Que diable Macky Sall est-il allé faire à Oyo ? Par RIGOBERT OSSEBI

Sassou Nguesso et Macky SALL au cimetiere familliale des Nguesso à  kona kona

Sassou Nguesso et Macky SALL au cimetiere familliale des Nguesso à kona kona

Au Congo de Sassou Nguesso, plus que le négoce du pétrole dans les mains de l’avide Kiki 1er, ce qui se passe réellement à Oyo relève toujours du plus grand secret…

C’est pour cette raison que Télé Congo a été privée des images de la réception de Macky Sall, le président du Sénégal, dans la nouvelle capitale que notre tyran s’est offert. Arrivé vendredi 31 octobre, pour un séjour de 72 heures, par l’aéroport international-privé d’Ollombo, le Sénégalais avait dans ses bagages son ministre-conseiller-chanteur, Youssou Ndour qui devait assurer un « bégué show » (un spectacle improvisé).

Brazzaville était encore plongée dans le chaos. Ses habitants avaient subi d’énormes dégâts à cause de la très forte pluie de la nuit du 28 au 29 octobre et même la route du Nord avait été emportée à hauteur de l’académie militaire d’Etatolo ; le Burkina, en pleine révolte, retenait toute l’attention de toute l’Afrique. Pourtant à Oyo, toujours coupée des réalités du reste du monde comme à son habitude, c’était la fête ! Lors de la réception offerte sous une grande tente, devant un parterre de personnalités sénégalaises et congolaises avec des représentants du corps diplomatique, l’artiste-ministre venu de Dakar s’est plongé dans son rôle de griot. Exercice difficile pour Youssou Ndour, le « tombeur » d’Abdoulaye Wade dont nul n’ignore maintenant la proximité de la fille Sindiély avec le fils du dictateur congolais. Il a pu vérifier que Sassou ne pardonne jamais, ce qui justifiait le visage fermé que ce dernier montrait dans la courte vidéo diffusée par la télévision sénégalaise (et interdite à Brazzaville).

Alors, on ne peut que se demander si les quelques mots prononcés par Youssou Ndour, avant qu’il ne chante, n’avaient pas un double sens, un second degré, une pique, une moquerie à peine cachée : « Nous devons porter cette belle image. Nous sommes dans une ville en Afrique, au Congo. Y’a la climatisation. Y’a la lumière. Y’a les immeubles. Y’a les hôtels 5 étoiles. Y’a les voitures. Nous ne sommes pas dans la forêt ! » A chacun de se faire son idée… ! N’avait-il pas envie de poursuivre : « pendant que tout le reste de la population congolaise crève de faim ! »

L’allégeance du président Macky Sall envers son homologue et doyen congolais, alla jusqu’à se rendre en sa compagnie, au cimetière de Kona Kona, pour s’incliner devant les tombes de ses parents disparus. On savait que la Fête des Morts chrétienne était devenue une fête nationale imposée par le pouvoir dictatorial, mais que des chefs d’Etat étrangers s’y prêtent, pour eux, relève de la honte plus que du ridicule… !

Sassou a montré ses bœufs et sa laiterie à son invité, en évitant soigneusement de préciser que près des 3/4 de sa population ne pouvaient pas boire de lait ou si peu… ! Il s’est tout de même épargné de lui faire son fameux numéro de rodéo sur son cheval blanc, avec bottes et chapeau de cow-boy, qui aurait eu toutes les chances de se terminer par un vol plané avec atterrissage dans la boue ; comme ce fut le cas devant Faure Eyadema !

Il circulait également dans les délégations que l’enjeu de cette visite était la libération prochaine de Karim Wade, toujours enfermé à Rebeuss, la prison de Dakar. Pour d’autres, il était aussi question du vote du Sénégal en faveur d’Henri Lopès à la Francophonie. Beaucoup d’éléments à monnayer pour la partie sénégalaise… ! Les rumeurs de corruption du pouvoir sont de plus en plus insistantes à Dakar. La couverture d’un récent Jeune Afrique et l’article de promotion consacré au président sénégalais aurait coûté 300.000 euros… !

Alors que diable Macky Sall est-il réellement allé faire à Oyo chez le Diable Sassou Nguesso ? Il n’en sera sûrement pas reparti les valises vides comme tout bon visiteur qui honore celle ville et notre dictateur !

Une vidéo à ne pas rater qui nous prouve, s’il fallait encore une preuve, qu’il existe en fait deux Congo : un Congo paradisiaque qui s’est construit sur un ancien village de pêcheurs et  l’autre Congo infernal que nous avons fui ou que subissent toujours davantage tous les autres Congolais.

 

Rigobert OSSEBI

Diffusé le 4 novembre 2014, par www.congo-liberty.org

Sassou N’Guesso et Balkany : les mêmes goûts de luxe

 

Ce contenu a été publié dans Actualités, Actualités du Congo, Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

15 réponses à Que diable Macky Sall est-il allé faire à Oyo ? Par RIGOBERT OSSEBI

  1. Isidore AYA de Makoua dit :

    SOCIÉTÉ ET PROCESSUS DE CIVILISATION NOUVELLE A L’ÉCHELLE AFRICAINE !
    Anthropologie africaine – vous aviez peut-être dû le remarquer souvent que les insectes hument de manière répétitive la nourriture odorante. En effet, vous aviez beau les chasser, ils reviennent tous à la charge des odeurs que dégagent les aliments odorants – cela est dû au déterminisme naturel.

    Et pour cause – la mémoire des insectes ne dure que moins de 5 secondes, top chrono.

    Cependant, la mémoire individuelle ou collective des africains ou des congolais serait t-elle comparable à celle des insectes? Oui, c’est à peu près cela !

    Sinon, comment expliquer l’euphémisme de la mémoire africaine ou congolaise? Alors qu’est ce que le diable Macky Sall est-il réellement allé faire à Oyo(capital anti-démocratique congolaise) ou chez le Diable Sassou Nguesso ? Il n’en sera sûrement pas reparti les valises vides comme tout bon visiteur qui honore cette ville et notre dictateur !

    L’allégeance du président Macky Sall envers son homologue et doyen congolais, alla jusqu’à se rendre en sa compagnie, au cimetière de Kona Kona, pour s’incliner devant les tombes de ses parents disparus.

    On savait que la Fête des Morts chrétienne était devenue une fête nationale imposée par le pouvoir dictatorial, mais que des chefs d’Etat étrangers s’y prêtent, pour eux, relève de la honte plus que du ridicule… !

    Par conséquent, un individu ou un peuple qui ignore ou oublie vite, très vite son histoire, son passé et la réalité est celui qui se ridicule par lui-même, se décrédibilise et ne sera jamais respecté par des individus ou par des peuples qui ont une longue, très longue mémoire.

    La durabilité de la mémoire d’individu ou d’un peuple est dans la signification de la société et de la civilisation. On ne peut parler de respectabilité interraciale ou interculturelle d’un peuple que lorsque celui-ci s’affranchit dans le temps à l’euphémisme mémorial ou déterminisme naturel. Tant qu’à faire?

  2. Sassou a deja commence a negocier son exile au Senegal.

  3. DOCTORANT GALERIEN dit :

    IL N’Y A PAS MATCH ENTRE LE PATRIOTISME DES DIRIGEANTS SÉNÉGALAIS ET CONGOLAIS!
    Les Sénégalais sont des patriotes sourcilleux doublés d’habiles négociateurs et vous ne trouverez jamais un qui a une maison plus belle à l’étranger que celle qu’il a Dakar! cela dit tout par rapport aux nôtres.
    Un Sénégalais riche investit dans le développement communautaire et parfois à perte pendant longtemps quitte à développer son terroir! Simplement parce qu’Il est gêné d’être riche alors que d’autres galèrent.
    Qui le fait au Congo?

  4. Ibrahima Bouba dit :

    Nous ne sommes pas dans une république mais dans une Satrapie. Et ce spectacle fait plus penser à des orgies de mauvais goût, qu’à un dîner républicain où l’on discute de choses importantes. Et pourquoi ne réussi -t- il à n’attirer que des chefs d’état d’Afrique de l’Ouest ? parce que ceux ci sont alléchés par les prébendes volées sur l’argent du peuple, qu’il distribue comme un automate. Les waras ce sont donnés le mot et viennent à la mangeoire. Il n’a qu’un argument à la bouche : paix, sécurité et stabilité. Le développement ? Il n’en a rien à faire, avoir construit quelques immeubles en lieu et place de huttes dans son village, tient lieu pour lui de progrès. L’élévage et la laiterie, qu’il présente comme une grande réalisation ( pris encore une fois sur les deniers publics, n’est en réalité qu’un caprice. Les congolais attendront longtemps avant de manger le premier steack ou de boire le premier verre de lait.

  5. bilel dit :

    Lorsqu’on est fauché on s’adresse à Otsombé qui impose l’étape de Oyo pour faire fonctionner tout ce qu’il y a construit et se passer pour un dirigeant consulté. Le séjour de Oyo est rémunéré.

  6. Bouetafogo dit :

    Ils ne sont pas dupes ces Sénégalais, ils savent tout du pays du tyran, la communauté Sénégalaise est forte au Congo-Brazzaville, le Congo-Brazzaville est riche, très riche même, eux mêmes le disent, les pétrodollars ont disent long. Que chacun vienne prendre sa part, ceux qui ont la gestion du pays se comportent en antéchrist.

    Mais retenez bien ceci: le Sénégalais est patriote, il aime son pays, il investit chez lui. C’est ce nationalisme positif qui manque aux dirigeants subsahariens, au risque de se demander d’où viennent-ils ?

    Vous qui rodez autour du dictateur, sachez qu’en dépit des pétrodollars et de ces petits bling-bling inutiles, le Congolais manque de tout. Pas d’eau, pas d’électricité, la malaria sévit à cause de la saleté, les hôpitaux sont des mouroirs, les rues ne sont pas balayées, il n’existe pas de camions pour le ramassage des ordures, les routes sont analogues à celles d’un pays en guerre, les écoliers s’asseyent à même le sol alors que nous sommes producteurs du bois, la fièvre typhoïde (la maladie de la saleté) qui a disparu dans la plupart des villes africaines sévit encore au Congo, dans ce pays, la couverture sanitaire n’existe pas, quand le ciel s’assombrit, les Congolais ont les yeux hagards, c’est la psychose car la pluie est synonyme de tous les malheurs alors, qu’ailleurs, les populations pleurent cette pluie.

    Mais que voulez-vous, tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute. Le tyran adore ça.

    A qui le tour.

    Bonjour la République.

  7. Évitons d’utiliser d’une façon inflationniste le mot tribalisme dans les agissements de Sassou. Les intellectuels congolais doivent redresser le cadre des allégations dressées contre la gérance de la chose publique au Congo par Sassou et son gouvernement. Je suis congolais, certes mais mon éveil intellectuel m’interpelle d’utiliser un cadre cartésien afin de juger un phénomène. Surtout, lorsqu’il s’agit d’apporter une solution à un mal profond d’une société, dont le pire des équivoques soit le fait, qu’il a été imputé maladroitement par l’élite du pays. Ce sont les gens qui sont allés soi-disant à l’école, qui ont apporté le tribalisme au Congo.

    Cette approche me permettra de faire accéder à certains cerveaux, qui par leur distance culturelle, ne peuvent pas d’emblée saisir cette composante de la querelle inter-congolaise sur la portée du mot tribalisme utilisé çà et là dans nos différents discours.

    J’invite alors mes compatriotes de faciliter l’accès à un public plus large, en dehors du peuple congolais des problèmes qui gangrènent la vie communautaire au Congo Brazzaville sous le régime de Denis Sassou Nguesso.

    Pour le faire, je vais utiliser les dispositions universelles reconnues dans le code pénal utilisé de tous les états du monde. Cette démarche peut aider à apporter un jugement objectif sur le caractère des revendications émises par les détracteurs de ce régime.

    Il existe des délits qu’on appelle : l’abus de confiance et l’abus de pouvoir.

    Pour ceux qui sont très loin des sensibilités de la culture congolaise, ces deux délits forment en soi le chantre de se que le congolais appelle : tribalisme. Et puisque le tribalisme n’est pas un délit reconnu dans un code pénal, je demanderai à mes compatriotes d’utiliser dans l’avenir le plus souvent ces deux délits pour mieux illustrer les problèmes de la mauvaise gérance du Congo.

    D’emblée, il sera ainsi facile pour nous congolais, de confronter par exemple un président français sur son indifférence de réagir contre un soi disant président d’un pays d’Afrique ayant perpétré un tel délit lors de son mandat. Nous constatons amèrement qu’en cas de fautes graves de ce genre, qui sont d’ailleurs réprimées par toutes les sociétés civilisées du monde , qu’un  » président- préfet de la France  » sorte indemne de cette situation, sans blâmes, sans reproches par les autorités de l’hexagone, alors que cette même France la pratique farouchement contre ses anciens présidents. Il n’existe pas de nos jours, un « président français », qui après son passage à l’Elysée n’a pas eu des ennuis judiciaires.

    Seuls ces deux délits contre Sassou qui peuvent contribuer et aider la justice congolaise un jour à ouvrir une avalanche de questionnements pertinents sur les nominations, dont Sassou se serait permises des différentes postes de décisions dans les administrations étatiques et sociétés d’état; et non le tribalisme.

  8. Anonyme dit :

    Oui, tout flatteur ne vit qu’aux dépens de celui qui l’écoute…Congo zoba! Cela fait très longtemps que les ya Ngaris le savent et se le transmettent de génération en génération.Et ils savent où et chez qui trouver facilement notre argent. Malgré tout ce semblant de sérénité à Oyo, notre criminel en chef recherche pour lui et sa nombreuse progéniture un point de chute, de préférence en Corée du Nord, Cuba, Chine, Iran, Vénézuela ou chez Mugabe au Zimbabwué. Ceci est un avis aux agents immobiliers

  9. Au Webmaster, Votre site n’a-t-il pas une longueur de retard sur une information relative à la manifestation que se projette de mener un certain nombre de soldats de la fameuse force publique congolaise?

    En tout cas, l’information est sise sur le blog du Lyon de makanda.

    Afin de mieux la sérier et la relier en direction de la diaspora congolaise vivant en occident et en Asie, nous vous invitons à une déclinaison de son contenu dans les délais les meilleurs.

    Tenez: entre le 30 courant et le 06/12/14, les soldats vont dit-on occuper l’ensemble du territoire national. Motif? il porte à croire le contenu du communiqué sur la piteuse gestion des ressources humaines des soldats congolais par les tenants du pouvoir en place.

    A vous de nous éclairer mieux que mieux!

  10. A propos des difficultés de lever ensemble le débat sur le départ de sassou du pouvoir,

    Si les congolais peinent, depuis un certain temps de créer un climat serein capable de mutualiser leurs efforts contre la dictature de sassou, les mobiles sont nombreux. Citons en deux ou trois:

    – la guerre des égos souligne une inflation exponentielle du nombre des associations ou structures politiques usitées comme offre politique en direction des uns et des autres, sensés lutter contre la dictature. Dans les différentes rencontres entre membres de la diaspora, mieux vaut montrer pate blanche avant de prendre la parole. Le diplôme, surtout le doctorat ou celui d’ingénieur en ceci ou cela, constituent argument et applaudissements de l’auditoire sur un sujet dont l’impétrant, parfois, a du mal à organiser le contenu. Imbu du fameux rationalisme scientifique, ce dernier se vend mieux au travers de sa seule élocution, vrai sésame de reconnaissance de la part d’une assistance docile et tribale.

    Très souvent, le sujet évoqué manque de consistance parce que son contenu demeure purement classique. Cette situation est de nature de coller à un fort plagiat des concepts délavés dont la résonnance demeure creuse. Parce que la réflexions reste très faible devant l’importance de la tâche qui nous attend.

    Cette guerre des égos fait suite à un copinage entre certains démocrates et les membres du pouvoir péctiste. D’où une perte de temps inutile, puisque les vraies questions publiques ne sont aucunement convoquées à cet effet. Exemple: allons au Congo pour lever une autre amnistie ou construire des écoles voire des lycées. Le tout sans apporter d’innovations dans la politique éducative proposée. A cet effet, il semble que de telles proposions coulent dans le moule de la compromission avec le pouvoir de Brazzaville. Il s’agit d’un positionnement éventuel pour un partage des postes ministériels futurs.

    Je dis que l’amnistie est à l’origine de la perte de la démocratie et de l’hécatombe humaine qui s’en est suivie. Je retiens la pensée d’un démocrate qui a dit il y a trois ou quatre ans ce qui suit: » les démocrates reviendront au pouvoir avec la loi dans la main droite et la démocratie dans la main gauche » C’est cette position qui suppose une grande innovation du système judiciaire congolais qui doit habiter les prochains censeurs publics du pays. C’est là que se situe la VRAIE VALEUR AJOUTEE. Celle de la pensée Dynamique.

    -Le manque de vision sur la construction d’un débat idéologique susceptible de baliser durablement la construction démocratique de notre liberté. Ce travail non établi paraît s’éclairer dans une double vision: celle du kimuntu et celle de la création d’une coercition quasi nouvelle. Ce sont là deux débats qui se portent l’un et l’autre et vice-versa. Pour la simple raison ils sont absolument conceptuels, du fait qu’ils ne sortent des moules classiques. Plutôt, ils s’appuient sur une convocation réflexive de nos cadres coutumiers et traditionnels. Ceux conformes à mieux aérer leur adaptation à la dynamique rationnelle occidentale, pour une libération réelle de notre identité culturelle.

    Le problème? Ces deux grandes interrogations sont souvent passées sous silence par la densité funeste des égos de certains. Dont le but avoué est de se compromettre avec le pct aux aguets pour lever une énième amnistie.

    – La tenue inflationnistes des messes politiques. Entre celles-ci, les décisions prises pêchent de leur vacuité. C’est notamment à Lyon, où la Convention n’a pu accoucher d’un aigle de combat. A la limite, le meeting du mois d’avril ou mai dernier avait été plus bénéfique que cette Convention.
    Il aurait fallu que cette Convention soit le moment de construire une UNITE de vue et de travail avec l’ensemble de toutes les structures de la diaspora convoquées à cet effet. Cette unité étant refoulée à plus tard au Pays-Bas ou Paris. Comme quoi, la gestion du temps paraît très étirée, comme si sassou nous attend d’alourdir les cauchemars du peuple congolais. Là aussi, la VALEUR AJOUTEE TANT SOUHAITEE N’A PU ETRE LEVEE.

    A cet effet, je profite de l’occasion pour rappeler zambo Yvon, qu’il est inutile de vouloir me contacter par personne interposée. Je ne suis guère et ne le sera jamais disposé d’entretenir une quelconque menue relation d’intelligence avec cet homme quasi violent, maffieux.

  11. Un peuple en colère est un tsunami qui dévaste tout sur son passsage dit :

    Urgent,arrestation de Clement Miérassa.Info BrazzaNews

  12. Madouma lissafi,

    L’arrestation de Mr Mierassa montre une fois de plus ce qui fait ABSOLUMENT DEFAUT au peuple congolais: LE MANQUE ABSOLU D’UNE FORCE PUBLIQUE OU COERCITIVE DEMOCRATIQUEMENT REPUBLICAINE.

    Avec quatre milices en mains, sassou miliciens de l’armée, miliciens de la gendarmerie, de la police te des agents spéciaux.

    Evitons de parler Amnistie pour les criminels génocidaires du pct dont sassou dénis

  13. Diasporien dit :

    Congo-liberty bravo pour vos informations et scoop. Ndour et les autres sans honte. Macky Sall a surement appportė un message français et amėricain.

  14. Le Juge dit :

    Madouma,
    Puisque tu parles de la convention de Lyon, alors est-ce que Jean Sylvestre etait présent? Et si oui, quelle tête faisait-il quand les autres le regardaient?

  15. Anonyme dit :

    je suis sénégalais indigné par ce spectacle grotesque d’un ministre qui chante les louanges d’un chef d’Etat qui les reçoit

Laisser un commentaire