Ce vingtième anniversaire du retour sanglant au pouvoir du tyran s’est effectué, comme il avait commencé le 15 octobre 1997, dans le sang, dans la mort et dans les larmes. Un bilan honteusement catastrophique que l’on doit aux efforts prodigués par la Francafrique de Jacques Chirac et de certains pétroliers pour ramener au pouvoir ce champion de l’incompétence et de la criminalité en tous genres. Tous se refusent maintenant au constat d’une faillite généralisée, en ce mois d’octobre 2017, qu’il faut prononcer. Trop de cadavres sont cachés dans les placards… ; des placards à maintenir fermés à tout prix !
Tant de sang versé en 1997-1998 dans la reconquête armée et dans les massacres qui s’en suivirent, des Disparus du Beach à l’explosion du 4 mars 2012. Aujourd’hui et depuis une année, cette dynamique mortifère prévaut encore. Partout, dans le pays, l’on saigne et l’on tue de différentes manières. Des bombardements dans le Pool, au service minimum dans les hôpitaux où la mort frappe de plus en plus fort ; dans ces derniers ouverts ou en grève, les vies n’y sont plus sauves. Au CHU de Brazzaville, on ne comptait plus les morts avant qu’il ne soit évacué après qu’il y ait eu plus d’une centaine de décès en une semaine. Des dizaines de morts à l’hôpital de Makélékélé et point de médicaments comme à l’Hôpital Militaire saturé. Dans les hôpitaux de Leyono et de Talangaï, des situations identiques, des centaines de malades s’y entassent, et des dizaines de décès chaque semaine faute de soins et de médicaments.
La désolation n’épargne pas la jeunesse insouciante de Mossaka qui empruntait un pont de fortune pour se rendre à l’école ; trois enfants morts noyés la semaine passée, quasiment au même moment où le tyran irresponsable inaugurait, à Brazzaville, un sommet pour la paix dans la région des Grands Lacs.
A voir l’étendue de ce désastre qui touche tous les secteurs et impacte quasiment toutes catégories de la population, comment croire qu’il y a quelques années, 3 ou 4 ans à peine, le mégalomane imposé par les extracteurs de l’or noir distribuait à tour de bras à la Côte d’Ivoire, au Niger, à la Guinée et à la RCA les centaines de milliards de FCFA qu’il ne voulait pas consacrer au bien être de ses concitoyens !
Congo-Liberty n’a jamais cessé d’alerter ses lecteurs sur l’ampleur des crimes économiques et sur leurs conséquences. Nous y sommes, malheureusement maintenant, et nul ne sait jusqu’où ira le pire de cette crise humanitaire, conjuguée au pillage de notre économie.
Un rapport important vient d’être publié par l’ONG AGODEC partie prenante à l’ITIE (Initiative pour la transparence des industries extractives). Intitulé « Observations sur les recettes pétrolières de la République du Congo » les années fastes de 2010 à 2014 sont ciblées. Il apparait clairement que les recettes pétrolières ont été minorées. D’entrée 1000 milliards de FCFA manquent à l’appel. La Coraf détiendrait 1241 milliards qui n’ont jamais été reversés au Trésor Public mais il semblerait qu’il manque un zéro aux « 14 milliards que la Socotram a collecté pour son propre compte et non celui de l’Etat. »
Des accords commerciaux avec les sociétés Total E&P Congo et ENI Congo « ont fait perdre au Trésor public d’énormes sommes d’argent (304milliards FCFA en 5 ans) pour lesquelles il est difficile de connaître la destination. Aussi, 466milliards de FCFA ont été prélevés par ENI Congo pour le remboursement des prêts gagés sur le pétrole pour la centrale électrique du Congo et celle à gaz de Djéno. En 4ans seulement, ces deux sociétés ont prélevé sur la part d’huile de l’Etat près de 15millions de barils pour un montant de 770milliards de FCFA.
Plus de 3121milliards FCFA ont été séquestrés en Chine pour le remboursement des investissements chinois dans le cadre des projets d’infrastructures.
Au total, 4000milliards FCFA environ ne sont pas arrivés au Trésor public. Ils constituent officiellement une contribution indirecte au budget de l’Etat. Il reste à savoir s’ils ont tous été utilisés pour le compte de l’Etat, du simple fait que les chiffres présentés dans les budgets définitifs sont inférieurs aux paiements certifiés des sociétés pétrolières. »
Aussi rien d’étonnant que la SNPC soit suspectée d’avoir fait perdre 30 dollars par baril de pétrole commercialisé pour le Congo… (peut-être même + de 40$ selon d’autres données statistiques —voir ci-dessous)
En 2014, la SNPC n’avait reversé au Trésor public que 634milliards de FCFA pour 21millions de barils commercialisés alors que le prix moyen annuel de barils était de 95 dollars USD/barils……… Sur la base de ce prix moyen annuel, le Trésor devrait encaisser environ 950 milliards de FCFA et non 634milliards FCFA ; soit un manque à gagner de plus de 300 milliards FCFA. En terme simple, ce montant de 634milliards FCFA suppose-t-il que la part du brut commercialisée pour le compte du Trésor public a subi une décote de plus de 30USD/barils par rapport au prix du marché ?
– Pour confirmer la sous valorisation de la part du brut congolais commercialisée par la SNPC, nous avons comparé les ratios de commercialisation du brut de l’Etat confié à ENI Congo et Total E&P Congo dans le cadre des accords commerciaux et des centrales à gaz avec ceux de la commercialisation par la SNPC pour le compte du Trésor public. Nous avons constaté que la SNPC à fait perdre à l’Etat près de 500milliards de FCFA entre 2011 et 2014 sur la part de brut qui lui a été confiée. »
Par un autre mode de calcul, il apparait qu’ENI a reçu de 2011 jusqu’en 2014, 9 174 927 barils (si les compteurs étaient bien réglés) pour les remboursements des prêts effectués dans le cadre de la Centrale électrique Congo et de la Centrale à gaz de Djeno. La moyenne du prix du baril de Brent sur ces 4 années a été officiellement de 107,63$ et non de 95$ comme indiqué plus haut ; soit 987.497.393 US$. Un milliard de dollars pour deux centrales électriques cela ressemble beaucoup à la technique de vente d’ASPERBRAS ! Marché attribué sans appel d’offres avec un niveau de prix exorbitant, de 5 à 10 fois le montant normal… Cela laisse à penser que le mode de négociation de José Veiga a fait école.
Plus encore, il se pourrait qu’une de ces centrales ait été achetée d’occasion à Naples et reconditionnée pour le Congo… Sûrement dans cette opération, nous retrouverons l’ex-épouse Ottonello, Mme Cendrine Sassou Nguesso et comment croire que pour une affaire trouble de cette envergure, tout ait été exempt de corruption comme le prétend haut et fort le patron d’ENI ? La lumière ne pourra se faire que lorsque Sassou Nguesso, père, fils et filles auront été écartés du pouvoir… !
Mille milliards de FCFA par ci, 500 milliards de FCFA par là, un milliard de dollars pour ENI…. Tout cela ne compte que pour 4 années, voire 5 années, et cela fait 20 années que les parasites sont aux affaires, avec leurs complices prédateurs. Certes les autres années ne furent pas aussi bonnes pour multiplier simplement ces montants par 4 ou 5, mais aucune occasion d’enrichissement personnel n’a été ratée, comme les préfinancements cachés aux équipes de Christine Lagarde, ou comme les surfacturations des grands travaux, déjà fissurés, commandés à la Chine par un Jean-Jacques Bouya à l’appétit démesuré…
« Trop c’est trop ! » disent certains alors qu’un tsunami se prépare à emporter ce pouvoir de malfaisants, de médiocres, de parvenus et d’inutiles. Les peurs seront bientôt dépassées et la raison devrait aussi l’emporter pour sortir enfin du sordide néant dans lequel la folle dictature familiale des Nguesso nous a tous plongés !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 23 octobre 2017 , par www.congo-liberty.org
C’est la nguessomanie ou l’art de saigner à blanc le trésor public .Tous ces milliards qui devaient permettre de ramener tant soit peu tous les congolais formés à l’étranger dans quelque domaine que ce soit au pays ,ont été dilapidés au profit de ce clan mafieux ;
Et , venir nous distraire sur NTUMI POUR MIEUX CACHER , tous ces crimes dont l’ampleur donne envie de vomir .
Non, mon cher OSSEBI ! Ce ne sont pas que 20 ans, mais 49 ans de dictature dont 35 à lui Sassou tout seul ! Même sous Yhombi, c’est lui en réalité qui était vraiment aux commandes. Yhombi n’était que son pantin. Alors, remontons à la source et rassemblons tout son parcours. La tragédie du Congo avec Sassou ne commence pas qu’en 1997.
Merci de rectifier, s’il vous plaît ! Sinon ce serait lui faire crédit des autres années de tous ses crimes et pillages…
Et avec, certains vont nous parler de pardon la main sur le cœur? Mon c…#@. Cela vaut des siècles de bannissement. Nous allons réhabiliter Louis Guillotin pour une spéciale Congo – Mfoa. Des têtes doivent tomber, car on ne nous rendra pas ces milliards volés. Toutes frustrations devra trouver son exutoire dans la machine à laver le congo – mfoa. Une punition exemplaire pour que plus jamais un congolais n’ose nous prendre pour des cons.
Si les affirmations sont véridiques; cela risque de rendre difficiles les négociations entreprises par l’Etat avec FMI, lequel n’est toutefois pas un simple rouage de la société civile. Une chose est sûre, la crise économique qui est globale oblige à solliciter l’appui des partenaires extérieurs. Le citoyen congolais par contre et africain par dessus tout ne deviendra pour autant un inconditionnel des IFI de Bretton Woods, ni des instruments de propagande judiciaire issus du traité de Rome par exemple, comme ce fameux TPI de la Haye au sein du quel règne l’opacité et le trafic d’influence à haute échelle sous fond de corruption. A tel point que l’activisme géopolitique des organismes internationaux semblables (BM, OMC, UNESCO, OMS, ONU, CFAO et consorts) est remise en question, y compris par leurs plus fervents supporters de la presse mainstream occidentale des télégraphistes de la finance mondiale. Aujourd’hui, par la force des choses l’opinion africaine désinformée vient de découvrir les turpitudes mafieuses d’un autre Sherpa négrier, en occurrence le juge argent in louis moreno ocampo. Voici les corrompus d’occidentaux impénitents que la Déclaration de Berné feint d’ignorer les allées et venues dans les paradis fiscaux, pourtant au nom des mêmes ONG ces prétendus magistrats blancs spécialistes du Code Noir sèment partout la zizânie communautaire entre les peuples, donnent des leçons de Transparency financière et de démocrazie mensongère à la Terre entière. Compte tenu des révélations de polichinelle venues d’une dizaine de journaux étrangers dont Mediapart, concernant le complot de la CPI négrière contre un riche continent qualifié de scandale géologique, ne faut il pas dès à présent décréter la caducité absolue de ce énième machin ? Sinon à ce rythme là, toute les fables politico-économico-talmudiques diverses et variées feront jurisprudence médiatique, peu importe qu’elles soient le fruit de l’imaginaire exalté cher à quelques boucantiers d’ivoiriens expatriés. Arriver à ce stade, les habituels journaleux d’investigation se doivent de poursuivre l’élan informatif dans la plus grande objectivité, parce que la vérité est ailleurs et personne ne peut prétendre en détenir seul le monopoule. Preuve en est qu’un des plus grand affairiste mendiant en toge, doublé d’un faussaire du droit international raciste a finit par se décrédibiliser, à cause de sa manie à trop donner du crédit pour la promotion planétaire de la mythomanie. Dans son m’boukoutage juridique quotidien, avec la bénédiction des mythomanes aventuriers du monde entier, celui ci n’avait manifestement jamais gouté à la saveur philosophique d’un populaire proverbe culinaire abidjanais qui dit: « c’est pas dans bouche que tu vas mangé piment ». Les leaders souverainistes L.Bagbo et Blé Goudé sont bien l’objet d’un grossier chantage verbal dépourvu de preuves formelles, ils sont otages des lobbys capitalistes qui espéraient s’arroger l’exclusivité des découvertes du pétrole et des minerais rares de la Côte d’Ivoire, en plus de vouloir à tout prix maintenir en vigueur une monnaie coloniale inspirée du IIIème Reich nazi qui était en passe d’être reléguée aux calendes grecques. Une fois de plus, les esprits immunisés de l’aliénation intellectuelle avaient eu raison de faire preuve d’une certaine sagesse panafricaine, dès l’ouverture du procès spectacle par l’actuelle procureur gambienne F.Bensouda (un patronyme endogène n’est ce pas ? Sauf que l’art sioniste de la subversion ne laisse place au hasard) de la Cour Pénale Impérialiste. Mais puis que l’émotion hystérique est nègre et que la raison journalistique est Hélène, il sied de lettre le cap mediapartien sur le tabou du compte des opérations via la très incendiaire ville de Chamalière; où est fabriqué le Franc des Colonies Francaises d’Afrique. Aux républicains de se rassembler pour défendre les intérêts de leur pays, face aux colonisateurs acharnés qui se parent tantôt des oripeaux d’une pseudo société civile Open Society ou encore du paravent des Organisations dites « Non » Gouvernementales, à des fins de déstabilisation.
A toutes et à tous,
Avant de repartir dans le silence et le travail d’analyse, je tiens à faire remarquer un certain nombre d’éléments.
1. Rigobert Ossebi et Mingwa font un travail de présentation et d’explication des faits cachés du réseau. Il faut les remercier et les en féliciter. Heureusement qu’ils sont là, sinon le débat reste vide, les arguments haineux, la controverse inexistante pour dessiner ce que certains considèrent comme l’après Sassou. Sassou n’est pas immortel, il l’avait dit lui-même, mais c’est étrange, même si les choses se font en marchant, je constate que les analyses d’une stratégie programmatique pour le Congo de l’après-Sassou n’existent pas. Bien sûr certains prônent un dialogue national qui demanderait à Sassou de quitter le pouvoir. D’autres sont pour un coup de force et une prise de pouvoir par la violence.
2. Les deux options, violence ou prise de pouvoir par la force, sont recevables en fonction des intérêts de ceux qui les soutiennent. Que faire après ? Comment réconcilier le Congo ? Comment sortir de l’ethnicisation et de la tribalisation de la vie politique ? Certains parlent de la mbochisation de la vie politique congolaise. Que fait-on de nos concitoyens Mbochis qui ont participé ou non à l’ère Sassou ? Comment organise-t-on la vie politique, démocratique des institutions en tenant à l’écart l’esprit de vengeance éthniciste, tribaliste et politique qui, sous des formes variées et diffuses, hante la vie politique congolaise depuis l’indépendance (même si certains hommes politiques disent le contraire) ?
3. Comment construit-on les nouvelles institutions congolaises qui mettent l’accent sur un développement économique et social de toutes les régions du Congo, même celle de la cuvette et du Nord, pour faire court ? Comment intégrer les variables du développement économique, les rapports avec les entreprises étrangères qui maîtrisent la technologie et la science qui nous construisent des ponts et des routes (même guettés par l’érosion et les malfaçons comme dans le cas chinois) ? Quel apport de la diaspora au delà d’une envie de revanche mâtinée de bavardages impénitents au nom d’un savoir-faire professionnel qui n’existe qu’en parole et non pas sur le papier ? Quand il est sur le papier, il est encadré par le blanc français en France et on peut, sans porter opprobre à nous membres de la diaspora, se demander ce qu’il en serait si nous sommes au affaires. Nous sommes incapables de construire un pont entre les deux Congos, je parle de nos architectes et de nos ingénieurs. Il en est ainsi des barrages et autres infrastructures qui nécessitent de passer du bavardage à la praxis, c’est à dire à l’acte réel pratique.
4. Que deviendra le Congo après Sassou ? Comment s’organiseront la mise en place de l’Etat nouveau, la valorisation de celui-ci, la construction des institutions, la réconciliation nécessaire et indispensable à la façon Mandela (même si les contextes de l’Afrique du Sud et du Congo ne sont pas comparables) ? Comment éviter que les opposants politiques réfugiés aujourd’hui en France profitent du chaos politique de l’après-Sassou pour prendre leur revanche et imposer une autre forme de dictature faussement démocratique, au nom du peuple ? Comment valoriser la jeunesse et sa place dans le Congo nouveau ? Il ne s’agit pas d’un combat intergénérationnel, pour la plupart d’entre nous, nous sommes autour de la soixantaine. N’est-ce pas le moment venu de laisser la place aux jeunes en leur faisant bénéficier de notre expérience analytique en tant que conseiller et non ministre, pour que, eux, construisent un Congo nouveau ? S’il y a des crimes économiques commis, il faudra que les institutions nouvelles organisent les conditions d’une justice économique pour le peuple congolais.
5. Voilà chers amis quelques éléments de réflexion que je livre à votre sagacité et à votre intelligence et je retourne à ma cure de silence analytique, sans réellement vous quitter (car je vous lis tous les soirs) mais j’espère que vous ne m’en voudrez pas d’être absents sur les posts.
Cordialement à toutes et à tous. je soulève une série de questions qui dépassent la problématique du réseau et qui intègrent le Congo en tant que système finalement réseautal, au sens de pays.
« S’il y a des crimes économiques commis » …… parce que MONSIEUR Pambou doute qu’il y ait eu des crimes économiques !!!
@Lucien Pambou. Vous dites. Quel apport de la diaspora au delà d’une envie de revanche mâtinée de bavardages impénitents au nom d’un savoir-faire professionnel qui n’existe qu’en parole et non pas sur le papier ? Quand il est sur le papier, il est encadré par le blanc français en France et on peut, sans porter opprobre à nous membres de la diaspora, se demander ce qu’il en serait si nous sommes au affaires.
Il y a des Congolais de la diaspora qui applique leur savoir-faire en France sans contre maître.
Mr Ossebi.Merci pour votre texte.
Ma recette est déjà connue par tous.Celle de chasser les oppresseurs.
@Lucien,
il me semble que dans tes analyses tu oublies l’option de la prise ou chute du pouvoir sans effusion de sang comme ces 13, 14 et 15 Août 1963. Tu oublies aussi la grande mobilisation de septembre 2015 sur ce fameux boulevard, une mobilisation qui a fait trembler le pouvoir. Tu oublies aussi que tous les ressortissants de la Cuvette ouest ne sont pas forcément derrière, il faut en effet se rappeler de 1989 quand Sassou, dans l’assouvissement de sa vengeance contre Anga, bombarde des villages entiers. Tu devrais aussi te rappeler de ce mai 1997 quand Sassou, dévoré par la soif du pouvoir, extermine les partisans de Yhombi. Es-tu sûr que Sassou a obtenu la majorité des voix dans la partie septentrionale du pays ? Le peuple congolais dans sa totalité, à l’exception des oligarques, souffre de la mal gouvernance dans tous les domaines, il n’y a pas de guichets spécifiques pour les mbochis ou des compatriotes originaires du nord pour l’accès à l’eau potable, aux soins et à l’éducation. Les retards des salaires et des pensions impactent toute la population. Ceci justifie l’état de violence qui sévit dans le pays, un mode de gouvernement qui maintient le peuple dans la peur pour l’empêcher d’exprimer une colère légitime. Gouverner par la violence, c’est reconnaître que ce pouvoir a une base populaire très réduite. Combien de temps encore ? Une loi physique démontre qu’à résistance constante si l’on augmente l’intensité on augmente la tension aux 2 bornes : le pouvoir et le peuple. L’on peut aussi affirmer qu’un objet maintenu sous une tension permanente finit par se rompre.
Tu oublies aussi une troisième voie de désintégration d’une dictature comme cela s’est passé en Tunisie ou au Burkina : l’insurrection d’un peuple qui dit NON. Pour cela, je me permets de jeter un œil sur l’ouvrage de Gene Sharp, inspirateur des printemps arabes, si ce n’est déjà fait. Les leaders surgissent parfois du néant pour prendre la tête d’une révolte ou insurrection, le processus de conscientisation du peuple, sur lequel travaillent déjà bon nombre de résistants, est la matrice, au sens étymologique, d’un Congo nouveau. Dans son Histoire martyre, le Congo a déjà connu des phases et de déchirement et de rassemblement dont la dernière en date celle de la transition d’après la Conférence nationale. Justement après cette fameuse conférence, le peuple du sud n’a pas déferlé vers le nord pour embrocher ceux qu’il accusait de l’assassinat de Biayenda ou Massamba-Débat. Le peuple a parfois des ressources que les pseudo-leaders politiques ignorent. Lucien, la diaspora est l’épine qui s’enfonce, jour après jour, dans le pied de Sassou parce que le monde est devenu un grand village : fini le huis-clos dans la persécution ou l’assassinat du peuple. Pourrais-tu me rappeler la dernière visite officielle de Sassou dans une capitale occidentale ? Penses-tu que dans les éléments d’analyse du FMI il n’y a pas la prise en compte de certains dossiers communiqués par la diaspora ? Tu sais très bien que l’économie a horreur du bruit et la diaspora en fait et certaines fois il parvient jusqu’aux oreilles de ses responsables.
Un élément majeur à intégrer qui faisait défaut dans les années 80 et 90 et est incontournable maintenant, c’est l’internet et ses réseaux sociaux. N’appréhende pas la résistance à l’aune des vicissitudes de l’opposition congolaise interne mais des résistants de la diaspora sur les trois continents : Afrique, Europe et Amerique. Crois-moi, un travail de fond est en train d’être fait pour désintégrer cette dictature. Quelques aperçus ont déjà été exposés sur ce site.
@Rigobert Ossebi,
je me permets de publier ce post, une fois encore, pour bien situer Sassou dans l’Histoire des crimes au Congo. Sassou a toujours été au centre de tous les assassinats politiques au Congo depuis 1970.
Le drame des congolais réside dans le fait d’analyser la situation politique qui prévaut actuellement au pays par petits morceaux sans chercher à les inscrire dans un continuum. Il n’y a pas de génération spontanée en sciences et a fortiori en politique. Comment voir l’horloge sans penser à l’horloger ? Comment penser au chaos politique, économique et social sans penser au système mis en place par le trio Ngouabi, Yhombi et Sassou cornaqué par Noumazalaye ? Comment expliquer l’opposition féroce entre Lissouba et Noumazalaye, sur le dos de Massamba-Débat, dans les années 60 ? Se poser ce genre de questions revient à plonger dans les origines des contradictions et des malheurs qui gangrènent notre pays. Cette lutte sourde entre ces deux personnalités ne peut se comprendre qu’à l’aune de la lutte farouche dans l’unique et seul but de s’accaparer le pouvoir et le conserver, même dans les pires conditions. L’option Noumazalaye l’a remporté en favorisant l’installation du trio au pouvoir. Noumazalaye avait fait le constat qu’avec les outils d’expression démocratique habituels comme le suffrage universel les originaires de la partie septentrionale du pays ne pouvaient accéder au pouvoir et le garder durablement parce que démographiquement inférieurs, le niveau de maturité politique du peuple ne permettant pas de dépasser le vote éthno-centré.
Quelle solution ? Mettre en place un système politique contournant le suffrage universel, le socialisme scientifique. Dans ce système, le parti dirige l’État. En effet, il est plus facile de noyauter le parti et en faire un instrument de conservation du pouvoir que d’éduquer le peuple. Dès 1970, le parti congolais du travail voit le jour avec pour leurres quelques protagonistes du sud comme Ndalla Graille et Mberi Martin qui n’y feront pas de vieux os quand le système de cooptation prendra le pas sur les procédures de nomination au bureau central du parti d’où est élu le président. Les Sassou et les Ondjele feront la loi, les revanchards comme les appelait Sassou. Dès lors commenceront les assassinats politiques au Congo avec Sassou à la sécurité dans un premier temps. Jugez-en, vous-mêmes. Dès 1970, coup d’état de Kinganga. Cet événement va entraîner la mort d’une trentaine de nos compatriotes sans jugement aucun sous l’instigation de Sassou qui force la main à Ngouabi. A partir de cette date va démarrer une épuration ethnique au sein de l’armée et de l’administration. Ce phénomène prend une ampleur telle qu’un mouvement interéthnique en dénonce les effets néfastes, le M22 de Diawara, Okoko et bien d’autres, sous l’appellation « OBUMITRI » (Oligarchie Bureaucratique Militaro Tribaliste). Profitant de cette occasion, Sassou va forcer la main de Ngouabi pour les exterminer une quarantaine de nos compatriotes sans jugement, aucun. Sassou est toujours à la sécurité, un véritable Hoover congolais, connaissant tous les coins et recoins de la politique congolaise et des hommes qui l’a font. Sentant son heure venue et après avoir placé ses hommes dans les postes les plus stratégiques, en 197, il va faire d’une pierre deux coups. Il va assassiner Ngouabi et tous les opposants potentiels et, pour lancer un avertissement au clergé, il ira jusqu’à assassiner le plus gradé d’entre ses représentants, le cardinal. Le chef de l’État assassiné, le chef du clergé éliminé, ll ne reste plus qu’un Yhombi qu’il a soigneusement déshabillé qu’il va écarter, deux ans plus tard sans coup férir, en 1979, à l’époque il est 1er vice-président coordinateur des activités du Parti et ministre de la Défense. Après une décennie de règne, en 1989, il assassine Pierre Anga et bombarde toute la localité d’Ikongono et les villages autour, un génocide puisqu’il tue les gens pire ce qu’ils sont et non pour ce qu’ils font.
Ayant expérimenté l’échec aux élections vraiment libres de mars-août 1992, il reviendra en 1997 après avoir exterminé les partisans de Yhombi, le 10 mai à Owando, pour entrer dans une guerre qui prendra fin en 2002 et qui va tuer le 10ème de la population congolaise (400.000 victimes). Il affirme, dans le rapport Mouebara d’Opinion internationale que la violence fait partie intégrante des outils à mettre en oeuvre pour conserver le pouvoir. Il va récidiver de 2015 à 2017. Sassou est un « profito-situationniste » invétéré, il exploite des situations qu’il crée pour instaurer une situation de violence qui lui permet de régner et pour cela, il a besoin d’épouvantails ou des hommes derrière lesquels il s’abrite : les coups d’état, les kolelas, les Tsaty, les Ntumi (Ntumi 1), le clergé, etc. pour se parer des habits des démocrate. Mais tous ses crimes viennent sûrement le hanter la nuit pour avoir eu le fameux projet de changement de la constitution qui lui a permis de changer les articles 10 et 11 de l’ancienne constitution pour les remplacer par les 10 et 96 de la nouvelle avec pour objectif double : rester au pouvoir et impuni des crimes commis. Ce faisant Sassou reconnaît officiellement qu’il a commis tous ces crimes. Ne dit-on pas « Qui s’excuse, s’accuse » ? Le seul élément constant dans tous ces pogroms depuis 1970, c’est Sassou, le reste n’est que l’écume des jours. Nous sommes donc dans une dictature autocratique sanglante et dans ce contexte, les analyses politiques aussi pointues soient-elles ne servent à rien parce que nous avons les diagnostics. Ce sont les analyses qui précèdent les diagnostics et non l’inverse. Tous les gens sensés conviendront qu’après le diagnostic vient le plan d’action ou la thérapie. Nous y sommes. Je terminerai par « Actions speak louder than voice ».
Mr L. Pambou écrit: »Sassou n’est pas éternel, il l’a dit lui-même… » Ce monsieur veut-il faire croire que si l’intéressé ne s’ était pas prononcé à ce sujet, l’immortalite de l’ogre d’Oyo pouvait être sérieusement envisagée? Sa théorie des réseaux a fait perdre la tête à monsieur Pambou
Les choses bougeront le jour ou le peuple noir utilisera les memes methodes de ses oppresseurs,c’est dire la violence.
Il faut la force pour chasser du Congo l’empire francais,ses bras armes (multinationals)et son valet Denis sassou.Regardez l’Algerie et le Vietnam
Les langues de délient. Tout vient à point à qui sait attendre. A bon entendeur salut monsieur 8%.
Ecouter : https://fr-fr.facebook.com/brazza.kongodiantotela/videos/528814980794992/
@ano TOUS CES BLANCS doivent dire à LAGARDE , car c’est elle qui détient les clefs de la maison CONGO , que ce crédit appelle un gouvernement d’union nationale à la tête de la quelle on mettra un gars de la diaspora , ou un membre de la société civile .
Comment concevoir que le FMI , au vu de cette abyssale dette , qui obère les espoirs des milliers des congolais , puisse renflouer les caisses du CONGO SASSOU défaillant ?????.
OUI le roi mbochi SASSOU est nu , en dépit de ces titres continentaux dont il veut se parer , pour couvrir son cadavre en décomposition , le moment est venu , de l’emmener au cimetière d’edou , pour un enterrement définitif .
CE SDF ( saboteur des finances publiques ) a enfin atteint son terminus ;;;
32 ANS de SASSOUFOLIE ; SANOUSSOUFIT …
Franchement, les africains vous faites pitié, quand allez vous choisir de devenir intelligents ? Beaucoup de vos présidents ont un niveau intellectuel très bas, il ne pense qu’à faire la guerre aux civiles… Là où les blancs construisent leurs pays, vous les noirs vous êtes occuper à détruire vos pays ! Vos avez un très gros problèmes, changez vos mentalité car là dans le monde entier on vous connais pour votre manque d’intelligence… Vos président sont bêtes et vous vous passez votre temps a admirer les blancs au lieu de prendre votre pays en main et le relevé en vous séparant du mal et par la droiture et le travail. Utilisez vos cerveau pour faire le bien et non le mal, mettez des règles strictes sur les compétences d’un président, n’accepter plus ces gens qui viennent au pouvoir par des armes, interdisez cela, car après vous avez des présidents avec un très bas niveau intellectuel et qui va servir les intérêts d’un autre pays au lieu de vous servir à vous le peuple.
Ces gens sont venu détruire le pays, je ne parle pas des blancs car le blanc sert ses propres intérêts, mais je parle de vos présidents africains, leurs incompétence est si grande que les noirs auraient mieux fait de laisser les blancs vous coloniser… La condition de l’Afrique aujourd’hui est pire que sous la colonisation !
Quand le peuple sera intelligent, c’est alors que vous aurez un président intelligent ! Donc africains, changez vos mentalité, même les africains d’Europe qui vont faire l’orgueil en Afrique là-bas, tout ça pour écraser son prochain, CHANGEZ DE MENTALITÉ !
Soyez des hommes et des femmes intelligents. Arrêtez de faire que danser le ndombolo qui vous enivre de bêtises, et commencez à utilisez votre cerveau et réfléchissez sur comment mettre le pays sur la bonne voie. Vos enfants meurt de misères, vos mères vos femmes vos soeurs sont violées, quand allez vous prendre tout ça au sérieux ? Vos pères, vos fils, vos frères sont traités comme des animaux et tués, avec tous ça vous continuez à choisir ce qui est stupide ? Vous continuez à vous enivrer dans les bars ? Noirs quand allez vous choisir d’être des gens respectable et responsable ? Quand ? Vos routes sont pourri, vous attendez qui pour les construire ? Les blancs sont occupés à construire leurs propres pays, et vous vous attendez qui ? Les blancs ? Ils sont occupés à construire des fusées pour allez dans l’espace ! Arrêtez avec vos chétifisme et sorcellerie là, le diable ne vous aime pas, choisissez l’intelligence et rechercher Dieu, non pas avec vos faux pasteurs et prêtes qui vous mentent et volent votre argent, mais premièrement avec votre coeur car Dieu vous aimes et veux vous sauvez de vos péchés, lisez la bible chez vous et mettez en pratique les paroles de Jésus puis Dieu se révèlera à vous et vous conduira dans sa vérité, mais arrêtez avec vos sectes rempli de gourou et de violeurs là, soyez des hommes et des femmes intelligents, ne vous laissez pas mentir, ce qui est écrit dans la bible c’est ce qui est vrai et non ce que ces faux prophètes qui n’ont des yeux que sur l’argent vous disent, il y’en a c’est des sorciers ! Donc soyez prudent et intelligent sur toute chose, en sachant que le Seigneur Jésus revient très bientôt, donc c’est le moment de choisir la vie éternelle en se détourner du mal et en marchant dans la justice et la sainteté. Le pays qui marche dans la droiture sera élevé par Dieu. Ne suivez pas ntumi c’est un faux pasteurs et un faux prophète. Utilisez votre cerveau et soyez intelligents peuple noir, le Dieu qui a créé le blanc c’est le même que le Dieu qui a créé le noir, donc vous êtes pas inférieurs aux blancs, vous pouvez aussi prendre votre avenir en main.
Oui mon cher Anonyme, comme vous je fustige énormément le comportement de certaines de nos sœurs et certains de nos frères qui vont faire la belle et/ ou le beau quand elles et/ou ils retournent au pays oubliant que elles et /ou eux aussi ont grandi au pays. C’est un comportement que nous devrions bannir.
Mon cher Anonyme,
j’ai perdu mon grand père il y’a quelques années. À chaque fois quand je discutais avec lui, il me disait que le Kongo fut un grand ensemble très prospère et que les personnes qui y habitaient ne manquaient de rien. En d’autres termes au sein de la société Kongo les richesses produites étaient mises en commun. Et pour se faire soigner il y avait les grands guérisseurs(NGANGA) qui connaissaient mieux les vertus des différentes plantes et d’especes animales. Ce qui caractérisait la société Kongo, c’etait le respect des valeurs les plus élémentaires et le sens éthique était très axé sur le KIMUNTU. En gros, Kongo Ndiatotela était bien structuré et organisé. Cette histoire, c’est avant que les colons ne viennent foutre le bordel dans ce grand ensemble en dénaturant le sens organisationnel et en mettant ensemble des peuplades venus je ne sais d’où.
Avec l’arrivée des colons portugais, les choses avaient complètement changées et ses ancêtres avaient connus un véritable enfer sur terre en prenant par force ses semblables et qui étaient envoyer dans des contrées lontaines. Cependant; avec la colonisation française; il pouvait se faire soigner et les choses se passaient relativement beaucoup bien. Après l’indépendance, le président MASSAMBA Débat avait construit un tissu industriel digne de ce nom et les congolais ne manquaient de rien. Mais; depuis que le pays est entre les mains des Mbochis, le pays devient méconnaissable. Du coup; il rêvait d’etre À nouveau colonisé par le colon français.
A L’INTENTION DE KIKI ,dont le seul but dans la vie , c’est jouir , au vu de tous les buildings qu’il a construits à tout va , Brazza ; KINSHASA ,LIBREVILLE , AMERIQUE, EUROPE etc ;
Une vie tranquille et modeste apporte plus de joie que la recherche du succès qui implique une agitation permanente dixit EINSTEIN ;
Un enrichissement matériel grotesque , obtenu sans le respect des principes de base , est tout simplement une torture morale dixit ERIC SCHIMMITT .
A , ces deux maximes de haute teneur humaniste , j’ajouterai que , votre richesse obtenue sur la misère du peuple congolais , sera pour vous une malédiction familiale qui s’étendra sur toute votre progéniture ; .
Je souscris aux deux analyses de David Londi, vraiment pertinentes.
SASSOU en introduisant son fils le très voleur KIKI dans le milieu du pétrole du CONGO ne pouvait ignorer les dégâts qui allaient s’ensuivre .
La mort officielle du CONGO dérive de cet acte odieux et a- patriotique initié par quelqu’un qui se dit choisi par Dieu pour diriger notre pays .
Le CONGO est cliniquement mort en attendant les prescriptions médicales qui lui seront appliquées par le FMI .
Mais au vu de cette dette montagneuse ,je redoute que le CONGO retrouve toutes ces capacités mentales , car les conditionnalités auxquelles il sera soumis ,vont plus l’achever que le relèver .
LE FMI , c’est le père NOËL, avec des dents pointues , en plus .
En gros , toutes hontes bues , nous ne serons pas capables de rembourser et les intérêts et le capital de ce crédit ;;;;.
Et puis , sachez une chose , aussi ; qui échappe à beaucoup des congolais , que c’est le FMI qui donne son aval aux banques commerciales , pour POUVOIR bénéficier d’un quelconque crédit .
Ces banques commerciales subordonnent ce crédit au respect scrupuleux de l’ordonnance du FMI .
C’est un crédit livré au fil de l’eau , c’est à dire , si le FMI met à votre actif une somme 200 euros .
Vous n’aurez pas la totalité du magot .
La banque commerciale ,peut vous livrer un petit lot de 20 euros , tout en surveillant votre santé économique , en cas de rechute , ou de non prise de médicaments , plus de versement sur votre compte .
Mais , au vu , de cette terrible dette , il est possible qu’on ne passe pas sous les fauches caudines , non pas du FMI , mais celles des banques commerciales , avec l’aval du FMI ………………
Si jamais ,sous les conditionnalités du FMI qui vont frapper le CONGO ? LES NGUESSO continuent à gagner FACILEMENT au loto , alors là , chers amis du site ,surtout à l’adresse des plus virulents , je puis vous assurer d’ une chose , c’en est fini pour nous , et que les enfants et nos petits enfants pourront nous enterrer en France .
On attendra pas aussi longtemps. Certains Congolais se font déjà enterrer en france.
NIKKI HALEY vous connaissez , cette jolie brune femme d’origine indienne , ambassadrice américaine de l’ONU ARRIVE à KINSHASA avec un billet de départ de KABILA du pouvoir , billet acheté et composté par DONALD TRUMP et ceci fin 2017 .
Faute de quoi , c’est DONALD qu’il verra devant sa porte .
Donc , aux congolais , d’aller à KIN RENCONTRER, cette femme , pour lui exposer clairement le vœu des congolais , celui d’un billet de départ de SASSOU du pouvoir , à la même date .
En cas de refus d’obtempérer , à DONALD TRUMP de lui RENDRE une petite visite depuis le ciel congolais .
Voilà une occasion en or , de vendre SASSOU à TRUMP ………………………..
IL FAUT NIKKISER SASSOU , cette femme ne rigole pas .Et elle donne des cauchemars aux dictateurs de tous genres ;;;;
Le texte ci-dessous est une réponse que j’ai faite au post sur les relations entre la france et l egypte
les remarques sur ce post que vous retrouvez en tete sur congo liberty valent aussi pour l ‘article de R IGOBERT OSSEBI
Bonne lecture et ne soyez pas trop agacés car vous diaspora de FRANCE vous n ‘avez pas trop de strategie de rechange
partir de France ou rester en ouvrant nos grandes gueules que la FRANCE tolère mais qu ‘elle ne craint pas car on est rien sans strategie et moyens financiers
Marianne France le sait elle rigole en protégeant ses interets grace aux presidents pacotilles qu ‘elle protége
je ne suis pas un politique mais un analyste du systeme reseautal
en afrique F RANCOPHONE
VOUS N AIMEZ PAS LES ANALYSES PAMBOU QUI VOUS FONT CHIER
MAIS QUI DECRIVENT UNE PARTIE DE LA REALITE SURTOUT AU CONGO
BONNE LECTURE
Lucien PAMBOU dit :
26/10/2017 à 00:16
Je sors encore un peu de mon silence pour essayer de vous renseigner sur la nazitude de la diaspora des intellectuels africains de moi et des autres.
Qu’est-ce qu’on est nazes et incompétents !
Trop nègres, selon la prédiction biblique de Cham.
On ne comprend rien à la politique française, on a beau vivre ici dans ce pays depuis 20 ou 30 ans, voire plus. Macron été très clair: on ne mélange pas les droits de l’homme et la position diplomatique de la France qui défend ses intérêts et fait de l’Egypte un interlocuteur important pour sa sécurité.
Pauvres congolais idiots et nazes, dansez-moins, baisez-moins, buvez-moins, mangez-moins de la semoule, la France n’a rien à foutre des Noirs, surtout Congolais et Africains. Si vous n’êtes pas contents, vous dégagez. Or, comme vous n’êtes pas très courageux, vous allez baisser la tête et continuer à rester dans ce pays qui exploite, vous le savez, l’Afrique et le Congo. Pour la France vous n’êtes rien, elle le sait. Diaspora, opposition et hommes de pouvoir, malgré vos grandes gueules, vous êtes obligés de subir les foudres françaises en venant dans le pays de Marianne. Tiens, une preuve pour ceux qui ne sont pas au courant, la CEDEAO, sous la présidence de son Secrétaire Général De Sousa, a décidé que la monnaie unique n’est plus à l’ordre du jour pour 2020. Vive le CFA pour les pays de l’UEMOA et que le Ghana, le NIgérai, la Gambie se démerdent avec leur monnaie.
Voilà braillards vous qui qui n’avez pas compris les enjeux de la nouvelle géopolitique spatialo-affairiste du 21 ième siècle. La France vous emmerde. Vous dites quoi ? Rien car vous n’avez pas de plan de rechange, braillez et pleurez. Maudissez la France, elle rigole car vous êtes naÏfs et des enfants pourelle
Pauvres dirigeants africains pauvres diasporas baveuses et bavardes
Oh..oh Val de Nantes vous n’avez pas honte.Demandez a Trump d’enlever Kabila leur valet pour le remplacer biensur par un autre valet.Les esclaves incapables de se liberer seuls qui attendent que leur maitre les liberer.Sachez que la solution a vos problemes est dans vos mains,elle ne viendra pas d’aileurs.
@le fils du pays .. LA HONTE C’EST la situation politique et sociale dans laquelle se trouvent tous les congolais .;;;.
La honte , c’est notre incapacité collective à trouver la solution idoine face à SASSOU .
La HONTE , nous congolais de BRAZZA , nous la trainons face à nos frères africains respectant aujourd’hui les règles de la démocratie .
LA HONTE ,quand nous nous regardons dans la glace .
Notre semblant de courage quotidien est imprégné de HONTE ……………………………….
Qui cherche trouve et moi je cherche , même les solutions les plus misérables ;;;;;;;;
@Lucien,
je trouve dommage que tu continues à évoluer dans un couloir d’idées qui évolue d’une façon parallèle à ceux de celles et ceux qui n’apportent la contradiction. J’ai l’impression que tu fais in dogme de tes idées qui deviennent fatalement des convictions qui ne sont donc plus discutables ou amendanles à tes yeux. Or, si tout le monde venait avec des convictions l’on perdrait le côté dynamique du débat. Aucune théorie scientifique n’évolue sur des certitudes mais plutôt sur l’équilibre instable des situations qui peuvent donc passer de l’état V (Vrai) à l’état F(Faux) d’un instant à l’autre. Les sages n’omettent jamais la peite précaution suivante : « Dans l’état actuel de nos connaissances » parce que personne ne détient la vérité. Tu décris une diaspora dans laquelle je ne me reconnais : complexée ou politiquement immature, qui passe son temps à baiser, à boire ou à danser. Cher Lucien, comme tout groupe humain est diverse, multiforme et de convictions polisues et religieuses différentes. On y yrouve même des Pro-Sassou. La diaspora n’est pas une entité figée. Je t’ai, dans mon précédent post, interpelé sur un certain nombre de points. J’attends donc que tu m’apportes la contradiction pour la richesse du débat.
Cordialement.
Lire comme tout groupe humain, la diaspora est diverse. Désolé, je ne me suis pas relu !
Mais calmez le un peu ce cher @Lucien, incapable de convaincre voilà il redevient vulgaire, ensuite il deviendra analyste réseautal, hier il était éditorialiste et demain ? Attention à la paranoia!!!! Cette diaspora que vous traitez de naïve ou gargantuesque ne l’est pas autant que tu le crois; c’est juste qu’elle n’a pas des moyens financiers, humains, politiques ou militaire pour venir à bout de cette France ou de ton Sassou, comme nous l’a bien décrit Le Doyen @LONDI.
Reprends ton silence, c’est mieux pour éviter de sombrer dans la dépression mon cher Lucien. Bon rétablissement!
Je viens ce texte de publier sur le site de Blastingnews. Le Prix Nobel d’économie nous explique en partie pourquoi il y a la mal-gouvernance en Afrique. La France le sait, les dirigeants africains le savent. Ensemble, ils préfèrent le temps court au temps long. Bonne lecture.
Thaler, prix Nobel d’économie 2017, et l’Afrique francophone mal gouvernée VIDEO Peut-on s’inspirer des travaux du prix Nobel d’économie 2017 pour expliquer la mal-gouvernance en Afrique ?
Peut-on s’inspirer des travaux du prix Nobel d’économie 2017 pour expliquer la mal-gouvernance en Afrique ?
Tous les Etats francophones d’#Afrique sont peu ou prou confrontés à des problèmes de mauvaise gestion budgétaire et de mal-gouvernance liés à une absence de lisibilité de leur politique économique. Pour une fois l’économie vient au secours du politique pour expliquer des faits conscients et rationnels qui appartiennent à la psychologie plutôt qu’à la rationalité économique. La plupart des chefs d’Etat en Afrique centrale francophone impute cette #Mauvaise gouvernance à la baisse du prix du baril de pétrole et l’absence de diversification de leur économie. La réalité est tout autre car la mal-gouvernance et la mauvaise gestion budgétaire sont des faits conscients et volontaires qui font intervenir l’humain dans la pratique de la finance comportementale. Pour #Richard Thaler, l’être humain choisit volontairement le court-terme car il a une aversion pour le temps long.
Les travaux de Thaler sont intéressants et dans la lignée de ceux de Kahneman, prix Nobel 2002, et de Schiller, prix Nobel 2013, car ils expliquent pourquoi la plupart des individus, dans lesquels on peut classer les dirigeants africains, possèdent une comptabilité mentale pour expliquer leurs choix et leurs décisions.
L’absence de culture économique de la part des dirigeants africains est compensée par une motivation psychologique au moment de la prise de décision
« Gouverner c’est prévoir » résume le principe de la bonne gouvernance. En Afrique francophone, ce n’est pas le cas car les notions de Nation et d’Etat sont floues, voire illisibles. Thaler introduit deux concepts, celui du chef d’Etat planerself qui fait des vœux au moment des fêtes de l’indépendance et qui ne sont jamais réalisés (accès à l’eau pour tous, réforme des systèmes éducatif et de santé, diversification de l’économie) et celui du chef d’Etat doerself qui agit à court-terme et succombe à toutes les tentations (gaspillage des ressources financières, corruption, pillage éhonté des pans entiers de l’économie au service d’une clientèle politique ou familiale).
Pour Thaler, l’inculture économique de l’individu n’est pas à mettre en cause, ce qui est important c’est son comportement humain, trop humain, qui vise à privilégier son bien-être par rapport à celui de la Nation toute entière. Thaler montre aussi que la charge émotionnelle qui structure les choix économiques et les décisions des individus, est fondamentale. On peut ainsi pousser le raisonnement jusqu’à expliquer le comportement de certains dirigeants en Afrique francophone instruits de culture française au sein de laquelle l’arbitrage entre l’émotion et la raison valorise le premier aspect (émotion). Certains chefs d’Etat en Afrique francophone valorisent plus la stratégie inductive et émotionnelle que la matérialité des faits. Au nom de l’aversion pour la dépossession des ressources financières, les fonds pour les générations futures au Congo, au Tchad ont été utilisés sans que l’on sache comment, pourquoi. Thaler esquisse une réponse : au nom de la préférence pour le temps présent.
Peut-on aider les gouvernants africains francophones à faire des choix budgétaires crédibles et à entreprendre des politiques publiques efficientes ?
Pour le Prix Nobel Richard Thaler, tous les éléments matériels sont importants mais insuffisants car il préfère mettre l’accent sur le rôle du cerveau humain dans les choix à minima de l’individu. Il explique qu’il faut renverser l’arbitrage entre le planerself et le doerself. Le doerself doit être neutralisé par le planerself. Pour cela, les gouvernants africains doivent reconstruire leur identité dans un collectif qui dépasse les limites du cadre familial et du clanisme politique. C’est une question centrale car évidente pour nous tous, mais difficile à mettre en œuvre surtout dans les pays francophones au sein desquels les instruments d’équilibre, de pouvoir sont certes existants, mais imparfaits car, dans tous les cas, c’est le pouvoir exécutif et le chef de l’Etat qui l’emportent toujours. Que faire ? Réfléchir à un mode de gouvernance politique pour lequel les Africains, à travers les expériences historiques des autres, doivent être capables d’en construire un ou plusieurs, de les faire fonctionner pour exister non pas à travers les autres mais à côté des autres. Les travaux de Thaler sur la psychologie et l’expérimentation (cliométrie) sont intéressants et le concept de « nudging » qu’il développe (« tendre vers » en Français) doivent nous permettre d’améliorer nos décisions concernant la santé, l’éducation et le partage des richesses. Thaler sera-t-il entendu, compris et médité ?
Lu sur un autre site. Je transmets l’info :
« SASSOU ET SA BANDE TRAHIS PAR TRANSPARENCY INTERNATIONAL CHINE
Denis Christel Sassou Nguesso, Jean Jacques Bouya et Gilbert Ondongo croyaient qu’ils ont sécurisé le produit de leur vol en Chine. Erreur. Les chinois ont autorisé à Transparency international à ouvrir un bureau à Beijing. Ce bureau a donc suivi toutes les opérations financières effectuées par les 3 compères qui ont mis le pays à genoux. Toutes les informations sur le Congo sont désormais en leur possession et ont même été envoyées au FMI.
Eli Smith »
Eh oui une jolie demoiselle copine d’UN KIKIBOY proche de KIKI , a balancé ceci , pendant qu’on lui tressait ces cheveux , hier à 16h20 .
Lorsque les congolais vont découvrir les mille nœuds construits autour de la gestion du pétrole , certains en feront des malaises cardiaques ;;;;
KIKI vend un puits de pétrole à plusieurs traders , moyennant des milliards de CFA ………………
Car c’est lui qui détient tous les permis d’exploitation .
KIKI prelève sa dime , en amont , en laissant le reste à la SNPC ;
Imaginez qu’il vende 10 puits gagés pour plusieurs années , il aura réalisé plusieurs milliards de CFA cachés dans les paradis fiscaux .
Si un trader , arrive à se faire fournir du pétrole et encore , car c’est un pétrole gagé et donc non produit , s’il arrive à se fournir du pétrole , sachez que si le baril est 50 dollars , le CONGO en recevra 20 DOLLARS .
70 % sont retenus par le trader , donc 30% sont pour la SNPC ………………
……
Maintenant pourquoi , cette dette diabolique MADEMOISELLE ,,,,???
Facile , les traders qui n’ont pas été livrés , calculent leurs pertes et demandent à KIKI de payer et le capital et les intérêts ;;;Tout en sachant que ces puits sont gagés , sur 20 à 30 ans , pour un trader , or KIKI ARRIVE à vendre un puit déjà gagé à plusieurs traders , et sachant certains puits gagés par LISSOUBA ne sont pas encore arrivés à échéance ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
En gros , tous les puits ont été gagés , sur plusieurs années d’où le besoin urgent de découvrir d’autres puits pour les gager davantage ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;.
C’est un travail d’orfèvre , que KIKI a organisé sur la vente des permis d’exploitation des puits pétrolifères au CONGO qui frise la camorra sicilienne ;;;.
Dénouer cet entrelacs pétrolier , et vous y verrez des montagnes cadavres ;;;
Pour conclure , cette demoiselle dira que , le CONGO sera la banlieue de KINSHASA après KABILA …………………..
LE CONGO BRAZZA ESSILI , c’est fini ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;on est gagé à vie ;