Certains membres de la diaspora, surtout française, incapables de s’organiser réseautalement et vides de sens politique, se précipitent pour être l’adversaire de référence face au président Sassou.
Dans quel univers politique vit le Congo depuis son indépendance ? C’est un univers d’immaturité politique et de prise de position en fonction de ce que l’on est et des intérêts à défendre, comme le clame à haute voix le modèle sociologique et politique du paradigme de Michigan. Le paradigme de Michigan est un modèle explicatif du vote qui naît dans les années 1950 en réaction au déterminisme avancé par le modèle sociologique de Lazarsfeld depuis les années 1940. Le modèle du paradigme de Michigan, fondé sur l’identification partisane des électeurs, déclare que toute prise de position partisane reflète la sociologie personnelle et la manière de vie de l’individu. Nous sommes au cœur de ce modèle car on voit apparaître des candidatures multiples face au président Sassou. N’en dépaise à certains aux émotionnels, le Congo vit dans un modèle réseautal depuis les indépendances et le réseau se transforme au gré des Présidents (Youlou, Massamba-Débat, Ngouabi, Yombi, Sassou, Lissouba et Sassou) qui ont gouverné ce pays.
Andreas Gombet
Andreas Gombet, président du collectif Sassoufit, qui a longtemps vilipendé depuis Paris la politique économique et sociale du président Sassou, décide de se présenter contre lui car il estime que la relève est arrivée. Le problème est que Andreas Gombet propose une candidature qui n’engage que lui, c’est son droit, et qui ne repose sur aucune colonne vertébrale au plan politique, économique et social. Qui est Monsieur Andreas Gombet ? Quels sont ses faits d’armes sur le plan politique, économique et social ? Quel est son itinéraire intellectuel et politique ? On attend avec gourmandise qu’il nous le dise dans une conférence politique à Paris pour renseigner les Congolais de la diaspora et les partenaires économiques et financiers du Congo Brazzaville. Il faut sortir des schémas faussement démocratiques qui consistent à dire, qu’au nom de la liberté et de la majorité politique et institutionnelle, n’importe qui peut se présenter à l’élection présidentielle. Monsieur Gombet a longtemps combattu le président Sassou à travers son collectif Sassoufit. Il ne nous revient pas de décliner les raisons pour lesquelles Monsieur Andreas Gombet a combattu le président Sassou et on peut penser que son collectif était opposé à la gouvernance Sassou. Monsieur Andreas Gombet veut se présenter à l’élection présidentielle, c’est son droit mais on attend qu’il décline des propositions politiques théoriques pour l’action en matière d’agriculture, d’éducation, de santé et d’aménagement du territoire pour le bonheur et la cohésion sociale du pays-réseau Congo traversé par les positions clanico-tribales et ethniques. Monsieur Andreas Gombet sera-t-il capable d’expliquer aux Congolais comment passer d’un réseau clanico-tribal depuis l’indépendance, vers un réseau système ouvert au sein duquel tous les Congolais, quelles que soient leurs origines et leur appartenance ethnique et en fonction de leurs compétences, sauront servir leur pays le Congo
Denis Chrystel Nguesso
Le Congo Brazzaville est un pays bizarre. On dénie à Denis Chrystel Nguesso, le fils du président actuel de la République, le droit de se présenter à l’élection présidentielle aux motifs qu’il est le fils de son père. Soyons sérieux, si on veut la réconciliation nationale et resserrer le tissu social, Denis Chrystel Nguesso a les mêmes droits que Andreas Gombet. Certains diront que si Denis Chrystel Nguesso se présente, on est dans le cadre d’une République héréditaire. Allons jusqu’au bout. On dénie à Denis Chrystel Nguesso le droit de se présenter car sa mère est RDC, ex-Zaïre, et son père, le président Sassou, congolais. Que Monsieur Andreas Gombet décline sa filiation au nom de l’équité et au nom du principe de la transparence. Ce n’est pas mon problème, mais c’est un élément du débat qui est important et qui doit être examiné. La constitution des Etats africains par la puissance coloniale française a introduit des marqueurs territoriaux indélébiles, à tel point que certains ressortissants de territoires extérieurs réclament leur appartenance au territoire dans lequel ils sont nés, même si leurs parents étaient extérieurs au Congo. On a vu des Cabindais nés au Congo devenir congolais alors que par nationalité ils sont angolais. Sur Congo Liberty certains s’interrogent à haute voix sur le nom et la provenance de Monsieur Andreas Gombet. Ce n’est pas mon problème car, en tant que modeste intellectuel, je soulève des questions, je n’ai pas de solution et j’attends que les intellectuels et historiens érudits congolais sédimentent mon questionnement.
Anatole Libongo-NGoka
Mingwa Biango, gestionnaire du site et éditorialiste sur Congo-Liberty, s’étonne d’une candidature éventuelle de son cher grand frère Anatole Libongo-NGoka à l’élection présidentielle de 2021 car il estime, et je reprends son texte, que « Tout candidat à la présidentielle de 2021 est corrompu et complice des crimes de sang et économiques de Sassou Nguesso ». Mingwa poursuit : « Il faut une période de transition démocratique, à définir avec un exécutif bicéphale composé d’un membre de la société civile et un membre du commandement militaire ». Les préconisations de notre ami Mingwa sont justes et salutaires. En revanche, il n’a pas totalement compris le fondement réseautal de la vie politique congolaise qui est devenu faussement démocratique après les années 90 et la volonté du président Mitterrand (Conférence de La Baule) d’obliger les régimes politiques africains à recourir au multipartisme et à la démocratisation de la vie politique. La politique n’est pas une affaire de conviction au Congo, les convictions de la part des hommes politiques sont d’abord privées et ensuite privées et surtout matérielles et financières car la plupart sont nés pauvres. La politique a enrichi les hommes politiques congolais. Il n’y a pas de conviction chez la plupart des hommes politiques congolais qui parlent de l’intérêt général alors que leur conscience politique n’est pas irriguée par une histoire de cohésion et d’action pour l’intérêt général.
Andreas Gombet, le coordinateur du collectif Sassoufit, pense être la solution idoine pour remplacer le Président Sassou mais qui est-il au sein du réseau congolais pour le décider et pour se présenter ainsi ? Quels sont ses faits d’armes ? Quelle est son expérience, au-delà des disciplines académiques éventuelles ? Qu’il nous décrive sa vision du monde sur le plan de la géopolitique et l’organisation de la gouvernance mondiale. Comment compte-t-il apporter des réponses concrètes aux énormes difficultés financières que rencontre le Congo ? Au-delà de son ambition privée légitime de se présenter à l’élection présidentielle, quelle est son approche macro-sociale, gouvernementale, juridique, financière et politique d’un nouveau Congo à édifier ? Les remarques concernant Andreas Gombet sont les mêmes concernant Anatole Libongo-NGoka.
Que l’on s’entende bien, il ne s’agit pas pour moi de m’opposer à la candidature à l’élection présidentielle de Andreas Gombet ou de Anatole Libongo-NGoka ; mais à haute voix on peut s’interroger pourquoi Denis Chrystel Nguesso ne pourrait pas aussi se présenter à l’élection présidentielle et il serait soumis aux mêmes feux de questionnement sur son modèle de politique économique et gouvernementale pour un Congo nouveau, même si le fils du Président a produit un opuscule sur le Congo « Ce que je crois ». Cet opuscule est une ligne générale et non pratique d’une gouvernance politique et financière pour le Congo.
Que tous les Congolais qui souhaitent se présenter à l’élection présidentielle articulent deux choses : que veulent-ils pour le Congo et comment concrètement pensent-ils financer les dépenses publiques, sociales et financières énormes qui permettront au Congo de retrouver une cohésion sociale. Si ce n’est pas le cas, le reste n’est que bavardage et non remise en cause du modèle réseautal Congo tel qu’il fonctionne depuis l’indépendance.
Lucien Pambou
Professeur titulaire de Sciences économiques en France, ancien éditorialiste politique sur Africa 24
Homme politique franco-congolais (conseiller municipal UMP 2008/2014) soucieux de la santé de son pays d’origine, le Congo-Brazzaville
Florent Ondaye · 38:12 QUEL EST LE VÉRITABLE JEU D’ANDRÉA NGOMBET ET DE SON MENTOR GUY MAFIMBA ?
APRÈS AVOIR ÉCHOUÉ AVEC LE TRAIN RÉGIONAL MAKOMÉ, L’OYOSAPIEN NOUS SORT SON TRAIN CORAIL ANDRÉA NGOMBET SUR RECOMMANDATION DU DALAÏ-LAMA
Trois ans durant dans le Tunnel, le train corail Andréa Ngombet a enfin sorti son jeu du brouillard, après avoir utilisé et profité du nom du Général Mokoko et de celui d’Okombi Salissa, pour se frayer un chemin… Comme quoi : un train en cache toujours un autre.
QUEL SERA LE NOM DU PROCHAIN TRAIN… MICHELINE OU SOLEIL ?
Avant le procès du Général Mokoko, Andréa Ngombet, ce neveu d’Arlette Soudan Nonault, avait manipulé la fille de J3M dans le seul but inavoué d’empêcher Marc Mapingou de trouver les meilleurs avocats pour la défense du Général du peuple… Il avait cru atteindre Mapingou à la cheville… Peine perdue.
Andréa Ngombet, ce prétentieux, ambitieux, carriériste, irrespectueux et imbu de sa personne, pour ne pas dire gonflé, est passé dans tous les médias et réseaux sociaux, souvent avec son mentor Guy Mafimba, pour dire au monde entier et pour entuber les congolais QU’IL N’Y AURA PAS D’ÉLECTIONS AU CONGO EN 2021 SANS LA LIBÉRATION DES PRISONNIERS POLITIQUES ET D’IMPOSER DES PRÉALABLES SI DIALOGUE IL DEVAIT Y AVOIR… Il n’y a que le Russe de Dijon qui ne le sait pas pour oser exiger des preuves au compatriote Devoir Sacré.
À TOI SADIO MOREL KONTE, TOI QUI EXIGE DES PREUVES SUR
1- LA SITUATION SALARIALE DE GUY MAFIMBA
2- SUR TA CONSOMMATION DE CHANVRE
1- Commence par poser la question à Guy Mafimba et Andréa Ngombet qu’ils te disent à qui appartiennent ces numéros téléphoniques, ensuite reviens nous dire la vérité :
00242057515110
00242057000037
00242055512111
2 – Je confirme que tu consommes le chanvre aux côtés de ton amoureux Armand Madziono, compagnon du « mbenda-bika – Je t’aime moi non plus »… Lelo bitoumba na casse sous l’effet du chanvre, lobi libala.
À TOI LE RUSSE DE DIJON, pourrais-tu nous dire où est ce qu’Andréa Ngombet trouvera les 25.000.000 cfa exigés pour le dépôt de garantie à l’élection présidentielle ?
Où trouvera-t-il l’argent pour sillonner le Congo profond pendant la campagne… Au Tibet ?
Nous, amis de Nelson Apanga, ce jeune compatriote qui a dit non au système SASSOUYIEN comme le Général Mokoko et le ministre Okombi Salissa, avions eu raison d’anticiper et de dénoncer le jeu caché de ce duo tibétain.
A TOI HERMANN YOKA, de quel courage parles-tu, celui de la trahison et de la bêtise ? On comprend aisément pourquoi les activités de ton Association LE MUR POUR LE GÉNÉRAL MOKOKO sont amorphes… Tu es immature, sans conviction… Il ne te reste plus qu’a teindre tes cheveux gris en rouge vif PCT.
LA PROCHAINE FOIS, NOUS RENDRONS PUBLIC LES ÉCHANGES ENTRE KIKI SASSOU NGUESSO ET GUY MAFIMBA
À TOI GUY MAFIMBA, pourquoi as tu fui la caméra et le micro que tu affectionnes bien ?
Comme le dit souvent mon frère BOB EBAKA…. MIYIBI !!!
NOTRE SEUL CANDIDAT DEMEURE LE GÉNÉRAL DU PEUPLE JEAN MARIE MICHEL MOKOKO ET IL N’Y AURA PAS DE DIALOGUE NI D’ÉLECTIONS SANS SA LIBÉRATION ET CELLE D’OKOMBI SALISSA
ALLEZ ! FOUTEZ NOUS LA PAIX, ESPÈCES DE TRAITRES OYOSAPIENS
ANDRÉA EST COMME LE DIABLE QUI A TOUJOURS ÉTÉ NOTRE SILHOUETTE.
Eustache Lekondza
Ngombet Andréas: neveu de Nonault Soudan Arlette (elle-même nièce du sanguinaire président du Congo brazzaville depuis 1977, et femme de Soudan Francois de Jeune Afrique, celui-ci étant lui-même un conseiller occulte du même sanguinaire….)
La totale lumière finira par se faire voir.
Je plains tous ceux et celles – comme moi-mème, qui ont participé au soutien financier et materiel du mouvement « Sassoufit ». Ces petits euros que nous gagnns a la sueur lourde de notre labeur, voilà comment on est spoliés par des truands du genre de Ngombet.
Le gars nous jouait si bien son « jeu familial », jusqu’à se faire « blesser » a l’ambassade du Congo pour « bien faire croire » son serieux dans le combat contre celui qui au fond le finance.
Voyez-vous, à ce jeu, beaucoup de compatriotes épris de démocratie et de liberté sont affailblis dans leurs élans de soutiens multiformes.
Ngombet Andreas: neveu de Nonault Soudan. On comprend aisément maintenant les facilités avec lesquelles ce jeune, sans baggage intellectuel prouvé, accédait très très facilement aux salles de rédactions des médias français: TV5, France 24, Jeune Afrique, …, ces mèmes medias qui refusent d’accorder leurs micros et colonnes aux vrais opposants congolais.
Ngombet Andréas, comme Missamou Tchicaya: mèmes itinéraires, mème idéaux: des tricheurs, des manipulateurs, des faux, des truands, des usurpateurs, jouant si bien le jeu du bourreau incontesté de ce petit pauvre Congo.
Et croire que des gens comme Sadio Konte – fille de Poto-Poto comme Ngombet – sont là pour échoer (relayer) le discours desormaisn infeste de ces intrus, on a envie tout simplement de VOMIR.
Mais au nom – dit-on de la LIBERTE – Ngombet a surement le droit d’ètre candidat pour le bonheur de ceux et celles pour lesquels il travaillait deja, puisque son grand oncle, et son bel oncle Soudan, ont deja tout plannifé.
Merdique !
Ah bon !
Cher Lucien,
il est établi que dans ce pays, l’élection du président au suffrage universel a pour ressort principal l’organisation ethnique. Toutes celles et tous ceux qui l’ont ignoré l’ont payé très cher, c’est le cas de Mokoko. Il n’a été propulsé à cette popularité soudaine que grâce à un effet miroir (militaire, du nord, etc.) face au dictateur pour des Congolais qui ont toujours cherché un champion pour le dégager. La répression que subit Mokoko ne peut pas être exercée contre un champion, comme Kolelas, qui s’appuie sur une base ethnique importante. Ceci est aussi vrai pour Makaya.
Le taux de démographie ethnique détermine le rang que l’on occupe sur l’échiquier politique congolais et la façon dont on est traité par le système. C’est un fait.
Les ethnies à faible taux démographique trouvent toutes les astuces possibles pour arriver au pouvoir et s’y maintenir : de la confiscation du suffrage universel (1969 – 1990) à l’exercice permanent de la violence (1997 – 2021) pour imposer un pouvoir largement rejeté par les populations.
L’on peut aussi considérer que le bras puissant de la françafrique déjoue le clientélisme ethnique en imposant un candidat qui échappe à cette réalité. Si tel était le cas, on pourrait valablement se poser la question sur le sort réservé au dictateur avec tous les procès qui lui pendent au derrière.
Ce dictateur déploie toute son énergie pour échapper à un sort qui pourrait lui être fatal. C’est pour toutes raisons que je me permets d’affirmer qu’aucun des candidats que tu passes en revue ne pourra aller au bout de ses ambitions. L’élection présidentielle au Congo, à deux exceptions près (1960 et 1992) ne pourra jamais répondre aux canons d’une élection démocratique parce que le clientélisme ethnique l’emporte sur les programmes économique, social et culturel. C’est ici que je suis surpris que tu exiges d’un candidat à l’élection présidentielle au Congo un programme.
Après 60 ans, nous savons tous que l’élection du président au suffrage universel direct est le premier facteur de risques dans ce pays. La supprimer, sous sa forme actuelle, est certainement la solution parce que cela ne marche pas. Son bilan est négatif.
NOUS N’AVONS PAS BESOIN D’ÉLECTIONS. NOUS AVONS BESOIN DE JUSTICE ET DE LIBERTÉ. APRÈS, VOUS POURREZ ÉLIRE VOS BOURREAUX QUI SERONT OBLIGÉS DE RESPECTER LA CONSTITUTION. SI VOUS FAITES LE CONTRAIRE, L’IDIOT DE SERVICE VA CONTINUER D’ACHETER SES ARMES POUR SE CROIRE IMMORTEL.
Lucien Pambou,
Le courage et l’honnêteté intellectuelle devaient te conduire jusqu’au bout de ta pensée . Mais hélas, tu veux toujours embrouiller ton monde. Le message subliminal de ton texte est codé. Sassou pousse un non congolais pour légitimer la candidature d’un autre non congolais à savoir son fils kiki. Ainsi, la boucle est bouclée vu qui si ngombé se présente , alors pourquoi pas son fils qui est à moitié de RDC et au quart congolais et béninois.
Merci pour le message subliminal.
Lucien Pambou,
Vous avez très bien compris le contenu du texte de Mingwa et vous avez compris depuis très longtemps la substance de la politique congolaise, et il me semble que vous êtes sur la même longueur que Mingwa. Vous avez interpellé les politiques et les intellectuels. Je ne suis ni intellectuel ni politique, mais je me permets de faire une intrusion dans le débat.
La lettre de Mingwa à son grand frère signifie simplement que :
sassou n’organise jamais une élection présidentielle. Il organise une mise en scène électorale et fait appel à ses complices pour l’accompagner.
Les règles de transparence et de libre circulation ne sont pas correctes.
Le juge électoral n’est pas indépendant.
Et encore autre choses…..
Dans ces conditions, participer à une telle mise en scène est synonyme de complicité.
Une personne qui a encore toute sa tête ne peut pas évoquer l’idée d’une alternance démocratique au Congo car sassou nguesso est tout sauf bête pour pouvoir transmettre son pouvoir à une autre personne par le biais d’une élection qu’il organise lui-même.
Il faut être d’une naïveté maladive pour penser ne fut ce qu’un seul instant à une telle idée.
Celui qui pense cela devrait consulter avant de revenir aborder les sujets qui relèvent de la politique congolaise.
Tebola Babins
La plus grande réussite de la France, c’est d’avoir créé les conditions depuis sa défaite de 1870 face à l’Allemagne (guerre franco-prussienne) pour reconquérir son rang d’Antan perdu, en se lançant dans la conquête coloniale. Elle a gagné sur tous les plans : 3ème puissance diplomatique derrière les Etats-Unis et la Chine ; 5 /6ème puissance économique et 2ème économie européenne. Un bilan qui ne peut s’expliquer que par le maintien des anciennes colonies dans un périmètre politique et économique qu’elle continue à contrôler et administrer. Ce système politique que nous avons hérité de la colonisation n’avait pas le développement des autochtones comme objectif. Malgré cela, nous avons tout conservé : un système éducatif hors sol; une administration pléthorique et inefficace et une organisation de l’Etat sous forme d’Etat-nation, système qui consiste à confier à un seul individu toutes les clefs de l’Etat dont il dispose à sa guise. Cet héritage, jamais
remis en question par les Africains, est bien la cause des malheurs de tous les pays africains colonisés par la France. D’aucuns argumenteront que cela marche au Bénin. Est-ce réellement le cas ? Certainement pas si je me réfère à l’article des Echos : « Le régime de Patrice Talon, vanté jadis comme réformateur libéral, vire à l’autoritarisme. Des émeutes ont éclaté après des législatives verrouillées dans ce pays jusqu’ici considéré comme une démocratie modèle en Afrique » (les Echos).
Partant de constat, nous devons élever le débat pour le hisser au niveau où il s’affranchit des croyances en un homme providentiel qui va porter les espoirs de toutes les populations. Un niveau qui doit permettre aux pays africains de penser différemment leur être économique et social en donnant la primauté de toute initiative politique et économique à la base. Horizontalisons notre façon de vivre la politique en accordant aux régions le droit de choisir et de conduire leurs affaires économiques et sociales parce que les décisions politiques et économiques doivent être prises au plus près du citoyen avec un niveau régulateur qui garantit l’égalité de tous devant la loi. Nous avons le droit inaliénable de dire « non » à un système qui n’a jamais transformé en réalités tangibles la fameuse devise : Unité, Travail, progrès parce que l’élection présidentielle au suffrage universel direct atomise les populations en petits groupes qui se construisent autour de l’ethnie. Chaque progrès dans le sens de l’unité s’estompe à l’approche de la compétition de l’élection au suffrage universel direct du président. Chaque ethnie se bat pour la fonction suprême et transformer les autres en simples exécutants, des porteurs d’eau qui qui entretiennent un système qui ne profite qu’aux impétrants en occupant tous les postes stratégiques par affinités ethniques au détriment de la méritocratie. Toutes ces compétences mises à l’écart du pouvoir empêchent ce pays de se développer harmonieusement. Nous vivons le bilan catastrophique produit par ce mode de gouvernance.
L’ancienne puissance coloniale a toujours combattu toute velléité de changement de structure politique dans nos pays. Tous les porteurs du projet fédéraliste ont, pour certains, fini dramatiquement, pour d’autres rangé aux oubliettes de l’Histoire. Le débat que nous avons ici découle directement de la volonté farouche de maintenir le système d’Etat-nation qui ne marche convenablement nulle part en Afrique.
Les fédéralistes ne sont pas de ce débat parce que nous voulons radicalement changer de paradigme et ne croyons pas à un « deus ex machina » quelconque capable d’engager le pays sur la voie du développement et d’une paix durable. Nous ne marchons pas par la foi mais par la raison qui nous interpelle sur le bilan négatif de l’Etat-nation. En clair, nous sortons du débat des candidatures à une élection présidentielle dont le rapport de forces est en faveur du dictateur qui ne les organise pas pour les perdre. Nous sommes résolument dans la résistance et pour un changement radical du système parce que nous sommes persuadés que la paix dans ce pays ne viendra pas des élections au suffrage universel direct.
un reveur payer BOwao, c’est un pion du systeme
Mes très cheres sœurs et très chers frères,
2021 va être à l’image de 1992.
Oui, le NORD face au SUD. Si cela a lieu effectivement.
Autrement dit la solution la plus simple va être la SCISSION du Congo Brazzaville en :
Etat Kongo au SUD
Etat MBochi au NORD.
Je suis précis. Pourquoi ? Il faut se référer à ce que dit Denis SASSOU NGUESSO au mois de Mai 2012 en MBochi chez lui en s’adressant aux Sages du NORD.
Je suis précis. Pourquoi ? Il faut se référer au propos tenu par les Généraux NIANGA MBOUALA et DABIRA au sujet de l’avenir des MBOCHIS.
Alors, 2021 toute diversion n’est plus acceptée.
@David londi,
Grooooooooooosse validation .
Notre radicalité prône une révolution mentale et institutionnelle sur la présidentialisation du pouvoir au Congo .
Le Congo ne gagne rien á organiser des élections présidentielles ,sauf á assouvir des desseins machiavéliques de ceux qui n’ont rien réussi á vendre leur sésame sur le marché du travail.
Tenez le pour dit .Un président de la république ,ce n’est pas synonyme de création des richesses .
Que ceux qui y postulent ,consultent des psychologues.
Á la limite ,c’est une cynique escroquerie intellectuelle .La nouvelle ère numérique nous dispense de nous appuyer sur des messies exotiques dont la motivation première est la satisfaction d’escalader la pyramide de Maslow ,sans la moindre difficulté .
Ce dont le Congo a , urgemment besoin , ce sont des politiques publiques appliquées á leurs problématiques sociales ,un premier ministre ,bien encadré ,peut le faire .
Un président ,pourquoi faire ?
Il n’y a que des malades mentaux pour y croire.
Bande des voleurs potentiels. Baniamaaaaaa.
En filigranne, l’auteur veut nous faire comprendre que Ngombet comme kiki ne serait qu’un demi congolais! En tous cas tous les deux seraient porteurs de sang etranger!
Aux congolais de comprendre ce que tout cela veut dire dans la tete des politiciens de notre cher pays.
RESTER CONNECTÉ SUR CONGO-LIBERTY.COM… LES RÉSISTANTS PARLENT AUX RÉSISTANTS…
INQUIÉTÉ PAR LE F.M.I, LE TYRAN SASSOU DÉCRÈTE « OPÉRATION DIVERSION » DE LA DIASPORA CONGOLAISE. EXPLICATION https://www.youtube.com/watch?v=0btw7wGoZbM
Oui, Val de Nantes, nous n’allons pas mêler nos voix au débat surréaliste sur les présidentielles congolaises. Nous, les fédéralistes, le laissons à celles et ceux qui sont suffisamment naïfs pour croire que l’on peut aux élections avec un dictateur et les gagner tant que le rapport de forces est en sa faveur. Au-delà de cela, nous pensons que l’Etat-nation n’est pas et ne sera jamais une solution dans ce pays. Dans ce système un président peut être élu démocratiquement mais qu’en sera-t-il à la fin de son ou ses mandats ? Qu’en sera-t-il de son successeur ou du successeur du successeur ? Seront-ils aussi démocrates pour respecter la constitution ? Personne ne peut en être sûr. Pourquoi confier la gestion du pays à des situations aussi aléatoires ?
La nationalité des candidats à l’élection présidentielle est définie dans la constitution.
Si le fils sassou rempli les conditions définie dans la condition, il n y a aucune raison qu’il n’ai pas le droit de se présenter à une présidentielle.
le problème est que :
-la constitution en vigueur est contestée.
-la gouvernance électorale est contestée
-le pouvoir est illégitime et contestée
la boucle est bouclée, pas d’élection viable, transparente, civilisée dans des telles conditions. Donc ni ngombet, ni sassou fils, ni limbongo ne sont légitimes, Ce sont tous des complices de la dictature.
Il n y a pas plus simple à comprendre
Citoyen libre,
Lucien Pambou va plus loin. Il vend l’information selon laquelle Kiki sera candidat en 2021. Ngombé, le cabindais , ne sera là que pour servir de faire-valoir à la candidature de Kiki. Si on accepte Ngombé , alors on doit aussi accepter Kiki.
Sassou est très rusé pour rouler son monde dans la farine.
Monsieur Lucien Pambou,
Votre réflexion est pertinente, mais porterait tout de même une certaine dose de subjectivité pour ne pas dire qu’elle est partisane. Pourquoi diable opposez-vous la candidature d’andréa Ngombet à celle de Denis Sassou Nguesso? A mon humble avis, vous ferrez mieux de s’assurer que le programme politique de Denis Christel Sassou Nguesso rencontre les aspirations du peuple congolais, au lieu de mettre en doute la candidature d’un concitoyen qui pourrait incarner le renouveau face à Denis Christel Sassou-Nguesso dont la candidature rentre dans la droite ligne de la continuité qui hypothèque tout espoir de démocratisation. Andréa Ngombet aurait beau être à la solde du pouvoir, mais son audace redonne espoir.
Cher Lucien pambou je prie notre bon dieu, que tu revienne au bon sentiment , car j’apprécie beaucoup ta rédaction ! En effet moi j’ai été alerter il y’a deux ans par un jeune frère qui fréquente les beaux milieux parisien de la liaison dangereuse entre Mafimba , Mariotti , Okamba et notre fils Ngombet . Ce dernier comme 85% de ces aînés à été formé à la Fac ,une usine des chômeurs , or avec un BEP, BTS ,DUIT ou diplôme d’ingénieur tu trouve du boulot facilement , cependant notre fils avait certainement des fin de mois très difficile il a succombé à la corruption de Sassou , on comprend aisément qui à payer les voyages de ces rigolos au Tibet et à Kinshasa (RDC) . Cher Lucien soyons-en sûr que cette barbarie Mbochi ne survivra pas sans argent et ses jours sont comptés , par ce que le dossier du congo reste irrecevable au FMI faute de transparence .
ÉLECTIONS YA BANINGA BO KOTA TÉ.
DIALOGUE YA BA ZOBA BO KOTA TÉ.
NÉGOCIATIONS NA FMI, ETALI BISO TÉ. BA KO PESA YÉ MBONGO PO AZALI SOLDAT YA BANGO. BA PESA , BA PESA TE, IL FAUT TO LAMUKA PO NA KO KENGUELA MBOKA NA BISO.
MUNDELE ALINGUI BA ZOBA LOKOLA BA sassou.
Un président du Congo,pourquoi faire ?
Mais enfin ,il vous faut de morts pour vous en dégoûter?
C’est quoi ce sadomasochisme politique ?
Comment peut on être amoureux d’une fonction cannibale ?
Dites nous quel plaisir en tirez vous ,au regard de tous ces morts qu’elle occasionne?
Avez-vous réellement été sur les bancs de l’école , ce dont j’en viens á douter.
Même les chiens auraient été plus cartésiens.
J’ai honte pour ce pays.
Incroyable !
Si ce pays n’avait pas existé ,il fallait métaphysiquement le créér .
Président ,président ,président .Libomaaaaaaaaa.
Lucien Pambou ,
En France, Professeur titulaire n’est pas un titre. Cela veut simplement dire que l’on est fonctionnaire à l’edu nationale. Aussi, arrête d’embrouiller le monde en voulant faire croire que tu es professeur d’université alors que tu as un CAPES et quelques charges de cours dans des instituts universitaires formant aux BTS, DUT.
A tous les Congolais qui pensent que Sassou peut partir sur une simple foucade. Il ne s’agit pas de valoriser Sassou mais de comprendre pourquoi le président Sassou est si longtemps au pouvoir.
1/. Je pense que le président Sassou a lu le prince de Machiavel. Tout accès au pouvoir est fondé sur une observation lente des acteurs du pouvoir.
2/ Sassou à éte un habile observateur, jeune lieutenant il a regarde depuis les annees 60 la métamorphose des politiques congolais dont la caracteristique profonde a été la division regionale et la fausse cohesion sociale.les congolais n aiment pas que ces moments de verite soient mis sur la table car ces moments revelent leur caractere de traitise et de couardise au nom de la fausse unite nationale
3/ ON N AIME PAS BEAUCOUP PAMBOU LUCIEN SUR CE SITE CAR IL VIENT SANS DETENIR LA VERITE REVELER UN CERTAIN NOMBRE DE FAITS DE L ENTRE SOI ENTRE LES FAUX OPPOSANTS ET LA MAJORITE AUX AFFAIRES AU NOM DE L EXISTANCE DU RESEAU DONT LES FAITS RECENTS SUR LES CANDIDATURES A LA PREDIDENTIELLE DE 2021 ME DONNENT RAISON
4La theorie du reseau que j ai appliquee a la p)olitique congolaise vient en partant des articles presentes et discutes actuellement sur le site de me donner entierement raison.la plupart des congolais que nous sommes sommes des fourbes des menteurs et des laches plus guidés par l interet individuel que collectif malgré les beaux discours et cela le president Sassou l ‘a compris
ce n’est pas SASSOU QUI A CREE L OPPOSITION ENTRE LARIS (YOULOU) et KONGOS(Massamba debat) et entre mbochis et laris en 1958 et entre bembes et laris dans les annees 1990:2000 .Sassou en animal politique à sang froid a su en tirer des benefices politiques
a til su depasser cette posture est la une autre question. mais je mets tout sur la table de debat
5/ je remercie mon jeune frere mingwa de continuer a publier tous les articles des congolais qui peuvent eclairer le debat sur la situation congolaise.certains congolais sectaires dans l emotion à la manière de leurs maitres Français qu ils abhorrent mais dont ils respectent les pratiques souhaiteraient que seuls les points de vue qui les arrangent soient publies
MERCI MINGWA DE FAIRE TON JOB COMME TU LE FAIS EN REFUSANT LE SECTARISME.
MALHEREUSEMENT CERTAINS CONGOLAIS QUI GALERENT ICI EN FRANCE ET D AUTRES CHASSES DU POUVOIR N ATTENEDENT QU UNE CHOSE COMMENT AVOIR UN POSTE AU CONGO AVEC OU SANS SASSOU
CERTAINS D ENTRE NOUS DONT MOI FONCTIONNAIRE DE L ETAT FRANCAIS APRES SERVICES RENDUS A LA NATION FRANCAISE SERONT REMUNERES GRACE A NOS PENSIONS DE RETRAITE
ALORS POURQOUI J INTERVIENS POUR MON PAYS D ORIGINE LE CONGO
J AI DES COMPETENCES DE L EXPERIENCE DANS LES DOMAINES DE LA MACROECONOMIE FINANCIERE ET JE SOUHAITE LES METTRE AU SERVICE DE MON PAYS
.
JE N ARRIVE PAS EN DERNIER. TOUTES MES EXPERIENCES ET FAITS D ARMES SONT CONNUS DE TOUS ET VERIFIABLES EN FRANCE SUR GOOGLE EN TAPANT MON NOM ET PRENOM ET AUPRES DES AUTORITES ADMINISTRATIVES FRANCAISES
J E NE SUIS PAS UN PASSAGER CLANDESTIN COMME CERTAIN DE MES COMPATRIOTES GALERIENS ET QUI NE SONT PAS TOUS A LA GARE DU NORD
Bonne nuit et méditez bien
@ Pambou
Je pense que la plupart des lecteurs qui interviennent sur ce site ne connaissent pas personnellement Mr. Pambou pour l’aimer ou le detester. Par contre, on sait tous ici qu’il aime bien jouer aux petits jeux subliminaux pour faire passer des messages que nous n’apprecions guere comme celui de nous faire avaler la candidature de Kiki le Voleur et Bakala a bien su le relever. Quant aux commentaires faits sur Ngombet, sans adherer a sa demarche, je dis qu’il a un programme ou il etale sa vision et ses origines. Consultez-les simplement.
AUX CANDIDATS A L ELECTION PRESIDENTIELLE CONGOLAISE DE
2021
POUR UN MODUS OPERANDI ORIGINAL AVANT L ELECTION DE 2021
Je ne suis pas naif au point d’ignorer que tout programme de candidature est d ‘abord truffé de considérations et de principes généraux prompts a endormir les populations conglaises votantes
le peuple congolais pas tres au fait des modalites d ‘organisation de la democratie deliberative et participative comme cela se passe dans les pays occidentaux c est a dire dans les pays de nos maitres blancs dont les Français vont gober au nom de la variable ethnico clanico tribale les fausses promesses des candidats qui ne font que de promesses aux citoyens alors que la vie politique congolaise depend avant tout de la partie internationale du reseau congo( FMI CHINE FRANCE RUSSIE TURQUIE ETC ET AUTRES TRADERS DE PETROLE COMME TRAfigura)
Je propose intellectuellement au peuple congolais que les canadidats tout en conservant la globalite de leur’ programme presidentiel de le sequencer et de proposer les modalites intelliigibles en termes d ‘ objectifs d ‘etapes intermédiaires et de financement de chaque domaine choisi
SOYONS CONCRET .SI UN CANDIDAT CHOISIT DE PRIVILEGIER EN PRIORITE L AGRICULTURE AU CONGO
1/ qu il nous dise quelles sont les cultures qu il souhaite privieigier ( exportation ou alimentation domestique)
2/ avec quels partenaires etrangers le candidat souhaite il travailler sachant que les congolais que nous sommes nous n avons pas de culture agraire pour exploiter les sols marécageux argileux et sablonneux
3/quels types de partenariats publics prive peut on etablir
4/ comme vous pouvez le noter tout ceci est gratuit et participe de l analyse qui s appuie sur le concret et non sur des élucubrations.on attend secteur par secteur que les candiadats étayent leur programme global
6/ A VAL de Nantes et LONDI je n oublie pas votre volonte pour un federalisme institutionnel .je regarde les evenements avec luciditeet la France qui gouverne l ‘Afrique centrale dont le congo à travers ses interets économiques et le CFA ne veut pas entendre parler de federalisme.il faut créer un rapport de force en faveur du federalisme qui pour l instant reste à l etat de principes généraux et de discutation au sens hegelien
VOICI UNE METHODE DE DEBAT POUR LES PROGRAMMES DES DIFFERENTS
IMPETRANTS A L ELECTION PRESIDENTIELLE AU CONGO EN 2021 CELA NOUS CHANGE DE L EMOTION ET DES CONSIDERATIONS PUERILES ET ENFANTINES MATINEES DE CONSIDERATIONS ETHNICO TRIBALES TROP SOUVENT DE MISE SUR CONGO LIBERTY PAR CERTAINS D ENTRE NOUS CONGOLAIS
BONNEZSOIREE ET ATTENTION AUX MIGRAINES EMOTIONNELLES
Faites un sondage sur cette fonction Presidentielle ,et ramenez nous en les résultats.
Allez ,jusqu’au bout de vos rêveries.
Le Congo n’est pas un puit de pétrole pour satisfaire vos folies surdimensionnées.
Baniamas.
President ,President ,pour tuer et voler , dites nous ?
KIKI devrait d’abord se soumettre aux résultats des primaires au niveau du PCT. il devrait ensuite faire modifier la loi électorale. Rendre compte au peuple congolais sur sa gestion de la SNPC.