L’histoire commence au printemps de 2014, lorsque nous recevons une mystérieuse enveloppe au bureau lausannois de la Déclaration de Berne (DB). Expéditeur inconnu. Ce courrier contient un « contrat à terme d’enlèvement de fuel oil destiné à l’export ». Daté du 30 mai 2013, il a été conclu entre une fi rme nommée Philia et la Congolaise de raffi nage (Coraf), une société qui appartient à 100 % à la Société nationale des pétroles congolais (SNPC). Celle-ci est elle-même détenue intégralement par l’Etat de la République du Congo. Le signataire du contrat et administrateur général de la Coraf n’est autre que le fils du président congolais, Denis Christel Sassou Nguesso. Il s’agit d’un personnage notoirement corrompu. Le nom de Philia ne nous est pas inconnu.
Nous avions repéré cette petite structure domiciliée à Genève à la fin de l’hiver de 2014, lors de recherches sommaires effectuées sur des sociétés de négoce liées à des personnes exposées politiquement (PEP). Nous l’avions alors écartée d’une liste destinée à être publiée, faute de pouvoir établir rapidement l’appartenance de son unique actionnaire, Jean Philippe Amvame Ndong , à cette catégorie de personnes. Ce courrier anonyme marque le point de départ d’une enquête approfondie sur les relations d’affaires entre Philia et la Coraf, afin de déterminer si, et dans quelle mesure, la société de négoce genevoise bénéficie de clauses qui la favorisent aux dépens des finances publiques de l’Etat congolais. Au fil des mois, notre source nous a fait parvenir des dizaines d’autres documents, des factures, des contrats ou encore des listes de comptes bancaires. Si elle a finalement décidé de nous révéler son identité, elle a choisi, pour des raisons évidentes, de rester dans l’ombre. Nous respectons cette volonté.
Des sources compétentes mais anonymes
Le contrat entre Philia et la Coraf est la pièce maîtresse de cette enquête. Nous l’avons soumis à différentes sources, expertes dans le domaine, afin qu’elles décryptent ses termes, par essence rédigés dans un jargon technique, et nous aident à identifier d’éventuelles irrégularités ainsi qu’à comprendre les implications de ses clauses. D’autres personnes interrogées nous ont permis de mieux connaître Philia, son personnel, ses activités et son histoire. Enfin, certaines sources nous ont renseignés sur le contexte congolais. En tout, une vingtaine de personnes ont été sollicitées dans le cadre de notre enquête.
Certaines de nos sources ont refusé d’être citées, même sous couvert d’anonymat. Toutes celles qui ont accepté l’ont fait à la condition formelle que leur nom ne soit pas divulgué, même lorsqu’elles n’avaient pas directement ou indirectement partie liée aux activités de Philia. Telle est la règle dans l’univers très secret du négoce. Nous respectons leur volonté, mais avons choisi d’en citer certaines anonymement, parce que leur témoignage est important ou car elles sont les seules à détenir une information.
Philia tente d’interdire toute publication
Nous avons également tenu à confronter les parties impliquées, qu’il s’agisse des dirigeants de Philia ou de la Coraf, en leur adressant des questions précises. Entre juin et décembre, quatre rencontres ont eu lieu avec les responsables de Philia. Ceux-ci ont également pu se positionner par écrit et relire la retranscription de leurs réponses.
Malgré cela, plusieurs de nos questions sont restées sans réponse. Lire l’intégralité du Rapport DB_Un_contrat_raffine_Enquête_Fevrier_2015
Le propre d’une dictature est d’avoir pour fondement le népotisme et le despotisme. C’est donc un pouvoir autocratique.
Il n’est donc pas étonnant que la corruption en soit la religion d’État.
Et l’impunité la règle normative de droit.
Heureusement pour nous… Tout a une fin.
Un bien mal acquis ne porte pas aussi bien son nom.
Les voleurs ont 99 jours et le 100ème, c’est pour le peuple.
http://youtu.be/O8p92lUnXKc
LE CONGO DÉPLUMÉ PAR LE CLAN ET LES PROTOTYPES MBOCHIS DE PONEL
Ce document met à jour les mécanismes de société écran qui sont en place au Congo de Sassou pour piller le pays avec une féroce voracité. Ce genre d’arrangements suspects se retrouvent déja avec CORAF et les Américains selon FRANCOIS VERSHAVE. Un apercu avec les sociétés créées sur fonds publics:
– LCB et BANQUE DE L’HABITAT pour ONDONGO, ONANGA
-BGFI pour SASSOU et OKEMBA
-sphynx pour KIKI SASSOU, GOKANA, ADADA
– ECCAIR AERCO, CONGO HANDLING pour BOUYA ET OSSO ADADA
-SOCOTRAM pour WILLY NGUESSO
-etc
Le reste Tunisiens, marocains Italiens ne sont que de prête-noms…
Les congolais naissent égaux en droit, en libertés fondamentales et au droit à la vie, à la citoyenneté, à la communauté, à la société et à la civilisation. Mais depuis l’indépendance du Congo Brazzaville et jusqu’à nos jours, ils attendent toujours le décret d’application.
Débat de droit, de liberté de conscience et de civilisation !
Un état ou un peuple qui ne punit pas ses criminels barbares (homicides volontaires) ou politiques (haute trahison, assassinats politiques) et socioéconomiques (biens mal acquis, etc) est un état ou un peuple qui, inéluctablement s’enfonce et s’enfoncera toujours dans le non-droit, la loi du plus fort, l’impunité et dans la dé-civilisation.
PUNIR LES NGUESSO SANS ÉTAT D’ÂME EN FOUTANT EN TAULE SANS SCRUPULE !
C’est pourquoi et au plus profond de moi-même, je limite pour l’instauration d’une nouvelle administration judiciaire et pénitentiaire indépendante après la dictature hors-la loi en mode DSN.
Les premiers prisonniers seront d’abord tous les criminels ayant agit en toute impunité pendant le régime Sassou Nguesso: enfants, famille, clan, dignitaires, valets & co.
Plus ces gens seront incarcérés pour de nombreuses années – c’est plus de vie et de droit pour le citoyen, la démocratie et la civilisation.
Ces gens incarcérés devraient non seulement réparer leurs crimes envers la société, la collectivité et l’état – mais ils doivent aussi être rentable pour le développement économique du Congo post dictature Denis Sassou Nguesso.
En effet, le prisonnier quel qu’il soit sera nourrit et soigné et en contrepartie, il sera utilisé pour l’intérêt général, c’est à dire servir comme main d’œuvre gratuite pour les travaux d’infrastructures et de grands travaux de construction du pays.
Ce système de main d’œuvre gratuite sera continuellement amélioré et fonctionnera à plein régime tant que les anciens dignitaires DSN seront derrière les barreaux….
A suivre !!!
LES UNIVERSITAIRES DE L’APOCALYPSE DU SYSTÈME:
LES PLUS DÉTESTABLES
ADADA: Talleyrand sans panache de Boundji, (car il n’a rien écrit mais surtout trahit). Sinistre d’Etat Caniche d’un tandem de chieurs d’ascaris économiques: OSSO-BOUYA.
BAKABADIO: Raspoutine de Président Sangsue et corbeau des cérémonies qui annoncent la fin du système.
ONDONGO: Alias NECKER de KONA KONO, Contrôleur général des finances des catacombes. Economiste de la banque route marécage