Le débat politique au Congo entre intellectuels est une denrée très rare. Comment définir l’intellectuel congolais ? Est-ce le sachant, est-ce le savant, le professionnel de la politique, le professeur d’université ? Dans l’univers congolais, l’absence de confrontation au niveau des idées, au-delà de la violence verbale ou physique, rend perplexe et intéressante néanmoins une analyse réseautale pour expliquer pourquoi l’opposition politique au Congo-Brazzaville n’existe qu’à travers des personnes politiques qui créent des partis qui se limitent à leurs noms et dont l’action est contrainte par leur appartenance au réseau politique. Les hommes politiques de l’opposition sont connus, Kolelas, Dzon, Tatsy Mabiala, Munari, Bowao, Mokoko, pour ne citer que les plus importants actuellement. Tous ont été, ou sont aux affaires avec Denis Sassou Nguesso, actuel Président de la République, qui est contesté par l’opposition pour avoir modifié la constitution par référendum et avoir gagné les élections présidentielles de mars 2016 en trichant comme le répètent les membres de l’opposition et certains de leurs affidés.
La communauté internationale a reconnu la victoire de Denis Sassou Nguesso à la suite du référendum et de l’élection présidentielle. La question centrale aujourd’hui est pourquoi l’opposition politique qui souhaite l’alternance au Congo et gouverner le pays demain, n’arrive pas à mettre en place un corpus d’idées, une stratégie et trouver des moyens financiers et des hommes pour mener démocratiquement le débat politique au Congo-Brazzaville et pour être entendu par la communauté internationale. Pour ma part, j’estime que les contraintes de cette inertie comportementale sont liées à l’existence du réseau politique dans lequel se trouvent les membres de l’opposition et leur incapacité à surmonter leurs égos. Ils ont de la pratique démocratique et du combat politique que des éléments de théorie et non d’organisation concrète sur le terrain. Même sur le plan théorique, la seule antienne répétée à satiété est le départ de Denis Sassou Nguesso du pouvoir, comme si l’existence infinie du Congo se résumait à la seule présence de M. Sassou NGuesso aux affaires, qui pourtant a été clair dans une de ses déclarations à la presse internationale en disant qu’il n’était pas éternel et qu’il ne gouvernerait pas le Congo jusqu’à l’éternité. Essayons maintenant de comprendre pourquoi le réseau politique congolais annihile les velléités d’alternance de l’opposition.
Le réseau comme espace de limitation de la marge de manœuvre de l’opposition
Par construction, un réseau social est un ensemble de relations entre acteurs. Ces relations peuvent être fondées sur le pouvoir politique, les échanges de cadeaux ou d’amitié. Un réseau est toujours plus complexe qu’une simple trame relationnelle. Un réseau est organisé autour d’un homme, d’un parti ou de groupes de pression. Depuis les indépendances, chaque président (Youlou, Massamba-Débat, Ngouabi, Yombi, Sassou, Lissouba et encore Sassou) a tissé un réseau politique. L’analyse structurale permet de décrypter pour chacun des Présidents les régularités de comportement portées par les groupes sociaux, ethniques et politiques qui les soutenaient. Aujourd’hui on parle du groupe Mbochi dont est originaire Sassou Nguesso, hier on parlait du groupe Kouyou dont sont originaires Ngouabi et Yombi, le groupe Lari pour Youlou et Kongo par Massamba-Débat. Cette façon de faire n’a malheureusement pas disparu (je le déplore pour mon pays) et l’opposition politique actuelle, formée d’abord par des hommes et des femmes qui ont été aux affaires avec Denis Sassou Nguesso, se comporte de façon irréelle pour l’unité du Congo quand elle s’appuie sur les origines des Congolais pour constituer les partis politiques. Il faut le dénoncer et ne pas se taire car tout travail de réflexion intellectuel nécessite un discernement.
L’opposition politique congolaise est dans le domaine de la dissimulation et la manipulation des populations congolaises. Où sont ces membres de l’opposition avant les élections avec un programme économique et social à moyen, court et long terme ? Comment conçoivent-ils la diversification économique du pays ? Comment comptent-ils négocier avec les créanciers du Congo au nom de la continuité de l’Etat, même si demain Denis Sassou-NGuesso n’est plus aux affaires ? Le problème de l’opposition politique au Congo est qu’elle ne sait pas construire une politique d’ensemble fondée stratégiquement sur la manière d’organiser le pouvoir pour l’alternance. On ne demande pas à l’opposition de se fondre dans un mouvement global, si c’est le cas il faudra l’expliquer, mais on note néanmoins que l’individualisme structural est plus l’aliment de référence des membres de l’opposition qui poursuivent d’abord leurs intérêts personnels. Denis Sassou Nguesso, comme d’autres Présidents avant lui, le sait et il impose à ces membres de l’opposition politique congolaise un comportement au sein duquel le déséquilibre positionnel devient la marque de fabrique du réseau.
Le réseau n’explique pas tout mais il permet de comprendre la complexité ambigüe des hommes politiques congolais depuis l’indépendance
Le réseau n’a pas la prétention de tout expliquer mais il a un avantage : mettre à jour la structure relationnelle ambigüe et déséquilibrée entre le pouvoir politique et l’opposition qui est plus dans les marges qu’au cœur du réseau. Brice-Parfait Kolelas, dans un article publié par Jeune Afrique du 9 septembre 2017, déclare qu’il n’est pas un gourou mais qu’il est prêt à diriger le Congo Brazzaville comme le lui avait recommandé son père biologique (Bernard Kolelas) entre 1997 et 2005 lors de leur séjour forcé en Côte d’Ivoire. Dans la même interview, Kolelas reconnait en Sassou son père spirituel. Dans la tradition africaine, c’est peut-être une bonne chose, mais, dans l’analyse structurale et politique, la contestation du chef de réseau est une action a minima, voire difficile.
De Brice-Parfait Kolelas et des autres opposants politiques, le peuple congolais attend un programme, une stratégie, une organisation, des financements autonomes pour exister réellement à l’intérieur du réseau politique congolais. C’est un débat que je mets sur la table, qui risque d’être incompris par certains sur ce site qui vont tout de suite dire que je travaille pour le Président Sassou et que, négativement, je suis contre l’opposition. Rien de tout cela, ce qui m’intéresse, en tant que sachant, c’est d’ouvrir un débat dont on n’a pas l’habitude dans notre pays, trop habitués aux coups de menton, à la violence verbale qui souvent débouche sur la violence physique et non à l’argumentation pour l’échange et le débat d’idées.
Lucien PAMBOU
Diffusé le 16 septembre 2017, par www.congo-liberty.org
« Le réseau comme espace de limitation de la marge de manœuvre de l’opposition »
Lucien, tu n’apportes aucune preuve supportant cette constatation que tu as faite. Les constatations doivent être appuyées par des faits probants. Ton texte n’en recense aucun.
Par ailleurs si le réseau de l’opposition limite sa marge de manœuvre, qu’en est-il de Denis sassou?
Tu allègues que l’opposition n’a pas de programme économique ni de stratégie de négociations avec les créanciers du Congo. Soit! Mais qui en a et pour quels résultats?
Le Congo de celui que tu appelles président sassou, avait-il un programme économique? Si oui, comment expliquer la banqueroute actuelle du pays si ton président avait un programme économique devant créer les richesses, l’emploi et diversifier l’économie?
Avant de critiquer, il faut d’abord faire le bilan de l’existant. Avant de critiquer les prétendants, il faut d’abord instruire le dossier de l’occupant actuel. Or, tu fais une impasse là-dessus. Pourquoi?
S’il y a une opposition, il y a bien sûr une majorité. Alors, retourne tes questions à cette majorité.
Voilà encore une ordure ou chiffon qu’il faut encore lire en diagonale, car sans substance et sans intérêt pour notre lutte d’un Congo sans sassou nguesso et son clan. Rien d’étonnant surtout vu la nature nguessoïste sans partage de l’auteur.
Une phrase pareille, je cites:
» La communauté internationale a reconnu la victoire de Denis Sassou Nguesso à la suite du référendum et de l’élection présidentielle »…
Et???… Est-ce cela aurait soulagé le mal vécu par le peuple?… Est-ce cela aurait permis la bonne gouvernance ou au contraire aurait contribué à la dilapidation de la fameuse manne des générations futures estimées à plus de 14000 milliards de CFA?
Est-ce… bon, j’en passe. Pas la peine de s’attarder aux futilités connaissant la vraie intention et la vraie mission de l’auteur sur les medias actuellement…
Un véritable passage du coq à l’âne et n’ayant rien avec le titre exposé en sus, vous dites?.
Ce Pambou se veut à présent dans un nouveau rôle vulgaire de propager et de faire de la visibilité de son sassou sur les medias sociaux, et à la fois occuper une autre position; celle de « chauve-souris » – ni oiseau, ni souris. Une espèce de mammifère qui sème le trouble dans ces apparences…
Encore on veut nous vendre du nguesso trop facile et moins cher, à travers des analyses des latrines congolaises des nguesso… Toujours une spécialité signée PAMBOU Lucien.
Pouah!
KOO’ NGOH
Ah toi ya doudou
Vouloir laver la tête d’un singe c’est perdre son savon… Tenter de montrer le réel à un nguessoiste du genre PAMBOU, c’est perdre son temps et son énergie.
Bon, franchement, puisqu’on ne peut ici interdire à personne de publier, est-ce quand un nguessoiste le fait (sachant déjà fort la connotation et la nature de son article et de ses propos), sommes-nous vraiment obligés d’intervenir sur ces genres d’articles?
Laissez les nguessoistes mourir de leur propre poison… Lucien PAMBOU à le droit de connaitre le même sort.
KOO’ NGOH
Tous les opposants qui ont des partis politiques au Congo ne cherchent et ne recrutent leurs militants que dans le Sud-Congo où la « démocratie » est permanente. Là, dans cette zone du Sud-Congo, à la faveur de la période du parti unique, le PCT est aussi implanté, même si ses membres se sont amoindris en raison des partis créés par ses anciens membres ou transfuges.
Mais qu’en est-il de la partie nord du Congo après la rivière Léfini ? Là-bas, à part le PCT qui y règne en maître, aucun autre parti n’a droit de cité. Même le RDD du général Yhombi, originaire de la Cuvette, ancien président non élu de la République, ne peut y développer son parti. Le PCT écrase tout le monde, parfois même sous la menace et l’intimidation….
Il a fallu longtemps à nos compatriotes du Nord pour comprendre que le PCT, c’est le parti dominant des mbochis. Tant que le discours était dirigé contre les sudistes en général, et les Kongos du Pool en particulier, la solidarité nordiste a joué à plein régime. Il faut noter que nos frères de la Bouenza, co-fondateurs du PCT et fondateurs de l’UPADS après la CNS, leur ont facilité la tâche. Le PCT pouvait se servir d’eux pour s’en prendre aux Kongos du Pool, quoique eux mêmes soient des Kongos. Mais ils ne sont pas Laris.
Aussi la partie nord du Congo appartient au PCT, donc à Sassou et son clan. La Likouala, la Sangha, les deux Cuvettes, voire les Plateaux, sont leurs propriétés. La preuve, lors des dernières élections(?) législatives, en scrutant les circonscriptions et la liste des candidats prétendument élus mais en fait nommés, je n’ai vu aucun nom de membre d’un autre parti battu(?) ou élu(?). en dehors de ceux du PCT. Certains ont même été élus(?) à 100%. En tout cas, dans aucun pays du monde, sauf au Congo du clan des Sassou & Nguesso, je n’ai vu un résultat de candidat élu à 100%. Comme si, ce jour-là, aucun électeur n’était tombé malade ou décédé. Curieux et bizarre !
Dans cette partie du pays, personne d’autre n’a le droit d’y créer un parti politique en dehors du PCT. Les partis de ceux des Nordistes qui osent en créer un ne fonctionnent qu’à Brazzaville ou dans d’autres localités du sud-Congo. Et encore ?! Il y en a qui ne sont un parti politique de nom. Juste pour porter le titre de président de… et où ne figurent que les membres de leur famille…
Mais, qu’à cela ne tienne, que pouvons-nous attendre de ces prétendus opposants? Quand certains sont assignés à résidence, ne sont même pas autorisés à se rendre dans d’autres localités à l’intérieur du pays, d’autres qui se disent opposants eux aussi ont le droit de se promener, se pavaner, librement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Ceux-là peuvent se rendre en Europe et partout dans le monde. Comment dans ces conditions faire confiance en ces gens-là? N’est-ce pas paradoxal ? N’y a-t-il pas de sous-marins du PCT dans cette prétendue opposition? N’est-elle pas poreuse? Et puis, dans cette opposition, qui n’a pas mangé dans les mains de Sassou ? Qui ne doit pas son statut social à Sassou et le PCT ? Est-ce avec ces gens-là qui ont une dette morale envers Takou Kesso que nous sortirons le Congo du marasme dans lequel il est plongé ? N’ont-ils pas contribué à cette situation ? N’en sont-ils pas en partie responsables ? Il y en a même un qui ne s’en cache pas et qui se réjouit d’avoir été nommé ministre par l’Ogre du Congo, son papa d’adoption.
Réfléchissons avant de faire allégeance à qui que ce soit. Car, « changer de régime et améliorer les lois sans changer les hommes et les rendre meilleurs, c’est comme balayer la chambre sans ouvrir la fenêtre, la poussière soulevée (celle du moins qu’on n’aura pas avalée) retombera d’où elle vient » (Lanza del Vasto).
YA LUCIEN NA BISSO , adzongui .TOUJOURS YA BA RESEAUX .La réseaunite comme philosophie de pensée politique , qui allie conspiration et baiser de judas contre le peuple .Les réseaux où le peuple est inexistant ,sont criminogènes.
« Cet accès aux ressources fondé sur l’identité sociale nourrit les ressentiments car ce patronage à base tribale ou ethnique conduit à l’exclusion politique et économique des compétences des autres tribus ou ethnies éloignées du cercle du pouvoir. Ainsi, dans un contexte de rareté de ressources et de méfiance généralisée, le tribalisme conduit chaque groupe à voter sur une base ethnique afin de placer leur représentant dans les rouages de l’appareil étatique. Ce faisant, ils vont tenter via leur représentant élu de capter les subventions, les nominations et les services publics pour les détourner vers leurs groupes au détriment du reste des autres factions. Il en découle une sorte de course effrénée à l’appropriation de l’État car c’est le seul moyen de contrôler les ressources publiques et de s’enrichir. D’où l’émergence d’une économie rentière fondée sur le patronage, le clientélisme et la corruption ». Voici un extrait d’un article que j’ai publié sur Congo-liberty : La part du Tribalisme dans la crise socio-économique au Congo.. Je tente, ici, d’apporter une réponse à l’éthnocentralisation des partis politiques.
A propos de la reconnaissance de l’élection, je voudrais seulement te renvoyer à l’article de l’association Opinion internationale » La victoire de Denis Sassou Nguesso n’a reçu aucune reconnaissance internationale. Aucun média – hormis les nationaux – ou dirigeant étranger n’a salué la soi-disant victoire au premier tour du président sortant. Pire encore, la communauté internationale remet en question la régularité de cette élection qui s’est déroulée dans un pays coupé arbitrairement du monde, comme cela a été abondamment dénoncé. Le Parti socialiste français, par la voix de son secrétaire national à l’international, juge « non crédible le résultat annoncé par une commission électorale notoirement partiale ».L’écrivain congolais Alain Mabanckou, qui vient d’entrer au Collège de France, parle lui d’une élection « louche, frappée de petite vérole » dont le résultat « ne correspond pas du tout au climat général et actuel du pays » qui aspire au « changement politique depuis le sommet jusqu’à la base ».Les États-Unis se disent « préoccupés par l’opacité du processus électoral, y compris les rapports d’irrégularités, et la panne de communication prolongée » (Opinion internationale mercredi 30 mars 2016 – 11H08). N’est-ce pas risquer de justifier la légitimité d’un pouvoir par sa reconnaissance diplomatique ? Que dirait-on alors de La reconnaissance de la Corée du Nord a établi des relations diplomatiques avec plus de 150 États. De plus, elle est membre de la plupart des organisations internationales dont l’ONU qu’elle a rejoint le 17 septembre 1991, en même temps que la Corée du Sud. Pourrait-on dire que dans ce pays, l’opposition a un espace d’expression ? Non, évidemment, la reconnaissance diplomatique n’est certainement pas un gage de démocratie dans un pays. La reconnaissance diplomatique n’est donc pas la reconnaissance de légitimité. Sassou est illégitime mais diplomatiquement Président du Congo. Les citoyens ne se déterminent pas en fonction des considérations diplomatiques mais de la légitimité et du contrat démocratique qu’ils passent avec celui qui est leur Président. Cette légitimité, Sassou ne l’a pas parce qu’il ne respecte les premières exigences de ce contrat, les protéger, créer les conditions d’une vie digne (120 % du taux d’endettement) et procurer un espace de liberté et non agir comme Ndenguet qui menace des Étudiants en grève de mort.
Le problème essentiel est évidemment la démocratie avec l’espace d’expression que le pays donne à son opposition. Est-ce le cas au Congo Brazzaville, sous le régime de Sassou ? Dans ce pays, tous les outils de la démocratie ont été confisqués depuis 1970, année d’institution du socialisme scientifique. L’opposition a disparu ; le suffrage universel supprimé ; les maires désignés par les instances du parti unique, en l’occurrence le PCT ; la pluralité syndicale abrogée, instrument essentiel de l’expression des travailleurs et la liberté d’expression interdite. Comment veux-tu, cher Lucien, développer des programmes alternatifs quand tu ne trouves aucun espace dans lequel tu peux l’exposer. Nous sommes, cher Lucien, en dictature et dans ce régime les programmes ne sont pas un outil de conquête du pouvoir. C’est la loi du plus fort, comme l’affirme Sassou dans le rapport Mouebara publié par l’Opinion internationale (29/07/2015) : « continuer de nous appuyer sur la force comme moyen essentiel de la conservation du pouvoir ».
Pour conclure, je voudraIs faire un petit rappel sur la déclaration de Windhoek (Namibie), du 3 mai 1991, faite par les Nations-Unies et son organisme en charge des questions de l’éducation, de la culture et de la science, l’Unesco, il est dit en son article premier que, « conformément à l’esprit de l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, la création, le maintien et le renforcement d’une presse indépendante, pluraliste et libre sont indispensables au progrès et à la préservation de la démocratie dans un pays, ainsi qu’au développement économique ». Le Congo est partie prenante de ces textes, et la liberté de la presse y est garantie par la loi de la presse. Peux-tu affirmer, cher Lucien, que le Congo respecte ce texte ? C’est ici l’origine des maux que tu soulèves dans ton article. Dans une dictature, il est incohérent de parler des initiatives ou de propositions démocratiques d’organisation des partis parce qu’elle est la négation de la démocratie. La solution est la résistance et le changement radical parce qu’aucune dictature n’à été vaincue par la voie démocratique depuis que la fiction de la notion d’État a vu le jour, fiction parce que c’est une construction mentale comme l’Homme a créé comme la monnaie.
Désolé pour les coquilles !!!
Ce qui m’a toujours agacé , chez lucien , c’est son ni- ni comportemental sur la situation politique du CONGO .
Ce texte , démontre , s’il en était encore besoin , sa propension à diluer la responsabilité actuelle de SASSOU dans le mal être du pays .
Les faits historiques politiques cités , ne cadrent pas avec l’urgence sociale , économique que connaît actuellement notre pays .
Exonérer , SASSOU de façon camouflée , par un assemblage des déconvenues politiques que notre pays , a connu par le passé , c’est faire preuve d’une myopie intellectuelle .
La réponse politique à la problématique de changement politique , ne doit pas être un éternel ressentiment de nos erreurs du passé , mais plutôt des propositions alternatives au système SASSOU basé sur l’impéritie et le tribalisme institutionnel , comme reflexe de survie d’un régime honni par tout un peuple .Ce texte ,maladroitement ,hypocritement ,cadeaute SASSOU.
La communauté internationale a reconnu la victoire de Denis Sassou Nguesso à la suite du référendum et de l’élection présidentielle.: franchement, il est souhaitable que vous revoyez votre allégation. Vous parlez de victoire, vous donnez un point de vue que vous attribué à la communauté internationale; dites vous êtes si seule sur cette planète pour ignorer que tout le monde voit tout le monde regarde et que tout le monde sait ce qui se passe sur cette planète terre. je vous lisais souvent avec intérêt, mais là je découvre que vous n’êtes qu’un affabulateur qui sciemment va jusqu’à confondre reconnaître une victoire et admettre de fait une accaparation du pouvoir; je découvre que vous êtes aussi pire que ceux dont vous critiquez malicieusement dans vos commentaires et à qui vous donnez des leçons (L’opposition politique congolaise est dans le domaine de la dissimulation et la manipulation des populations congolaises…). Vous cachez votre jeu
« La communauté internationale a reconnu la victoire de Denis Sassou Nguesso à la suite du référendum et de l’élection présidentielle. »
Sacre Pambou, il avance desormais sans camouflage, un vrai chantre de la nguessomiase. Alors que meme cette pauvre France a eu honte de reconnaitre la soit disant victoire de celui que Pambou appelle affectueusement « president », Pambou, lui, a entendu la communaute internationale dire que sassou a gagne. Il n’avait pas entendu que la France avait envoye son ambassadeur aupres de Mokoko, deja prisonnier politique francafricain a l’epoque, supplier celui-ci de dire que celui qui avait eu 8% du suffrage soit declare vainqueur. Le refus categorique de Mokoko d’approuver la nomination de ce prefet 8% par la France contre la volonte du peuple enerva les maitres esclavagistes a Paris qui deciderent d’envoyer Mokoko en prison.
Mettre la communaute internationale devant un fait accompli ne signifie pas qu’elle reconnait la victoire de sassou, bongo et encore moins celle nkurunziza. La communaute internationale est obligee de travailler avec ces pays ou les crapules se sont autoproclames presidents au prix des milliers des morts et exiles.
Remarquons que sur ce site, Pambou est presque le seul a qualifier sassou de president. Nous autres on ne le reconnait pas comme president, il est un president de fait et ne merite aucun respect, lui et son clan de mauvais esprits.
@GABIO ,BIEN VU , on a du boulot avec ce drôle de grand frère ;;;;;;;;;
Il noie son sassouisme dans une rhétorique à LA DAVID WACKO, c’est ç dire auto suicidaire ;;;son incapacité à dénoncer SASSOU fait de ce grand , un valet bien connecté à MPILA …
Nulle part , où ce grand LUCIEN , aurait jeté aux orties la mauvaise gouvernance de SASSOU …
ANONYME , BAKALA , KOO ‘GOH ont raison de manifester une hostilité épidermique aux posts confiturés de PAMBOU ….car l’homme reste un fervent fanatique de SASSOU …
La distraction discursive sur SASSOU ,est le point fort du grand LUCIEN …
Ce MONSIEUR Pambou met sa petite notoriété et ses entrées médiatique à édulcorer les méfaits de la mafia d’Oyo et à rendre semble toute normal et acceptable le système sassou aux yeux des opinions publiques internationales qui peuvent prendre pour argent comptant les dires de ce MONSIEUR se présentant comme analyste et spécialiste de l’Afrique.
Déjà que le pays est sous un embargo médiatique parfaitement orchestré et entretenu par le pouvoir en place, difficile pour une personne non Congolaise et ne connaissant pas ce pays d’avoir une vision objective de la situation.
Ce MONSIEUR à fait le choix et met toute son énergie à défendre l’indéfendable, il est dangereux pour la cause du peuple et doit être combattu comme il se doit.
Nous sommes trop complaisant et tolérant avec ce genre de personnage.
Ce sulfureux PAMBOU qui se comporte comme le défunt jean Thystere comme bien d’autres ressortissants du KOUILOU est un véritable malade mental, féru de reconnaissance par les tiers, de soif de renommée alors qu’il n’est rien du tout. Ce n’est pas parce que ce monsieur a quelques cours du soir qu’il donne à son cul que nous devons l’ovationner. N’est ce PAMBOU en complicité avec les Thystere, PAKA et autres qui ont placé le département du KOUILOU, sans oublier Antoinette dans les mains de SASSOU-NGUESSO, Pinochet ? Bande d’ivrognes