
Ce roman réaliste au titre évocateur et aux parfums de provocation nous plonge dans une Afrique centrale méconnue du grand public : celle d’une cohabitation et d’une relation compliquées entre autochtones (Pygmées) et allogènes (Bantous). L’intrigue est tenue par un jeune pasteur bantou et un jeune Pygmée ayant le rôle de Chef-éléphant, dont les destins longtemps parallèles finissent par se croiser. Dès lors, nos deux protagonistes nous entraînent au cœur de leurs communautés respectives pour un voyage dont personne ne ressortira indemne.
Bernard N’KALOULOU est natif du Congo. Sociologue et géographe, il est professeur certifié à la retraite. Ce Sarthois d’adoption, qui vit au Mans depuis bien longtemps, est aussi conteur traditionnel, membre de l’Association littéraire Les Auteurs du Maine et du Loir et président-fondateur de l’association humanitaire France-Congo Brazzaville.
Le titre accrocheur auquel vos lecteurs ne resisteront pas , me fait penser « aux exilés de la forêt vierge « du professeur Jean Claude Makouta-Mboukou a qui je rends hommage.
Votre pitch com est accrocheur à tel point qu’il attire l’attention du lecteur et suscite son envie d’explorer son contenu…
Cette présentation réussie met en perspective vos talents de conteur sans doute empreint d’humanisme .
Oup’s! Lire: du Professeur Jean Pierre Makouta-Mboukou
Le parallèle que vous faites avec le roman du professeur émérite JP Makouta-Mboukou me touche personnellement. Je l’ai lu ce récit avec ses mille rebondissements et vais le relire, tiens! Encore, un grand remerciement à vous.
Par BENARD Brigitte
roman passionnant
On trouve dans ce roman, toute la sensibilité et l’amour du pays de son auteur.B. N’Kaloulou nous emmène à la découverte de deux destins singuliers, un pasteur et un jeune pygmée, chacun marqué par une histoire douloureuse:un drame pour l’un et le rejet pour l’autre.Comme dans ses autres romans, l’auteur nous initie à la dimension symbolique de sa culture, au sens des mots, des gestes et à leur impact dans le déroulement de cette belle histoire humaine. Enfin, il soulève une question universelle, celle du rejet des minorités, du rejet de l’autre dans sa différence. Les pygmées sont particulièrement menacés au point de pouvoir disparaitre.