J’ai pris le temps de vous lire attentivement. Votre jugement dédaigneux – et sans aucune raison- sur l’auteur de la réponse » Je Rétorque » m’a plutôt fait penser à une animosité personnelle entre vous. Tâchez à l’avenir vous surpasser dans ce genre de débat intellectuel et ne jamais laisser apparaître vos états d’âme, vos rancoeurs. Vous gagnerez plutôt à vous contenter des commentaires incendiaires qui sont souvent postés sous les articles publiés sur le site. Votre article comporte des incohérences, amalgames, et mauvaise interprétation, qu’il m’a semblé important d’apporter à votre connaissance les éléments d’appréciation suivants. Ceci pour vous éviter à l’avenir le confusionnisme.
Le confusionnisme étant une attitude qui vise à entretenir la confusion dans l’esprit des gens
Heureusement que vous avez eu l’honnêteté de dire d’entrée de jeu que vous n’étiez pas juriste. Cela transparait bien dans la confusion et le confusionnisme qui se laissent percevoir en vous lisant.
Revenons aux citations que vous avez compris et interprété à tort et de travers ; encore que vous êtes libres de les interpréter à votre manière selon que vous soyez de bonne ou de mauvaise foi.
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Les fondateurs d’une Constitution quelconque n’ont point qualité pour en réglementer les révisions futures : il leur faudrait, à cet effet, un pouvoir qu’ils ne sauraient se conférer à eux-mêmes:
Cela veut simplement dire, qu’il n’appartient pas aux concepteurs, rédacteurs, d’un texte constitutionnel, de fixer la périodicité des révisions, encore moins ce qui pourrait faire l’objet de révisions futures. D’ou l’autre citation W. BURCHARDT, qui dit « qu’une révision constitutionnelle ne peut être liée a aucune règle impérative préétablie. »
L’idée c’est de ne pas lier les futurs dirigeants sur les reformes à mener et ce qui peut faire l’objet de révision.
Je n’ai pas compris par quel exercice vous en êtes arrivé à la conclusion que cela voulait dire , que le pouvoir actuel ne peut procéder à aucune révision. La confusion est grande dans votre esprit, car vous dites d’abord et je vous cite : « Notre Makosso vient de valider ici l’idée que la révision constitutionnelle ne peut émaner de ceux qui l’ont écrite ». Plus loin, vous dites : « Cela veut dire en d’autres termes que si révision il y a, il faudrait la laisser à d’autres, par exemple les nouveaux dirigeants qui auraient trouvé en celle-ci des manquements à corriger »fin de citation. C’est à ne rien comprendre ! Ah confusion quand tu nous tiens.
En fait votre interprétation de cette citation est tout simplement erronée. A une dissertation, vous aurez été noté « hors sujet».
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Venons en maintenant à la citation de Thomas JEFFERSON : « Les peuples ont le droit de changer à tout moment, leurs lois, une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures ».
Une fois encore vous faites preuve de confusion, si ce n’est de la mauvaise foi.
En fait, une bonne compréhension de cette citation ne saurait vous plaire. Par ces mots, Tomas JEFFERSON, affirme que les peuples chaque fois que de besoin peuvent changer leur constitution, qui est la loi des lois.
A ce propos Dominique ROUSSEAU, dans la Révision de la constitution sous la Vé République, va plus loin en disant : « Aussi fiers soient-ils de leur œuvre, les constituants restent assez sages pour savoir que leur travail n’est jamais parfait, que l’usage du texte peut faire apparaître des difficultés inédites ou imprévisibles au moment de sa conception, ou encore que la marche du temps et l’évolution de la société peuvent susciter de nouvelles exigences constitutionnelles. Cette sagesse, au demeurant, se nourrit d’une philosophie politique, celle qui fait de la nation souveraine l’origine de tout et qui postule, en conséquence, sa totale et permanente liberté : la nation n’est pas faite par la Constitution, c’est elle qui fait la Constitution et reste constamment maître de son contenu » .
Cela a le mérite d’être clair.
Mais, convient-il de le rappeler, la constitution n’est pas une loi ordinaire. C’est la Loi des lois ! C’est l’acte solennel par lequel une société déclare les principes qui la fondent, qui la rassemblent et qui l’organisent. Ce texte-là ne peut être changé aussi facilement qu’une loi ordinaire ; il faut une procédure particulière, plus solennelle, plus exigeante. Espérant, que ces mots vous aident à mieux comprendre !
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Révision partielle, Révision totale
Mon cher Joseph Kokolo ZASSI, il y’a bien une différence entre les deux . Et il n’est pas faux de dire qu’en réalité, le terme changement de constitution est une « expression maladroite » utilisée pour expliquer la venue d’un nouveau texte constitutionnel et la disparition de celle du 20 janvier 2002. Le terme approprié, est bel et bien révision totale, en opposition à la révision partielle, qui concernerait soit la réécriture de certains articles, voire l’ajout d’articles inexistants.
A propos de la limitation de mandats. Comme vous l’avez si bien rappelé, la limitation de mandats dans la constitution française du 04 octobre 1958, n’est intervenue qu’en 2008. Si il est indéniable que cela peut constituer une avancée pour nos démocraties, il n’en demeure pas moins que la démocratie a bien fonctionné en Franc sans limitation du nombre de mandats. La limitation du nombre de mandats présidentiels assure sans doute une certaine émulation au sein d’un même courant politique.
Cependant le cas Russe, montre si il en était besoin les limites de cette disposition. Depuis plus d’une dizaine d’années, Vladimir Poutine se partage le pouvoir avec des cadres de son parti. Après deux mandats de 5 an chacun, il passe la main à une autre personne pour les 5 années à venir. Et 5 après, il revient au pouvoir pour 10ans. Est ce démocratique ?
Toutefois, on ne peut s’empêcher de dire que cela constitue un frein aux principes démocratiques, qui voudraient que le peuple puisse librement reconduire un dirigeant politique qui lui donne une entière satisfaction. C’est le cas des députés, des maires, des présidents d’exécutifs locaux. Devrions nous consacrer une démocratie à deux vitesses ? Mais dites moi, est ce que la vraie bonne idée ne serait pas de limiter le nombre candidatures ? Est ce que le renouvellement des hommes et donc des idées, ne passe pas par là. Si tel était le cas, Vladimir Poutine, ne serait sans doute plus Président de la Russie.
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le pouvoir constituant d’aujourd’hui ne peut lier celui de l’avenir : referez vous au point 2
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Le pouvoir constituant qui s’exerce à un moment donné n’est pas supérieur au pouvoir constituant qui s’exercera dans l’avenir et ne prétendre le restreindre :
Ici encore vous vous trompez dans votre compréhension de cette assertion. L’idée ici c’est de dire, que ceux qui exercent le pouvoir constituant actuellement, ne sont pas plus légitimes, que ceux qui l’exerceront demain. A ce titre, ils n’ont aucun droit de prévoir dans la Constitution, ce que les générations futures ne devront pas corriger. C’est là tout le sens de l’assertion de Jean Jacques Rousseau précitée.
Monsieur Joseph Kokolo ZASSI, avez-vous réellement bien lu et compris la réponse du Ministre Collinet MAKOSSO ? J’en suis à vous poser la question, car vous avez tout compris de travers. Vous confondez pouvoir constituant, classe dirigeante, régime, Président de la République etc. Retenez que lorsqu’on parle du pouvoir constituant et de génération, on parle du peuple qui seul exerce ce pouvoir par voie de référendum. Il n’est pas fait allusion ici au Président de la République ni à son régime, pour que vous veniez à donner une interprétation erronée des références données par le Ministre Collinet MAKOSSO.
Comment est ce possible ? Je n’ai pas envie de céder à la tentation que vous avez fait preuve de mauvaise foi et de manichéisme. Dans ce débat, nous sommes tellement dans un conformisme beat, que quiconque vient avec des arguments qui vont à l’encontre de la clameur populaire, est qualifié de tous les noms. Nous nous disons démocrates, mais ne sommes jamais prêts à un débat démocratique, idées contre idées.
Le Ministre BOWAO, très opportunément s’oppose au projet conduit par son parti et le fait savoir de manière publique. Pour lui ce changement de constitution (révision totale)n’a pas de fondement juridique. Cela s’apparenterait même à un coup d’état. D’ou le terme « je récuse »
Le ministre qui a la mission de transmettre les valeurs pour mieux vivre dans la République, prend sur lui non pas de s’opposer à son ancien collègue, mais il s’emploie juste à donner d’autres éléments pour une meilleure compréhension du débat.
Ainsi, de son côté, il affirme que ce projet pourrait avoir une justification juridique, mais sans doute pas politique. D’ou la nécessité d’un dialogue politique dans le but de rechercher le consensus entre les forces vives.
En quoi cela s’apparente à une usurpation de titre ? Vous affirmez, comme beaucoup de compatriotes, que c’était au Président de la République de répondre ? Comment ? Par une réponse publique à la lettre ouverte ? Le Ministre n’est pas lui aussi un collaborateur du Président de la République ? Quel est le sens de ce procès d’intention ? Et quel droit avez-vous en retour, de réagir de façon si perverse à une lettre que le Ministre MAKOSSO a adressée à son ancien collègue qu’il appelle d’ailleurs affectueusement « cher aîné », dans un style courtois ? Seriez-vous les porte-parole du Ministre Bowao ?
Vous dites être plus proche du ministre « tourneveste », c’est votre choix et je le respecte ! Mais de grâce que ce choix ne vous enferme pas dans un manichéisme destructeur, qui n’est ni utile au débat, encore moins au pays. Ici ce doit la force des arguments et non les arguments de la force, des raccourcis, des amalgames.
En vous répondant, je ne poursuivais qu’un seul but : éclairer votre lanterne sur la confusion savamment entretenue.
Que ceci ne s’apparente nullement à un hymne au changement de la constitution.
Vous pouvez ne pas être d’accord avec les propos de Monsieur MAKOSSO, cela ne vous amène pas à les détourner de leur contexte et à soutenir votre argumentation par les injures et les invectives. C’est plutôt vous que cela n’honore pas.
A bon entendeur salut !
Francky LOEMBA
@ Franky Loemba,
Que M . Joseph Kololo réponde à un ministre courtisan vous choque au point de lui répondre ? Ne vous rendez-vous pas compte que vos beaux parents les Nguesso ont détruit notre pays en le pillant méthodiquement ? Jeune que vous êtes, c’est une honte à votre age de venir à la rescousse de ces rapaces et carnivores de notre pays. Combien l’irresponable Collinet Makosso vous paye t-il ?
La roue tournera très bientôt et j’espère que vous aurez honte de vos propos d’aujourd’hui. Vous n’avez pas pitié du peuple congolais qui souffre !
A votre tourje vous demande, M . Collinet Makosso n’est-il pas assez responsable pour que vous répondiez à sa place au très brillant article de Joseph Makosso ? On a vu que Collinet Makosso est nul au point de faire un droit de réponse à Bowao de 12 pages, pendant que la lettre de ce dernier à Sassou n’en compte que 4 !
Congolais ZOBA,
Que dire face à une telle mauvaise foi de votre part? En réalité, je n’ai nullement voulu répondre à Monsieur Joseph Kokolo ZASSI. Non,je me suis borné à mettre à sa disposition des éléments pour une meilleure compréhension des termes contenus dans la réponse du Ministre Collinet Makosso au Ministre BOWAO. Cette mauvaise compréhension à donné lieu à plusieurs amalgames. Par ailleurs, peut-on de temps en temps discuter du fond sans éviter d’avoir des jugements sur les individus. Dois je comprendre, mon cher congolais zona, que cela masque une difficulté pathologique à accepter les points de vue divergents. Comment peut-on se définir démocrate et procéder continuellement par des menaces. Je continue de croire qu’un débat sans passion et émotion est possible et souhaitable. Je me réjouis,car a votre tour, vous n’apportez pas d’éléments contraires a mon propos. Que devrais je regretter? D’avoir eu une divergence avec certains de mes compatriotes? Même pas en rêve! C’est la démocratie! Vous êtes démocrate, moi aussi. La preuve!
La peur a changé de camp. Monsieur Loemba (est-il de la famille Loemba apparentée à Madame Sassou?) en mission commandée s’empresse de répondre à Monsieur Kokolo. La piroge de Denis et de la soeur Antoinette prend l’eau alors les rares courtisans qui restent essayent de sauver les meubles.
A voir la montre que ce monsieur Loemba porte à son poignet (entre 50.000 et 100.000 €) c’est sûr qu’il doit tout faire pour tenter de secourir ce régime de voleurs !
« Les peuples ont le droit de changer à tout moment, leurs lois, une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures ». Sur le principe on ne peut qu’adhérer à cette idée, mais à condition que s’il ya modification de la constitution, qu’elle se fasse pour l’intérêt général et non pour celui d’un homme ou d’un régime politique liberticide et criminogène s’étant, par ailleurs, illustré par une incompétence congénitale quand à la gestion de la chose publique. Il convient cependant de signaler que la modification de la constitution aura pour conséquence la pérennisation de la misère structurelle et endémique que le régime de Sassou Nguesso a planifié et imposé au plus grand nombre. Pour ce faire, le peuple en a assez des gesticulations d’un pouvoir aux abois et qui rechigne à lâcher du lest. Plus que jamais, le peuple languit de recouvrer la liberté et de jouir d’une véritable démocratie, plutôt que de subir indéfiniment la dictature, la tyrannie et l’oppression.
On ne dira jamais assez que la liberté est un droit essentiel tant elle est consubstantielle à toute vie humaine. Elle n’a pas de prix et ne se négocie pas non plus. On ne saurait donc dénier à un peuple le droit légitime de jouir de la liberté. C’est pourquoi quand celle-ci est menacée ou compromise on doit être prompt à se mobiliser pour la défendre ou la reconquerir. A l’évidence, rien ne peut arrêter un peuple résolu et déterminé à arracher sa liberté, au point même d’y payer de sa vie. Le peuple qui ploie depuis des longues années sous la dictature, la tyrannie et l’oppression, guette désormais l’occasion de l’ultime action salvatrice. Quoi qu’il en soit, dans le bras de fer entre un peuple et un dictateur, c’est toujours au peuple que revient le dernier mot. Le redoutable et légitime courroux du peuple finira un jour ou l’autre par s’abattre sur ce régime pervers, abject et honni. Chaque chose en son temps et tout n’est que question de temps. Il ne fait l’ombre d’aucun doute que cette fois-ci le bourreau n’échappera pas au sort qu’il s’est forgé volontiers, car il sortira sans gloire par la petite fenêtre et son nom finira dans les égouts putrides et pestilentielles de l’histoire.
A luta continua a Vitoria e certa!
Monsieur Franky LOEMBA,
Ne nous perdons pas dans les « droits de réponse ou répondre ». Revenons à ce qui essentiel pour 99.99% des Congolais à savoir LEURS VIES au quotidien: sur le droit de manger sainement, le droit de se vêtir, le droit de se soigner efficacement, le droit d’apprendre (étudier), le droit de, le droit de ,……..bref.
Pourrait-on me dire un jour où a t-on été trouvé les Congolais qui veulent du changement de la constitution?
A mon niveau, j’en connais pas! Comme j’en connais pas aussi qui ont été voté lors des dernières élections de 2014.
Finalement quand on parle des « Congolais qui veulent ou du Peuple qui veut »; De quel Peuple ou Congolais fait-on allusion?
Autre question: Depuis quand nos dirigeants actuels se préoccupent du sort du peuple. L’a t-on consulté pour faire les différentes guerres successives? Pour le maintenir dans la pauvreté extrême, Pour pour pour,……..STOP.
Le problème du Congolais lambda n’est pas de savoir si les citations ou pensées de tel ou tel constitutionnaliste de surcroit Etranger a été bien interprêté. Mais de vire simplement.
Aussi prenez votre courage, mettez-nous en face votre bilan de plus de 30 ans de règne pour voir si seulement si le PEUPLE, LE VRAI vous accordera un prolongement du « CONTRAT »
Monsieur Loemba,
Vous êtes du Kouilou,oh oui je sais que vous allez dire autre chose.Je ne suis pas juriste ni pctiste voire Si j’étais vraiment démocrate comme vous le dites,vous irez vers la population et leur demander pourquoi elle n’a pas d’eau potable dans un pays pourvu en rivière,pourquoi elle n’a pas d’électricité avec toutes les potentialités énormes.Pourquoi les recettes pétrolières produites dans votre région ne servent même pas à la ville pétrolière de Pointe-Noire qui est devenue Ponton la poubelle.
Vous parlez de référendum,moi je préfère qu’au niveau du Kouilou se fasse un referendum d’initiative populaire sur la vie de la population à la place d’un referendum d’initiative parlementaire ou présidentiel sauce Sassou avec pour porte glaive les Makosso et compagnie.Demandez monsieur Loemba aux habitants du Kouilou qu’est ce qu’il pense de la gestion de Sassou?Et quel regard cette population du Kouilou pour l’instant muette mais pas idiote pense de tous ses fils qui se prostituent chez Sassou qui détruit le Kouilou et humilie le Congo.
Car l’heure des comptes approche où l’oeil du peuple vous demande monsieur Loemba de ne pas oublier que la roue de l’histoire tourne et vous avez faux de défendre Makosso qui est aussi cité à comparaître dans l’affaire des disparus du beach.IL en s’est quelque chose et comme vous le connaîssez,dites le lui.LE KOUILOU EN COLERE vous met dès maintenant sur la liste des démolisseurs qui rendront compte à la chute programmée de Sassou.Même suivre un match de football devient un luxe dans un pays où nombreux se voient démocrates.Un’bêêtiiié
Anthropologie: le dictateur Denis Sassou Nguesso fait-il parti des mauvais?
Comment reconnaît-on un mauvais?
Le mauvais indique d’abord une mauvaise réputation humaine sur différentes échelles: individuelles, amicales, politiques, amoureuses, professionnelles, locales, nationales, continentales et planétaires.
Il ne vous respecte pas, ni même l’éthique, les principes ou valeurs morales et encore moins la communauté, la société et ou la civilisation. Il ne vous inspire pas confiance !
Le mauvais indique le déclin comportemental de l’individu, la perte ou déni des droits d’autrui, la primauté des attitudes antisociales et dans certaines situations singulières propre à chaque mauvais, des comportements de type psychopathe et sociopathe.
Le comportement de type mauvais se manifeste par cinq caractéristiques mentales majeures: la mauvaise foi, la jalousie de l’autre, l’irresponsabilité face à ses habitudes et son comportement antisocial, le complexe d’infériorité vis à vis de l’autre, et la trahison tout azimut de sa parole donnée.
Il y a des problèmes délicats d’intégration et de coexistence avec le mauvais, problèmes dus à toute sorte de différences liées non seulement au credo, mais à la mauvaise mentalité et au comportement antisocial que l’on constate tous les jours au contact du mauvais et qui seront là pour nous rappeler crûment que les valeurs à la fois politiques et morales sont difficile à appliquer face à ce genre d’individu.
A son comportement de mauvais s’ajoute la mégalomanie, la stupidité, la schizophrénie, la folie des grandeurs, les névroses, psychoses, complexe d’infériorité, psychopathie et sociopathie dont les conséquences antisociales sont l’abus et confiscation irraisonnée du pouvoir, violence, terreur, assassinat politique, génocide, crime contre l’humanité, détournement des richesses et des biens publics de la collectivité ou du peuple souverain.
De l’enfance au comportement de type mauvais…
La construction mentale de l’adulte se réalise lorsqu’il est enfant au cœur de sa famille à laquelle il fait confiance et de son milieu socioculturel.
Sa famille et son milieu socioculturel seront alors ses références pour l’avenir. Tout dépend de la qualité de cet environnement et de l’ambiance dans laquelle l’enfant grandit.
L’enfant fait confiance d’emblée à sa famille et intègre ses normes. On comprend qu’un enfant ayant connu uniquement le mépris de l’autre, les carences affectives, la violence, les brimades, l’humiliation répétée et le mépris de l’autre intégrera ses notions comme des normes: mentales, psychiques, psychologiques, morales, sociales et puis.
Alice Müller dans son livre » c’est pourtant bien » explique comment une telle pédagogie comme la pédagogie noire en Allemagne au XIXe et jusqu’à la moitié du XXe siècle a construit un Adolphe Hitler.
La violence politique dans la dictature Denis Sassou Nguesso a longtemps été comme une affaire ne concernant que les seuls adultes.
Des études internationales ont cependant prouvé qu’elle avait également de graves conséquences sur le développement physique, psychologique et psychique de l’enfant congolais et ou étranger témoin.
Les agressions physiques, verbales, psychologiques et politiques tyranniques, créent un climat de vie marqué au quotidien par l’insécurité et la de-construction cognitive, mentale, psychique et émotionnelle de l’individu congolais ou étranger: enfant et adulte.
Au cœur d’enjeux familiaux, sociaux, policiers et politiques tyranniques, l’enfant se trouve, dès son plus jeune âge, menacé dans son développement.
Les implications psychologiques et médicales de la violence politique posent la question de la protection de l’enfant ou des mineurs face au tyran Sassou Nguesso: faut-il parler d’une forme de maltraitance?
Le tyran a peut être subi durant son enfance des comportements atypiques similaires, de psychodrame familial, de déviance culturelle et sociétale. Il est enfin née d’un traumatisme et de névroses liés à l’enfance de Sassou Nguesso.
C’est un traumatisme pour tout le monde et encore pour les enfants en construction, en développement d’être humain, futur et citoyen.
Quel homme veut-on demain dans ce pays? Parmi ces enfants, certains seront à leur tour peut-être à des postes de responsabilité et auront alors le pouvoir de bien ou mal traiter les congolais de Brazzaville.
Publié par Isidore AYA TONGA, Intellectuel, philosophe et scientifique environnementaliste, votre ambassadeur numérique pour la vulgarisation de la culture scientifique !
@Mr Loemba
J ai lu avec interet votre papier et malgré vos rajouts ,je n’ai vu nul part une conclusion de votre part par rapport au sujet;a savoir changer la constitution ou non
C ‘est vrai que vous etes juriste ,loin de la rationnalité .Vous restez strictement dans la croyance et avez des difficultés à faire l’équivalence entre revision totale et changement. S »il ya possibilité d »une revision totale c »est que le texte à réviser le permet.En la demeure notre texte FONDAMENTAL ne le permet pas pour garantir tout simplement la REPUBLIQUE ;L ALTERNANCE dans LA DEMOCRATIE ;la JUSTICE pour une PAIX durable
J e ne suis pas un homme de droit ,de lettres ;mais plutot scientifique et la concision est chez moi de regle
le mot FONDAMENTAL a un sens abstrait que je ne vais pas developper mais je vais me permettre de vous demander à le creuser
Changer la fondation d’une maison equivaut à la DEMOLIR; et en politique c’est par un coup de force qu’on y arrive
Mr Mackosso est un PUTSCHISTE
Mr FRANCKY LOEMBA, le problème essentiel du peuple n’est pas ta réponse à tous ceux qui écrivent à COLLINET, il est en responsabilité il est normal que les congolais déçus s’en prennent à lui ,,,et si franchement vous êtes congolais et connaissez la réalité que vivent vos frères à pointe noire et les autres villes vous seriez d’ailleurs gêné de vous faire l’avocat du diable, arrêtez donc de verser dans l’incantation et le culte de personnalité. Compaoré est parti et avec lui sa famille propre et non pas avec les courtisans,,,,,attention aux prises de positions contraires aux souhaits du peuple.
Mr Francky Loemba,
A quoi servent ces explications de textes, ce changement ou cette révision totale de la constitution quand partout règnent la misère, la pauvreté, la souffrance, la maladie, la terreur, la cruauté, le désespoir, l’égoïsme, la haine…?
Le gouvernement auquel appartient votre client Collinet Makosso, loin de répondre à nos demandes ou de s’attaquer aux problèmes réels (eau, électricité, santé, emplois, logements…), n’a cessé et ne cesse, au contraire, de rendre plus aigus l’aliénation et la désorientation psychologique du Congolais, accroissant son égoïsme, ses frustrations, sa rage de ne pouvoir faire sa vie comme il le voudrait. Mais quelle est la cause de cet état de choses? A qui les Congolais devraient-ils faire porter le poids et la responsabilité de cette dégénérescence généralisée, et quelles sont les solutions? Sont-ce dans le changement, la révision totale ou partielle de la constitution?
Mes chers,
Ici il n’est pas question pour moi de prendre la défense de x ou y, ou encore de condamner untel et dire que c’est plutôt tel qui a raison. Comme souvent nous réagissons pas émotion et passion. La passion et l’émotion, nous empêchent souvent de faire une lecture objective. Que vous soyez contre le changement de constitution, pire contre le pouvoir, c’est votre droit d’aimer ou de ne pas aimer. Mais est ce pour autant que vous devez toute objectivité dans l’analyse des faits et des écrits. J’ai pris sur moi de donner des éléments de compréhension à mon frère Joseph Kokolo ZASSI, parcequ’il s’était perdu dans l’interprétation et la compréhension des references et citations contenues dans l’analyse du Ministre Collinet Makosso. Et voila, que vous venez à votre tour, dans un esprit de haine, non pas me dire que je me suis trompé dans mon analyse, ce que je suis prêt a entendre et lire. Non, les uns viennent ici pour me traiter de tout les noms, les autres pour me dire que je suis inconscient(y compris mon client)car nous ne voyons pas la misère dans laquelle croupi le peuple congolais. Mes chers, laissez moi vous dire , que vous n’avez pas le monopole du coeur et de la détresse de nos compatriotes. Je vis au congo! J’y étais encore il y’a une quinzaine de jours. Je connais donc bien la réalité de nos villes. Sur ma page Facebook, j’ai souvent porté des critiques sur les actions du gouvernement, voire des hommes politiques congo. Je prends à témoin mon ami journaliste Christian Perrin , avec qui nous avons fait des émissions sans concession sur la situation sociale du congo.Je pense ne pas avoir de leçons à recevoir de qui que ce soit ici sur le net. Il faut être au congo et avoir le courage de ses opinions. Au lieu de se mettre derrière un clavier à propager des insultes.
J’essaie toujours d’exercer ma liberté d’appréciation. J’ai chaque jour l’occasion de côtoyer la misère dans laquelle nos compatriotes vivent. Je n’ai donc de leçon à recevoir de personne.
Dans mon propos, il n’était nullement question de dire que le changement de la constitution est une bonne chose, ou encore une mauvaise chose. Je puis vous assurer que le jour que les choses seront claires:c’est a dire que le président qui annonce son intention de changer la constitution, alors comme beaucoup , je donnerais mon point de vue. Nous n’en sommes pas encore là! Cela dit, nous avons le devoir de poser le débat sur de bonnes bases.
C’etait le sens de mon intervention, au travers de la mise à disposition de monsieur Joseph Kokolo ZASSI des éléments de compréhension. Puissions nous comprendre pour un débat sain et constructif! Vive le Congo! Vive les Diables rouges! La victoire nous appartient!
C`est un va-nu-pied celui-la. Il nous cite Poutine et la Russie pour illustrer son argumentation. Pire, il parle de sa France et de son ministre qui etait justifie a repondre a Charles. Monsieur le juriste, si vous en etes un, sachez qu` un ministre est apolitique. Il doit fermer sa gueule sur des questions politiques et se contenter de servir la Republique. Votre reponse au contradicteur de votre mentor est un cafouillage. Surtout ne nous citer pas Rousseau, qui pronait une democratie directe, qu`on ne pouvait appliquer que sur des territoires reduits.
Vous defendez l`indefedable, vous et votre ministre.
Mon cher Renard,
Drôle de démocrate que tu es? Moi va nu pied? Je prefere ne pas y répondre! Alors comme ça pour toi qui a bien connu Rousseau, un ministre est apolitique? C’est le scoop du début d’année! Je te prie d’aller relire tes classiques. Et sachez qu’on nous a appris, que lorsqu’on avait rien à dire, mieux valait se taire! Cela avait pour avantage de vous éviter de dire des bêtises! Mais bon, vous devez sans doute exceller dans ce domaine. Moi non! Il n’est pas trop tard pour apprendre!
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Merci de la compréhension de tous.
M. Loemba c’est après la lecture de votre réponse que je me suis permis de vous prodiguez quelques conseils. votre intervention montre bien de quel coté vous êtes malgré le rafistolage démagogique que vous voulez faire. Vous êtes certainement un éminent juriste mais faites attention car il n’y a pas plus dangereux que celui qui vit dans le désespoir. vous ne pouvez pas reconnaître la souffrance de vos compatriotes et vous permettre de défendre un pouvoir sans scrupule qui n’a pu rien donné au pays jusque là malgré le pétrole qui sort de chez vous. Vous êtes très intelligent mais sachez lire les signes de temps. car le niveau de souffrance dans laquelle vivent vos compatriotes (surtout à pointe noire) prouve à suffisance que la chute de votre champion est imminente et se fera sans vitesse initiale. Mais les représailles risqueront d’être complexes. faites donc attention à vous. Conseil de compatriote.
Mon cher Peya Marcel,
Pourquoi des représailles? Notre pays devra donc évoluer de la sorte toute le temps? Je ne pense pas qu’il existe une fatalité, qui nous installerait dans un cycle de violences permanentes. Cela dit, je ne défends aucun pouvoir! Etes vous donc prêt à laisser un compatriote dans la confusion uniquement parceque vous pensez être du même côté? Cessons avec ce manichéisme. Aujourd’hui il y’a un débat dans notre pays. Nous devons en discuter sans animosité et a priori. Au terme de tout ceci faisons en sorte, que le peuple sorte vainqueur. Je ne vais pas une fois de plus me justifier sur les souffrances des congolais. Le débat n’est pas là! Pour la enieme fois, il s’est agi de donner des éléments de meilleure compréhension à un frère. De cela personne ne veut en parler! Vous avez tous choisi de placer le débat sur le terrain social. C’est votre choix et je le respecte!
à Franck Loemba,
Vous êtes finalement le conseiller et certainement auteur de » je rétorque » attribué au Ministre Collinet. J’avoue n’avoir pas pu tenir longtemps sa lecture tant ahurissant en son titre, sa forme et surtout son opportunité.
Vous êtes donc forcé par la victime Collinet de défendre tant soit peu vous-mêmes votre œuvre. Mais raté. Au moins on connais le vrai auteur de » je rétorque » c’est bien Franck Loemba, conseiller du ministre. Ah ces conseillers qui sont légion autour de ces ministres congolais!
Quand nous vous voyons passer en cortèges des VX! AH l’élite!
Me disait un ami » il faut être drogué » pour défendre tant soit peu intellectuellement le régime Sassou.
Une imprudence du Ministre qu’il aurait due éviter pour sa réponse à la rébellion courageuse du Professeur BOWAO.
Figurez vous que votre maitre d’OYO vous traite de souris et tes frères de Mvou-Mvou de rats du jardin. Les premiers montrant la cachette du fromage aux seconds. Et cela ne vous a pas dérangé; vous qui ramassez ce qui tombe de la grande table de OYO. Ah dignité, lorsque tu nous manques.
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Maintenant un Leader devra se distinguer par la précision de son discours, la compréhension de ses positions même par le moins instruit à l’occidental, la cohérence dans son Etre, et surtout par son courage dans la défense de ses opinions. Et sur ce point nous avons beaucoup à apprendre de Poaty Pangou Robert. Je ne suis pas sur que vous veuillez entendre ce nom.
Mr LOEMBA
Vous savez, entre Zacharie BOWAO et Collinet MAKOSSO, Mr BOWAO a l’avantage, 1. d’avoir été à l’élaboration de cette constitution et 2. d’être au Bureau politique du PCT. Parce que ne croyez pas que cette constitution a été élaborée par des gens qui ne savaient pas ce qu’ils faisaient. Déjà, faut il rappeler ici, contrairement à ce que vous rabâchez aux gens tous les jours, cette constitution n’a pas été élaborée précipitamment dans une situation post conflit, il faut dire qu’il y a un acte fondamental qui gère le pays pendant cinq (05) ans. Donc les gagnants de la guerre de juin 1997 ont eu le temps pendant cette période de tirer les leçons et proposer au peuple congolais une constitution viable. Donc, les dispositions relatives à la limitation de mandat et aussi, vous ne le dites pas, au caractère laic et républicain de l’Etat n’ont pas été introduites dans cette constitution de façon arbitraire. Le problème qui se pose ici, ce n’est pas tant à disserter sur tel ou tel autre justification juridique, à faire appel à telle ou telle autre personnalité pour justifier que tel ou tel autre principe juridique. Le problème se pose en termes d’honnêteté: pourquoi maintenant, à la veille de la fin du mandat présidentiel ? Vous le savez. C’est pour cela que vous manquez d’arguments, vous êtes réduits à courir derrière BOWAO. Collinet MAKOSSO, va voir que, aucune dictature n’a bien fini, aucune.
LORS DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2009 LE PRESIDENT SASSOU NGUESSO N’A OBTENU QUE 41 POUR CENT DANS LA VILLE DE POINTE-NOIRE.
JE DIS BIEN 41 POUR CENT SELON LES CHIFFRES OFFICIELS DU MINISTRE RAYMOND MBOULOU, DES CHIFFRES TRUQUES.
QUEL PEUPLE DE POINTE-NOIRE A DEMANDE LE CHANGEMENT DE CONSTITUTION ?
Kokolo (le modeste) =20/20
LOEMBA Francky (la vaniteux) = 0/20
Ce qui est dangereux dans la politique congolaise,c’est que le politique cultive l’illusion du peuple souverain.Quel est ce peuple souverain qui accepte de ne pas avoir de l’eau potable,de ne pas avoir de l’électricité,de voir ses valeurs bafouées,de voir des crimes rituels à répétition aux abords des cimetières sans intervention des autorités policières.
Quels sont ces intellectuels du Kouilou qui se couchent comme du beurre sur un pain chaud?Quels sont ces fils du Kouilou pourtant intelligents,mais qui préfèrent servir un dictateur qui détruit leur région,qui humilie les enfants du Kouilou qui deviennent des étrangers dans leur propre région pire dans le Congo entier?
Où est l’engagement des élites du Kouilou qui aiment les personnes qui détruisent le Kouilou?
Mr Loemba,vous ne voulez pas répondre à ces questions parce que vous êtes à l’abri du besoin vue votre aspect.Je vous demande de dire à Makosso Collinet ou à Roland Viaudo;maire de Ponton la Poubelle voire à monsieur PACKA Honoré de procéder à un réferendum d’initiative locale des populations des départements du Kouilou et de Pointe-Noire au sujet de la gouvernance électorale,au mieux sur la part d’investissement de l’Etat-PCT dans lesdits départements de 1960 à ce jour.
Monsieur Loemba,le Kouilou veut savoir où sont passées les recettes pétrolières du Kouilou de 1960 à 2014?Le Kouilou aussi veut savoir quels sont vos apports sur la question des ordures à Ponton la poubelle?
C’est le concret et non les théories.
DÉBAT DE CONSCIENCE !
La critique ou l’esprit critique aiguise l’intelligence, l’inventivité, la technicité et l’ingéniosité. Celui qui ne critique pas ou qui ne tolère pas à son encontre la critique n’évoluera pas et n’avancera jamais.
« Si le peuple promet simplement d’obéir à un pouvoir quel-qu’il soit , il perd sa qualité de peuple » – Jean Jacques Rousseau.
Par ailleurs, si un état n’éduque ni ne valorise l’individu ou le citoyen, il est fort probable que le pays ou l’homme se dirige vers le désordre et le chaos.
Entre l’ordre et le désordre !
Le pouvoir sans contre-pouvoir n’est que ruine de culture, de société et de civilisation. Les pouvoirs et contre-pouvoirs sans régulateurs ne produisent que des cultures, des sociétés et des civilisations désordonnées.
Le pouvoir sans vrai contre-pouvoir et vrai régulateur crée inéluctablement et naturellement un déséquilibre. Ce déséquilibre peut-être politique, social, économique, financier, culturel, environnemental et sociétal. Il est identifiable, et vivable sur différentes échelles: individuelles, locales et nationales ( Isidore AYA TONGA).
Oui, l’inégalité entre couches sociales, traditions, cultures, sociétés et civilisations n’est pas fondée sur la nature – elle réside dans l’éducation ou l’information qu’on donne à l’individu ou plutôt dans celle qu’on lui refuse.
Ceci est un cas de prise de conscience universelle au niveau philosophique, politique, économique, social, culturel, environnemental et sociétal à l’échelle africaine !
Publié par Isidore AYA TONGA, Intellectuel, Philosophe et scientifique environnementaliste !
@ Loemba,
L’honnêteté aurait voulu que vous déclinez votre relation avec Makosso, votre Ami et Parent. Ne pas le faire serait induire ton monde en erreur car, tout ce que vous avez dit est en soutien à ce dernier.
Quand on vient défendre son Ami et Parent en prétendant être objectif relève de l’escroquerie intellectuelle. Au fait, comment s’appelle déjà votre petit traité écrit avec Makosso?
Pour finir, Makosso dit que l’article 187 permet un changement de la constitution de 2002. Soit! Tous savons que cet article 187 parle d’une loi organique. Ma question à vous:
Une loi organique a-t-elle préséance sur une constitution ?
Lumingu,
La constitution est la Loi des lois. C’est la loi suprême.Je me doutais que quelqu’un viendrait me sortir cette histoire de liens et que sais je encore? Le traité dont vous faites allusion,s’intitule: Comprendre les élections! Petit traité à l’usage du citoyen francophone. Si le fait pour moi de connaitre le Ministre Collinet Makosso ou être son parent, me disqualifie sur un débat, alors nous ne sommes pas encore sorti de l’auberge. Quand cesserez vous de vous en prendre aux personnes et de ne faire attention qu’aux idées? Est ce si difficile? Au final, je ne pense pas avoir été à coté de la plaque! Bon continuez à vous en prendre aux hommes, moi je suis marque ma disponibilité pour un débat d’idées!
Le kouilou en colére,
Je vous recommande de vous rapprocher de la plate forme associative Publiez ce que vous payez,qui est située au sein du centre Polio a Mvoumvou. Vous trouverez la bas ,des informations utiles a ce sujet.
Pour ce qui est de l’état de saleté de la ville oceane, je partage votre constat. Je pense que nous en sortirons ensemble avec les pouvoirs locaux. L’initiative bien entendu, doit être du fait de la municipalité et elle devra se plier en quatre pour avoir l’implication des pontenegrins.Je vais même vous étonner: je propose que cette année, que le fespam n’ait pas lieu. Les 6 ou 7 milliards ainsi dégagés, pourront être utilisés pour aider nos villes dans leurs problèmes d’assainissement.
Kokolo (le modeste) =20/20
LOEMBA Francky (le vaniteux) = Zéro moukaté
V W.
Mr FRANKY LOEMBA,
A vous vous débattre j’ai eu la ferme conviction que vous êtes le vrai auteur de la réponse du ministre à Mr Bowao. Aussi je voulais savoir pourquoi est ce que c’est vous qui répondez au lieu de dire ce que vous pensiez sur la situation actuelle du Congo avant les échéances de 2016? A force de donner des réponses à toutes les réactions ici c’est ce que vous reprochiez des inepties dites ici ,,il aurait fallut vous taire simplement que de vouloir secourir votre ami.
S’aurait été un problème spécifiquement personnel de Makosso avec Bowao; oui , je comprendrais aisément mais il s’agit de la position de deux responsables l’un co-écrivain de cette loi fondamentale et l’autre ministre nommé du gouvernement des deux qui connait plus cette constitution? Mon cher Franky laisse l’eau coulée dans le sens de la démocratie comme le réclame le peuple et si vous voulez intervenir chercher un autre sujet,,,quel est le bilan du ministre Makosso en 2015? si ce n’est aller en France souvent pour du tourisme.,,,,
,Le Congo est malade alors n’empirer pas le cas des patients . Prenez de la grandeur et ne dites plus rien ici ;accepter votre forfaiture.Juriste ou pas juriste le débat n’est pas à ce point là car la constitution est claire.
Il est question d’un gouvernement qui veut passer outre les dispositions de la loi fondamentale pour se maintenir au pouvoir,,,le PCT a quelle légitimité d’imposer au peuple sa façon de voir le monde? d’autant plus qu’ils sont archaïques au sein de ce parti,,,,l’évolution est pour les esprits ouverts et non rétrécis.
nb à vous entendre débattre,,,,,,,,,,,
Macktchicaya,
Je vous rassure tout de suite: je ne suis pas l’auteur des écrits du ministre Collinet Makosso. C’est mal connaitre l’homme que de penser qu’on peut écrire pour lui! En réalité, votre religion est faite depuis belle lurette. Rassurez vous, je n’ai pas la mission de vous faire changer d’avis! Pendant que je m’évertue à expliquer le sens de mes écrits, vous m’entrainez ostensiblement sur un autre débat qui n’est pas le mien. Faut il oui ou non changer la constitution? Lorsque ce n’est pas cette question, on me demande: ce que je pense de station sociale des congolais? M’avez vous bien lu? Apparement non! Et ce n’est au fond pas grave! Vous avez décidé d’emprunter une voie qui mène directement à l’opposition systématique à tous ceux qui ne pensent pas comme vous! Que puis je y faire? Sachez cher ami, qu’il n’y’a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Bonne soirée!
à Franck Loemba;
Je reprends ce que j’ai ecrit plus haut:
Que penses-tu de ton maitre d’Oyo lorsqu’il te traite de souris et tes freres de Mvou-Mvou de rats; les premiers montrant le fromage aux seconds?
Butula,
A brûle pourpoint, comment veux tu que je réponde a de tels propos dégradants? Je ne les accepte pas! Apres coup, pour être honnête, il faut remettre cette assertion dans son contexte. Evidemment si tu sors ces propos de leur contexte, ils sont plus que condamnables. La tentation c’est de procéder de la sorte. Faisons attention aux raccourcis!
M. Louemba, inutile de faire toute une dissertation pour relever les faiblesses de votre intervention.
Il n’échappe à aucune personne de bon sens que le débat constitutionnel au Congo, quelque soit l’habillage sémantique qu’on veut lui donner, se résume à une tentative de conservation de pouvoir au sein d’un clan dont le noyau, est avant tout familial.
Votre phrase ci-dessous révèle implicitement votre positionnement par rapport aux critiques faites à ce pouvoir reconnu comme dictatorial :
« Que vous soyez contre le changement de constitution, pire contre le pouvoir, c’est votre droit d’aimer ou de ne pas aimer. »
Pourquoi « pire » ?
Le problème du Congo est celui de l’usurpation du pouvoir par un clan mafieux qui se maintien à travers un affichage démocratique avec des élections sur la base d’un fichier ou d’une commission électorale non crédibles.
Le véritable débat aujourd’hui est celui de relever toutes les incohérences, les mécanismes dont se sert ce pouvoir pour partager l’essentiel du patrimoine national entre famille et courtisans.
Votre intervention laisse l’impression de vouloir donner un contenu rationnel à une démarche avant tout démagogique et opportuniste.
En la matière, nous savons tous qu’ils y tout un arsenal de support médiatique au service du pouvoir putschiste qui vont des dépêches à des hebdomadaires qui, malgré tout ont du mal à atteindre les consciences libres comme les nôtres.
De plus, la réalité du quotidien des congolais, la misère, les agressions arbitraires, le clientélisme… atténuent la portée de cette rhétorique qui tente de donner du sens à un coup d’Etat constitutionnel.
Et que dire quand vous prenez la Russie comme un modèle de démocratie ?
Le véritable enjeu de ce débat sur la constitution se résume à travers ce qui motive ce genre d’agression :
M. Louemba écrit :
« Pendant que je m’évertue à expliquer le sens de mes écrits, vous m’entrainez ostensiblement sur un autre débat qui n’est pas le mien. Faut-il oui ou non changer la constitution? »
Ne pas prendre position dans ce débat, et se contenter de venir au secours d’un collaborateur du pouvoir dictatorial, c’est tout sauf de l’honnêteté intellectuelle.
Comme disait Desmond TUTU : « fermer les yeux », revient à se ranger du côté de l' »oppresseur ».
Notre cher ami se trahit inconsciemment.
à Francky,
Tout ramène aux deux vidéos ci dessus postées par Arlette et Thierry et Il n’y a malheureusement pas d’épiphénomène détachable de la situation du Congo qui force la binarité (ce qui est intellectuellement insoutenable mais:::) dans cette tragédie du moins pour ceux qui la vivent et la subissent.
Les souris de la maison ne la voient ni ne la vivent car vivant dans la maison où est gardé le fromage et se contentent des rejets de diversion au détriment de leur dignité ou même du bon sens.
Votre conscience – si vous en avez une bonne – devra vous embarrasser.
Francky avez-vous visionné ces deux vidéos? Le problème du Congo se trouve là et non dans une constitution sortie d’un putsch.
Faites attention à l’enfumage de LOEMB Francky! C’est un contre-feu pour détourner l’attention sur les inepties de Mackoss Colinet.
Le sujet c’est Mackoss Colinet et ses inepties qui n’ont de justification que la défense de ce qui a fait de lui ce qu’il revendique maladroitement.
Bravo Joseph. Personne, ni LOEMB Francky, ni Mackoss Colinet, personne ne peut vous affronter sans se couvrir des carapaces des renvois. Cette incapacité notoire à s’assumer par soi est lamentable! Dieu merci, l’honneur sera toujours sauve avec Joseph. Encore Bravo
LOEMB Francky = Mackoss Colinet = Même combat = Protéger le bout de Gras.
@ Loemba,
Alors nous sommes tous d’accord sur la préséance de la Constitution sur la loi organique qu’autorise l’article 187 de celle-ci pour permettre la révision de cette dernière.
Dites-moi, comment une loi organique peut-elle autoriser quelque chose que la Constitution ne permet dans aucun de ses articles à savoir sa révision totale = son abrogation pure et simple?
Pouvez-vous me citer cet article de la constitution de 2002 qui autorise son changement= révision totale= abrogation, et ce en application de l’article 187?
Rien ne sert d’emprunter les pensées d’autres constitutionnalistes pour en faire une dissertation qui ressemblerait à une histoire à faire dormir debout comme l’avait fait si maladroitement Makosso.
Ayant la courage de reconnaître nos fautes et nos égarements. Oui, ici on est en face des égarements des pctistes qui se font rattraper par les cadavres qu’ils croyaient enfermés pour de bon dans les placards. Tels qui croyaient prendre, ils se sont faits prendre dans leur propre piège. D’où la présente agitation autour des idées plus fumeuses et saugrenues les unes que les autres. Avec Madoudou, c’était la fameuse théorie des fins des cycles constitutionnels à la sauce dzobi. Puis vint le temps des Sages surgis de nulle part demandant au grand timonier l’infatigable bâtisseur de rester au pouvoir pour finir ce qu’il n’a jamais pu faire en 46 ans. Aujourd’hui, vous voici avec la baguette magique de l’article 187 qui vous permettrait d’abroger la constitution pour que votre champion crève au pouvoir.
À la fin, Loemba, quel motif doit-on retenir qui justifierait l’abrogation de la constitution que vous demandez? Reconnaissez que nous sommes perdus avec ces alibis qui changent au gré des circonstances comme ce petit zaïrois qui change ses chemises qu’il ne porte qu’une seule fois avant des les envoyer en France pour incinération.
RIEN QUE DU BLA BLA BLA LES MAKOSSO, LOEMBA ET CONSORT… RIEN QUE DU BLA BLA BLA. RESPECTEZ LA CONSTITUTION DE LA REPUBLIQUE UN POINT ET UN TRAIT. RESPECTEZ LA CONSTITUTION ET VOUS VOUS RESPECTEREZ VOUS-MEMES. VOUS AVEZ FAIT MARCHER LE PAYS ET PROFITEZ DES BIENFAITS DU POUVOIR PENDANT DES DECENNIES AVEC CETTE MÊME CONSTITUTION… MAIS D’OU VOUS VIENT-IL QU’IL FAILLE LA CHANGER ? BON SANG !, ELEVEZ-VOUS A FAVORISER UNE TRANSITION DEMOCRATIQUE SAINE ! POURQUOI CHERCHEZ-VOUS DES HISTOIRES OU IL N’Y EN A PAS ?! EN 2016, SASSOU DEVRAIT QUITTEZ LE POUVOIR ET OPERER UNE SAINE DEVOLUTION DE POUVOIR A SON SUCCESSEUR. CECI EST SANS APPEL. PENSER LE CONTRAIRE C’EST RISQUER GROS ! AUCUNE RAISON NE JUSTIFIE QUE VOUS SOUTENIEZ UNE TELLE IMPOSTURE ; AUCUNE, ABSOLUMENT AUCUNE. CE DEBAT EST CREUX ET NOUS PERD UN TEMPS PRECIEUX.
@Loemba
Le rappel de vos liens familiaux et amicaux avec Makosso etait indispensable pour permettre à ceux qui ne vous connaissent pas de bien comprendre le contexte de la discussion que vous avez engagée. le contexte est très important dans tout debat étant donné qu’il peut de situer les uns et les autres par rapport au sujet débattu. D’ailleurs, ne dit-on pas qu’il n’y a pas de littérature sans idéologie?
Votre discours est porteur d’une certaine ideologie proche de celle que véhiculent les écrits de Makosso, qui lui-même est un très très très proche intime des nguesso via la zaïroise qui se dit du Kouilou. Alors, souffrez que l’on se questionne sur l’objectivité intellectuelle de votre propos quand nous savons que nguesso avait donné à ses obligés de porter la réplique, partout, à tous ses contradicteurs à propos de son rêve de mourir au pouvoir. Malheureusement, votre posture actuelle et celle de Makosso participent. de cette manœuvre dilatoire car, c’est une manœuvre vouée à l’échec tant vous êtes les seuls à vouloir d’une abrogation de la constitution.
pour terminer, en tant que juriste, je me demande s’il vous arrive de vous raser chaque matin et être fier de ce que vous regardez dans le miroir?
Monsieur Francky Loemba,
Vous avez réagi en lieu et place de monsieur Makosso, mon commentaire sur ce point est à la fin. Par politesse, même si vous n’avez pas reçu mandat, je vous réponds personnellement. Je n’ai pas de cabinet noir pour assurer ma défense. Je le ferai point par point, surtout les points qui nécessitent un complément d’information pour enlever les équivoques si nécessaire. Ces points sont numérotés de 1 à 10, pour organiser la suite des idées. Je constate aussi que votre intervention est vivement mise à mal. Vous essayez de vous débattre comme un poisson pris dans un filet, en vain. C’est la première fois qu’un intervenant ne trouve pas de partisan depuis que je scrute les commentaires sur le réseau. Vous devez vous sentir seul avec votre mentor Makosso Collinet Anatole. Revenons sur l’essentiel.
1) Jugement dédaigneux sans aucune raison, animosité, rancœurs, états d’âme…
Sur ces mots qui découlent de votre imagination, je puis vous rassurer qu’il n’y a pas du tout de cela. Pourquoi ? Parce que Makosso Collinet Anatole, je ne le connais pas. Et même si le connaissais et qu’on était ami, je lui aurais dit franchement la même chose. Car les vrais amis disent toujours la vérité aux vrais amis lorsque ces derniers quittent la route de la raison. Peut-être qu’un jour je le croiserais, tant que la finitude nous épargne encore. Ne dit-on pas que seules les montagnes ne se rencontrent jamais ! (proverbe africain).
2) Heureusement que vous avez eu l’honnêteté de dire d’entrée de jeu que vous n’étiez pas juriste. …
Et alors, parce que je ne suis pas juriste que vous essayez de prendre à votre compte, en considérant que tout ce que j’ai dit était erroné et que la litanie de monsieur Makosso Collinet Anatole était pertinente et honorable ! Que j’étais atteint d’une maladie appelée confusionnisme qui expliquerait mon absence de cohérence ! Je vous laisse seul maître de vos conclusions. Cependant, je vous rappelle simplement que, concernant le premier renvoi que vous avez commenté, nous disons exactement la même chose, même si les mots changent. Lorsque vous dites » Cela veut simplement dire, qu’il n’appartient pas aux concepteurs, rédacteurs, d’un texte constitutionnel, de fixer la périodicité des révisions, encore moins ce qui pourrait faire l’objet de révisions futures. D’ou l’autre citation W. BURCHARDT, qui dit « qu’une révision constitutionnelle ne peut être liée a aucune règle impérative préétablie. » « L’idée c’est de ne pas lier les futurs dirigeants sur les reformes à mener et ce qui peut faire l’objet de révision ». Vous croyez vraiment que je n’ai pas dit la même chose sur ce point ? Il me semble qu’il y a plusieurs personnes qui m’ont lu aussi et elles apprécieront vos allégations. Juste pour vous dire que c’est exactement ce que j’ai dit, souffrez si je ne l’ai pas dit en tant que juriste. Je ne revendique aucun titre d’ailleurs. L’école, l’université au Congo sont entre les mains des gens qui ont roulé leurs fesses dans les universités ou grandes écoles du monde entier. Mais, le niveau de nos enfants aujourd’hui laisse à désirer, c’est un fait. A qui la faute, l’enfant qui apprend ou le professeur qui forme ? Par ailleurs, vous croyez que les textes juridiques sont des textes magiques ou ésotériques, et que pour les comprendre il faut être un initié ? Si tel est le cas, nos juristes seraient-ils responsables de la mal compréhension des textes qu’ils rédigent au service des peuples qui les appliquent ? Si vous avez compris la même chose que moi, alors, Makosso Collinet n’avait pas à citer cela dans son « Je rétorque » car il venait, sans peut-être s’en rendre compte, de réconforter notre professeur Tourneveste dans son « Je recuse ». Je dois rappeler à monsieur Loemba que le débat actuel n’est plus sur la révision ou la modification de la Constitution, il est sur le changement ou la révision totale, donc son abolition puisqu’elle constitue désormais un obstacle à notre bâtisseur infatigable. Lorsqu’il s’est aperçu qu’une révision ou modification ne permettait pas de déverrouiller les articles qui sont devenus un véritable boulet, alors il fait le choix de procéder à une révision totale donc l’annulation de la constitution actuelle, afin de remettre les pendules à zéro. Mais qu’est ce qui peut justifier un tel changement ? S’il est vrai que le pouvoir actuel peut procéder à des ajustements de la constitution actuelle, mais rien ne lui permet de la réviser totalement ou procéder à son changement. En tout cas rien. Sur ce point nous sommes donc d’accord. Il faut aussi ajouter que l’opportunité de changer les verrous de la constitution cache bien des intentions non avouées de conservation du pouvoir par l’équipe actuelle. Si vous dites le contraire, je ne vous suivrai pas. Point.
A Monsieur Francky Loemba,
3) Sur la citation de Thomas JEFFERSON : « Les peuples ont le droit de changer à tout moment, leurs lois, une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures », vous dites qu’une fois encore je fais preuve de confusion, si ce n’est de la mauvaise foi.
Ce point renvoie au deuxième point que j’ai commenté. Je ne vois vraiment pas là où j’ai fait preuve de mauvaise foi puisque je pense la même chose. Je ne dirai pas davantage, les lecteurs sont libres de juger. En tout cas, ce que je ne peux comprendre c’est cette façon de mépriser les peuples, parler en leur nom et en retour les paupériser, les avilir, les prendre pour des bons à rien. Si on veut promouvoir la démocratie et l’Etat de droits, il faudra être capable de condamner toutes les formes d’excès de pouvoir telles qu’elles s’exercent sous les tropiques. Pour ce qui me concerne, je trouve immoral, amoral et dangereux de vouloir changer les règles du jeu politique pour le seul profit du pouvoir en place. C’est de cela que la majorité des congolais ne veut pas. Si vous trouvez des bienfaits de maintenir un régime qui vous dépouille de toute votre dignité, qui vous prend pour des esclaves, qui peut réprimer dans le sang tous ceux qui s’opposent à lui (affaire Tsourou la plus récente…), qui transforme les richesses du pays en propriété personnelle, qui gère l’Etat comme une épicerie familiale, c’est votre droit, surtout si vous faites partie de la famille dirigeante directement ou indirectement, c’est votre liberté. Un enfant ne choisit jamais ses parents, ce sont ses parents qui le choisissent. Pour ce qui me concerne, au regard de la situation catastrophique de mon pays sur tous les plans, je dois me mobiliser pour que les règles du jeu politique actuelles soient respectées, même si elles ne sont pas parfaites. La nouvelle génération se chargera de sa révision totale ou partielle. Sur ce dernier point, vous avez trouvé dans mon texte que je confondais « révision partielle et révision totale ». J’ai relu mon « confusionnisme », je n’ai pas trouvé ce que vous insinuiez. Bref, ceci pour vous dire que, même si l’erreur est humaine, celle là je ne la ferai pas et je ne l’ai pas faite. C’est vous qui venez pour brouiller mon point de vue. Entre nous, je ne vois pas en quoi cette citation conforte Makosso Collinet dans sa diatribe. Point.
4) Vous avez mentionné la citation de Rousseau pour laquelle je suis tout aussi un adhérent de sa thèse que vous. Vous poursuivez […] Mais, convient-il de le rappeler, la constitution n’est pas une loi ordinaire. C’est la Loi des lois ! C’est l’acte solennel par lequel une société déclare les principes qui la fondent, qui la rassemblent et qui l’organisent. Ce texte-là ne peut être changé aussi facilement qu’une loi ordinaire ; il faut une procédure particulière, plus solennelle, plus exigeante. Espérant, que ces mots vous aident à mieux comprendre !
Franchement, vous ne m’apprenez rien sur ce point. Vous devez plutôt le dire à Makosso Collinet Anatole qui trouve les bonnes raisons de changer cet acte fondamental. Pour ma part je ne trouve aucune justification, ni juridique, ni politique (à moins de considérer que la politique c’est le mensonge, le coup d’Etat permanent, le parjure,..). J’espère que les défenseurs d’une telle aventure écouteront le brin de sagesse qui respire en vous et que je vous reconnais volontiers… Quoiqu’il en soit, cette citation ne vient pas conforter le besoin de changement défendu bec et ongles par le tenants de la cause. Cela vient conforter la position du professeur Tourneveste qui a eu un sursaut républicain, même si on peut lui reprocher beaucoup de chose. Mais je préfère sa posture à celle que vous défendez. Vous avez fait le choix, depuis plusieurs décennies, de demeurer les esclaves du système PCT. Ca tout le monde le sait, je n’apporterai rien de nouveau…
A Monsieur Francky Loemba,
5) Le terme approprié, est bel et bien révision totale, en opposition à la révision partielle, qui concernerait soit la réécriture de certains articles, voire l’ajout d’articles inexistants.
Là aussi, si vous relisez mon texte, vous verrez que c’est ce que je dis aussi. Encore une fois, si vous pouvez le dire à votre Makosso Collinet Anatole ce serait une excellente initiative. Néanmoins, s’il prend soin de vous lire ici, il vous prendra peut-être comme son nouveau directeur de cabinet, car il s’apercevra que vous êtes certainement mieux armé que ses conseillers actuels. J’espère que cet échange ne sera pas vain ! Point.
6) Vous dites plus loin, Si il est indéniable que cela peut constituer une avancée pour nos démocraties, il n’en demeure pas moins que la démocratie a bien fonctionné en France sans limitation du nombre de mandats. La limitation du nombre de mandats présidentiels assure sans doute une certaine émulation au sein d’un même courant politique. Cependant le cas Russe, montre si il en était besoin les limites de cette disposition. Depuis plus d’une dizaine d’années, Vladimir Poutine se partage le pouvoir avec des cadres de son parti. Après deux mandats de 5 an chacun, il passe la main à une autre personne pour les 5 années à venir. Et 5 après, il revient au pouvoir pour 10ans. Est ce démocratique ? Toutefois, on ne peut s’empêcher de dire que cela constitue un frein aux principes démocratiques, qui voudraient que le peuple puisse librement reconduire un dirigeant politique qui lui donne une entière satisfaction.
Avant 2008, la loi autorisait une telle pratique. Mais comme l’histoire qu’écrivent les Hommes est en perpétuelle mouvement, que les aspirations des peuples à plus de démocratie, à plus de transparence, à plus de justice sont tellement grandes que les politiques sont obligés d’y tenir compte. Cela évite de faire germer des systèmes de non droit, des mécanismes de corruption organiques qui au final, compromettraient le vivre ensemble et consacreraient les règles de la loi du plus fort. C’est ce que personnellement je constate dans mon pays et que beaucoup, comme vous, ne veulent pas voir. Ils portent des œillères. On dit souvent que le bossu ne voit jamais sa bosse. Oui, mais il lui arrive quand même de la toucher ! Point.
En ce qui concerne la Russie et Poutine. Franchement, vous qui êtes l’éminent juriste, vous aurez d’emblée compris que Poutine n’a jamais violé la loi fondamentale de la Russie. Lorsqu’il avait accompli ses deux premiers mandants, il n’avait pas cherché à modifié la constitution pour s’offrir un troisième mandat consécutif. Lorsqu’il revient après la parenthèse de son ancien premier ministre, il le fait en conformité avec la constitution. D’ailleurs, même aux USA, la possibilité qu’un ancien président de la république reprenne du service n’est pas interdite. La seule condition c’est de laisser passer une période de carence correspondant à au moins un mandat (si on vient de réaliser deux mandats consécutifs). Ce qui est vrai pour la Russie, les USA est aussi vrai pour la France et tous les pays de la confrérie françafricaine qui ont limité le nombre de mandat. Ainsi, si les circonstances l’imposent, puisque la constitution le permet, je ne vois pas en quoi cela constituerait un frein à la démocratie. Cette situation s’est produite à plusieurs reprises sur notre continent ! Au Bénin par exemple, l’ancien président Kérékou était bien revenu au pouvoir sans que cela pose une quelconque stupéfaction de la part de tous les acteurs politiques, dès lors que le texte fondamental le permet. Lui, il est rentré dans l’histoire par la grande porte, alors qu’il était aussi un dictateur de poigne… Sassou NGuesso Denis aurait bénéficié des mêmes possibilités s’il avait écouté la voie de la raison. Mais le choix qu’il avait fait en 1997, choix qui continue, hélas, à traumatiser plusieurs familles congolaises, fait de lui un personnage difficile à soutenir en ces moments de grandes crises politiques, morales, économiques et sociales dont il est l’architecte en chef. En tout cas, tous ceux et celles qui croient aux vertus de la liberté, de l’égalité des chances et de la promotion de l’excellence ne devraient pas le faire. Mais que voulez-vous, même le criminel le plus féroce est parfois adulé par ses victimes !… Point.
A Monsieur Francky Loemba,
7) Poursuivant le point 6), vous dites […] C’est le cas des députés, des maires, des présidents d’exécutifs locaux. Devrions-nous consacrer une démocratie à deux vitesses ? Mais dites moi, est ce que la vraie bonne idée ne serait pas de limiter le nombre candidatures ? Est ce que le renouvellement des hommes et donc des idées, ne passe pas par là. Si tel était le cas, Vladimir Poutine, ne serait sans doute plus Président de la Russie.
Vous qui êtes juriste, vous ne devez même pas poser le problème en ces termes, même si vous êtes libre de le faire, démocratiquement parlant. Si on impose une alternance du dirigeant suprême, c’est justement pour éviter l’installation des pouvoirs hégémoniques au sommet de l’Etat dit démocratique. Car nous parlons ici des cas de démocratie, à opposer aux monarchies. Par contre, au niveau local, les enjeux ne sont pas les mêmes, le budget n’est pas le même, les postes ne sont pas les mêmes, et j’en passe. Ces élus locaux peuvent faire vivre les pratiques ancestrales du pouvoir à vie cela ne me choque pas, à condition que leur réélection soit transparente, et non les nominations telles que nous le constatons chez nous au Congo. En France, dans certaines communes, être maire est une affaire de famille… mais cela n’exclut pas la compétition d’usage… Par contre, le débat que vous posez sera certainement débattu cette année, notamment lorsque nous serons amenés à parler un jour : quelles institutions devons-nous promouvoir ? Pour ce qui me concerne, en tant que non juriste, je prendrais ma part à la discussion le moment venu, et j’espère que vous serez capable de discuter avec un non juriste…Point. Je ne reviens pas sur les mêmes accusions d’avoir compris tout à l’envers. S’il y a des gens qui marchent sur la tête c’est bien au Congo qu’on les trouve. Pas de polémique inutiles, avançons sur le fond.
8) Le Ministre BOWAO, très opportunément s’oppose au projet conduit par son parti et le fait savoir de manière publique. Pour lui ce changement de constitution (révision totale) n’a pas de fondement juridique. Cela s’apparenterait même à un coup d’état. D’ou le terme « je récuse ».
Je ne vois pas ce qui a été faut dans son analyse que je partage totalement, même s’il le fait un peu trop tardivement, avec son parcours que tout le monde connais et qui pèse sur ses intentions. Mais ceci étant, faut-il continuer à faire comme s’il ne se passe rien d’anormal dans notre pays ? Pointe-Noire, ville pourvoyeuse de 80% des revenus du pays est dans un état de délabrement avancé. Il ne faut pas le dire parce que la ville est dirigée par un parent ? Ou parce qu’il y a des parents qui ont des accointances avec le pouvoir en place au sommet de l’Etat ? Certains soi-disant sages du coin ne se sont-ils pas prosternés devant leur dieu tout puissant pour humilier les jeunes de cette ville qui avaient refusé la présence du tyran aux obsèques de leur légitime parent longtemps traîné dans la boue par la même personne ? Où est votre sens de responsabilité dans tout cela ? Lui au moins, il a pris son courage et s’est servi de la plume pour dénoncer le nouveau putsch en préparation. C’est aussi cela la sagesse. C’est aussi cela l’intelligence. Il ne s’agit pas forcément de l’opportunisme. Lorsque quelqu’un a été longtemps sous l’emprise d’un gourou, comme certains le sont au Congo, il faut du temps pour s’en sortir, il faut du temps pour se révolter. Et c’est ce qui s’est passé pour lui, Bowao. Point.
9) Vous poursuivez : Le ministre qui a la mission de transmettre les valeurs pour mieux vivre dans la République, prend sur lui non pas de s’opposer à son ancien collègue, mais il s’emploie juste à donner d’autres éléments pour une meilleure compréhension du débat. Ainsi, de son côté, il affirme que ce projet pourrait avoir une justification juridique, mais sans doute pas politique. D’ou la nécessité d’un dialogue politique dans le but de rechercher le consensus entre les forces vives.
Parce qu’il considère que Bowao n’avait pas compris le sens du faut débat, il fallait donc que le Maître connaisseur vienne lui apporter de nouveaux éléments de compréhension ? Vous êtes vraiment prétentieux ! Enfin, c’est ainsi va la politique au Congo des Sassouïstes : on fait des lois, on ne les applique pas, on peut les modifier, les réviser, les changer, soumettre des débats inutiles, créer de l’instabilité institutionnelle, bref, faire du bricolage et être très grands dans la théorisation des concepts. C’est ainsi, que voulez-vous que je vous dise. En tout cas, c’est contre cet arbitraire, cette déconfiture de l’Etat de droit, contre la corruption érigée en règle de loi, contre l’impunité, contre le détournement des deniers publics, contre la concussion, contre le tribalisme, contre la gestion ethnique du pays, contre l’obscurantisme, contre le terrorisme d’Etat, contre l’émergence des factions criminelles, contre l’esclavage, contre la soumission que je me battrai le restant de ma vie. Le Congo doit être la maison de tous ses enfants. Le Congo doit être une vraie démocratie grâce à l’émergence des vraies pratiques démocratiques dans notre pays. Le Congo ne doit pas être pris en otage par une poignée d’individus qui fait régner la paix dans la terreur. Ce Congo là doit disparaître. Le combat est rude, mais le résultat n’est plus loin…
A Monsieur Francky Loemba,
10) Parlant du « Je rétorque » de Makosso, vous dites, En quoi cela s’apparente à une usurpation de titre ? Vous affirmez, comme beaucoup de compatriotes, que c’était au Président de la République de répondre ? Comment ? Par une réponse publique à la lettre ouverte ? Le Ministre n’est pas lui aussi un collaborateur du Président de la République ? Quel est le sens de ce procès d’intention ? Et quel droit avez-vous en retour, de réagir de façon si perverse à une lettre que le Ministre MAKOSSO a adressée à son ancien collègue qu’il appelle d’ailleurs affectueusement « cher aîné », dans un style courtois ? Seriez-vous les porte-parole du Ministre Bowao ?
Ce que personnellement je voulais dire est ceci : dans une vraie république qui se respecte, la réaction viendrait du service destinataire de la lettre, je veux dire ici le cabinet du président de la république. Cela ne veut pas dire forcément que c’est au président de prendre la plume ! Si le gouvernement est solidaire de la décision, mais il y a un porte-parole du Gouvernement oui ou non ? Or, l’unanimité du Gouvernement n’existe pas, il y a des voix discordantes qui s’élèvent au sein de sa majorité, ça vous le savez. Mais ce qui me gêne dans son « Je rétorque », c’est cette façon cavalière de venir répondre à une lettre pour laquelle il n’était pas destinataire. Et c’est ce que vous venez de faire à présent. Je vous renvoie l’ascenseur : Et quel droit avez-vous en retour, de réagir de façon si perverse à une réponse que j’ai adressée au Ministre Makossso, dans un style peu courtois certainement ? Seriez-vous les porte-parole du Ministre Makosso ? A moins que vous soyez l’auteur principal du « Je rétorque » de Makosso ! Dans ce cas, cela aura au moins le mérite d’être mis sur la place publique. C’est vraiment curieux : Bowao écrit au président, c’est Makosso qui répond. Je commente la réponse de Makosso et c’est Loemba qui me répond. Et si je réponds à Loemba qui d’autres va me sauter déçu ? Ah, les réseaux tentaculaires mis en place par le timonier fonctionnent vraiment à merveille, mais ils leur manque de la coordination efficace…
Pour terminer, je vous souhaite une excellente année 2015, vous recevrez certainement une invitation pour débattre d’un des points que vous avez soulevés dans votre « JE JE RETORQUE ». Je pense notamment au point sur « quelles institutions pour notre pays » ?
Bon weekend et très fraternellement.
POINT FINAL
Joseph Kokolo Zassi, fils du Congo originaire du Kouilou
Monsieur Loemba ce n`est pas Rousseau wui dit que le mistre est apolitique. Je ne l`ai dit nul part. J`ai dit qu`un ministre etait apolitique. Si vous ne le savez pas, je vous l`apprends. Le ministre d`une republique est apolitique. Surtout ne citer pas la mafiocratie francaise comme modele. C`est une erreur de s`y referer. C`est d`alleurs la source de nos echecs parce que le cafouillage francais est inadapte chez nous.
Par va-nu-pied, je voulais dire votre demarche, pas vous en tant que compatriote, car vous repondez a Kokolo-refere titre- alors qu`il relevait la demarche incongrue de votre mentor. Vous l`avez fait aussi.
Vous n`avez pas conclu si votre constitution est modifiable, quel vehicule utiliserez vous.
Vous nous citer Jefferson, Rousseau, et les autres sans les situer dans le contexte de l`epoque.
On ne modifiera pas une constitution pour Sassou. Si c`est ce que vous defendez en tant que juriste et congolais, j`ai pitie de vous.
Lisez la constitution, et donnez votre position de juriste.
Je ne pense pas que nous lisons la meme constitution, celle que votre hero- Sassou a fait rediger et voter en 2002. Je ne pense pas que Jefferson ou Rousseau feraient la meme lecture que vous, surtout dans notre contexte.
Ce que ne dit pas franck loemba c’ est que sassou et les makosso ont dévoyer le marxisme, aujourd’hui ils ont dévoyés la franc-maçonnerie, le droit est impersonnel.
NOTRE CHER COMPATRIOTE LOEMBA SEMBLE ETRE PERDU DEVANT LES RÉACTIONS A SA PLAIDOIRIE POUR LE MINISTRE.
IL CROYAIT SE REFENDRE EN FAISANT USAGE DES IDEES DU GENRE :
– Pour la enieme fois, il s’est agi de donner des éléments de meilleure compréhension à un frère. De cela personne ne veut en parler! Vous avez tous choisi de placer le débat sur le terrain social.
– Je puis vous assurer que le jour que les choses seront claires:c’est a dire que le président qui annonce son intention de changer la constitution, alors comme beaucoup , je donnerais mon point de vue.
COMME QUOI, POUR REPRENDRE ALEXANDRA DAVID-NEEL : »INTELLECTUEL N’EST PAS TOUJOURS SYNONYME D’INTELLIGENT. »
CELUI QUI SE PRÉSENTE COMME JURISTE VIENT A LA RESCOUSSE D’UN HOMME AU SERVICE D’UN POUVOIR SOUS LES PROJECTEURS DE LA COMMUNAUTÉ NATIONALE ET INTERNATIONALE POUR SON CARACTÈRE TYRANNIQUE.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/01/27/congo-l-opposition-au-changement-de-constitution-se-structure_4564650_3212.html
ON PEUT Y LIRE « Le Monde.fr Le 27.01.2015 à 19h46
« À Brazzaville, la révolution qui a chassé Blaise Compaoré, au pouvoir depuis 27 ans, n’a pas servi de leçon. Ni les manifestations survenues de l’autre côté du fleuve Congo. À bientôt 72 ans, le président Denis Sassou Nguesso, au pouvoir depuis 1997, songe toujours à modifier la constitution pour briguer un nouveau mandat en 2016. »
LA QUESTION FONDAMENTALE QUE DEVRAIT SE POSER NOTRE JURISTE EST CELLE DE SAVOIR SI LE DÉBAT CONSTITUTIONNEL AU CONGO EST MOTIVE PAR DES RAISONS POLITIQUES OU JURIDIQUES.
IL DEVRAIT FAIRE USAGE DE SA CAPACITÉ A DONNER DES ÉLÉMENTS DE COMPRÉHENSION DANS CE SENS AUSSI.
POURQUOI, APRES PLUSIEURS DÉCENNIES AU POUVOIR, AVEC UN RÉSULTAT CATASTROPHIQUE, UNE ECONOMIE RESTÉE DE RENTE, VEUT-ON ENGAGER LE PAYS DANS UN DÉBAT QUI NE FAIT PAS L’UNANIMITE ET QUI A DÉJÀ FAIT DES DÉGÂTS AILLEURS ?
PEUPLE SOUVERAIN N’AYEZ PAS PEUR PARCE QUE VOUS ÊTES LE PEUPLE SOUVERAIN, PAS SASSOU ET SES SBIRES CRIMINOGÈNES…
Tous ensemble vers deux alternatives: la désobéissance civile totale (grève illimitée) ou le soulèvement populaire en marche l’occupation illimitée des lieux du pouvoir (radio télévision, palais des congrès, palais du peuple).
LE FRUIT SASSOU NGUESSO EST MUR ET PAR LA FORCE GRAVITATIONNELLE (LA PESANTEUR OU LE PEUPLE), LE FRUIT PEUT A TOUT INSTANT TOMBER…
L’agenda février/Mars 2015 est désormais de mettre le peuple souverain dans la rue jusqu’à la chute du régime ou de ce que l’utopie fera des ses incapables et ses mauvais, trop mauvais pour être utiles à l’alternance politique, aux libertés fondamentales et la condition humaine au Congo Brazzaville.
Mr, LOUEMBA,,,point n’est besoin pour moi de te lire finalement jusqu’au bout de tes phrases, car dès la première intonation de de ton texte l’odeur d’un secours apparaît. L’aveugle en définitive c’est vous mon cher ami qui ne voyer pas venir le vent de la libération du peuple Congolais de l’emprise d’une dictature sous le pseudonyme d’une démocratie à l’Africaine. Vous aviez essayer d’éclairer le peuple soit disant par vos écrits en reprenant votre humble mentor Makosso COLLINET, mais vous voulez tromper qui? Le Congolais est assez mûr pour comprendre ce qui se cache derrière toute cette machination.
Le comble est que vous entant que jeune ne voyer pas la vérité de quelle côté elle se trouve, de surcroît intellectuel j’ose vous recommander de relire simplement la constitution et de dire à COLLINET qu’il tape à côté en s’insurgeant contre son collègue BOWAO qui lui a eu le courage de dire haut ce que certains déjà ruminent en leur for intérieur.
Il faut savoir dire la vérité aux amis même lorsqu’elles sont tragiques,,,,le Congo n’appartient pas à une caste, ni à un clan et une famille , vous êtes aveugle de ne pas voir que collinet soutien un pouvoir mieux encore un régime dans lequel la seule parole qui compte est celle du « prince »,,,lorsque la constitution est non respectée que faire? c’est qu’on avait reproché au président Lissouba à l’époque; que les ténors du PCT utilisent aujourd’hui,,,,
,Mon cher LOUEAMBA, Aveugle vous l’êtes car vous daignez refuser l’évidence qui est une réalité indiscutable : le Congo n’est pas une propriété d’une famille ou d’un clan d’amis. Alors reprenez vous tranquillement et accepter la critique ceci vous grandira,,,que d’aller aveuglement soutenir des positions lorsque l’on sait que la raison est du côté du peuple.
C’est vrai que vous vous évertuez pour votre grain de pain mais soyer élégant et conséquent pour cela; affirmez vous convenablement que de vouloir passer par des chemins biscornus ,,,Le pays est tribalisé, la situation des compatriotes est exécrable,les villes sont dégueulasses, la msièse frappe dans toutes les maisons cependant Collinet et les autres vadrouillent en Europe dans les grands magasins et vous êtes tranquille chez vous sans en être affecté,,,je vous encourage. « la mémoire d’un peuple est comme celle d’un éléphant »
,,,Bon début de mois de février,,,,,,,à plus cher compatriote.
Chers amis,
Mr Loemba n’ est pas juriste.
francky dis le leur s’ il te plait. Dis leur tout simplement pas respect pour tous les juriste congolais ce que t’ as fais comme étude après le bac.
C’ est curieux et dramatique de constater, encore une fois, des fils du Kouilou qui se déchirent pour sauver un pouvoir qui ne leur apporte rien.RIEN…..Thystere et Louis sylvain goma ont fait la meme erreur…les autres doivent en rire..
Chers amis, attendons tout simplement de voir ce que décidera le president….apres on dira et ferra ce qu’ il faut…
La discussion est close
Pour la gouverne des Makosso et Loemba : les signes du temps qui ne trompent pas
http://www.lasemaineafricaine.net/index.php/editorial/11073-tourner-la-page
La question essentielle aujourd’hui ne devrait pas être sur la constitution mais bien sur l’illusion qu’à l’homme politique congolais de croire que le champs politique est seulement ouvert à ceux qui ont le bic long.Rare est le sens!Ce terrain politique peut-il ou doit-il être occupé aussi par celui qui est sorti de l’école de la rue,celle du citoyen vrai qui a pour armure son discernement.
Lorsque nous voyons vos écrits,on s’étonne pourquoi le pays va mal,on a l’impression que c’est la faute à pas la chance.Au Congo,on aime la politique à coups de tonnerre,on tonne et on écoute son tonnerre rouler.Que d’enfumage et de faux débats qui n’intéressent nullement le peuple vrai.A t-on débattu sur la question du manque d’eau potable pour les habitants dont certains habitent juste derrière des cours d’eau mais qui ont dans leurs parcelles des robinets secs.A t-on réfléchi pourquoi l’électricité est un luxe et que des mandats à répétition du dictateur n’arrivent pas à résoudre ces questions élémentaires.
Pourquoi toute la sève du Kouilou continue malgré l’air du temps à soutenir un pouvoir qui vole les richesses du Kouilou et d’autres régions,qui détruit nos bonnes moeurs et nos valeurs ancestrales.
Pourquoi l’élite du Kouilou se prostitue auprès de Sassou pour avoir à la fin le destin de feu THYSTERE TCHICAYA?
Pourquoi tous les fils du Kouilou qui écrivent ou parlent ont toujours peur de parler des questions de recettes pétrolières de manière à sensibiliser le plus des consciences sur les non retombées sur les populations du Kouilou?Sassou veut conserver le pouvoir qui lui permet de considérer le pétrole du Kouilou comme son bien propre lui,sa famille et ses courtisans,qui vient le défendre aux yeux du vrai peuple?Ce sont les fils du Kouilou exploité,détruit,baisé par Sassou.On trouve de Louis Sylvain Goma à Collinet Makosso Connection.Quand au vendu Raphael Loemba;fantôme ministre du pétrole,n’en parlons même plus c’est la risée érigée en dogme.
Alors,c’est pourquoi l’après Sassou s’annonce difficile pour de nombreux fils du Kouilou qui n’auront plus leurs places dans la république.L’association LE KOUILOU EN COLERE ESTERA ET SE PORTERA PARTIE CIVILE partout où besoin sera en du programme originel de la scission.Les Makosso et consors,vos noms sont déjà inscrits et le peuple gagnera dans la traque!!!
LU MONANU KONZE BI KE BISSALU.
C’est pitoyable de voir un homme d’une telle intelligence manquer de jugeotte au point ne pas savoir lire les signes du temps et, pire, de s’être lancé à corps perdu à contre-courant de l’histoire. Mr Francky Loemba, vous vous êtes allègrement rangés du côté des bourreaux du peuple. Non seulement vous êtes du mauvais côté de l’histoire, mais vous avez trahi la mémoire de nos illustres ancêtres du Loango dont une perle sapientielle stipule : n’vili n’vili mpunda, malongu malongu nzila. Je vous prive volontiers de sa traduction, car en bon natif du Loango que vous êtes vous devez aisément cerner sa quintessence. Mais n’oubliez surtout pas que le peuple a une mémoire.
Joseph Kokolo ZASSI,
Heureux de constater que tu es sorti de ta longue méditation. Merci pour le lien sur l’éditorial de Joachim Mbanza. Je partage entièrement son point de vue. Tu auras noté qu’il pense aussi que notre pays a besoin de reformer son système politique. Il effleure d’ailleurs certaines faiblesses qui devraient nous faire réfléchir au dela de nos croyances et nos appartenances politiques.
Mon cher René MAVOUNGOU Pambou,
Pourras tu développer ta phrase, je cite »mais n’oubliez surtout pas que le peuple a une mémoire » fin de citation. Te croyais tu obligé de finir de la sorte? Est ce une menace? C’est cela la démocratie que tu souhaites pour ton pays? Celle des regelements de compte? Elevons le débat! Bon dimanche!
Dans son édito, Joachim MBANDZA affirme:
« …Nous avons été nombreux à penser qu’au regard de son expérience à la tête de l’Etat, qui a permis au pays de retrouver la paix et de connaître des avancées significatives en matière de développement, un large consensus national pouvait permettre de poursuivre encore cette expérience. Mais, la réalité est telle que le contexte international ne s’y prête plus. Après le Burkina Faso, avec la chute du président Blaise Compaoré, sous la pression populaire de manifestants opposés à son projet de réforme de la Constitution, on a vu, la semaine dernière, à côté de nous, les événements sanglants en République Démocratique du Congo, où une partie de la population a manifesté, à l’appel de l’opposition, contre la réforme de la loi électorale soumettant la prochaine élection présidentielle à l’organisation d’un recensement général de la population. Ce qui, à ses yeux, pouvait provoquer un report de l’élection présidentielle et donc, la prolongation du mandat de l’actuel président de la République. Le pouvoir a dû retirer son projet de réforme, malheureusement, après des morts. En démocratie, gouverner, c’est toujours tenir compte de l’opinion…
Dans un tel contexte, point n’est besoin de foncer, tête baissée, dans une aventure qui porte de sérieux risques d’être à l’origine de situation non maîtrisable. »
Alors LOEMB, comme vous êtes d’accord avec MBANDZA, arrêtez de divertir le monde. Surtout dites à MAKOSS de se taire car sa façon de faire peut être la cause à l’origine d’une situation non maîtrisable dont il en serait un des comptables.
Ce-ci dit, LOEMB doit avouer être au service d’une cause que même MBANDZA avoue être perdu car ce dernier parle de Sassou au passé.
@ Loemba,
Le débat vient de commencer et vous nous dites déjà bon dimanche. Non, Loemba revenez! Nous en sommes seulement à l’apéro. Le reste du repas est presque prêt.
Ah les politiciens congolais qui veulent toujours tricher avec la vérité. Sachez que toute chose a un début et une fin. Et nous sommes proche de la fin du règne du mensonge de petit satan et de son fan club.
Bon, comme on ne tire pas sur un corbillard, permettez-moi de dire que cher Loemba, nous sommes tous d’accord que votre alibi d’article 187 ne vous permet pas d’abroger\modifier/changer/réviser totalement la constitution. Voilà, vous comprenez vite les choses malgré votre art consommé d’enfumer le monde avec des discours parsemés de citations des constitutionnalistes qui font plus dormir qu’éveiller les esprits.
En tant fils de Mvoumvou et donc du Kouilou, vous gagnerez à défendre les intérêts de votre région et de Pointe-Noire en suivant la voie tracée par Mr. Théouss dès les années 70. L’histoire a donné raison à ce monsieur contre les louis Sylvain ngoma, Thystère Tchicaya, monthault, etc qui avaient choisi de baisser la culotte à la hauteur des chevilles.
Loemba, l’Angola consacre depuis quelques années 25% de son budget au Cabinda. Le saviez-vous? Plus de 65% du pétrole angolais vient du Cabinda et celui-ci reçoit 25% du budget en retour. Combien reçoit le Kouilou de vos amis d’Oyo depuis qu’ils sont au pouvoir? De 1960 à 1980, le bois du Kouilou et du Niari a nourri vos amis, combien ces régions ont-ils eu en retour? Et vous ne dites rien à vos amis préférant se contenter des miettes et du sovinco?
Dites-moi, qui a remplacé l’élite économique du Kouilou des années 60-70? Tous ces gens qui avaient fait fortune à la sueur de leur front s’étaient appauvris quand vos maîtres sont arrivés au pouvoir et ils n’ont eu aucune relève. Aucun fils du Kouilou n’est présent dans le secteur du pétrole qui est totalement dominé par vos maîtres qui ont plusieurs puits pétroliers. Comment est-ce possible? Vous , cela ne vous choque pas de voir que la région qui produit les richesses du pays soit l’une des plus pauvres. Savez-vous que le budget d’Oyo est supérieur à celui de Pointe-Noire?
Loemba, il faut avoir honte. Au lieu de venir soutenir l’insoutenable, vous ferez mieux de nous parler de l’AS Cheminots. Comment va cette équipe?
LOEMB! pour être claire avec vous, Joachim MBANDZA dit implicitement non au changement de constitution et à tout ce qui pourrait y ressembler: à votre convenance c’est la « révision totale ». Mais comme à votre habitude, vous êtes sélectif, capable de ne retenir que le dixième d’une démonstration pour alimenter votre imaginaire, vos rêves.
Attention LOEMB ! vous dites et je vous cite:
« Merci pour le lien sur l’éditorial de Joachim Mbanza. Je partage entièrement son point de vue. » Fin de citation.
A travers ce que vous venez d’affirmer vous-mêmes, vous êtes d’accord avec le non implicite de MBANDZA sur le changement de la constitution de 2002.
Alors pourquoi n’êtes vous pas capable d’avoir le courage d’un homme et dire clairement que ce débat est inapproprié.
Monsieur Francky Loemba, avec tout le respect que j’ai envers la dignité humaine, dans ma phrase « mais n’oubliez surtout pas que le peuple a une mémoire » n’y voyez pas de l’animosité, de l’acrimonie sur fond de représsailles envers votre personne. Je n’ai jamais été à l’école du PCT qui prône la violence politique, encore moins d’adhérer à cette culture de la violence. Est-il encore besoin de rappeler que je suis un digne fils du Loango féru de valeurs ataviques dont on nous envie. Nous autres peuple de Loango avons assez prouvé aux yeux du monde que nous sommes un peuple fonciérement pacifique et nous entendons rester nous-mêmes, plutôt que d’adopter des moeurs avilisantes, rétrogrades d’importation. Tout ce que je tenais à vous faire comprendre par là que c’est que la peuple congolais va bientôt se libérer de la tyrannie incarnée par ce régime criminogène et liberticide auquel vous faites allégeance. En conséquence, un changement dans la rupture se profile à l’horizon et dans la perspective de l’avénement d’une véritable démocratie, le peuple souverain, qui a de la mémoire, saura choisir des leaders intégres, probes et qui lui auront témoigné de la loyauté et non des félons notoires et autres traitres à la patrie qui ont vendu leur âme au diable pour des intérêts bassement matériel.
En sommes, vous devez reconnaître qu’il est assez maladroit de donner le bâton avec lequel on se fait molester en retour. Nous sommes dans une confrontation d’idées que suppose le débat démocratique, pourquoi alors vouloir entrainer ce débat sur un terrain qui m’est étranger? Ne trouvez-vous pas que vous méritez amplement cette levée de bouclier suivie d’une volée de bois vert? De grâce, s’il vous reste encore de la grandeur d’âme, veuillez faire amende honorable! Oui vous devez en venir à resipiscence si vous avez du respect envers le peuple congolais auquel vous vouez du mépris en soutenant un épouvantable régime ayant entrainé notre pays dans le chaos.
Lumingu,
Est ce que le texte qui fait l’objet du débat faisait allusion au oui ou non au changement de la constitution? Il me semble que non! C’est pour cette raison que lorsque les uns et les autres font etalage des raisons pour lesquelles ils ne souhaitent ni ne veulent voir notre constitution changée, je ne réagis pas , parceque ce débat n’a pas fait l’objet de ma réponse à Joseph Kokolo ZASSI. Je le répète encore une fois,c’est l’interprétation qu’il faisait des references contenues dans le texte du Ministre Collinet MAKOSSO, qui m’a interpellé! Et d’ailleurs dans la réponse qu’il a publier ce matin, il dit que nous en avions la même compréhension. Et que surtout il n’avait nullement confondu. Dont acte!
Après, certains ont estimés que l’occasion leur était donnée de dire tout le mal qu’il pense du pouvoir. Dois je répondre aux desiderata des uns et des autres? Je ne le pense pas!
Monsieur Rene Mavoungou Pambou,
La volée de bois vert et les réactions, je ne sais si je le mérite,mais ce n’est pas ce qui me gêne. Si seulement tout le monde réagissait en fonction du débat et ne laissait pas libre cours à ses pulsions et son animosité envers le pouvoir. Respectant la liberté d’expression,je m’interdis de réagir sur les écrits notamment sur le pouvoir. Pour une raison simple: je ne suis membre d’aucun parti de la majorité,membre d’aucun cercle du pouvoir,ayant eu pour mission de vendre l’idée du changement. Ce qui m’a fait sortir de ma réserve, c’est ce qui est apparu à mes yeux comme une confusion de la part d’un compatriote.
Comme l’a dit un autre compatriote LENOVO, attendons que le président nous annonce sa décision de changer la constitution et nous reviendrons en parler. Pour l’instant on se perd en conjectures.
Pour finir, juste dire à mon cher Lumingu, que l’équipe de l’As Cheminots à des dirigeants et c’est à eux qu’il faille poser la question sur l’état actuel de l’équipe.
Après lecture des différents commentaires, on s’aperçoit que notre cher Loemba manque de cohérence :
1- Dans le choix de vouloir apporter des éléments de compréhension de façon sélective, dans un débat aussi crucial, dont les motivations n’échappent à personne
2- Dans ses commentaires qui portent à confusion et fon douter de son impartialité dans le véritable enjeu qui celui de l’instauration d’une véritable démocratie et de la gestion équitable de ressources
Voici un exemple qui enfonce Loemba et qui fait qu’il aura du mal à convaincre plusieurs personnes à considérer son intervention comme une volonté d’apporter des éléments de réponse :
• « Si seulement tout le monde réagissait en fonction du débat et ne laissait pas libre cours à ses pulsions et son animosité envers le pouvoir. »
• « Respectant la liberté d’expression, je m’interdis de réagir sur les écrits notamment sur le pouvoir. Pour une raison simple: je ne suis membre d’aucun parti de la majorité, membre d’aucun cercle du pouvoir, ayant eu pour mission de vendre l’idée du changement. »
Comment peut-on respecter la liberté d’expression et parler d’animosité lorsqu’on ne fait que donner un avis partager non seulement par la majorité des congolais qui nous entourent, mais aussi par des organismes internationaux qui classent le Congo parmi les dictatures ?
Cela prouve à suffisance que ce monsieur ne croise pas au quotidien les congolais qui broient du noir, qui font des western union tous les mois pour se substituer à la sécurité sociale, à la caisse de retraite ou l’assurance chômage…
En conséquence, si on s’en tient au raisonnement de notre Loemba, on serait tenter de croire que les bourkinabé ont manifesté de l’animosité envers Compaoré, que les congolais de la RDC qui ne veulent pas voir Kabila rempiler seraient emporté par des pulsions.
Décidément, avec des hommes comme Loemba, incapable d’élever leur quotient émotionnel, l’Afrique est mal partie. Le fait est que ces hommes, avec leur incapacité de situer les sujets dans leur contexte, sont de ceux qui servent de support cognitif à des systèmes non vertueux.
Mais d’où tiennent ils cette animosité ces burkinabé ?
@ Loemba,
Vous êtes perdu comme un fauve qui pensait être plus rusé que sa proie, et qui constate que celle-ci a réussi à lui échapper, malgré l’embuscade qu’il lui avait tendue. Votre appel au dialogue et toutes les foutaises de concertations ne sont que des subterfuges sortis de la tête des courtisans et autres suppôts pour enfariner ou endormir, par doses successives, les bonnes consciences qui se réveillent contre les stratégies du malin. Je répète, le changement de la constitution n’est pas du ressort de votre pouvoir actuel, ni de son président. Le faux débat sur cette question est une perte de temps inutile. Vos plans machiavéliques doivent cesser rapidement. Votre referendum bidon en perspective que vos amis soutiennent est une solution du désespoir, il n’aura pas lieu. Eh oui, votre système ressemble à une personne qui se noie et qui pense que même une feuille morte traînant sur la surface de l’eau peut lui sauver la vie.
Quand on soutient une position, on vient avec des arguments en cohérence avec sa position. On ne vient pas masqué en faisant croire à l’adversaire que finalement je ne suis pas contre vous. Toujours la ruse, la ruse, la ruse. Mais à malin, malin et demi dit un proverbe. Les intentions du PCT sont connues de tous, y compris par vous. Elles sont (ou étaient !) aussi celles de votre cher chef bien-aimé. Vous devez arrêter d’amuser les gens. Vous ne m’avez rien appris et vous ne m’apprendrez rien. J’ai démarqué votre mentor et ça vous ne voulez pas l’avouer. La mayonnaise n’a pas pris… Si vous voulez savoir ce que je fais de mon temps libre, eh bien, je réfléchis pour mon pays qui jadis, avait tout fait pour moi pour que j’eus acquis le peu de savoir que j’ai. Ce Congo là qui a été assassiné depuis 1977 me manque beaucoup. Depuis cette date, nous naviguons à vue et avons enfanté un nouveau genre de gestion des affaires de l’Etat fondé sur des slogans creux qu’on peut parodier ainsi : « vivre durement aujourd’hui pour vivre plus dur demain », « pas d’école, pas de champs », « la rareté alimentaire d’ici l’an 2000 », « pas de santé pour tous d’ici l’an 2000 », « le nouveau désespoir », « le chemin de l’enfer », « la municipalisation décélérée », « le démolisseur infatigable », etc. Eh vous, vous soutenez une telle abomination depuis plus de 30 ans. Il est temps d’ouvrir les yeux quand même, non !
Vous continuez de me citer sur des questions qui ne me regardent pas. Mais répondez à celles et ceux qui vous interpellent sur la liberté que vous avez prise pour soutenir la position de celles et ceux qui appellent au changement de la constitution ! Je dois certainement vous donner des migraines depuis un moment ? On n’a que ce que l’on mérite, me disait un ami…
. Lisez ce qui ici :
http://zenga-mambu.com/fiche.php?id=4949
Chers amis
Le message n’ a pas été écrit par notre fils ,mais par Collinet lui même qui se sert de lui.
Collinet ! Rends nous notre fils et notre honneur….
Il n’y aura pas de changement de constitution. Pensons plutot á reviser les liste électorales avant qu.p’ on est impose un imposteur. Tel est lemvrai probléme….
A.S cheminots ira mieux. Je pense a acheter Drogba et Eto’o en 2016.
Monsieur Loemba,il est temps de mettre vos convictions et vos différents talents au profit du peuple qui souffre.C’est en gros le message que vous recevez de la part de ceux qui écrivent là et qui sont pour la plupart du Kouilou.
Intégrons la ligne de THEOUSSE,le chemin pris par monsieur Collinet Makosso n’est pas le bon et ça votre conscience le sait,mais ce que vous savez moins,c’est que le jour de la chute de Sassou,vous tomberez avec lui.
Pour terminer,n’oublier pas une vérité et elle est essentielle:la gestion sassouiste du Kouilou a toujours été basée à la fois sur un appauvrissement de ses originaires,à l’emprisonnement mentale de ceux des nôtres qui servent avec allégresse le tyran d’Oyo jusqu’à leur faire oublier qu’ils ont un terroir,et l’exploitation effrénée des ressources pétrolières au profit de Sassou,sa famille,ses amis.
Briser vos silences sur le Kouilou martyrisé et détruit!
Libérer vos consciences endormies par la peur de mourir en disant non à Sassou et à son système!
Adhérer à la conscience vraie de nos devanciers comme THEOUSSE qui a son temps avait souhaité que le Kouilou gère lui-même ses richesses propres.
A TA LOEMB’ BAL’ BU BOTI.
Que de temps perdu! Que d’efforts inutiles! Sassou le putschiste n’est pas défendable. Il a fait trop de tort aux compatriotes et son procès sera un grand moment. Il demeurera la plus grande honte de toute l’Afrique.
Les putschistes, on n’en veut plus ! Les tricheurs comme lui méritent dédain . Pourquoi perdre son temps à caresser, flatter un despote? Le peuple souverain espère une meilleure équipe au pouvoir. N’est ce pas lui qu’il faut encourager?
Le pays souffre d’avoir pour dirigeant un putschiste chef de clan, un fraudeur, un kleptomane et un corrupteur de haute volée.
M. Makosso n’a aucune épaisseur morale en devenant suppôt de Sassou. Il n’aura aucune portée politique en ayant défendu une position politique saugrenue,pouvant provoquer des victimes parmi les compatriotes.
M. Loemba, quelle mauvaise idée de chercher à divertir alors que, l’enjeu du moment est la fin d’un pouvoir honteux et ignoble?
Bon appétit M. Loemba!
Pour faire allusion aux Fourberies de Scapin de Molière, je dirai : Que diable allait-il faire dans cette galère? Pourquoi ya Loemb s’est-il engagé dans cette mauvaise affaire? Pourquoi a-t-il choisi de publier un article pour répondre à notre frère Joseph Kokolo alors qu’un simple commentaire en bas de page aurait suffi? Monsieur Loemba n’aurait-il pas fait une mauvaise lecture du réquisitoire de notre compatriote? N’aurait-il pas mal compris les interprétations qui ont été faites par le détracteur de Monsieur Collinet Makosso? Dans la négative, pourquoi, dans sa réponse à un internaute, prend-il acte de la convergence de vues? Il écrit, je cite: »…Et d’ailleurs dans la réponse qu’il a publiée ce matin, il dit que nous avions la même compréhension. Et que surtout il n’avait nullement confondu. Donc acte. » Comme on peut le constater, l’argumentaire de Monsieur Loemba ne repose pas sur des bases solides. Il est donc en porte-à-faux avec le sujet et avec lui-même.
Monsieur Loemba, je vous prie de bien vouloir méditer, dans le calme, cette définition de la responsabilité et demandez à votre conscience (si vous en avez une) si elle rejoint votre expérience personnelle : » Etre homme c’est précisément être responsable. C’est connaître la bonté devant une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C’est être fier d’une victoire que les camarades ont remportée. C’est sentir en posant sa pierre que l’on contribue à bâtir le monde. »
M. Francky,
J’ai vu votre réponse mais vous vous efforcez à éluder le problème, cher frère ne prenez pas les congolais pour des idiots car nous savons de quoi nous parlons. Vous refusez quand parle du social, mais c’est un élément essentiel qu’il faut évaluer pour donner du crédit à l’initiative de votre parti qui a poussé le Prof. Bowao d’écrire cette lettre dont votre protégé a récusé. je pense que c’est bien ça le contexte. le prof à tout dit « déclencher une telle initiative au motif que le président est le seul à même de diriger » ce qui était en soi non seulement une aberration mais aussi une humiliation nationale pour des intellectuel que nous sommes était une erreur. Vous me direz certainement comme c’est courant au pct qu’il s’agissait des individus qui s’exprimaient mais si au PCT un ministre d’État, ministre, président de l’assemblée qui ont tous dit ça sont des personnalités comme tout autre je comprends que vous n’avez aucun sens de l’état. Ceci dit je reviens donc sur le social dont j’avais évoqué pour vous dire qu’on ne peut pas s’engagé dans un tel débat sans évaluer la gestion du parti dont on veut bec et ongle maintenir au pouvoir.
Rassurez vous que la conclusion passera forcément par l’évaluation de votre bilan.
YA LOEMB’,,,,,,,,,,match mâ fi,,,,,match iwiri,,,,,,,match mé manissaka,,,,,match éssila ki kala,,,,
Tout a été dit dans ton premier texte et tout le monde connait ta position rien ne sert de t’évertuer à répondre ,,,,,le Congolais même dans sa plus effroyable douleur due à la misère que lui inflige ton gouvernant sait se contenir et attendre. Mais il a de la mémoire alors attention d’aller contre les intérêts du peuple souverain.
L’arrogance, le mépris des autres, la calomnie ,l’invective, la méchanceté sont là les caractères de ceux que tu encenses. Pointe noire est devenu comme je dirais une grande poubelle où l’on vient déposer toute la merde du pays une fois que l’on a soutiré ce qui fait le bonheur de ces parias de la république.
Etre responsable c’est savoir avoir le sens du partage équitable des retombées des ressources du pays.
Un seul conseil n’intervient plus si c’est pour dire des âneries qui vont à l’encontre de ce que le peuple attend depuis les indépendances c-à-dire le bien être social.
Match Mé manissa=scission,
Séparons nous d’avec la république de Sassou qui n’acceptera jamais que le Kouilou se développe.Alors évitons de sucer la roue de ces honteux fils du Kouilou qui se nourissent des tétons de Louis Sylvain Goma,de Raphael Loemba,de Viaudo Roand,d’Alexandre Honoré Packa,de Bernard Mbatchi et d’autres soumis qui sont dans l’armée,dans la police et dans la gendarmerie.
Sur les questions sociales,tous défilent et non par hasard aucune idée,pire trouvent tous que tout va bien pour eux.Ils sont gras,vivent bien,sont toujours dans les codes de Yaya wa touba,Un kulutu ba zola,un vili tchi bamb’ tchi france.Toutes ces âneries connues de tous.Ils ont peur,ils ont toujours peur de mourir pour leurs idées,alors ils choisissent de se taire comme sait bien le faire Louis Sylvain,les autres,avaient peur de mourir et sont quand même morts(je ne citerai pas les noms,mais vous les connaissez,tous ces fils du Kouilou qui ont servi Sassou de manière aveugle et muette).Personne n’a jamais fait sur le social pour le Kouilou.
Sur le plan de la gestion de la chose publique,aucune élite du Kouilou ne veut chercher dans les archives la part que le Kouilou a donné au Congo dans le budget depuis 1960 jusqu’à ce jour.Aucune tête ni intelligence du Kouilou ne voit qu’Oyo faiblement peuplé et qui ne produit rien, est bien construite et à un budget de fonctionnement et d’investissement largement supérieure à la ville pétrolière du Congo qui est Pointe-Noire(peut-être si les portugais avaient écrit Pointe-Blanche,ce malheur ne serait pas).
Et en restant sur Pointe-Noire,qui se rappelle encore que c’était la capitale du Congo à l’indépendance!Qui a déjà apporté la solution à la gestion des ordures pour Pointe-Noire parmi les fils du Kouilou.
Le seul coin où on trouve les vouvouzela du Kouilou,c’est derrière Sassou.Chez Sassou ils sont prêts à vous faire comprendre que vous n’êtes pas comme eux,taisez-vous et circulez.Toute la crême du Kouilou(écrivains,juristes,économistes…) se met elle-même au service de Sassou alors ce dernier parfois ne demande rien.Quelle tristesse.
C’est la raison de la création du KOUILOU EN COLERE pour dire qu’il y a un frange,chacun à son rythme dit ça suffit,il faut maintenant sortir du mutisme.Désormais nous porterons tous vous y compris ce combat à tous les niveaux.QUE LE KOUILOU GERE LUI-MEME SES RICHESSES.
Collinet-Makosso ou valets de ce dernier qui est lui-même valet d’un autre,le peuple aura toujours raison de vous!
LUBUKANU!
La révolution au Congo saura faire le tri (comme cela se passe au Burkina aujourd’hui) entre les vrais combattants et les aigris ,,alors mr Poaty. P. arrêtes avec ton cinéma de toujours venir ici parler de la scission,,,,tu la fait avec « Anto » comme ils ne t’ont pas assez donné de blés,,,,,le peuple n’est pas bête attention tout est connu. La diversion on en a marre,,,,,,la situation du kouilou intrigue tous les congolais pas seulement toi,la politique on ne la fait pas pour des raisons égoïstes mais pour des idéaux salutaires pour le peuple tout entier,,,,,,si tu as des litiges avec Anto va la voir personnellement et tu règles tranquillement avec elle,,,,laisse le chemin de la politique aux fils et filles qui souffrent de l’emprise des dictateurs,,,,,,Lorsque Loemba Francky s’évertue à sauver son mentor, toi tu t’évertues à divertir le peuple avec ton histoire de scission.
Mr Tchicaya,
Primo,je ne suis pas mr Poaty Pangou(qui dit tout haut ce que pensent tout bas les peureux du Kouilou).Secondo,Supposons qu’on ne parle pas de scission.Si vous êtes Kouilois et citoyen,en m’attaquant,vous servez Sassou qui pille,humilie,chosifie les originaires du Kouilou comme Raphael Loemba le fantôme ministre du pétrole sur les traces de son prédécesseur.
Comme vous êtes pour la république qui appauvrit le Kouilou,allez en toute franchise voir dans les archives de 1960-2014,la contribution des recettes du Kouilou dans les différents budgets congolais moins les investissements de l’Etat prédateur du Congo vers le Kouilou.De ce calcul naît le solde qui nous permet de discuter calmement.IL ne peut y à voir de distractions lorsque l’on sait ce qu’est devenue Pointe-Noire;un Ponton la poubelle,la pollution de l’air et des eaux,le manque d’eau potable,l’absence des écoles dignes,pas d’université,un aéroport de village.Et que dire de l’électricité!
N’oublier pas mr Tchicaya que dans la langue vili votre nom signifie aussi placenta;j’ose espérer que vous enfanterez la vérité qui doit nourir la justice sur la question de la destruction programmée du Kouilou.Sachez qu »apparaissent ici et là au Kouilou une jeunesse qui voit maintenant claire et qui est totalement différentes de ce qui a existé avant.C’est une jeunesse qui n’a pas besoin d’un leader ou d’un Yaya car à l’heure actuelle il y a plusieurs hommes d’opinion,mais il y a pas un homme politique qui ose poser le problème du pétrole.Le vrai divertissement a été réalisé par le vendu Collinet Makosso et ses sbires qui le défendent bec et ongles.Nous ne nous trompons pas de combat.Le Kouilou d’Abord.
Le kouilou en colére,
Les masques tombent! Alors comme ça, Mr souhaite une scission du Kouilou? C’est à dire que vous souhaitez la naissance d’une république du Kouilou? C’est comme ça que va s’appeler votre république? Non mais on est où là? Soyons sérieux! Nous serions donc partis d’un débat juridique sur une interprétation subjective de certaines expressions juridiques, au procès du pouvoir en cours, pour aboutir a la pseudo volonté des fils et filles du kouilou pour souhaiter la création d’une république du kouilou. Qu’est ce qui vous donne le droit de venir ici débiter vos inepties? Au nom de qui parlez vous? Vous usurpez le titre de porte parole du kouilou ou bien? Arretez avec vos thesés sécessionniste! Le kouilou n’a pas besoin de porter cet idéal. Nous sommes un pays uni et nous souhaitons continuer à l’être .
Enfin, dans un débat quelqu’un soit il y’a pas vendus! Il y’a des hommes et des femmes qui défendent des points de vue parfois divergents , mais ne pensez pas avoir le monopole de l’invective. Et d’ailleurs cela ne vous grandit pas, encore moins la cause que vous défendez! Un peu de tenue!
Francky LOEMBA,
Ne profites pas de ces encules de la bande a POATY PANGOU pour te trouver une fenetre de sortie deshonorable. Tu es venu defendre Collinet Makosso qui ne veut pas perdre son rang de souris de maison, alors fais le lire les inepties de Poaty Pangou et ses adeptes comme ici LE KOUILOU EN COLERE. Le role de ces energumenes est saboter tous les debats surtout lorsque les defenseurs comme toi ou Collinet Makosso du regime de Sassou sont serieusement malmenes comme dans ce debat. Il est a se demander si cette equipe de POATY PANGOU n’est pas en service commande par soeur Tchibota Antoinette pour semer la confusion parmi les detracteurs de leur beau frere. Rien qu’a voir la maniere dont LE KOUILOU EN COLERE semble te livrer des griffes de tes contradicteurs en parlant de la scission, Il est clairement possible que ce groupe de faux secessionnistes soient du meme cote que vous, vous faites equipe et vous etes au service de votre soeur Antoinette.
Ce groupe est toujours hors sujet.
A KOUILOU EN COLERE,
Les difficultés des habitants de pointe noire affectent également les autres Congolais patriotes, mais cela ne veut pas dire qu’ils sont dans la même logique que vous et Poaty.P dans les idées saugrenues de la scission du pays. Le pays est occupé par des parias et donc un clan qui nargue tout le monde. Lorsque Thierry Moungala fait passer la fibre optique à OYO dans sa deuxième ville ce sont les hommes d’affaires de partout dans le pays qui souffrent, ce sont les étudiants congolais qui souffrent de manque d’accès à l’informatique.
Lorsque je sais que pointe noire est une ville où habitent autant de Congolais et voir cette ville, pourtant tenu par VIAUDO, se détériorer alors l’erreur est où? Je ne vous autorise pas de vous substituer à l’ensemble des congolais pour décider de l’avenir de pointe noire ou du kouilou. En ce moment vous prenez en otage l’ensemble de la conscience du peuple comme essayent de le faire les parias au pouvoir.
Si Poaty.P dit scission et vous également où se situe la différence? c’est comme ceux qui sont originaires d’Oyo, qui transfèrent toute l’administration financière là bas sans le dire ouvertement.la preuve: l’une des plus grande banque c’est là bas , le plus grand hôtel, la plus belle école primaire, les plus beaux cimetières…. Arrêtons de faire augmenter le malaise du peuple avec vos histoires d’égoïsme primaire. Les difficultés des habitants du kouilou sont les mêmes que tout le reste du pays à part ceux qui habitent Oyo dans le cercle du pouvoir….et encore? Le combat essentiel est celui de libérer le pays tout entier et refaire l’unité autour de la nation. Le sectarisme et le tribalisme sont d’un autre âge, ne tombons pas dans ce piège que nous dressent les hommes au pouvoir pour nous distraire et final nous affronter contre les autres
…Luttons plutôt contre les personnes comme Francky Loemba qui s’arroge le rôle du défenseur de Makosso Collinet. Tout ceux qui parlent de la scission du Congo font le jeu des fossoyeurs de ce pays….Il est donc important de se ré saisir et ne pas tomber dans le piège. L’administration d’Oyo n’est contrôlée par aucun Congolais non originaire de cette contrée, l’on ne sait pas trop ce qui se trame là bas lors des grandes rencontres. Sauf peut-être Collinet Makosso et le ministre des hydrocarbures comme étant dans le secret.
Enfin, se qui se cache finira un jour par être su ,,,,,,, »confère le Burkinafasso »
Re-écoutez Franklin Boukaka …..
Bonjour
Francky n’est qu’un voyou, tu n’es pas non plus le représentant du Kouilou.
Tu as une lecture du droit qui est boîteuse et erronée. Par ton interprétation biaisée du Droit, tu fais honte au Jursite, à tel point que je m’interroge si tu as bien assimilé tes enseignements de Droit cons.La matière sur laquelle porte ton interprétation n’a pas lieu d’exister. La constitution de 2002 est assez claire, « ni la forme républicaine de L’Etat, ni le nombre de mandats présidentiels, ne peuvent faire objet de révision ».Quant on est juriste,le premier devoir est de rappeler que la loi doit s’appliquer erga omnès.Je comprends que tu n’as pas encore assez volé comme Collinet, mais enfin! Après avoir vécu au Havre et à Lille en France donc pays de Droit et des droits, que tu tiennes un raisonnement pareil, c’est regrettable.Je me borne à penser que tu délivres là un point de vue de parent et non de juriste.De toute façon ta mère assèche les caisses des douanes, tu devais le dire.
Karl Marx,le kouilou en colère et autres anonymes.
Que répondre lorsque vous sortez du débat d’idées pour vous en prendre aux personnes ! Et puis c’est tellement facile de s’en prendre à ceux qui ne se cachent pas derrière des pseudonymes. Alors vous c’est le cas ! Ici vous êtes des grands anonymes. Ayez donc le courage de vos opinions et montrez vous ! Faites vous partie de ces hommes et femmes,hypocrites,qui applaudissent la journée et s’erigent en pourfendeurs anonymes le soir venu et sur le net ! Assumez vous messieurs ! En ce qui me concerne,je reviendrais ici lorsque surviendra une critique sur le fond et non pas cette cour pénale qui jugé je ne sais quel coupable. Vous aimez l’injure,pas moi. Alors je vous laisse ! Ne vous en faites pas pour moi,vos insultes et autres insanités me glissent sur la peau. Bonne continuation dans la médiocrité érigée en pensée unique. N’est ce pas Karl Marx ?
Bonjour Mr Francky LOEMBA
Je ne vous ai proféré aucune insulte,je suis juste abasourdi que vous prétendiez être juriste et défendiez un putsch constitutionnel rampant, comme si votre parent SASSOU n’a pas fait assez de mal aux congolais.Je trouve l’analyse dégueulesse, abjecte et absconse intellectuellement.
Voilà ce qui me sort de ma réserve, je vous admoneste pour cette prise de position insoutenable.
Le peuple a assez souffert et doit aspirer légitimement aux changements de son choix. On n’en peut plus dans ce système de peur, dans lequel la liberté est baillonnée et mise sous coupe reglée.Lorsque le vent du changement s’abattra sur le pays, vous nous rendrez des comptes.Ce n’est pas qu’on tombe dans l’injure, mais c’est un sentiment de ras le bol contre les vendus du régime comme vous.Il est inadmissible de soutenir mordicus un pouvoir criminel et dictatorial ayant sacrifié des générations entières. Je pense comme certains qu’à la fin de son mandat, Sassou doit dégager et rendre comptes à la CPI. Vous et Collinet serez pendus.
Qui est Francky Loemba?
Ancien étudiant pas brillant de la fac de droit à Bzv et ppuis en France. Fils de Max Loemba, un baroudeur de pointe noire qui à force de miso makassi, d’intrigues et de lèchage de cul a su tour a tour béneficier des faveurs de Lissouba avant de retourner sa veste après 1997. Ancien vice maire de Pointe Noire Max Loemba est ce que le Congo sait produire de pire: des hommes incultes, voraces et sans vision qui parviennent à se hisser en haut de la societé et a s’enrichir sans cause.
Pourquoi sa defense pour Colinet?
Collinet est le petit de son papa et son mentor. Il est l’une des matières grises- plutot cramoisie dirai-je, et contributeur au sein du Cabinet Géo-Ecostrapol dont le boss n’est autre que…Colinet Makosso. En gros Francky est le fils spirituel de Monsieur Colinnet auprès de qui il recoit ce que son pere ne saurait lui donner, le savoir…
Colinet Makosso est le pur produit de Mr Viaudo Rolant et le protegé de Mr Loemba père dont il fut jadis un simba sac a l’epoque ou tous bossait à SDV. Donc comprenez l’emotion de notre cher « juriste » face a l’avalanche des critiques contre son mentor.
Francky,
De quelle interprétation subjective parlez-vous? La vôtre ou celle de Kokolo Zassi ? Pourtant dans une de vos interventions, vous avez pris acte de sa réponse faisant état de la similitude des interprétations. Si la sienne est subjective, il en serait donc de même pour la vôtre? Ah pauvre Francky Vincent! Vous feriez mieux d’arrêter avec votre musique soporifique.
C’est vrai POLELE, à la lecture du ticket de LOEMBA FRANCKY, je me suis tout de suite rendu compte qu’il ne pouvait être un brillant congolais.Ce sont ces mécréants de cet acabit qui causent du tort au peuple et au pays. Il faut améner ce Loemba à résipiscence.Je crois que si j’avais à me prononcer sur le sort de ce Loemba, je lui collerais mort par noyade comme son parent a fait aux disparus de Beach.
Mon cher POLELE, vous avez tout dit de cette allégeance de Max Loemba, Collinet et de VIAUDO au moisi camps de Oyo. En réalité que valent-ils ? Le Kouilou ne se juge pas à l’aune de l’idiotie ce Loemba Francky. Il devait avoir honte de vivre dans une insalubre ville comme PNR, sans eau ni électricité.Peut-être pense-t-il que le niveau de vie au Congo se juge par rapport à lui ou à ses parents voleurs comme lui.
Nous restons optimistes et confiants que le respect de la constitution aura raison de leur mentor.
C’est un pouvoir finissant et aux abois tel un tigre en papier.Que vive le Congo
OFFUSQUÉ!
Toutes et tous nous savons que le président supposé actuel (citer son nom me donne des céphalées) est un putschiste, sanguinaire, kleptomane et j’en passe…
IL DOIT PARTIR EN 2016!!!!!
MAIS, NOUS NE DEVONS NI APPELER AUX MEURTRES NI PROMETTRE LA GÉHENNE AUX HOMMES ACTUELS!
C’EST INACCEPTABLE!!!
LA SEULE CHOSE QUE NOUS POUVONS PROMETTRE ET GARANTIR: C’EST LA JUSTICE!!! POUR NOS MORTS INNOCENTS ET LES BIENS-MAL-ACQUIS.
Polele,Karl Marx,
Manifestement on s’enfonce de plus belle! Si pour vous mécréant n’est pas une insulte,si l’idiotie ne peut s’apparenter à une insulte, alors j’en perds mon latin. Et que dire de cette menace de condamnation de mort par noyade? Manifestement ce débat n’est plus le mien.
Polele,
Il faut croire que vous êtes un bon biographe! Difficile d’avoir un echange civils avec un homme qui avance des inepties sur des personnalités et qui se cache derrière un pseudonyme. Etudiant pas brillant? Dois je comprendre que je n’étais pas si nul pour autant? Est-on obliger d’être un étudiant brillant pour faire de bonnes études? Je ne pense pas. Mais je peux me tromper! Sans doute que vous êtes un étudiant brillant, vous! Mais de vous à moi, j’ai un doute! Ah au fait, félicitations pour votre travail d’exégèse: vous avez fait les poubelles ou bien?
Bon, ce débat n’étant plus le mien, je vous laisse vous déchaîner dans ce que vous maitrisez le mieux! Suivez mon regard! Merci à Joseph Kokolo ZASSI, qui à pris le soin de répondre sans insultes et invectives. Merci au Mingwa Biango de m’avoir permis de répondre. J’ai aimé certaines contributions, quant à d’autres,mieux vaut ne pas ne parler! Allez bonne continuation aux uns et aux autres.
Francky,
Pour l’amour du ciel, revenez! Êtes-vous pour ou contre le changement de la constitution? N’escamotez pas la question. Le juriste ou constitutionnaliste que vous êtes est-il obligé d’attendre la position de Sassou pour se prononcer sur cette question épineuse? Ne pouvez-vous pas éclairer la lanterne des internautes sur la constitutionnalité ou non du changement de la constitution? Votre attitude ne s’apparente-t-elle pas au non engagement qui consiste à s’enfermer dans une tour d’ivoire, à se désintéresser du sort de ses compatriotes, pour se consacrer uniquement et exclusivement à l’explication de texte qui, du reste, peut-être fantaisiste?
Francky Loemba
Arrêtons de tergiverser. Personnellement je suis pour le respect de la règle constitutionnelle, donc contre la modification de la constitution pour permettre à Sassou de briguer un nouveau mandat. La règle constitutionnelle doit être respectée car elle s’applique à tous sans exception. C’est le débat de fond qui nous intéresse. Quelle est ta position par rapport cela ? En clair, toi qui es juriste, peux-tu dire aux uns et aux autres quelle est ta position: pour ou contre la révision de la constitution ?
Je brûle d’envie de te lire.
Mr Francky Loemba
Admettons que point n’est besoin d’être brillant étudiant pour faire de bonnes études, je vous le concède volontiers. Mais lorqu’on a passé son temps à se frotter les fesses sur les bancs de la Fac de Droit, puisqu’à ce qu’il paraît vous êtes juriste, la défense que vous prenez des gribouilles de Collinet, est-elle recevable , lorsqu’on vit dans un pays poubelle avec toutes les richesses que vous connaissez. Dès lors que nous avons des incompétents notoires à la tête de l’Etat qui ne pensent qu’à eux et à leur famille, le peuple souverain est-il fondé à retirer son mandat à ces derniers ?Peut-on concilier un putsh constitutionnel avec le jeu démocratique ? Dans l’une de vos interventions, vous avez eu le toupet de faire l’apologie de la démocratie à la Poutine.Ce qui admettez-le, ne vous grandit pas intellectuellement.Vous saviez à quoi vous vous exposiez en jouant au sot.Il faut assumer garçon.Arrêtez de jouer la victime.Vous nous provoquez dans nos souffrances les plus profondes. Alors pour ou contre la révision?KARL MARX
@ Francky Loemba,
Certains internautes vous demandent de donner votre avis, même si au vu de vos interventions, on peut dire sans ambages que vous êtes pour le changement de la constitution (donc pour le maintien du démolisseur infatigable). Mais on ne peut porter des conclusions subjectives sur la base des préjugés. Plus haut vous avez dit en substance que , je vous cite, « je donnerai mon avis lorsque le président se serait prononcé sur la question ». Ce qui est une drôle de manière de faire pour quelqu’un qui réclame le titre de d’intellectuel juriste et démocrate. Je vous rappelle que le président a déjà donné son avis. Sa position initiale est la suivante : imposer l’idée de la discussion sur le changement de la constitution à toute la classe politique. Si après ces discussions aucun compromis n’est trouvé, imposer le référendum piège et bidon à une partie du peuple congolais, sachant que l’issue d’un tel référendum est connu d’avance. Mais à l’allure où vont les choses, cette stratégie est peut être en train de prendre l’eau. Attendons donc voir. Dans cette attente, moi je vais vous proposer les hypothèses suivantes pour vous aider dans votre positionnement, en faisant des projections sur l’attitude du président dans les mois à venir :
HYPOTHESE 1 – le 31/12/2015, lors de son message à la nation, le président Sassou Nguesso Denis décide le changement de la constitution . Que diriez-vous ?
HYPOTHESE 2 – le 31/12/2015, lors de son message à la nation, le président Sassou Nguesso Denis décide de ne pas changer la constitution et organise des élections libres pour assurer la transition démocratique du pouvoir. Que diriez-vous ?
HYPOTHESE 3 – le 31/12/2015, lors de son message à la nation, le président Sassou Nguesso Denis décide la révision de la constitution dans certaines de ses dispositions, sauf le nombre de mandats et l’âge du candidat à l’élection présidentielle (donc il ne brigue plus de 3e mandat). Que diriez-vous ?
HYPOTHESE 4 – le président Sassou Nguesso Denis décide de rien faire, (pas d’élection, pas de révision, pas un mot), donc il fait comme si rien ne se passe dans le marigot, jusqu’au 16 août 2016. Que diriez-vous ?
Toutes ces hypothèses étant des scénarios possibles, pouvez-vous donner votre point de vue pour chacun des cas de figure, car vos contradicteurs en ont besoin, et moi je suis là pour vous aider à répondre.
Merci d’honorer votre esprit d’intellectuel juriste démocrate… Répondre à ces hypothèses nous permet de savoir si vous êtes un monsieur Tourneveste en puissance ou un vrai démocrate ayant des convictions tranchées…
A très bientôt sur le Net, ne fuyez pas.
Mon cher Joseph Kokolo ZASS,
Je m’etais resolu à ne plus m’exprimer sur ce débat, car je considérais que nous étions sortis du cadre d’un débat civilisé. J’ai eu droit à tout de la part de ces intégristes que je qualifierais de non démocrate, car ne pouvant débattre sans s’en prendre aux individus, a leurs familles. Je ne voulais plus participer à cette foire d’empoigne indigne! Je ne voulais plus cautionner par ma présence, ces allégations et autres ignominies débitées à mon sujet. Ce n’est pas la conception que je me fais de la démocratie. Alors, lorsque ces contempteurs, après des insultes et autres insinuations, me demandaient mon point de vue sur cette question, je ne me sentais nullement obligé de répondre à des hommes qui font les poubelles et qui sont passés maitre dans l’art du discrédit. Cela dit, ton interpellation me pousse à sortir de ma réserve.
La République parce qu’elle repose sur l’adhésion a un ensemble de valeurs collectives fondamentales et sur la confiance des citoyens à leurs institutions, doit prendre en compte les exigences nouvelles de la société, pour prévenir le risque d’une remise en cause du contrat social et éviter que les citoyens ne se détournent de la vie démocratique.
Notre pays qui à adopté à nouveau le modèle démocratique en 1990, est aujourd’hui au tournant de cette de son cheminement démocratique. Cette crise, à fait naitre une certaine impuissance de l’action publique, qui par moment s’apparente à une crise de légitimité. Plus un seul responsable politique n’est considéré par les congolais comme pleinement légitime au motif qu’il à été élu.
Il s’agit ici aussi bien des conditions d’accès aux responsabilités publiques, mais bien plus de la manière dont s’exercent ces responsabilités.
La crise de confiance s’accentue année après année. Les citoyens espèrent continuellement des responsables qu’ils se consacrent pleinement a leur mission.
Je considere par ailleurs, que pour une démocratie vivante, pérenne, l’alternance doit demeurer la règle. Cela dit, en partant du constat de crise de confiance qui mine notre pays, je pense que tout en sanctuarsant l’alternance comme valeur essentielle de notre démocratie, il n’en demeure pas moins, qu’en l’état actuel des choses, nous ne pouvons faire l’économie d’une reforme de nos institutions. Une fois acquis, l’idée que le président actuel ne briguera pas un 3e mandat, alors rien ne devrait nous empêcher de nous asseoir et de revoir le type de reformes essentielles pour notre jeune démocratie. Nous sommes tous d’accord que cette constitution consacre la prééminence de la fonction présidentielle. Et je crains, que le successeur du Pdt actuel, se complaise de ce texte qui lui donne énormément de pouvoir et qu’il repousse à plus tard des reformes utiles. Je ne veux nullement me défiler comme certains ici, qui vilipendaient ce texte il y’a 13 ans, lui trouve des vertus aujourd’hui. Cette attitude n’est pas responsable, tu en conviendras avec moi. Aujourd’hui, certains se servent de ce texte pour se debarasser d’un adversaire politique, pourquoi pas. Mais que cela , nous fasse pas dire que ce texte est bon.
Alors, tu vas sans doute me demander la nature des reformes? Je milite pour que la cour des comptes et de discipline budgétaire, gardienne de la bonne gouvernance et de la gestion des deniers publics, devienne une institution et non pas issue d’une loi organique, je voudrais des pouvoirs plus grands et étendus aux élus du peuple dans le cadre du contrôle de l’action gouvernementale, je souhaite que les ministres puissent être mis en cause par une commission mixte des parlementaires, dans le cas de mauvaise gestion des fonds publics,qu’une fois sa responsabilité établie, que ce dernier démissionne sans que l’on ait besoin de faire tomber un gouvernement, je milite pour le non cumul de mandats, que l’on reforme le mode d’élection des maires et présidents de conseils départementaux, je milite pour la dépolitisation de la fonction de Prefet de région, que les maires d’arrondissements soient élus et non pas nommés, que le conseil supérieur de la magistrature ne soit plus sous la présidence du président de la république, mais d’un magistrat, je plaide pour une meilleure redistribution des richesses vis a vis des régions productrices des ressources naturelles, je plaide aussi pour une décentralisation effective, je milite pour une application effective de l’article 48 de la constitution du 20 janvier . Il s’agit de cet article qui fait obligation de déclarer ses biens avant de rentrer en fonction. Pour que cela soit effectif, je pense que nous devons mettre en place,une commission de déontologie de la vie publique. A l’avenir, pour les nominations aux hautes fonctions civiles et militaires,une commission devrait auditionner les préposés. Et pour finir, nous devons revenir a un régime politique equilibré, avec l’institution d’un poste de premier ministre. La liste n’est pas exhaustive!
Esperant avoir répondu à ta préoccupation!
je ne comprends pas les congolais , c’est curieux, est ce éclairé un point de vue , ou rétorqué à un point de vue que je trouve un peu ambiguë , nécessite t il des injures ? ou trahir ses origines ? Makosso et Loemba ne défendent pas Sassou Nguesso, Ils défendent les textes leurs raisons d’être ,ils sont allés à l’école pour cela. ils ont donnés leur argument à vous de les convaincre au lieu de pensez à ce qui ne peut faire l’objet d’un débat . Maintenant que si vous voulez les rejoindre à la » mangeoire » chez Sassou c’est simple, il n y a qu’à faire une demande de collaboration. Chez Makosso et Loemba c’est Sassou qui les a choisi , parce ils sont compétents . N’assimilons pas les points de vue des un et des autre aux personnalités sinon ce serait un faux débat; Loemba à des parents qui ont des moyens avant l’arrivée de Sassou. Makosso en a également avant qu il ne vienne même dans le milieu de la présidence. Donc n’écrivez pas ainsi; Allons avec les arguments dans la défense de la constitution ou encore le ficher électoral. Dites nous quoi faire? vous les intellectuels au lieu de nous abreuvés de vos qualificatifs , injures et autres mots qui ne nous honore pas .
bien chers tous merci
@ Francky Loemba
Merci d’avoir répondu à ma requête.
Si je lis entre les lignes, votre réponse renvoie à l’hypothèse 3 que j’ai projetée. Ce qui revient à dire que vous êtes pour la révision partielle de la constitution, avec pour maître d’orchestre le président sortant. Les autres hypothèses n’ayant pas trouvé réponse, elles ne sont donc pas celles sur lesquelles vous fondez votre espoir de voir émerger un Congo nouveau. Vous voulez donner au président sortant une chance de rédemption, lui attribuant comme dernier levier, dès lors qu’il renonce à se succéder à lui-même, de participer à la réforme des institutions parce qu’il s’est rendu compte que les pouvoirs excessifs entre les mains d’un seul homme en dehors de lui est un danger pour la paix au Congo. J’espère que je ne me suis pas trompé lorsque j’essaie de vous suivre. En effet, lorsque vous dites : » Je considère par ailleurs, que pour une démocratie vivante, pérenne, l’alternance doit demeurer la règle. Cela dit, en partant du constat de crise de confiance qui mine notre pays, je pense que tout en sanctuarisant l’alternance comme valeur essentielle de notre démocratie, il n’en demeure pas moins, qu’en l’état actuel des choses, nous ne pouvons faire l’économie d’une reforme de nos institutions. Une fois acquis, l’idée que le président actuel ne briguera pas un 3e mandat, alors rien ne devrait nous empêcher de nous asseoir et de revoir le type de reformes essentielles pour notre jeune démocratie. Nous sommes tous d’accord que cette constitution consacre la prééminence de la fonction présidentielle. Et je crains, que le successeur du Pdt actuel, se complaise de ce texte qui lui donne énormément de pouvoir et qu’il repousse à plus tard des reformes utiles », cela suppose que le débat de la révision constitutionnelle ne peut se faire sans le sortant constitutionnel. Vous craignez aussi que le nouveau président élu en 2016 n’abuse des pouvoirs que son prédécesseur a usés et abusés dans l’exercice de ses deux mandats. Personnellement, je comprends votre démarche. Mais il faut rappeler que la Constitution est la Loi des lois. Même si certains leaders politiques de l’opposition dans le passé avaient présenté des réserves quant à la pérennisation de cette loi fondamentale en l’état, il ne demeure pas moins que Sassou NGuesso Denis a raté son rendez-vous avec l’histoire de la jeune république du Congo, notamment lorsqu’il revient aux affaires par les moyens que l’on sait. J’étais de ceux qui pensaient que la grande expérience politique et des hommes qu’il avait accumulée lui aurait donné de la hauteur dans la gestion publique de l’Etat, dans la construction d’une vision politique fondée sur l’exemplarité, la promotion de l’excellence, le bannissement de l’ethnocentrisme, le népotisme et la gloutonnerie dans l’enrichissement personnel, par le truchement du détournement à son seul profit et de celui de son clan et sa clientèle, les richesses nationales. Résultat : le Congo perd ses repères. Le système éducatif est détruit, le système sanitaire est catastrophique, un chômage de masse sans précédent alors que le pays engrange des revenus substantiels depuis le début des années 2000. Certains disent que le Congo aurait reçu, de 2004 à 2012, plus de 70 000 milliards de FCFA. Qu’a-t-on fait de ces revenus ? Il faudrait qu’un jour celui qui a géré le pays pendant plus de trente ans nous dise pourquoi le pays a été tant endetté et à quoi a servi cette dette ? Où sont passés les revenus tirés du pétrole et d’autres richesses du pays telles que le bois et les minerais divers. Il vient valider le proverbe selon lequel, « nonobstant un long séjour dans l’eau, un morceau de bois ne peut se transformer en crocodile ». Denis Sassou NGuesso est resté le même : un homme violent, méprisant la vie des autres et s’appuyant sur son groupe ethnique pour entretenir son hégémonie qui dure depuis plus de trente ans.
Aujourd’hui, tout le monde peut constater la formidable transformation du village d’OYO en une cité balnéaire au fin fond de la forêt équatoriale. C’est désormais une ville de grand standing avec tous les services d’une municipalité du 21e siècle. Lorsqu’on est à la tête d’un pays, on ne se comporte pas comme un murénidé qui passe la plupart de son temps dissimulé à l’intérieur des crevasses et des alcôves au fond des mers et océans parce qu’il craint les autres prédateurs. Votre bâtisseur (plutôt démolisseur infatigable) a démontré son mépris qu’il a envers les congolais qui l’avaient « humilié » pendant la CNS de 1991. Au lieu de faire taire ses détracteurs qui lui avaient épargné la vie en procédant au lavage des mains, il a choisi la vengeance aveugle. D’où la situation chaotique dans laquelle il a plongé le pays. Faudrait-il lui donner une nouvelle échappatoire pour lui permettre de se sortir des situations inextricables qu’il a créées ?
Non. C’est pourquoi je suis pour la révision (voire son abrogation) de la constitution actuelle, mais avec d’autres acteurs politiques. Pas avec ceux qui ont été trempés jusqu’à la moelle épinière dans la destruction du lien social qui avait toujours été jusqu’ici la valeur la plus partagée par tous les congolais. Il doit se rendre compte que cette partition qu’il a habilement jouée au détriment de la majorité des congolais est devenue caduque. Toutes ses manœuvres actuelles n’ont qu’une seule visée : se concocter une immunité à vie pour ne pas rendre de compte au peuple congolais qu’il a martyrisé avec une sauvage férocité. Il faut qu’il rende des comptes un jour, si on veut construire un avenir commun apaisé et juste. J’espère que les congolais ne vont pas se faire avoir une nouvelle fois par cet homme qui a montré qu’il était un serial killer des temps modernes, avec la complicité de certaines puissances de la planète sans oublier tous les réseaux mafieux auxquels il a fait allégeance et qui le protègent. La messe sera dite un jour. Un peuple meurtri finira par se réveiller.
Merci d’avoir répondu. Je prends acte que vous êtes pour la révision de la constitution sous la houlette de Denis Sassou NGuesso, à condition que ce dernier ne se succède pas à lui-même. Si telle n’est pas votre position, n’hésitez pas de me recadrer. Enfin, je vois que vous êtes aussi dans une dynamique de préconisations institutionnelles, esprit que je partage aussi. Rendons-nous avant la fin de l’année en cours, pour confronter les modèles de société sur le plan institutionnel.
Bonne soirée
Fraternellement et sans rancunes.
PS : il faudra mettre en place une commission indépendante pour le vrai pardon, mais dans la justice (VERITE ET RECONCILIATION oui, mais dans la justice), si nous voulons perdurer le vivre ensemble qui a longtemps été saboté pour des intérêts bassement matériels.
Mon cher Joseph Kokolo ZASSI,
Ma pensée, est simple: ce texte cousu sur mesure est le fait du président sortant. Il nous faut sortir de cette situation. Dans le cadre d’un consensus, il nous est possible de nous dépasser et de faire en sorte que le prochain President de la République, prête serment sur un texte nouveau plus equilibré et qui consacrerait l’encrage définitif de la démocratie dans notre pays. Nous devons à l’avenir éviter des reformes qui soient le fait d’un camp contre un autre. La conséquence c’est les uns qui appellent a voter oui et d’autres par manichéisme appellent à voter non! Ne pouvons nous pas tous comme pendant la conference nationale souveraine discuter, élaborer, et voter un texte accepté par tous. Ainsi, je pense pendant une longue période, nous nous mettrons à l’abri des triturages de constitution.Pour moi, il est de la responsabilité du President actuel, de partir en nous debarassant de ce texte et de ces oripeaux.
Tu as raison sur l’état actuel du pays et nos espoirs douchés par la pratique du pouvoir. Mais vois tu, nous sommes aussi entrain de solder un héritage colonial. Après 2016, devra arriver au pouvoir une catégorie d’hommes qui ne trustent pas les premières places depuis 1960. Et comme tu peux t’en douter, cela ne peut se faire sans difficultés. Si cela passe, par une transition, pourquoi le refuserions nous? Il nous faut revoir le découpage électoral, le recensement, comment fait-on tout cela? Et puis il va sans doute avoir un problème si alternance il y’a:au regard de la constitution actuelle,le président ne peut dissoudre l’assemblée et vice versa, comment fera le président élu avec l’assemblée nationale actuelle qui lui sera hostile? Pendant 1 an, il risque d’avoir une crise au sommet. Ce qui me pousse à insister sur l’idée de faire les reformes maintenant, d’organiser les élections générales en 2018 avec un nouveau code électoral, un nouveau découpage, un nouveau recensement et une nouvelle commission électorale. Mais aussi avec une administration moins politisée. Car,en l’état actuel des choses, je crains que ceux qui veulent à tout prix le départ de sassou, se retrouvent avec un autre membre du clan ou du pct. Pour ne pas que cela arrive, il nous revoir toute la nomenclature des textes qui permettent l’organisation des élections . Sinon, je crains, une alternance dans la continuité!
Je trouve aussi cette idée illusoire,de remettre au pouvoir qui viendra de procéder aux reformes? Serait ce dans son intérêt? Macky Sall, qui avait le même engagement, s’en est éloigner aujourd’hui! Continuons la réflexion!
LE Kouilou en colère approuve le rapprochement de vues entre Kokolo Nzassi et Franck Loemba.
Maintenant,nous souhaitons que vous ayez la force de défendre vos idées.N’ayez pas peur de défendre vos idées.L’histoire nous apprend que le plus grand ennemi de l’action,c’est la peur.
Face à un peuple qui souffre,l’intelligence aussi a sa part,alors prenez part à ce NKANGULU et n’oublier pas que soutenir un Sassou qui nous a longtemps considérés de SAKUNUNU(jouets) est très dangereux et n’est pas digne d’un fils du royaume vrai de Loango.Evitons tous les routes empruntées par nos dévanciers qui tous à l’exception de Théousse,de madame GNALY ont choisi Sassou par peur de mourir.
LE GRAND JURISTE Francky LOEMBA ATTENDAIT L’ANNONCE OFFICIEL DU « CHEF DE L’ETAT » POUR NOUS ACCOUCHER CE QUI EST CONNU DE TOUT LE MONDE.
LA RÉALITÉ EST QUE NOUS L’AVONS BIEN SECOUE ET, IL A FINI PAR ACCOUCHER D’UNE SOURIS.
ET, IL CHERCHE DES ASTUCES POUR RENTRER DANS LES RANGS.
MALGRÉ TOUT, SON ANALYSE RESTE ABRACADABRANTESQUE, NOTAMMENT, QUAND IL PARLE DE CRISE DE CONFIANCE ENVERS UN POURVOIR QUI S’EST IMPOSES AU CONGOLAIS PAR LES ARMES ET PAR DES FAUX SCRUTINS(C’EST UNE TAUTOLOGIE).
Les Etats-Unis pour l’alternance démocratique au Congo
(Agence Afrique 06/02/15)
La directrice Afrique centrale du département d’Etat américain, Robin D. Meyer
La directrice Afrique centrale du département d’Etat a dans un échange avec la presse mercredi à Brazzaville demandé que les autorités congolaises ne changent pas la constitution.
Dr Robin D. Meyer a expliqué que les changements de constitution aux fins de favoriser le président sortant créent l’instabilité politique et fragilisent les institutions. « Par expérience des Américains, je ne conseille pas aux autorités de changer la constitution. Les efforts des Etats-Unis c’est de dissuader les pays qui veulent faire cela », a dit Mme Meyer en visite à Brazzaville.
La diplomate américaine a estimé que le Congo était à un moment important de son histoire et que « les autorités devraient saisir cette opportunité pour favoriser l’alternance démocratique dans le pays ». Elle reconnaît cependant la possibilité au Congo de « changer légalement et démocratiquement sa constitution » dans le but de moderniser le système de gouvernance du pays.
Depuis 2014, le débat sur le changement ou non de la constitution congolaise emballe les états-majors politiques. Plusieurs opposants pensent que si le président Denis Sassou Nguesso arrivait à faire passer cette réforme, il pourra se représenter aux prochaines élections de 2016, ce que ne lui permet pas l’actuelle constitution.
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Pitoyable, lamentable ! ! ! Ces hommes qui se disent « sages » et qui viennent parler au nom d’une région tout entière ???? Mais d’où sortent-ils ? Heureusement l’heure n’a pas encore sonné, chacun peut se permettre de jouer les « sages ». Je me demande bien ce qu’ils mettent dans la balance pour s’auto-définir « sages » : la couleur des cheveux ? l’âge ? la façon de s’habiller ? ou le fait de rencontrer le président ?
Je suis allé faire un tour sur wikipedia, et j’ai trouvé ceci :
1) La sagesse (du grec ancien σοφία, sophia) est un concept utilisé pour qualifier le comportement d’un individu, souvent conforme à une éthique, qui allie la conscience de soi et des autres, la tempérance, la prudence, la sincérité et le discernement s’appuyant sur un savoir raisonné.
2) Dans le domaine de la philosophie, la sagesse représente un idéal de vie vers lequel tendent les philosophes, « amoureux de la sagesse », qui « pensent leur vie et vivent leur pensée », à travers le questionnement et la pratique de vertus.
3) Les philosophes grecs différenciaient la sagesse théorique (sophia) de la sagesse pratique (phronèsis) : la vraie sagesse serait la conjonction des deux.
4) Le calme et la modération apparaissent fréquemment comme composante de la sagesse dans les définitions académiques. L’usage retient parfois ces seuls qualités lorsqu’il qualifie une personne de sage, comme pour un enfant lorsqu’il est obéissant et tranquille.
5) Le sage est un individu qui « possède » pleinement, qui accomplit, voire dépasse les facultés ou dispositions de la nature humaine, tant en ce qui concerne la connaissance que l’action. Il représente l’idéal de vie humaine la plus haute, l’excellence dans le savoir ou dans la disposition au savoir, et aussi dans la justesse du jugement sur toutes choses, en particulier dans ses jugements de valeurs morales et dans sa puissance à accomplir les actions qui sont liées à ces jugements.
En pratique, le sage peut être défini comme celui qui manifeste sa pensée non seulement par sa parole, mais surtout par son agir, c’est ainsi qu’il « démontre » le bien-fondé de sa pensée. Ainsi, la vie du sage est à elle seule la démonstration de sa pensée, la force du sage est dans ses actes, et non dans le verbe, réservé au philosophe.
Bref, un sage est une personne qui ne dit pas de sottises, qui est respectée, qui a une longueur d’avance sur les questions de société par son jugement, qui est très écoutée, qui n’est pas ridicule, qui ne peut être corrompue, qui n’aime pas parler des choses qu’elle ne maîtrise pas, etc. Quand j’entends les motivations qui justifient leur positionnement, ces gens sont vraiment des enfants obéissants et tranquilles. Ils n’ont rien de sage en eux. Pitoyable ! Je me demande même s’ils savent ce qu’est une constitution !
Jugez par vous-même :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=O7xQNlznf-k#t=59
Mawa mingui…
Francky,
Votre position quoique tardive est on ne peut plus claire. Elle rejoint celle de la majorité des Congolais qui prône l’alternance démocratique dans notre pays.
Un intellectuel ne peut s’accommoder d’un criminel comme Sassou Nguesso au sommet de l’Etat. Il ne peut s’accommoder de son système de corruption, de concussion et de népotisme.
L’intellectuel, ce me semble, se doit d’être engagé. L’engagement consiste à prendre parti dans les luttes politiques de son temps en vue d’une amélioration de l’ordre social. L’intellectuel, me semble-t-il, doit être un agent de transformation de la société.
Intellectuel s’oppose à irresponsable dans la mesure où il n’agit pas pour son propre compte.
Un intellectuel n’est pas un plat personnage: le caractère et la personnalité ne lui font pas défaut.
Un intellectuel n’est pas un pleutre, c’est à dire un homme sans courage, qui s’effraie même devant de petits dangers.
Un intellectuel n’est pas un propagandiste pas plus qu’il n’est un manipulateur mental. Ecoutons, à ce sujet, la pédopsychiatre Christel Petit Collin : »La manipulation mentale, elle, ne vise pas le bien de l’autre mais la satisfaction d’objectifs personnels à ses dépens. La pression est cachée, de pseudo-arguments rationnels déguisent une demande non formulée. »
Un intellectuel n’est pas indifférent à la souffrance des autres. Attention! Il ne suffit pas d’être ému devant la misère des autres pour l’être. Il faut communiquer avec ceux qui souffrent et même connaître la honte: honte de n’éprouver qu’un intérêt toujours passager au récit du malheur de ses semblables, honte de continuer à rire, à vivre, lorsque d’autres pleurent et agonisent.
Merci de votre attention.