CROIX DE FER, CROIX DE BOIS
Il y a une polyphonie sur le sujet de la cession des terres du Congo-Brazzaville au Rwanda. Sur RFI le 15 avril 2022, Christophe Boisbouvier a interpelé le Premier Ministre Anatole Collinet Makosso : « A la suite de la visite à Brazzaville de Paul Kagamé dans votre pays, 12 000 hectares de terre arable vont être cédés pour 25 ans à des fermiers rwandais, cela ne risque pas de léser les fermiers congolais ? »
Anatole Collinet Makosso a répondu, la voix gorgée de mépris, d’arrogance et de suffisance : « Il ne s’agit pas de céder des terres aux rwandais, il s’agit de créer en terre congolaise, une société de droit congolais qui va s’engager dans le travail agricole. Donc, lorsqu’il s’agit de créer des emplois pour accélérer la politique agricole, nous n’avons pas avoir des inquiétudes pour cela ». Le Premier Ministre du Congo-Brazzaville est sur une ligne de crête. Denis Sassou Nguesso et Chrystel Sassou font une chose, le natif du Kouilou dit autre chose. Anatole Collinet Makosso est catégorique. Pas de cession des terres arables. Ce qui contredit la version officielle.
La cession des terres arables du Congo-Brazzaville au Rwanda aura-t-elle lieu ? Le communiqué officiel publié à l’issue de la visite de Paul Kagamé relayé par de nombreux articles de presse est on ne peut plus clair. Les déclarations d’Anatole Collinet Makosso créent la confusion. Le trouble gagne les esprits.
CESSION
La République du Congo va céder 12 000 hectares de terres arables à l’Etat rwandais dans trois départements du pays. Ces terres seront utilisées pour le développement des activités agricoles, notamment dans la culture du ricin. Cette annonce a été faite lors de la visite du président Paul KAGAME en terre congolaise du 11 au 13 avril 2022. Notons que huit accords de partenariat, convention et mémorandum d’entente dans divers domaines ont été conclus en signe de réchauffement des relations bilatérales entre la République du Congo et le Rwanda (Africa24, 15 avril 2022). Le holding financier du Ewanda Crystal Venture s’est engagé à investir 110 milliards de francs CFA dans la zone industrielle de Maloukou.
SUBSISTANCE
Selon Antoine Bienaimé Obam-Ondon, l’agriculture congolaise est demeurée depuis des décennies, une agriculture de subsistance pratiquée par des petits producteurs et caractérisée par un faible niveau de développement des systèmes de production. « A ce stade, la contribution de l’agriculture congolaise au PIB est passée de 30% dans les années 60 à 10% à la fin de la décennie 90 et à 3,5% en 2016 », avait-il expliqué (Les dépêches de Brazzaville, 1er mai 2021).
SLOGANS
La politique agricole du Congo-Brazzaville qui depuis les années 80, se hâte lentement vers ses objectifs (l’autosuffisance alimentaire, une école un champ, agriculture priorité des priorités), épouse les pics et les ressacs d’une agriculture en dents de scie. Les populations du Congo-Brazzaville sont-elles incapables de pratiquer les activités agricoles ? Manque-t-il des capitaux au Congo-Brazzaville pour financer l’agriculture ? 114 milliards de francs CFA alloués à l’agriculture se sont volatilisés à l’époque de Rigobert Maboundou. Henri Djombo a quitté le ministère de l’agriculture, la queue entre les pattes, en laissant derrière lui un champ de ruines (Cf L’envolée des prix agricoles). François Xavier Katali, Justin Lékoundzou, Marius Mouambenga et Jeanne Dambendzet ont roulé leurs bosses au Ministère de l’agriculture. Personne n’a le souvenir de leurs prouesses. Où est passé le fonds d’investissement du Congo-Brazzaville créé à l’époque où coulait le lait et le miel ? Pourquoi les activités agricoles dans les diverses localités du pays ne reçoivent-elles pas des financements du fonds d’investissement du Congo-Brazzaville ?
ANATOLE, LE TOLLE
Pourquoi Anatole Collinet Makosso nie-t-il l’évidence ? Pourquoi adopte-t-il le double langage ? Pourquoi veut-il travestir la vérité ? S’agit-il du rétropédalage du gouvernement du Congo-Brazzaville face au tollé général ? Anatole Collinet Makosso peut-il aller à l’encontre de la volonté affichée de Sassou Nguesso et Chrystel Sassou d’avoir à portée de main des hommes venus du Rwanda ? Le Premier Ministre Anatole Collinet Makosso va-t-il se mettre à dos Denis Sassou Nguesso et Chrystel Sassou ? Anatole Collinet Makosso aurait-il changé de bord ? Est-ce le commencement des douleurs pour Anatole Collinet Makosso ?
Alors que, Premier Ministre du Congo-Brazzaville, il se prend les pieds dans les terres arables, Anatole Collinet Makosso a toutes les peines du monde à justifier et minimiser une mesure prise à Oyo par Sassou Nguesso et Chrystel Sassou : la cession de 12 000 hectares de terres arables au Rwanda (soit 120 km2, trois fois la superficie de Pointe-Noire). Tout en faisant preuve de fermeté et de détermination, sur RFI le 15 avril 2022, pour Anatole Collinet Makosso, l’enjeu était de montrer que le sujet de la cession des terres arables, est à la fois simple et complexe. Un oxymore.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Makosso a kossi . Il a bien lu ce contrat de cession et il en sait davantage…
La transparence aurait voulu que le gouvernement dont il assure charge, prenne l’initiative de porter son contrat à la connaissance de tous…
Une pédagogie y relative doit être entamée pour éclairer la lanterne congolaise.Et surtout, nous préciser l’aspect financier qui en découle.
Il y aura t’il un jour le sursaut du peuple pour mettre terme à cette descente aux enfers?
La question paraît être bête mais le réveil risque d’être dur pour ce peuple qui semble avoir refusé de se battre pour ses intérêts et sa survie.La vie nous le dira.
SASSOU ENTRE SORCELLERIE, MAFIA, VOLE, GRAND BANDITISME, CRIMINALITÉ ET HAUTE TRAHISON, DÉGAGE
OYO ANCIEN VILLAGE DE PÊCHEUR, DEVENU NID DOUILLET DE LA NOMENKLATURE DE SASSOU AVEC DES FONDS VOLÉS https://www.youtube.com/watch?v=TzpnQRYQVlw
Makosso a kossi. Oui. En effet, il ment. Ce qui n’est pas un scoop. Le mensonge, le faux et usage de faux est un principe de vérité. Comme celui de présenter les intérêts particuliers des oligarques du PCT et consorts comme relevant de l’intérêt général. Il en est ainsi depuis 1970. Usant. Fatigant. Plus qu’agaçant.
Des gens ordinaires qui, du haut de leur superbe actuelle et relative de simples mortels, ne sont que des « pantins », sans mémoire ni volonté et incapables d’allier mémoire et jugement.
Incapacité à penser notre historicité collective, dans des frontières, coloniales certes, mais désormais identifiées comme fait historique, de nature. Incapacité à penser que nos terres relèvent en droit et en culture de notre identité propre. Et qu’à ce titre, elles sont inaliénables. D’autant plus qu’elles sont adossées au droit coutumier, antérieur à la République des fonctionnaires et au droit napoléonien, bonapartiste, et à ses variantes. Cette République n’a jamais fait des travaux de repérage, d’identification et de distinction entre les terres privées et les terres du domaine public. Ce qui revient à dire que les terres au Congo appartiennent à des familles, à des particuliers, au titre du droit foncier coutumier. De fait, celui-ci fait autorité. Il s’impose à chacun de nous. Sauf à en modifier les termes par la force et/ou par l’argent.
Terres vendues et livrées aux Chinois, aux Sud-Africains, aux Rwandais Hutus, aux Rwandais Tutsi -aujourd’hui-, et aux Marocains dans les jours prochains.
Nous n’oublions pas les expropriations forcées, éhontées, d’une dizaine de familles de leurs terres à Pointe-Noire au profit des Chinois.
Il me souvient qu’ on ne pouvait pas occuper un terrain à M’Pila ou à N’Kombo, sans l’accord de la famille « téké », propriétaire de fait et en droit du terrain convoité.
Le défaut de jugement, caractéristique majeure du bonapartisme, fait de l’arbitraire une vertu. Pourtant, un vecteur puissant du mal et du mal vivre, du sentiment de déclassement vis-à-vis des étrangers, du sentiment nauséabond que nous ne sommes plus chez nous, qu’on n’est plus chez soi. Dépossession des terres. Dépossession culturelle. Inévitable grand remplacement.
Sans être grand clerc, le contrat de libre circulation des hommes et des marchandises signé par un homme seul, avec le Rwanda, le contrat de marchandisation des réfugiés et des demandeurs d’asile passé entre la Grande-Bretagne et le Rwanda et la réalisation prévue du pont routier et ferroviaire entre Kinshasa et Brazzaville, laissent redouter une arrivée massive d’étrangers chez nous, à commencer par ces Rwandais à qui le PCT aura livré plus de 12 mille ha de nos terres, soit, une part conséquente de nous-mêmes, de notre âme.
Au regard du caractère dégénéré de l’Etat congolais aujourd’hui, à commencer par son armée, tout est envisageable: un expansionnisme territorial endogène des Rwandais, la résurgence du conflit d’hier entre Hutus et Tutsi, un renversement de l’ordre institutionnel, etc. Tout ceci n’est pas une simple vue de l’esprit.
Le PCT et tous ces allogènes qui le constituent nous auront trahi. Perdu. Nos cultures. Notre âme. La force de notre ressentiment en est la mesure. Alors, ne voulant écouter ni la voix de Dieu, ni la voix de la Raison-la soumission à l’examen de tout le mal que vous avez fait-, le temps des cloches pour la moisson va résonner. Désormais. Avec ou sans Socrate.
Grosse validation mon frérot@ Paulo..En espérant que ces énergumènes PCTistes ,simbas sacs de Kiki aient pris connaissance de ta réflexion sur ce qui apparaît comme un abandon du Congo aux mains des étrangers…
Avec Socrate ,ce serait un supplice pour ces ignorants ..
Anatole Makosso , ce grand crétin , un garçon est absolument effrayant d’un cynisme et d’une malveillance satanique ! Il croit être convainquant avec des idées fausses , alors que le journaliste Français est au courant de la banqueroute qui vit notre pays et lui se satisfait de 36 mois d’arriérés de nos retraités , ce garçon est un négationniste sur les crimes sanglant de Sassou Dénis .La psychiatrie lourde s’impose a ce garçon .
Le Congo ,s’il était bien gouverné, aurait dû vendre du blé, de l’huile tournesol ,etc sur le marché mondial.
Au lieu de ça ,on nous endort sur des broutilles politiques au premier rang desquelles,la fonction présidentielle.Incapable d’adopter des stratégies de gouvernance crédible visant à inscrire sur le long terme , afin de parer toute éventuelle crise alimentaire pouvant impacter la vie de la nation…
Le Congo voyage de mensonge en mensonge sans trouver son point de chute économique.
Pourquoi devons – nous nous ressembler aux gabonais, tchadiens , Rdcéens dans cette attitude de paresse économique ?.
Si autrui tient à se suicider , pourquoi devons nous en faire autant ?
Il est nettement idiot de singer autrui , car dans la vision mondialiste de l’économie, c’est à celui qui fait preuve de réalisme économique qui remporte la timbale financière…
Nous pouvons affirmer,sans risque de nous tromper que,ces pays africains, détenant des terres arables ,sont dirigés par des incompétents criminels.
Comment expliquent -ils cette absence des cultures alimentaires stratégiques sur leur sol , sachant que ces terres arables peuvent en produire ?.
Cette crise alimentaire a sévèrement montré l’imposture des Présidents africains et leur inutilité à la tête de ces pays…
Aux congolais de revoir leur logiciel de gouvernance politique et économique.Cette crise alimentaire devrait servir d’avertissement à notre douce ignorance…
Le plus grand châtiment pour l’homme de bien ,s’il refuse de gouverner les autres ,c’est d’être gouverné par un plus méchant que soi .DIXIT PLATON .
Nous y sommes .
Ce penseur fut aussi chassé par un certain DENYS de syraccuse ,lequel ne voulait pas entendre parler des idées éternelles dont pouvait se saisir un être raisonnable pour gérer une cité IDÉALE.
Ce DENYS , un ancêtre de celui que vous connaissez ,le chassa de syraccuse ,car la dictature n’a ni morale et donc ni d’éthique …
D’aucuns auraient dit que le CONGO avait existé au moyen âge , à travers ce mythe , tant la ressemblance est frappante …à commencer par ce patronyme de DENYS .
Nous avons des terres à revendre ,mais nous sommes incapables d’y produire du blé , soja , tournesol , etc ,c’est un argument raisonnable tiré de la vérité de raison qui disqualifie aux yeux des congolais et surtout par leur entendement la fonction présidentielle au CONGO BRAZZAVILLE dont nous souhaitons la mort après SASSOU .
C’est l’intelligence qui doit servir de référence à l’exercice des fonctions suprêmes . L’intelligence au sens de PLATON , ce sont des Idées parfaites et immuables . Le surgissement du fédéralisme au CONGO en est une parfaite idée .
Ceux qui en sont porteurs se sont élevés de la bêtise nationale ingurgitée par le CONGO depuis la fausse sortie de la caverne coloniale .
« Le CONGO doit sortir de l’âge de minorité »: nous tance KANT .EN CONSÉQUENCE DE QUOI , tout est à repenser .Car le pensé institutionnel de notre pensée nous a ridiculisés devant le manque du blé et autres ,sachant que nous disposons ,à foison des terres arables .IMPARDONNABLE .
Le blé vient de sonner le glas de 40 ans de règne de distraction politique de SASSOU .Et qu’il en tire les conséquences politiques .
Par ici ,la sortie SVP .
Sassou Nguesso est un leader , un chef d’état bidon et sa clique l’est aussi. Si ceci est connu des Congolais avertis la carence est de plus en plus connu du monde entier. Avec un son accord accord de céder des hectares de terres arables à Kagamé, aux Ruandais, le président général autro proclamé Sassou Nguesso, son flis et toute sa clique viennent de démontrer au reste du monde leur amateurisme, leur sotisse. Le Congo est gouverné par des abrutis . Comment peut etre si inconscients jusqu’a ce point?Sans blague. Peuple Congolais. Il font se mobiliser par tous les moyens de rendre non avenue cet accord qui vous rendra de plus en plus esclavages dans votre propre pays par des gens venus d’ailleurs.
Ce couillonné Makosso se prend pour un premier Ministre indépendant, alors que tout se décide ailleurs et notamment dans le cabinet de Kiki.
C’est un vendeur du vent .Il n’a aucune prise sur les décisions publiques dont les grandes lignes lui sont dictées par le duo Kiki et Sassou…
Pendant que les agriculteurs allemands et français sont entrain de remplacer leurs cultures de maïs et autres par la culture du blé,on est en droit de se demander si le Congo a commencé à cultiver le blé sur le territoire congolais…
Pourquoi ?
En effet, cette guerre prendra du temps,et l’Ukraine ne sera prête pour longtemps à nourrir le monde. D’où cette interpellation à l’égard de ce régime sur cette crise alimentaire dont beaucoup de pays essaient de tirer des colossaux profits.
La rareté d’un produit est synonyme de surenchère sur le marché et donc la possibilité de dégager des supers profits …
Au regard de la limite de leur imagination politique, il est louable que le Congo se drape d’une nouvelle chapelle institutionnelle….
Alors ,où en sommes nous de cette histoire du blé au CONGO , on a débuté la culture ou pas ?
Les congolais veulent en savoir davantage sur le réalisme politique au sujet de cette question alimentaire devenue planétaire et virale .
Les terres arables et l’argent du pétrole sont disponibles pour entamer ces cultures stratégiques qui deviennent cruciales dans la sécurité alimentaire .
Alors MAKOSSO , ON DIT QUOI
ATTEND -ON ENCORE KAGAME pour un autre coup de fouet agricole ?
Mais lancez -vous dans cette course effrénée à faire du business agricole ,histoire d’oublier un petit l’odeur de l’or noir .
Dites -nous ,vous en êtes déjà à combien d’hectares cultivés concernant le blé ?
Montrez- nous que vous avez les c » » » pour diriger ce beau pays que vous avez réduit à un puits de pétrole .
MAKOSSO , montrez -nous les images des tracteurs remblayant les terres arables pour y produire ce fameux blé .
Le blé , c’est maintenant .
Dites nous ,qu’est ce qui vous manque ?
En 1an et demi , ON PEUT PRODUIRE DU BLÉ et en vendre sur le marché mondial .
Qu’est ce qui ne va , MAKOSSO ?
Tout le CONGO est suspendu à vos supposées compétences intellectuelles pour lui apporter un démenti sur votre incapacité mimétique à diriger ce pays .
Prouvez -nous que vous n’êtes pas des aventuriers installés au pouvoir par les armes ?
MAKOSSO , montrez- nous les images de la chose , autrement dit , un tracteur sur une terre vierge attendant la culture du blé ?
BONGO YA PETROLE EZALI , TOTO EZALI . TOKONA BLÉ ..
Votre ennemi congolais est devenu le blé ,par conséquent ,libérez MOKOKO et OKOMI .
La petite escapade américaine est dérisoire , mais le blé ,c’est le souverain bien ou en latin « summum bonum « .aaah OUI .
L’ accord pour céder des hectares de terres arables à Kagamé, aux Ruandais relève de fixion ou de la vérité?
Voici un nouveau scandale .“Le problème qui se pose aujourd’hui c’est que le système genocidaire ,mafieux de Sassou Nguesso, n’est pas suffisamment remis en cause”,
En quelle vertue, Sassou Nguesso l’enfant des parents venus d’ailleurs et président auto proclamé de la république du Congo peut’ il se permettre de céder 12 000 hectares de terres arables à l’Etat rwandais dans trois départements du pays du Congo?
Premièrement, il faut le souligner comme l’ a déjà fait Paul Jean-Ernest OTTOUBA-KASSANGOYE que „les terres au Congo appartiennent à des familles, à des particuliers, au titre du droit foncier coutumier „. Ce que fait encore Sassou Nguesso qui ne cesse de violer la constitution est illégal est une haute trahison.
Cet accord signé avec Kagamé, les Ruandais par le fils plcé illégitimement comme vice président par Sassou Nguesso président illégitime , auto proclamé de la république du Congo n’est pas du du tout légitime. Il faut qu’ on soit sincère là dessus.cet accord est du faux et l’usage de faux. Le peuple Congolais doit de toutes les forces se mobiliser par tous les moyens devant cet escroquerie manifeste.