Ᾱ la mémoire de tous ces innocents que l’on sacrifie pour la sauvegarde du pouvoir
Ce 16 décembre 2013, il faut voir quand mon rêve s’est transformé en cauchemar et comment il a commencé. Un satyre nu, le pied-bot, celui de gauche, paradant gaillardement avec ses airs revêches, un peu sinistre, dansait devant un parterre de juges et de prélats à genoux. C’est un matamore, plus lâche que vantard, une silhouette, un fracasse, au retournement constant qui le définit.
Sur l’estrade, recouverte d’une serge de couleur cardinale, se tenaient derrière le feu-follet un « putto » lanceur de flèches, des matrones énormes qui applaudissaient une centauresse en vitrine qui officiait une messe noire.
Le satyre, un individu annulé et effroyable, soudain devint, pour le bien de tous et pour la quiétude des esprits, un accusateur exalté et méprisant. Une sorte de porte-parole des petits et des sans-grades.
Devenu misanthrope, il déclara la chasse à courre ouverte, une battue, la chasse au colonel N’Tsourou, un quidam à la fois lucide et halluciné. Ce parvenu de Sassou, devant les élites et les experts, devant une intelligentsia angoissée, face à une crise de la représentation, s’arroge d’une part le monopole de la raison et d’autre part, le racisme social des classes dominantes. L’on se rappelle Machiavel « Gouverner au nom d’un groupe, c’est aussi faire croire à l’existence de ce groupe ».
Face à ces turbulences, face à ces leaders qui se comportent exactement comme des conquérants, nous avons la légitime possibilité de nous exprimer par nous-mêmes. Par rapport à l’arène politique locale, nous sommes des flottants, tous nos droits sont lésés, aucune légitimité sur les terres et le sous-sol.
Pour ce faire, nous devons dénoncer, publier, parler et nous réunir afin de mobiliser les masses populaires. Face à nos responsabilités, face à cet essentialisme stratégique, nous sommes les tenants des identités verticales, nous avons un rôle dans le processus de visibilisation, des laissés-pour-compte à l’intérieur du Congo et au bafoués de la diaspora, les voix des sans-voix, les subalternes.
Dans mon rêve qui tournait au cauchemar, tout n’était que turbulences sur l’estrade de couleur cardinale, tous avaient un air de famille. Ᾱ la tranquillité de leurs visages moroses, ils paraissaient raides comme des cadavres embaumés.
Dans cette ivresse des bacchantes, la centauresse et les énormes matrones poussèrent leur cruauté jusqu’au sublime de l’horreur. Le satyre haineux, nihiliste et désespéré faisait le procès d’une société, il lisait la sentence.
La peur engendre la haine, mais de quoi Sassou a-t-il peur ? Il veut se rassurer, se faire plaisir à bon compte, se mentir à lui-même et aux autres. Mieux vaut la lucidité que les mauvais sentiments. Hélas, le présent ne succède qu’à lui-même. Dans sa rage vagabonde, tous ses succès guerriers sont un critère de valeur et non une part de contingence pense-t-il, le peuple Kongo a un statut de renonçant, dans un monde où la violence sporadique est réelle.
Dans mon rêve qui tournait au cauchemar, le satyre était un fantôme des ténèbres, dans sa perversion fétichiste, il reniflait la mort comme un possédé, s’abandonnant dans une transe orgiaque.
Aujourd’hui, tout le Congo est rempli d’angoisse, humble devant toutes les scènes de silence.
Le satyre règle ses comptes afin de préserver son niveau de vie, son style de vie. Conservateur et populiste patrimonial, il est tout le temps et résolument dans son exclusionisme.
Ᾱ bien l’observer, il ressemble à un sosie de la brute. Le double du sot animal de la fable. Le territoire est dans un état de mise en demeure, toute la haine de Sassou est arrivée à murissement, chez lui comme chez les fauves, l’altérité n’est point essentielle, la raison du plus fort.
Toutes les forces d’élites de criminalité sont dans son camp. Au quotidien, l’usage potentiel de la corruption, le fourvoiement des institués contre la plèbe, cette sève venue d’en bas.
Regardez-les : ce chœur des âmes paysannes, la voix des faibles, la voix juste du peuple souverain, la conscience collective, les journaliers, le bon sens originel, les opinions de rejet, les influences, la veille des idées, ils sont tous devenus, dans ce Congo maudit, des crasseux, des parias existentiels pour un sou, pour un cornet de frites, pour les boyaux d’une biche.
Dans ce Congo étouffé, tous les anciens lanceurs d’alerte sont épuisés. Ils sont victimes des excès à la mesure des répressions. Leur esprit n’est plus une âme, ils ne se battent plus, ces derniers sont sobres devant ce haut niveau de distorsion morale.
Ᾱ l’université et dans d’autres sphères de réflexion, la lassitude et un ras-le-bol inexorables. Les conférences ne valent pas grand-chose devant cette acceptation résignée. Ici et là, les faits de systématicité sont dans la main tendue. L’apitoiement de soi est devenu un système de disposition, une structure, une échelle et une catégorie de pensée. Toute la vie est dissipée, regardez l’inertie des citoyens. Tous les partis dits de l’opposition sont des coquetteries théoriques qui marchent à la baguette et à coups de millions.
Mon bon bougre de satyre a dressé les huis-clos à l’échelle de la Nation.
Là-bas, on ne résoudra pas nos problèmes avec les modes de commandement qui les ont engendrés, face au bourrage de crâne et à l’extrême professionnalisme de la propagande. Le Congo est un jeu de pouvoir et d’abjection.
Malgré les imprécations, les jurons, les souhaits et les répétitions « Va-t-en Sassou, va-t-en, il le faut Sassou, il le faut, que tu partes », que diable rien ne vient à l’horizon. Dans cette belle capitale, Brazzaville, ce 16 décembre 2013, on a entendu des détonations, l’écueil, les turpitudes, les morts dans la rue, des rumeurs grinçantes et menaçantes, l’étrave. Face aux hommes libres, parmi la saulaie, les houles, les nénuphars du fleuve Congo se sont tus. Cette flore, naïve, prude, vertueuse et honnête face à la barbarie des hommes. Dans son art de corrompre et sa puissance de nuire, mais d’où vient que chez Sassou la répulsion s’accompagne toujours d’une étrange attraction ?
Mon bon bougre de satyre, virtuose de la manipulation, continue à semer le vice et la perversion. Même dans sa mauvaise foi, un corps qui se corrompt est comme un cadavre. Tout repose sur l’absurde, point de suture on ne peut rien repriser, ce qui a été déchiré est un manque impitoyable et foudroyant. Pourquoi le Congo est-il devenu une montagne de tous chemins à l’état de chaos ?
Et pourquoi ce noyau d’obscurité ? Peut-être pour éviter que la vérité n’apparaisse ?
Dina Mahoungou le 27 décembre 2013
Ecrivain et journaliste médias
Auteur du roman : « Agonies en Françafrique » aux éditions l’Harmattan.
Auteur du recueil de nouvelles : « Les parodies du bonheur » aux éditions Bénévent.
Votre texte m’a beaucoup ému d’autant qu’il est écrit à la mémoire de tous ces petits qui ont
été injustement massacrés.
Merci pour eux et pour leurs familles.
Bien à vous.
Pourquoi on est arrivé à « un abominable bain de sang ayant entraîné plusieurs morts » pour une opération de symple opération de police par le dictateur Sassou Nguesso?
La démonstration de force ordonnée par Sassou-Nguesso contre Marcel Ntsourou doit enfin beaucoup apprendre aux Congolais de réfléchir et s’unir contre le grand mal, le danger permanent qui est Sassou Nguesso, le génocidaire.L’ opération des troupes gouvernementales (G.r.b (Groupement de répression du banditisme) et un détachement militaire du G.p.c (Groupement para-commando), le corps d’élite des F.a.c (Forces armées congolaises), avec l’appui d’un hélicoptère ».) qui a donné l’assaut contre le domicile du Colonel Marcel Ntsourou n’avait pour but que l’élimination physique du colonel et de tous les gens qui se trouvaient avec lui afin de mieux appeurer les Congolais d’aller contre son pouvoir sanglant. Sassou Nguesso qui a dirigé l’opération macabre avait tout le tout de priviléger le dialogue. Il ne l’a pas fait.Il préferer aller massacrer les gen et terroriser à la fois la population et d’autres militaires, individus » qui seraient tentés de menacer son pouvoir ».
Le colonel Ntsourou en se déclarant favorable de faire des révélations sur les crimes contre l’huminité; sur l’affaire des disparus du Beach de Brazzaville dont est sont accusés Sassou et complices,était devenus un élément à faire disparaitre sans retard. Contrairement à ce qui était avancé, Ntsourou n’avait d’armes lourdes chez lui. Ces armes n’ont pas du tout été es chez .Il avait une petite garde reprochée. Les corps qui gissent par terre, ne portaient ni armes, ni des explosifs qui attestent qu’ il ya avait une milice chez lui. Les dits miliciens n’ont pas été trouvés et exibés.
La quasi totalité des morts étaient des civils, les membres du personnel, femmes de ménage et quelques jeunes sympathisants. Pourquoi le pouvoir de Mpila/Brazzaville interdit les familles de victimes du massacre du 16 décembre 2013 à se rendre aux pompes funèbres pour identifier les cadavres. Pour quelle raison la femme de Ntsourou et sa fille de 16 ans sont incarcérées à la maison d’arrêt de Brazzaville?Pourquoi le colonel Ntsourou est interdit de se procurer des produits pharmaceutiques pour ses soins alors que son état de santé devoint de plus en plus critique?
Sassou Nguessou et clique doivent etre accusés et poursuivis pour crimes économiques, crimes contre l’ humanité terroriser à la fois la population et d’autres officiers qui seraient tentés de menacer son pouvoir.
http://www.mwinda.org/78-demo/slideshow/229-brazza-la-paix-des-cimetieres-regne
http://www.starducongo.com/Patrick-Eric-Mampouya-Une-psychose-s-est-installee-a-Brazzaville_a8830.html
Tsourou pensait que les casernes allaient se soulever mais il a oublié que l’armée a perdu ses écuries de 1997. Elle est aujourd’hui plus homogène autour de Sassou. Il pensait que ceux qui étaient ses amis de 1997 l’étaient encore oubliant ainsi que le pouvoir (militaire) a aussi sa propre dynamique. Quel ignare ce Tsourou …
Et puis les gars, en la matière il faut savoir choisir ses armes: militairement il sera difficile de le vaincre sauf intervention extérieure.
Le moment venu et compte tenu du discours très tribal que nous avons au Congo, les NGALAS finiront par se rallier à Sassou de peur que les laris (allez voir le discours sur zenga mambu) leur fasse du mal et Sassou le sait.
QUELQUES QUESTIONS: NOUS AVONS TOUS VU ET REVUE LES PREMIERES IMAGES DU CARNAGE DU 16 DECEMBRE 2013. ALORS MA QUESTION EST CELLE CI: OU SONT PASSEES LES ARMES DE NTSOUROU. QUI A VU UN CORPS PARMI LES VICTIMES AVEC L’ARME A COTE OU TOUT AUTRE OBJET MILITAIRE SUPPOSE DANGEREUX? POURQUOI DEPUIS 2 SEMAINES LES ARMES NE SONT PAS MONTREES AU PEUPLE CONGOLAIS TERRORISE PAR LA « SIMPLE OPERATION DE POLICE »? NTSOUROU EN PRISON DEPUIS 17MOIS ET DONT LA MAISON A ETE PERQUISITIONNEE PLUSIEURS FOIS ALORS QU4IL EST ARRETE POUVAIT IL AVOIR ENCORE AVOIR CONFIANCE EN CE LIEU POUR VENIR GARDER LES ARMES ALORS QUE SON VOISIN IMMEDIAT C’EST LE CHEF D’ETAT MAJEUR ET UN PEU PLUS LOIN L’ARRIVISTE NEVEU DU DICTATEUR PERVERS ET MENTALEMENT DESEQUILIBRE, LE COBRA ROYAL?
Le cas du Colonel Marcel Ntsourou qui n’ est certes pas un ange; mais qui a fait preuve d’un courage en disant haut et fort des vérité, bien que trop osé et irréfléchi pour sa propre sécurité et celle de son entourage, mérite d’ interpeller tout Congolais, citoyen de ce monde épris de la justice sociale, de la paix dans la lutte contre le régime sanguinaire, tribaliste et mafieu qui sème l’insécurité, met la paix en danger, viole chaque jour les droit de l’homme au Congo.Combien de temps il faut encore laisser tranquillemenr Sassou Nguesso à tromper le monde, à continuer de monter des coups pour massacrer et emprisonner les gens, semer la terreur et la misère des Congolais?
Pourquoi on est arrivé le 16 décembre à « un abominable bain de sang ayant entraîné plusieurs morts » pour une soit disant opération de police par le dictateur Sassou Nguesso qui dont les forces d’ordres sont plus aptent à semer la mort, la désolation aux propres compatriotes et sont incable d’ opposer aucune résistance face à une invension?La démonstration de force ordonnée par Sassou-Nguesso contre Marcel Ntsourou qui a fait tant de cadavre est un crime contre l’humanité. Les Congolais doivent porter plainte et doivent enfin comprendre la varité réelle et s’unir contre le grand mal, le danger permanent qui est Sassou Nguesso, le génocidaire.L’opération des troupes gouvernementales (G.r.b (Groupement de répression du banditisme) et un détachement militaire du G.p.c (Groupement para-commando), le corps d’élite des F.a.c (Forces armées congolaises), avec l’appui d’un hélicoptère ».) qui a donné l’assaut contre le domicile du Colonel Marcel Ntsourou n’avait pour but que l’élimination physique du colonel et de tous les gens qui se trouvaient avec lui et terroriser à la fois la population et d’autres officiers qui seraient tentés de menacer pouvoir sanglant ».
Chacun n’a qu’à alors s’imaginer de la terreur qui se passera au Congo un peu avant et après 2016? Sassou Nguesso qui s’est vanté avoir dirigé l’opération macabre avait tout le tout de priviléger le dialogue. Il ne l’a pas fait. Il a préferé aller massacrer les gens et terroriser à la fois la population. En se mettant avec ardeur à devoiler publiquement les méthodes dictatoriales et criminelles de Sassou Nguesso; en se déclarant favorable de faire des révélations sur les crimes contre l’humanité; sur l’affaire des disparus du Beach de Brazzaville, Ntsourou qui connait tant de choses sur le dictateur sanguinaine du Congo et sa clique, était devenu un élément dangereux pour le pouvoir criminel. Il était question de le faire disparaitre sans retard.
Contrairement à ce qui est avancé, Ntsourou n’avait pas d’armes lourdes chez lui. Ces armes n’ont pas du tout été trouvées chez lui. Les corps des morts occasionnés par l’agression contre Ntsourou qui gissent par terre, ne portaient ni armes, ni des explosifs qui attestent qu’ il ya avait une milice chez lui. Les dits miliciens tués ou capturés vivant chez Ntsourou n’ont pas été trouvés et ni exibés. La quasi totalité des morts étaient des civils composés de membres du personnel, femmes de ménage et quelques jeunes sympathisants. Pourquoi le pouvoir de Mpila/Brazzaville interdie les familles de victimes du massacre du 16 décembre 2013 à se rendre aux pompes funèbres pour identifier les cadavres? Pour quelle raison la femme de Ntsourou et surtout sa fille de 16 ans sont incarcérées à la maison d’arrêt de Brazzaville? Souvenez vous que le cardinal Emile Biayenda, Alphonse Massamba et autres innoncents étaient tués par un tel genre de scénario par Le fou président Sassou Nguesso? Pourquoi le colonel Ntsourou est interdit de se procurer des produits pharmaceutiques pour ses soins alors que son état de santé devient de plus en plus critique?
Face aux massacres et malversations à répétition et à » la très grande crise que vit le Congo dans les domaines: social, culturel, politique, économique, les Congolais n’ont qu’à se mobiliser « afin d’éviter une catastrophe irréparable. Dans un tel contexte, faire un front commun pour cet affaire Ntsourou contre la dictature Sassou Nguesso afin que cela apporte des résultats positifs pour le bien-être du peuple congolais est faire preuve de maturité. Sassou Nguesso et clique doivent être accusés et poursuivis pour crimes économiques, crimes contre l’ humanité.
http://www.mwinda.org/78-demo/slideshow/229-brazza-la-paix-des-cimetieres-regne
http://www.starducongo.com/Patrick-Eric-Mampouya-Une-psychose-s-est-installee-a-Brazzaville_a8830.html
C’est sympa comme article et mais très engagé à la bonne cause et pour la noblesse d’un combat légitime. Celui de la libération totale et sans condition du peuple congolais, le vrai peuple, c’est à dire le peuple souverain.
Sassou à beau posséder l’armement lourde pour intimider le peuple , mais sa position reste intenable , alors que son jeune homologue Kabila à dit ouvertement qu’en 2016 ,il partirait parce qu’ il sera en fin de mandat ! Sassou tu doit comprendre que t’as perdu toute légitimité , tu doit partir maintenant et tout de suite ! laisse le pays à OKOÏ , qui doit organiser les élections claire et transparente en 2016,parce que 99% des congolais te détestent , au point où c’est de l’animosité .
Sassou est sur le point de réanimer la guerre du Pool contre Ntoumi pour évoquer un fait exceptionnel empêchant d’organiser les élections … les combats seront de nouveau coordonnés par OKOI le même qui a failli tuer Ntoumi et qui a dû rebrousser chemin suite à un refus de Sassou.
J’ai évidemment côtoyé pendant les 18 mois de la procédure relative à l’explosion les personnes
qui habitaient la résidence du colonel alors que celui-ci était détenu.
J’atteste ici sur l’honneur, que jusqu’à mon départ le jour du verdict, je n’ai jamais vu une seule
arme.
Mis à part quelques jeunes qui gardaient l’entrée, seules des femmes, des adolescents et une vieille personne y séjournaient.
Il n’a jamais été question de milice.
Je constate en revoyant les vidéos que nous constatons à côté des martyrs aucune arme.
Je constate également le pillage de la résidence : la grande classe !
Je voudrais également préciser que le jour du verdict alors qu’une foule incroyable avait envahi la résidence, le colonel n’a pas voulu faire de déclarations afin de calmer la situation.
Je suis intervenu personnellement afin de demander à tous de quitter calmement les lieux et
c’est ce qui a été fait.
J’ai le soir même pris l’avion et ne suis plus revenu à Brazza depuis.
Franchement est-ce le comportement d’un révolutionnaire voulant déstabiliser un régime ?
Non évidemment … Mais le Colonel est un homme courageux qui voulait dénoncer ce qui le dégoûtait.
Bien à vous.
Bâtonnier Patrick Delbar
@Patrick Delbar
Que Sassou veuille en finir avec Ntsourou n’étonne personne… Il lui revenait à lui d’être prudent dans tout ce qu’il envisageait d’entreprendre. En tant qu’officier de renseignement il sait que tout est écouté (cf. Sassou a le même système que Khadaffi vendu par Amesys)
Mais moi aussi je vous apprends que, même si on ne vous a pas montré d’armes, Ntsourou avait décidé de ne plus se faire arrêter. Il avait réactivé ses « petits » et pris des contacts avec certains militaires dont mon cousin (lieutenant colonel)… J’ai comme l’impression que soit il a été trahi par ceux qui lui avaient promis de le rejoindre soit qu’ils ont eu peur car surpris par Sassou. Je choisis la seconde option car j’apprends de ce même cousin que Sassou avait des indications sur ce qu’il préparait et a entrepris de le surprendre. La décision avait été prise depuis longtemps et ils attendaient juste l’opportunité de l’attaquer…
Lu sur le site de Jeune Afrique
Et puis quoi encore… Il savait bien où il allait finir. C’est clair qu’un « informé » au premier chef et au moindre frémissement comme Sassou Nguesso a laissé faire pour pouvoir refermer le piège au moment opportun, le temps d’observer et filer combien étaient effectivement intéressés et impliqués parmi les habituels agitateurs de profession..
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