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APPEL A LA VEILLE STRATÉGIQUE DES RÉSISTANTS CONGOLAIS ! Par David Londi
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Chers compatriotes,
La lecture de cette autopsie peu flatteuse en l’endroit de l’intelligentsia congolaise est une insulte que je ne peux pas laisser traîner sur ce site, sans m’interposer, car mes enfants passent de temps en temps ici, ils lisent et profitent de juger et de se faire une idée de la capacité intellectuelle des congolais à travers le monde à relever les défis socio-économiques de notre pays. Mes enfants savent aussi que de temps en temps leur père intervient sur Congo-liberty, bon bref !
Ce constat acerbe des politiques au Congo ne concerne à mon avis que les politiciens congolais qui sont actuellement actifs dans l’écosystème politique au Congo depuis les indépendances et que l’impact de leur action a une réelle incidence directe dans le quotidien de nos compatriotes.
D’ailleurs les résultats de ses politiciens sont réputés être très négatifs et pathétiques. Je parle aussi ici de certains d’entre eux qui se sont de loin ou de près impliqués dans la gestion du pays de par leur appartenance à un parti politique reconnu du pays.
Personnellement, Je m’en sors un peu désorienté et surtout débutatif de cette lecture.
L’auteur a dit beaucoup de choses vraies, mais il a oublié de pointer le vrai coupable du doigt qui n’est tout autre que cette infime minorité de congolais qui se passent d’être ou bien prétendent de se constituer « en Élites ingénieux avec des capacités irréprochables, disent-ils d’eux-mêmes de la gérance de la chose publique », malheureusement tout est faux dans leur engagement de façade qui se veut pourtant, vouloir servir le peuple. Ces gens pensent le plus souvent de leur temps à chercher un lendemain meilleur pour eux-mêmes. Ce sont des pires égoïstes et hostiles à la notion de solidarité. Ils n’ont aucune conviction idéologique et pire encore, ne connaissent même pas les notions élémentaires d’une doctrine en politique. Ces congolais sont sans-état d’âme et ne viennent pas faire la politique pour aider le pays, ils n’ont pas de conviction idéologique pour honorer la vocation de cette noble science : ils sont insoucieux à chercher et trouver les meilleures solutions pour le bas peuple.
Ces Élites de pacotilles n’hésitent pas à utiliser tous les moyens pour obtenir le butin de leur combat « politique » et n’hésitent pas à utiliser les réflexes identitaires les plus abjectes du genre : tribalisme, népotisme et régionalisme pour accéder et puis conserver le pouvoir. Toutes ces astuces démagogiques ne poursuivent qu’un seul but, c’est celui de faire de la politique pour une vie agréable.
Les politiciens congolais sont à la fois plus dangereux pour l’appareil d’Etat, qui est leur proie de prédilection d’un côté et de l’autre, leurs agissements vis à vis du peuple sans défense à leur charge. Souvent c’est le contraire que nous constatons dès que ces énergumènes sont en charge de la destinée du pays. Le débauchage politique en Afrique et au Congo en particulier est le sévère revers de la médaille de ces aventuriers politiciens.
En rappel : La politique au Congo n’a jamais été une émanation du peuple profond. La philosophie politique a toujours été une histoire accidentelle préfabriquée par des élites en quête d’aventure dans notre pays. Les soi-disant Élites et intellectuels n’ont jamais débattus entre eux en dehors de la politique et la charge des fonctions étatiques.
J’aurai tant souhaité que l’auteur ai eu l’idée d’inviter des congolais épris d ’un amour profond du pays de discuter ensemble entre eux sans un agenda conscrit et espérer que d’une telle rencontre, puisse naître une nouvelle élite politique pour le Congo.
Vive le Congo…
Kassave de Tsibakala
Eh oui cher Londi , Malheureusement déjà 60 ans et 44 ans de tyrannie ngouabi, Yhombi, et surtout le grand criminel sassou avec 35 ans de génocide au pool. Cher Londi certes la France Afrique reste un problème entier , comme souvent l’explique parfait kolélas , Tsaty Mabiala et tous ces corrompus qui accompagnent sassou l’ors des élections pour crédibiliser ce fou furieux à l’extérieur du pays . Cher frère ne baissons pas les bras malgré les défections dans nos rangs dont la dernière le Congolo-Zaïrois Norbert . Comme là dit l’ancien chef des opérations de génocide dans les quartiers sud de Brazzaville Dabira que l’assassinat de Sassou n’est pas une option , mais un impératif . Car il en va de la survie du peuple congolais , qui manques des urgences vitales , qui meurt de soif et de famine .
COMMENT LE FAUX KANI DICTATEUR SASSOU NGUESSO FAIT-IL DISPARAÎTRE CERTAINS CONGOLAIS A MAYA MAYA?
SASSOU NGUESSO = DICTATUEUR = FAUX KANI= AUTORITÉ ANTISOCIALE + AUTORITÉ IMMORALE ET DISSOLUE + AUTORITÉ CRIMINOGÈNE + AUTORITÉ ANTIVALEURS.
La dictature du Congo-Brazzaville du faux Kani Sassou NGUESSO est aux abois. Nous vous informons que ce samedi 12 octobre 2019, un passage congolais en provenance de la France et ressemblant au sosie du résistant Isidore AYA TONGA, a été interpellé et retenu pendant 5 heures à l’aéroport de Brazzaville aussitôt après sa descente d’avion par Ethiopian Airlines. Il a fallu 5 heures d’intense travail d’identification à la police politique du tyran Sassou NGUESSO, pour s’assurer que la personne en question, n’était pas Isidore AYA TONGA. L’on comprend aisément la disparition de certains congolais en prévenance de l’étranger à l’aéroport international de Brazzaville. https://www.youtube.com/watch?v=5K2cja7d2lM&feature=youtu.be
Machiavél aurait fait mieux que Sassou. L’État fort ,symbole de la protection des citoyens et de la paix entre les fils et filles d’un pays .
Ce qui semble être le contraire au Congo…
Machiavél n’a jamais théorisé une science du pillage des deniers publics et une transformation en gazelles meurtries des Congolais après un trucage des élections présidentielles..
Machiavél avait – il fait l’apologie du vol ?
@David Londi.
La lecture de votre article nous place devant un dilemme existentiel..
De deux choses l’une..soit on change la trajectoire du destin de notre pays par un raisonnement rationnel expurgé de toutes idéologies ataviques et redondantes , soit on laisse en l’état la tapisserie coloniale qui orne notre maison Congo et subir les conséquences invivables qui s’y rattachent..
Transformer un pays est un mélange de courage exceptionnel et de travail acharné….
In fine c’est á force de questionnements sur nous-mêmes que nous pourrons briser le cercle vicieux dans lequel se trouve bloqué notre pays..
@Val de Nantes,
à travers cet article, j’attire les l’attention de mes compatriotes sur les enjeux énormes que constituent les problématiques de l’environnement dont le Dictateur se sert pour s’introduire dans des palais qui lui étaient, jusque-là, fermés. L’écologie devient une préoccupation planétaire et le Congo, en tant que deuxième poumon du monde et surtout le réservoir de 30,6 milliards de CO2 enfouis dans les tourbières, est au centre de ces enjeux. Toutes les problématiques politiques et économiques de la planète tournent autour d’un sujet dont les Congolais se préoccupent très peu alors que le dictateur en fait son fonds de commerce. C’est donc un signal d’alarme que je tire. Nous devons produire des travaux qui contredisent les propos du pouvoir qui ment à la communauté internationale qu’il arnaque.
A la fin de mon texte, je fais remarquer que des compatriotes travaillent sur des stratégies de lutte pour désintégrer le système. Ce n’est donc pas un aveu d’impuissance !
Le combat continue !
@Samba,
je ne baisserai jamais les bras mais je me dois d’alerter mes compatriotes quand le dictateur se transforme, tour à tour, en médiateur et en écologiste convaincu. Il endort la communauté internationale en se servant de l’intérêt que revêt l’Ecologie dans le monde et dans les cours des grands de ce monde. Nous ne devons pas négliger l’impact de l’Ecologie dans notre combat contre le système !
@Kassava de Tsibakala,
quand nos générations jettent les yeux sur le rétroviseur que voyons-nous ? Un pays qui a fortement régressé qui est passé de:
de plus de 90% du taux de scolarisation à moins de 80% dans certaines régions;
de l’encadrement social capable de dispenser les soins de base de qualité dans des hôpitaux et des dispensaires bien équipés et des campagnes de vaccination bien organisées à un système de santé à la rue avec des centres de santé qui sont devenus des mouroirs;
des étudiants qui disposaient tous d’une bourse d’études après le bac à la dégradation des conditions de leur vie révoltantes;
des comptes de l’état en équilibre (1969) à un système de vol organisé de plusieurs milliards de dollars (Panama et Paradise Papers);
d’un service de voirie efficace qui passait dans toutes les rues de Brazzaville (5h) à des caniveaux mal entretenus, porteurs de maladies, etc.
N’y a-t-il pas de quoi avoir honte devant les générations futures pour avoir laissé des politiciens comme vous dites détruire le pays à ce point ? Comment pouvons-nous justifier auprès de nos enfants d’avoir laissé faire ?
Nous avons les politiciens que nous méritons, versés dans le clientélisme ethnique et le patronage par affinités ethniques au détriment de la méritocratie pour pourvoir les postes stratégiques, les emplois, etc. Aucun parti politique ne peut exister longtemps s’il n’a pas un minimum de base sociale sur laquelle s’appuyer. En adhérant à des partis ethniques, les congolais font vivre ce système qui a fait régresser ce pays.
Combien d’entre nous mettons l’écologie dans notre message politique alors que les équilibres écologiques sont bouleversés dans ce pays : les zones d’exploitation du pétrole, Kellé, la déforestation, etc. ?
Les politiciens sont responsables mais peuvent-ils avoir des coudées franches si les populations étaient vigilantes et actives. Aucune puissance ne peut arrêter des populations décidées à prendre leur liberté mais pour cela il faut les organiser, les forces d’avant-garde le font-ils ?
ok… D. Londi nous convie seulement à plus de vigilance pour plus d’efficacité dans le combat contre le tyran congolais.
A Brazza, ce qui donne du baume au cœur du système de tyrannie c’est le fait international qu’il semble maîtriser…Souvenons-nous que dans les années 1980, le système avait déjà bien compris le bénéfice qu’on pouvait tirer à s’investir au niveau international: sassou nguesso alors président en exercice de l’OUA, s’était investi fortement dans la lutte contre l’apartheid. le résultat, on le connait. Avec un certain Ikouebe comme conseiller diplomatique spécial, sassou nguesso venait de gagner le grade de general de faiseur de paix. le monde le vit ainsi, reléguant aux oubliettes la situation nationale interne.
Depuis, sassou nguesso a compris que l’essentiel dans l’action politique, c’est de conquérir l’extérieur pour être tranquille à l’intérieur. D’où, on comprend aisément le raisonnement de londi, qui suggère que pour une lutte efficace contre ce président, il faut aller le contrer sur son terrain de prédilection. ET c’est vrai, et bien à propos. Car depuis là, ce type continue à s’occuper et occuper l’extérieur pour mieux tyranniser l’intérieur.
Cher frere mwangou vous avez parfaitement raison. C’est ce que je répète à longueur de temps que la médiatisation est une arme et que nous ne savons pas l’utilise. sassou ne craint pas, ou du maitrise, les conflits intérrieurs. Mais ce qu’il craint le plus et pour lequel le budget est sans limite c’est l’étalage au grand jour de sa dictature infâme.
La communication Congolaise de la diaspora est trop concentrée sur elle même il faut qu’elle s’ouvre à l’internationale.
Le pays bougera lorsqu’il se sentira soutenu et qu’enfin des voix extérieurs non Congolaises se feront entendre pour dénoncer ce système mafieux.
De nos jours, la médiatisation est une arme bien souvent plus efficace que les kalachnikovs.
@Ano et Mon grand @Mwangou ,bon retour.
Notre faiblesse est le manque de relais international .Je me demande ,si Markel Angela connaît exactement où se situe géographiquement le Congo Brazzaville ?
Ine fine ,notre opposition diasporique est néant ,par manque de véritables lobbys extérieurs.
Nous sémons sans récolter .
La diaspora ,d’ici 2021 se doit de trouver des parrains extérieurs qui ne soient pas clientélisés par ce tyran .
Briser cette timocratie dépend de l’organisation d’un ensemble compact et incorruptible .
Chers compatriotes,
@ Cher David Londi,
Avoir un amour sincère pour le Congo et être activiste ne font pas d’un individu, un politicien à ce que je sache. Nous ne devons pas porter le tort là où nous ne sommes pas à la besogne.
Ce café est trop fort mon ami.
Du temps où j’étais très actif avec Djess et CA sur Congopage à défendre le projet sur le fédéralisme, nombreux de nos compatriotes ne croyaient pas que nous étions en droit de remettre en cause le système jacobien, héritage de la colonisation française.
Sincèrement je ne les envie pas aujourd’hui et même mieux, je ne leur tiens pas non plus rigueur.
A cette époque, l’économie Congolaise surfait sur des envolées budgétaires excédentaires à faire pâlir la Côte d’Ivoire d’en tant…. Puisque les congolais n’avaient pas faim, on aurait pu supposer qu’ils disposeraient cette fois-là, un peu de quiétude morale et de confort matériel pour aborder des discussions de grande envergure sur l’avenir de notre peuple, mais non et nenni !
Ces compatriotes nous avaient dits : Niet !
Que ce soient les politiciens, les intellos, les élites de pacotilles qui se masturbent intellectuellement derrière leur clavier, aucun d’entre eux en avait trouvé une nécessité d’y participer, personne ne donnait à ce sujet l’importance qu’il méritait. Le moment était pourtant propice pour des réflexions entre compatriotes, les congolais n’avaient pas de soucis imminent de survie comme aujourd’hui les salaires passaient, Sassou partageait même l’argent aux villageois espagnols etc… Ils (ces pseudo-intellos congolais) pouvaient très bien s’attaquer à ce sujet sans essuyer des calomnies diffamatoires et saupoudrées des éternelles détracteurs des innovateurs.
Bref, entre temps assez d’eau à couler sous les ponts… certains de ces paresseux intellectuels ont cru avoir vaincu à jamais le spectre du Fédéralisme et se frottaient déjà les mains.
Du coup, leur surprise a dû sûrement être grande, lorsqu’au moment où ils ne s’y attendaient même plus, qu’un autre compatriote au nom de David Londi, vienne ici sur les réseaux sociaux et relancer les débats sur le fédéralisme.
Le débat sur le fédéralisme est un sujet qui me tient tellement à Cœur, que depuis sa réapparition sur les sites congolais, je n’ai plus osé donner un seul avis là-dessus…. Ce sujet est un bel exemple sur le gâchis perpétré par l’intelligentsia congolaise.
Ma grille de lecture, sur « les congolais qui sont partis à l’école » est désormais nette et claire. Et elle me permet de soutenir ma thèse, qui dit : le Congo est un pays orphelin de ses intellectuels et non une victime de ses politichiens.
Les intellectuels doivent préparer le nid dans lequel viendra un jour résider la démocratie, elle sera à son tour animée par les vraies politiques dignes de ce nom.
C’est un des sujets très essentiels sur la gestion de la nation congolaise et un tel sujet sensible ne peut pas être jeté en pâtures dans un public congolais encore immature. Les « amoureux du Congo » pour ne pas dire les Elites ou les intellectuels du pays doivent s’en approprier. C’est un sujet, qui ne doit pas être galvaudé chez les non – initiés de la gestion de la cité.
Ceci est un concret sujet, qui devrait être discuté dans un milieu serein entre des gens sérieux, mais qui doivent avoir avant tout l’amour du pays…
Je pouvais en étaler bien d’autres, mais hélas !!!!!
Mon seul souhait : que les intellos congolais puissent se retrouver pour rechercher des pistes et des moyens afin d’aider le peuple profond…. C’est bien cela, le devoir des avangardistes, nous sommes allés à l’école et c’est désormais notre devoir de laisser le peuple jouir du fruit de nos différentes connaissances dans une collective intelligence
Vive le Congo !
Kassava de Tsibakala
Cher Kassava de Tsibakala,
je comprends la réaction indignée que tu as eue au premier abord. Il y a des situations que l’on ne peut porter quand des individus ont fait avorter le projet d’une nation qui est restée au stade d’une promesse non tenue. Telle est la réalité et c’est pour cela que le projet fédéraliste est l’une des solutions que nous devons mettre en place.
Je suis content d’apprendre que tu portes le même projet que nous, non pas pour diviser mais pour fédérer toutes les énergies débordantes de ce pays. Il faut se tourner vers les pays comme l’Ethiopie qui a mis en avant le fédéralisme pour sortir des centaines d’années de drames interéthniques et qui vient de donner à l’Afrique un Nobel de la paix en la personne de son premier ministre. Tous les espoirs sont permis. N’étant pas sûr que tous les présidents qui seront élus, même démocratiquement, seront des vrais démocrates je préfère m’orienter vers un système dans lequel la compétition à l’élection présidentielle au suffrage universel direct sera purement et simplement supprimée. Elle est la mère de tous les conflits. Nous sommes désormais nombreux à défendre l’option du fédéralisme, nous mettrons tout en oeuvre pour le faire valider par nos compatriotes, le moment venu.
Pour l’instant, nous avons une bataille à livrer pour désintégrer le système, utilisons tous les outils à notre disposition pour le faire. Le dictateur est un caméléon que nous devons pister pour lui apporter la contradiction à la face du monde. Il met l’écologie dans sa stratégie, portons lui la contradiction sur terrain. Ne lui laissons pas le choix des armes, nous avons des expertises que nous devons mettre en valeur pour s’adresser à la communauté internationale qu’il instrumentalise.
Merci, cher Kassava de Tsibakala !
Je crois qu’il faut mettre des œillères aux Congolais mon cher Londi pour qu’ils comprennent que la situation du Congo est plus grave qu’on ne peut même l’imaginer. Dans ce pays où la mort se côtoie au quotidien, les enfants naissent sans acte de naissance et meurent dans l’anonymat, les corps traînent des mois avant d’être enterrés, les magasins se ferment régulièrement faute d’acheteurs, le chômage est la règle de vie sauf à rentrer dans l’armée ou la police, les Congolais sans oser parler de leur peur, écrivent et parlent sans jamais se faire entendre par celui qui a juré que le Congo ne peut exister qu’avec lui, après lui ça doit être le déluge. Il doit exterminer la population congolaise autant qu’il peut.
Dans le cas actuel du Congo, il n’y a que la résistance, le courage , la détermination pour chasser Sassou nguessou Denis, psychopathe, sociopathe du pays qu’il détruit chaque jour. Rejoindre votre groupe pour organiser la résistance doit être une obligation que chaque citoyen conscient de la situation oh combien catastrophique doit se faire. L’heure n’est ni au tribalisme, ni à l’égocentrisme, ni à l’assistanat mais à l’action. La peur nous condamne à la mort alors que la lutte nous libère. Monsieur Londi, ouvre une page d’inscription pour les résistants , combattants de la liberté qui veulent vous rejoindre pour la plus noble cause.
@F.Ge,
oui, la situation est dramatique et ceci ne doit pas laisser les uns et les autres indifférents. Nous devons nous affranchir des contradictions du passé organisées et orchestrées par des hommes sans foi ni loi. Comme l’on peut s’y attendre, l’humain n’est pas la priorité d’une dictature. La description émouvante que tu fais de la situation socio-économique devrait tirer des larmes à chaque congolais et se mettre résolument au combat contre ce système qui persécute, affame et tue. La « Révolution du Fleuve » doit avoir lieu et elle aura lieu parce qu’elle ne dépend que de la volonté des uns et des autres qui seront décidés à désintégrer la dictature. Comment peut-on se dire congolais et fermer les yeux devant l’ampleur du drame qui envahit les populations congolaises. Oui, cher frère, l’initiative a été prise de s’organiser, d’organiser les populations sur l’ensemble des 12 départements pour submerger cette dictature du nord au sud, c’est pour cela que nous avons donné le nom de code « Révolution du Fleuve » pour symboliser une vague qui doit déferler sur ce régime. J’appelle toutes celles et tous ceux qui souhaitent à nous rejoindre : notre stratégie est simple: créer des synergies entre les diasporas partout dans le monde et les résistants locaux pour co-organiser et co-piloter des stratégies pour désintégrer le système. Je me suis toujours tenu loin des organisations politiques pour des raisons diverses mais le moment est venu de nous impliquer tous dans cette lutte qui s’annonce hardie, longue et difficile. C’est un devoir. Ce n’est ni une association ni un nème parti politique mais une plateforme accueillant tous les résistants concernés par la libération du pays d’une dictature féroce. Je laisse mes coordonnées pour celles et ceux qui veulent nous rejoindre : [email protected]
Les Burkina bè, les Tunisiens, les Algériens et les Soudanais l’ont fait. Pourquoi pas les Congolais ? Nous avons toutes les technologies pour provoquer cette unicité d’action. Agissons parce que l’on ne peut mobiliser que des populations que l’on a organisées !!!
Merci F.Ge