Il y a quelques jours à peine, tous les journaux suisses ou presque reprenaient dans leurs titres le scandale de la corruption permanente au Congo avec les cargaisons de fuel lourd attribuées par Denis Christel Sassou Nguesso. L’ONG La Déclaration de Berne, appuyée par des « lanceurs d’alerte » congolais, avait publié un rapport de 48 pages décrivant en détail l’accaparement de la ressource pétrolière par le fils du président congolais et sa gestion criminelle. Cette plongée dans notre réalité congolaise honteuse, à juste titre dénoncée par l’ONG bernoise, décrivait la mainmise scélérate d’un cartel africain, celui des NGUESSO, qui entache les Congolais mais en même temps toute l’Afrique et tous les Africains.
Heureusement, ce 10 mars 2015, un autre exemple qui se situe totalement aux antipodes des basses œuvres du fils du président congolais et de sa famille, vient redorer l’image de l’Afrique et des Africains : La banque helvétique Crédit Suisse a annoncé mardi que son directeur général, l’Américain Brady Dougan, quittera ses fonctions fin juin après huit ans aux commandes et passera alors le flambeau au franco-ivoirien Tidjane Thiam, qui dirige actuellement l’assureur britannique Prudential PLC.
Retenu après un processus d’évaluation minutieux, Tidjane Thiam, 52 ans, est diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole des mines de Paris.
« Avec Tidjane Thiam, c’est un leader remarquable et respecté, au bénéfice d’une réussite impressionnante dans l’industrie globale des services financiers qui reprendra la tête de notre banque », a poursuivi Urs Rohner.
Les investisseurs saluaient cette annonce: à 08H53 GMT, le titre Crédit Suisse bondissait de 6,90% à 24,80 francs suisses alors que l’indice SMI des valeurs vedettes de la place suisse progressait de 0,42%.
– ‘Pas un profil de banquier’ –
Né en Côte d’Ivoire, Tidjane Thiam a été élevé en France, où il a effectué ses études à l’École Polytechnique et à l’École nationale supérieure des Mines de Paris. Il a également obtenu un MBA de l’Insead avant de rejoindre le cabinet McKinsey à la fin des années 80.
Il a ensuite travaillé pour le gouvernement ivoirien d’Henri Konan Bédié au sein duquel il fut ministre de la Planification et du Développement avant de rejoindre McKinsey & Company.
De 2002 à 2008, il a exercé des fonctions dirigeantes dans le groupe d’assurances Aviva avant de rejoindre Prudential en tant que directeur financier. Il avait été nommé à la tête du groupe en 2009.
Depuis une trentaine d’années qu’il est au pouvoir, notre tyran n’a jamais cherché à promouvoir que les incapables, les imbéciles et les corrompus de préférence de sa famille et de son terroir. Le système scolaire dont nous avions hérité, lors de l’Indépendance, a été massacré sans pitié. Il n’était pas question pour le dictateur de former une élite qui pourrait rapidement venir à bout de lui et de son système. Certes, nous comptons beaucoup de compatriotes qui sont parvenus à sortir de cet étau obscur et à bénéficier, à l’étranger, d’excellentes formations. Mais sans l’aide et l’encadrement de l’Etat, il est toutefois difficile de parvenir à obtenir des hauts cadres formés aux meilleures écoles, et universités, qui couvriraient l’ensemble des besoins de la République tant dans le secteur public que dans le privé.
La nomination de l’Africain Tidjane Thiam à la tête du Crédit Suisse par les Gnomes de Zurich est une incroyable révolution dans leur petit monde extrêmement fermé et conservateur. Nous devons en prendre toute la mesure et cette double prouesse, africaine et suisse, doit servir d’exemple à toute la jeunesse de notre continent.
A l’annonce du décès de Nelson Mandela nous avions écrit : « Au Congo de Denis Sassou-NGuesso, la vertu est un péril. L’intelligence est suspecte car elle évolue bien au-dessus de son monde obscur totalement tourné vers les ténèbres. Il jalouse plus que tout le charme et le charisme chez autrui et celui qui, naturellement les affiche, signe automatiquement son arrêt de mort. L’intégrité, il ne la souffre pas. Quant au juste, il est par nature son ennemi et le courageux est un adversaire dont il finira, très perfidement, par avoir raison.
Si Nelson Mandela avait vécu au Congo, Sassou NGuesso l’aurait laissé sans travail, au moins, toute sa vie durant ! »
Il nous faut nous défaire de l’emprise maléfique qu’exerce sur nous et sur notre pays le tyran Sassou d’une autre époque, d’un autre monde. Il nous faut également rendre à notre jeunesse tout ce qui lui a été volé, au profit de ses seuls enfants et de sa seule famille. La jeunesse congolaise doit avoir le droit de bien vivre, d’être éduquée et bien formée. Elle a le droit et le pouvoir de s’élever autrement que dans le vol et dans la corruption.
Le trop long chapitre Sassou Nguesso, de notre histoire, doit se terminer et le Congo et les Congolais, à l’instar de Tidjane Thiam, retrouveront alors et seulement la place qu’ils méritent !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 11 février 2015, par www.congo-liberty.org
LE GRAND PRETE DU TOSA OLIA!
ADADA Grand Prêtre du TOSA OLIA, tenez vous ne connaissez pas! Normal il a plus trahi qu’écrit, c’est la sagesse d’EBUBU ( lire EBOUBOU ou Muet), les enfants vendent les biens du pays comme les safous du verger derrière la maison. C’est encore la sagesse d’EBUBU pour bien manger en silence…
« KOKO produit, WILLY transporte, JUJU Assure, KIKI vend à KIKI »
tel est le paradoxe SASSOU attribué au CO-MATHEUX EBUBU Grand Prêtre.
Se venge t-il de s’etre fait voler son bijou ORCA?
Pour les Non-initiés ORCA est l’ancêtre de PHILLIA qu’ADADA avait crée à JERSEY qui vendait les produits raffinés de CORAF (la raffinerie de Pointe-Noire) sur le marché américain, avec une confortable marge, en raison de leur basse teneur en soufre et du bradage pratiqué à la base. Cette hémorragie n’avait été arrêté que par la Conférence Nationale Souveraine CNS.
Qui a dit en raciste: « NOIR, C’EST NOIR! IL N’ Y A PLUS D’ESPOIRS POUR VOUS! CA ME REND FOU! »? DZA TSIBI! Maman Outre tombe excuse mon Téké!
Alors une nouvelle CNS?
Sassou en plus de 30 années de pouvoir combien de polytechniciens congolais ?
Combien de Centraliens ? Combien de diplomés de Havard ? De Princeton ? De Cambridge ?
Sassou Nguesso n’a été bon qu’à encourager la médiocrité !
En consultant le site jeune afrique sur les etudes et diplomes des presidents africains j’ai été stupefait de voir le nom de SASSOU figuré comme BONI YAYI, ALASSANE OUATTARA; ALI BONGO dans la rubique des presidents titulaires d’un doctorat ou sorti d’ une grande ecole comme polythecnique, ena, ens; institut de commerce etc . Ma memoire me rappele qu’ en 1992 lorsque le CONGO a organisé les elections libres et democratiques nous savons tous que parmi les candidats LISSOUBA :grand geneticien, MILONGO:enarque, TCHISTERE: normalien. A quel moment a – il effectué ses etudes superieurs en FRANCE ?