obenga théophile
À celles et ceux qui ont, peut-être oublié, qui est Théophile Obenga, veuillez trouver ci-dessous sa lettre d’allégeance au Roi Denis 1er d’Oyo parue dans la Semaine Africaine n° 2890, du mardi 5 mai 2009. Qu’est-ce qu’il y avait en 2009 ? Qu’est-ce qu’il y aura en 2016 ? Vous avez tout compris. Le griot sort et chante toujours quand il sait que son hôte est prêt à délier la bourse.
Par Nassimina Mêrii
***
Le président Denis Sassou Nguesso : un nouvelle épithalame pour le Congo.
par le Professeur Théophile Obenga.
Peut-être avec un havenet incomplet, je m’expose à un risque de propos délibéré, en tentant une esquisse de portrait du président Denis Sassou Nguesso. Tout haut responsable aux grandes charges publiques peut avoir son portrait décrit à larges traits par des concitoyens historiens, biographes ou hagiographes. Or à l’origine, l’hagiographie elle-même fut une branche de l’histoire religieuse. A bien voir, le problème à réflexion est l’habitude du train-train qui, parfois, obscurcit l’entendement. Même le portrait le plus éloquent n’est jamais qu’n simple fragment éluvial d’une roche.
Le Président Denis Sassou Nguesso, admet-on de façon générale, est « twèrè », mot de l’idiome mbochi qui signifie tout à la fois : sage, pondéré, attentif, méticuleux, serein et endurant.
Sa personnalité est aussi faite de méthode rigoureuse, de persévérance, de détermination, sinon de volontarisme. Il apparaît froid, sévère, imperturbable et même imperméable. Cependant, l’homme est profondément sensible, plein de compassion, généreux, affable, tendre et affectueux. Il a un réel culte de la famille, de la parenté, de l’amitié, de la camaraderie. Un puissant sens d’écoute est naturel chez lui. Il hait, au plus haut point, la fourberie, l’hypocrisie, la duplicité. Il a un sentiment philosophique du beau (musique, littérature, architecture, habillement). Il est très éloignés des partisans de Bacchus.
Sassou Nguesso a fait de la rigueur sa norme familière. Il est strict, régulier et ponctuel, même lorsqu’il lance un trait d’humour. Les danses traditionnelles congolaises le comblent de joie, surtout la virile danse èkongo.
Il soigne, assiste avec son aimable épouse à des veillées mortuaires. Il console veuves et orphelins avec raison et sagesse. Il soulage les malades. Il sait pardonner, récompenser ou sanctionner avec clairvoyance et justice. IL relativise le mal qu’on lui fait, car il s’estime responsable numéro un du pays et qu’il ne doit que faire prévaloir l’intérêt général.
Quand le Congo, à maintes reprises, s’est emporté, sans frein, comme une mer tempétueuse, le président Denis Sassou Nguesso, officier général des Forces armées congolaises, est intervenu et a mis fin, avec fermeté est intelligence, à l’explosion subite et violente de la passion politique de ses compatriotes.
De cette façon aussi, il assuma la haine et le ressac de la Conférence nationale et souveraine en 1991. On ne brandissait alors qu’un manuscrit unifolié contre celui qui fut « l’homme des actions concrètes».
Comprenons. Quand la dite « bêtise humaine » manifeste crocs et becs, avec une aveugle intransigeance, Sassou Nguesso, lui, montre au contraire, au grand jour, « l’intelligence humaine ». Heureuse antithèse pour la marche en avant du Congo ! Mais la position du twèrè est historiquement la meilleure et la seule avantageuse pour le Congo.
Tout considéré, le président Denis Sassou Nguesso a fait de la paix sociale un ensemble de principes sur lesquels il fonde et construit sa politique :
– la paix, en lançant divers grands travaux pour la modernisation et le décollage socio-économique et scientifique du pays ;
– la paix, en édifiant un Etat où la règle démocratique prévaut : gestion, administration, justice sociale, solidarité nationale, santé, formation, urbanisation, alimentation, communication, sécurité et défense ;
– la paix en faveur de l’unité et de la solidarité à l’échelle continentale panafricaine, en vue de la construction de l’Etat fédéral africain devant les grandes masses géopolitiques et géostratégiques américaines, européennes, asiatiques, islamiques, etc ;
– la paix, dans le monde où apparaissent de nombreux nouveaux défis à dimension planétaire : défis financiers, défis nucléaires, défis alimentaires, défis climatiques, défis écologiques, défis énergétiques, défis culturels et spirituels, philosophiques et théologiques.
Diriger le Congo, c’est aussi, en même temps, diriger l’Afrique et le monde. Il n’y a pas de « petit pays » ni de « petits chefs d’Etat » pour cela, car ce sont les concepts, les idées, les imaginations, les analyses et les actions pratiques concrètes qui gouvernent l’humanité contemporaine.
Cette paix, si indispensable, est basée elle-même sur une philosophie de l’espoir. L’espoir est synonyme de pensée ouverte sur l’avenir. S’il pense, réfléchit, demande avis et conseil, gouverne, oriente, guide, instruit, décide et agit avec confiance, c’est qu’il a espoir que le peuple congolais vaincra ses majeures difficultés. Tel est Denis Sassou Nguesso, militaire, politique, stratège et philosophe de l’espoir.
Les êtres humains vivent leur vie. La paix, la confiance en soi – ce que les philosophes appellent « la certitude soi » – et l’espoir sont des valeurs qui ne passent pas. Elles amènent le changement, mais elles ne s’altèrent point.
Pour juillet 2009, tous les candidats, à ce qu’il me semble, sont expérimentés, valables, dévoués, compétents et patriotes. Mais, il y a ersatz et ersatz. Ainsi, toute élection, surtout une élection présidentielle, requiert pondération, jugement et choix motivé. La ré-élection du président Denis Sassou Nguesso, en ces temps durs dans le monde entier, serait encore le meilleur choix : un magnifique épithalame pour le Congo.
Prof. Théophile OBENGA.
Dans son livre publié à l’harmattan » L’ETAT FÉDÉRAL D’AFRIQUE NOIRE : LA SEULE ISSUE » , Théophile Obenga recommande aux États africains de se doter de la bombe atomique pour se faire respecter…je découvrais là, toute la folie de cet universitaire. Comme si l’Allemagne et le Japon actuel pour se faire respecter faisaient la course aux armements.
Comment Obenga que je croyais à l’abris du besoin matériel peut à ce point faire allégeance à Sassou Nguesso en demandant la modification de sa propre constitution pour qu’il rempile de nouveau à sa propre succession ? Est-ce la vénalité ou la cupidité du tribalisme ?
Je continue de penser que le savoir et la connaissance mettent à l’abris l’être humain de la médiocrité et la bêtise, même si ce n’est pas le cas de Théophile Obenga et de plusieurs universitaires africains dont les diplômes servent d’abord à s’en mettre plein les poches.
Souhaitons à l’égyptologue Théophile Obenga, qu’il soit le jour où l’éternel l’appelera, inhumé avec toutes les richesses que Sassou lui aura procuré comme les Pharaons!
Peuple congolais, continuons la lutte pour la libération de notre pays car c’est notre devoir de citoyen !
Béto ke longa
L’ignorance est-elle la pire des souffrances? – Oui, c’est à peu près cela. Mais tout dépend de la durée pendant laquelle le cerveau a été abimé par le dictateur Sassou Nguesso.
Notre devoir est de nous enquérir des nouveaux intllectuels et d’une nouvelle classe politique, de ce que l’utopie fera de Théophile OBENGA, de ses idiots, de ses êtres stupides, trop stupides pour être utile à la restauration de la démocratie nouvelle au Congo Brazzaville.
Nous devons donc recourir à un choc de moralité, de principes ou valeurs nouvelles, d’éducation et de civilisation nouvelle.
A Théophile OBENGA « savoir par cœur n’est pas savoir » . Je pense que Théophile OBENGA n’est pas une tête bien faite plutôt une tête bien pleine.
Théophile Obenga Le Griot du Roi Denis 1er d’Oyo, n’a plus vendu aucun roman ou essai à succès depuis bien des années.
Pour train de vie, de quoi vit t-il? Tout simplement des deniers publics congolais, de l’argent distribué à lui par son protecteur dictateur d’oyo.
Demandez à beaucoup d’africains ou d’européens sur la place de Paris, personne n’y connait Théophile Obenga. Quoique les vieux africains ou congolais des années 1970 à 1980, sont les seuls à le connaitre.
Il se dit professeur d’université où en France ou en Amérique? La honte et le déshonneur de l’intellectuel Sassou Nguesso qui pendant 34 ans de dictature n’ont même pas le cerveau pour penser construire des universités au Congo.
Théophile Obenga Le Griot du Roi Denis 1er d’Oyo entretien le mythe des pseudo intellectuels à la pensée tiers-mondiste ou plutôt à la pensée stupide, trop stupide pour être utile à la vie intellectuelle congolaise, à la démocratie et à la civilisation – Je l’emmerde d’ailleurs à 100% sa petite cervelle.
Théophile Obenga Le Griot du Roi Denis 1er d’Oyo a volé l’argent qui aurait pu servir à la construction de l’université Sassou Nguesso de Kintelé – la honte d’un sois-disant intellectuel, il est devenu escroc. Il devrait d’abord être rétrogradé comme indigne et puis jugé pour le magot volé ou spolié au peuple congolais.
A SUIVRE
Ce maitre Théo devient fou. INCROYABLE. Le tribalisme résoudra rien en Afrique.
Soit en change de système politique en optant pour le fédéralisme ou rien, car depuis la nuit des
temps cette politique de division imposée par l’Occident, ne profite qu’a ceux qui nous ont
colonisés, colonisent et nous coloniserons.
C’est cela que nous Africains, devrions retenir dans nos Cervelles.
Depuis les années 40, Jean Paul Sartre posait avec netteté le problème de l’engagement. Il prenait violemment parti contre tous les écrivains, les intellectuels qui ont cru pouvoir s’abstraire de leur temps et céder à la tentation de l’irresponsabilité. Sartre qui est un des écrivains préférés de monsieur Obenga assignait à l’homme de lettres une tâche précise: oeuvrer à la libération de ses contemporains en participant aux luttes politiques de son temps.
Pourtant il n’y a chez Obenga aucun désir d’action immédiate. Ce n’est donc pas un écrivain engagé puisqu’il n’écrit que pour la postérité. La condition humaine au sens socio-économique et politique est le dernier de ses préoccupations. Or il ne peut y avoir d’amélioration profonde de la condition des Congolais sans prise de conscience, et pas de prise de conscience sans explication, démystification. On ne peut donc compter sur Obenga qui pourlèche ses phrases et ne cesse de mystifier le grand nzokou non pour l’intérêt du pays mais du sien et de sa famille.
Theophile OBENGA, professeur emerite hier, n’est plus qu’un simple professeur depasse par les evenements et obligations intellectuels, sociaux et politiques.
Il n’a pas su gerer la transition de l’ancien au nouveau, de la jeunesse a la viellesse, du mono a la democratie, de l’histoire a l’actualite, de la sagesse a la folie, de la neutralite a la partialite, de la verite a l’hypocrisie, du contentement a l’exces et de la grandeur de son titre a la banalite de sa qualite de griot mendiant son pain.
Il a perdu les reperes qui honoraient sa personne, a moins que le naturel ne l’ait rattrappe apres qu’il l’eut abandonne, le temps de se faire un nom.
Ce nom, une fois obtenu, il s’est personnellement evertue a le detruire en oubliant son origine : l’historien ne tronque pas les faits historiques, il a l’obligation de les presenter tels sinon il n’est historien qu’au depart et finit manipulateur. C’est le cas de Theophile Obenga.
Ravisons nous, les qualites et merites du president Sassou presentes par M.Theophile Obenga ne sont pas totalement erronnes, car, comme tout etre humain, Sassou a des qualites et des defauts.
Ce qui, par contre, est faux et qui manque a Sassou mais que M. le professeur s’est reserve de reveler, alors que c’est cet element essentiel qui aurait valide les louanges qu’il lui adresse, c’est ETRE AU SERVICE DE SON PEUPLE, c’est MOURIR POUR QUE SON PEUPLE VIVE, non pas, TUER SON PEUPLE POUR VIVRE ou APPAUVRIR SON PEUPLE POUR S’ENRICHIR.
N’est pas historien qui veut.
Ah notre soi-disant égyptologue…….! Médiocre, il l’a toujours été, il l’est et il le sera parce que trop tribaliste depuis Marien Ngouabi
Comment la Corée du Sud est-elle devenu d’abord un pays émergent puis développé?
Dans les années 1960, la Corée du Sud figuraient parmi les pays pauvres ou en voie développement.
Depuis, ils ont démontré qu’il était possible, sous certaines conditions, d’amorcer un véritable décollage industriel et rattraper les pays développés et d’être en phase ou pour s’adapter dans la mondialisation ou dans l’économie globale.
Comment la Corée du Sud est-elle devenu un pays développé?
La Corée du sud n’a ni pétrole, ni gaz et encore moins des matières premières indispensables à sa balance commerciale et ou à ses valeurs ajoutées technologiques, industrielles et économiques.
Pour contourner cet handicap, politiciens, industriels et ou entreprises sud-coréennes ont tout misé sur trois valeurs fondamentales.
1- Valeur « matière grise » juste, adaptée et optimisée !
Mieux former, éduquer, utiliser et adapter toutes les énergies cognitives disponibles aux besoins compétitifs du pays !
L’enseignement, l’éducation (infrastructures de crèche, écoles, collèges, lycées et universités sont hautement modernes), optimisation des crédits recherche/développement publics (universités, instituts de recherches fondamentales et appliquées, centres de formation continue) et privés sont au cœur du dispositif du système éducatif et des enjeux micros ou macroéconomiques majeurs de la Corée du sud.
2- Mobilisation totale des énergies disponibles !
Un état où 70 à 90% de sa population, de ses meilleurs cerveaux ou matière grise, de ses énergies qualifiées, de son capital humain et de ses entreprises responsables ou durables sont valorisées, déchainées et mobilisées gagne à tous les coups sur l’emploi et la mondialisation ou globalisation !
3- Des principes ou valeurs étatiques, gouvernementales et politiques nouvelles ou partagés par les sud-coréens !
Mots-clés: Principes, valeurs, réactivité, démocratie, liberté de penser, d’expression et d’association, matière grise, main d’œuvre qualifiée, capital humain, compétences, projets, créativité, innovation, technologies, projets recherches et développement permanent, entrepreneuriat, objectivité, problèmes, positionnement, solutions, interactivité, réseaux, liens, hyperliens, dialogue, consensus, géostratégie, concurrence, synergie, antagonisme, complémentarité, arbitrage, adaptabilité, balance commerciale, investissements, consommation, taux de croissance, valeurs ajoutées…
Selon Rabelais, le moyen-Age se caractérise par la paresse, le mépris de l’hygiène et de l’activité intellectuelle. L’humanisme (Humanitas désigne la culture en latin) est un retour aux textes antiques (Platon, Socrate, Aristote, le droit romain) qui sont étudiés avec un esprit de libre examen, contraire à la méthode d’autorité. Les humanistes, comme Rabelais et Montaigne (1533-1592) réprouvent la méthode d’autorité employée dans l’enseignement. Montaigne dit » Savoir par cœur n’est pas savoir ». Il pense qu’au lieu d’encombrer la mémoire de l’élève, il faut éveiller son esprit, sa personnalité.
LES INÉGALITÉS ENTRE COUCHES SOCIALES, CULTURES, SOCIÉTÉS ET CIVILISATIONS NE SONT PAS FONDÉE SUR LA NATURE. ELLES RÉSIDENT DANS L’ÉDUCATION OU LE SAVOIR QU’ON LEUR DONNE OU PLUTÔT DANS CELLE QU’ON LEUR REFUSE !
A SUIVRE
Obenga était parmi les soi disants intellectuels africains qui ont répondu au discours du Président Nicolas Sarkozy à Dakar. Lorsqu’il avait dit: « les africains ne sont pas encore entrés suffisamment dans l’histoire. » Ce qui choque bien sûr. Mais je crois ces pseudo intellos auraient dû faire économie de leur critique puisque le Président Sarkozy aura toujours raison sur eux et laisser à ceux là même qui sont capables de manipuler la raison raisonnante le droit de répondre à Sarkozy. Moi professeur, plus qu’Obenga, je ne m’exilerai pas. Je vivrai sans doutes en occident pour donner des cours dans des grandes universités pour transmettre la connaissance aux générations futures. Moi professeur, je ne servirai pas un dictateur du genre Sassou Nguesso, le plus grand criminel du pays. Comment expliquer en plus de 30 ans de règne, le congolais continuent à ne pas avoir ni l’eau , ni l’electricité, ni les services de bases: santé et education conséquentes. En 3o ans de règne l’argent volé ou détourné sous sassou nguesso dépasse de loin l’argent investi au Congo depuis Fulbert Youlou jusqu’à maintenant. Je me demande Obenga est prof; de quoi? D’histoire? L’histoire ayant un caractère évolutif aussi alors construire l’espérance de tout un peuple sur un homme mortel c’est nier ce même de l’évolution propre à l’histoire. Sassou nguesso a le même sort que sa fille edith, il morrira demain. Les congolais s’en moqueront puisque sans sassou le congo continuera et ne pourra s’arreter comme le prétend un certain obenga. Un homme sérieux ne peut pas tenir ce genre de raisonnement à moins d’être fils ou fille de prostituée. Obenga n’en est pas loin. Vérifié.
Madouma Lissafi
Instruit ou pas, intellectuel ou pas, malgré la pléthore des diplômés que compte la communauté mbochie, la quasi majorité de ses membres reste foncièrement criminelle! Jamais, dans l’histoire politique de notre pays, une communauté a opté délibérément le choix de l’immoralité culture très assumée, bref celle d’un comportement terriblement crapuleux pour justifier un attachement à un immigré ivoiro-béninois, devenu roi d’une colonie française!
A une question posée par un journaliste français en 2009 à Paris au fameux roi sur quel sentiment allait-il laisser le Congo à ses compatriotes après sa mort, sassou dénis répondait: je vais mourir aimé!!! Oui aimé par les piteux intellectuels mbochis du genre obenga théophile, okiémy et autres marchands de la mort qui ostracisent fort hélas, notre pays! Les mbochis sont incapables de lever des femmes et des hommes de très haute qualité morale et intellectuelle( comme les sudistes Sony laboutansi, Guy Menga, Pascal Lissouba, Levy Makany, le très magnifique Président Alphonse Massamba Debat, etc)!!! les diplômes qu’ils portent étant essorés par un dévouement on ne peut plus animal à l’égard du plus grand criminel d’Afrique centrale! Franchement, sans sassou, obenga ne serait jamais devenu le piteux égyptologue qu’ il est actuellement. Un égyptologue situé trop loin à des années lumières de Grands égyptologues Egyptiens respectés par la communauté scientifique mondiale.
Le minable égyptologue mbochi qu’est obenga Théophile voyage une pensée très ubuesque qui tristement participe à une objection des consciences macabres qui laminent tous les jours la liberté , la vraie liberté des communautés congolaises nordistes et sudistes!
Triste sort que obenga continue de diligenter en une page très sanglante le sort des sudistes de notre pays.
obenga Théophile, de ta pensée a-égyptologue, les congolais du sud n’ont touché jusqu’ici que la mort dans toute ses densités funestes!!!
Un renard vit au depend de celui qui l´écoute , le griot c´est carrement un renard un lèche pied, un mandiant, un escro, un voleur , un flateur , il est sans personalité, sans conviction, un vagabon politique, il ressemble a une prostituée ( mbongo na ma boko ma taku na mfulou) ils vendent leur âme et profite de la situation pour se faire un nom ou survivre. c´est en fait un profito situationiste voila . en voila donc les genres d´hommes qui nous trompent au Congo dit on des intellectuels ( ya touffi) des fossoyeurs inntellectuels qui se cachent derriere la tribu pour duper la nation . Ces genres de piètres , bandits, ennemis du peuple Congolais. des gens sans foi ni morale. des égoïstes qui se disent intellectuels kié kié kié kié je m´en moques. Voila des gens qui font la honte du Congo espèce
espèce de profito situationiste .
Mais sachez le qu´un bien mal acqui ne profite jamais , vous Mr le faux ècrivain , vous finirez par vomir ce que vous avez mal acquis si vous en etes conscient . la langue est un venin qu´il faille tourner plusieur fois la langue avant de dire quoi que ce soit même si on est un super écrivain. car la parole s´envole mais les écrits eux ils restent toute la vie de l´homme sur terre et c´est difficile de refaire un passé . C´est pour cela Mr , moi a votre place mesurerais d´abord la conséquence de ce que l´on écrit ecrit si vous étiez bien sûre un vrais écrivain qui vit au dépend de votre fruit évidemant . J´espère que ceci soit un triomphe pour votre métié. Bonne chance Monsieur l´écrivain OTWÉRÉ.
je suis stupéfaits de voir l’égyptologue en griot entrain de vénérer sassou le roi des mbochis , signalons que Obenga est un aussi chef de projet d’une université fictive à kintélé qui pourtant à coûté une centaine des milliards au trésor publique congolais ! le mal de l’Afrique c’est aussi ces universitaires voilà comme LOPEZ ce piètre obenga qui accompagne sassou dans la démolition du pays à grande échelle !!!
loubaki pourquoi ne parle tu pas de bakabadio universitaire soumis.
Quand on lit cette lettre datant de 2009, on se rend compte que Obénga se fout de la gueule de Sassou. Comme ledit Sassou est tellement stupide il ne s’en est pas rendu compte. Alors, il a payé comme il se doit notre professeur/flatteur/courtisan/ mbochi/pharaonologue …puisque, dit-on, tout flatteur vit aux dépens de celui qu’il encule.
Alors que toute l’Afrique ouvre ses portes à la Démocratie et au progrès social, ce professeur veut enfermer notre pays dans les cachots du despotisme et de la corruption.
Taisez-vous et fumez votre moquette! Vos idées rétrogrades montrent combien vous avez besoin d’un maître! Les Congolais veulent vivre libres et aspirent à mieux.
Très cher Mingwa, très chers amis de Congo liberty, beaucoup d’intellectuels pendant la guerre et après la guerre, exilés ou pas ont une façon assez mitigée de parler du professeur Théophile Obenga. A partir de 1989, j’étais professeur de lettres à l’école normale des instituteurs d’Owando et animais aussi une émission littéraire au Congo qui s’appelait la voix du poète. Beaucoup de ces grands devanciers Obenga, Tati Loutard, Mamo Nsono, Letembet Dongala et d’autres ont fait la fierté intellectuelle et scientifique de notre beau Congo. Pendant le gouvernement de transition après la conférence nationale, j’étais nommé conseiller culturel et des arts du ministre Letembet en charge du poste de la culture. Le 12 décembre 1991, j’étais invité au centre international de civilisation bantoue à Libreville au Gabon, le professeur Obenga était venu me chercher à l’aéroport. Pendant le temps qu’à duré le symposium, il a fait montre d’une grande ténacité et d’une grande intelligence pour défendre le patrimoine et le fonds commun de l’Afrique centrale. C’est d’ailleurs à cet effet, après une cabale qu’il a perdu son poste de directeur général. J’étais là, voir un homme serein, consensuel, qui ne pensait qu’au bien fondé de sa mission, je ne le défends pas car la plupart des grands personnages ont plusieurs figures et plusieurs représentations à la fois. Etait-il assez fin et rusé pour embrouiller tout le monde, si c’est le cas alors il nous avait bien feinté. Dans tout un chacun il y a le bien et le mal. Avec tant de livres écrits pour la défense de la culture noire (négro-africaine) nous devons tout de même saluer l’artiste malgré ses compromissions. On ne jette peut-être qu’un caillou à l’arbre qui porte des fruits.
Les congolais qui se présentent come des intellectuels ne cesseront de nous étonner d’étonner.
Si le Congo ou Le Sassou Décrit par ce personnage d’Obénga est le même que celui de nos ancêtres que nous avons à partager avec ces esprits malveillants, je me demande comment M . Mahoungou vient nous faire l’éloge d’un home qui a une lecture sclérosée de la réalité sociopolitique congolaise.
En le lisant, j’ai impression d’entendre une personne défendre DSK sur les accusations dont il fait l’objet, en mettant en avant son parcours professionnel, ou défendre le président accusé de viol en mettant en avant son statut.
Pour un adorateur des arbres fruitiers, je ne leur jetterais des cailloux que par nécessité, et non par mépris ou sentiment de révolte.
L’action de Sassou doit être jugée dans son ensemble, en partant du potentiel offert par notre pays, en rapport avec les réalisations effectuées.
L’écart entre ces deux réalités devrait être le baromètre, l’élément de mesure de tout intellectuel, n’étant pas sous une pesanteur « tribalo-profito-situationiste ».
Au regard des résultats des décennies d’exercice de pouvoir par Sassou et de son implication dans les différents événements sombres de l’histoire du Congo, l’analyse faite par Obénga ne peut inspirer que dégoût et indignation, au point de se poser des questions sur l’origine de la production intellectuelle attribuée à ce fameux professeur.
JE SUIS CONGOLAIS MAIS PERSONNELLEMENT CELUI QU’ON CONNAIT SOUS LE NOM DE PROFESSEUR THEOPHILE OBENGA, JE NE LE CONNAIT QUE DE NOM ET PEUT ETRE DES OUVRAGES FALFICIES ET QUI, POUR LA PLUPART SANS FONDEMENT SCIENTIFIQUE QU ‘IL A PUBLIES. TENEZ, PERSONNE NE PEUT PAS OUBLIER LES CIRCONSTANCES POUR LESQUELS THEOPHILE OBENGA QUITTA LE CONGO EN 1997. C’ETAIT LORSQUE LE 15 OCTOBRE 1997 LE PAYS ASSIEGE PAR L’ARMEE ANGOLAISE CHASSA LE GOUVERNEMENT LISSOUBA DONT CET IDIOT DE THEOPHILE OBENGA FAISAIT PARTIE. INCAPABLE DE DONNER DES COURS AUX USA OU IL SE VANTE AU CONGO PROF DANS LES UNIVERSITES AMERICAINES, LE SOIT DISANT PROFESSEUR OBENGA D’ORIGINE MBOCHI, INCAPABLE DE REPONDRE AUX QUESTIONS DES ETUDIANTS DE L’UNIVERSITE DE CALIFORNIE CAPITULE ET REVIENT AU CONGO POUR SE METTRE AU SERVICE DU DICTATEUR DE SON ETHNIE. POUR BIEN APPRECIER CE FOSSAIRE ET USURPATEUR DE TITRE DE PROFESSEUR, LISEZ SEULEMENT LES VOLUMES QU’IL DIRIGE SUR L’HISTOIRE GENERALE DU CONGO BRAZZAVILLE, VOUS REMARQUEREZ QUE OBENGA MANQUE DE SERIEUX ET DE RIGUEUR SCIENTIFIQUE. JE ME DEMANDE QUI LUI A DECERNER CE GRADE DE PROFESSEUR. MON ETONNEMENT EST RENFORCE ENCORE UNE FOIS DE PLUS, PAR L’INCAPACITE DU PROFESSEUR MBOCHI A REPONDRE DE FAçON CONSEQUENTE ET COHERENTE A DES PETITES QUESTIONS QUE LES GRANDS SEMINARISTES DE BRAZZAVILLE LUI POSERENT LORS D’UN COLOQUE ORGANISE AU GRAND SEMINAIRE DE PHILOSOPHIE GEORGES SINGHA DE BRAZZAVILLE. CE QUE JE DIS ICI VOUS POUVEZ DEMANDEZ AU SEMINARISTES DES PROMOTION 2006-2009. ILS VOUS LE DIRONT. OBENGA A ETE SERIEUSEMENT MALMENE PAR LES PERES BENJAMIN SAMANOU ET CHRISTIAN DE LA BRETESCHE, UN MISSIONNAIRE SPIRITAIN BASE AU CONGO DEPUIS PRES DE 40ANS. LA SEMAINE AFRICAINE EN AVAIT FAIT ECHO DE CE DEBAT PAR UN ARTICLE PUBLIE JUSTEMENT PAR LE MISSIONNAIRE FRANçAIS QUI RAMENAIT OBENGA A LA PLACE QUI LUI CONVIENT, LOIN DE CELLE DE PROFESSEUR. POUR CEUX QUI ONT DES DOUTES, DEMANDER A LA SEMAINE AFRICAINE L’ARTICLE TRES POINTU DE PERE CHRISTIAN VOUS VOUS EN RENDREZ COMPTE DE LA PERTINENCE DE CES PROPOS SUR LE PROFESSEUR D’ORIGINE MBOCHI QUI N4EST AUTRE QU’UN HOMME AFFAME ET NECESSITEUX. CES PROPOS CES DERNIERS TEMPS ONT POUR OBJET DE DEMANDER DES HONORAIRES A SASSOU POUR CONSTRUIRE UNE MAISON A BOUNDJI, SON VILLAGE. CES MEMES PROPOS ON PEUT LE DIRE EMANENT D’UN HOMME GRAVEMENT PERTURBER QUI JUSQU’AUJOURD’HUI, EN DEPIT DES POSTES OCCUPES DANS LES DIFFERENTS GOUVERMENTS AU CONGO N’A PAS PU CONSTRUIRE UNE PETITE CABANE DANS SON VILLAGE. IL VIVOTE COMME UN CHIEN QUAND IL ARRIVE CHEZ LUI A BOUNDJI. LE PEUPLE CONGOLAIS N’A PAS BESOIN DES PSEUDO PROFESSEURS ET INTELLECTUELS DU GENRE THEOPHILE OBENGA.OBENGA A FORME QUI POUR ASSURER LA RELEVE? PERSONNE! MEME PAS UN MBOCHI. APRES AVOIR INDUIT DES ETUDIANTS EN ERREUR A CALIFORNIE, OBENGA SE FAIT DEFENSEUR DE LA DICTATURE AU CONGO. QUE CELA N’EN DEPLAISE A OBENGA: DES CONGOLAIS ET DES CONGOLAISES ONT ENCORE DES SPERMATOZOIDES ET DES OVULES POUR ENGENDRER LES FUTURES PRESIDENTS DU CONGO. NI OBENGA, NI SASSOU NGUESSO NE POURRONT PAS ARRETER LE DROIT DES CONGOLAIS A ENGENDRER D’AUTRES CONGOLAIS PARCEQUE SASSOU NGUESSO SELON OBENGA EST LE SEUL A POUVOIR DIRIGE ETERNELLEMENT LE CONGO. OBENGA UN VERITABLE FAUX PROFESSEUR ET PHILOSOPHE. QUI OUBLI CEUX QUE PLATON DIT QUE LES CITES EN ELLES MEMES DOIVENT ETRE DIRIGEES PAR LES PHILOSOPHIE, PAS N’IMPORTE QUEL PHILOSOPHE MAIS DES PHILOSOPHES ROIS. SASSOU N’EST PAS PHILOSOPHE, CET ANCIEN INSTITUTEUR DEVENU MILITAIRE GRACE A NGOUABI N’EST AUTRE QUE LE TYRAN DENIS DE SYRACUSSE DONT ON CONNAIT DANS LA CIVILISATION GRECQUE.
A propos de l’imminent Historien Théophile Obenga et sa sortie suite à son souhait de vouloir que Dieu Sassou puisse rempiler pour un nième mandat sous prétexte qu’il est le seul qui est capable de diriger Notre petit CONGO.
Dans le temps qu’il avait été avec Lissouba Pascal en souhaitant la bonne gouvernance, Sassou et ses amis ont tout fait pour canarder le pays de soubresauts ( guerre civile, intimidation, flicage maximum ) qui avaient abouti à la guerre de juin 1997 avec un bilan qui doit le faire traduire à la CPI qui l’enverra quelques jours d’orées en taule.
L’homme Noir n’est pas encore entré dans l’Histoire disait un Président français à Dakar et avec la sortie du Professeur Obenga qui veut nous obliger d’avoir encore un incompétent et criminel Sassou N’guesso.
Je ne pense pas que Notre Professeur Africain » Obenga Théophile » qui est reconnu dans tout le Monde en particulier dans le monde universitaire ne pensait pas réellement ce qu’il a dit dans sa sortie en voulant encourager à Sassou à continuer à malmener dans touts les du terme notre pays, le CONGO.
Je souhaite qu’il fasse une vraie sortie dans la presse Africaine et même mondiale au cours de laquelle il devra se racheter par une bonne pirouette très intellectuelle pour pouvoir se racheter, et qu’il reste loin de cette folie de Sassou l’Eternel, pourquoi pas Dieu Sassou et puis quoi encore ?
VIVE le CONGO, il nous reviendra un jour et nous le rendrons Aimable pour tous et que pour une certaine Ethnie ou pour une certaine confrérie amicale et autres cannibales, Merci aux Congolais ne perdez pas patience car un jour viendra, Sassou nous remettra Notre Congo et c’est maintenant, pas touche à sa propre CONSTITUTION.
SASSOU dehors !!!
SASSOU NGUESSO ET SES PSEUDO INTELLECTUELS DÉGAGENT !
Oui, la construction d’un pays ou d’un état est comme celle d’une maison. En effet, une maison quel qu’elle soit ne peut être construite sans socle, ni fondation et surtout sans structure architecturale – sinon, elle s’écroulera à court terme comme un château de cartes.
Le Congo-Brazzaville post dictature Denis Sassou Nguesso a donc impérativement besoin de nouvelles règles de jeux politiques, économiques, sociales, culturelles, environnementales et des lois règlementant ainsi une nouvelle démocratie fédéraliste et décentralisée du Congo au 21è siècle. https://www.youtube.com/watch?v=VKk5d9uwDoA
Après une petite lecture sur Brazza news, je suis comme obligé de revenir encourager le Professeur Théophile Obenga de suivre le droit de notre pays et surtout de lire ce que nous savons tous, sur la vie Sassou N’guesso que les américains nous font part à la veille de l’invitation des Présidents africains aux USA en été prochain.
Non, non et encore non, il faut que Tous, je dis tous les Congolais disent non au prochain mandat de DIEU Sassou et je souhaite que le Professeur Obenga dise à son frère qu’il est temps qu’il se préserve et nous le garderons au CONGO afin qu’il nous rende compte de tout ce qu’il nous a fait en bien. Quant à ce qu’il a fait de mal au Congo, je souhaite que la CPI ne s’en charge pas car le Président Sassou a beaucoup, beaucoup de choses à nous révéler pour l’histoire, pour la mémoire, pour nous reconstruire et nous ressouder à travers toutes nos souffrances afin que tous les congolais se retrouvent comme un seul peuple, pour un seul combat pour réunifier ce Grand pays meurtri et séparé par Sassou. Je ne l’accablerai pas plus que ça, mais la seule chose que l’on peut faire pour rendre Hommage à toutes les gaffes que Sassou a fait aux congolais, à l’ économie du pays qui est si en retard en Afrique.
Je vous suggère à tous les Congolais et même aux pros Sassou qu’il est de notoriété congolaise de laver son linge sale au Congo, en ne laissant pas Sassou dans la prison d’orée du CPI car s’il venait en mourir le CONGO ne saura jamais une bonne partie de son histoire alors que Nous avons tous envie de savoir ce qu’il a fait de nos vies, de notre pays, de note Avenir, de notre Congo si divisé entre Sudistes et Nordistes, entre Amis à cause de sa mauvaise politique meurtrière et égoïste,…
Il n’y a pas mieux que ça à faire, là où il est, tel qu’il nous l’ont décrit par les Américains, avec tous ses conseils la meilleure sortie serait qu’il nous rende compte au Congo. Je ne souhaite pas de vendetta car ça ne nous grandira pas et nous avons besoin de renouer les liens entre nous pour réintégrer ensemble dans le concert des nations, en sauvegardant l’Unité de ce beau Grand CONGO.
J’interpelle le Professeur Théophile Obenga qu’il est toujours possible de finir la vie en beauté avec un Congo Uni et éviter les dérives qui nous amèneront encore dans la guerre, la division et toutes ses conséquences….
Cher Dina,
Je suis confus quant a l’intervention de l’ecrivain engage que tu pretends etre : ‘jeter les cailloux a un arbre (Theophile Obenga) parcequ’il porte des fruits?’ Ignores-tu, en ta pretendue qualite d’ecrivain engage, qu’on peut egalement jeter des cailloux a un arbre parcequ’il ne porte pas de fruits, mais des oiseaux comestibles ou pas? D’ou tiens tu cette fibre d’avocat defenseur de ce cher professeur?
A mon humble avis, et, je le dis a ma honte pour t’avoir toujours apprecie, ton ‘engagement’ necessite une mise a jour au meme titre que le ‘titre’ du pretendu professeur.
Le mal du congolais, a l’image de Dina, c’est d’oublier le reste a l’evocation d’une etincelle d’un passe reluisant. Ainsi, : ‘il est venu me chercher a l’aeroport » inspire un sentiment de gratitude, de rattachement au professeur, une dette morale de Dina vis a vis du professeur.
Le professeur, ajoute Dina, ‘a fait montre d’un grande tenacite et d’une intelligence pour defendre le patrimoine commun de l’afrique centrale’. Ce que les emotrions de Dina lui font oublier, c’est que si le passe nous montre que le professeur a defendu le patrimoine de l’afrique, le present exprime tout le contraire puisqu’il fait les louanges de celui qui detruit le patrimoine du Congo. Peut-on en etre fiere et dire que ce Monsieur porte de bons fruits?
‘Je ne le defends pas’. Si. mon cher Dina, tu le defends. Et, c’est normal, c’est un droit reconnu a chacun de nous, meme le diable, a droit a une defense. Mais cette defense ne doit pas etre l’exercice d’un ecrivain engage comme toi et, tu pretends avoir ete feinte a l’epoque, oubliant que cette feinte continue de produire ses effets a la date de ce jour, ton intervention en sa faveur le prouve.
Cher Dina, un homme engage, de surcroit un ecrivain, ne regarde pas en arriere; il oublie son passe pour ne vivre que pour le present et le futur (comme le regrete Sony); ses emotions sont mis au plaquard; il juge ce qui est actuel car son engagement releve du present pas du passe.
Regarder en arriere, c’est tomber sous le charme de ses emotions et perdre inevitablement la bataille (ou la guerre si l’on n y prend garde) comme la femme de Lot (elle aimait trop Soddome et Gomohre) ou les fils d’israel apres leur sortie d’egypte (ils prefererent les souffrances de l’egypte a la terre promise) ou Bernard Kolelas, ou Ellot Mampouya, ou Lissouba, ou Moungounga, ou Munari etc…, tous sont, soit morts a ce jour, soit vendu au pouvoir actuel pour une seule faute : ne pas avoir ete assez engages dans la cause qu’ils pretendaient defendre.
Tous, de fins dribbleurs.
Tous en fait, sont morts d’une maniere ou d’une autre, certains physiquement, d’autres en perdant leur ame.
Aucun n’a echappe a cette loi.
Constatez vous meme que, quand bien meme Okombi Salissa appelle le renouveau de tous ses voeux, l’avez-vous deja entendu ecorcher ou desavouer celui qui a fait de lui le milliardaire qu’il ne s’erait pas s’il n’avait ete qu’un simple fonctionnaire a son retour d’URSS, si son cher maitre n’avait pas recompense son effort de guerre grace a 15 annees pasees au gouvernement (c’est la dette morale ou l’emotion)?
Alors, cher Dina, en ta qualite d’ecrivain non engage, tu devrais savoir que La Fontaine disait deja que ‘les jugements de cour nous rendront blanc ou noir’? Si tu as ete trouve noir, tu peux toujours user des voies de recours pour te disculper, c’est aussi ton droit en tant que defenseur des droits des griots.
Voila pourquoi, le maitre-mot de l’equipe nationale du Congo-Brazzaville devra etre le jeu collectif, non la 36e de kwakara qui n’a dailleurs pas permis a son auteur de reussir en Europe. L’epoque des dribbleurs est revolue, nous voulons ceux qui se la jouent collectif.
Mon cher William,
Je me sens une sorte de consolation intérieure et même un peu de fierté d’avoir un contradicteur de ton acabit. Dieu nous réserve de nous plaindre. Il y a une constante qui voudrait du moins que ceux qui sont responsables de toutes ces abominations soient punis et il y a des voies de recours pour cela. Il convient donc de ne pas confondre porter un jugement sur un tel c’est le cas de Théophile Obenga qui a donné un avis sur le Président Sassou et cela date de 2009. Notre combat commun à toi à moi et aux amis de Congo Liberty est bien que Sassou dégage et qu’il y ait un débat pluraliste et démocratique pour notre cher beau pays. Ni toi ni moi ne détenons la vérité sur ce qui va se passer en 2016. En revanche, pourvu que nos efforts soient unis, nous nous devons de critiquer les rigolos qui font les pitres soient-ils professeurs ou bandits de grand chemin. Si tel est le cas du professeur Obenga, ce qui semblerait, alors dans ce cas là nous devons le combattre comme nous combattons Sassou. En revanche, je crois que la plupart des gens qui critiquent le professeur Obenga n’ont ouvert aucun de ses livres. La piteuse tentative d’injurier ne nous avancera à rien, ni la piteuse tentative d’expliquer ce qu’on n’a pas compris parce qu’on ne peut pas comprendre. Nous devons être unis et ne pas céder à la violence de la meute. Combien d’années faudrait-il pour que nos déchirements durent encore ? Merci encore de ta clairvoyance, que le combat de Congo Liberty continue et à bientôt.
A Madouma Lissafi et AUX AUTRES.
Je suis tout simplement atterré de constater qu’une seule personne, parmi tous ces commentaires, a compris que Théophile Obenga s’est tapé la tête de sassou-nguesso… Et vous vous croyez plus intelligents que Théophile Obenga? Ah! le ridicule, tellement gentil, qu’il ne tue pas.
Vous taxez Obenga de tribaliste alors que vous éprouvez des difficultés à comprendre une simple figure de style qui consiste à dire le contraire de ce que l’on pense d’une personne ou une chose.
Vous remettez en doute ses références professionnelles alors qu’une simple vérification sur internet vous ôtera le doute. Mais, c’est là la marque de fabrique des nègres! Dénigrer ce qui n’est pas de leur ethnie! Pitoyable!!!
Et puis, les ministres de Lissouba qui ont tous acheté en 5ans des maisons et appartements en France, comment ont-ils fait pour accumuler en si peu de temps autant d’argent?
Le tribalisme, tous les partis le sont et surtout n’oubliez pas de juger Lissouba qui a bombardé les laris en 1993 pour le plaisir… La guerre entre laris et le niboland… et surtout, attrapez nous tous les criminels comme Ntumi, les ninjas, cocoyes et aubevillois…. Vivement la justice au Congo.
Tout le monde déteste sassou, sauf son clan! Mais s’en prendre à tous nos frères mbochis c’est pitoyable!
Curieusement, les tribalistes sont au nord et au sud c’est des saints!
Le ridicule doit se mettre à tuer sinon on n’est pas sorti de l’auberge.