Sans doute informé par ses réseaux mafieux de la béatification du cardinal Emile Biayenda qu’il a fait enterrer vivant le 23 mars 1977, sans compter la carotide de Marien Ngouabi qu’il a fait sectionner dans la chambre numéro 8 de l’hôtel Mistral de Brazzaville à 14 heures 30 le 18 mars 1977, en plus de la dépouille du président Alphonse Massambat-Débat qu’il a fait livrer aux fauves du Zoo de Brazzaville et bien d’autres, Sassou Denis croit bon, comme à l’accoutumée, de faire de la récupération et de la manipulation sur cet évènement à venir.
Combien de têtes ce dictateur a coupé et à fait couper depuis son accession au pouvoir par les armes, lui qui prétendait dormir ? C’est avec ses mains ensanglantées qu’il a franchi le parvis du Vatican.
Si cette béatification est sur la bonne voie, selon de nombreux ecclésiastes, son aboutissement emportera, à coup sûr, Sassou Denis et son régime corrompu.
Le Congo est à l’heure du verseau. Les planètes s’alignent. Pierre après pierre, les Congolais finiront par faire tomber Sassou Denis.
Que ceux qui s’insurgent de la visite du criminel Sassou Denis le 24 novembre dernier au Saint Siège, se remémorent de la perte des lettres de noblesse de l’église catholique qui comporte plus de deux millions de fidèles, soit la moitié de la population du Congo-Brazzaville.
Point d’entrée de la colonisation à travers « sa mission civilisatrice » dans notre contrée, la religion est considérée par Karl Marx comme « l’opium du peuple », dans sa critique de la philosophie du droit en 1843. A l’évidence, la religion a réglé la vie des gens pendant des siècles en leur promettant le paradis, d’une vie meilleure après la mort, participant au calme du peuple, à sa relative tranquillité. Karl Marx compare la croyance, le respect des préceptes religieux et la pensée religieuse à une drogue, à l’opium. Quand il écrit opium du peuple, Karl Marx décrit une situation de soumission par rapport à des principes édictés au-dessus du peuple, mais qui le contiennent aussi.
Dire que la religion est l’opium du peuple, c’est signifier que la religion empêche le peuple de se révolter, de penser à ses problèmes, de considérer la vie d’une autre manière. La religion agit comme un apaisement illusoire pour les souffrances du peuple.
L’illustration parfaite de ce sédatif a été faite par l’archevêque Bienvenu Manamika Bafouakouahou sur la cession de nos terres aux Rwandais avant de tenter un hasardeux rétropédalage. Cet archevêque est le seul à croire aux documents que lui auraient présentés Sassou Denis et le PCT. Aujourd’hui, malgré l’opposition du peuple congolais, la cession de nos terres à un pays étranger semble être une réalité.
L’autre discrédit de l’église catholique se trouve dans le film dramatique franco-belge « Grâce à Dieu », écrit et réalisé par François Ozon, sorti en 2018. Ce fim relate le combat judiciaire mené par des victimes d’abus sexuels sur mineurs dans cette église.
Peu importent les raisons qui ont conduit le pape François à recevoir Sassou Denis, ce criminel hors pair, la vraie religion est celle du quotidien. Il suffit de se rendre au Congo pour s’en rendre compte. La misère dans laquelle Sassou Denis plonge les Congolais est sans commune mesure. Elle est innommable.
Ce rancunier est dépourvu d’humanité. Rien ne sert de souiller un lieu saint. La religion serait pour Sassou Denis, d’effectuer un travail intérieur en se débarrassant de ses aspérités. De passer de la pierre brute à la pierre taillée.
Persuadé que la béatification du cardinal Emile Biayenda sera un accélérateur dans la chute de Sassou Denis, le peuple congolais doit se réveiller en mettant entre parenthèses ses peurs, en s’affranchissant des promesses illusoires de l’église catholique pour agir sur les injustices multiformes de sa vie quotidienne.
Loin d’être antireligieux, souvenons-nous collectivement de cette citation de Jomo Kenyatta : « Quand les blancs sont venus en Afrique, nous avions la terre et ils avaient la bible. Ils nous ont demandé de prier avec les yeux fermés. Quand nous avons ouvert les yeux, les blancs avaient la terre et nous avions la Bible ».
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 09 décembre 2024, par www.congo-liberty.org
Cher Olivier, c’est Voltaire qui disait, l’existence de Jesus est une farce énorme. Comment peut-on comprendre que ce pape reçoive l’assassin du cardinal Émile Biayenda au Vatican ? Car nulle doute c’est Sassou Denis qui endosse toute la responsabilité des assassinants du 18 mars 1977 et après ! Le témoignage du professeur Ekondji Akala ne jamais été contesté. Ce 18 mars 1977 c’était Sassou qui décidait de la vie ou la mort des congolais restés au pays. Marien Ngouabi a du moins apprécié quand Sassou Denis lui coupe la carotide, mais il paie pour sa médiocrité de nous avoir ramené Sassou Denis.
Je reitere mon apppel aux armes.
Peuple Congolais il faut absolument prendre les armes pour chasser du Congo cet idiot et imposteur beninois devenu Mbochi d’Oyo et agent de l’imperialisme Francais au Congo,ses enfants,sa caste mafieuse,ses mercenaires venus des quatre coins du monde,ses employeurs,ses soutiens,ses ministres,sa nomenklatura et tous ses courtisans toutes categories confondues.Ensuite faire les reformes profondes de tous les secteurs de la vie du pays tout en mettant des gardes fous pour que plus jamais un autre imposteur repete ce que le peuple vit depuis l’arrivee au pouvoir du naif Ngouabi Marien avec dans ses bagages ce beninois et d’autres criminels et agents de l’etranger.
Au grand jamais,un vrai Congolais peut faire envahir ce pays par les armees etrangeres.Ce beninois a fait envahi ce pays par les criminels du monde entier pour continuer a servir les interets de ses maitres.
A bas la fripouille beninoise et ses comparses.