Pourquoi la période de transition politique est la bonne condition sociopolitique au vrai changement au Congo ?
IL FAUT D’ABORD UN CHOC DE MORALITÉ, DE JUSTICE ET DE DEVOIR DE MÉMOIRE AVANT D’ENVISAGER UNE QUELCONQUE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE AU CONGO BRAZZAVILLE !
PHILOSOPHIE !
Une maison quelle qu’elle soit ne peut être construite sans expertise fiable, ni fondation et encore moins sans vision ou structure architecturale – sinon, elle s’écroulerait dans le temps comme un château de cartes
Cependant, pas de mobilisation profonde ni de dépassement de soi, sans un rêve et symbole commun, sans horizon à atteindre, de lendemains à construire et de futur à édifier.
Si une période de transition politique nouvelle commence dès la chute du tyran Denis Sassou Nguesso, le peuple souverain aura donc l’opportunité de régler la problématique du devoir de mémoire et édifier dans l’unité, les conditions d’un vrai changement.Le passage de la dictature Sassou I à la démocratie a été très court et rapide au regard du passé tragique de l’histoire politique post-indépendance du Congo. Il s’en ait suivi quatre graves crises et conséquences sociopolitiques, humanitaires et socioéconomiques.
Toujours au nom de la vigilance:
Je ne serai d’accord avec mes contradicteurs, que si après débat, ils m’aperçoivent que ces amis du sanguinaire Sassou viennent pour renforcer cette lutte déjà entamée par le Peuple, laquelle tend à sa fin.
En d’autres termes, le Peuple attend d’eux les moyens conséquents notamment: les finances et le matériel pour des simples raisons que ces deux choses constituent le nerf de la guerre. Au cas contraire, qu’ils laissent les basses populations poursuivre leur action jusqu’à son aboutissement. Et je pense aussi que les Congolais ne sont plus prêts à voir l’un d’eux devenir leur Président.
Cela dit, s’ils acceptent ces conditions, nous garderons des places importantes pour eux en rapport avec leur soutien; et avec expérience acquise auprès des différentes administrations de l’Etat qu’ils ont servi. Mais nous ne permettrons jamais qu’ils nous dirigent. Car celui qui a trahit, finira par trahir encore.
Restons très vigilants chers compatriotes.
Tout ce que vous dites est vrai. En dehors de Mierassa, Makaya et quelques autres, a mon avis, beaucoup de ces candidats sont des agitateurs du peuple qui veulent le pouvoir pour les honneurs. Ils vont faire la même chose que Sassou (peut-être moins) mais sont capables de tuer la population , détruire les biens du pays, faire arrêter et faire souffrir les opposants a leur décisions et nommer leurs amis et parents a des postes clé pour s’éterniser au pouvoir er diriger le pays d’une main de fer. Le congolais en général ne sait pas accepter la contradiction ou l’opposition. Ces hommes, leaders politiques n’ont ni vision ni direction, ni projets fiables, ni rien d’autres, même pas de talent de leadership pour gouverner. Tout ce qu’ils ont c’est un groupe de congolais (de tous les niveaux ) aveuglés par le tribalisme, régionalisme, sectarisme, les affinités familiales ou de langage, qu’ils utilisent comme marchandise afin d’assouvir leur cupidité, leur soif du pouvoir et leur vengeance (c’est notre tour de gouverner…). Ils ne peuvent rassembler ni améliorer les conditions de vie du peuple car ce n’est pas leur priorité. Ils font perdre du temps aux gens et a l’economie par des querelles inutiles comme dans la famille, au village ou dans le quartier. C’est dommage. Mais c’est a nous (le peuple) de choisir la personne qui convient et que la démocratie nous aide. Ne m’insulter pas SVP
@ la duchesse de Linzolo
Pour l’instant on a besoin de tout le monde pour faire partir Sassou qui nous tétanise depuis 30 ans,il n’est pas question de venir tirer à boulet sur les leaders politques,l’union sacré de tous ces hommes politiques est la bienvenue pour chasser Sassou et le reste on verra après.Ne vous trompez pas de combat et arretez de venir nous divertir,ces hommes risquent leurs vies,tous ce qu’ils font en ce moment mérite d’etre souligné.
Les combattants de la liberté.
La haine de sassou ne doit pas nous aveugler. Comment pouvez-vous dire, chassons le dictateur et on verra après ?
Si le changement c’est kolelas, okombi ou Munari, dans ce cas, qu’est ce que vous reprochez à Sassou et son clan.
regarder comment Mierassa et Mpouele sont relégués dans l’auditoire à la conférence de presse de Kolelas et Okombi ? Quel culot !
La jeunesse congolaise ne se bat pour toutes ces rapaces. dans ce cas, je préfère que Bouya ou Kiki prennent le pouvoir.
La Justice doit passer et mettre en prison tous ceux qui seront reconnus coupable de crimes économique et humain. SASSOUFIT
BOBA EBAKA NE FAIT PAS LE CON – LES INFOS ARRIVENT VIA LE RÉSEAU QUE VOUS ÊTES SOUS INFLUENCE… NE SOIS PAS MINABLE, PUBLIE ET MAINTENANT LE MESSAGE DE ISIDORE AYA TONGA QUE T’AS ENREGISTRÉ A AULNAY SOUS BOIS LE VENDREDI 24 JUILLET 2015
BOB EBAKA NA PAS TENU SA PAROLE VIS A VIS DE ISIDORE AYA TONGA – LA VIDÉO DE CET APPEL QUI AURAI PU ÊTRE DIFFUSÉE DES LE 27 JUILLET 2015 EST RELÉGUÉ AUX OUBLIETTES – BOB EBAKA A-T-IL SUBI DES PRESSIONS? EST-IL LIBRE? ET POURQUOI UNE SIMPLE FEMME DIFFUSE LE PLUS SOUVENT ET SANS LES VIDÉOS ISIDORE AYA TONGA? ELLE S’APPELLE SANELLIE TAMBA TAMBA…
VOICI LE MESSAGE QUI AURAI PAS ÊTRE PUBLIÉ SUR YOUTUBE MAIS HÉLAS… A DEFAUT SANELLIE TAMBA TAMBA L’ENREGISTRA AVEC AYA AVANT LE 15 AOUT 2015
L’appel du mouvement du 15 Août aux soldats et officiers militaires et au peuple congolais encore dignes de leur devoir !
Chers compatriotes,
Chers patriotes militaires congolais,
Chers soldats et officiers de la défense nationale,
Cher peuple souverain,
Nous assistons, impuissants, à la dégradation de notre société, de notre pays, de ses valeurs morales, sociales, éthiques et culturelles.
A l’examen, il apparaît que le régime politique tyrannique de Denis Sassou Nguesso et ses dignitaires n’ont pas la légitimité nécessaire à l’exercice de leur fonction. Ils n’exercent qu’en raison de notre laxisme à faire valoir le juste droit.
En effet, les structures sociopolitiques, socio-économiques, environnementales, sécuritaires et de la défense nationale de notre pays sont en danger.
Par conséquent, par l’appel du 15 août que j’annonce à travers cette déclaration, je souhaite d’une part mettre en place l’encadrement sécuritaire devant conduire le peuple vers le soulèvement populaire contre le pouvoir félon abusivement installé à la tête du Congo. Cela dure depuis le 5 juin 1997.
D’autre part, préparer la nouvelle classe politique vers le processus de transition en vue de l’alternance démocratique, libre et transparente.
Chaque Congolais est désormais devant un choix historique :
1- Ignorer cet appel et se rendre complice par son silence du régime tyrannique ou d’exception qui continue à bafouer les droits et à imposer ses lois claniques, mafieuses et traités illégitimes, contraires à toute logique de quête de bonheur pour chacun d’entre nous.
2-reconnaître la légitimité de cet appel et ainsi permettre au peuple souverain congolais de provoquer enfin ce changement de régime politique que nous attendons tous.
Considérant que la Souveraineté du peuple est inaliénable et imprescriptible et que toute atteinte à ce principe engendre une violation intolérable à la Constitution en vigueur.
Considérant qu’il convient, qu’il est légitime et qu’il est sacré d’unir à partir du 15 Août 2015 au 15 Août 2016 toutes les forces contre «un pouvoir exercé illégitimement, arbitrairement ou dictatorialement», lequel expose la nation à un danger vital par l’arbitraire, la terreur, la violence, les assassinats, le des-humanisme, l’ignorance, l’oubli, la médiocrité, la stupidité, l’impunité, le mépris, la corruption, la dilapidation kleptomane des deniers publics et du patrimoine commun.
Dès lors, cette proclamation solennelle et en vigueur rappelle, garantie et protège les droits naturels constatés et imprescriptibles de tous les congolais ; ces droits étant la liberté, la justice, le devoir de mémoire, l’éducation, la condition humaine, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
L’article 11 de la Déclaration de 1789 devant ici être rappelé: «La communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme: tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi» – et j’ajouterais le respect par tous des institutions de la république.
À cet effet, cet appel organise immédiatement toutes les structures nécessaires permettant à l’ensemble du peuple congolais de s’exprimer par des assemblées citoyennes régulières et ainsi, seul et démocratiquement, de décider de la réorganisation de la souveraineté.
Dans les 60 jours qui suivront cet appel, une liste de plans de soulèvement populaire sera donc adressée à toutes les forces de résistance intérieure et extérieure à la tyrannie.
Les forces de l’ordre, armée, gendarmerie, douanes et police sont au service du peuple congolais qui les entretient.
Et à cet effet, elles ont l’obligation absolue et devront, en exécution de leur mission, assister le peuple congolais lors du soulèvement populaire, notamment en permettant et facilitant le libre accès en toute sécurité des locaux suivants : le Palais du peuple (palais présidentiel), le Palais de l’assemblée nationale du sénat, de la maison de la radio et télévision nationale.
Les politiciens, les responsables hiérarchiques des forces de l’ordre et des administrations publiques à tous les niveaux, qui, à compter du soulèvement populaire, s’opposeraient aux décisions de salubrité publique et aux mesures provisoires édictées par l’assemblée constituante doivent comprendre qu’ils seraient inéluctablement considérés comme trahissant le peuple et toutes les valeurs du Congo éternel.
L’objectif annoncé est la restauration au Congo Brazzaville d’un État digne et conforme aux aspirations légitimes du peuple congolais attaché fondamentalement à une vraie et réelle séparation et indépendance des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, économique et médiatique.
Toutes les forces armées de la Nation, doivent donc individuellement et collectivement se préparer à escorter le Peuple mobilisé, symbolisant l’image d’une armée respectueuse du peuple et des valeurs incarnées par le nouveau Congo.
Ainsi les forces armées congolaises seront revenues au service de la Nation et prêtes à la défendre dans l’Honneur et avec vaillance.
Si des politiciens ou des nervis tentaient d’opposer une résistance par l’emploi de moyens scélérats, de forces mercenaires ou de troupes étrangères – les traîtres devront répondre judiciairement de leurs actes étant ici rappelé l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et du citoyen qui précise:
«La garantie des droits de l’Homme et du citoyen justifie l’existence et l’entretien d’une force publique, mais cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée».
Si donc, des autorités ou des individus corrompus contrevenaient aux ordres du Peuple mobilisé – il serait alors du devoir de leurs subordonnés de leur désobéir et de s’opposer à leurs supérieurs, y compris par leurs armes fidèlement restées au service du Peuple.
Toutes les mesures vont être prises pour offrir au Peuple congolais la garantie que ce soulèvement populaire se fera dans l’ordre et le civisme.
Toutes les structures nationales seront préservées et la mobilisation générale n’aura d’essentiel objectif immédiat que de rendre au Peuple sa véritable souveraineté.
En instaurant l’organisation nécessaire à la création et à la proclamation d’un pouvoir de transition politique de 3 ans, ce pouvoir établi par la volonté générale et approuvé par l’ensemble de tous les citoyens congolais, conduira le pays d’une part vers la restauration de l’état, de son autorité, des comptes publics, de l’économie, de la création de richesses, de l’aménagement du territoire, du cadre de vie, et du rétablissement de la justice et du social pour tous.
D’autre part, ce pouvoir conduira le pays vers la tenue des élections présidentielles, législatives et locales libres et transparentes.
Alors que vous soyez cultivateur, villageois, citadin, artisan, chef d’entreprise, jeune, vieux, élève, étudiant, chômeur, universitaire, chercheur, enseignant, fonctionnaire, retraités, médecin, mère au foyer, policier, gendarme, militaire, victime des crimes de sang de sassou Nguesso, ou à la recherche d’un être disparu à cause de l’intolérance politique ou assassiné par les sbires de la dictature, vous devez œuvrer à cet appel afin que tout cela cesse.
Rejoignez l’appel du 15 Août 2015 au 15 Août 2016 et soyons tous unis pour reprendre la dignité, la gouvernance politique et la souveraineté de notre pays.
L’heure est arrivée de mettre fin à ce système tyrannique ou ce régime politique d’exception qui nous oppresse, nous oppose, nous divise et agit toujours à l’encontre du bien-être du citoyen congolais ou de la condition humaine au Congo Brazzaville.
Tout peut changer si chacun d’entre nous le veut, une opportunité aussi exceptionnelle ne se renouvellera pas.
Le 15 Août 2015 sera le point de départ de ce merveilleux rassemblement de toutes celles et ceux souhaitant une société de justice, de libertés fondamentales, de la condition humaine et de paix, attachée aux valeurs fondamentales de l’humanité et de la civilisation.
Oui, tout citoyen congolais a désormais le droit et devoir légitime et sacré de défendre dans l’honneur et la dignité, la souveraineté de son peuple contre la tyrannie des instincts politiques maléfiques.
Je vous remercie !
La voix de l’appel du 15 Août 2015 au 15 Août 2016 !
Isidore AYA TONGA http://congo-liberty.com/?p=12630
Monsieur Isidore Aya Tonga a renoncé à la Proclamation de la République du Nord Congo qu’il avait promise pour le 5 juin 2015. La date est passée. Que s’est-il passé? A-t-il subi des pressions de la part de Mpila? Merci de nous éclarer à ce sujet.
Dans les traditions de chez nous quand on va à la chasse, il faut laisser des marques derrière soi de sorte que si vous vous trompez de chemin, vous revenez sur vos pas pour regagner le village.
A la conférence Nationale, Mgr Kombo avait sauvé Sassou de tous les crimes perpétués par ce dernier notamment l’assassinat des Présidents NGOUABI et Massamba Débat démontrés pendant les interventions.
Avec l’euphorie post Conférence Nationale, le gouvernement de Milongo et l’arrivée ensuite de l’élection du Président Lissouba, les conclusions de la Conférence Nationale ont été vite oubliées laissant ainsi à l’assassin Sassou et sa bande d’aller tranquillement préparer leur retour aux affaires par coup d’état comme si rien n’était. Le serpent Sassou avait été tué mais sa tête n’avait pas été coupée pour qu’il meurt pour toujours.Cette fois ci il ne faut pas les Démocrates Congolais, tout le peuple Congolais ne le ratent.
Aussi, je suis d’accord avec AYA TONGA qu’une fois SASSOU mis dehors en 2016 si ce n’est avant, nous n’allions plus être pressé comme après la conférence Nationale. Nous mettrons tout à zéro pour faire l’inventaire. Le génie Congolais trouvera bien une formule pour se retrouver et décider ce qu’il y lieu de faire.Si et seulement si tous les acteurs politiques qui se disent démocrates aujourd’hui se retrouvent, ils trouveront bien un consencus pour permettre à tout ce beau monde d’aller à une élection démocratique comme en 1992;
Cette fois ci le DROIT D INVENTAIRE sera la première chose à faire parce qu’il faudra que le PCT rende compte de la gestion de leur pouvoir pour que demain ses miltnts ne disent pas que c’est de l’intolérence comme ils sont forts de se passer de victimes
.
Ce sera aussi l’occasion de regarder le patrimoine immobilier du PCT qui en tant que parti unique avait pour biens ceux de l’état donc bien de la République, curieusement après le retour à la démocratie post Conférence Nationale Souveraine, ces biens ont été laissé au PCT pour en jouir alors qu’il était devenu un parti comme tout autre parti.
De quel droit le PCT qui n’était plus le parti unique a hérité ces biens? Pourquoi tous les biens de l’état à travers tout le Congo sont devenus des biens des individus? Comment ils les ont acquis? Autant des questions à voir dès que SASSOU quitte le pouvoir;
La démarche de ATA TONGA DE MAKOUA est à soutenir pour éviter de retomber dans les erreurs du passé afin que nous repartions sur des bases un peu plus saines.
Mon frère AYA, soit court et évites nous trop de philosophie dans tes interventions.Mon niveau CP2 ne me permets parfois pas de te suivre pourtant vous posez des problèmes de réels qui méritent une attention particulière.
AYA TONGA, Tu as tout à fait raison. Cette opposition, telle que nous l’avions tous vu au dialogue alternatif, est un cocktail explosif. Le peuple n’est pas dupe. Et il a compris que l’objectif prioritaire est celui de faire tomber le baobab et on verra par la suite. Ce peuple sait très bien que les mêmes qui se disent opposant, aujourd’hui, ont senti venir ce vent, ce tourbillon qui arrive avec une puissance inouïe pour déraciner ce baobab. Il faut, effectivement, pour eux être du bon côté au bon moment. Mea-culpa à tous les frères de lumière, ce dialogue alternatif n’a été qu’une ténue maçonnique en plein air, avec en ouverture des travaux le Grand Maître Guy Romain Kinfoussa.
Arrêtez de se moquer du monde.
Une période de transition avant les élections?
L’idée est très ancienne sur nos sites patriotiques. Une ou 2 années suffisent pour assainir le pays afin de le faire rebondi au plus vite.
Premier cas.
Mais pour cela, il faut que Sassou parte et que l’opposition se choisisse un Médiateur qui doit coordonner les différents travaux des spécialistes voués à l’assainissement social, politique, judiciaire et civique du pays. Or, Sassou s’accroche au pouvoir, il aime évoluer dans le désordre et la corruption !
Deuxième cas.
L’un des objectifs du prochain président devra être de veiller à la mise en place de l’ordre dans tous les secteurs. Aussi la Ière année de son mandat sera utilisé à faire un état des lieux et éliminer tous les trafics installés par Sassou, . Ceci sera une promesse électorale. Un président issu de la diaspora serait mieux placé pour un tel travail. Il comprendra plus aisément l’intérêt d’assainir absolument le Congo et non de simplement remplacer un despote.
Urgent !!! Très urgent
A paraitre avant le 10 août 2015.
« Le parti congolais du travail (pct) ou l’incitation immorale au parjure. »
A lire par toutes les Congolaises et tous les Congolais. Le pct veut décapiter la démocratie. Regrets du monopartisme.
Bonjour la République.
Pas de panique !
L’après Sassou le putschiste, ne sera plus jamais le même. Les futurs candidats voient que le Monde évolue, se transfigure et une gouvernance à la Sassou c’est du pipi de chat. Le peuple un président aux idées et comportements modernes.
On peut faire confiance à l’intelligence, à la culture politique et aux fréquentations du prochain président congolais. Le peuple souverain à cet effet, fera un choix rigoureux, méthodique et sans complaisance.
Pas de panique !
Les patriotes sont décidés à relever le Congo!
Mack Ondzo dit :
01/08/2015 à 23:22
Monsieur Isidore Aya Tonga a renoncé à la Proclamation de la République du Nord Congo qu’il avait promise pour le 5 juin 2015. La date est passée. Que s’est-il passé? A-t-il subi des pressions de la part de Mpila? Merci de nous éclarer à ce sujet.
@ Mack Ondzo cette proclamation était tout juste en réaction à Robert Poaty Pangou qui continue à encombrer la mémoire du peuple souverain avec son fameux « ETAT SUD CONGO » .
Comme cela commençait à bien faire, et j’avais alors annoncé à l’époque la naissance de l’État NORD CONGO. Il s’en suivit une vague de protestation contre cet ÉTAT mais pas contre celui du SUD CONGO de Robert Poaty Pangou.
Dans tous les cas c’était une connerie et s’il faut créer cet Etat Nord je ne ferais pas, ok Mack Ondzo
Mack Ondzo, merci de votre lecture
Boycotter les Jeux Africains ! Le moment solennel de liesse populaire est il bien choisit pour l’usage abusive de la politique politicienne ? Nombre de congolais souhaitent voir le pays sombrer dans une sorte de Ouagattitude frelatée, dans l’unique objectif d’occulter l’image reluisante d’un pays en plein processus de developpement que le Congo est entrain de se bâtir lentement mais surement.
Stratégiquement parlons l’appel de l’auteur s’inscrit dans un bon timing avec l’organisation de ces grands jeux sportifs, car on se souviendra que la première tentative similaire remonte à la dernière CAN de football. La plus récente est sans aucun doute l’opération de sabotage du BAC, prétexte à la révolutionnette estudiantine (déclenchée les 5 ou 6 Juin, date symbolique déjà exploitée…) des jeunes compatriotes manipulés dans leur colère légitime.
Cela démontre à suffisance que le Congo est bien la cible de forces exogènes, en intelligence matrimoniale (tel que l’entend B.Obama qui projette de marier toute l’Afrique) avec les forces endogènes. Ainsi ces révolutions se précèdent bien souvent de plusieurs « test » de moindre envergure, comme illustrer par les deux exemples emblématiques. L’auteur de l’article a tout à fait raison de mettre à profit ce grand évènement international. Surtout en cette période vacancière et printanière propice à toute les flâneries de l’esprit. Pour faire allusion aux désillusions du printemps islamiste ou arabe.
Après tout, dans son discours explicite prononcé au siège de l’UA à Addis Abeba, B.Obama a lancé un appel à la cinquième colonne africaine d’entrer en action. L’Amérique, dit il, « se tiendra toujours à vos côtés ». Le contexte oblige donc à considérer l’organisation des Jeux Africains comme un véritable défit majeur à relever pour le Congo. La Brazzattitude, pour quoi pas ? Vu la nature des forces en présence dans les coulisses ténébreuses des dites Révolutions.
Le général Adolphe Nshimirimana, bras droit du président burundais Pierre Nkurunziza et chef de la sécurité intérieure, a été tué dimanche à Bujumbura dans une attaque à la roquette, a-t-on appris de sources officielles.
Ancien chef d’état-major de l’armée et souvent présenté comme le numéro deux du régime, le général Nshimirimana a été victime d’une attaque contre sa voiture en fin de matinée dans la capitale burundaise, ont indiqué à l’AFP des temoins.
Sa mort a été confirmée peu après par le chef de la communication de la présidence, Willy Nyamitwe : « J’ai perdu un frère, un compagnon de lutte, la triste réalité c’est que le général Adolphe Nshimirimana n’est plus de ce monde », a-t-il indiqué dans un message sur Twitter.
La disparition du chef des services de sécurité burundais intervient une semaine après la proclamation de la victoire à la présidentielle du sortant Pierrre Nkurunziza, pour un troisième mandat dénoncé par l’opposition, la société civile et plusieurs pays occidentaux.
Le mouvement de contestation contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza a été émaillé depuis la fin avril de violences qui ont fait une centaine de morts et ont poussé quelque 170.000 personnes, selon l’ONU, à fuir dans les pays voisins.
https://fr.news.yahoo.com/burundi-lancien-chef-d%C3%A9tat-major-larm%C3%A9e-assassin%C3%A9-092219998.html
Le frère Aya Tonga , alors qu’on appelle au respect de la constitution une transition serai anti constitutionnel ! Il faut juste dessaisir Sassou de l’organisation des élections et créez nouvelle commission électorale avec les observateurs étrangers , le ficher électorale de sassou avec des population victive au nord est une farce , chacun sait que le nord ne représente 20 à 25 % de la population ! Arrêtons la diversion avec ta fameuse république D’Ozala ! Le peuples vit un désastre sans précédent avec gestion calamiteuse des Mbochis .
Le Monde.fr Le 03.08.2015 à 18h36 • Mis à jour le 03.08.2015 à 19h03
L’influent directeur de cabinet du président Ali Bongo, Maixent Accrombessi, se souviendra de son passage estival à Paris. Alors qu’il s’apprêtait à quitter la capitale, il a été interpellé par les policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCLIF) dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte le 9 juillet 2007 pour « corruption d’agent public étranger » et « blanchiment », comme l’a révélé Jeune Afrique.
Placé en garde-à-vue à Nanterre, il s’explique depuis neuf heures ce matin sur un vieux contrat, datant de la fin de l’année 2005, passé entre la société française Marck, spécialisée dans la confection d’uniformes militaires, et le ministère de l’intérieur gabonais, pour un montant de 7 millions d’euros.
Une ancienne salariée de Marck, alors chargée de l’export pendant la période concernée par le contrat, était elle aussi entendue en garde-à-vue.
Un virement de plus de 300 000 euros
L’organisme de lutte contre le blanchiment Tracfin avait fait part de ses doutes sur un virement de plus de 300 000 euros émis le 7 juin 2006 par la société Marck vers un compte appartenant à la société CITP, une société sise à Monaco et gérée par le Sénégalo-Malien Seydou Kane, un proche de Maixent Accrombessi, alors un homme d’affaires qui avait déjà ses entrées au palais présidentiel. D’autres virements – six exactement – d’un montant total de deux millions d’euros, intriguent les enquêteurs. Ils seraient là aussi partis de la société Marck vers un compte monégasque, cette fois détenu par une société baptisée AIKM, domiciliée au Bénin et gérée par Maixent Accrombessi lui-même.
Lire aussi : Le magot des Bongo
L’actuel directeur de cabinet du président Ali Bongo a-t-il été corrompu par une entreprise française soucieuse de s’assurer un contrat avec le Gabon ? C’est l’une des hypothèses suivies par les policiers. Depuis son interpellation ce matin, M. Accrombessi a tenté de faire valoir son immunité diplomatique, mais le ministère français des affaires étrangères avait indiqué en amont aux enquêteurs qu’il n’en bénéficiait pas. Sa garde-à-vue peut durer 48 heures. Contacté, un haut responsable de la société Marck n’a pas souhaité faire de commentaires.
Né à Cotonou au Bénin, Maixent Accrombessi, 50 ans, fait fonction de directeur de cabinet du président Ali Bongo depuis son élection en 2009, à la suite du décès d’Omar Bongo. Cet homme de l’ombre et redouté est l’un des piliers du cabinet présidentiel où il a dû gérer les affaires privées, un pan de la stratégie politique ou encore le traitement du renseignement. Doté d’un entregent tant en France, où il dispose d’un portefeuille de sociétés et de biens immobiliers, qu’en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale, ce franc-maçon revendiqué est également proche du président béninois Yayi Boni. Figure aussi controversée qu’influente, il est la cible des opposants à Ali Bongo qui lui prêtent des pouvoirs mystiques, notamment vaudou, et le soupçonnent de dérives affairistes.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/08/03/le-directeur-de-cabinet-d-ali-bongo-en-garde-a-vue_4710216_3212.html#AxeBfUi53joRl0HJ.99
Que reprochez vous au président actuel? si vous trouvez une réponse à cette question je pense que vous parlerez moins à propos de ce changement…..
tout ses candidats qui veulent opposé à Sassou , ont il déjà un projet établit pour le peuple congolais ? si non à quoi sa servirai de distraire la population avec des mouvements qui ont ni queue et tête. la jeunesse congolaise ne soit pas se tromper avec ses dictateurs une fois arrivé sur ce beau fauteuil ils oublieront tout qui ont combattue avec eux et chercherons à mettre leur famille en premier et les proches par la suite il ne feront rien pour le peuple. c’est dommage pour vous de ne pas voir ou comprendre les réalités du pays.