeur qu’on prête à Brazza-nord qui aurait dit lors de la guerre entre le Pool et les Pays du Niari en 1993-1994 qui affaiblit le pouvoir de Lissouba cueilli comme une mangue en 1997: « Ba bomana bango na bango. » Cela ressemble aussi à cette parole que le chroniqueur cistercien Césaire de Heisterbach attribue au chef de la croisade des Albigeois, Arnaud Amaury : « Massacrez-les, car le Seigneur connaît les siens ». Sauf que la croisade des Albigeois se passe en 1209, alors que nous sommes en 2017 dans un pays « émergent à l’horizon 2025 », pays havre de paix en Afrique Centrale et dans lequel la démocratie est censée avoir été « restaurée » au prix de notre sang.
Et la démocratie dans tout ça ?
Si la démocratie a été effectivement « restaurée » au prix de tant de sacrifices en 1997 ; si la paix si chère au chroniqueur Jean-Paul Pigasse des « Dépêches de Brazzaville » nous tient tous tant à cœur, pourquoi ne pas résoudre toutes ces ambitions « légitimes » et ces contradictions inévitables dans les urnes ?
Vous avez certainement compris que mon interrogation est une farce car au Congo d’aujourd’hui, les urnes sont une comédie grotesque. En effet, on pouvait rire du bruit de bottes dans la ville de Brazzaville, on pouvait se gausser du jeu du chat et de la souris auquel se livrent certains généraux dans la capitale. Malheureusement, il ne s’agit pas d’un jeu et il y va de la vie réelle des citoyens congolais que les politiciens sacrifient allègrement sur l’autel de leurs ambitions égoïstes.
On aurait pu dire à nos impatients prétendants au trône de respecter la nouvelle constitution, d’attendre que la mort libère le trône, que le président de l’assemblée assume la transition de trois mois et organise des élections libres, transparentes et démocratiques comme le prévoient « notre » nouvelle constitution. Nos généraux démocrates n’auront qu’à poser candidature et battre campagne dans les règles du jeu et de l’art. C’est oublier que nous sommes en face d’un régime que seul le peuple souverain peut vaincre en prenant ses responsabilité pour rétablir une vraie démocratie.
Dialogue inclusif…
D’aucuns ne croient plus aux vertus d’un dialogue inclusif qui réunirait tous les enfants du pays autour d’une même table afin de surmonter nos difficultés et proposer au pays une issue consensuelle à la grave et inédite crise socio-politico-financière qu’il traverse. Ils pensent que seul un coup d’Etat ou une insurrection populaire permettrait de résoudre la crise actuelle. Nous avions un temps proposé la voie du milieu pour offrir une sortie honorable à Sassou. Malheureusement, par son obstination à aller contre le sens de l’histoire, ce dernier a perdu toute légalité en octobre 2015 avant de perdre toute légitimité en mars 2016.
S’il a perdu l’honneur, il peut encore faire montre de courage politique en négociant sa sortie avant la fin de son mandat illégal et illégitime. Il y a certainement pensé et certainement y pense de plus en plus, surtout depuis les mésaventures parisiennes de son fils. Cependant, ayant vécu la disparition de Marien en qualité de ministre de la défense, il doit connaître des détails qui le font hésiter et reculer. En effet, les requins autour de lui connaissent trop bien la recette. L’ivresse du pouvoir et l’angoisse de le perdre poussent ces requins à un comportement totalement irrationnel qui ressemble chaque jour à un suicide collectif programmé. Suicide qui pourrait transformer le Congo en Libye.
Les Nguesso sont-ils encore capables de quitter le pouvoir sans mort d’homme ou bain de sang?
A défaut de dialogue inclusif, il faudra montrer à Sassou qu’une sortie négociée sous la pression et la protection du peuple est encore (momentanément) possible. Sassou est un oiseau dans une cage dont la porte est ouverte. Tout dépend de lui pour en sortir. Mais voyant les requins roder autour de lui, Sassou se croit condamné à mort. D’aucuns estiment qu’il mérite largement cette condamnation. Ceux qui le disent oublient une chose : Le peuple souverain. En effet, nos grands « démocrates » sont incapables d’organiser un référendum afin de demander au peuple ce qu’il pense de la crise actuelle et des moyens d’en sortir. Quant à Sassou, s’il doute du fait que le peuple l’a déjà vomi, mais peut encore lui offrir une sortie négociée, il n’a que le consulter comme Youlou.
La rumeur affirme que Youlou, vomi par le peuple qui lui demandait de démissionner ne croyait pas au rejet dont il était l’object. A la délégation qui était venue lui demander de signer sa démission et qui lui annonçait que la foule à l’extérieur du palais attendait impatiemment cette démission, il exigea de lui accorder l’opportunité d’aller voir si le peuple l’avait effectivement rejeté. S’approchant du balcon, il reçut un coup de pancarte qui le convainquit sur-le-champ. Il rentra et signa sa démission en maudissant le Congo : « Vous serez un jour dirigés par un fou. »
Le référendum populaire ou vague jaune.
Le drapeau congolais n’est pas par hasard un symbole de la circulation routière. Le vert signifie : circulez, rien ne peut vous arriver. Le jaune signifie : attention, danger potentiel. Le rouge signifie : stop, le danger est là. Rapporté à la situation actuelle du Congo,
- Le vert signifie : Statuquo, c’est-à-dire Sassou président gérant le pays sur la base des élections de mars 2016.
- Le jaune signifie : Sortie négociée de Sassou et son entourage ; démission avant la fin du mandat en cours.
- Le rouge signifie : Destitution pure et simple.
La vague jaune :
Les citoyens peuvent exprimer le souhait de voir Sassou négocier sa sortie par le port d’un symbole jaune : un brassard, une casquette, un drapeau, un T-shirt, un pagne etc.
Les partisans du pouvoir pourront s’approprier la couleur verte : maintien de Sassou comme président.
La couleur rouge sera arborée par ceux qui souhaitent le départ sans condition (destitution) de Sassou.
Il va sans dire que notre préférence va entièrement vers la couleur jaune dont nous souhaitons inonder le pays. Si le pays tout entier se couvre de jaune, cela sera le plus puissant message pacifique envoyé à Sassou : Prends ta retraite comme Mugabe ou Dos. Une vague jaune sera un référendum absolument gratuit. Rien n’exclut une vague verte (même si je n’y crois absolument pas) ou une vague rouge (si la situation continue de se dégrader). Au peuple souverain de dire ce qu’il veut.
Le temps de l’action
Peuple congolais, prends ton destin en main et montre à la face du monde que tu es capable de grandes choses de façon pacifique. Fais tienne la couleur jaune pour dire pacifiquement à tous les fossoyeurs de la liberté et de la démocratie : ça suffit !!! Et si le PCT arrive à nous habiller tous en vert, par l’achat des consciences et l’intimidation, s’il arrive à nous rouler dans la farine de notre couardise et de notre cupidité, alors acceptons pacifiquement notre soumission en épargnant des vies humaines innocentes à commencer par celles qui sont inutilement sacrifiées dans le Pool.
Dirigeants de l’opposition, partisans du départ négocié de Sassou. Le pouvoir vous musèle, mais peut-il vous déshabiller si vous vous exprimez par une couleur ? Prenons nos responsabilités. Donnons l’exemple à l’ensemble du peuple. Mobilisons le ban et l’arrière-ban social pour une marée jaune. Fini le temps de l’hypocrisie. Fini le temps de ce que Marien Ngouabi appelait les tortues à double-carapace, les pêcheurs en eau trouble, ceux qui clignotent à gauche tout en virant à droite. Choisissons notre camp au grand jour. Portons notre couleur. Le peuple souverain nous sera infiniment reconnaissant.
Est-il trop tard pour une sortie négociée de Sassou ? Lui seul peut y répondre. Le peuple le lui soufflera bientôt par le jaune, l’orange ou le rouge.
Pascal Malanda
« Vous serez un jour dirigés par un fou. ». Cet ce qui est arrivé
On ne peut pas continuer à tolérer tant d’idioties, de crimes et génocides au Congo. Il faut à tout prix punir Sassou et ses complices
Je voudrais tellement croire à une sortie négociée, mais le temps presse et la nature même du pouvoir au congo, ne permet pas d’envisager une marée jaune sur toute l’étendue du territoire. Espérons que ceux qui nous gouvernent entendent votre cri pour éviter la marée rouge.
J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais le fait de triompher d’elle. L’homme courageux n’est pas celui qui ne ressent pas la peur, mais celui qui la vaincre.
Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes… C’est vivre de manière à respecter et renforcer la liberté des autres.
Il n’y a rien de mieux que de retourner dans un endroit qui est resté inchangé pour comprendre à quel point vous avez changé.
Nous ne pouvons rien absolument rien attendre de sassou. Tête vide tout l’argent part pour la conservation du pouvoir. Les pays comme la Cote d’ivoire, le Sénégal et autres, ont bénéficié de l’argent du Congo en faisant des projets du développement.
Quand on est remplit du tribalisme et de haine on est avoue a l’échec. Tout les postes aux mains de I, O E (mochis) alors que nous savons que la majorité d’entre eux ont seulement acheté les diplômes même a l’étranger. Et en plus l’homme nait intelligent, on ne force pas quand on est nait ignare comme sassou et son entourage.
Nous attendons le jour de la renaissance, le départ du diable qui a maudit le Congo au nom de sassou et son clan.
Malanda, Sassou n’est pas encore fini, du moins ses partisans le pensent ainsi. Attendons la fin des négociations avec le FMI prévue pour le 22 decembre prochain. Si cela se passe bien, il faudra au pouvoir de tenir jusqu’en mars 2018, c’est à dire réussir au moins à payer les salaires des fonctionnaires pour attenuer la grogne sociale. Si ce pari est réussi, Sassou aura encore une bonne marge de manoeuvre d’autant plus que, comme l’a dit le patron de Total, la production pétrolière augmente sensiblement et les cours remontent. L’espoir a pris le pas à la panique et l’angoisse d’il y a quelques semaines. C’est ça la réalité Malanda. Posez donc vos pieds à terre. Ne vous masturbez pas en criant au moment de la jouissance solitaire: Sassou c’est fini! Retour aux scénarios macabrésilien d’hier ! J’ai dit.
Cher Bulukutu
Vous dites : « Je voudrais tellement croire à une sortie négociée, mais le temps presse… »
Un pays, une nation se construisent dans la durée. Et dans la situation actuelle, le temps est l’allié le plus puissant du peuple. Le régime, par sa nature, a d’énormes difficultés à organiser une sortie négociée donc consensuelle de la crise. C’est cela qui le condamne à terme et beaucoup plus tôt que nombreux ne veulent l’accepter.
« … et la nature même du pouvoir au congo, ne permet pas d’envisager une marée jaune sur toute l’étendue du territoire. »
Oui, la nature répressive du pouvoir semble condamner toute initiative dans ce sens. Mais c’est oublier que les Congolais sont un peuple capable de soulever des montagnes. L’ennui, c’est que nous sommes devenus un peuple apathique qui supportent les pires injustices jusqu’au moment où il se réveille et détruit tout dans une violence effrayante qui me rappelle les sombres années 1997-1999. Quel gâchis !!!
Avec un peu d’humilité et beaucoup de courage, Sassou peut encore éviter au Congo un calvaire inutile. Mais cela ne dépend que de lui, et surtout de son entourage.
Le terroriste le plus redoutable d’Afrique au nom de sassou dit :
« Tout les postes aux mains de I, O E (mochis) alors que nous savons que la majorité d’entre eux ont seulement acheté les diplômes même a l’étranger. »
C’est ce genre de déclarations qui constituent l’assurance-vie de Sassou. Sans le savoir et le vouloir, vous renforcez nos compatriotes du nord dans l’illusion selon laquelle ils ne sont rien sans ce régime. Ce qui est bien sûr très faux. Le nord du Congo a un avenir sans Sassou et son régime qui n’a pas transformé tous les territoires au nord de Brazzaville en paradis sur terre. Allez à Makoua, à Mossaka, à Sembé etc. et vous constaterez qu’en dehors de microscopiques îlots de richesse captée par quelques dignitaires, le reste du nord connaît la même misère qu’au sud du pays. Plus de 90% de nos compatriotes du nord vivent dans une misère inacceptable dans un pays pétrolier. Cela est vérifiable et c’est cela que le pouvoir cache grossièrement. Et vous faites le travail à sa place. Regardez l’état de la nationale n°2 quand il pleut et vous verrez comment voyagent nos compatriotes du nord. Je ne parle même pas de ceux qui sont obligés de prendre des embarcations de fortune pour faire pendant des jours le petit trajet Oyo-Liranga. Oyo est peut-être une exception, mais cela suffit-il pour diaboliser tous nos compatriotes du Nord. Et même à Oyo, croyez-vous honnêtement que tout le monde vit comme un Nabab, que tout le monde est logé à l’Alima Palace ?
« Et en plus l’homme nait intelligent, on ne force pas quand on est nait ignare comme sassou et son entourage. »
J’ai déjà dit ici avoir rencontré Sassou dans les années 1990. Je vous décevrai certainement comme j’ai déçu de nombreux compatriotes en affirmant que Sassou n’est pas aussi bête que vous le pensez et c’est là votre drame : sous-estimer votre adversaire. Le seul fait d’avoir dirigé le Congo pendant 33 ans déjà signifie qu’il est au minimum rusé. Prenez le temps de lire ses ouvrages (je n’en fais pas du tout l’apologie) et vous y trouverez des informations sur le comportement de l’homme. Si vous voulez combattre vos adversaires, apprenez à mieux les connaître à travers ce qu’ils vous livrent. Même si c’est écrit par des nègres, cela donne des indices sur son monde de fonctionnement.
Sassou a appris auprès des Chinois en 1966 que la France sera longtemps incontournable pour le Congo, qu’il valait mieux entretenir de bonnes relations avec elle que de venir chercher le soutien de la Chine pour s’opposer à l’impérialisme français. Vous qui pensez que Sassou est bête, c’est le seul de la délégation de 1966 qui avait compris la leçon chinoise. Notre malheur est que Sassou n’a pas appris le patriotisme et la vision économique chez les Chinois.
Vous dites :
« Nous attendons le jour de la renaissance, le départ du diable qui a maudit le Congo au nom de sassou et son clan. »
Je crains que vous ne soyez obligés d’attendre trop longtemps. Votre démarche politique est dans l’attentisme. Vous attendez que le diable parte ? Etes-vous sûr qu’il ne sera pas remplacé par un clone de sa famille biologique ou politique qui fera pire ? Non, Sassou a fait son temps et plus que son temps. Nous devons l’aider activement à se dégriser du pouvoir. C’est dans l’intérêt de tout le monde, mais surtout de Sassou lui-même. Le pouvoir est une drogue dont certains se détachent difficilement. Lui montrer pacifiquement qu’il y a une vie, bien meilleure sans le pouvoir quand on a conscience d’avoir donné tout ce qu’on pouvait. Que peut-il encore donner au pays à 75 ans avec une dette deux fois supérieure à la somme de toutes les dettes des pays de la CEMAC ?
« Que peut-il encore donner au pays à 75 ans »
La réponse est RIEN , il suffit pour cela de se référer à son bilan. Je met au défit quiconque de d’énumérer les réalisations positives qu’à fait, pour le pays et la population, ce tyran depuis toute la durée de sa dictature infâme.
Sassou Nguesso président criminel, génocidaire, illégal ,illégitme et sa clique se sont lancé depuis déjà presque 2 ans dans le massacre de la population du Pool avec le seul motif, la capture du pasteur Ntumi. La crise financière étant venue s’accentuer à cause de cette absurde guerre du Pool et de nombreuses dépenses, malversation financière pendant 20 ans de folie, voilà le pouvoir Sassou prèt à masquer son échec militaire,le génocide, le vol organisé, l’ incompétence notoire sur la gestion des affaires d’état, la crise politico-socio écononique très profonde sur la tentative d’un faux coup d’état dont les généraux Nianga Mbouala et Dabira, depuis longtemps dans le viseur du trio arbitral congolais (Ndenguet-Obara-JDO) seraient des auteurs . La guerre du Pool; une vaste opération militaire, une répression à huis clos, une épuration éthnique déguisée en traque du pasteur Ntumi accusé d’avoir attaqué Brazzaville avec ses hommes et les arrestations d’opposants, de manifestants qui ont jusqu’à à lors été la stratégie de Sassou-Nguesso et sa bande pour légitimer le hold-up électoral de 2016, n’ayant pas été suffisants,il a fallu changer de stratégie pour gagner la sympathie de la communauté internationale et obtenir particulièrement l’aide financière auprès du FMI et de certains pays, particulièrement en ces temps de crise financière très profonde qui ménace la survie du règne Sassou Nguesso. la très grande dette congolaise occasionnée par la corruption, la malgouvernance, les biens mal acquis, l’achat éffréné des armes de guerre, des consciences est si profonde que Sassou Nguesso et complices sont de plus en plus motivés à multiplier les initiatives les plus absurdes telles que la tentative du parrainage des Narcos trafiquants colombiens et cette fausse histoire de terrorisme, de la fausse information pour faire du chantage aux Français et aux Américains. Le Congo étant au bord de la faillite. Le pays est en crise, le pays se meurt. De peur de perdre le s privilèges, le pouvoir, les membre du clan Sassou sont poussé à s’entretuer. Depuis un certain moment une « guerre d’influence croissante au PCT et lutte interne au sein du clan criminelle, génocidaire,mafieux du pouvoir Sassou Nguesso: Selon de nombreuses analyses, par exemple ceux de dac-presse.com,ce trio arbitral congolais cherche depuis longtemps à creer des opportunités pour réussir pour lui un coup d’Etat en neutralisant tous ceux qui peuvent leur barrer la route. il n’ ya pas seulement Christel qui veut succéder à son pére, Sassou Nguesso. Okemba, le grand criminel, assassin est aussi longtemps tenté à devenir par tous les moyens président du Congo près son oncle. Les Congolais sont appelés de se montrer vigilants. Le Congo menacé par la « Crise dite du Pool », le non respect total des droits de l’homme, la terreur, la crise financière avec son lot licements, de fermeture d’entrepsises, de centres hospitaliers, d’université, n’a pas seulemen besoin de coup d’état du palais. Mais d’une véritable révolution apte à dementeler tout le système ultra criminel, génocidaire de Sassou Nguesso.Sassou Nguesso, le d tyran criminel, terroriste et sa clique méritent plus du tout le pardon, mais la sentence pour les nombreux crimes contre l’humanité, crimes de guerre, haute tahison sans autres formes de procès.
Wawanko dit :
« Malanda, Sassou n’est pas encore fini, du moins ses partisans le pensent ainsi. »
Les partisans de Sassou ont le droit de penser ce qu’ils veulent, mais la réalité est redoutable. Je l’ai souligné à plusieurs reprises : le plus grand opposant à Sassou, c’est la crise économico-financière qui touche maintenant de plein fouet le tissu économique. Si vous ajoutez à cela la crise postélectorale, vous avez tous les ingrédients d’un scénario catastrophe. Ce sont les partisans de Sassou qui le prennent en otage, mais lui-même a le dernier mot, même s’il a peur de finir comme Marien.
Vous dites :
« Attendons la fin des négociations avec le FMI prévue pour le 22 decembre prochain. Si cela se passe bien, il faudra au pouvoir de tenir jusqu’en mars 2018, c’est à dire réussir au moins à payer les salaires des fonctionnaires pour attenuer la grogne sociale. »
Avec et surtout sans le FMI, le pouvoir est condamné. Avec le FMI, il faudra une dose de transparence qui assèchera tous les leviers de corruption des esprits. Vous savez mieux que moi, les aspirants aux commandes dans ce régime sont des pieuvres, sudistes comme nordistes dont la motivation principale est l’enrichissement illicite et rapide. La raréfaction des ressources financières en cas de transparence imposée par le FMI va générer des tensions incontrôlables. On le voit déjà en filigrane entre les Kiki, Bouya, Ondogo, Ganongo etc. La survie du régime dépend d’une gestion orthodoxe et vous savez bien qu’il en est intrinsèquement incapable.
Sans le FMI, je vous laisse imaginer la détresse du pouvoir.
« Si ce pari est réussi, Sassou aura encore une bonne marge de manœuvre… »
Comme Sassou et son entourage, vous semblez réduire les problèmes du Congo à la seule grogne sociale. Pour vous, le paiement des salaires garantit la pérennité du pouvoir. Quelle méprise ?!!!
Pour tout commencer, la stabilité du pouvoir dépend de la restructuration de la dette qui elle-même passe par la maîtrise des dépenses. Avec le FMI, l’amélioration des recettes ira en priorité au remboursement des créanciers.
« …d’autant plus que, comme l’a dit le patron de Total, la production pétrolière augmente sensiblement et les cours remontent…. »
La remontée des cours du baril et l’augmentation n’y feront rien, le pétrole étant largement gagé. Plus grave, sans réforme fondamentale (genre ce que Milongo avait fait en 1991 et que Lissouba a continué en 1994 avec la révision des contrats pétroliers), les mêmes causes engendreront les mêmes effets.
« L’espoir a pris le pas à la panique et l’angoisse d’il y a quelques semaines. C’est ça la réalité Malanda. »
Non, cher Wawanko. Sassou est un roi nu et fatigué. Il les sait mieux que tout le monde. La crise a révélé la profondeur de la déliquescence. Tout ce qui était caché est aujourd’hui sur la place publique. La dette colossale, les détournements homériques, la disparition du Fonds des générations futures etc. Tous ces actes pris ensemble constituent un indiscutable chef d’accusation pour Haute Trahison. Et vous savez certainement le nombre de Congolais qui pendraient Sassou haut et court et avec un immense plaisir pour moins que ça.
Ma position est simple : Oui, Sassou a indiscutablement failli comme Mugabe. Peut-il quitter le pouvoir sans plonger le pays dans l’enfer ? Oui, le cas Mugabe l’a démontré. Nous sommes condamnés à trouver une solution intelligente pour notre pays comme en 1991. Ceux qui pensent réussir éternellement à rouler les autres dans la farine se trompent royalement. Et si cela ne marche pas, on aura toujours le temps de faire la guerre comme d’habitude. Quel gâchis pour 4.millions d’habitants incapables de concevoir la convivialité élémentaire !
Vous dites :
« Ne vous masturbez pas en criant au moment de la jouissance solitaire: Sassou c’est fini! Retour aux scénarios macabrésilien d’hier ! J’ai dit. »
Je vous passe la vulgarité d vos propos. Pour la jouissance, vous serez comblé quand les fleuves de sang couleront de nouveau sur le Congo. A chacun ses jouissances.
Pascal Malanda et autres intervenants. Merci beaucoup pour vos analyses. Le FMI.ne doit pas donner une bonne marge de manœuvre. Cela serait cautionner le génocide du Pool et les crimes économiques les crimes contre l’humanité. Il y a quelque chose que nous tous Congolais devront comprendre. On ne peut pas laisser aux pouvoir des si grands criminels génocidaires. Des gens qui ont commis des si grands crimes contre l’humanité. Nous la responsabilité dénoncer haut et fort tous les crimes de Sassou Nguesso et sa bande. Nous devrons les mettre devant le banc des accusé, faire et la pression comme celle qui commencée avec le probléme des biens mal acquis, le problème des disparus de Beach. La France et la communauté internationale doivent être placés devant le fait accompli et agir en conséquence. Il y a aucun pays au Monde où un président dictateur autoproclamé et terroriste de surcroit a bénéficié tant de largesse. Congolais, particulièrement de la diaspora faite un grand bruit. Contactez les médias. achetez les pages dans les grands médias de la France, des USA,GB, de la suisse , Allemagne pour faire passer d’ une matière bien détailler les Crimes de Sassou et son clan, qui depuis presque 2 ans se livre à huit clos à l’épuration éthique dans le Pool, sacrifient l’argent du peuple Congolais pour le bien , le plaisir personnels et l’achat des arme de répression, la terreur. Tout cela doit avoir enfin fin. Il est temps que les congolais connaissent une vie tranquille, qu’ il vivent enfin dans un pays de droit. L’ère Sassou, l’ ère du système Sassou Nguesso doit enfin prendre définitivement fin. Il faut en finir avec ce système diabolique, ultra criminel. Et tout cela ne repose que sur la détermination, le courage des Congolais et d’ une opposition, résistants déterminés conscients de leurs devoirs et responsabilités. Il est temps qu’une nouvelle classe politique apte à œuvrer à un état de droit et dont l’enrichissement illicite et rapide ne doit pas du tout constituer la motivation principale
On ne peut pas laisser au pouvoir, le tyran criminel, génocidaie, terroriste et sa clique qui ont commis de si grands crimes, des génocidaires. aux pouvoir. Des diririgeants crimniels, génocidaires, cela nese passe qu’au Congo
Tâ Malanda, pourquoi encore ce titre BAKONGOS BA BOMI MARIEN ?
Pourquoi au Congo les choses ne soient pas simples! Vous semblez connaître les arcanes de la vie politique congolaise donc vous devez nommer par leurs noms les assassins de n’gouabi. Nommez les, au lieu de jeter encore une fois l’anathème sur tous les mbochis.
Lire sont pas simples
A Pascal Malanda,
Je respecte votre point de vue que vous soutenez du reste avec maestria. Mais je persiste et je signe: Sassou est loin d’être fini. Même si j’aimerais de tout coeur vous croire. Mon dernier mot: qui vivra verra et rira bien qui rira le dernier. Rendez vous dans quelques mois seulement.
Vous pouvez beau dire sassou reste le criminel le plus redoutable d’Afrique a lui seul plus des morts que la guerre de la Syrie et le Yémen réuni. Vous qui prédisez qu’il est encore la pour longtemps ceci est votre souhait mais la réalité est autre, même les bébés crient sur votre terroriste, dans quel pays sera ‘il ressue comme un chef d’état digne de ce nom. Il faut appeler le chien par son nom.
C’est aux nordistes de comprendre que sassou est le mal du Congo, ce que j’ai dit c’est la vérité, c’est aux nordistes de savoir que les sudistes sont LEURS frères pas a moi de leur apprendre ceci, et en plus sans l’homme qu’il faut la place qu’il faut le Congo va rester le dernier du monde, avec le pouvoir aux de nordistes qui eux même vont subir le mal de leur façon de faire.
LE CONGO POUR TOUT CONGOLAIS ET NOUS CONSTRUIRONS CE PAYS LA ENSEMBLE PAS LE FACON DE FAIRE DES MBOCHIS.
Le jour que l’homme du nord comprendra que l’homme du sud est son frère le Congo va redevenir encore un pays a la place des autres.
SASSOU EST LE MAL DO CONGO
C’EST A L’HOMME DU NORD DE METTRE CE NUISIBLE SASSOU HORS D’ETAT DE NUIRE ET NOUS VIVRIONS ENSEMBLE SANS DISTINCTION DES RACES
Le rassembleur acharné qui sommeil en chaque congolais ne peut se satisfaire à l’idée d’entendre certains citoyens s’exprimer, en terme des ba kongos; des nordistes ou encore des ba laris. Le Congo est un et indivisible. Ceci dit, à propos des vagues jaunes que les anglo-saxons appellent the color revolution, force est de constater qu’elles se déclenchent rarement à l’unisson dans les pays à forte mixité sociale. Mais tout est possible, vu les moyens mis à la disposition de la société civile des oncles tom traitres à l’Afrique, par les colonisateurs menés par l’oncle sam. Aussi le Printemps Arabe esclavagiste, du moins celui que regrettent tant les leaders corrompus des tribus libyennes divisionnistes, suffit à édifier les plus sceptiques sur la finalité négrière des Rêves-olutions Colorées pro occidentales. Les faits sont têtus. Ce sont les armes psychologiques de l’impérialisme néolibéral sinophobe.
Cher AD,
Vous dites :
« Le FMI.ne doit pas donner une bonne marge de manœuvre. Cela serait cautionner le génocide du Pool et les crimes économiques les crimes contre l’humanité. »
Nous devons apprendre à compter sur nos propres efforts. Seul le peuple souverain du Congo peut obtenir le départ de Sassou. Le FMI ne peut pas jouer le rôle de l’opposition congolaise. Le Congo est membre du FMI. S’il remplit les conditions d’éligibilité à l’aide financière, le FMI n’y pourra rien. Je vous le concède, les membres influents du FMI, dont la France et les USA peuvent influencer en coulisse les décisions du FMI. On l’a vu par la rigueur qu’ils ont appliquée à la demande d’aide du pouvoir de Lissouba en 1994. On voit la complaisance et la curieuse générosité qu’ils expriment à l’égard du pouvoir de Sassou. Pour ces institutions, le drame du Pool est un non-événement.
Battons-nous pour arriver à un consensus national. Nous l’avions pu en 1991 avec la conférence nationale, nous en sommes capables aujourd’hui. Point besoin de nous injurier les uns les autres. Le Congo s’en sortira le jour où Brazza nord décidera de mettre fin à un système dont il est également victime. Mais Brazza nord ne bougera que si le retrait (pacifique ?) de Sassou ne signifie pas le début d’une descente aux enfers et d’une chasse aux sorcières à l’égard des nordistes. Pour quelle raison pousseraient-ils Sassou à la sortie, si c’est pour se retrouver traqués comme des rats par des revanchards sans scrupules ? Mettez-vous un instant à leur place
Vous dites :
« On ne peut pas laisser au pouvoir, le tyran criminel, génocidaie, terroriste et sa clique qui ont commis de si grands crimes, des génocidaires. aux pouvoir. »
J’espère que vous avez des recettes qui aident à faire partir les tyrans du pouvoir. Je vous préviendrai cependant que le temps de la justice est long, parfois très long. Il ne suffit pas de crier qu’un pouvoir est tyrannique pour que cela soit acté par la communauté internationale dont les règles de fonctionnement sont hypercomplexes, frisant parfois l’hypocrisie absolue. Exemple très simple, pour la France, Bachar Al Assad est un criminel, pour Poutine, c’est un allié respectable défenseur de son pays indignement agressé. La France et la Russie siègent au conseil de sécurité de l’ONU et leurs positions s’annulent dans une hypocrisie totale. Omar El Bechir du Soudan est sous le coup d’un mandat d’arrêt international, pourtant vous avez vu comment il est protégé par certains dirigeants africains. C’est peut-être une des raisons qui font que les autocrates africains s’accrochent au pouvoir. Ils accèdent au pouvoir par la terreur, y demeurent par la violence aveugle et ne peuvent pas imaginer un seul instant quitter le pouvoir car cela reviendrait à signer leur arrêt de mort. Tout le problème que nous avons, est celui de la culture de l’alternance qui empêche le mode d’accession au pouvoir par la violence. C’est un cercle vicieux que de nombreux pays africains ont réussi à briser. Il nous faut beaucoup d’ingéniosité pour en sortir. Mon crédo (naïf ?) est le suivant. Ok, nous sommes dirigés par un autocrate ; pouvons-nous le convaincre d’accepter l’alternance au prix d’une certaine garantie en mettant sur place des mécanismes qui arrêtent définitivement la violence politique ? Ou préférons-nous le traquer au risque de le pousser à déclencher une opération de la terre brûlée en d’être terme le conforter dans la logique de « l’après moi le déluge ». Ce que les Zimbabwéens ont réussi avec Mugabe, les Congolais en sont-ils incapables ? Je prône la voie zimbabwéenne depuis 2014, on m’a traité de tous les noms d’oiseaux. La réalité est plus coriace que nos émotions. Les incantations ne servent absolument à rien. Mugabe n’a pas été jugé et le Zimbabwé a évité une guerre civile qui aurait opposé les membres d’une même ethnie, les Shona, représentant 80% de la population de ce pays. Au Zimbabwe, ce n’aurait pas été Mbochis contre Laris, mais dans le même parti, Shonas contre Shonas, une guerre fratricide. Prenons nos responsabilités, personne d’autre ne le fera à notre place.
« Des diririgeants crimniels, génocidaires, cela nese passe qu’au Congo »
Encore une déclaration émotionnelle. Que dites-vous de la Corée du Nord, de la Birmanie ou Myanmar, de la Syrie, du Somalie land, du Yémen etc. Non, cela ne nous avance à rien. Que faites-vous si Sassou meurt demain de vieillesse ou de maladie comme tout humain ? Irez-vous juger son cadavre pour assouvir votre soif de justice ?
Entendons-nous, je suis pour la justice, la grande justice ; mais pour une justice intelligente qui va au-delà de l’émotion. Toutefois et encore une fois, c’est le peuple souverain qui a le dernier mot. Il peut pendre Sassou ou le gracier, je me soumettrai au verdict populaire.
Cher Alima connection
Vous dites :
« Pourquoi au Congo les choses ne soient pas simples! Vous semblez connaître les arcanes de la vie politique congolaise donc vous devez nommer par leurs noms les assassins de n’gouabi. Nommez les, au lieu de jeter encore une fois l’anathème sur tous les mbochis. »
Ma réponse est simple. Je n’ai pas assisté à la mort de Marien, donc il m’est impossible de dire qui l’a tué ou qui est le commanditaire de sa mort. Je suis donc très mal placé pour donner des noms. Je ne me base que sur l’histoire très floue qui entoure la mort de Marien et que la CNS a tenté d’élucider par la commission Assassinats. Les conclusions de ladite commission sont disponibles et exploitables. Consultez-les et essayez de me dire avec précision qui a tué Pouabou, Matsokota, Mansouémé et Ngouabi ? Il s’agit là des grands noms qui ont agité la conférence nationale. Trop de protagonistes de ces actes barbares sont partis avec leurs secrets, ceux qui sont encore vivants doivent être liés par des pactes de silence (je suppose). C’est ce que les Italiens appellent l’omerta.
La seule chose que je peux vous affirmer sans ambages, c’est que je n’ai pas baigné dans la mort de Marien. Je ne baignerai pas non plus dans celle de Sassou si vous décidez de régler son compte. Je l’ai toujours dit ici, vous le ferez sans moi.
Cher Waanko,
Vous dites :
« Mais je persiste et je signe: Sassou est loin d’être fini. »
Je vous le concède car comme le dit Sinouhé l’Egyptien dans le roman éponyme de Mika Waltari : « De demain, nul n’est certain. »
Je n’ai pas de boule de cristal, juste quelques instruments d’analyse loin d’être infaillibles. Et les données en ma possession et disponibles à tout Congolais qui prend le temps de compiler tout ce que l’actualité congolaise nous livre depuis 2014, comprendra que pour une première fois depuis 33 ans de règne, le pouvoir de Sassou est sérieusement menacé de l’intérieur. En bon flic, Sassou n’a jamais laissé courir des rumeurs de coups d’Etat qui le menaceraient. Aujourd’hui, tous les généraux (sans parler de colonels et capitaines) sont susceptibles de lancer un coup d’Etat. Ça fait ‘’un peu beaucoup’’. Il y a forcément un qui réussira comme Marien en 1968 ou comme Sassou en 1979.
Il me semble que nous sommes repartis dans l’ère des coups d’Etat, ère qui s’était curieusement achevée avec l’arrivée de Sassou au pouvoir et qui risque de se relancer avec son départ. Que Dieu épargne notre pauvre pays des affres des coups d’Etat.
Ce n’est qu’une analyse. Wait and see.
je suis en general sidere par l analyse des congolais sur les differents assassinat s du P C T durant le regne du comite militaire du parti0 pour avoir vu qui dirigeait cette chasse a l homme je peux sans me tromper avoir vu le visage de l assassin de mon pere lors d un interrogatoire au ministere de la defense c etait un officier superieur cubain entoure d intrprete cubain au nom congolais comme ibara oui sassou et un agent double dou sa longivite mais reste un fidele des cubains avant tout pour mio seul les cubains pouvaient excuter ces assassinat 0