Cette réflexion est une modeste contribution à l’épineux débat qui s’instaure dans notre pays dans la perspective de 2016. Elle n’a ni la prétention d’apporter la solution optimale au complexe défi que doit affronter notre société ni l’illusion de convertir des loups en agneaux. Elle vise un seul but : une alternance démocratique, pacifique et apaisée en 2016.
Chaque fois que le Congo s’est trouvé à la croisée des chemins, comme en 1963, en 1968, en 1977, 1979, 1991-1992, en 1997 et probablement en 2016, deux camps extrémistes se sont souvent imposés au reste de la nation, confisquant le débat politique et se livrant à une lutte à mort. D’un côté les tenants du pouvoir, s’y accrochant par tous les moyens ; de l’autre les aspirants au pouvoir, n’hésitant pas un seul instant à sacrifier des vies humaines pour assouvir leur dessein.
Cette réflexion aspire à éveiller la conscience de la majorité silencieuse souvent obligée de subir les conséquences de la bataille des éléphants. Que ceux qui ont envie de s’entretuer pour le pouvoir se mettent sur un champ de bataille comme le faisaient les chevaliers du Moyen Âge. Qu’ils se livrent à de vrais duels avec arbitres et pistolets dans les règles de l’art moyenâgeux. Personne n’y trouverait à redire. Malheureusement, la lâcheté des uns et des autres est telle qu’ils préfèrent se battre par populations interposées, n’hésitant pas à mettre en première ligne une jeunesse prête à servir de chair à canon et à détruire sans vergogne le fruit du travail des pauvres citoyens, contraints à l’éternel recommencement. Ironie du sort, les uns et les autres, conscients de la violence des guerres à venir, prennent en général le soin de mettre leurs proches et leurs biens à l’abri bien avant de déclencher les hostilités. Les officines doivent probablement déjà tourner à plein régime aujourd’hui dans le but de nous préparer des holocaustes dont le sang et les larmes viendront des autres.
Cette réflexion s’adresse avant tout à cette majorité, fatiguée de subir stoïquement la bêtise collective. Elle seule, peut prendre son destin en mains et imposer à l’ensemble de la nation une solution consensuelle. Elle seule, peut faire taire les égoïsmes des jusqu’au-boutistes. Elle seule, peut empêcher le changement de la constitution tout en préparant les conditions d’une retraite paisible au président en exercice et son entourage. En un mot, elle seule peut créer les conditions d’une alternance démocratique et apaisée.
On nous accusera certainement d’utopie. Que n’avons-nous entendu sous le ciel congolais : « Un homme arrivé au pouvoir par les armes, ne pourra en partir que chassé par les armes. Qui tue par l’épée, mourra par l’épée». Nous osons croire qu’il n’y pas de fatalité en ce bas monde et que le bien peut venir à bout du mal, la détermination peut vaincre l’obstination. Nous préférons assumer cette utopie que de voir notre beau pays renouer avec ses démons destructeurs.
La lecture de cette réflexion ne nous fera pas que des amis, loin de là. Nous aurions pu alors nous taire, mais nous ne le ferons pas. Ce que nous avons à dire n’a de valeur qu’aujourd’hui. Demain, il sera peut-être trop tard. Il est même peut-être déjà trop tard aujourd’hui car l’histoire avance à pas de géants et notre élite peut briller par une obstination suicidaire.
TÉLÉCHARGER – Congo Brazza : 2016 Le piège constitutionnel Apaisement ou déchirement
Dr Pascal MALANDA » congoalternance2016@gmail.com «
Je n’ai pas encore lu la totalité de la réflexion.Mais les quelques pages que je viens de parcourir me rassurent sur la pertinence de cette contribution.L’auteur pourrait entrer en contact avec Roger YENGA dont le livre sur le changement de Constitution va paraître en janvier 2015
Monsieur Malanda arrêter avec des réflexions hypocrites a « la Benoit moundele Ngolo », comment accepter de donner une retraite paisible au président et son entourage, alors que le droit général exige, qu’une personne reconnu coupable des actes contraires a la loi réponde de ces faits devant la justice. Par conséquent Monsieur Sassou et sa cohorte de plaisantins devront s’expliquer devant la justice congolaise des crimes économiques et humains perpétrés pendant l’exercice de leurs règne.
Si tu ne veux pas leur donner de retraite paisible, ils t’empêcheront de gouverner … à son âge il peut mourir.
Voici un autre ancien de l »Ujsc-Pct formé à l’EST chez Poutine,qui veut trouver des circonstances atténuantes au plus grand criminel du Congo,le sinitrissime Sassou.Pas étonnant,Mr Malanda est un compagnon de Tsati-Mabiala;bon bembé comme son frère animateur de ce site qui accompagnent Sassou et ses sbires.Collabo connu,l’auteur de ce petit texte ne pas nous divertir.Les intégristes Laris comme Bembés qui jouent aux faux opposants sont tous repérés.Cessez de croire que vous passez inaperçus;vous serez rattrapez au même titre que Sassou,ses sbires pour rendre compte de vos turpitudes.L’oeil du peuple vous suit.
@ Kongo d’origine,
Lorsqu’on a la lâcheté d’injurier un congolais qui a le courage d’exposer sont point de vue à visage découvert, il faut au moins mettre votre vrai nom et ne pas le faire sous l’anonymat de la cagoule ou d’un pitoyable intégriste vétu d’une burqat ! Soyez un peu plus courageux mon garçon s’il vous plaît.
Point n’est lieu de se rabaisser à votre niveau de haine car vous n’avez pas le monopole du Congo. Dans ce débat intellectuel, vous nous opposez la bassesse de votre esprit de petit tribaliste. Est-ce un péché que d’être Béembé, vili, lari, Téké, Mbochi, Makoua ??? Pour chassez le dictateur, nous n’avons pas besoin de couilles molles comme vous qui se cachent derrière un clavier d’ordinateur.
Notre site se veut un espace de débat contradictoire et intellectuel. Honte à vous, allez exprimer votre aigreur ailleurs que sur congo-liberty,chez les alcooliques anonymes par exemple !
Monsieur Kongo d’origine, Vous oubliez que les Bembé sont des Kongo. Ce monsieur ne connait absolument pas les ethnies du Congo ensuite il se dit opposant !!!!!! bon, il faut faire avec l’essentiel que sassou parte du pouvoir le reste les intellos auront le pain sur la planche.
Avec le départ de SASSOU, il ne faut pas se leurrer sur le risque que constitue l’INSTITUTIONALISATION CRISOGENE DE L’ALTERNANCE qu’il va surement se complaire à alimenter plus ou moins s’il est en vie.
Les vrais patriotes doivent soutenir que la deuxième victoire sur SASSOU en plus de son départ sera celle de lui montrer qu’il n’était pas indispensable au semblant de stabilité que connait le CONGO.
Ce risque est à maitriser avec les INSTITUTIONS FORTES, mais aussi au bannissement de ceux qui appellent au tribalisme haineux et à la Division.
M. LE WEBMASTER, JE VOUS ENCOURAGE POUR CET ESPACE DE LIBRE EXPRESSION D’UNE VALEUR INESTIMABLE POUR L’AVENIR DU CONGO…
COURAGE ET CONTINUEZ.
Mr Kongo d’origine
On répond aux imbéciles par le silence. Si je remets les pendules à l’heure, c’est par respect pour les lecteurs de ce site.
Vous dites :
« »Voici un autre ancien de l »Ujsc-Pct formé à l’EST chez Poutine… »
J’ai fait mes classes politiques à l’UGEEC-URSS et je n’ai jamais milité à l’UJSC et encore moins au PCT. De grâce, arrêtez de répandre des inepties. Votre méconnaissance patente de l’histoire est telle que me situez dans la Russie de Poutine alors que j’ai quitté l’URSS en 1989. Votre intégrisme est tel que tout ce qui vient de l’Est est pour vous médiocre. Pas étonnant que pour votre Congo, tout ce qui vient du Nord est forcément maudit.
Vous dites :
« …qui veut trouver des circonstances atténuantes au plus grand criminel du Congo,le sinitrissime Sassou… »
La notion de ‘circonstances atténuantes ‘ est juridique et applicable à tout homme, même le plus criminel. A Nuremberg, les nazis jugés avaient droit à un avocat. Tel que je vous lis, si demain vous attrapez Sassou, il n’aura même pas droit à un procès. Vous l’abattrez comme un chien. Quelle est la différence entre vous et ceux qui ont organisé les liquidation « au petit matin » ? Vous parlez de droit et de la constitution, demain vous marcherez dessus comme un vil parchemin. Vous êtes au fond les vrais fossoyeurs de la république.
Vous dites :
« Pas étonnant,Mr Malanda est un compagnon de Tsati-Mabiala… »
Vous semblez bien me connaître en faisant allusion à mes relations avec Tsati-Mabiala. Sans être membre de l’U.PA.DS, je rentre chez Tsati-Mabiala quand je veux et quand il peut me recevoir. A votre différence, il est sur le terrain et se bat avec les moyens dont il dispose. Il est aujourd’hui à la tête d’un grand parti que vous avez aidé à affaiblir. Et vous savez le fond de vos motivations.
Vous avez oublié de mentionner mes rapports avec le MCDDI de Parfait Kolélas, le RDPS et le RDD. N’oubliez pas non plus dans vos invectives, mes contacts avec la CADD de Kosaloba et le tout nouveau CAP d’Itadi. Je suis un passeur d’idées et mon rêve c’est un Congo pacifié, prospère et affranchi de votre intégrisme.
Vous dites :
« bon bembé comme son frère animateur de ce site qui accompagnent Sassou et ses sbires. »
Décidément, vous êtes bien renseigné! J’ai le courage de mes opinions et de mes origines. Vous vous dites Kongo alors je vous aiderai en vous apprenant mes racines Sundi. Nous avons la fierté d’être remontés à nos sources. Dans l’ancien Royaume Kongo, les bembés descendent de la province de Sundi. Revisitez l’histoire et instruisez-vous, ça n’a jamais fait du mal à personne. Bien au contraire.
Si j’ai rencontré Sassou, je ne l’ai jamais accompagné et encore moins servi, malgré les occasions qui n’ont pas manqué. En 2016, l’homme aura dirigé le Congo pendant 32 ans. Est-ce un hasard ? Non, il connaît la mesquinerie du Congolais dont vous êtes un spécimen vivant. Il sait la haine que vous portez les uns aux autres et il sait comment vous maîtriser.
Vous dites :
« Collabo connu,l’auteur de ce petit texte ne pas nous divertir. »
Je n’ai pas bien compris la phrase. Soit !
Si mon petit texte vous provoque de l’urticaire, qu’en sera-t-il lorsque nous passerons aux choses sérieuses ? :-))
Si mon texte vous dérange, zappez-le, je ne m’en porterai que mieux.
Vous dites :
« Les intégristes Laris comme Bembés qui jouent aux faux opposants sont tous repérés. Cessez de croire que vous passez inaperçus;vous serez rattrapez au même titre que Sassou,ses sbires pour rendre compte de vos turpitudes. »
Et vous, vous êtes intégriste de quelle tribu ?
Inaperçu ? Mais qui se cache derrière son clavier ?
Nous avons osé assumer un point de vue à visage découvert. Présentez vos opinions et débattons sereinement. Que le meilleur gagne, c’est ça la démocratie que vous semblez ignorer.
Pourquoi voulez-vous que je sois comptable des actes de Sassou ? Il est suffisamment grand pour répondre de ses actes, et il vous attend à Brazza pour le faire. Est-ce que je vous empêche de descendre à Brazza pour aller l’attraper ? Mais apparemment, votre courage ne va pas au-delà de votre petit clavier. Vous rasez les murs aujourd’hui, mais demain vous serez les premiers à mettre le pays à feu et à sang dès que Sassou aura quitté le pouvoir. Cela s’appelle de la lâcheté brute.
Vous dites :
« L’oeil du peuple vous suit. »
L’oeil tapi dans l’ombre ? Le peuple est à découvert à Brazza et dans tout le Congo. Et il ne demande qu’une chose, vivre en paix. Sassou partira un jour du pouvoir, mais comptez sur nous pour vous empêcher de mettre le Congo à feu et à sang par votre barbarie.
Je vous ai fait l’honneur d’une longue réponse. J’espère qu’elle vous a assez éclairé. Si ce n’est pas le cas, je suis désolé d’avance.
Un petit salut moscovite :-))
A l’auteur, je vous dis merci de cette lucidité et reflexion sans précédant pour mon Pays, notre Pays. Mon souhait le plus ardent c’est qu’il soit lu par TOUS, afin de comprendre la grandeur ce que définit la politique. J’allais dire la gestion prévisionnelle des hommes et de leur environnement. Puisse le Seigneur donner court à cette analyse pour que chacun intègre les remèdes proposés. Ce texte à coup sûr aura un retentissement avant et après 2016. Vive le Congo !
@Awoura a Kolo
vous demandez à Mr Ossebi « d’analyser l’efficacité et l’efficience des réalisations de Sassou »; et bein allons-y.
voici quelques projets emblématiques de ton maître Sassou.
En démographie, il vient simplement contredire l’efficience économique qui veut que les zones les plus peuplées d’un territoire soient celles qui agglomèrent les activités économiques. Ainsi, le Sud du Congo qui compte les cinq (sur 5) premières villes du pays est donc naturellement la zone la plus peuplée contrairement aux résultats officiels du recensement de notre population. Sassou vient simplement d’inventer des nouvelles règles de calcul arithmétique et il aura des difficultés à les faire accepter au monde scientifique. La « surpopulation » du sud du Congo n’est pas le fait des bakongo, elle répond à des logiques économiques, géographiques voire climatiques et non aux considérations politiciennes de manipulation à la Nguesso. Une zone marécageuse, abondamment boisée, truffée d’animaux et d’insectes comme notre partie septentrionale est simplement hostile à la vie humaine. Voilà ce qui explique le sous-peuplement du nord du pays et la volonté de Sassou n’y ferra rien!
Un hotel « 5 étoiles » dans une bourgade ne répond à aucune efficacité ou efficience économique. On se demande d’ailleurs pourquoi passer de « o étoile » à 5 là où il n’y a pas de concurrence?. Cet hôtel sera éternellement vide aussi longtemps que Oyo restera un village. C’est donc un véritable gouffre qui ne sera pas rentable avant plusieurs siècles.
Une unité de la banque centrale à Oyo alors qu’il n’existe aucune banque commerciale (second rang) dans cette ville, c’est simplement la négation des principes élémentaires de l’économie. Une banque centrale est la banque des banques et non celle des ménages ou des entreprises comme le semble méconnaître l’arrogance de Nguesso et sa clique
Et l’aéroport d’Ollombo, à quelles critères d’efficience économique répond-elle? à aucune sinon qu’à la gabegie et à la folie de grandeur d’un individu qui détient un pourvoir absolu qu’il croit par ailleurs divin.
Construire l’immeuble abritant la télévision et la radio dans une zone (Ta kombo, mikalou) éloignée et coupée de toutes les administrations (Poste, banques, ministères, universités….) est une véritable méconnaissance des règles élémentaires d’aménagement du territoire. L’efficacité socio-économique de ce projet est nulle et son utilité marginale inférieure à zéro, c’àd qu’il fait perdre de l’argent continuellement au pays; un contenant sans fond!
Sassou est peut être fort dans l’intimidation armée des populations mais c’est un piètre visionnaire, un cancre en matière de stratégies socio-économiques et l’incurie de son incompétence notoire a fait reculer le pays plusieurs années en arrière. Ne pas le reconnaître serait faire preuve d’une cécité intellectuelle préjudiciable à plusieurs générations.
Vouloir que Sassou et sa clique quittent au plus vite le pouvoir et dans le même temps, préserver la paix.
C’est évidemment cette équation qu’il faut poursuivre et je respecte donc votre intervention.
Il n’y aura pas de chaos après le dictateur.
Dans le respect des institutions, la vie politique reprendra avec des médias libres, une justice indépendante et honnête.
Une redistribution juste des richesses, en luttant contre la corruption, sera engagée.
Mais comment demander aux familles des victimes de ce régime de passer l’éponge.
J’ai une pensée pour les proches des petits qui ont été lâchement assassinés le 16 décembre
dans la résidence du Colonel.
Pensez-vous que nous pouvons exigez d’eux : circuler, il n’y a rien à voir ?
Ce n’est pas possible.
Tous ces gens devront être jugés par une justice différente de la leur c’est à dire indépendante et
Non asservie.
Il existe de nombreux magistrats congolais de grande valeur, réduits à l’heure actuelle au silence, qui sauront être a la hauteur.
Il faut donc promettre la paix, le respect de l’autre et la justice.
En résumé TOUT ce qu’ils n’ont pas fait.
Bâtonnier Patrick Delbar
@Webmaster
Si les mensonges est jusqu´au niveau d´entendre les gens comme Nè Muanda Nsémi raconté des mensonges sur le leadership de la notion KO-NGO, moi je trouve cela que les gens doivent encore utilisé les pseudos anonyme pour s´exprimer. Nous avons besoin de ces voix des véritables combattant. Même s´ils sont encore derriere leurs protéction.
A bon entendeur.
A Monsieur P Malanda
La situation du Congo est tellement complexe qu’il serait hasardeux de l’examiner avec légèreté et passion. Je comprends bien vos inquiétudes qui viennent certainement du spectre de la violence que le pouvoir est en train d’agiter à Brazzaville.
Oui « les circonstances atténuantes » est une notion du droit mais vous savez aussi que c’est du ressort du juge qui lors du procès est seul compétant en la matière.
Monsieur Malanda, votre réflexion est pertinente dans ce sens que vous vous préoccupez du sort du Président de la Rép. qui vous le savez bien que moi avait assumé les assassinats, la gabegie financière et les viols commis avant la conférence nationale mais qui a récidivé aujourd’hui dans des proportions qui dépassent l’entendement humain.
Je ne suis pas juriste mais j’ai de la peine à comprendre comment accorder des circonstances atténuantes à un récidiviste. Que faites-vous du sort des victimes ? Si vous voulez une retraite paisible aux bourreaux, que prévoyez-vous pour les victimes ? Que dites-vous aux familles qui cherchent à voir les dépouilles des leurs avant de faire leurs deuils ?
Vous redoutez que Sassou une fois hors du pouvoir ne fasse la guerre mais vous n’oubliez qu’il n’a pas le monopole de la guerre et que ses victimes aussi peuvent mettrent le Congo à sang et à feu !
Monsieur Malanda je disais que votre réflexion est pertinente mais je trouve qu’elle est insuffisante pour garantir la paix dans notre pays car le PCT a formé plusieurs Sassou les plus dangereux et sanguinaires sont dans l’ombre. Comme en 1997 ils verseront toujours le sang et les larmes des autres surtout si la droite revenait au affaires en 2017 en France.
Monsieur Malanda vous avez oubliez que la paix au Congo c’est au moment où le PCT est au pouvoir et la guerre, les coups d’état c’est pendant que le PCT est à l’opposition ? Comme le chien qui est habitué à s’accroupir au lieu de s’asseoir, le PCT est habitué de prendre le pouvoir par les armes n’acceptant pas le verdict des urnes.
Pour qu’il y ait une paix durable au Congo, nous devrons prendre le courage de séparer le nord et le sud qui n’ayant pas la même sociologie vivraient mieux dans un régime fédéral. Il nous faut donc deux fédérations autonomes l’une du nord et l’autre du sud. Nous resterons tous des congolais à l’image des américains.
C’est le prix à payer pour une véritable paix au Congo.
Il est dommage de lire la même volonté de domination d’un groupe ethnique sur les autres. On a l’impression que renverser Sassou c’est rendre justice aux Kongos … et les autres? Kongo Kongo Kongo arrêtez un peu avec ça. Vous ne pourrez jamais diriger ce pays sans les autres!
Cher Pascal,
C’est peut-être inconscient, mais le plus dramatique dans ce texte, je veux dire les propositions, c’est que se trouve véhiculée la pédagogie selon laquelle pour ne pas être jugé de ces actes, il faut tuer et piller massivement. Il sera difficile dans notre vie passée et à venir, de trouver plus toxique, plus criminel que Nguesso et ses sbires. Au nom de quoi doit-on continuer à maintenir les prisonniers de droit commun en prison si le plus grand délinquant de la vie du pays se la coule douce avec sa famille, et avec la bénédiction de la nation? C’est très grave comme proposition! C’est vraiment un appel d’air au crime et à l’immoralité tous azimuts! Il faut savoir lire et analyser une situation dans tous les sens et non à sens unique! D’autres l’ont déjà souligné, vous regardez la situation à travers Nguesso et leurs méfaits, mais pas au regard des victimes et de la nation. Une république, surtout embrionnaire comme celle du Congo, c’est d’abord la justice comme facteur de pédagogie, de correction. Nguesso et consorts auront sapé, tout le temps, cette république en construction et tu proposes comme solution de faire comme eux, d’aller dans leur sens, surtout après qu’ils aient été pardonnés, sur des faits particulièrement graves, par la nation. Non, désolé, ce serait, une fois de plus, donner la mauvaise leçon à nombreux de nos compatriotes, qui n’ont pas le sens de la République. Celle-ci se construit en tirant les leçons de sa vie, de sa pratique, de ses faits majeurs, et si la meilleure pédagogie n’est pas tirée du long et négatif règne de Sassou, je ne vois pas qu’est-ce qui nous servira à l’avenir de leçon. Bien au contraire, chacun tirera la mauvaise leçon. Il faudra tout simplement qu’avec la meilleure intelligence, et un nécessaire et minimal patriotisme, des décisions s’appliquent pour faire comprendre à tout le monde qu’on ne pille et tue pas massivement, iumpunément, même si nous devons en payer le prix, comme d’ailleurs dans toutes les grandes nations du monde dans leur passé. C’est cela la leçon, qui est aux antipodes de ce que tu proposes. Sans oublier qu’avec les puissants moyens qu’ils auront mis de côté, ils garderaient leur capacité de nuisance le moment venu…
C’est quelqu’un qui te connaîs et t’aime bien
C’est quoi cette histoire de trouver des circonstances atténuantes à un criminel qui a tué des centaines de milliers de ses compatriotes pour mourir president? Il n’y a que chez nous les negres que l’on trouve pareilles élucubrations.
Mr ne rendez pas justice à la place des morts. Les morts méritaient aussi de vivre. Et la justice veut que celui qui a tué réponde de ses crimes. Toute autre posture serait l’apologie aux crimes et de l’impunité.
Sachez Mr, un crime non assumé conduit à la récidive. Le petit Satan que vous trouvez des circonstances atténuantes tue en toute impunité depuis juillet 1968.
Pour terminer, je vous conseille de lire L’autocritique du M22 et les conclusions de la conférence nationale sur le règne sanglant et kleptomanie que de petit Satan.
Nassimina
Par ailleurs, les Bembé sont des Téké et non des Kongo.
A Yanga DE Boko
Vous dites : « On a l’impression que renverser Sassou c’est rendre justice aux Kongos … et les autres? »
Mon cher compatriote, ce n’est pas juste une impression mais c’est le but : renverser et traduire Sassou et sa clic en justice constituent une vengeance sur le génocide planifié et mise en œuvre depuis 1977 jusqu’à nos jours dans la partie sud de notre pays.
C’est curieux, je ne perçois point « 2 camps extrémistes » armés prêts à en découdre. Seul le putschiste Sassou est armé, car dans sa logique primitive, le pouvoir est au bout de la mitraille des compatriotes.
N’appelez pas « président » n’importe quel aventurier en manque d’épaisseur morale et de conscience!
Comment ne pas comprendre que l’on devient président par le suffrage du peuple ! Au pays, il existe bien deux camps: celui des compatriotes lucides très attachés au respect des lois, et celui qui se complaît dans les violences sur » les autres ».
Si les premiers n’ont que leur raison pour fusil, les seconds se sont lourdement équipés d’armes de guerre en Russie.
Mr Malanda, en toute circonstance, recherchons à faire triompher la Justice par respect et pour le bonheur d’autrui!
Paix, alternance démocratique, justice, réparations, reconstruction de notre nation dans l’union sont des maîtres mots qui reviennent assez souvent. C’est vrai que dans notre pays, il y a ceux qui sont lourdement équipés en armes de destruction massive de la population Congolaise. Ils dirigent et contrôlent l’armée, la gendarmerie, la police, les milices privées, les services secrets, la justice, les banques, les services de renseignements, contrôlent la radio, la télé, les infrastructures routières, maritimes et aériennes, tous les médiats, poste et télécommunication, l’éducation, la santé, bref: ils ont la main mise dans tous les sphères de l’état (pétrole, minerais, bois, etc…), de notre pays. Et cela dure depuis 32 ans, sans aucun contre pouvoir. D’aucuns m’objecteront qu’il y a l’opposition: Mais quelle opposition ? De quels moyens disposent les partis d’opposition? Ces partis d’opposition et les syndicats (archi surveillés et subissant quasiment un couvre-feu permanent ) sont dépourvus de moyen démocratique d’agir efficacement (budget de fonctionnement inexistant, pas de véritable accès aux médiats, ni de liberté de presse,…) pour contre-carrer la censure d’un état tout puissant et dominateur qui n’a jamais cessé d’intimider les uns et/ou soudoyer les consciences politiques des autres.
Ce Congo pot de fer contre pot de terre, plus personne n’en veut. Nous voulons un Congo qui accepte l’alternance démocratique dans le respect que nous impose l’acte fondamental qu’est la constitution de notre pays; nous voulons un pays qui dit oui à la paix et qui sache rendre une justice véritable. Un pays sans justice véritable restera toujours une zone de non droit, une sorte de jungle où celui qui détient l’arme et le pouvoir en profite pour se tailler la part du lion (comme c’est le cas dans notre pays depuis trois décennies.
En sortant, ceux qui sont aux hautes fonctions de notre pays auront un bilan de leur gestion à faire et ils devront rendre des comptes à la nation. C’est ce qui se fait dans tous les pays dits civilisés aspirant à la démocratie.
Chacun a le droit de s’exprimer. Soyons généreux! N’insultant pas! L’esprit de vengeance a détruit le peuple congolais. Qui fera mieux après Sassou Nguesso? Hier, vous aviez scandé: « Youlou a tout volé ».
Aujourd’hui les Congolais ont faim et soif. L’électricité est rare. Les Congolais devraient cesser de parler de tribalisme. Soyons unis pour vaincre Sassou et sa gang.
Soyons humbles!
Sassou n’est pas éternel. Il est fort dommage qu’il ne pense pas à la fin de Mobutu qu’il appelait « Yaya » et à celle de Kadhafi qu’il appelait par « Mon cher ami »!
Kadhafi est celui qui a bien construit la Libye tandis que Sassou a détruit les siens. A cause de la dictature, la rébellion soutenue de l’extérieur l’a écrasé. Le soutien extérieur s’est servi copieusement et le peuple libyen vivote tout comme le peuple de la RDC regrettant continuellement le dictateur Mobutu qui donnait au moins à manger : « débrouillez-vous » et dont la nouvelle de la mort fut reçue avec beaucoup d’indifférence à Kinshasa.
Un Rwandais est à la tête de ce grand pays ex-Zaïre et le peuple est dans le tourment. Les collaborateurs de Mobutu sont là en train de manger de nouveau sans aucune chasse à l’homme.
L’État est immortel et il assure la sécurité des bons et des médiocres car tout le monde est CONGOLAIS. Fermons les prisons et ouvrons-les pour les vrais voleurs à l’étalage.
A quand l’indépendance de la justice?
A quand les grandes valeurs fondamentales?
Le Congo-Brazzaville a besoin de paix et de démocratie. La gestion actuelle du pays est des plus médiocres et que cette gang de vrais voleurs se retire en douceur sans exercer la force car aucun Chef d’État de grand pays ne l’aidera. Blaise Campaoré a failli être rattrapé par la rue en colère et il a été sauvé in extremis parce qu’il était encore soutenu par l’extérieur. Voilà un exemple récent. Et, Sassou et sa gang iront où? Ce sont des Congolais et ils devraient répondre de leurs actes.
Le Congolais ne devrait plus jamais tuer.
La Congolaise ne devrait plus pleurer.
Que la paix règne à jamais au Congo grâce à la compréhension et au départ de ceux qui s’éternisent au pouvoir!
Au Congo, le PCT s’est toujours substitué à l’état et a toujours confisqué tous les pouvoirs, toutes les richesses du pays, réduisant ainsi, 95 pour 100 des Congolais à l’humiliation quotidienne, à la mendicité, à sa déshumanisation. 95 pour 100 de Congolais vivotent tant bien que mal dans l’insalubrité (des poubelles à ciel ouvert, manque de soin, d’éducation, même l’eau potable au robinet n’existant plus qu’en souvenir des années 70 ! L’électricité n’existe que chez les membres du PCT qui sont les tenants du pouvoir, les écoles sont presque prohibées car les tenants du pouvoir PCT préfèrent enfermer notre jeunesse dans des conduites addictives de consommation d’alcool et de drogues…
Un parti au pouvoir ne peut à lui seul s’ériger en état.
C’est comme si l’UMP en France s’arrogeait le droit de tout contrôler et diriger! Bien sûr qu’il faut d’autres partis qui jouent le rôle important de contre-pouvoir (En plus du pouvoir de l’état laïque et républicain il existe plusieurs Partis: de droite, du centre, de gauche, des verts, des écologistes, des partis extrêmistes de gauche et de droite,… qui jouissent d’une véritable liberté de presse et de médiats, selon leur importance, par rapport au nombre de leurs adhérents encartés).
Dire ces vérités, la démocratie commence aussi par là.
Le PCT s’auto- satisfait des réalisations dont ses initiés sont seuls à profiter ( il n’y a qu’à voir dans quelles conditions bestiales les « soit-disant autorités » vendent les tickets en gare de Pointe/Noire et de B/ville et dans quel état cauchemardesque les voyageurs sont volontairement empilés, entassés dans les voitures du train CFCO,
tandis que les mêmes tenants du pouvoir PCT voyagent à l’aise, dans les voitures quasi-vides du même train !).
Les compagnies de transport urbain n’existent nulle part (ni à NKAYI, ni à LOUBOMO, ni à PONTON, ni à BRAZZA.
Par contre 99 pour 100 des membres de PCT se pavanent jour et nuit dans des rutilants 4X4 Toyota et autres berlines flambant neufs, qu’ils s’octroient (personne n’est dupe là-dessus) grâce à l’argent du pétrole qui, pourtant, appartient à tous les Congolais !
A partir de ces faits, comment voulez-vous que les Congolais puissent fermer leurs yeux face à ce qu’ils voient tous les jours ?!
Comment voulez-vous que l’on ne puisse pas mettre fin à cet indéniable état des faits imputables à ce parti des profiteurs qu’est le PCT?!
On ne peut pas bâtir un état démocratique en pratiquant la politique de l’autruche, du mensonge, de l’impunité, des arrangements partisans et bâtis sur des bases opaques !
La haine est du côté de ceux qui profitent des avantages et des richesses de notre état, car ce qu’ils savent faire le mieux c’est vivre au crochet de l’état, d’où leur virulence et leur peur bleue de perdre le pouvoir.
Alors ce groupuscule hyper militarisé composé d’à peine 0,7 pour 100 de la population se proclame actuellement: « le peuple souverain de base », soutient, sans vergogne, le changement de la constitution 2002 qu’il s’était volontairement taillée sur mesure et qu’il avait imposée, depuis 2002, à toute la nation Congolaise et que Sassou avait solennellement juré de la défendre et de respecter!
Tout le cirque actuel de changement constitutionnel est mené tambour battant, dans l’unique but de permettre à leur président du PCT Sassou, de briguer un mandat présidentiel à vie.
Mais malheureusement pour le PC, Le Congo n’est pas une monarchie.
Le CONGO est et reste une République, malgré les affres qu’elle a subie sous 32 ans de dictature.
Le 14 août 2016 Le Congo va rompre avec le Mono-partisme que lui a infligé le PCT.
Avec calme et tranquillité notre peuple exigera un bilan sur la gestion de l’affaire publique, à cette équipe sortante composée à 200 pour 100 des impétrants appartenant au PCT et au clan.
Tous ces pseudo-hauts fonctionnaires qui n’auraient pas fait correctement leur boulot ou qui auront commis des fautes graves, la justice apaisée, libre, indépendante et non partisane d’un Congo nouveau et démocratique, se chargera de leur demander des comptes.
Une réflexion serrée qui tient la route. Je me retrouve pleinement dans cette réflexion qui présente beaucoup de points d’intersection avec ma façon de voir les choses sur ce point précis.
M. Malanda, soyez-en sûr, nous sommes nombreux à partager votre point de vue. Autant que je me souvienne,le principe de la mise en place d’une Commission Vérité, Réparation et Réconciliation a été adopté par les Assises Nationales du Congo tenues à Paris cette année ainsi que par le nouveau parti CAP de M. Itadi.
La voix/voie de la Raison doit prévaloir sur l’esprit revanchard de la Passion !
Mangez bien. Qui vivra verra. Pharaon aussi disait qu’il était Dieu pour refuser aux esclaves juifs leur liberté. Sa fin fut tragique.
Annoncez votre nouvelle république comme pharaon qui refusait de lire les signes des temps, malgré les sept plaies qui frappaient l’Egypte. Votre pharaon, petit Satan est dans la même logique. Il fuira avec vous en 2015 le Congo.
Le peuple n’attendait que votre annonce des 30 et 31 décembre.
Mr Malanda
Depuis que l’opposition responsable demande une table ronde pour qu’on aille dans le sens d’apaisement que vous souhaitez rien affaire avec cet autiste de Sassou, plus grave Sassou et les siens on pris en otage l’Etat, l’économie du pays est entre ses mains , sa femme, ses neveux ses enfants et quelques affidés proches du pouvoir, les autres 70% des richesses nationales sont entre les mains d’une même famille, et les autres congolais sont là entrain d’assister au festin; vous ne trouvez pas que c’est un peu trop; autres aspects plus grave il est passé maitre pour donner la mort; voir tous les assassinats que le pays a connu, il tue même ceux qui l’ont aidé à prendre le pouvoir, Mon cher Malanda moi à sa place je demanderai à faire pénitence.
ANTHROPOLOGIE !
Je ne suis qu’un cerveau libre congolais – je ne suis qu’un homme libre – je ne suis qu’être qui veut reformé, structuré et développé son écosystème natal – le Congo Brazzaville.
Je ne veux ni être ministre et encore moins Président du Congo mais simplement le citoyen qui pense à son écosystème natal.
Neurosciences: comment le dictateur Denis Sassou Nguesso a-t-il affaiblit l’organisation de la contestation politique et du soulèvement populaire à l’échelle de la société congolaise?
PHILOSOPHIE!
La raison et la conscience font la différence fondamentale entre l’homme et l’animal. Quoique certains animaux peuvent être raisonnés.
Mais l’animal est-il naturellement raisonnable et conscient de ses actes? Certainement pas !!!
Et pour cause ; l’instinct commande, l’animal obéit: loin d’être le modèle de la raison et de la conscience. L’animal est en effet l’incarnation d’une totale servitude à l’inconscient et l’instinct.
Le comportement d’un animal est en fait dicté par son instinct, de sorte que l’animal ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.
On ne peut cependant, être identifié comme humain que pour un être qui pense, réfléchit, raisonne et qui est conscient de ses actes (les habitudes et le comportement) et des principes ou valeurs morales (le bien ou le mal).
René Descartes dit « je pense donc je suis » et j’ajouterais que « je suis un être humain ». Or, pour douter, il faut penser. Donc, si je doute, je pense, et si je pense, je suis.
Je pense donc je suis : le cogito !
Cette citation sur la conscience est extraite du Discours de la Méthode, oeuvre-phare de la philosophie de René Descartes, dans laquelle il relate sa vie et la manière dont il a pu s’appuyer sur la certitude de son existence afin de fonder une nouvelle métaphysique ou plutôt une nouvelle dialectique sur la raison et la conscience.
Descartes cherche un fondement sûr pour bâtir la connaissance, un point fixe à partir duquel fonder le savoir et accéder aux vérités.
La portée de nuisance du dictateur Sassou Nguesso s’étend jusqu’à détourner chez tout un chacun toute possibilité de réfléchir (intimidation, brimade, humiliation répétée, flicage, spoliation, violence, terreur, barbarie, condition de vie indigne, etc) et de penser (achat de conscience, abus de conscience, etc).
Le peuple est alors conduit à s’adonner à des occupations médiocres et primitives (survie au quotidien, criminalité, loi du plus fort, rackets, acculturation, prosélytisme, proxénétisme, sexe, prostitution, alcoolisme, rituels sataniques, sorcellerie, veillées mortuaires, etc).
Ainsi anéanti, le peuple, réduit à adhérer à la pensée unique et stupide imposée par le dictateur, n’œuvre plus à sa construction cognitive, mentale, psychique, émotionnelle et sociale.
Le discours de la servitude volontaire de Isidore AYA TONGA.
Quand l’individu est régulièrement abusé, humilié, brutalisé, torturé, fliqué, traqué, spolié, assigné à résidence, démobilisé et somalisé(climat politique délétère), il est naturellement possible que cet individu soit déconstruit au niveau mental, émotionnel et social.
Dans la notion de servitude volontaire, le peuple donne sa liberté au tyran ou voila comment un tyran cynique africain détruit son propre peuple.
Le peuple n’est plus souverain. La souveraineté appartient désormais au dictateur ou au cynisme. Le peuple se soumet ou est écrasé. L’obéissance (collabo) au despote devient le préalable à la violence tyrannique.
Dans les conditions d’avilissement généralisé, le peuple accepte d’être complice du tyran et nourrit son pouvoir par sa propre coopération.
En France par exemple, on compte près de 2800 valets(collabos) con…golais ou serviteurs volontaires au tyran Denis Sassou Nguesso.
Parmi eux, seul 30% sont rémunérés soit selon événements occasionnels, soit de manière hebdomadaire, mensuelle et ou annuelle à travers des circuits d’argent mafieux agissant en toute impunité en Francafrique et puis.
DE LA HONTE AU DÉSHONNEUR ET A LA SERVITUDE VOLONTAIRE !
En effet, les montants de rémunération des valets(collabos) con…golais en France sont compris entre 50 et 5000 euros/mois – Tout dépend de la valeur du serviteur(collabos) et de ce que le pouvoir tyrannique attend de lui.
Les collabos identifiés seront voués au déshonneur dans la république post dictature Denis Sassou Nguesso.
Des individualités, ―telles, les juristes contre-esprit de loi de Montesquieu, les sociologues subconscients, les politologues aux têtes bien pleines voire les politiques abusés ―, des collectivités quarts-mondes―telles, les associations sans partage de valeurs de liberté, les prétendus sages sans raison et conscience humaine, les femmes leaders d’opinion déshumanisées, les partis politiques sous contrôle tyranniques, etc―, évoluant au Congo ou ailleurs communiquent abondamment sur ce sujet dans les médias disponibles et disposés à la tyrannie.
LA PENSÉE DU CHAOS PAR ISIDORE AYA TONGA
Nous sommes dans une société congolaise en pleine décomposition totale. En apparence tout est calme et paix ou plutôt sacro-sainte paix.
C’est le calme plat avant la tempête ou le chaos. En réalité tout est contrôlé et en équilibre avec la dictature mais sous les apparences, le chaos menace le Congo Brazzaville.
Le peuple ne se donne même plus la peine de faire semblant de croire à quoi que ce soit. Les sociétés incroyantes sont pleines de francs-tireurs gratuits.
Je pense qu’il faut porter encore en soi un chaos, pour pouvoir mettre au Congo Brazzaville une étoile brulante ou plutôt civilisationnelle. L’espoir retrace, délimite et introduit un soupçon de cohérence et l’idée d’un réalisme.
Isidore AYA TONGA dit « je pense donc j’ai au moins un cerveau ». Or, pour que je doute, il faut que je pense.
Donc, si je doute, je pense, et si je pense en rumba congolaise, je suis donc congolais.
Publié par Isidore AYA TONGA – la voix intellectuelle, philosophique et scientifique des peuples libres et souverains !
« Congolaises, Congolais !
Le temps que passe le Général Denis Sassou Nguesso au pouvoir n’est pas synonyme de temps de bonheur, même pour ceux qui le supportent ou qui l’ont supporté dans la réalisation de son coup d’état du 24 octobre 1997, date de sa prestation de serment conformément à un « Acte Fondamental » qui enterrait illégalement la Constitution de 1992. »
Ce sera encore et encore le malheur permanent dans ce pays, malgré ce que la propagande ne cessera de faire croire et malgré les miettes de l’argent du pétrole que Sassou et ses complices jettent ça et là, des miettes qui permettent de créer l’illusion d’un bilan positif…….
Ce vrai bilan est clair : Sassou ne respecte aucun engagement face à la loi, même sa propre loi, si celle-ci ne lui permet plus d’atteindre ses objectifs strictement personnels qui sont d’abord ceux d’un dictateur » (http://crci.unblog.fr/category/liens/ ).
32 ans de dictature Sassou Nguesso. Plus 14 ans de pouvoir pseudo électif c’en est trop. L’Afrique a besoin de changement, l’Afrique a droit au renouvellement de ses dirigeants.(http://crci.unblog.fr/2009/08/18/ces-dictateurs-sortis-des-urnes/). »Une folle rumeur a circulé, comme une traînée de poudre, faisant état d’une distribution d’armes de guerre par le régime Sassou auprès des ex-combattants! » (http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/1949-2014-12-30-13-59-03.html) Sassou Nguesso et sa clique ne sont pas pour la paix au Congo. Le peuple congolais du Nord au Sud doit se mobiliser pour mettre les criminels hors d’état de nuire et oeuvrer ensemble pour un Congo unifié et réellement passifié pour aller vers un développement réel
Une chanson pleine d’espoir.
La naturalité
des émotions
est comme une
lumière qui
remplit le matin
quand l’aube
de l’espoir
revient dans
le coeur.
Francesco Sinibaldi
Mr Malanda,
Votre analyse au demeurant respectable qui tend à préserver la chevre et le choux trouve ses limites dans le papier paru sur brazza news intitulé LA DICTATURE AU Congo Brazzaville » combien de temps va t-elle durer encore? »
Cette analyse contre-thèse de la votre me parait plus pertinente.