« Ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre » A.Einstein
Un dialogue politique met en présence des groupes d’intérêt différents qui s´engagent à se pencher sur une question dont les enjeux sont mutuels, mais pas nécessairement communs. Rien de commun en effet entre d’une part, le peuple congolais qui aspire à une véritable démocratie et de l’autre, le tyran d’Oyo qui souffre du syndrome de l’arapède politique : mourir au pouvoir, même haï par son peuple.
Les seules négociations viables avec le dictateur, concernent son départ.
Comme nous le rappelle GENE Sharp dans son célèbre « De la dictature à la démocratie », les seules négociations qui vaillent avec un dictateur, ce sont celles qui concernent les conditions de son exil ou de son transfèrement au TPI. Point barre. Il n’y a plus une quelconque porte de sortie à négocier pour le boutefeu d’Oyo. Du referendum dans le sang à la défaite cinglante transformée en victoire, il les a toutes ratées. Toute négociation avec un tyran, embellirait son régime en le rendant légitime.
Il n’est pas superflu de rappeler que c’est bien Sassou qui a réussi à transformer le Congo, jadis pays de Cocagne en une authentique géhenne ; un véritable temple du tribalisme, du népotisme, de la médiocrité, de la corruption et de la kleptomanie. L’un des pays au monde où le vice et les antivaleurs sont portés sur les fonts baptismaux. Il ne fera jamais rien de bon qui irait dans le sens du mieux-être des Congolais. S’il a délibérément perpétré des bombardements des populations civiles dans le Pool, pour s’adonner à son activité préférée « verser les larmes et le sang des autres », ce ne sont pas les négociations qui transformeraient le barbare qu’il est en enfant de chœur !
Il sied de signaler, à toutes fins utiles que, dans les sociétés humaines, les arguments de droit n’ont de poids que dans la mesure où les adversaires en présence disposent des moyens de contrainte équivalents. Par conséquent, si tel n’est pas le cas, les plus forts tirent tout le parti possible de leur puissance tandis que les plus faibles n’ont qu’à s’incliner. Quand on connaît le mépris de Sassou à l’égard de tout ce qui caractérise une démocratie, toute tentative renversement de rapport de forces en sa défaveur tournera toujours à l’épreuve de force.
On ne le dira jamais assez : normalement, toute négociation, tout dialogue, aujourd’hui et plus encore demain, se gagnera d’abord par la connaissance, en l’occurrence, par la compréhension de l’environnement dans toutes ses dimensions. Au sein de l’opposition congolaise, tout au moins celle qui semble la plus crédible et déterminée à porter l’estocade à Sassou, nous assistons à un véritable salmigondis où le flou se mêle à l’irrationnel. C’est à se demander s’ils sont véritablement conscients de la capacité de nuisance du clan d’en face. Nous n’avons pas affaire à des enfants de chœur, ni à des férus de la démocratie ; mais à un clan qui a toujours fait preuve de sa cruauté, prêt à tout pour enfoncer le pays dans les abysses de la barbarie, y compris en marchant sur des milliers de cadavres de nos compatriotes pour assouvir ses fantasmes. Il convient de se le rappeler.
Pour l’instant, toutes les volontés susceptibles de concourir à la création du rapport de force, doivent être sollicitées. Elles doivent mettre le peuple au centre de l’action pour libérer notre pays pris en otage par l’organisation criminelle sans foi ni loi, venue tout droit d’Oyo. Pour cela, le peuple saura actionner en temps utile, l’allié infaillible qui a fait ses preuves ailleurs en Afrique : la rue vociférante.
Tous les ingrédients de réalisation de ce scénario jonchent abondamment toute l’étendue du territoire national : salaires non versés depuis des mois, CHU en grève, licenciements massifs à Pointe-Noire, harcèlement policier, guerre inutile dans le Pool, endettement du pays à hauteur de plus de 120 % du PIB, syndicalistes menacés de mort, élections truquées etc…
Il convient honnêtement d’exhorter nos leaders de la nécessité d’en finir avec la réflexologie pavlovienne qui consiste à annoncer en avance la date d’une manifestation qui se termine toujours par leur embastillement. Du reste, les révolutionnaires du monde entier savent tirer les conséquences de la lumineuse citation de Albert Einstein « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ».
La cacophonie de l’opposition
Demander à hue et à dia un dialogue inclusif aux contours à géométrie variable à Sassou, relève d’une procrastination, à plusieurs égards. Habitué des rencontres dont il a la maîtrise, parce qu’elles sont organisées par lui, Sassou n’acceptera jamais de participer à une CNS bis qui le dépouillerait de ses pouvoirs, conquis en massacrant les Congolais. Le seul dialogue viable se tiendrait sans Sassou en convoquant toutes les couches de la société congolaise.
La dernière mise en scène avec les pseudos « sages du Pool », a une fois de plus mis en relief la schizophrénie de Sassou. On s’en souviendra : pendant qu’il semblait faire appel au dialogue, il intensifiait simultanément les bombardements dans certaines localités du Pool. Avide de sang, il invite une fois de plus les résistants du révérend Pasteur Ntoumi à rendre les armes, pour un remake des « disparus du Beach ».
Comment peut-on être naïf , au point de croire qu’on pourrait faire entendre raison à un homme qui a imposé une Constitution qui consacre l’impunité en marchant sur les dizaines de cadavres des Congolais (Article 96 de sa constitution), et qui a eu l’outrecuidance de faire proclamer des résultats faux par une cour constitutionnelle illégale ? Ce n’est plus de la naïveté, c’est la mauvaise foi, doublée de calculs politiciens honteux. Non ! Sassou n’est pas digne de confiance, il a toujours cherché à doubler ses partenaires : NToumi, Kolelas père, Mbéri, Yhombi etc…, l’ont appris à leurs dépens. Un dialogue avec quelqu’un qui a une pierre à la place du cœur, est un piège redoutable.
Un gouvernement d’Union Nationale à la Modeste Boukadia est une véritable plaisanterie de mauvais goût, tant, Sassou plomberait toute initiative visant à assainir l’économie. Une telle combine contre le peuple, sous la houlette de Sassou, ne viserait qu’une redistribution de postes entre professionnels de la politique, sans aucune retombée positive sur les populations. Il imposerait ses sbires à tous les postes régaliens ( défense, finance, justice etc…) pour bloquer toutes les bonnes actions gouvernementales.
Un dialogue réclamé à tue-tête par Mathias Dzon et le Collectif des partis d’opposition n’est ni productif, ni souhaitable pour notre pays. Il aurait pour vocation de donner du sang neuf à cette organisation criminelle qui tient lieu de gouvernement, ce qui retarderait son effondrement. La seule épreuve de force qui vaille, consiste à actionner tous les leviers sociétaux de nature à affaiblir ce monstre froid. Dans les conditions actuelles, il est peu probable qu’un dialogue politique ait un sens réel et aboutisse à une résolution pérenne des crises qui se multiplient dans notre pays ( guerre du Pool, affaire de prisonniers politiques, faillite du pays, biens mal acquis etc…).
Dans les relations humaines en général, et sous une dictature notamment, si l’avilissement d’un peuple par un autocrate, peut paraître comme une péripétie dont la fin est écrite d’avance, il n’en demeure pas moins que, la capacité d’organisation, de persuasion et de mobilisation politique, devrait à coup sûr, renverser ce rapport asymétrique.
Au -delà des vraies tractations susceptibles de préparer un projet idoine pour notre pays, il faut se projeter dans la gestion des conditions de l’éviction de tout ce système mafieux au sommet de l’Etat. Le Congo trouverait ainsi l’occasion de pansement des blessures d’un peuple broyé par la mauvaise foi d’un régime cupide, tyrannique, dénaturé et infecté par des transfuges éhontés. L’ampleur du désappointement de ce peuple en quête d’équité, de justice et de liberté n’avait jamais autant atteint son paroxysme. Même à ceux qui lui demandent un dialogue exclusif, Sassou et son clan jouent le pourrissement. Ils risquent, à court terme, d’être désavoués et défenestrés par le réveil brusque d’un peuple prétendu fataliste, longtemps grugé, humilié et opprimé.
Djess Dia Moungouansi
Diffusé le 18 octobre 2017, par www.congo-liberty.org
APPEL AU SOULÈVEMENT DES JEUNES DE PONTON !
Jeunes de Ponton !
Vous dont l’avenir est sacrifié sur l’autel du pétrole qui coule à quelques kilomètres de vos taudis !
Vous qui glandez nuit et jour au rythme des petits boulots de manutention et de très bas niveau !
Vous dont la santé, la scolarité et le bien être sont sacrifiés !
Vous qui n’avez pas d’eau ni d’électricité !
Vous qui ne faites qu’un seul repas par jour au lieu de trois !
Vous qui avez été mis au chômage et vous qui n’avez jamais travaillé !
Vous qui n’êtes plus payé au CFCO et ailleurs depuis des mois !
DEBOUT ! DEBOUT ! DEBOUT ! LEVEZ VOUS !
TELLES LES GRANDES VAGUES DE LA COTE SAUVAGE !
Déferlez dans toute la ville
Occupez tous les lieux de pouvoir
Mairie ! Préfecture ! Aéroport ! Port ! Péages !
BLOQUEZ TOUT ! JUSQU’AU DÉPART DU MONSTRE QUI VOUS OPPRIME !
Vous qui avez caillassé le cortège de sassou nguesso en 2008 !
Pour une fois soyez les premiers à mener l’insurrection qui gronde dans tout le pays !
Soyez courageux ! Soyez ces héros que le peuple Congolais attend !
Au lieu de sortir dans les rues en chantant et en dansant quand le Barça ou le Real gagnent un match,
SORTEZ DANS LES RUES POUR VOUS MÊMES !
DEVENEZ VOUS MÊMES DES VAINQUEURS !
sassou vous a trop longtemps opprimé, maltraité, martyrisé et même massacré !
L’HEURE EST VENUE POUR VOUS DE LE VIRER DE PONTON ET DU CONGO !
VIREZ DES MAINTENANT TOUS CES COMPLICES DE PONTON !
Au premier militaire ou policier qui tirera sur vous ; – MISE EN GARDE
CHERCHEZ ET DÉTRUISEZ SA MAISON ET TOUS SES BIENS !
JEUNES DE PONTON !
Vous qui allez mourir dans la médiocrité et dans la poubelle de l’histoire !
Levez vous !
NE MOUREZ PAS ESCLAVES DES NGUESSOT
TANT QU’A MOURIR, MOUREZ DEBOUT !
ET S’IL FAUT VIVRE, VIVEZ DEBOUT ! FIERS ET DIGNES !
Bien joué cet appel aux jeunes de Ponton
Des appels comme ça doivent être lancés dans toutes les villes du pays.
Un dialogue où sassou veut dialoguer avec parfait kolélas son fils , Bowao , Tsaty Mabiala , Munari , Miérassa qui sont sous protection militaires de sassou à l’instar du récent épisode de Bowao . Laissons sassou mourir par son propre poison , la barbarie Mbochi touche à sa fin faute des finances qu’elle ne pourra pas redresser …
OUI AU DIALOGUE POUR LE DEPART DE SASSOU ET PREPAERER LA TRANSITION ET NON AU DIALOGUE POUR LA CONTINUTE DU POUVOIR DE SASSOU !!!!
Aux diasporaphobes de nous jeter les cailloux , si nous enfants de la diaspora qui sommes responsables de la débâcle financière et sociale de notre pays .
Beaucoup de haines ont été versées sur cette diaspora qualifiée de réactionnaire et anti pays .
Alors où en sommes nous aujourd’hui ???;
Où est allé l’argent ??????
La diaspora est une chance pour le pays , l’utilisation efficiente de son cerveau , est bénéfique à l’ensemble de nos compatriotes , asphyxiés par le sassouisme tribalo -criminel .
La diversification de l’économie du pays , puisera ses forces dans la réhabilitation de l’intelligence transformationnelle qui fait cruellement défaut au CONGO DE SASSOU .
D’où , cette diaspora dans son entièreté , refuse le dialogue avec SASSOU en exigeant son départ immédiat .
Un dialogue pourquoi faire ???; . Pour ne rien faire ;;;;; si ce n’est dire à SASSOU.
PAR ICI ,LA SORTIE …Car le CONGO n ‘est pas un royaume , où il n’est plus possible de rester au pouvoir , en jouant avec la vie des milliers des congolais .
SASSOU , par ici la porte ;;;.Voilà le thème du dialogue .
LE CONGO pourrait connaître le sort du PEROU déclaré inéligible aux ressources du FMI .
Donc une mise en quarantaine .
Pourquoi me direz vous ???
Notre dette étant abyssale , les conditions d’emprunt seront draconiennes Nos remboursements ne doivent souffrir d’aucun retard des paiements , et cela en un an , après le prêt.
Or , notre quote part aux ressources du FMI c ‘est à dire notre cotisation annuelle , est nettement inférieure à notre herculienne dette .
EXPLICATION … si nous versons / an 20 cfa , alors que notre dette est 50 0000 cfa , l’emprunt
est versé au prorata de la cotisation versée ,ajoutée à un petit multiplicateur KEYNESIEN .
LE CONGO ne peut attendre grand chose du FMI , l’ordonnance sera salée , mais il ne paiera pas tous les médicaments en PHAMARCIE ;;;.
IL va chercher d’autres sauveurs , lesquels ne viendront jamais , au regard de notre incurable pathologie .
Le FMI prête sur des durées très courtes , car nous sommes les seuls crévards .La conditionnalité
est le maître mot , de ce prêt .
Vu , LES difficultés de notre balance de paiements , il n est pas possible d’honorer en un an , nos engagements vis à vis du FMI ..
Et surtout , surtout , c’est TANTINE LAGARDE qui décide ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
En gros , nous allons seulement goûter la soupe du FMI , mais le repas , j’en doute ;
LIRE ;;;; CAR NOUS NE SOMMES PAS LES SEULS crévards ;;;
@DJESS nous allons vers un gouvernement d’union nationale .
Tenez , notre cousin à nous ,WANE le chef de mission du FMI AFRIQUE est passé à la table du petit déjeuner .
A son retour à WASINGTHON il dira , à LAGARDE en dépit de sa dette colossale et kilométrique , à n’en plus finir , SASSOU s’est montré orgueilleux , car selon lui , il vous connaît comme sa poche .
AH BON . DIRA LA TANTINE , il va apprendre à mieux me connaître .
Le retour du FMI au CONGO sera un enfer pour SASSOU .
Premières obligations et non des moindres ;;
FORMATION D’UN GOUVERNEMENT D’ UNION NATIONALE .
Avec un premier ministre issu de l’opposition ou de la société civile pour gérer ce petit prêt .
NTUMI ET LES PRISONNIERS POLITIQUES doivent être libres .Puréeeéééééé ;
EN filigrane , ce sera le départ de SASSOU DU POUVOIR ET la FRANCE, aurait béni cette chicotte .
ENFIN , on commence à voir une petite lumière ;;;.
Moi , je recommence à regarnir ma valise ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
suite , note cousin à nous WANE par les temps il faut en avoir un , le leur c’est DSK , aurait lâché ceci à un congolais emmerdeur , soyez tranquille , TANTINE LAGARDE TRAVAILLE à la perte de SASSOU ;PÖPOÖPO¨PO.
Le CONGO AURA son petit chèque , obligation internationale oblige , mais de là à s’offrir une voiture , je ne vois pas comment ,SAUF à gagner au loto ;;;
TANTINE LAGARDE , a mis le curseur sur le CONGO appuyée par la FRANCE , SASSOU SERA
sous apnée et pourra rendre l’âme pour bientôt , car la conditionnalité laquelle SASSOU sera soumis sera à la hauteur de son orgueil .
MERCI, WANE notre cousin à nous .
MERCI , TANTINE LAGARDE ..surtout ne change pas PARDON …PARDON PARDON ….
OUF … ENFIN LE RETOUR AU CONGO , j’irai voir ma mère , mes amis , enfin mes parents ;;;
VU, LA DETTE kilométrique , c’est LAGARDE qui est présidente DU CONGO .
DONC …
Je prie vivement DIEU , que cette CHRISTINE LAGARDE , par le truchement du FMI ,porte l’estocade finale à SASSOU , sachant que le roi est nu et donc prenable ;;;
OH , seigneur guidez , CHRISTINE VOTRE serviteur , afin qu’elle mette tout son talent à dégager tactiquement SASSOU NGUESSO de la présidence du CONGO ;;;.
EMILE BIAYENDA , priez pour le CONGO sous FMI , afin que SASSOU soit anesthésié , par la conditionnalité qui lui serait appliquée ;;;
QUE DIEU Protège notre cousin WANE des desseins corruptibles de SASSOU .
QUE DIEU DONNE LA FORCE DE GOLIATH à CHRISTINE pour terrasser ce virus DE SASSOU
qui nous emmerde depuis 32 ans ;;.
QUE DIEU ENTENDE la souffrance des congolais ;;;;;.
DIEU par tous les moyens , débarrassez nous de SASSOU ( crise cardiaque , avc , sida , prostate etc à vous de choisir ), ON N ‘EN PEUT PLUS ………………..
Sinon on va PLEURER à LOURDES .
AMEN.
La négociation ou le dialogue sont des outils très utiles dans la résolution de certains types de problèmes et ne doivent être ni négligés, ni rejetés lorsqu’ils sont appropriés.
Dans certaines situations qui ne portent pas sur des questions fondamentales et donc sur lesquelles un compromis est acceptable, la négociation peut être un moyen appréciable pour régler des conflits. Une grève ouvrière pour une augmentation de salaire est un bon exemple de conflit pouvant se traiter par la négociation : on trouve un point d’accord situé entre les propositions des parties en présence. Mais les conflits sociaux impliquant des syndicats reconnus sont bien différents de ceux dont l’enjeu est l’existence même d’une dictature cruelle ou le rétablissement de la liberté politique.
Lorsque les enjeux sont fondamentaux, qu’ils affectent des principes religieux, des libertés humaines ou le développement futur de toute la société, les négociations ne peuvent pas trouver une solution acceptable. Sur des questions fondamentales, il n’y a pas de compromis possible. Seul un changement radical des relations de pouvoir en faveur des démocrates peut assurer la sauvegarde des enjeux fondamentaux. Un tel changement s’obtiendra par la lutte et non pas par des négociations.
Le contexte économique et financier du CONGO, est pain béni , pour dépouiller SASSOU des pouvoirs dont il dispose encore sur le pays .
La réforme officielle du SNPC initiée sous la pression du FMI est le signe de l’abandon de cette souveraineté économique .
La recherche des solutions politiques par un dialogue national , participe de également cette logique externalisée ..
Lorsque les grandes décisions politiques et économiques vous échappent , on peut supposer sans risque de se tromper que le pouvoir est vacant et c’est aux congolais de reprendre leur avenir en main .
La dette kilométrique dont on dit qu’elle ne pourrait être absorbée , qu’après plusieurs années , à condition d’avoir un baril au prix fort , de l’ordre de 80 à 100 euros , pendant 17 ans .
Pour l’heure , nous en sommes très loin , et notre capacité de remboursement s’en trouve obérée .
La dette officieuse est chiffrée à plus de 6500 milliards de CFA , ajoutée à la dette officielle de 5360 milliards , le montant de la dette se chiffre à plus de 12 000 milliards de CFA .
lire ;; pain bénit
Ce montant de la dette est d’autant plus vrai que SASSOU et famille l’ont utilisé à leur profit , et la politique de municipalisation , dont les réalisations ont été financées par la CHINE sur pétrole gagé ,n’a jamais eu aucune incidence sur le budget du CONGO .
SASSOU ET FAMILLE ont vécu sur du cash issu des recettes du pétrole cependant tous les investissements réalisés au CONGO l’ ont été , sur des dettes gagées ;
Cette dette infinie hypothèque largement les chances de l’émergence de notre pays ;;;.
C’est une arête au travers de notre gorge , et ceci , pour longtemps .
De ce qui précède , c’est au FMI de tirer les enseignements rationnels , pour subordonner le crédit à des conditions politiques et économiques draconiennes , susceptibles d’effacer cette mégestion des affaires économiques et financières sur notre pays .;;;;.
SASSOU MEDIATEUR SUR LA CRISE AU KENYA ,,,,????
OKO MONTRANT LA MER à PAMBOU ;;;;;;;;;;;;;
Chers compatriotes
Ne soyez pas cardiaques sous SASSOU, UN FOU , c ‘est le cerveau à la renverse des actions similaires , on en verra de plus en plus ,car il est question de légitimer et cacher à la communauté internationale la dictature la plus sauvage qui s’abat sur le CONGO ;;;.
Avec ce comportement hallucinant qui défie les lois de la nature , vous avez facilement imaginé , dans quel esprit est dirigé notre CONGO ;;;
C’est incroyable , SASSOU ramasse tout ce qui voltige en AFRIQUE .
Et les douze Hôpitaux régionaux dont le gros oeuvre pour la plupart était achevé qu’en est-il ????
Alors que nous n’avons même pas les moyens de faire fonctionner l’existent et terme de matériel et de compétence humaines.
Ce pays est maudit ????
Lire:
« l’existant en terme de matériel et de compétence humaines » .
Les douze hôpitaux fantômes , une astuce pour masquer ces tricheries .De toutes les façons ,ce sont investissements étrangers ,qui ne sont pas supportés par le budget congolais .
La finalisation de ces travaux , dépend des caprices des prêteurs illégitimes .
Les compétences humaines , on attend les petits congolais cubanisés ;
Les matériels hospitaliers restent dans l’imaginaire des NGUESSO .
Au final , pas d’HOPITAUX crédibles au CONGO DE SASSOU .C’est la blague hospitalière ;;
CE PAYS est pluri -maudit .
On peut pas négocier avec Sassou Nguesso et sa clique, ainsi son PCT adeptes à outrance de fétiches, pratiques sataniques manquent d’intégrité et dominés sans fin par la haine envers une partie du peuple . Ils sont intellectuellement, moralement incapablent de continuer à diriger le Congo.« Bakongos ba bomi Ngouabi ».( Les Bakongos ont tué Ngouabi. )Lancée et instrumentalisée par Sassou Nguesso en mars 1977; entant réel de Ngouabi,cette phrase a fait son cheminet a laissé curieusement les mains libres à Sassou Nguesso, l’un des plus grands criminels, assassins, terroristes de ce monde de se lancer au massacres des Bakongo-Laris au Congo. 40 ans,après ce massacre Sassou Nguesso, président autoproclamé,agissant en criminel,barbare, terroriste n’a pas cessé de replonger le Congo dans l’horreur et se livrer aux génocides contre le peuple, contre les Bakongos, Laris au Congo. Après le premier génocide de 1998 à 2003 qui a occasionné l’affaire des disparues du Beach, Sassou Nguesso et sa clique se livrent depuis le 4 avrir 2016 aux bombardements, aux massacres des Bakongos, Laris dans le Pool par les hélicoptères et avions de combat par son armée – milicice tribale et éthique dominée à plus de 95% nos frères du Nord sous prétexe d’aller à la recherche Ntoumi. »La prolongation violente, brutale, meurtrière, et injustifiée da de massacrer les Bacongos-Laris dans le Pool est un crime contre l’humanité et suffisent pour démontrer le caractère ultra criminelle, génocidaire de Sassou Nguesso qui se prétend président du de la république du Congo ainsi que celui de son clan, mais aussi sa haine qui l’anime tous les temps, la volonté viscérale d’écraser le Pool, de vider le Pool de toute présence Kongo-Laris.“ Ceux qui accordent la moindre attention au prétexte invoqué contre Ntoumi, sont tous des idiots. Comment accepter les accusations si maladroite d’une dictature cruelle et oublier tout ce que Sassou Nguesso qui marche sur les cadavres avant Ntoumi ne soit là?
Comment un homme, un président peut se comporter de la sorte. Comment les Congolais dans leur ensemble sont t’ils arrivés à suivre jusqu’ici Sassou Nguesso, le monde civilisé à fermer les yeux dans ses sentiments etniques et tribalistes aux pensées et agissements d’un Hittler.La chanson d’ un très grand nombre de jeunes Congolais, ressortissants du nord est honteusement devenue : « toko silissa na bakongos », « toko silissa bakongos ».
Depuis le retour de Sassou Nguesso et son PCT aux affaires à la faveur du coup d’Etat de juin 1997; le plus sanglant de l’histoire africaine, le Congo tout entier est gangrené par la corruption qui génère la médiocrité élevée tristement au rang de savoir-faire et de vertu.“ En quarante neuf ans de regne Sassou Nguesso et son pct se sont montrés incapables de reunir tous les Congolais autour d’un projet de société .Seuls le détournement massif des deniers publics, la malgouvernance, les génocides, les biens mal acquis, des emprisonnements des opposants polititiques, des jeunes manifestants, des guerres contre le Pool ( Bakongos-Laris), la terreur, des dettes montres, manque d’hopitaux, d’ eau, d’ éléctricité et de liberte sont à l’ordre du jour.Sassou nguesso et sa clique, ainsi son PCT adeptes à outrance de fétiches, pratiques sataniques manquent d’intégrité.Ils sont intellectuellement, moralement incapablent de continuer à diriger le Congo. En dehors des biens mal acquis, Sassou Nguesso dépense énormement de l’argent du Congo pour soigner son image, pour sa propagande, faire passer la désinformation de son pouvoir sans patage .Le tyran Sassou Nguesso et clique sont toujours à l’oeuvre pour corrompre et contrôler toute la presse nationale, les médias internationaux. Un très grand nombre de Radios, Télévisions, presses écrites publiques ,privées, sites WEB, ainsi que politiciens,hauts fonctionnaires des organisations internationales de ce monde recoivent de l’argent de la part du tyran Sassou Nguesso et clique pour rendre du service au tyran pour la désinformation du pouvoir ou pour se taire face à temps d’agissements pervers , néfastes.
Attention à ceux qui ne cesse de demander le dialogue. Combien de dialogues avons nous jusqu’à présent avec Sassou l’hitler de l’Afrique et sa clique. On ne peut pas d’ailleurs dialoguer avec ces gens passibles de crimes répetés contre l’humanité, ces terroristes qui ne connaissent que la loi du plus fort.La place de Sassou et sa clique est la prison CPI la seule chose qui vaille la peine est de lutter pour la liberation de notre pays pris en otage par Sassou , président auto proclamé aux origines ouest-africaines ;qui n’ a pas voulu s’ intégrer et sa famille, sa clique aidés par la francafrique qui trouve sa part dans ces tueries, le désordre, voires la disparution d’une partie du peuple éveillé qui depuis la colonisation s’est radicalement, courageusemement opposé contre la domination, l’exploitation, le neo-colonialisme.
Il faut continuer à faire pression `Sassou Nguesso. Il faut que les prisonniers soient libérés. Il faut que les tuerries, les bombardement dans le Pool prennent fin. Et surtout pas de dialogue avec Sassou et co-. Il fsut soutenir Ntoumi pour une resistance séruse qui mettra fin à la dictature immonde.On ne peut pas d’ailleurs dialoguer avec ces gens passibles de crimes répetés contre l’humanité, ces terroristes qui ne connaissent que la loi du plus fort.La place de Sassou et sa clique est la prison CPI la seule chose qui vaille la peine est de lutter pour la liberation de notre pays pris en otage par Sassou , président auto proclamé aux origines ouest-africaines ;qui n’ a pas voulu s’ intégrer et sa famille, sa clique aidés par la francafrique qui trouve sa part dans ces tueries, le désordre, voires la disparution d’une partie du peuple éveillé qui depuis la colonisation s’est radicalement, courageusemement opposé contre la domination, l’exploitation, le neo-colonialisme.
Mon cher Djess, ton article sur le dialogue est un second coup de maître après celui sur le franc CFA. Je me régale en te lisant, et j’espère que tu vas continuer ainsi.
Dommage que ceux qui interviennent dans les commentaires sont hors sujet, et abordent des sujets qui sont loin de celui que tu traites. Un peu de rigueur intellectuel rehausserait davantage le niveau des débats.
Comme disait, Saint Simon, pas de liberté aux ennemis de la liberté, nous devons dire aujourd’hui la même chose concernant le dialogue, à savoir, pas de dialogue aux ennemis du dialogue. En effet, le dialogue chez Sassou n’est pas dans l’inclusivité, mais au contraire dans son incapacité notoire de dialoguer. Et tous ceux qui veulent lâchement appâter le dictateur dans un dialogue, dans l’espoir d’une cogestion du pouvoir par la suite se trompent. La voix du peuple, seul souverain primaire, doit être entendu. Sassou doit partir par tous les moyens possibles.
Pourquoi cette opposition d’agneaux , habituée à des solutions faciles, au lieu d’attaquer le mal par la racine de l’arbre s’évertue de couper les branches malades qui ne sont que la manifestation d’un mal plus profond. Il faut changer de paradigme.
Pour ma part, le dialogue avec le régime criminel de Brazzaville, est un aveu d’impuissance et d’irresponsabilité de la part d’une certaine opposition qui le réclame. Cette opposition archaïque et anachronique, a ses propres intérêts à défendre, qui sont loin de ceux de nos concitoyens. Pour preuve, pendant que le peuple n’a plus d’hôpitaux et des écoles, certains opposants égocentriques pensent bêtement aux gardes affectés par l’État pour leur sécurité. La sécurité du peuple « connaît pas » disait une dame interviewée à Brazzaville.
Il me semble en tout cas , que cette opposition prévisible, qui annonce ses lieux de rencontre, aux sbires du pouvoir a atteint ses limites, elle ne peut plus aller au delà. Dommage que nous continuons à lui accorder une importance qu’elle ne mérite en réalité. C’est une opposition composée de fieffés et de filous. Sassou s’en amuse, on ne peut pas être opposant au dictateur, et avoir en même temps bénéficier financièrement des largesses du pouvoir. Ces opposants intermittents sont nombreux, et Sassou en privé parle d’eux comme des oiseaux qui ont picoré dans sa main. Ils sont peu crédibles à ses yeux, et il n’a pas peur d’eux. Il faut le savoir !
Que faire ? La question essentielle que se posait déjà en son temps, Lénine. Notre combat est un combat populaire, c’est au nom du peuple qu’il faut mener ce combat, et non sous l’égide de telle ou telle autre personne. Le peuple a démontré par le passé qu’il était capable de changer la donne et de renverser le pouvoir, n’eut été une fois de plus la complaisance complice de l’opposition. C’est le cas notamment des manifestations de Pointe Noire et de Brazzaville le 27 septembre 2015.
Comme le souligne justement Djess, aujourd’hui tous les ingrédients sont réunis pour une opposition juste et efficace , capable d’embraser le pays par des actions tous azimuts .
Pour terminer, dans un contexte de dictature, un dialogue tel qu’il soit est stérile et inefficace, on ne discute pas avec un dictateur, on l’affronte. Tout comme dit l’adage, il ne faut jamais manger avec le diable, même avec de longues fourchettes, car il finira par vous attraper. Le dialogue est un attrape nigaud.
alias Balonga Geoffroy Justin = Djess Dia Moungouansi
.
LE DIALOGUE est né de la pression du FMI , et ne pas le comprendre , c’est une étourderie intellectuelle .IL ne découle nullement d’une démarche patriotique de l’assassin SASSOU .
Aujourd’hui , l’un ne va pas sans l’autre .;;;..
Je dis pas de dialogue avec M 8% himself. Dialoguer avec lui sera une occasion pour lui de repérer ses futures victimes. Car il n’aime pas laisser de témoin. A bon entendeur salut.
@ « C’était la République Populaire »
Je viens de lire avec stupéfaction tes elucubrations qui frisent le ridicule. C’est un euphémisme en le disant. C’est plutôt le comble du ridicule.
Vois-tu cher Monsieur, mes écrits jonchent le net depuis bientôt une vingtaine d’années, avant la naissance de Facebook. Je n’ai pas toujours fait l’unanimité sur certains textes, mais je n’ai pas besoin de jouer à une fausse autosatisfaction .
J’ai hésité avant de réagir en voulant laisser les choses basses mourir de leur propre poison, mais par respect au compatriote Balonga qui n’est pas moi, j’ai jugé mieux de réagir.
J’aurais aimé que tu réagisses sur le fond du texte, mais est ce que ton indigence intellectuelle te le permettrait? That’s the question.
@Balonga Geoffroy,
Je te remercie Cher compatriote, n’en déplaise à cet égaré ci-dessus incapable d’assumer ses propos qui, avec une légèreté déconcertante me prend pour toi.
Qu’à cela ne tienne, nous avons le devoir de porter le couteau dans la plaie en essaillant de dessiller certains, par la force de l’argument.
Certains phénomènes sont mal gérés parce qu’ils sont simplement inintelligibles.
Nous avons l’obligation de porter l’estocade à la barbarie, au népotisme, au tribalisme et á La médiocrité.
Bien à toi
…lire » en essayant de dessiller »
Les masques baisent inlassablement le sol.
Momeli ya massanga andimaka kuiti te, mama.
Alors là Djess tu m’as fait bien rire avec le propos ci-dessous:
» mais est ce que ton indigence intellectuelle te le permettrait? That’s the question. »
C’est comme si ce site est de plus en plus fréquenté par des indigents intellectuels.
Bref, après tout ce que Petit Satan a fait aux congolais, je m’imagine mal une personne saine d’esprit envisager un quelconque dialogue avec lui. Négocier quoi avec un tel contre-homme? Il ne faut pas donner à cet individu une once d’humanité qui l’a quitté très tôt dès le jeune âge.
Un être humain ne peut causer autant de tort à ses compatriotes comme l’a fait cet individu luciférien : assassinats, endettement du pays à plus de 120% du PIB, pillage des deniers publics à hauteur de plusieurs dizaines de milliards de dollars, ethnicisation de l’appareil d’état, paupérisation de la population, etc. Dans ces circonstances que peut bien être l’objet du dialogue avec un tel individu?
Soyons très rigoureux dans nos pensées et actions. Petit satan n’est pas du même monde que le commun des congolais. Il n’a que les apparences d’un être humain. Aussi, ne nous trompons pas cette fois-ci vu qu’il nous avait bien eu après la Conférence nationale de 1991. Comme tout bon criminel, il est revenu sur les lieux de ses crimes en les multipliant au centuple.
@Bakala Telema,
Je ne peux pas me permettre des telles injures aux personnes respectables qui viennent consulter ce site. Cependant, quand un égaré, incapable de donner son point de vue sur un texte, joue à la diversion, notamment en voulant me faire passer pour quelqu’un qui joue l’autosatisfaction, c’est mon droit de recadrer les choses.
C’est aussi simple que ça. Sassou a plongé ce pays dans une telle médiocrité que tu verras que des sujets importants sont jetés aux orties et tout le monde est obnibulé par des sujets de caniveaux. C’est une des forces de la dictature. En tuant le système éducation et en mettant en avant des futilités, la dictature compte éloigner la population de leurs préoccupations qui seraient: manger, se soigner, envoyer les enfants à l’école etc…
Incident clos…
Trop pour rien du tout, ça en dit des longueurs. Le congolais est sans équivoque, un nain, pas tout court mais en tout et pour tout.
Qui se sent morveux se mouche en silence et ne délire pas. Même les pygmées qui se croiraient intelligents n’ont jamais cru que Tournesol Lissouba était le plus instruit dan les pays du Niari, encore moins le plus intelligent au Congo. Les lapins ne diront pas le contraire…
Nzete etengama bomwana, Djo. Liloba ya suka lua basengui kaka meleci.