A son retour de Cuba, le Président de la République, en répondant aux questions des journalistes avait réaffirmé son intention de procéder au référendum en vue du changement de la Constitution actuelle. Comme à son habitude, il avait justifié son projet inconstitutionnel en prenant des exemples qui n’ont rien à avoir avec le contexte politique congolais. Il s’était appuyé sur la réforme constitutionnelle ayant abouti à l’institution de la Ve République en France et la réforme constitutionnelle ayant instauré l’élection du Président de la République française au suffrage universel direct. Après s’être trompé au sujet du nombre de mandats présidentiels en Allemagne, Mr Sassou vient encore de commettre une grave confusion qui prouve, une de fois plus, qu’il n’a pas des conseillers compétents autour de lui mais de vulgaires courtisans.
Comparaison n’est pas raison. Comment Mr Sassou peut-il sortir la réforme ayant abouti à la cinquième République française de son contexte historique et politique pour l’appliquer au contexte congolais dans le but de justifier son coup d’Etat constitutionnel en préparation ?
Puisqu’il semble devenu amnésique au point d’oublier ce contexte français, il va falloir qu’on lui rafraichisse la mémoire.
La Ive République était un régime parlementaire où le pouvoir exécutif était faible. En raison de l’application du scrutin proportionnel aux élections législatives, des alliances étaient nécessaires entre plusieurs partis pour obtenir la majorité et gouverner. La vie politique de la Ive République était donc faite d’alliances et de ruptures d’alliances entrainant une grande instabilité ministérielle. Ainsi, de 1947 à 1959, 24 gouvernements se succèdent, soit en moyenne un gouvernement tous les six mois. Cette faiblesse du pouvoir exécutif est la raison principale de l’incapacité de la classe dirigeante à résoudre les crises liées à la décolonisation. Le début de la guerre d’Algérie pour l’indépendance aboutit à une crise de régime en France. Une autorité morale capable de restaurer le pouvoir de l’Etat étant attendue, De Gaulle se pose en recours.
Alors que De Gaulle s’était retiré de la vie politique sous la Ive République en raison de son hostilité vis-à-vis d’un régime où le pouvoir exécutif est faible, il revient douze ans après et accepte de reprendre le pouvoir à condition de pouvoir gouverner par ordonnance , c’est-à-dire sans vote du Parlement pendant six mois. Durant cette période, il est chargé de rédiger une nouvelle Constitution. Le Parlement accepte ses conditions. Le 1er juin 1958 De Gaulle devient Président du Conseil et entame avec ses conseillers le travail de rédaction de la Constitution de la Ve République française.
Pour résumer, la cinquième République est née de la nécessité de restaurer l’autorité de l’Etat, à travers un pouvoir exécutif fort, une stabilité politique et gouvernementale, par le biais du scrutin majoritaire aux élections législatives notamment.
Que se passe-t-il au Congo-Brazzaville ?
Il existe une Constitution qui attribue tous les pouvoirs au Président de la République qui est la personnalité centrale, la stabilité gouvernementale est garantie à travers l’impossibilité pour le Président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale et cette dernière de démettre le Président de la République. Dans ce régime, le pouvoir exécutif est trop fort et supplante le reste des institutions. Le Président de la République est à moins de deux ans de son second et dernier septennat constitutionnel. Il doit, en 2016, quitter le pouvoir sans autres formes de procès ou pseudo débats. Mais ayant une soif et une addiction inextinguible au pouvoir, il voudrait absolument s’y accrocher, en violant la Constitution du 20 janvier 2002 qu’il a pourtant juré de respecter et de défendre.
Depuis 2002 jusqu’à ce jour, grâce à la science de la fraude dont il a le secret, le PCT a toujours eu une « majorité » écrasante lors des différentes élections politiques. Un gouvernement composé des militants du PCT et non pas des cadres intègres.
Le contexte politique congolais d’aujourd’hui n’a donc rien à voir avec celui qui a présidé, en France, à l’adoption de la Constitution de la Ve République française .C’est une manœuvre de diversion de plus et des exemples hors sujet de la part de Mr Sassou Nguesso.
L’humiliation subie par lui lors du dernier sommet de la francophonie est encore dans toutes les mémoires des congolais. Le Président François Hollande l’avait clairement mis en garde contre les tripatouillages de Constitution pour convenance personnelle pour demeurer au pouvoir. La position de Barack Obama est la même sur ce sujet.
En disant que c’est au peuple congolais qu’il appartient de trancher le problème du changement de Constitution, Mr Sassou envoie un message à Hollande et Obama pour leur faire part de sa détermination à passer outre leurs mises en garde et changer la Constitution de notre pays pour demeurer au pouvoir. Autrement dit, c’est un bras de fer qu’il a engagé avec eux. Mais c’est risqué pour lui, même si les courtisans et extrémistes, qu’ils préfèrent écouter, lui font croire le contraire. Avant lui, Blaise compaoré avait adopté la même attitude et rappelé à Obama et Hollande la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats. Nous savons tous comment cela s’est terminé pour Blaise compaoré. Sassou serait bien inspiré de se garder d’engager un bras de fer à plus forts que lui, car il est déjà perdant puisqu’ il n’a pas la force de tenir tête, longtemps, aux Présidents américains et français. C’est ridicule pour lui de vouloir montrer des muscles, qu’il n’a pas, à deux personnes qui pourraient décider de son départ du pouvoir, même avant 2016, en quelques minutes.
Qu’il ne soit pas stupide comme Blaise compaoré, en attendant que le sang des congolais coule abondamment avant qu’il ne puisse reculer et renoncer à son projet de coup d’Etat constitutionnel qui menace la paix dans notre pays. S’il n’écoutait pas la voix de la sagesse, c’est la Cour pénale internationale et la justice française qui s’occuperont de lui. Les dossiers des disparus du Beach et des biens mal acquis sont toujours instruits en France et aboutiront à des procès.
Mr Sassou, s’il vous reste encore un brin de clairvoyance, renoncez pendant qu’il est encore temps à votre projet de changer la Constitution du 20 janvier 2002 et partez du pouvoir sans difficultés en 2016.
Si vous pensez qu’en affrontant Hollande et Obama, vous resterez au pouvoir, c’est la plus grave des humiliations qui vous attend avec la justice pénale internationale mais aussi française et la nôtre en plus.
Une personne avertie na vaut deux.
Ngoma Ludovic
Diffusé le 8 décembre 2014, par www.congo-liberty.org
Tout est dit. Mon pronostic est que Denis 1er va se dégonfler comme une poule mouillée. Le spectacle auquel il se livre n’est que des mangungu ya pamba et une opération de communication en direction de son fan club qui a le moral très très bas depuis la fuite de son complice washingtonie, Blaise Compaoré
Je pense exactement comme vous
Sassou c’est le président de l’étranger ( communauté internationale ) la preuve c’est l’armée internationale qui la aider pour prendre le pouvoir! Et maintenant les occidentaux lui disent non! Il veut s’entêter , il finir comme son ami Kadhafi!!! Sassou tu n’est pas légitime au congo tu as pris les armes contre les congolais !!!
Cet article bien détaillé met Sassou Nguesso dos au mur, car son argumentaire pour justifier son plan macabre et diabolique ne tient plus et n’a jamais tenu. Ses partisans doivent apprendre à leur dépend. Ainsi, le chemin de Edou lui est largement ouvert de façon définitive. Bye bye le président dictateur
SASSOU NGUESSO ENGAGE UN BRAS DE FER AVEC OBAMA ET HOLLANDE?
Franchement que vaut un pauvre vieux dictateur africain comme Denis SASSOU N’GUESSO face auxÉtats-Unis et à la France quand on sait par exemple que même pour se soigner il a recours aux médecins américains et français sans oublier que même la révision et la maintenance de l’avion à bord duquel il se déplace, est assurée par des techniciens de ces pays.
Denis SASSOU N’GUESSO est conscient que si Barack OBAMA et François HOLLANDE veulent en finir avec lui, ils n’auront même pas besoin d’utiliser de grands moyens.
Ils peuvent le neutraliser et détruire en seulement quelques fractions de secondes tout son petit arsenal de guerre qu’il a stocké dans son village (à Tsambintso) et sur lequel il compte pour réprimer le peuple dans le sang en cas de révolte populaire.
Excellente analyse. A vous lire on comprend mieux le niveau de défaillance intellectuelle qui habite nos responsables politiques. Comparer la situation de la fin de la IVe république à la situation politique actuelle relève d’une notoire myopie intellectuelle.
Je pense que tout a été dit dans votre analyse.
Sassou est cuit. Il ne sait plus quoi faire. Sassou se retrouve aujourd’hui entre le marteau et l’enclume. Non au dialogue tant prôné par une frange de l’opposition. NON, NON et NON au référendum que sassou veut nous imposer. Que Sassou s’en aille tranquillement a la fin de son 2ème et dernier mandat sans faire des vagues. Et qu’il emporte par la même occasion toute sa progéniture nombreuse et tous ses courtisans zélés d’une autre époque.
Si Sassou a peur de répondre a la justice nationale et internationale de ses différents crimes commis à l’encontre des congolais, c’est son problème. Le Congo se portera mieux sans sassou. Kende na yo, to ligui yo lisusu te otsombe.
Justement ce système présidentiel n existe nul part sinon en France et dans des pays totalitaire, hormis les U.S.A dont la présidence est fédérale avec des élections aux suffrages indirects. Je pense que personne ne peut mettre tous le monde d’accord au Congo même l’ABBE youlou n’y est pas parvenu.je suis pour le régime parlementaire et fédéral. Plus d’élections aux suffrages direct du chef de l’exécutif,et sa présence hebdomadaire au parlement pour répondre aux députés eux élus aux suffrages direct.
Therry Moungalla est recherché en France pour des raisons d’enfarinage !
Pauvre Thierry sera bientôt ou certainement tabassé en France – des dents et des cotes cassées, des hématomes et des bleues partout – quel fin de cycle de collaboration dictatoriale? Oui, Thierry Moungalla, B.Okiemy, P. Mabiala sont désormais recherchés en France pour en farinage. Que c’est dur d’être ou d’avoir été serviteur volontaire d’un tyran machiavélique? Les chasseurs de prime seront embaucher par les nouveaux pouvoirs arrivant au Congo: la traque d’anciens collabos ou de nazis congolais ne fait que commencer. A suivre entre 2014 à 2032 !!!
la situation au congo est differente de celle du burkina car le congolais est encore traumatisé par 1997 et est tribale alors que le changement doit avoir un caractère national. les politiques font le jeu du pouvoir en acceptant un dialogue qui na pas de sens et qui se passerait en 2015 et qui pousserait sassou a demander un referendum en fin 2015 gagnant ainsi du temps car en fin 2015 hollande et la gauche aurons d’autres soucis, l’election de 2017 que sassou financera pour le retour de la droite au pouvoir qui lui garantira son maintien au pouvoir.
compatriotes c’est maintenant qu’il faut agir non par la parole mais par les actes, non loin du pays mais sur le terrain, je suis au congo et je veux vous dire que les politiques nous trompent; notre liberté viendra d’un jeune qui prendra les choses en main et le peuple du nord comme du sud se reconnaitra en lui, ceci est une vision des églises et les temps sont proches, soyons pret
merci arsene pour ton message car c’est une vérité je suis au congo comme toi et nous aussi nous savons que c’est un jeune dont l’age nous a été revelé, 46 ans qui se revelera sauveur de ce peuple congolais. ce que je peux dire au congolais de la diaspora est simple, ecrire n’est pas ce qui va faire partir sassou mais il faut des action mais comment peuvent t’ils réagir ? c’est simple commencer a faire des cotisations financiere qui doivent etre envoyé au pays pour la lutte car la jeunesse qui prendra la rue est une jeunesse démunie et laissé en l’état par le pouvoir pour etre manipulé. commencez par rassembler des finances et on vous dira comment faire parvenir cela et a qui. merci
M. Ludovic Ngoma, c’est très bien de rappeler ce fait historique ayant conduit à la naissance de la Ve République via la constitution de 1958 écrite entre autre par Michel Debré, le père du président du Conseil Constitutionnel français actuel.
Je n’ai rien à dire de plus. Tout est dit dans votre article. C’est très bien. En regardant l’interview de M. Sassou, je me suis posé les même questions que vous. Et que fait-il du contexte historique? C’est affligeant de voir à quel point l’avidité du pouvoir peut conduire un homme à manquer de clairvoyance. J’en suis peiné pour nous autre congolais. Qu’avons-nous fait pour mériter un tel Président ?
Au peuple congolais,
Chers compatriotes,
A quelque chose malheur est bon. L’entêtement de Sassou sur son histoire de changement de la constitution de 2002 doit être vu et accepté comme une aubaine pour notre libération de son joug.
Sassou fait allusion à un certain peuple congolais souverain existant dans sa fiction, dont il possède seul le secret. Il fait allusion à des peuplades de son imagination, qu’il garde quelque part dans un parc naturel doré dans les savanes congolaises, un monde plein de bien-être et de bonheur, dont il est convaincu serait très avide de le voir éternellement à la tête du Congo.
Ce monsieur se trompe royalement.
Tout le peuple congolais est désormais convaincu, que la volonté de Sassou à faire subir un forcing de référendum à son peuple, fait de lui un homme irresponsable. Il veut les affrontements de rue inter-congolais.
Est-il digne d’un homme responsable vis-à-vis de son propre peuple à définir ainsi son règne ?
La panique causée de la perte imminente de pouvoir fait de Sassou un terroriste. Il veut créer une division entre les congolais. C’est son seul salut. Sassou est convaincu, qu’il serait très facile pour lui de s’attraper quelques moutons de Panurge à coût de des espèces CFA, qui iront volontiers dans la rue afin de semer la zizanie d’un pseudo soutien à son entêtement.
Chers compatriotes, voici ce que je vous conseille : je possède à présent des informations très sûres, qui révèlent que le 31 Décembre 2014 lors de son discours des vœux à la nation, Sassou parlera de son référendum. Alors chers compatriotes, ne vous laissez pas vous emporter par les émotions. Déguster vos plats tranquillement dans vos familles et attendez calmement que le 2 Janvier 2015 arrive. Sassou et le PCT ont débloqué des sommes d’argents très importantes pour corrompre les politiciens et le peuple à partir de cette date.
Comme c’est le cas, attendez volontiers que quelqu’un vienne vous consulter. Ne vous laisser pas vous faire persuader avec 5000 frs CFA, augmentez la surenchère : en tout cas un oui à l’adhésion pour le soutien de son projet doit être assez cher. Soyez le maître du jeu. Jouez vous aussi, au moins une fois dans votre vie le rôle d’un Ponce Pilate sur la survie du règne de Sassou. Osez demander par exemple 25.000 frs CFA. Soit 12.500 tout de suite et le reste le jour du référendum.
Après ce contrat entre les gens civilisés, je vous conseillerais d’empocher cet argent, car c’est de votre droit, et faites vivre à notre Sassou la fameuse histoire de l’arroseur arrosé, en ne participant pas à son cirque.
Sassou sera doublement puni. Et vous serez le gagnant dans tous les sens …
Le peuple congolais possède une arme très puissante : elle s’appelle l’unité nationale. Contre cette arme, Sassou en possède deux : la division du Congo et son armée.
Qui sortira alors vainqueur de ce bras de faire ? Le peuple ou bien Sassou !
Il ne faut pas en vouloir à Sassou, il est d’un niveau intellectuel tel qu’un élève de la classe de seconde s’étranglerait en lisant les idioties de Sassou quand ce crétin compare
les institutions Françaises à celles du Congo. Les personnes à qui on doit en tenir rigueur,ce sont ces conseillers à la noix. Sassou au plus profond de lui est convaincu que c’est la fin de son règne mais il faut qu’il joue la comédie que lui impose ses courtisans, il le sais que c’est la France qui la remis au pouvoir grasse au coup d’état et que la France ne veut plus de lui. Donc laissez le gonfler ses petits muscles afin de satisfaire ses bouffons et le moment venu il va disparaitre de la circulation avec sa queue entre les jambes comme un chien battu. Le Congo retrouvera la liberté et ce sera à nous Congolais de reconstruire le pays avec des nouveaux dirigent qu’on aura librement choisi.Le Congo a beaucoup de cadres capable de remettre ce pays sur les rails en un temps record. Tous ce qui ont de près ou de loin participé au génocide de nos compatriotes, spolié les richesses du pays à leur propre profit seront jugé et puni par des juges indépendants choisi pour leur probité et leur honnêteté intellectuel. Fini les passes droit, seul la compétence sera la règle de sélection et non les yaka nokinoki, fini le mbochis dans les lieux public, la lange officiel est le Français, j’entends lieux public: dans l’administration, les ambassades, écoles, hôpitaux, police, armée et j’en passe. Si ces conditions ne sont pas rempli, ce sera l’implosion du Congo avec comme résultat la création de la République du Sud Kongo car les originaires du sud ont trop subit et qu’ils n’accepteront plus jamais d’être pris comme de sous congolais. Le reste du pays est averti, la réponse est entre leur main.
DES CONSEILLERS GOUVERNEMENT BIS AU RABAIS? UNE ILLUSTRATION DES ŒUVRES DE CES RASPOUTINES CONS-MACONS…
Je souscris à l’idée des Conseillers incompétents
CONGO: WHAT A BORING COUNCIL! UN CONSEIL DES SINISTRES
Au dernier conseil des SINISTRES, Un SINISTRE D’ÉTAT a présenté un décret sur l’immatriculation des aéronefs… reprenant les dispositions contenues dans le code et le règlement l’aviation civile français de l’aviation civile et même dans celui de la CEMAC…
INCOMPÉTENCE pour un SINISTRE d’État qui découvre un domaine coaché par une INCONGRUITÉ Conseiller technique cousin APPELÉ VOLONTAIRE PROF DE MATHS DE COLLÈGE A LA RETRAITE SANS MÉTIER AÉRONAUTIQUE? Un VÉRITABLE RASPOUTINE sans expertise qui entraine son Cousin SINISTRE D’ETAT dans la chasse aux prébendes?…ou
PIEDS DE NEZ PERFIDE d’un sinistre CANICHE qui se venge malicieusement, ou qui veut s’affirmer par rapport à OSSO HOMME DE MAIN DE BOUYA qui le tient en laisse?, pour marquer un territoire qui s’est réduit comme peau de chagrin?
EN VÉRITÉ TRISTE PÉRIODE QUE VIT LE CONGO! DÉLITEMENT D’UNE RÉPUBLIQUE BANANIÈRE puisque le rapporteur signale que les textes applicables existaient déjà.
Que celui qui a des oreilles entende. C’est grave cet entêtement. Parmi sa multitude descendance, personne ne peut lui prodiguer de bons conseils ? Pourquoi sont – ils tous devenus amnésiques à ce point? N’ont ils pas engrangé assez d’argent comme ça ? Ils préfèrent que leur père soit humilié et banni à jamais du Congo et partant eux aussi ? Et son épouse ne peut-elle pas intervenir ? Quand à tous les flatteurs qui l’entourent ils sont autant médiocres et égoïstes. C’est vraiment triste !
Signe qui ne trompe pas. Le d.g de Total était en visite au Nigeria, Gabon et Angola la semaine dernière, mais il a refusé de mettre ses pieds à Brazzaville.
Un signe qui en dit long.