SASSOU CAP 2021 : LE SYNDROME DE BOUTEFLIKA

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

Nous sommes nombreux à nous poser la question de savoir si ce monsieur Sassou est sérieux. Mais force est de constater comme une évidence qu’il ne l’est pas. Son seul bonheur c’est de gagner des élections truquées et de maintenir le peuple congolais dans la misère.


C’est la chronique annoncée d’un pays en voie de décrépitude tant le gérontocrate qui le porte à bout de bras n’est ni crédible ni fréquentable et encore moins inconscient.


Ce serait pour certains d’entre nous un crime de lèse-majesté de s’en prendre à l’âge du Capitaine. Et si c’était là notre problème, surtout en Afrique où la vieillesse ne confère plus la sagesse mais un gangstérisme sénile qui consisterait à conduire tout le monde dans sa fosse lors de son dernier jour dans ce monde des vivants. Le terme le plus approprié à ce genre de réflexion devient l’inconscient sénile qui consisterait à profiter de toutes les bassesses de ce monde avant de rejoindre l’au-delà.


Autrefois l’on disait que lorsqu’un vieillard mourrait en Afrique c’était une bibliothèque qui brûlait, à présent ce sont des milliards de dollars qu’ils dilapident avant de passer à trépas avec pour leitmotiv après nous le chaos.


Depuis longtemps, il n’a de cesse que de nous traîner dans la boue qui devient la gadoue. Il a transformé le Congo-Brazzaville, ce petit État pétrolier prometteur, en une république bananière, tribaliste, clanique, pourvus de nombreux courtisans. Plus personne ne se donne la peine de réfléchir sur le devenir de notre pays plus de 58 ans après l’indépendance. La faim tenaille des pans entiers de la population congolaise, l’insécurité devient galopante et dans ce contexte la parole sage se raréfie.


Le fait le plus marquant c’est qu’au fil des ans nous n’ayons même pas pu conserver ce que les colonisateurs français nous avaient laissé. Les fontaines d’eau qui abreuvaient nos quartiers populaires du matin au soir ne sont plus que de lointains souvenirs que même certains de nos enfants viendraient à douter de leur existence tant la souffrance que leur impose cette barbarie ne leur fait plus rêver. L’éclairage public de nos grandes avenues le soir qui a permis à nombreux d’entre nous de pouvoir lire ou étudier, a laissé place à la pénombre des ténèbres.


Le métier d’armes servant à la base à protéger le peuple, a permis à une famille mafieuse d’en faire leur job en or afin de maintenir en esclavage tout un peuple.


Celui qui au sortir de la terrible guerre civile de juin 1997 se gargarisait de défendre les intérêts français au Congo-Brazzaville, quelle absurdité, est toujours en lice sous le regard bienveillant et protecteur de ses mentors. Ce Préfet (bon élève / premier de la classe) de la Françafrique, nommé par un décret non publié au journal officiel français, continue d’empoisonner la vie de millions de Congolais qui n’aspirent qu’à vivre paisiblement dans leur pays.


Un simple constat s’impose. La vie des Congolais décline vertigineusement au jour le jour, pendant que Sassou et sa clique amuse la galerie. Toujours entouré des mêmes depuis les sinistres petits matins qui marqueront à jamais le conscient collectif congolais, il continue à terroriser le peuple congolais avec les mêmes méthodes d’embastillement, ces cours révolutionnaires de justice qui sont des véritables machines à broyer des Hommes libres qui osent affronter la dictature. Mais qu’ils sachent qu’il n’est pas dans notre nature de nous plier à la première brise matinale.


Le Congo-Brazzaville va mal et nous le savons tous. Brazza la verte est devenu Brazza sur pilotis tant les eaux de pluies remplissent nos rues, nos avenues, nos maisons et ont du mal à s’évacuer. Ponton sur Mer porte désormais bien son nom car il n’y a plus de barrière naturelle entre l’océan atlantique et nos paisibles terres. Tout ceci est le résultat d’un amateurisme politique dépourvu de bon sens.


Certains qui hier avaient siégé dans ces simulacres de Cour de justice se retrouvent aujourd’hui dans l’opposition. Il est temps qu’ils nous disent haut et fort qu’ils s’étaient trompés et que cette voie autodestructrice n’est pas à suivre car la liberté d’expression doit et devrait rester l’une de nos libertés fondamentales.

Il eut dans ce monde des Hommes d’État capables de donner une orientation pour le mieux vivre ensemble. Dans ce contexte nous pouvons citer François Mitterrand avec la conférence de la Baule pour ce vent de démocratisation qui souffla en direction de l’Afrique. Tout ne fut pas parfait, mais il faut au moins lui reconnaître cela.


Mais comme dans toutes œuvres, les esprits maléfiques, les fossoyeurs sont passés derrière pour défaire ce qui pouvait permettre aux Africains de gérer dans une entente cordiale leurs États ; Ce qui prime, c’est de diviser pour mieux régner.


J’entends çà et là que le Congo-Brazzaville a des relations séculaires avec la France. Ces relations n’ont servi qu’à appauvrir notre pays pendant que la France se la coulait douce et vivait ses 30 glorieuses. Maintenant les Gilets jaunes français sont là pour nous rappeler que le bonheur ne vaut que lorsqu’il est partagé par tous. Même dans une démocratie, les revenus générés par le travail collectif doivent être équitablement partagés.


Le règne de l’argent facile et la corruption ont permis à Sassou de paupériser le Congo-Brazzaville par l’achat des faibles consciences étrangères et surtout des occidentaux donneurs de leçons des droits de l’homme. Comme ils aiment le dire dans les salons feutrés des grands palaces : « Pour Sassou 1 million d’euros ce n’est rien », alors que dans le même temps pour le peuple congolais c’est un chemin de croix perpétuel fait de larmes et de sang.


Le débat sur le franc CFA (colonies françaises d’Afrique) fabriqué en France à Chamalières et le terrain de guerre, de jeu des militaires français en Afrique pour sauver ou pour porter à bout de bras des dictatures telles que celles du Tchad ne font que montrer notre dépendance vis à vis de notre ancien colonisateur qui a du mal à se séparer de sa vache à lait. Nous ne sommes pas dupes.


Sassou amuse la colonie avec le procès d’André Okombi Salissa comme s’il avait besoin de cette énième entourloupe judiciaire pour pouvoir le condamner lui qui a droit de vie et de mort sur tous les Congolais(es) qui vivent dans cette prison à ciel ouvert.


Dorénavant qu’il se tourne vers l’élection présidentielle de 2021, il joue au Dupond et Dupont avec son fils. L’on se croirait dans Tintin au Congo, mais ici nous sommes dans une fable nauséabonde, un navet. La confiscation du pouvoir se profile et le camarade Sassou s’apprête à jouer un mauvais tour à ses camarades du PCT (Parti congolais du travail) au profit de son fils. Même le petit Capitaine des sinistres petits matins, devenu Général par la force des choses, puis actuellement Directeur de Cabinet, ne devrait pas s’attendre à un retour d’ascenseur. Dans une pièce, les rôles sont déjà répartis à l’avance et les bouffons devront se contenter du leur. Le pacte avec le diable n’a pas de logique car seul compte son paisible sort. La lumière de l’intelligence des Congolais vacille devant les bourrasques de la mitraille. Nous devenons tous apathiques devant le Pinochet congolais. Ceux qui connaissent l’histoire ne devraient pas désespérer mais garder la foi qui nous anime et nous fait aimer notre pays envers et devers tous.


Le Dupond international, tel un steward a repris ses coûteux trajets inutiles en avion qui polluent la planète avec les résultats que nous connaissons. Pendant que le Dupont national, le rejeton qui n’a jamais créé une entreprise, rafistole, ripoline nos écoles et lycées avec les sous du contribuable congolais et à coup de propagande communiste grotesque. Ce gouvernement congolais dont ces tâches régaliennes lui sont normalement dévolues, ne sert ici que d’orchestre folklorique qui accompagne les Sassou et les Nguesso dans leurs délires.


Peuple congolais, t’as bu le calice jusqu’à la lie. Il est temps de t’interroger non plus sur ton avenir déjà hypothéqué, mais au moins sur celui de tes enfants et petits-enfants. Rien n’est encore perdu. Bien que Sassou ait tout volé, nous bâtirons de nouveau car il nous suffit la liberté d’entreprendre, nous peuple travailleur.


Le temps de la révolte a sonné. Point de salut avec ceux qui depuis 34 ans vous promettent monts et merveilles et ne vous donnent que des miettes. C’est par l’action que nous changerons les choses. Notre pays est sous occupation et il nous revient de trouver les voies et moyens d’en sortir.

Avec la mondialisation au XXIème siècle est apparu le chacun pour soi. Peuple congolais, ton destin est entre tes mains. Les recueillements officiels du mois de Mars de la famille régnante précédés du racket des cadres asservis, ne changeront rien à ta situation si tu ne te rebelles pas. Cette bête qui a repris de l’assurance doit comprendre que c’est le peuple qui détient le pouvoir.


Il est temps que chacun de nous fasse son examen de conscience, que ce soit la société civile ou les hommes de rang. Après le ridicule de notre justice, nous n’allons pas couler tout un pays pour faire plaisir à un tyran. Le Congo ne sera pas non plus balkanisé car tel est le souhait de certains qui veulent continuer à perpétrer le chaos.


Il est temps de ferrer la bête et la contraindre à la reddition.


C’est Albert Einstein qui disait : « Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. »


Le courage saute parfois une génération mais nous devrions tous rester en vie.

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Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

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15 réponses à SASSOU CAP 2021 : LE SYNDROME DE BOUTEFLIKA

  1. Le Juge suprême Mbon Albert impliqué dans une magouille. dit :

    AFFAIRE FAMILLE BOULALA

    Le paradoxe de justice congolaise dans l’affaire Boulala Aglé M’Viry

    Monsieur Boulala Aglé M’Viry est un homme d’affaires et acteur dans le domaine de la micro-finance, Président Directeur Général de la Micro-finance Crédit-Loscka et promoteur de l’Ecole privée Emergence.

    Après plus de 32 ans d’activités, ce Monsieur avait confié certaines responsabilités à son frère ainé le nommé Boulala Anselme Guy, professeur certifié de lycée, qui rendait fidèlement compte à son patron Boulala Aglé M’Viry.

    Malheureusement, courant l’année 2015, Monsieur Boulala Aglé M’Viry, le patron tombe mystérieusement malade et évacué à Paris pour des soins.

    Après sa convalescence et son retour au pays (Congo-Brazzaville), le gestionnaire des affaires à décider délibérément et façon notoire à devenir copropriétaire, puis profitait des biens meubles et immeubles de son patron.

    Contre toute attente, Monsieur Boulala Aglé M’Viry qui s’est vu ravir de force ses biens, a décidé de traduire l’usurpateur en justice pour trouver gain de cause.

    Curieusement, la justice qui est censée être impartiale, rendre l’équité, rendre justice comme le nom l’indique, s’est transformée en injustice. Car, Monsieur Boulala Anselme Guy a pour parapluie Monsieur Mbon Albert, juge de la Cour suprême qui s’immisce toujours dans les différentes procédures.

    Ce juge reçoit de l’argent de la part de Boulala Anselme Guy. C’est ainsi qu’il a demandé au juge chargé d’instruire l’affaire (Juge Bossoba) d’arrêter d’instruire. De quel droit se permet-il d’arrêter l’instance ?

    L’action passée par Monsieur Mbon Albert s’appelle violation du principe de l’indépendance du juge d’instruction. Aussi chaque fois qu’une ordonnance est rendue, les huissiers de justice instrumentaires sont confrontés à une résistance de la part du commissaire de police de Poto-Poto, Monsieur Boulala Gildas, qui se dit \ »Sessi Sélengué\ » et bras droit du Directeur Général de la Police Nationale, François Ndenguet.

    Par-là, Monsieur Boulala Anselme Guy à une organisation bien déterminé dans la gestion de l’affaire. Il a pour protecteur Maître Kabi Borel, huissier de justice, séquestre dans la gestion de cette affaire qui se partage l’argent avec son copain Boulala Anselme Guy.

    Cette organisation criminelle composée du juge suprême Mbon Albert, Maître Kabi Borel, huissier de justice, le Commissaire de police de Poto-Poto le nommé Boulala Gildas, ont amassé et distrait les fonds générés par la gestion de l’Ecole privée Emergence, les boutiques, la Micro-finance Crédit Loscka durant déjà trois années en empêchant le Président Directeur Général de Crédit Loscka de rembourser les épargnes de ses clients.

    Chaque fois que ces affaires sont évoquées pendant les audiences dans les tribunaux, il y a toujours la présence de la main-noire du juge Suprême Mbon Albert. Soit c’est le dossier qui disparait soit c’est le blocage total et ainsi de suite.

    Faut-il dire que ce dossier a aussi un côté mystérieux ? La réponse est bel et bien non ! Car, chaque fois que ce dossier disparait pendant les audiences, ce n’est pas dû à la sorcellerie africaine mais plutôt à des œuvres du juge Mbon Albert qui influence les juges en charge des dossiers pour qu’ils les mettent de côté. Voilà pourquoi lorsqu’un juge veut dire le droit, il est automatiquement récusé avec l’appui du grand corrupteur le juge Mbon Albert alias \ »Mbongo na yo ékata makambo\ ».

    La justice congolaise est-elle une justice, ou bien c’est l’arme du plus fort qui opprime le plus faible ?

    Si la justice qui doit être indépendante, égale à tous les citoyens devient partiale, serions-nous dans quelle forme de société ? La justice désigne avant tout un idéal d’équité et d’équilibre dans la vie en société où les droits de tous doivent être protégés.

    Le juge n’a pour chef que la loi et ne doit recevoir des injonctions de personne. Monsieur Boulala Anselme Guy corrompt les magistrats avec l’argent de la spoliation de patrimoine de son frère Boulala Aglé M’Viry, propriétaire légitime de ces derniers.

    Monsieur Boulala Anselme Guy, de très mauvaise foi, a ruiné son frère cadet Boulala Aglé M’Viry, et se vante dans les rues de Brazzaville en disant que « la justice congolaise est dans sa poche ». Comment un citoyen normal peut-il tenir de tels propos ? C’est parce qu’il croit avoir vaincu la justice libre avec l’aide du juge suprême Mbon Albert. Monsieur Boulala Anselme Guy dit en substance à son frère cadet, Boulala Aglé M’Viry, vrai propriétaire des biens querellés et son patron : « Que tu montes au ciel, que tu descendes sur terre, jamais au Congo tu auras raison face à moi, et tes biens je vais te les ravir ».

    Nous dénonçons et condamnons avec la plus grande énergie cette mauvaise pratique et demandons à l’immédiat la radiation du juge suprême Mbon Albert, l’exclusion au rang de la police nationale, l’autre imposteur, le nommé Boulala Gildas (commissaire de police de Poto-Poto), car il utilise la police à ses fins propres et aussi l’exclusion de l’huissier de justice Kabi Borel de l’ordre des Huissiers de justice.

    Ce qui n’est pas à vous n’est pas à vous.

  2. Lucien Pambou dit :

    Cher Patrice, et à tous mes compatriotes congolais.Quel est le sens de politque au congo et en Afrique Centrale à travers la participation structurelle des presidents geronntocrates

    Merci pour ce papier qui vise plus le constat que l’action, ce qui est déjà un très bonne chose. Emmanuel Macron va interrompre son débat national pour quatre jours car il vient en Afrique pour soutenir et réconforter les présidents africains qui travaillent pour les intérêts de la France et de ses entreprises.

    Tu parles de la fatalité d’une Afrique enceinte de la gérontocratie politique symbolisée par Bouteflika en Algérie et Sassou Nguesso au Congo.

    Dans un ouvrage publié par Hannah Arendt au Seuil en novembre 95 intitulé « Qu’est ce que la politique », la politique repose sur u fait: la pluralité humaine qui repose sur la couardise, la manipulation au nom de la recherche d’une efficacité sociétale qui ne vient jamais car l’homme est ainsi fait: il préfère la naturalisation de son espace d’origine en utilisant le principe de l’autre et de la diversité pour mieux ancrer ses origines dans l’espace territorial de l’Etat Nation. La plupart des intellectuels africains que nous prétendons êtres, n’avons ni compris, ni critiqués la philosophie et la théologie que l’homme occidental a transmis aux nègres que nous sommes.

    Nous avons accepté cette conception de la politique marquée par l’unité, l’ordre, sans déconstruire cette conception du politique qui fait que toute contestation est inutile. Nous subissons les gérontes au pouvoir, de la même façon que nous acceptons en Afrique toutes les religions monothéistes (Islam, catholicisme, judaïsme, etc.) sans distanciation critique.

    Le problème de la gestion du pouvoir en Afrique est d’abord vu de l’extérieur à partir des puissances occidentales comme la France ou les Etats Unis et aujourd’hui Pékin qui densifient leurs pratiques de domination des réseaux internes des différents pays, surtout en Afrique Centrale. Biya a été réélu au Cameroun à 82 ans. Rien n’empêche Sassou d’être réelu à moins de 82 ans, ce qu’il va avoir si sa politique réseautale correspond aux attentes de la partie internationale du réseau.

    Vous parlez de son fils Chrystel qui peut profiter de cette situation du réseau pour être élu à la place de son père, au nez et à la barbe du PCT qu’il ne l’aura pas choisi. Voici pour le diagnostic amer compréhensible de tous. Un peuple se libère quand il est dominé , à condition que ses leaders de l’opposition qui hier étaient membres du réseau, mettent en place des stratégies aux probabilités er improbabilités infinies qui leur permettent de travailler à la renaissance du Congo.

    Tel ne semble pas le cas aujourd’hui dans ce Congo Brazza au sein duquel les leaders politiques de l’opposition sont soit emprisonnés, soit en exil. Mais ces leaders toutes catégories confondues, sont toujours ectoplasmiques et manquent de substances politiques car ils n’arrivent à analyser le réseau dont ils étaient des anciens membres et comment faire pour organiser une stratégie de conquête du pouvoir pour le bien-être des populations dont ils disent être les représentants et pas les représentants actuels du pouvoir

    voici chers comptriotes la contribution d ‘un autre compatriote qui fait de politqque concrete en france en etant ancien élu conseiller de sa ville qui cvontinue d’en faire et qui n ‘a aucune prétention et encore moins aucune velleité politique de réprese »ntation poiticienne au congo mais qui compte tenu de mes origines congolaises est obligé de prendre part au débat politique pour en expliquer les mecanismes implicites ou explicites .

  3. Lucien Pambou dit :

    lire sens de la politique au congo

  4. 2021 = BOMA SASSOU, TIKA NYOKA dit :

    IL EST TEMPS D’EFFACER SASSOU DES TABLETTES DU CONGO

    – A TOUS LES IDIOTS QUI CROIENT ENCORE AU DIALOGUE AVEC SATAN,

    – A TOUS CES OPPOSANTS ATROPHIES DU CERVEAU QUI PENSENT DÉJÀ AUX ÉLECTIONS DE 2021,

    en vérité et en vérité je vous le dis :  » LA VRAIE FOLIE C’EST DE TOUJOURS FAIRE LA MÊME CHOSE ET DE S’ATTENDRE A UN RÉSULTAT DIFFÉRENT ».

    Du fond de leur cellule, OKOMBI SALISSA et MOKOKO vous le confirmeront.

    A TOUS LES CONGOLAIS, NE PENSEZ PLUS QU’A UNE SEULE CHOSE = KO BOMA Yé !

    IL EST TEMPS D’EFFACER SASSOU DU CONGO

    IL FAUT EFFACER LE NOM DE SASSOU NGUESSO DE TOUS LES LIVRES DU CONGO

    Le nom de ce fossoyeur devra un jour être supprimé de tous les dictionnaires et de tous les livres d’histoire du Congo.

    Ce nom devra également être proscrit de tout l’état civil Congolais.

    Nul pays au monde n’aura connu l’existence d’un tel génocidaire de son propre peuple. Même Adolf HITLER consacrait et combattait pour l’hégémonie du peuple Allemand.

    Sur toute l’étendue du Congo, assassin Nguesso n’aura déversé que du sang et des larmes, du nord au sud.

    A boma awa, a boma kouna.

    D’IKONONGO, aux disparus du Pool, aux massacres de Chacona, en passant par les explosions du 04 Mars 2012, les assassinats d’Owando et maintenant de Kellé, les guerres du Pool et dans toutes les régions du Sud de 1997 à 1999 (PLUS DE 400 000 morts. Cf. RFI) , sans oublier toutes ses autres guerres et les massacres de centaines de leaders politiques du nord, du sud, de l’est et de l’ouest du Congo sans distinction. Depuis Marien Ngouabi, Massamba Débat, le Cardinal Emile Biayenda, Kimbouala Nkaya, Motando, Adoua, Avoukou, Ntsourou, Auxance ICKONGA, Xavier Katali ….. (la liste est trop longue).

    Un tel monstre doit être effacé et banni de l’histoire du Congo sans complaisance.

    A TOUS LES OPPOSANTS CONGOLAIS = PAS D’ÉLECTIONS EN 2021.

    OUI PAS D’ÉLECTIONS en 2021

    LA FOLIE C’EST DE FAIRE CHAQUE FOIS LA MÊME CHOSE ET DE CROIRE QUE LES RÉSULTATS SERONT DIFFÉRENTS.

    Tous les opposants Congolais de tous les pays du monde ne doivent cogiter qu’une seule chose = FAIRE ABATTRE ASSASSIN NGUESSO.

    PAYEZ DES TIREURS D’ÉLITES PARTOUT DANS LE MONDE, EMBUSQUEZ LE et ABATTEZ LE.

    BO BETA YE MASSASSI A KOUFA !

    DEPUIS QU’IL EST AU POUVOIR, ASSASSIN NGUESSO A TUER OU FAIT TUER PLUS DE 1 000 000 DE CONGOLAIS EN FAISANT MÊME VENIR DES MERCENAIRES ANGOLAIS, RWANDAIS, TCHADIENS…. ET AUTRES POUR QU’ILS VIENNENT MASSACRER DES CONGOLAIS DANS LEUR PROPRE PAYS.

    DU JAMAIS VU DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ !

    ALORS POURQUOI LES CONGOLAIS SE GÊNERAIENT-ILS A BUTER CE MONSTRE ?

    ÉLECTIONS EN 2021 = MASSASSI NA MOUTOU = BENO MOUANGUISSA YANDI INTOU….

    AUJOURD’HUI DU FOND DE SA CELLULE OKOMBI SALISSA DOIT SANS DOUTE REGRETTER D’AVOIR ETE AUX ÉLECTIONS AVEC L’ABOMINABLE SANGUINAIRE GÉNOCIDAIRE SATAN NGUESSO.

    AVEC TOUS LES MILLIARDS QU’IL AVAIT IL AURAIT PU PAYER N’IMPORTE QUEL TIREUR D’ÉLITE POUR ABATTRE TAKOU YEZA NGUESSO.

    AU LIEU DE CELA, IL A VOULU JOUER AU PLUS DEMOCRATE….. ON NE MISE JAMAIS AU GRAND JAMAIS SUR LES ÉLECTIONS POUR VAINCRE UN DICTATUEUR MULTI RECIDIVISTE, CRIMINEL NOTOIRE.

    LE SEUL LANGAGE AUJOURD’HUI AVEC TAKOU ASSASSIN NGUESSO, C’EST UN BALLE QUI LUI EXPLOSE SA SALE TÊTE DE GÉNOCIDAIRE DE TOUTES LES ETHNIES DU CONGO DU NORD ET DU SUD : – IKONONGO + POOL + KELLE + OWANDO + BRAZZA, + PONTON……………..

    2021 = BOMA SASSOU, TIKA NYOKA

  5. Lucien Pambou dit :

    lire gerontocrates

  6. Anonyme dit :

    @ Affaire Boulala
    Ceci n’est pas étonnant il n’y a pas de justice et le pays est à la dérive
    Il va à vau- l’eau

  7. Tebola dit :

    nous ne devons plus nous étonnés sur le comportement du dictateur. Car il est dans son œuvre. On peut dire que cela va de soit!
    Mais nous qu’est ce que nous faisons. Certes il y a ceux qui écrivent, d’autres militent dans les partis d’oppositions, certains autres organisent des manifestations pour dénoncer les déviances de la dictature dans les rues. Tous ça c’est bien. Mais, je pense que c’est le fond qui manque le moins, comme dirait La Fontaine.
    Ce fond, c’est quoi?
    il faut Nous poser! il faut observer !
    Et enfin réfléchir et proposer.
    Nous disons qu’un dictateur ne quitte pas le pouvoir suite à une élection. C’est un fait. Nous souhaitons qu’il y ait un soulèvement populaire, mais la mayonnaise ne prend pas.
    Nous n’avons pas les moyens de prendre les armes.
    Est ce qu’on doit se résigner pour dire qu’il n’y a pas de solution ou bien c’est nous qui n’arrivons pas la solution.
    Je pense qu’il y a une solution que Sassou Nguesso lui même a mis à notre portée, mais, comme nous avons tellement le nez sur guidon, nous ne la voyons pas.
    Ceux qui veulent la connaître n’ont qu’à me joindre en laissant un message. je développerai mon idée.
    je vous remercie.
    Tebola Babins

  8. Anonyme dit :

    « Nous n’avons pas les moyens de prendre les armes. »

    Personne ne demande à ce que l’on prenne les armes.Un soulèvement populaire n’est pas une révolution avec armes. Les soulèvements qu’on a pu constaté dans d’autres pays l’ont été, pour la plus part, sans la force armée.Tunisie, Burkina, Sénégal, Venezuela etc….

  9. Lucien Pambou dit :

    A anonyme puiqu il faut bien faire avancer le débat
    La mobilisation populaire suppose d identifier les maux qui structurent les mobilisations la capacité stratégique des leaders des mobilisations a faire bouger les foules et la non peur.tous ces éléments sont ils possibles oui mais a condition de les faire émerger de façon opératoire et gagnante.ainsi va lavie.comparaison avec la Tunisie ou le Burkina ne signifie pas que la forme adoptée dans ces pays vaut pour le Congo.il va falloir étudier le contexte reseautal congolais bien comprendre ces déséquilibres internes et externe et organiser la stratégie de mobilisation rassemblement pour l action. Vaste programme

  10. tebola dit :

    Il me semble que c’est la phrase suivante qui a retenu particulièrement votre attention: Nous n’avons pas les moyens de prendre les armes.
    Et pourtant il y a une suite: Est ce qu’on doit se résigner pour dire qu’il n’y a pas de solution ou bien c’est nous qui n’arrivons pas la solution. Je pense qu’il y a une solution que Sassou-Nguesso lui même a mis à notre portée, mais, comme nous avons tellement le nez sur guidon, nous ne la voyons pas.
    Un soulèvement populaire à des meneurs. un soulèvement a besoin de leaders. Mais nous n’avons pas des leaders. Ou bien ceux qui s’en réclament ne veulent pas l’impulser de peur des représailles, et cela peut se comprendre. Non seulement ils ont peur des représailles mais aussi se tirent sur les pattes entre eux. Et nous les traitons tous de vendus ou de traitres. Il faudrait que nous réglons notre problème au sein de l’opposition avant de s’attaquer au régime. Sans cela, on n’y arrivera pas. Il faudrait savoir aussi qu’il n’ y a pas de génération spontanée en politique. Et nos partenaires, notamment la France qui nous contrôle ne soutiendra jamais quelqu’un qui sort du néant.
    S’agissant de la prise des armes, si on avait les moyens, je pense que la solution n’était pas à exclure.
    Merci

  11. Anonyme dit :

    Lucien Pambou et Tebola, Je suis entièrement d’accord avec vous je voulais juste apporter une précision sur le fait que dès que l’on parle de soulèvement populaire on a tendance à y associer systématiquement sont impossibilité par le fait de ne pas posséder d’armes. La lutte armée est une possibilité comme l’est un soulèvement pacifique appuyé par une médiatisation sociale maîtrisée et
    les exemples donnés ne le sont bien sur qu’en tenant compte de la spécificité de chaque pays.
    Personnellement je verrai plus le combat en s’appuyant sur la médiatisation que, hélas, nous ne maîtrisons absolument pas et qu’il serait relativement facile et peu coûteux, en moyens financier et humains, à mettre en place par la diaspora Parisienne.
    Les soulèvements que je cite notamment l’exemple de la Tunisie a été porté par les réseaux sociaux qui par son ampleur a dépassé les frontières du pays. La suite on la connait la France a lâché Benali qui pourtant jusqu’à présent satisfaisait pleinement les politiques Français.
    Je reconnais qu’il existe une omerta médiatique et politique sur le Congo Brazza de la part de la France et de la mafia sassouhyène. Sassou n’a pas spécialement peur de la population en place qu’il sait parfaitement maîtriser par contre tout est fait pour que rien ne sorte du pays et que son image à l’internationale soit la plus présentable possible et pour cela le budget est sans limite.
    On peut tuer au pays sans trop d’incidence mais une simple petite vidéo provoque une réaction et une montée d’urticaire au sein du clan.
    L’exemple du fiasco de la fameuse photo truquée de la poignée de main fictive avec TRUMP et dont certains comme MONSIEUR Pambou c’était empressé de monter au créneau en rédigeant un article pour le disculper.

    De nos jours la médiatisation est une arme qui a souvent plus d’effet que les Kalachnikov.

  12. UNE BALLE DANS LA TETE DE CE CHIEN GALEUX ! dit :

    La question que je me pose sans cesse, encore et encore et encore et encore est celle de savoir :

    – COMMENT UNE SEULE PERSONNE COMME SASSOU PEUT AVOIR TUER, FAIT TUER ET TUE ENCORE PLUS D’UN MILLION DE CONGOLAIS DEPUIS 1977 ET PERSONNE N’ARRIVE A LUI LOGER UNE BALLE DANS SA SALE GUEULE D’ASSASSIN GÉNOCIDAIRE ?

    L’armée congolaise ne forme t’elle que des lâches ?

    L’armée congolaise n’a t’elle plus de tireurs d’élite ?

    Les parents de tous ces gens qui ont été tués par Sassou, sont ils tous des lâches pour qu’il n’y ait UNE mais UNE SEULE PERSONNE pour venger tous leurs morts ?

    Où sont passés les enfants de NGOUABI, les enfants des KATALI, ICKONGA, MASSAMBA-DEBAT, ANGA, AVOUKOU, ADOUA, KIMBOUALA-NKAYA, NTSOUROU, DIAWARA, MOTANDO …… des disparus de Chacona, des disparus du Beach, des victimes des explosions du 4 mars 2012 ?

    TOUS DES LÂCHES ?

    Si on ne peut tuer le père, ne peut on pas tuer ses enfants à lui aussi pour qu’il voit les souffrances qu’il fait subir aux parents de tous ceux qu’il à tuer ?

    Pourquoi chercher des solutions compliquées à un problème qu’une seule balle de fusil résoudrait ?

    LES CONGOLAIS SONT-ILS TOUS DEVENUS DES LÂCHES AU POINT Où en 40 de TUERIES BESTIALES, DE CRIMES CRAPULEUX ET DE MULTIPLES GENOCIDES, SASSOU N’A EN CONTREPARTIE JAMAIS SUBI NE FUT-CE QU’UN PETIT ATTENTAT A SA VIE ?

    Après avoir massacré autant de Congolais, comment Sassou et ses enfants peuvent-ils encore se pavaner dans le Congo sans la moindre inquiétude ?

  13. CD JUMEAU dit :

    @ Monsieur MIAKASSISSA (tâ Miakachissa),

    Mâtondo pour ce texte très clair qui expose également la mafia de l’ancien colon, déguisé aujourd’hui en défenseur des droits humains, contre le continent noir et qui rappelle à tout un chacun le devoir de se battre pour le bien de l’Afrique en générale et de notre pays, le Congo, en particulier.
    – NOUS NE POUVONS PAS LAISSER UN MORT VIVANT (pour l’Algérie) et un FOU (pour le Congo) NOUS DIRIGER!

    @ UNE BALLE,

    GROSSE VALIDATION, Monsieur!

    Et la liste est encore très très longue… Ou sont les enfants et les anciens lieutenants (front 400) d’ OKOMBI SALISSA (condamné récemment)? Ou sont ces colonels et généraux de l’armée (qui pue le mbochi) dont le sanguinaire SASSOU (chef terroriste, 77 ans) abuse de leurs femmes et filles? Ou sont ces guerriers tékés formés par le très brave colonel TSOUROU* pour embusquer ce monstre SASSOU et lui loger une balle dans la tête ou lui jeter une grenade entre les jambe? Ou sont ces compatriotes Mbochis qui se déclarent soi-disant eux-aussi victimes du psychopathe SASSOU et pourquoi ils ne l’abattent pas ou ne commencent t-ils pas à détruire ses biens à Oyo? CONGOLAIS, Où SOMMES NOUS?

    *TSOUROU (sans être partisan de lui) est le seul militaire Congolais, si nous enlevons ANGA, a avoir tenu tête au sanguinaire SASSOU dans un combat frontal, contraignant ce dernier à sortir des Hélicops et des armes lourdes en plein centre ville de Brazzaville pour pilonner son adversaire.

    SASSOU NGUESSO Denis doit être mis hors d’état de nuire par tout moyen possible et cela devrait impliquer tout le peuple opprimé. Cet homme est un vrai démon!

  14. adolfo dos santos dit :

    COLLEZ LA PAIX A DENIS SASSOU NG N’EUT ETE SON RETOUR COMMENT AURAIT ETE LE CONGO AUJOURDHUI.COMPAREZ LA RUE ORSY EN OCT 1997 ET AUJOURDHUI.elle est verdoyante.collez la paix au general denis sassou ng.

    il fallait convoquer le corps electoral en juillet 1997.il fallait le faire

    collez la paix au general denis sassou ng

  15. Samba dia Moupata dit :

    Cher patrice c’est toujours un grand plaisir de te lire . Cependant la santé mentale de sassou , ses enfants et neuveux , effectivement nous avons affaires aux dérangé mentale , cette famille préfère développer l’activité des chambres mortuaire avec des chambres VIP . Au lieu de réouvrir les hapitaux en arrêts . Après les accompagnateurs à l’instar de parfait Kolelas qui joue un rôle monteur , dont sa Sa fameuse duperie Ni Beto KUA tu Fuaka

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