Depuis une dizaine de jours Brazzaville n’a plus de kérozène. Les avions de ligne, d’Air France ou d’ECair, en sont privés et sont contraints d’aller faire escale à Pointe Noire ou à Yaoundé pour se ravitailler. Le carburant disponible est réservé aux vols présidentiels et à ceux du clan, de la « sainte famille » plus exactement.
Ainsi, hier 7 septembre 2016, un jet a pu décoller d’Ollombo, l’aéroport international privé des Nguesso, pour Addis Abeba. A son bord, Jean Dominique Okemba et ses sacs de Nguiri dans le but, au cas où elle accepterait, d’obtenir de Madame Nkosazana Dlamini Zuma, Présidente de la Commission de l’Union africaine, la nomination de son oncle Denis Sassou Nguesso, le dictateur congolais, au poste de médiateur dans la crise gabonaise.
Pour information, les services du vieux tyran Sassou-Nguesso ont été refusés le 2 septembre 2016 par Etienne Tshisekedi, le leader de l’opposition radicale de la République Démocratique du Congo, malgré les millions de dollars proposés !
Ce chef de guerres civiles, embastilleur de ses opposants politiques et de Jean Marie Michel Mokoko le véritable vainqueur de l’élection présidentielle du 20 mars 2016, rêve toujours de son Prix Nobel de la Paix qu’il n’a pas pu encore acheter.
Mais de la paix chez les uns et chez les autres, il s’en moque comme de son premier baril de pétrole détourné. La seule paix qui vaille à ses yeux, c’est celle qu’il obtiendrait pour rester à vie sur son trône dictatorial.
Pour cela, il dépense sans compter, alors que :
- les opérateurs économiques ne sont pas payés,
- les allocations gouvernementales ne sont pas débloquées,
- les salaires des fonctionnaires ne sont pas honorés,
- les engagements financiers de l’Etat ne sont respectés,
- les bourses et les frais de scolarité des étudiants ne sont pas réglés,
- les permanents du PCT sans émolument depuis 5 mois…. et que les Congolais, surtout, dans leur très grande majorité, n’ont plus de quoi vivre !
C’est ainsi que Denis Christel Sassou Nguesso, sans conteste l’un des plus grands pilleurs du Continent, s’était envolé lui aussi pour Washington. Il y a retrouvé son complice notoire Yaya Moussa, attaché personnel à sa communication aux USA. Fort des banques et des permis pétroliers qu’ils contrôlent tous deux (BAIC, Kontinent ), le fils-à-papa dictateur a obtenu la reconnaissance de l’ONG afro-américaine Constituency for Africa (CFA) qui regroupe principalement des élus de la communauté noire.
A côté de CHEVRON, de l’USAID il a été admis, au travers de sa fondation Perspectives d’Avenir, comme sponsor des « Journées de Rencontres 2016 Ronald H. Brown Affaires Africaines » (2016 Ronald H. Brown African Affairs Series). Ce principal pilleur de la richesse nationale figure, certes en bas de la liste, parmi les co-présidents de l’évènement : Ambassadeur Andrew J. Young, l’honorable Donald V. Dellums ancien Représentant au Congrès, l’ambassadrice Jendayi Frazez, et surtout la très puissante Karen Bass Représentante au Congrès.
Plus que toutes les autres, la présence de cette dernière surprend ! Qu’elle ait accepté que son nom soit accolé, ou presque, à celui du brigand congolais, complice de son père et hérité désigné à sa succession, est totalement incompréhensible. Comme Melvin Foote le président du CFA, Karen Bass avait rencontré le dictateur Denis Sassou Nguesso à Windhoek en Namibie le 21 mars 2015 lors de l’investiture du président Hage Geingob. Est-ce le père, Denis Sassou Nguesso, qui avait alors entrouvert la porte pour son fils Denis Christel ?
Comme les habituels relais français, les relais américains se taisent…. Tous pourtant donnent de la voix pour Jean Ping (Mokoko) contre Ali Bongo (Sassou Nguesso). Deux poids, deux mesures ? Peut-être… !
Teodorin Obiang qui a été promu vice-président de la Guinée Equatoriale, fin juin par son père, a été renvoyé devant le Tribunal Correctionnel de Paris pour blanchiment d’abus de biens sociaux, de détournements de fonds publics, d’abus de confiance et de corruption ; alors que tous les Kiki, Coco, Jean-Jacques Bouya, Rodrigue Nguesso, Willy Nguesso , Edgar Nguesso et autres pilleurs associés continuent sans aucun problème leurs noubas parisiennes, européennes et mêmes américaines …
Le fait que ni TOTAL, ni ENI n’exploitent de gisements pétroliers en Guinée Equatoriale ne saurait avoir de rapport avec le paragraphe précédent !
Rigobert OSSEBI
Diffusé 08 septembre 2016, par www.congo-liberty.org
Gabon : mission difficile pour l’Union africaine à sa tête Idriss Deby, partie prenante de la crise
Idriss Deby est attendu ce jeudi 08 septembre à Libreville dans le cadre de la mission de l’Union africaine qu’il préside, en vue d’une résolution pacifique de la crise postélectorale que connaît le Gabon.
Problème : souvenez-vous qu’en 2012, le Tchad avait soutenu la candidature de Mme Dlamini-Zuma contre celle de Jean-Ping à la commission de l’Union africaine. Depuis, rien ne va entre le chef de l’Etat tchadien et l’ancien président de la commission continentale.
Quatre(4) ans, après, Idriss Deby est à la tête de l’Union africaine alors qu’il vient de s’auto-élire après un hold-up électoral au Tchad. Situation donc similaire à celle que nous connaissons actuellement au Gabon où Ali Bongo a fait un forcing électoral après avoir réprimé violemment les manifestants hostiles à sa réélection.
Cette délégation de l’Union africaine aura une mission délicate pour résoudre la la crise gabonaise comme le souhaitent la France, l’Union européenne et les Nations-Unies. Pourquoi ?
Comment Idriss Deby qui ne porte pas trop Jean-Ping dans son cœur, peut-il être médiateur d’une crise dont lui-même est partie prenante en soufflant sur la braise ? Des rumeurs folles font état de la présence à Libreville et dans certaines régions du pays des gens ne parlant pas français. D’autres sources nous informent avoir vu des avions quittés la base militaire tchadienne en direction du Gabon.
Autre chose, le Président sénégalais Macky Sall avait déjà été soutenu en 2012 par Ali Bongo lors qu’il était opposant au régime du Président Abdoulaye Wade. L’actuel président sénégalais s’était rendu régulièrement rendu à Libreville où il avait obtenu des soutiens financiers.
Aussi, faut-il rappeler que Macky Sall avait échoué dans sa médiation au Burkina-Faso lors du Coup d’Etat de 2015 alors qu’il était le président en exercice de la CEDEAO.
Quelle est la solution ?
Il faut une délégation totalement neutre pour mener une médiation de cette envergure en vue d’aboutir à une issue heureuse du contentieux postélectoral au Gabon.
Makaila.fr
Election au Gabon : Débat entre légalité et légitimité, comment sortir de l’imbroglio politique
Après plus de 40 ans de règne d’Omar Bongo et de sa famille, l’élection de 2016 crée un incident politique majeur à cause du résultat très serré de la victoire d’Ali Bongo et de sa volonté de ne pas négocier, en se réfugiant derrière le principe de la légalité des urnes. Jean Ping, au nom de la légitimité de sa victoire reconnue par la France, l’Union européenne et certains observateurs internationaux estiment qu’il est le Président légitime du Gabon alors que Bongo se proclame comme Président légal.
L’exemple du Gabon est intéressant sur le plan analytique car la victoire de l’un ou de l’autre nécessite que légalité et légitimité cheminent de concert. A moins d’un coup d’Etat qui efface légalité et légitimité, nous sommes face à un imbroglio politique duquel il faut sortir. Plusieurs pistes sont possibles.
– Recompter les voix comme le demande Ping, Bongo s’y oppose.
– Que Ping fasse un recours devant le Conseil constitutionnel, comme le lui recommande Bongo, mais on sait déjà que Ping n’en veut pas car la Cour constitutionnelle gabonaise est pilotée depuis de nombreuses années par la belle-mère d’Ali Bongo qualifiée de « Madame pas de négociation ».
– Accepter la médiation de l’Union africaine avec le Président Sassou, le Président Biya ou l’ensemble des Présidents de l’Union africaine au cours d’une réunion extraordinaire au Gabon ou dans un autre pays africain afin de trouver une solution à la crise par la création d’un gouvernement d’union nationale ou la mise en place d’un gouvernement à deux têtes, marqué par trois ans et demi de gouvernance par Bongo en tant que Président et Ping Premier Ministre, et les trois autres années restantes un Ping Président et un Bongo Premier Ministre. Ce qui est une façon bâtarde mais originale de réconcilier légalité et légitimité.
Ce modèle politique d’un type nouveau pour l’Afrique et original a le mérite de montrer aux impétrants du pouvoir que la construction d’une démocratie est difficile et le temps d’une coopération volontaire et non pas celui d’un gouvernement d’union nationale, permet de neutraliser les pratiques de corruption d’un camp comme de l’autre.
Cela implique que les Africains soient capables d’imagination pour montrer au reste du monde qu’ils sont capables d’innovation politique. C’est un modèle imparfait mais que je vais m’attacher à expliquer, même s’il est critiquable car dans dans nos pays africains l’élection politique est plus complexe que dans les pays où la démocratie est anciennement installée, comme les pays du Nord que nous prenons en exemple, mais dont souvent les observateurs internationaux jouent un double jeu en fonction de leurs intérêts propres.
Voici quelques éléments de débat critiquables que je vous livre pour que la discussion s’installe et continue. Bien sûr, ce qui m’intéresse, c’est ni Ping, ni Ali Bongo, mais le peuple gabonais qui doit retrouver tranquillité, prospérité et bien-être qu’il n’a pas toujours connu parce qu’il y a une collusion entre les membres de l’opposition et de la majorité gabonaise depuis la nuit des temps. Ping n’est pas tout neuf, c’est un membre de la famille Bongo par alliance. Il s’est opposé à Ali Bongo parce que celui-ci ne l’a pas soutenu pour son deuxième mandat à la tête de la commission européenne. Et puis il y a tellement d’autres problèmes, comme ceux liés à l’héritage du patriarche Bongo qui soulève des problèmes importants. Et d’autres problèmes……….
Monsieur Pambou
C’est vraiment dommage que vous ayez fait de la provocation votre marque de fabrique.
Un gouvernement hybride ? Nous en avons connu au Congo à cause de la cupidité du PCT. Le gouvernement 60/40, ça vous dit quelque chose ? Et pour quel résultat ?
Pourquoi certains Africains se complaisent-ils avec tant de sans-gêne dans la médiocrité ?
3 ans et demi de présidence Bongo et primature Ping puis l’inverse après. Pour qui prenez-vous les Africains ? Des sous-hommes incapables de respecter les règles de base de la démocratie ? Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas commencer votre généreux et fraternel partage par 3 ans et demi de présidence Ping ?
La question fondamentale est simple : Il y a eu fraude, oui ou non ? S’il y a eu fraude et Bongo a commis la maladresse qui va lui coûter son fauteuil de reconnaître que c’est le cas, la solution est simple. Si la loi (sur laquelle Bongo s’appuie, comble d’hypocrisie) interdit le recomptage des voix, empêche-t-elle l’annulation de l’élection ? Oui, Bongo a commis l’erreur monumentale de lâcher que la fraude n’a pas eu lieu uniquement dans le Haut-Ogoué, mais également dans certains fiefs de Ping où ce dernier a fait des scores de 104%. Les fraudes de part et d’autre ne justifient-elles pas alors une invalidation pure et simple du scrutin ? Qu’en dit la loi gabonaise à laquelle s’accroche tant le sieur Bongo.
Africains, arrêtons d’humilier notre continent ! Nous sommes déjà suffisamment la risée de la planète.
Ils finiront par s’entendre … sur le dos des gabonais; les pauvres!!! éternels makayas.
Monsieur Malanda,
Merci pour votre réponse,
je n’ai pas de réponse idoine à la solution gabonaise. Bien sûr Monsieur Ping peut commencer à être président comme vous le préconisez. Je n’ai aucune prétention intellectuelle qui serait au dessus de tout le monde pour apporter les réponses à l’Afrique. Je reste pragmatique et froid et sans empathie pour l’un ou l’autre camp. je sais que l’on me reproche cette façon d’être neutre dans l’analyse. Je garde mes sentiments pour moi, donc mon empathie pour moi et je propose à nos lecteurs des possibilités de débat. Monsieur Ping dit qu’il a gagné, Monsieur Bongo dit la même chose. Où se trouve la vérité ? Face à l’incertitude et malgré les recommandations de la France qui est toujours en géométrie variable face à ses anciennes colonies, je n’ai pas la science infuse pour déclarer Ping vainqueur, Bongo vaincu ou Bongo vainqueur et Ping vaincu.
Mes amis j’ai une méthode d’analyse qui pose problème. je le sais et j’essaie d’analyser les faits de façon neutre, différente de la façon française qui envahit notre réflexion et nos têtes et qui réclame l’empathie.
pourquoi deux poids, deux mesures entre le Gabon, le Congo et le Tchad de la part de la France comme vous le dites ? Vous voyez bien que les choses sont beaucoup plus complexes et je remercie Monsieur Le Vantard qui dit « Ils finiront par s’entendre… sur le dos des gabonais; les pauvres!!! éternels makayas. » Je n’ai pas la prétention d’avoir la solution concernant les problèmes de gouvernance sur notre continent. Je suis iconoclaste et souvent incompris, mais j’accepte les critiques. Dans le même temps je reste un bidouilleur de propositions sur l’Afrique car, ni vous, ni moi, n’avons les solutions concrètes pour les pays francophones parce que, malgré nos dénégations, nous sommes tous des couards en vivant dans ce pays la France, en le critiquant, tout en sachant que rien ne nous arrivera car c’est un pays démocratique.
En déposant son recours devant le Conseil constitutionnel, Jean Ping veut éviter à Bongo de se déclarer Président. Ping a compris le piège et souhaite discuter de la légitimité de son élection en s’appuyant sur la légalité que lui oppose Bongo. C’est à ce prix que j’ai proposé un modèle de gouvernance présidentielle au Gabon, fondé sur une présidence duale d’une durée de trois ans et demi de la part de Ping et de Bongo.
Je n’ai pas la prétention d’avoir la solution mais j’en ai marre que les Nègres que nous sommes, en reprenant la terminologie officieuse utilisée par l’Occident pour nous désigner car nous sommes toujours leurs esclaves selon eux, soient toujours à la remorque des innovations constitutionnelles venues de l’Occident. Les Asiatiques et les autres pays innovent en s’appuyant sur les principes de démocratie et en les adaptant à leur contexte. Il n’y a que nous Africains pour subir. Je propose modestement un modèle de débat politique pour le Gabon. Je n’ai pas raison forcément, mais débattons et soyons pragmatiques, évitons l’empathie à la française que nous critiquons mais qui nous arrange intellectuellement car, comme des enfants, on doit toujours nous tendre la main. Je ne suis pas naïf, je connais les rapports de force et la géopolitique de domination entre l’Afrique et le reste du monde aux dépends de l’Afrique.
Le vol des deniers publics est un exercice quotidien des nguesso ;Le pays leur appartient , telle une boulangerie familiale .
L’argent est utilisé à des fins de corruption mondiale .Les soucis financiers du congolais lambda leur glissent sur leur peau tannée et insensible .
L’ argent du Congo leur assure le rêve d’un règne à vie , dont le seul handicap qui en freinerait
l’intemporalité c’est la mort .
Le Congo respire et pense SASSOU, Nul besoin d’invoquer DIEU , car Sassou s’est incarné en celui ci .
La vie au CONGO se vit au prorata des sautes d’humeur des nguesso , une vieille chefferie ressuscitée à l’occasion de la mort de NGOUABI ;ON Y APPREND , à voler , à tuer, à mentir à corrompre, à violer à,tribaliser l’administration , bref un sanctuaire maléfice où l’exorcisme aura fort à faire .
lire ;;;; maléfique
La victoire de Jean Ping permettra à l’Afrique centale maudite de vivre au moins une alternance meme si je n’attends rien de ce baron de la BONGONITE!!
Monsieur Pambou
Ce qui m’attriste en vous lisant, c’est votre refus obstiné de voir la vérité : Une région, l’Afrique Centrale qui tourne le dos à la modernité. La démocratie n’est pas une panacée, mais elle permet de donner aux peuples un semblant de changement pacifique. Une fois tous les 4, 5 ou 7 ans, le peuple est appelé à évaluer le travail d’un élu en le mettant en face d’un prétendant. Si l’élu a failli ou a atteint les limites imposées par la loi, il est remplacé. Pourquoi ce genre de systèmes fonctionne même dans des pays comme le Bénin qui ont connu le marxisme tropical comme nous ?
Pourquoi l’Afrique centrale refuse-t-elle de rejoindre la grande famille des nations civilisées où le pouvoir se transmet démocratiquement et pacifiquement ?
Ce que vous faites est un équilibrisme sordide. Les deux revendiquent la victoire ? Cela suffit-il pour dire qu’il n’y a pas de vainqueur ? Quand une élection est libre, transparente et incontestable, les résultats sont plus facilement acceptés par tous. En cas de contestation, il y a un juge qui se charge du contentieux. Ce juge doit être irréprochable, donc au-dessus de tout soupçon. Si l’une des conditions ci-dessus mentionnées n’est pas remplie, de quelle crédibilité peuvent jouir les élections ? Il n’y a que les dictateurs et les autocrates qui croient que le vote à lui seul incarne la démocratie. La culture démocratique ne tombe pas du ciel, elle se construit.
Vous comprenez pourquoi les dictatures et les autocrates sont intéressés par l’opacité. Ils préfèrent de loin programmer les contentieux électoraux et réprimer toute contestation. Venir proposer des systèmes hybrides et monstrueux ne nous avancent à rien.
Puisque vous êtes en France (à ce que j’ai pu comprendre) faisons un peu de la politique fiction. L’actuel président Hollande est au plus bas dans les sondages. Un président en exercice avec un bilan tellement contrasté qu’il est obligé de passer par des primaires dans son propre camp. Si on était en Afrique, il aurait fraudé aux primaires socialistes pour représenter son parti au niveau national et là falsifié le premier tour et se retrouver par exemple en face de Jupé. A ce deuxième tour, il falsifie les résultats et vole la victoire de Jupé. Et si Jupé revendique la victoire de son côté, vous monsieur Pambou, allez vendre au peuple français un gouvernement d’union national ou diviser le quinquennat entre les deux contestataires. Hollande président pendant 2,5 ans avec Jupé comme premier ministre et les 2,5 ans suivants on inverse le rôle. Ne sentez-vous pas le ridicule de ce que vous avancez ?
Pourquoi cette condescendance à l’égard des NEGRES. Je comprends que ça vienne de nos détracteurs, de nos oppresseurs. Mais que des Africains se mettent à ce jeu est tout simplement désespérant. Où est le peu de dignité qui nous reste ???
Que Sassou et Idress,n’aient pas honte,cela doit étonner et inquiéter les africains. Je me demande comment peuvent-ils avoir le courage de mener une telle médiation au Gabon, sans être modèles en matière de démocratie.
Sassou et Debi ont volé la victoire du peuple,chacun dans son pays. Quelle leçon de morale peuvent-ils donner à Bongo ou à Ping? Reprendre le contage?
Deux assassins en mission de médiation? C’est du western en Afrique!
LA FRANCE CHOISIT :
LE PLUS GRAND CRIMINEL DE PRÉSIDENT AFRICAIN, QUI LUI MÊME EST UN FRAUDEUR, SON CAS EST ENCORE SUSPEND, AU NOM DU TERRORISTE ABOUSASSOU
UN AUTRE CRIMINEL, VOLEUR DES ÉLECTIONS IDRISS
COMMENT FAIRE CONFIANCE A CETTE France QUI NE SOUHAITE QUE LE MALHEUREUX DES AFRICAINS. NOUS NE VOULONS PLUS NI DE ABOUSASSOU NI DE IDRISS OU ALI
LA France DÉGAGE DE CHEZ NOUS NOUS
LA France DÉGAGE DU CONGO
AU DERNIER NOUVELLES LA France VEUT FAIRE UNE MASCARADE DE NÉGOCIATIONS POUR FAIRE SORTIR JEAN PING DU GABON ET LUI FERMER LA ROUTE DE RETOUR HONTE A LA France
IL Y A UN TEMPLE A L’ÉLYSÉE OU LE DIRIGEANTS FRANÇAIS DE TOUT PARTI POLITIQUE CONFONDU PRIX POUR LA LONGUE VIE DES DICTATEURS AFRICAINS POUR, MAINTENIR L’ÉCONOMIE FRANÇAISE
Lucien Pambou,
De la convertibilité du yuan en CFA et vis versa, vous voilà pour conseiller ce que vous déconseillez à votre patron après son hold-up électoral en mars 2016.
Pas de gouvernement d’union nationale au Congo. Sassou doit gouverner seul, diriez-vous.
Vous n’êtes bien, comme diraient les enfants.
Au fait, où en sont vos recherche sur la convertibilité yuan/francs cfa? Ah nos démagogues qui aiment la mystification.
C’est hallucinant et proche de la folie ,de voir s’activer SASSOU pour régler des divergences politiques post électorales et pré électorales en AFRIQUE CENTRALE , notamment en RDC ET AU GABON ;
L’homme est malade et souffre d’une psychopathologie à l’étape ultime .Voilà qu’il s’arroge le costume d’un homme qui n’a pas des problèmes politiques dans son pays , pour oser se vendre au monde entier , alors qu’il trimbale une ribambelle des tonneaux des crimes économiques et humains récents et anciens contre son pays .
Quel culot ;;;;
Ce manque manifeste de décence appelle plusieurs réflexions sur l’équilibre psychique et mental de SASSOU dont tout le monde découvre le penchant au cynisme .
Son cas relève de la psychiatrie ,ce qui sous entend que notre pauvre pays est dans les griffes d’un fou .
Même un fou calcule . Cette initiative opportuniste néo panafricaniste à relents dictatoriaux est entreprise , afin de faire oublier sa triche présidentielle et s’assurer une légitimité au niveau international .
Mais le CONGO ACTIF, bien que privé des moyens militaires pour rétablir l’ordre républicain , NE SE LAISSERA PAS BERNER et va continuer à exiger son dû électoral .
Toute cette nouvelle activité issue des comédies de MOLIERE nous indiffère .
SASSOU , tu dois partir ;;;;;partir et périr .
HOLLANDE le trompé éternel , il s’est trompé ridiculement sur MACRON , tout comme il se trompe aveuglement sur les dictateurs africains dont SASSOU .A moins que ce soit chez lui , un penchant naturel .
Je parie que sa tromperie sur SASSOU est ornée d’un sceau nguirisé .
NB / CHERS COMPATRIOTES SACHEZ QUE NOUS SOMMES DANS LE SASSOUCIDE qui veut dire le suicide collectif congolais .
« Mes amis j’ai une méthode d’analyse qui pose problème »
Au moins, c’est claire. Lucien Pambou reconnait que sa methode d’analyse pose probleme. Mais il n’y a pas que ca, il y a le fait que votre analyse manque toujours de bon sens et va souvent dans le mauvais sens qui consiste a jouer au griot de sassou, l’usurpateur du pouvoir.
C’est bizzare qu’un soit disant enseignant soit incapable de faire passer un message qu’il croit bon. Comment font t-ils vos etudiants pour vous comprendre?
Le terrorisme est sur le point d’ouvrir ses portes en Afrique Francophone si la France et les USA continuent a faire l’imbécile, ou croisent -ils Que nous allons continuer à rester les bras croisés , ailleurs ce sont les jeunes qui se sacrifient, mais chez nous arrivera un temps ou les vieux vont prendre la décision de sacrifier pour les générations futures.
Mr Ossebi,merci pour votre texte.
Quarante huit ans de règne au Congo des voyous-destructeurs et agents de l’empire français.
Dans la recherche historique sur la corruption,la france est le pays le plus corrompu dixit l’écrivain et historien Allemand Jens Ivo Engels.La corruption,ce mal d’importation venu droit de l’occident dont Mr Sassou et sa caste sont devenus des précurseurs et champions au Congo est une bombe qui devra être désamorcée en priorité ainsi que la fameuse secte malhonnêtement nommée la franc maçonnerie dans un nouveau Congo Post regime Pct.
@Fils du pays!
Notre pays est malheureusement passé d’une fausse dictaure du prolétariat à une dictaure de la Francmaconnerie au bénéfice des memes RENEGATS!
C »EST UN CAS UNIQUE! DANS UN COMPLOT MACONNIQUE FRANCAIS!
Avant de commencer mon post, je souhaiterais faire une mise au point. Il me semble qu’il est plus intéressant de challenger les idées et non les personnes d’où qu’elles viennent, ce qu’elles ont dans leur vie privée et quelles que soient leurs convictions politiques. Nous sommes dans un espace de débat et de ce fait tout peut se dire et se contredire dans le respect de l’autre. C’est cela aussi l’exercice de la démocratie. Je tiens donc, ici, à apporter mon soutien à Lucien Pambou même si je ne suis pas d’accord avec lui mais il a le droit inaliénable de s’exprimer. Nous ne pouvons pas condammner les méthodes du petit dictateur de Brazzaville, d’un côté, et de l’autre adopter des comportements similaires aux siens.
Nous sommes tous conscients que le dictateur est en train de faire feu de tout bois pour se faire accepter au sein du concert des nations et ainsi valider son hold-up électoral pour mourir au pouvoir après avoir préparé les conditions d’accession au pouvoir de son fils. Pour ce faire, il déploie des moyens financiers colossaux pour continuer à corrompre, car il a déjà corrompu une bonne partie déjà, tous les cercles, milieux et clubs de tout genre pour créer une puissance de lobbying qui rendra nulle toute décision de rétorsion de cette fameuse communauté internationale. Je n’ai pas besoin de vous faire un dessin pour vous présenter les fruits qu’il en tire déjà.
Ceux qui sont en France ont suivi sur tous les médias la description, dans les menus détails, de la situation au Gabon là où la même situation au Congo n’a même droit à quelques secondes sur les mêmes médias même s’il faille prendre en considération d’autres paramètres notamment du nombre d’expats ou de l’existence d’une base militaire française. Factuellement, il y a eu 2 traitements différents. En face, nous avons une opposition sans le sou et dont certains opposants courent à la soupe. Il est commun de dire que l’on ne peut pas faire grand’chose si l’on n’a pas d’argent. Nous passons notre temps à les critiquer, à les vilipender, je suis le premier, mais que faisons-nous concrètement pour les aider financièrement pour les rendre indépendants ? Il serait intéressant, d’ailleurs intéressant de savoir combien la diaspora envoie d’argent à l’IDC-FROCAD, par exemple.
Nous devons progresser maintenant vers la phase de propositions, des actions. J’en ai identifié quelques-unes en complément de celles que j’ai proposées dans mon précédent post :
Nous devons imposer à l’opposition un leader, porte-parole de l’opposition et interlocuteur unique face aux organisations nationales et internationales. L’union fait la force et un message fort est celui qui est délivré par une opposition unie. J’ai la vague impression que ça tangue à ce niveau. Au Gabon, ils ont réussi à avoir ce leader. Tous les micros seront tendus vers lui pour délivrer les messages essentiels. Ce leader manque cruellement chez nous. Nous sommes dans une phase cruciale où des opportunités d’unité d’action sont en train de naître autour de nous, nous n’avons pas le droit de les gâcher.
Nous devons entretenir la mobilisation du peuple en organisant des réunions délocalisées dans tous les coins du pays, si possible. Je sais que l’opposition est bloquée dans ses déplacements. Ceci peut être résolu par une forte mobilisation de la conscience du peuple qui finira par protéger ses leaders.Pour cela nous avons aussi le devoir de travailler sur l’unité. Que l’on soit du nord ou du sud, les problèmes sont fondamentalement les mêmes sur le plan de la qualité du système de santé, de l’éducation, du chômage ou de la pauvreté. Nous devons présenter une cartographie et des statistiques dans ces domaines (système de santé, éducation, chômage et pauvreté) région par région du nord au sud, de l’est à l’ouest. Dans le but avoué de démontrer que le dictateur travaille pour lui et son clan et non pour une région entière pour barrer la route à un tribalisme rampant sans consistance scientifique.
Nopus devons développer une stratégie de communication bicéphale : nationale et internationale. Dans cette stratégie la diaspora doit prendre toute sa part. Elle fait déjà beaucoup et Il faut amplifier des actions actuelles envers les hommes politiques. Parmi nous se trouvent beaucoup de militants des partis politiques français, belges, suisses, britanniques ou américains. Ceci nous donne une arme supplémentaire, le bulletin de vote dans ces pays. Nous devons exposer et pourchasser tous les hommes politiques corrompus par le pouvoir de Brazzaville. Ces scandales peuvent être un boulet, surtout en période électorale (rappelez-vous des diamants de Bokassa avec Giscard). Nous devons inlassablement dénoncer dans des journaux spécialisés (La canard Enchaîné ou des sites comme Médiapart) ces tartuffes qui nous pourrissent la vie en Afrique. Pour cela, nous pouvons acheter des encarts dans des médias comme Le Monde, Libération, The Guardian, Times ou new York times, Washington post . Cette année est une année électorale, il est urgent d’exploiter cette opportunité. Dans une démocratie, les scandales peuvent faire tomber un homme politique (cf. Watergate). A nos poches.
La diaspora doit mobiliser des moyens financiers pour l’opposition locale pour l’aider à dérouler sa stratégie et être à l’abri de la corruption par le pouvoir.
Il ne faut plus mettre en avant la division Nord-Sud, le pouvoir peut en jouer pour affaiblir la résistance. Il ne faut pas perdre de vue que sans l’intervention du peuple du Nord, le Sud ne peut pas renverser la Dictature et vice-versa. Nous devons être un peuple uni face au Dictateur.
Il ne faut pas négocier avec un Dictateur, il n’est pas sur le même référentiel politique que l’opposition pour lui c’est une entourloupe pour conserver le pouvoir parce que sa devise date de l’époque maoïste : le pouvoir est au bout du fusil.
Il faut continuer à faire des sit-ins pacifiques sous l’œil de la presse internationale. Avant le sit-in il faut alerter la presse africaine, européenne et américaine si possible. Je reconnais que ce n’est pas évident par les temps qui courent.
Ne plus s’arrêter sur les crimes récents pour dénoncer le régime oppresseur de Brazzaville mais de tous les faits qui lui sont reprochés depuis les années 70 en exploitant tous les documents publiés sur le sujet par les différentes organisations et les philanthropes, comme l’opinion internationale (OI).
Cette liste n’est pas exhaustive mais j’expose ici les points que j’estime importants pour dynamiser notre lutte.
Prévue initialement pour aujourd’hui, 9 septembre 2016, l’arrivée de la délégation de haut niveau de l’union africaine (UA) a été reportée sine die pour, dit-on, raison de calendrier. Pendant ce temps, Jean Ping qui revendique la victoire a finanlement décidé de déposer un recours auprès de la Cour constitutionnelle. On attend de voir la suite qui y sera donnée. Peut-être était-ce pour cette raison que les missi dominici de l’instance continentale, qui devaient être conduits par le président en exercice hilmself, le Tchadien Idriss Deby Itno, accompagné de ses pairs, Macky Sall du Sénégal et Mahamadou Issoufou du Niger, ont préféré ajourner leur déplacement. Quand à Denis Sassou Nguesso du Congo Brazzaville, initialement aligné sur « la fiche du match », ne sera pas de la partie parce que considéré comme persona non grata par l’opposition gabonaise. En plus des chefs d’Etat, le communiqué de l’UA annonçait la participation à la médiation de bons offices entre les protagonistes de la crise, de hauts responsables de la Commission de l’UA et des Nations unies. Mais que pouvait-on attendre, individuellement pris, de ces urgentistes ? « A tout seigneur, tout honneur ». Quel écot peut être celui du président Deby dans cette crise au Gabon ?
Jean PING devant le conseil constitutionnel ! N’est-ce pas la meilleure façon d’hypothéquer ses chances devant la communauté internationale ? Quelle est l’intégrité de conseil ? N’est-ce pas un outil entre les mains de Bongo pour anihiler toute vélléïtés de contstation ? Dans les pays démocratiques, le conseil constiutionnel est l’organe suprême qui dit et impose la loi. Ses attendus ne sont pas pas contestables et font autorité. Si le conseil constitutionnel est de mèche avec Bongo comme cela se passe au Congo, quel argument aura monsieur Ping pour contester la décision ? La communauté internationale, légaliste, s’en accommodera et le tour est joué. Tant que l’on aura pas des institutions qui seront l’émanation directe du peuple, toute décision rendue par celles-ci seront toujours entâchées d’injustice et le droit ne sera jamais rendu équitablement.
Pourquoi le Sieur Pambou n avait il pas fait cette même analyse et propositions après les dernières élections au Congo ? Sassou aurait laissé la passe a Kolelas ou Mokoko pendant x temps et inversement . N était il pas encore inspiré a ce moment la ? Voila encore une nouvelle façon de foutre la merde dans ces pays. Il suffit seulement qu il y ait maintenant une contestation dans une élection ,pour partager la poire ( le pouvoir )avec le perdant ou le gagnant.
Et voila maintenant Jean Ping arrosé a la même sauce cour constitutionnelle que Kolelas .Est ce que le passage devant un juge est plus fiable , surtout dans nos pays,qu un recomptage de voix ? Le seul juge fiable ce n est que le peuple. Pourquoi alors déranger les gens , dépenser des sommes faramineuses pour ces campagnes etc..alors que les candidats pourraient se présenter devant un juge et se serait a lui de décider ? . Pendant que vous y êtes pourquoi ne pas tirer au sort pour départager les candidats ?
LES ANGLAIS DISENT “DIEU RECONNAIT LES BONNES PERSONNES”. ATTENTION A L’INTERPRÉTATION DE CETTE PHRASE. CECI NE VEUT DIRE PRIE SEULEMENT ET TOUT TOMBERA DU CIEL, MAIS PLUTÔT SOIT LE MEILLEUR DANS TOUT DOMAIN ET TU RÉCOLTERAS LES FRUITS DE TON TRAVAILLE
SI TU A CHOISI REPRÉSENTER LE PEUPLE FAIT LE BIEN
SI TU A CHOISI ÊTRE OPPOSANT FAIT LE BIEN
ET LE PEUPLE TE RECONNAITRA
DANS LE CAS CONTRAIRE TU DEVIENS UN TRAITRE, CE QUI VEUT QUE TU ES PIRE QUE L’OPPRESSEUR. TU DEVIENS UNE MAUVAISE PERSONNE ET DIEU NE VA PAS TE RECONNAITRE.
DIEU A RECONNU MARTIN LUTHER KING CAR ON N’A JAMAIS DISPARU
DIEU A RECONNU MADIBA
DIEU A RECONNU NGBANDI
DIEU A RECONNU MATSOU A.
DIEU A RECONNU MABIALA MANGANGA
DIEU A RECONNU NTIMPA VITA ET DIEU A RECONNU TOUS LES CEUX QUI ONT TENU LEURS PAROLES.
AUJOURD’HUI JEAN PING DIT, J’AI GAGNÉ LES ÉLECTIONS, JE M’EN VAIS A LA COURT CAR CECI EST LA LOI, MAIS SANS LE RECOMPTAGE DES VOIX, NOUS RETOURNERONS DANS LA RUE.
SI NOUS NOUS METTONS TOUS DANS LES RUES QUE LE NORD VIENNE OU PAS, C’EST DÉJÀ LES 92% DE LA POPULATION CONGOLAIS C’EST DIRE PRÈS DE 3 MILLIONS DES PERSONNES DANS LES RUES EN CE MOMENT LA LA France AURA BESOIN DE TOUTE SON ARMÉE ET NON SEULEMENT SA LÉGION QUI TUE A BRAZZAVILLE EN PORTANT OU PAS LE CAGOULES.
POUR L’UNITÉ NATION TOUT LE PAYS DEVRAIT ÊTRE DANS LES RUES.
http://www.aljazeera.com/news/2016/09/gabon-election-jean-ping-challenges-result-court-160908184021440.html
http://www.bbc.com/news/world-africa-37316746
Si la Cour de Libreville est aux ordres comme celle de Brazza, il est clair que Ping n’a aucune
chance.
Cependant vis à vis de l’environnement international, Ping n’avait pas d’autres choix que de la saisir.
Lorsque la décision sera rendue chacun reprendra alors sa liberté mais il va falloir motiver !
Je pense qu’à très court terme le régime de Bongo va se terminer comme ce fût le cas au Burkina.
C’était la seule façon pour le beau frère d’Ali Bongo (Ping), d’obtenir de manière légale et selon les lois de son pays, le recomptage des voix. C’est à dire, demander l’avis de la cour constitutionnelle. Mais Que Valent les postures légalistes dans nos pays? Que vaut la bataille démocratique dans un pays qui n’est pas indépendant? Comme l’a dit un internaute plus haut, ils finiront bien par s’entendre. Après tout, ils font parti de la même famille! La communauté Franco africaine: La françafrique, cimetière de toutes les ex colonies françaises qui ont obtenues des pseudos indépendances sans se battre. Bonnet blanc et blanc bonnet. La culbute continue… Entre la France et son harem de colonies. Waouh! 14 concubines qui en redemandent, quelle chance…
GABON ET CONGO BRAZZA ,ce sont des chiens , notamment leurs dirigeants ,ayant le même patron .
Et , on en connait la suite .
Lucien Pambou a dit :
La Cour constitutionnelle juge-arbitre du conflit opposant Ping à Bongo.
Ping conteste les résultats devant la Cour constitutionnelle, même s’il pense que celle-ci est inféodée au pouvoir de Bongo
Jean Ping, candidat malheureux à l’élection présidentielle gabonaise estime qu’on lui a volé sa victoire et que le véritable vainqueur n’est pas #Ali Bongo, mais bien lui Jean Ping ……
la suite sur :
http://fr.blastingnews.com/international/2016/09/la-cour-constitutionnelle-juge-arbitre-du-conflit-opposant-ping-a-bongo-001109887.html
OKOI EST LE CHEF DES TERRORISTES ARMÉS SOUS LES ORDRES DE LA FRANCE, IL EST RESPONSABLE DE TOUT CE QUI PASSE AU POOL SON COLLÈGUE AU GABON A DÉMISSIONNÉ, S’IL N’EST AU COURANT DE RIEN IL DOIT DÉMISSIONNÉ.
ALORS KOLELAS TU VEUX SAUVER QUOI ?
SASSOU LE PLUS PRÉSIDENT CRIMINEL AFRICAIN CONTINUE DE TERRORISER ET TUER SANS IMPUNITÉ, DANS LE POOL. LA France L’A PLACÉ AU DESSUE DE TOUTES LOIS DE CETTE TERRE CAR LA France A LE DROIT DE VETO. POURQUOI LES MORTS DU GABON DEVIENNENT AU PROBLÈME MONDIAL ET AU CONGO TOUT EST PERMIS A SASSOU DE DÉTRUIRE TUER, VIOLER SANS RÉACTION DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE.
NOUS DESCENDRONS TOUS DANS LE RUES KOLELAS NE JOUE PAS A L’IDIOT, QUI AUX DE NOUS EXTERMINER TOUS
VIVE LE CONGO
oublier les medias du mensoge de la France
http://www.aljazeera.com/news/2016/09/gabon-election-jean-ping-pleads-judges-vote-160910043731410.html