Congo: rassemblement contre un nouveau mandat du président Sassou
L’opposition congolaise a tenu ce dimanche à Brazzaville son plus grand rassemblement depuis le retour au pouvoir du président Denis Sassou-Nguesso en 1997. Les leaders et leurs militants ont demandé au pouvoir de renoncer à son projet de convoquer un référendum constitutionnel qui permettrait au chef de l’Etat de se représenter en 2016.[fbvideo link= »www.facebook.com/uniteprogresdeveloppement.parluco/videos/945242318847377/?fref » width= »500″ height= »400″ onlyvideo= »1″]
« Non au troisième mandat ! », « Non au référendum ! », « Sassou dégage ! » Le message adressé au président sur les banderoles agitées par la foule qui remplissait sur plusieurs centaines de mètres la place du boulevard Albert Raoul du centre de la capitale congolaise était invariablement le même : « Le Congo n’est pas la propriété des Sassou », « Pourquoi toujours toi ? » ou encore un « Sassoufit » très en vogue sur les réseaux sociaux depuis quelques mois.
Après l’annonce mardi dernier par le chef de l’Etat de l’organisation d’un référendum sur une révision de la Constitution qui lui permettrait de briguer un troisième mandat en 2016, l’opposition congolaise avait dénoncé un « coup d’Etat constitutionnel ». Agé de 71 ans, Denis Sassou-Nguesso a dirigé le Congo pendant 32 ans, en deux périodes séparées.
« Ça ne passe pas dans l’opinion congolaise »
Paul-Marie Mpouelé, l’un des organisateurs de la rencontre de ce dimanche appelle le président Denis Sassou-Nguesso à ne pas se représenter en 2016 et à accepter l’alternance comme il l’avait déjà fait en 1992. « Quand nous disions qu’il voulait changer de Constitution personne n’y croyait, mais maintenant les masques sont tombés, souligne-t-il. Quand il appelle à un référendum pour l’évolution des institutions, en réalité il n’avait pas besoin de saisir la Cour constitutionnelle pour ça parce qu’il sait que lui il a le droit d’utiliser l’article 86 pour faire évoluer les institutions. (…) Mais le vrai débat du président de la République, c’est de faire qu’il change de Constitution afin de se représenter en 2016 et de s’octroyer un troisième mandat. Ça, malheureusement, ça ne passe pas dans l’opinion congolaise. »
« Nous avons lancé tous les appels qui sont humainement possibles. Le président de la République est resté crispé sur son idée de vouloir briguer absolument un troisième mandat, vous voyez qu’il n’y a plus d’appel possible, indique Paul-Marie Mpouelé qui en lance tout de même un « dernier » à Denis Sassou-Nguesso. S’il y a un appel que je peux lancer en dernier ressort au président de la République, c’est de faire que son pays soit en paix et qu’il parte par la grande porte et que son nom soit retenu dans l’histoire comme étant quelqu’un qui a favorisé pour la seconde fois l’alternance démocratique dans notre pays. »
Répondant à l’appel du Front pour l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad) et de l’Union pour la démocratie congolaise (IDC), les sympathisants de ces deux plateformes rassemblant la quasi-totalité de l’opposition avaient commencé à converger vers le lieu de rassemblement dès la fin de la matinée dimanche. Le meeting s’est déroulé dans le calme.
Des dizaines de milliers de manifestants ont pris d’assaut les rues de Brazzaville, au Congo, dimanche, pour crier « Sassou dehors ». Le président, âgé de 72 ans, entend réformer la Constitution, ce qui lui permettrait de se représenter en 2016.
L’opposition congolaise a tenu, dimanche 27 septembre à Brazzaville, la capitale du Congo, son plus grand rassemblement depuis le retour au pouvoir du président Denis Sassou Nguesso en 1997. Aux cris de « Sassou dehors » et « Le Congo n’appartient pas à Nguesso », des dizaines de milliers de manifestants ont affirmé leur opposition à une réforme constitutionnelle, assimilée à un « coup d’État », qui permettrait au chef d’État de briguer un troisième mandat en 2016.
Répondant à l’appel du Front pour l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad) et de l’Union pour la démocratie congolaise (IDC), les sympathisants de ces deux plateformes réunissent la quasi-totalité de l’opposition avaient commencé à converger vers le lieu de rassemblement dès la fin de la matinée.
Les slogans « Pourquoi toujours toi ? » et « Sassoufit », très en vogue sur les réseaux sociaux depuis quelques mois, ont résonné parmi les manifestants, qui étaient plus de 300 000 personnes sur le boulevard Alfred Raoul, selon les organisateurs.
Pendant près de deux heures, les dirigeants des formations membres du Frocad et de l’IDC se sont relayés sur une tribune de fortune en haranguant la foule avant que celle-ci commence à se disperser sans encombre vers 16H00.
« Le jour où le président Sassou annoncera la date du référendum, nous ferons appel à vous et nous serons avec vous », a lancé à la foule André Okombi Salissa, un ancien allié du chef de l’État qui refuse la réforme de la Constitution.
« Déjà plus de 30 ans avec le même dirigeant… »
« L’heure de l’alternance est arrivée parce que nous avons déjà fait plus de 30 ans avec le même dirigeant. Nous voulons de l’alternance pour oublier une politique sociale marquée par […] un taux élevé de chômage » et un faible niveau de développement, a déclaré pour sa part Mathias Dzon, un des meneurs du Frocad.
Pendant le meeting, un hélicoptère militaire a survolé les lieux à trois reprises sous les huées des manifestants criant : « Non à l’intimidation ! »
Âgé de 72 ans, Sassou Nguesso, qui cumule 32 ans au pouvoir en République du Congo, a annoncé mardi vouloir soumettre à référendum une nouvelle Constitution qui lui permettrait de se présenter à la présidentielle devant avoir lieu mi-2016.
La Constitution actuelle lui interdit à double titre de se présenter car elle limite à deux le nombre de mandats que peut exercer un chef de l’État et à 70 ans l’âge maximal pour être candidat à la magistrature suprême.
La question de la révision des lois fondamentales est au cœur du débat politique dans plusieurs pays d’Afrique centrale où des dirigeants font face à plus ou moins brève échéance à l’obligation de céder la place, comme en République démocratique du Congo voisine.
Avec Reuters et AFP
Brazzaville: mobilisation massive de l’opposition contre le « coup d’État constitutionnel »
Le meeting, qui s’est déroulé dans le calme, a commencé vers 14H00 (13H00 GMT). Pendant près de deux heures, les dirigeants des formations membres du Frocad et de l’IDC se sont relayé sur une estrade en scandant des slogans répétés par la foule comme : « Non au coup d’État constitutionnel ! », « Non au troisième mandat ! » ou encore « Non au référendum ».
Des milliers de Congolais se sont rassemblés dimanche à Brazzaville pour dire « non au coup d’État constitutionnel », en référence au référendum annoncé par le président Denis Sassou Nguesso et qui lui permettrait de briguer un nouveau mandat en 2016, a constaté un journaliste de l’AFP.
Le boulevard des Armées, dans le centre de la capitale congolaise, était rempli de manifestants sur près d’un kilomètre. Selon le correspondant de l’AFP à Brazzaville, il s’agit de la plus grosse manifestation jamais tenue par l’opposition depuis le retour au pouvoir de M. Sassou en 1997.
Répondant à l’appel du Front pour l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad) et de l’Union pour la démocratie congolaise (IDC), les sympathisants de ces deux plate-formes rassemblant la quasi-totalité de l’opposition avait commencé à converger vers le lieu de rassemblement dès la fin de la matinée.
Le meeting, qui s’est déroulé dans le calme, a commencé vers 14H00 (13H00 GMT). Pendant près de deux heures, les dirigeants des formations membres du Frocad et de l’UDC se sont relayé sur une estrade en scandant des slogans répétés par la foule comme : « Non au coup d’État constitutionnel ! », « Non au troisième mandat ! » ou encore « Non au référendum ».
Vers 16H00, la foule commençait à se disperser sans encombre.
Âgé de 72 ans, M. Sassou, qui cumule plus de 30 ans au pouvoir en République du Congo, a annoncé mardi vouloir soumettre à référendum une nouvelle Constitution qui lui permettrait de se présenter à la présidentielle devant avoir lieu mi-2016.
La Constitution actuelle lui interdit à double titre de se présenter car elle limite à deux le nombre de mandats que peut exercer un chef de l’État et à 70 ans l’âge maximal pour être candidat à la magistrature suprême.
M. Sassou a dirigé le Congo à l’époque du parti unique, de 1979 jusqu’aux élections pluralistes de 1992, qu’il a perdues.
Revenu au pouvoir en 1997 à l’issue d’une violente guerre civile, il a été élu président en 2002 et réélu en 2009.
Avec Afp
Rien à dire, BIG UP à cette jeunesse qui ne me surprend pas au regard de ce que j’ai toujours observé dans les quartiers.
C’est le moment pour cette gangrène de trouver la meilleure porte de sortie possible à la hauteur des forfaits commis à l’encontre du peuple congolais, autrement…
http://youtu.be/k-O55kUJ15Q
« LE CONGO N’EST PAS LA PROPRIETE DES NGUESSO »
Bravo frangin ! bravo pour ta pancarte !
Voilà le mot d’ordre que nous tous devrions suivre !
Les États Unis menace de suspendre l’aide au Congo .
Nous allons suspendre notre aide de toute sorte si monsieur Denis Sassou Nguesso et les autres restent au pouvoir. Nous allons demander à nos partenaires Occidentaux d’appliquer des sanctions économiques et autres envers ces dictateurs Africains dont les USA n’hésiteront pas de geler d’ici là les avoirs sur son territoire et refuser de visas tous ceux qui sont de leur famille biologique et politique.
La démocratie, ce n’est pas la faire que quand ça vous arrange.
John Kerry, Le S ecrétaire d’État des États-Unis
( propos tenu vendredi passé lors d’une émission de la politique étrangère dans une radio privée des USA )
La démonstration est claire. Je confirme que le pct n’est fort que dans les coups fourrés. Comment les cadres semble t-il de ce grand parti pouvait se mettre à dos 2 grands partis: l’Upads et le Mccdi et prétendre gagné les élections même si référendum il y a.
Le pct est un parti de tricheurs. Il a gouverné ce pays dans la triche, les seules vraies élections dans ce pays maudit par le pct, le pct était 3° après l’Upads et le Mcddi, d’où la justification de la guerre du 5 juin 1997, sassou savait qu’il ne sera jamais élu Président démocratiquement. La preuve.
Il y a une chose qui n’a pas été dite, les orateurs qui sont succédé à la tribune ont manqué de rappeler que c’est sur ce même boulevard que sassou appelait tous les démocrates de se lever quand la constitution était violée. Mais bon, les Congolais ont démontré leur volonté au changement, pas besoin de polémiquer, au pct et autres pêcheurs en eau trouble de ne pas fourbir leurs armes. La messe est dite.
Bouetafogo
Pour rappel le président du mcddi (Landry K) l’a bien dit , Okombi aussi l’a dit que c’est sur cette même place que le président Sassou à l’époque demandait aux démocrates de barrer la route au président Lissouba qui en ce temps là voulait changer la constitution,,,reécoute les discours stp
Merci beaucoup mon frère, j’ai cette fois écouté, mais je te rappelle que le Président du MCDDI c’est Parfait Kolélas et non Landry Kolélas. Merci encore.
Dans l’ensemble le meeting de la plate forme des partis de l’opposition coalisée s’est dérouler de façon correcte. Aindi, la communauté internationale a pu observer que le Congo est un pays stable où règne la paix et la sécurité.
Sassou doit pour une fois économisé le sang des congolais et partir , un tel désaveu est sans précédent au congo! Car OBAMA et Hollande ne permettront plus un autre bains de sang , comme le Beach , dans le pool , au grand niari ou encore les rafles à pointe noire!
nous étions présent en plein soleil sans rein recevoir (pot de vin). c’est pour la délivrance du congo. nous sommes définitivement prêt et engagés avec une force nourrit par l’amour de la patrie.
Des que président donnera le jour du referendum, il croisera le peuple qui ne manquera pas à le punir.
on n’a plus peur de lui. nous n’étions que 300.000 personnes lors du meeting parce que les autres avaient encore peur. cette fois ci nous serons 1.000.000 à marcher jusqu’à la présidence de la république.
il n’a qu’a renoncé sur son bidon projet de referendum qu’il veut organiser, avec un fiché électoral conçu dans une chambre d’hôtel.
sassouffit! sassouffit! sassouffit!
ATTENTION ce clan à gardé et possède tous les moyens de nuisance. C’est comme cela qu’ils ont tenus 32 ans et c’est comme cela qu’ils continueront à procéder.
ATTENTION aux coups fourrés et rumeurs véhiculées par ce clan de maffieux en vu de discréditer et briser ce grand élan patriotique et démocratique qui est né ce dimanche à Brazza.
Rien ne nous sera donné, ne nous attardons pas sur quelques bruits entendus, restons concentré sur l’essentiel qui est le départ du Clan Sangsue NGuesso.
Aujourd’hui il ne faut pas se demander « SI » mais « QUAND » il va annoncer la date du référendum car ce qui est sur c’est qu’il va l’annoncer donc soyons déjà prêt pour une riposte à ce coup d’état constitutionnel.
La fin de l’esclavage est au bout du chemin.
« NON AU MASCARENDUM »
« DEHORS, DEGAGE, QUITTE-LA »
Les politico-sepologue de la diaspora, spécialiste des exhibitions en salle et de la critique bien formulée, mais sans effet sur les hommes courageux du terrain, devraient tourner 7X77 fois leurs doigts, avant de venir nous pondre des articles pour fustiger l’opposition IDC-FROCAD.
On ne fait pas la politique avec des émotions ou des états d’âme.
Il s’agit d’avoir une réflexion à long terme, partant de la bonne connaissance du terrain, sans tomber dans les pièges tendus par un homme qui vit et respire la conspiration, la fourberie faite homme.
Désormais, il convient plus que jamais d’écouter notre appel de soutien à l’opposition sur le terrain.
Aux marchands de vertus, vêtus de probité candide, s’il y en a qui peuvent faire mieux que les Okombi, se disant prêt à marcher devant et le peuple derrière, ils n’ont qu’à lever le doigt et à descendre sur l’arène.
Chose étonnante, beaucoup de tête d’affiche de la diaspora sont prêtes à parcourir le monde pour venir nous vendre les images.
Alors que ce que les congolaises attendent, c’est un vrai lobbying auprès des médias pour que l’opinion publique s’intéresse à notre situation et que les politiques ayant une influence sur la scène africaine lâchent définitivement ce dictateur qui parcourt encore le monde, avant de faire encore couler le sang des congolais (certainement le dernier qui l’emportera dans sa tombe, si Dieu lui en donne le privilège).
Vive l’IDC-FROCAD et la jeunesse congolaise qui n’attend que le mot d’ordre pour en découdre avec cette mafias d’Oyo Haram.
Du meeting populaire à la désobéissance civile au Congo Brazzaville libre !!
Après le succès incontesté du meeting populaire du 27 septembre 2015 à Brazzaville contre sassouffit ou pour Sassou dégage ; la volonté générale contre celle du général d’armées anticonstitutionnel et contre le clan machiavélique des Nguesso doit maintenant franchir une nouvelle étape: C’est celle de la libération et maintenant du peuple souverain contre le clan des Nguesso, de ses dignitaires nord, sud, est et ouest congolais et de tous ses valets locaux et étrangers.
Du meeting populaire à la désobéissance civile au Congo Brazzaville libre !
Chers amies ne laisser pas trop de temps à ce dictateur il faut aller vite faire des manifestations partout pour sensibiliser les peuples surtout son perroquet Moungali qui fait des conférences à tout moment pour justifier tout ce son patron lui dit comme son patron ne s’exprime pas bien français j’ai pitié pour Thierry voilà quelqu’un qui a fait des longues études qui s’abroutir à côté d’un illettré comme sassou tout ça à cause de guiri mawa sassou dégage sassouffit
L’erreur de l’opposition congolaise est de ne pas se préoccuper de la gouvernance électorale. Qui peut statuer de l’illégalité ou non d’un référendum si ce n’est la cour constitutionnelle. Pendant ce temps, Sassou avance.
Qu’allez-vous faire Messieurs quand Sassou va annoncer son référendum? Allez-vous demander aux jeunes qui sont venus au boulevard de lancer dans la rue pour casser? Parfait Kolelas ne le fera pas, Ndzon non plus, donc ce sera qui Okombi tout seul? Erreur
Insultez moi comme vous voulez mais Sassou annoncera son référendum et il y aura rien. On arrivera au même résultat qu’en 2009: les leaders de l’opposition appelleront au boycott mais Sassou avec ses petro-CFA fera sortir vos électeurs qui viendront voter en contre partie de 5.000F et d’un pagne — du coup il aura le nombre et le résultat.
Sassoufitpa — regarder comment il bouleverse le jeu chez les Kolelas…..
DERMATOLOGIE=sapologie= PCT=cour constitutionnelle =voter en contre partie de 5.000F
https://youtu.be/_n_xRX9d2kw?t=4
Encore votre humble serviteur, jusque la je me suis jamais presenter, je suis un officier surperieur de l’armee digne de ce nom, le militaire n’a jamais prete serment devant quelqu’un mais sous le drapeau et devant son humble peuple pour le servir loyalement pour ainsi dire. Bon nombre de mes freres d’armes pensent le temps est arrive pour proteger notre peuple contre la tyranie, la corruption, la delinquance policiere, le pillage, le viole des lois et la constitution, contre le non respect des procedures de recevabilite des requetes aupres de la cour supreme et constituttionnelle.
Chers conpatriotes, soyez attentifs et ouvrez l’oeil d’apres mes renseignements fiables, les relations congo -Brazzaville et Congo-Kinshasa ont ete vite retablies pour des fins electorales car deux jours seulement il ya eux pres 3500 sujets RDC, comme potentiels electeurs lors de leurs fameuse referendum malheureusement qui n’aura pas lieu et je vous apprends la cours constitutionnelle actuel siege en illegalite car depuis leurs nomination les membres n’ont jamais change lisez bien la constitution…
Bon preparons pour Pointe-Noire, ah la fin de discour
Jean Benoît bakala. Le pct n’ est une bande d’assassins et d’intimidateurs. il a manipulé le MCDDI de l’autre fois pour luî en remercier de la façons que tout le monde connaît. SASSOU est conscient de ses actes en tant qu’ humain. liquider son peuple pour argent et honneur releve d’une aliénation dépassant l’entendement. Il est sans valeur pour tous les actes qu’ il a commis. Le jugement dernier. vanité.