Trois diplomates occidentaux m’ont interpellé le Mardi 20 Octobre. Pourquoi ? Parce qu’ils ne comprenaient pas ! Expliquons les choses en quelques mots.
Dans le discours de ceux et celles qui font aujourd’hui opposition à monsieur Denis Sassou Nguesso et son “système PCT établi au Congo-Brazzaville”, c’est-à-dire la majorité écrasante du peuple congolais qui dit NON à la pérennisation du pouvoir dictatorial, corrompu et corrupteur de Sassou, un petit ou gros détail manque, surtout vis-à-vis d’une partie de la communauté internationale, notamment européenne, nord-américaine, africaine. Ce détail, il est dans le “système électoral établi, mécaniquement et systématiquement vicié, truqué en faveur de Sassou Nguesso et son Parti Congolais du Travail, ancien parti unique et dictatorial”.
Le système électoral mis en place par les putschistes de 1997 a fait l’objet de plusieurs débats (et même de dialogues: Ewo, Dolisie, Brazzaville) pour son changement. Sur place ici au Congo, on l’appelle la “Gouvernance électorale.” Mais les tenants du pouvoir n’ont jamais voulu rien entendre au sujet de son changement. Il est établi par eux, contrôlé par eux les “maîtres”, en leur faveur, et “il doit rester comme tel”, selon eux.
Ce système est tellement vicié de toutes parts (listes électorales, composition des commissions électorales dépendantes, découpage…) à tel point que Sassou et les siens ne peuvent perdre aucune élection organisée au Congo, et ce depuis 2002 (année des premières élections après sa transition de 5ans), puisque tous les résultats des votes sont d’avance manigancés et connus, dans les têtes et bureaux des organisateurs de ces élections, c’est-à-dire les tenants du pouvoir en place, avant même la tenue des votes. Voilà la triste réalité de ce pays.
Hier Mardi 20 Octobre, au premier jour de la désobéissance civile dans le pays, j’ai parlé avec trois amis diplomates (un français, un canadien et un espagnol) en service dans un pays voisin du Congo. Les trois (dont un connaît personnellement le président du Congo) ne comprenaient pas l’attitude des opposants congolais et m’ont posé la question suivante: “Puisque le peuple congolais a l’occasion là de s’exprimer librement dans les urnes lors du référendum, et donc de dire NON au changement de la Constitution proposé par le président Sassou, pourquoi donc les opposants ne font-ils pas campagne pour demander aux gens d’aller voter, et dire NON avec leurs bulletins, au lieu de s’opposer à la tenue du référendum? ”
Ils m’ont même cité l’exemple du Général de Gaulle en France avec le référendum du 27 Avril 1969 qui le poussa à la démission, après que les Français avaient voté “NON au référendum.”
C’est à ce moment-là que j’ai saisi la balle alors dans mes mains pour leur expliquer en détails le fonctionnement du système électoral mis en place au Congo par Sassou et les siens depuis leur retour au pouvoir par les armes en 1997. Pour quelques détails utiles, certains peuvent les trouver ici: http://www.mampouya.com/2015/10/magouilles-combines-et-tricheries-a-la-dgae.html
En résumé, le président Sassou Nguesso et son PCT, dès leur retour au pouvoir, conscients qu’ils n’ont pas l’adhésion du peuple avec eux et donc conscients qu’ils ont peu de chances de gagner une élection véritablement démocratique, libre et transparente (1992 en est une preuve irréfutable), avaient établi alors un système électoral systématiquement truqué d’avance, géré par les proches parents du président au Ministère de l’intérieur, à tel point qu’ils ne peuvent perdre aucune élection organisée sous leur contrôle. Évidemment, pour tromper les consciences (certainement fatiguées par les dures épreuves mais non naïves de beaucoup de congolais) ou celles non-informées (de la communauté internationale), ils laissent de temps en temps quelques miettes de victoires et sièges à quelques opposants, question de faire croire à la transparence et au caractère démocratique des votes. Pas si compliqué à comprendre! Ainsi donc, les résultats des élections sont détenus et connus d’avance par les organisateurs de celles-ci, résultats en concordance avec leurs volontés, et ceci depuis 2002 jusqu’à maintenant. Quelle que soit la nature de l’élection: présidentielle, législative, régionale, communale, sénatoriale… la même logique obéit à la même volonté des “seigneurs”. De la bonne gouvernance électorale, ils ne veulent rien savoir ni en entendre parler.
Comment voulez-vous donc que les congolais acceptent l’organisation d’un référendum dans ces conditions manigancées d’avance, bien qu’un référendum reste une occasion idéale donnée à un peuple pour s’exprimer. Mais ici dans le cas du Congo, les choses sont ainsi: : “la volonté du prince est la vérité absolue”, la magouille est reine. Les antivaleurs et les contre-vérités sont érigées en valeurs.
Les anciens alliés de Sassou, sortis récemment du gouvernement, à savoir, Claudine Mabonzo Munari, Parfait Kolelas, André Okombi Salissa, aujourd’hui passés à l’opposition, savent mieux que quiconque le fonctionnement de ce système que je décris brièvement ici, et donc ils sont au fait de la réalité des choses et des faits. On ne peut pas leur en vouloir d’être virulents aujourd’hui vis-à-vis de leur ancien maître.
En d’autres mots, et pour finir, si le peuple congolais et les opposants autorisent la tenue du référendum le 25 Octobre 2015 (tel que voulu par lui Sassou et organisé par son ministre de l’intérieur, monsieur Mboulou, un parent de Sassou, donc un dur de la ligne confiscatoire du pouvoir par tous les moyens, notamment les armes), les résultats de ce référendum sont déjà connus d’avance (même avec un taux de participation de 10% ou moins du corps électoral congolais) et ils seraient proclamés par les tenants du pouvoir selon leurs vœux et leurs volontés de régner à vie sur le Congo, à savoir le “oui massif” qu’ils veulent et qu’ils ont dans leur têtes depuis longtemps.
Avant de conclure, je disais aussi aux diplomates que tout cet ensemble de vices, vécu par les congolais depuis des dizaine d’années, alimente aujourd’hui les arguments de certains congolais, grandissant en nombre, qui dénoncent depuis longtemps la fracture sociale nette et une gestion ethno-régionale et/ou tribale du Congo (malgré la présence de certains affidés dans le pouvoir actuel), et proposent des solutions de séparation à la “Tchécoslovaquie ou la Yougoslavie”. Car, arguent-ils, l’on ne pourra pas éternellement tolérer une coexistence injuste, biaisée, non-pacifique entre ceux qui d’une part semblent le plus souvent avoir une tendance à tuer pour le pouvoir et la confiscation de celui-ci, et ceux qui, d’autre part, mains nues, manifestent, luttent pour l’établissement d’une société plus juste, plus libre et démocratique au Congo et qui par conséquent meurent sous les bombes et balles des armes des premiers. A propos des morts, il y en a déjà plus d’une dizaine dans la partie Sud du pays pour cette seule journée du 20 Octobre 2015, alors que certaines populations du même pays vaquaient le plus naturellement du monde à leurs occupations!
A la fin, mes interlocuteurs, un peu interloqués, avaient tous l’air égarés, et semblaient ne plus avoir un gramme de doutes dans leurs vues des choses.
Voilà pourquoi il faut expliquer cela, continuellement, à ceux et celles qui ne comprennent pas (ou ne veulent pas comprendre) le peuple congolais, ce peuple qui majoritairement dit NON à l’arbitraire, NON à la triche et à la magouille érigées en système, NON à l’achat des consciences, NON au tribalisme et à l’ethno-régionalisme, NON à la corruption, NON au gangstérisme d’Etat, NON à la falsification systématique de la volonté réelle du peuple, NON à un totalitarisme dont les seules motivations demeurent l’acquis (sans grand mérite) et la confiscation des privilèges…; toutes ces antivaleurs établies en mode de gouvernance grâce à l’argent de la rente pétrolière, avec l’aide des certains intérêts des pays étrangers et celle des armes acquis avec le même argent, en lieu et place des écoles et de l’éducation, des hôpitaux et de la santé, de l’eau, de l’électricité, des routes, du vrai travail et des vraies valeurs pour tous les congolais, du Sud au Nord, de l’Est à l’Ouest.
Avant de terminer notre conversation avec les trois diplomates, je leur ai posé la question suivante: “Pourquoi monsieur Sassou Nguesso serait-il le seul homme capable d’assurer et garantir les intérêts de certains groupes occidentaux, particulièrement français, au Congo-Brazzaville, et au-delà ses intérêts et privilèges personnels et ceux de sa famille et leurs obligés (alliés politiques), au détriment des intérêts du peuple congolais qui mérite de meilleures conditions de vie en général?” Je ne me souviens pas avoir eu une réponse claire et nette à ma question (sinon, je l’aurai partagée avec vous.)
Mbama Mwana Congo.
A Mr Mbama Mwana Congo,contrairement au Congo sous le pct et son tsar d’edou qui envoie les diplomates de pacotilles ,ignorant leur role dans un pays etranger ou ils sont accredites passant leur temps a faire le business et a voler l’argent des etudiants les cas:Pascal Onguembi ambassadeur a l’havane qui est plus agent de services cubains qu’un ambassadeur representant les interets du Congo,l’homme qui pourrir la vie des etudiants,Isombo toujours parent de Sassou,ambassadeur toujours a l’havane qui menacaient les etudiants avec son arme personne quand ces derniers reclamaient leurs bourses,Abel wilson Ndesambeka qui a detourne la bourse des etudiants pour aller suivre le mondial de foot au mexique,les diplomates occidentaux savent ce qui se passe ils font semblant car Mr sassou est leur pantin qui sert leurs interets.
Mr Mbama Mwana Congo,les Congolais doivent mener cette lutte de liberation sans compter sur quelqu’un,Surtout ils ne doivent rien attendre des empires qui ont place leur pantin Mr Sassou.Le Congo doit etre libre par ses fils et filles en usant leurs propres moyens et leur intelligence.N’ecoutez pas ces diplomates dont nombreux sont des agents secrets de leurs pays respectifs et ont des informations de precises et de premieres de ce qui se passe au Congo.Les Congolais doivent se debarrasser de Mr Sassou en menant une lutte sans merci contre sa marionnette de l’empire francais de detruit le patrimoine commeun des Congolais depuis le 31 juillet 1968.Nous pouvons crier haut et fort,Abas l’OBUMITRI,ABAS LE PANTIN DE L’EMPIRE FRANCAIS AU CONGO,ABAS LA FRANCE,ABAS LES PILLEURS DU CONGO,ABAS LE TSAR D’EDOU.VIVA LE PEUPLE CONGOLAIS.LA LUCHA CONTINUA,LA VICTORIA ES CIERTA.PATRIA O MUERTE VECEREMOS.
Vous avez raison. Il a organisé deux élections présidentielles entre 1997 et aujourd’hui dont le taux de participation tourne autour de 5%, cela suffit pour prouver que les gens le desapprouvaient et desapprouvaient ses actions et activites et il a eu tout le temps, il a fait plus que son temps. Il n’a qu’a s’en aller calme. Il savait bien que les gens allaient manifester leur mécontentement. Il est qui pour s’accaparer tout un pays, et 4 millions d’habitants en majorité pauvres et abandonnés a eux memes? Aucune personne ne devrait soutenir Sassou. Toute le monde, toute la communauté internationale, africaine, congolaise devraient tourner le dis a Sassou ou le conseiller cde partir calmement. Ce qu’il fait est trop sauvage. Il a pris le pouvoir en tuant. Il dirige d’une main de fer en tuant et il veut continuer comme ça, que personne ne parle, ne boude, ne s’oppose a son mauvais comportement anti démocratique, mais il faut appeler cela démocratie? Ça. Veut dire qu’au Congo, il est le seul a gagner les élections, puis qu’il remplit les urnes avant les élections? S’il a décidé de mater le peuple qui manifeste pacifiquement, est-il capable d’accepter de perdre les élections? S’il perd les élections, il va refuser la passation de pouvoir et il va se maintenir en mettant l’armee dans la rue pour mater le peuple, le tuer, l’agresser, pour qu’il se maintienne au pouvoir. Donc, dans un cas comme dans l’autre, il va tuer la population! Puis il ira oser jouer au médiateur en république centrafricaine… ou il va plutôt inciter sournoisement a la guerre, distribuer les armes puisqu’il est pyromane. Allez y comprendre, c’est un bandit écervelé, sanguinaire, psychopathe. Il ya alternance démocratique partout. Et il ya un temps pour chaque chose et pour toute personne. Il n’est pas éternel. On ne lui demande que de PARTIR. Et nous LAISSER avec notre pays.
Texte à vraiment PARTAGER…
A ce que j’ai lu, Mr Mbama Mwana Congo n’a pas demandé aux diplomates de venir se battre à la place des congolais pour leur liberation.
Il a expliquer ceux qui ne comprenaient pas ou font semblant de ne pas comprendre la situation électorale dans le pays. Et je crois qu’il n’a pas tort.
François HOLLANDE au cours de sa conférence de presse à Paris vient de donner quitus à Sassou quand à son référendum.
Au moins les choses sont claires plus la peine de se poser la question quand à la position de la France.
Le peuple Congolais ne peu compter que sur lui même.
Il y a quelques jours le Parti Socialiste a donné une position claire au sujet du référendum qui se profile à l’horizon. Le PS s’est donc opposé à cette initiative de coup d’état constitutionnel et à ses conséquences sur la paix dans notre pays le Congo. Aujourd’hui cette position ne semble pas réitérée dans les médias français par le PS alors que le pouvoir congolais est entrain de perpétrer des crimes. Nous constatons curieusement que c’est le Parti de Marine LE PEN, par la voix de Louis ALIOT qui a clairement interpellé le Conseil Européen en ces termes : » ….que compte faire le Conseil Européen pour contraindre le Président congolais à respecter la Constitution de son pays ? Le Conseil compte-t-il demander à la France, dont la classe politique a été et reste très proche du Président congolais, d’exercer son influence pour que cesse cette violation manifeste du Droit ». Quel que soit ce que l’on peut penser de cette déclaration de Louis ALIOT, elle a au moins le mérite de poser ce problème de façon pertinente. Face au revirement remarquée côté PS par l’attitude du Président HOLLANDE, nous pouvons dire dès ce jour que nous choisirons désormais à qui donner nos suffrages à la fin de ce septennat car nous sommes tout de même nombreux – les Congolais – ici en France a avoir une double nationalité et à donner régulièrement ces suffrages au PS chaque fois qu’il y a des élections en France. Il faut que nous le fassions savoir à ces faux amis.
Mr. MBAMA,
Vos amis diplomates sont aveugles ou très naïfs. Alors, se sont de petits bleus sans envergure politique. C’est connu de tous, aucun putschiste ne peut organiser de vraies élections. Aucun.
Car, il sait qu’en cas d’échec, la pendaison sera la sentence de la justice.
Il triche, manipule et corrompt. Tes amis ne le savaient donc pas? Au point de ne pas comprendre le rejet du Référendum par la population congolaise?
Nous voulons un Etat de droit. Assainir le pays de la souille du PCT et du clan Sassou. Le pays est dirigé par des ripoux, des usurpateurs qui ont pour culture; la fraude, la violence et le détournement des fonds publics. Et tout ce ci, ces diplomates l’ignoraient?
Mr. MBAMA, vos fréquentations sont des gourdes et des comédiens!
effectivement nous sommes surpris du silence des dirigeants français ;nous ne demandons pas a nous faire aimer mais au moins un peu d’humanisme puisque ce pétrole pour lequel nous payons cher de nos vies depuis les 33ans que ce bourreau et ses sbires sont aux commandes ne nous rapporte absolument rien sassou aime le sous sol congolais mais pas les congolais;il préfère distribuer 12euros a chacun des habitants de son quartier en Espagne qu’aux congolais;il préféré prêter l’argent du congo a ses amis pour préserver ses relations afin qu’ils l accueillent au besoin;vous comprenez que si sassou aimait son peulpe il lui garantirait au moins le minimal vital l’eau Electricité et revoir le système scolaire et sanitaire; cet egoiste ne pense qu’a lui mais son heure viendra .l’histoire nous a appris pire:duvallier pinochet mobutu hitler amine- dada ndow…ou sont -ils ;comment ont ils finis,
quand a la france je recommande aux franco congolais d’aller faire valoir leur voix aux urnes .puisque de toutes les façons quelque soit celui qui sera élu notre quotidien reste le même alors donnons nos voix a ceux qui nous disent vivement ce qu’il pensent de nous qu’aux faux amis alors pesant même a moindre incidence en 2017.
Hollande vous a demontre de quoi il est capable.
Moi president, je ferai des dictateurs ayant le petrole mes amis. (pauvre Compaore, fallait dire a Total de venir a Ouaga chez nous depuis longtemps, on serait encore ensemble.)
Vive Hollandiaaaaaa
A la dernière question de Mbama Mwana Congo aux trois diplomates, « Pourquoi Mr Sassou serait-il le seul… » voici la réponse, claire et nette:
Parce que Sassou, lui, est le MEILLEUR Offrant envers la France, en tous domaines :pétrole, sang humain, financement de tous les hommes politiques français – comme Bongo -, suivez mes doigts pour 2017…, bois, services pendant les bons cultes de la nuit, femmes (parcourez les rédactions des journaux français (même à Madame Figaro), ….
Hollande vient de vous le démontrer en direct, en face, ce 21 Otcobre 2015, sans aucune vergogne, sans gants, sans passer par un piètre porte-parole, sans mouchoirs, sans scrupule, droit dans ses « Moi »: Moi, president, je ferai des dictateurs ayant le pétrole mes amis (sauf Compaoré le pauvre qui n’avait pas le pétrole), Moi président, je vous ferai chier, vous les congolais et vous les francais qui détestez notre grand Serviteur Sassou Nguesso; Moi president, je ferai du Congo le « premier laboratoire de mes nouvelles idées: changeant-changeant », Moi president, je rendrai heureux notre meilleur Serviteur, le maître-frère Denis, toujours de bienvenu au Palais, jusqu’à sa mort. Moi president, je ne refuserai pas les « sacs venant d’Arfique centrale, pour 2017. »
Moi le Français (de souche et de race blanche!!)
J’ACCUSE François HOLLANDE lors de son discours de Dakar en 2014, d’avoir laissé croire au peuple Congolais qu’il pouvait espérer lui aussi accéder à la démocratie et pour cela compter sur la France.
J’ACCUSE François Hollande par ses dernières paroles du 21 octobre à Paris lâché ce même peuple à qui il avait donné de l’espoir pour préserver les intérêts égoïstes de la France.
J’ACCUSE les médias FRANCAIS d’être par leur silence, complice de cette France Afrique qui perdure et d’être assujetti à la censure.
Aujourd’hui j’ai honte, car cette France là n’est pas ma France des droits de l’homme et des libertés.
Le gouvernement Français n’est pas le peuple de France comme Sassou et le PCT n’est pas le peuple Congolais.
Roger
Des urnes bourrées retrouvées au domicile de mme le Maire de Madingou qui malheureusement a subi la loi du peuple de Madingou survolté
LE PLUS FORT N’EST JAMAIS ASSEZ FORT POUR ETRE TOUJOURS LE MAITRE