Guy Registre, l’animateur de l’émission « L’entretien du Jour » sur Télésud, nous a fait l’honneur d’inviter notre Rédacteur en Chef, Mingwa Biango, pour sa dernière édition de 2014, le mercredi 31 décembre.
Il a été d’abord question de notre journal « La Palabre », de Congo-Liberty bien entendu, mais surtout de notre engagement dans la lutte qui nous anime tous, lecteurs et rédacteurs, pour la démocratie en Afrique ; et au Congo-Brazzaville tout particulièrement.
Les médias internationaux s’intéressent de plus en plus aux positions que nous avons prises et que nous défendons. Nous sommes heureux de porter à votre connaissance cet important témoignage.
LA REDACTION
Avant de vous présenter mes vœux 2015, je tiens à vous parler des actions de la Résistance Congolaise dont je suis membre, mais aussi des perspectives de notre combat pour la restauration de la démocratie dans notre pays, notre bien véritablement le plus cher que nous ayons tous en commun.
Nos actions médiatiques
Je m’étais fixé avec d’autres compatriotes, Messieurs Jean-Luc MALEKAT, Benjamin TOUNGAMANI, Joseph OUABARI, Laurent DZABA et bien d’autres que je ne pourrai tous citer, d’informer l’opinion nationale et internationale, de la gouvernance mafieuse et criminelle du Congo-Brazzaville par M .Denis Sassou Nguesso et sa famille qui font main basse sur nos richesses nationales, aux fins de maintenir notre Peuple dans la misère la plus absolue. Mais aussi de sa tyrannie : il n’a cessé de massacrer ses propres populations depuis son retour au pouvoir, en octobre 1997 à l’issue d’une guerre civile sanglante, causant encore des milliers de morts jusqu’à nos jours !
Très modestement, nous pouvons dire qu’avec notre site d’information http://www.congo-liberty.com , nous avons atteint notre objectif ; notre site étant devenu une référence de l’opinion internationale sur l’actualité du Congo-Brazzaville.
En effet, nous ne comptons plus les chancelleries occidentales, mais aussi les médias internationaux, ainsi que plusieurs personnalités qui nous contactent pour s’informer de la situation du pays d’André MATSOUA, de Fulbert YOULOU, de Jacques OPANGAULT, de Marien NGOUABI… Je remercie donc tous les patriotes Congolais et amis de notre pays, anonymes ou non, qui y ont contribué en nous remontant des informations cruciales tout au long de l’année 2014 en s’illustrant noblement en «Lanceurs d’alertes ». Soyez sûrs que, sans vous, notre tâche déjà difficile aurait été insurmontable. Aujourd’hui, grâce à l’action de tous, l’opinion internationale n’est plus dupe en ce qui concerne la dictature de Brazzaville et son maestro M. Denis Sassou Nguesso. J’espère que pour cette année nouvelle qui commence, c’est à dire 2015, que les lanceurs d’alertes seront de plus en plus nombreux et de plus en plus précis ! L’utilisation, à bon escient, de vos téléphones portables et de vos smartphones s’avèrera bien plus efficace que toutes leurs armes de guerre.
Nos actions diplomatiques
L’action diplomatique tous azimuts que nous menons et qui commencent à porter ses fruits, auprès des milieux d’affaires, des partenaires du Congo-Brazzaville, des organismes internationaux, des chancelleries africaines et occidentales est aujourd’hui possible, parce qu’en amont, nous avons amorcé le travail médiatique que j’ai décrit dans les précédentes lignes de mon propos.
Pour ma part, je participe activement avec d’autres compatriotes à cette action diplomatique coordonnée par un homme d’Etat intègre et expérimenté, l’ancien Ministre des Finances et de l’Economie de la transition (1992-1993), M. Jean-Luc MALEKAT. Cet homme de paix, patriote, respectueux de l’humain et passionnément amoureux de son pays est, à n’en point douter, l’homme qui demain pourra rapidement remettre le pays sur des bons rails et rassembler le Peuple dans l’unité d’une Nation à construire.
Aujourd’hui, les Présidents Barack OBAMA des Etats-Unis, François HOLLANDE de la France, L’Union Européenne et plusieurs dirigeants africains reconnaissent le noble combat de la Résistance patriotique congolaise, et s’accordent sur le fait que le bellicisme, de plus en plus insupportable, de M. Denis Sassou Nguesso est non seulement un danger pour son Peuple, mais aussi un facteur d’instabilité pour la sous-région d’Afrique centrale.
Cette mission de lobbying international intense, entreprise rigoureuse et délicate qui se veut discrète, sera menée à bien malgré nos maigres moyens. Aussi, je ne m’épancherai pas sur ce sujet. Mais, que le Peuple congolais se rassure, nous tenons bon car notre victoire finale contre la tyrannie de M. Sassou Nguesso est certaine.
Congolaises, Congolais, mes chers compatriotes,
Ainsi, entre autres résolutions prises pour l’année 2015 que nous commençons, c’est l’intensification des actions médiatiques et diplomatiques, mais pas seulement…
Sur le plan politique.
Malgré les gesticulations et la mise en scène théâtrale du Parti Congolais du Travail (PCT) qui demande à son Président M. Sassou Nguesso de modifier la constitution de 2002 au risque de mettre le pays à feu et à sang, que le Peuple se rassure, le sort du dictateur de Brazzaville est scellé. A moins qu’il soit suicidaire, le Président autoproclamé du Congo-Brazzaville n’a pas les moyens de braver le président des Etats-Unis d’Amérique qui a déclaré, « qu’il n’acceptera pas qu’une Constitution soit modifiée en Afrique, aux seules fins de se maintenir au pouvoir ». François Hollande a fait la même mise au point à Dakar lors du Sommet de la Francophonie. Ainsi, le débat du changement de la Constitution est une manœuvre d’enfumage et servira à gagner du temps, pour que le moment venu nous soit imposé, par une mascarade de scrutin, un membre de la famille de M. Denis Sassou Nguesso au sommet de l’Etat. Les vœux 2015 à la Nation de ce dernier en témoignent. Que veulent donc négocier nos compatriotes qui appellent au Dialogue avec un tyran aux abois ?
Pour ma part, je dis NON au dialogue avec Sassou Nguesso, mais oui à un dialogue entre Congolais après le départ de notre dictateur !
Congolaises, Congolais, mes chers compatriotes,
La bataille pour ceux qui rêvent du pouvoir et pensent que l’élection présidentielle réglera les problèmes de notre pays, nous conseillons de porter la bataille sur le front du fichier électoral et d’une commission électorale indépendante pour l’organisation du scrutin présidentiel de 2016. Sans prétention aucune, il faudrait être un aventurier notoire pour croire que l’on puisse concourir au suffrage de ses concitoyens, avec une administration publique et des forces armées privatisées, et exclusivement au service de M. Denis Sassou Nguesso !
L’élection présidentielle de 2016 qu’on veut nous vendre, sera une prime aux voleurs et criminels qui ont fossoyé le Trésor Public avec M. Denis Sassou Nguesso, car, seuls eux ont les moyens de faire une campagne électorale dans laquelle, ils achèteront les suffrages du Peuple qu’ils ont affamé !
Pour ma part, quelques soient les raisons qui s’imposeront à nous, retard dans l’organisation des élections…M. Sassou Nguesso devra quitter le pouvoir au terme de son mandat, c’est à dire, le 15 aout 2016.
Devra s’ouvrir après son départ un dialogue pour une transition politique et démocratique d’au moins trois ans. Faute de quoi, le système du PCT, dont M. Denis Sassou Nguesso est actuellement le garant, se pérennisera.
J’invite donc la jeunesse, les chômeurs, les travailleurs, les retraités, bref, le Peuple congolais tout entier à s’engager dans la bataille qui imposera une transition démocratique pour remettre les bases d’un Etat moderne, juste et impartial avant toute élection véritablement démocratique.
Peuple congolais, ne laissons plus cette classe politique, qui a largement échoué et hypothéqué notre avenir et celui de nos enfants, décider à notre place.
Congolaises, Congolais, mes chers compatriotes,
La tradition veut, à l’aube d’une année nouvelle, que l’on adresse des vœux à celles et à ceux qui nous sont chers : le Peuple congolais, dont je fais partie, et notre pays comptent parmi ce que j’ai de plus cher. Mais comment vous souhaiter des vœux de réussite lorsque l’égalité des chances est inexistante et dépend uniquement du petit clan au pouvoir ? Comment vous faire des vœux de bonheur lorsque, année après année, nos vies ne sont que misère et souffrance avec son cortège d’humiliations que nous impose le pouvoir des Nguesso ? Et comment vous formuler le vœu de prospérité lorsque toutes les richesses sont phagocytées par le monarque ?
Alors, pour que nos vœux de réussite, de bonheur, de prospérité se réalisent, il nous faut nous débarrasser du système tyrannique qui nous martyrise et brise toutes nos aspirations, nos espoirs et nos rêves les plus simples.
Je souhaite donc aux Congolaises et Congolais que l’année 2015 soit l’année de la fin de la dictature de M. Sassou Nguesso , et de la restauration de la démocratie naitra un Congo nouveau, gage de notre devise : « unité, travail et progrès. »
Vive le Peuple Congolais !
Vive le Congo-Brazzaville !
Fait à Paris le 1er janvier 2015.
Mingwa Biango
Président du Cercle de réflexion pour des idées nouvelles
DÉBAT DE CONSCIENCE !
Depuis l’indépendance du Congo Brazzaville et jusqu’à nos jours – le pays a connu cinq tyrannies des instincts dictatoriaux (Youlou, Massamba Debat, Marien Ngouabi, Yombi Opango et Denis Sassou Nguesso) et une tyrannie des instincts démocraturiaux (Pascal Lissouba).
En effet, la tyrannie quelle qu’elle soit, dictatoriale ou démocraturiale, commande ; le tyran dictateur ou démocratural congolais obéit: loin d’être le modèle politique des aspirations démocratiques du peuple souverain.
Qu’est ce qu’une démocrature?
La démocrature (condensation des mots « démocratie » et « dictature » – ou parfois de « caricature »-) est un régime qui s’autoproclame démocratique, qui se pare de nombreux oripeaux démocratiques mais fonctionne en réalité comme une dictature.
C’est un régime où existe aussi des pressions et des contraintes sur les personnes (notamment sur des journalistes ou des juristes, des intellectuels, des opposants politiques hors cadre), et où les médias fonctionnent étroitement avec les pouvoirs en place.
A la différence d’une dictature, incarnée au sommet par un dictateur tout puissant – une démocrature est représentée au sommet de l’état par un dictateur mou.
Politiquement parlant, une démocrature présente des statistiques concernant les libertés fondamentales, le droit à la vie (droit de l’homme et du citoyen) et la condition humaine, parallèles à celles constatées chez les dictatures politiques classiques.
En d’autres termes, cela veut dire que les chiffres des indices du développement humain (IPH) tels que présentés par les démocratures révèlent une interprétation liberticide de la démocratie (les démocratures préfèrent parler de « processus démocratique ») c’est à dire une tyrannie des instincts dictatoriaux en mode démocrature.
Si la réalité et la cruauté des dictatures et des démocratures sont aujourd’hui communément admises, la question principale que nous pose la mise en place de ces régimes politiques au Congo Brazzaville est celle des formes de résistance que nous pouvons leur opposer.
La situation ne va pas évoluer dans les prochaines années au Congo, parce qu’il existe une grande différence entre la pensée politique (démocrate) et la pratique politique (dictateurs, démocrateurs…).
Tout est à penser et à repenser au Congo: le cerveau, les mentalités, l’état d’esprit critique, la raison et la conscience individuelle ou collective. Cela est d’autant plus difficile que l’homme politique congolais ne se sent responsable de rien, ni de son passé, ni de son mandat en cours.
Un peuple qui n’a pas de mémoire et qui ne punit pas tout ceux qui ont commis des crimes depuis l’indépendance jusqu’à nos jours, est un peuple qui ira toujours vers les ténèbres.
Dès la chute de Sassou N’Guesso les futurs pseudo démocrates souhaitent juger les crimes de celui-ci mais pas ceux commis pendant la démocrature de Pascal Lissouba.
Si l’on veut avancer durablement ensemble, les crimes humains et socio-économiques commis depuis ces 25 dernières années par exemple doivent être traités sans distinction du responsable politique. Pour ma part, l’intolérance juridique envers ces régimes politiques de Lissouba et Sassou II doit sévir sans condition. Tant qu’à faire !!!
J’ajouterais ceci: regardez les rictus de Mr. ONDONGO Ministre des Finances, il représente la méchanceté et la haine de l’autre incarnée. Quand je suis le journal, des-que je le vois comme dernièrement au Conseil des Ministre, je change de chaîne.
DIEU lui-même par la Voix de son Fils JÉSUS CHRIST demande au Croyants de quitter les milieux sataniques. La lumière te les ténèbres ne peuvent cohabiter; pourquoi Mr. MINGWA BIANGO et les Leaders qui sont avec lui tiennent a ce que nous soyons ensemble? Ce n’est nullement contre la Personne de Mr. J.L. MALEKAT au contraire, mais c’est cette force diabolique appelée F.A.C. qui nous inquiette le plus, avec ses Généraux criminels. Ils ne pourront pas accepter la retraite anticipée et surtout dénoncer les caches d’armes sans nombre sur l’étendue du Nord Congo ou ils ont créée des camps clandestins et nous le savons très bien.
MINGWA, TOUNGAMANI, MALEKAT, OUABARI, DZABA, KOUKEBENE, LION DE MAKANDA, NIMI MADINGOU, ITADI, MAKOMET Marcel, etc….
Comprenez-nous; nous ne voulons pas d’eux. Quand c’avait éclaté vous avez tous fui qui pour certains en France, d’autres en Cote d’Ivoire et partout dans le monde. Mais nous, nous n’avons eu que nos yeux pour pleurer des Êtres Chers que nous ne verrons plus. En tous cas méfiez-vous avec votre idée d’union avec le Nord Congo.
JE PERSISTE ET SIGNE A L’ENDROIT DES PARTISANS D’UN CONGO UNI, QUE SI JAMAIS VOTRE VILAINE IDES NOUS AMENAIT ENCORE A UN DÉSASTRE, JE VOUS JURE QUE NOUS UN BON NOMBRE DE PATRIOTES QUI NOUS ORGANISONS DES CE JOUR 06 JANVIER 2015 POUR VOUS PRÉPARER DES SURPRISES. PRESQUE TOUS VOUS AVEZ LA DOUBLE NATIONALITÉ, MAIS VOUS N’AUREZ PAS LE TEMPS D’ATTEINDRE L’AMBASSADE A LA GRANDE POSTE.
DES HOMMES AVERTIS EN VALENT DEUX.
DITES-NOUS D’ABORD CE QUE VOUS FEREZ DE CETTE MERDE DE F.A.C. ET SI CELA NOUS CONVIENT, ALORS-LA NOUS IRONT AVEC LE CONGO UNI. MAIS PAS AVANT.
MERCI
TOUT PROPOS HORS SUJET SERA SUPPRIMÉ ET LES MULTI RÉCIDIVISTES BLOQUÉS ACCÈS AU SITE
A BON ENTENDEUR SALUT !
Pourquoi l’esprit critique pose des problèmes juridiques, politiques et socioéconomiques en Afrique Noire?
En Afrique noire à tort ou à raison – dès lors que l’on émet une pensée critique, on n’est plus le bienvenu. « Tu es avec nous, si tu nous critiques, tu n’es plus avec nous. » C’est comme si les amis de nos amis seraient forcement nos amis ou plutôt les amis de nos ennemis seraient forcement nos ennemis. Ce n’est pas un peu réducteur comme état d’esprit non?
En d’autres termes, c’est comme si l’avocat de la défense ou de la partie civile serait forcement approbateur des faits reprochés à ses clients.
A l’échelle politique ou socioéconomique africaine – cet état d’esprit d’un autre temps a conduit beaucoup d’africains à subir des châtiments, des emprisonnements, des crimes et des assassinats politiques dans l’espace et le temps.
L’africain est-il viscéralement ou anthropologiquement prédisposé à se conduire contre l’esprit critique? Et sinon pourquoi l’intolérance à l’esprit critique est-elle intergénérationnelle?
Oui, en Afrique noire l’esprit critique diffère de la raison et de la conscience. Or la conscience est dans la signification de la raison humaine. On peut dire: l’esprit critique en Afrique noire diffère de la raison multipliée par la conscience et donc de la raison au carré.
Or la raison est la racine des problèmes pré-cités en Afrique noire. On en déduit que l’esprit critique égal la racine carrée des problèmes pré-cités.
Or ces problèmes pré-cités découlent tous, des problèmes de la raison en Afrique Noire. On en déduit: l’esprit critique en Afrique Noire est égal à la racine carrée des problèmes pré-cités.
On en conclut que l’esprit critique en Afrique Noire pose bien ces problèmes pré-cités.
Ces problèmes peuvent être cités en mots clés: dictature, dictateur, pseudo constitution, pseudo état, pseudo démocrate, mégalomanie, culte de la personnalité, stupidité, l’arbitraire, terreur, rancune, châtiments, barbarie, violence, terreur, somalisation, loi de la jungle, assassinats politiques, coups d’état, guerres civiles, crimes de masse, crime contre l’humanité, condition humaine, etc.
La situation ne va pas évoluer dans les prochaines années en Afrique Noire, parce qu’il existe une grande différence entre la pensée politique (les intentions à l’esprit critique) et la pratique politique (le déni de l’esprit critique).
Tout est à penser et à repenser en Afrique Noire: le cerveau, les mentalités, l’état d’esprit critique, la raison et la conscience individuelle ou collective. Cela est d’autant plus difficile que l’homme politique africain ne se sent responsable de rien, ni de son passé, ni de son mandat en cours.
L’esprit critique reste t-il une œuvre humaine et donc perfectible? Le principe même de la raison et de la conscience peut-il rendre efficace le processus positif des libertés fondamentales et de la condition humaine à l’échelle de l’Afrique noire?
L’ignorance est-elle la pire des souffrances? – Oui, c’est à peu près cela. Mais tout dépend de la durée pendant laquelle le cerveau a été abimé par l’obscurantisme.
Celui-ci règne encore au 21è siècle dans certaines traditions stupides, trop stupides pour être utiles à l’innovation et aux civilisations nouvelles.
Oui, l’inégalité entre couche sociale, tradition, culture et civilisation n’est pas fondée sur la nature – elle réside dans l’éducation ou l’information qu’on donne à l’individu ou plutôt dans celle qu’on lui refuse.
Montaigne (1533-1592) dit » Savoir par cœur n’est pas savoir ». Il pense qu’au lieu d’encombrer la mémoire de l’enfant, de l’élève, de l’étudiant ou de l’adulte, il faut plutôt éveiller son esprit (l’esprit critique), ses raisons, sa conscience et sa personnalité.
Publié par Isidore AYA TONGA, Intellectuel, Philosophe et scientifique environnementaliste !
Sassou Nguesso compte au nombre des pires dictateurs au monde. Le journal Zenga Mambu fait une révélation sur » un nouveau complot diabolique du pouvoir contre OKOMBI et KOLELAS. En récitant comme un idiot, pendant son allocution prononcée à l’occasion des vœux à la nation : « travaillons d’abord en 2015, les élections présidentielles en 2016 et législatives en 2017 nous avons le temps de les voir venir … », Sassou Nguesso veut prendre du temps pour mener des actions abominable et s’imposer pour un troisième mandat ». En évoquant avec insistance sur la mobilisation des congolais sur les jeux africains, Sassou Nguesso cherche sciemment à gagner du temps. Les onzièmes Jeux africains sont prévus de se tenir du 4 au 19 septembre 2015 à Brazzaville en République du Congo. Ce qui en somme marquerait » un retour aux origines de cette compétition ».Et l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (ACNOA) organisatrice de cette compétition multisports qui se tient tous les quatre ans, a voulu certes,juste rendre homage à la république du Congo. Mais il faut de grâce rapporter cette compétition.En ces temps qui courent, il est de grâce vivement recommandé, par solidarité au peuple congolais que celles soit rapportée à une date ultérieure ou qu’elle se tienne avant tout ailleurs. Cela serait hautement symbolique, car Sassou Nguesso, le psycho-sociopathe en mal de gloire veut profiter de cette onzième édition des Jeux africains pour un succès personnel tel qu’hittler pour les jeux Olympique et veut les transformer pour une sorte boué de sauvetage, une opération de marketing afin de calmer les esprits pour continuer allégrement son pouvoir illégitime. »En rejetant la proposition de boycott des Jeux Olympiques de 1936, les Etats-Unis et d’autres démocraties occidentales manquèrent l’occasion d’adopter une position qui (certains observateurs l’ont affirmé à l’époque) aurait pu faire réfléchir Hitler et renforcer la résistance internationale à la tyrannie nazie »(http://www.ushmm.org/wlc/fr/article.php?ModuleId=284). Soyons fermes et déterminés à chasser le cancre Sassou Nguesso et sa clique. l’urgence de la lutte du peuple congolais est avant tout le départ du dictateur sanguinaie et son clan pour les congolais. Que chaque congolais conscient de ses devoirs et responsabilités ainsi que la communauté africaine et internationale s’y inspirent. Cela va de la paix,du developpement, de l’instauration d’un état de droit au Congo. Il faut être absolument vigilants et conséquents. Le dictateur génocidaire, l’instigateur des guerres, troubles, meurtres, génocides du Congo,Sassou Nguesso devra quitter le pouvoir avant mars 2015. Tout son entourage, tous ces complices doivent partir avec lui. Il faut prendre le temps de démanteler le système tyrannique et de corruption construit par lui. L’élection présidentielle de 2016 devrait etre repoussée à 2019, car après le départ de Sassou Nguesso et sa clique, un dialogue ( conférence nationale souveraine 2 ) devrait avoir lieu » pour une transition politique et démocratique. Le gouvernement de transition, qui sera uniquement composé de technocrates n’ ayant eu de liens avec la classe politique du régime Sassou, aura entre autre le devoir d’installer les institutions, restructurer une armée réellement Républicaine, de régler le « problème du fichier électoral, oeuvrer par la suite à la création d’une commission électorale indépendante pour l’organisation du scrutin présidentiel. « . Les hommes politiques qui ont déjà brillé par les qualités qui abaissent, telles, la haine, l’orgueil, l’intolérance, corruption, enrichissement illicite,crimes de sang, doivent être interdites à la tête des institutions de la république et de tous les secteurs d’activités publiques » « Pour vivre en paix au Congo, il faut qu’il y est l’unité nationale. Il faut avant tout régler le problème de l’ armée Congolaise, de la justice sociale. Il faut s’attaquer à combattre le tribalisme. »Le tribalisme n’est donc ni un sentiment, ni un fantasme, c’est une réalité ayant cours dans la sphère socio-économique et politique au Congo.Tous les régimes au Congo, particulièrement les derniers de l’après Conférence Nationale Souveraine en ont usé à des degrés différents.Lissouba avec sa bande NIBOLEK, Sassou Nguesso II et III. le régime illégitime de SASSOU est sans aucun doute le pire de tous et le plus dangereux car c’est un tribalisme théorisé , expérimenté pendant SASSOU I , revu et corrigé actuellement sous SASSOU II pour pérenniser le pouvoir dans un environnement despotique contrairement aux deux autres régimes cités ci-dessus qui étaient sanctionnables par le suffrage universel ou des instruments de la démocratie. Il n’a de compte a rendre à personne d’autant plus que la police politique et les forces armées qui sont les géniteurs de ce régime usent d’appareillages répressifs contre ses opposants. » »( http://congo-liberty.com/?p=53). Sassou Nguesso a fait de la corruption,une pratique courante dans toutes les sphères de l’Etat congolais.« La corruption, le tribalisme font partie de ces nombreux maux qui minent, le continent africain,plus particulièrement le Congo dans la réussite vers la démocratie et le developpement » . »En 1969,Massambat Débat démissionne du pouvoir par coup d’état. La junte qui s’intalle Ngouabi Sassou Nguesso, Yombi Opango n’a qu’un objectif prendre une soit disant revanche: Garder le pouvoir et dominer une large partie du peuple « .La dite radicalisation dans l’armée et l’administration publique ont été menée d’une manière incroyable. Le président Ngouabi arrive enfin à mesurer le danger de la politique menée par lui avec sa clique Sassou Nguesso, Yombi Opango etc et cherche « un rapprochement avec le président Massamba-Débat au nom de l’unité nationale. » Sassou Nguesso, Yombi Opango et complices viennent à assassiner Ngouabi: » Mieux vaut perdre un nordiste que de Perdre le Pouvoir. » Les Bakongo sont désignés entant que meurtriers de Ngouabi et soits disants ennemis qui menacent les institutions de la république», avec pour conséquence la séparation graduelle des relations, cohabitation entre nordistes et les habitant du Pool, du sud. Depuis pratiquement, juillet 1968, Sassou Nguesso tue,asssassine,sème la division au Congo Brazzaville par son ethnicisme ». « l’assassinat de Marien Ngouabi le 18 mars 1977, est un crime crapuleux. Qui aura également coûté leurs vies à des nombreux innocents qui ont eu le malheur de se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment: l’ex-président Alphonse Massamba Débat, le cardinal Émile Biayenda, le capitaine Barthélemy Kikadidi et tant d’autres ont payé de leur vie par la rage folle sanguinaire de Sassou Nguesso » (http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/811-marien-ngouabi-les-petits-secrets-dun-odieux-assassinat.htm.la) verite sur la mort de ngouabi(http://congo-liberty.com/?p=5805). Le 5 février 1979 Joachim Yhombi-Opango est déposé par Sassou Nguesso qui le laisse enfermer sans autre forme de procés à des années de prison.Sassou » qualifie son coup d’État de « riposte résolue de l’ensemble des forces de gauche de notre pays contre le courant droitier », visant à rompre avec « la politique d’irresponsabilité, de démission nationale, d’obscurantisme et d’aplatissement devant l’impérialisme des éléments de la bourgeoisie bureaucratique ». La guerre de tipoye provoquée le 10 mai 1997 à Owando par Sassou-Nguesso qui cause la mort de nombreuses personnes; dont les parents de Joachim Yhombi-Opango et le déplacement des milliers de personnes,vient quelques années plus tard confrontés les deux anciens comploteurs et assassis de Ngouabi. Quant à Pierre Anga; « le soit disant véritable homme qui avait tiré sur Marien Ngouabi et était le chef du « Commando formé par Sassou Nguesso, sera sauvagement massacré dans la foret d’Ikogono, près d’Owando, en 1988 avec toute sa famille et membres de son village entier par « des parachutistes envoyé par Sassou venus quadrillé cette région de la Cuvette ». » Sassou Nguesso a un mal récurrent qui consiste à éliminer par empoisonnement ou physiquement toute personne, tous les proches, sans distinction de leur appartenance régionale qui osent faire des révélations ou qui connaissent les dossiers sensibles ou les affres commises par le grand « Kani ». Les cas anciens et récents sont très nombreux: « En promettant de livrer aux juges français les informations qu’il détenait sur l’affaire des « disparus du Beach » de Brazzaville, Marcel Ntsourou a fait signé son arrêt de mort ou sa descente aux enfers.L’arrestation du colonel Ntsourou s’est faite dans un bain de sang ayant entraîné plusieurs morts parmi les jeunes dont il s’est servi comme bouclier humain au mépris des procédures de sécurité qui recommandent la reddition par la négociation avec des psychologues, des parents ou des amis. Le spectacle choquant des cadavres jonchant le sol de sa résidence témoigne de sa témérité dépressive.L’usage disproportionné de la force pour procéder à l’arrestation d’un groupe d’individus civils ou armés est une expression de la barbarie, une fois de plus, du pouvoir d’Oyo. L’assaut militaire à la résidence du Colonel Marcel Ntsourou s’est fait avec l’usage d’un armement lourd, grenades offensives, lance-roquettes, chars et hélicoptères de combat militaire. »(http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/1479-2014-01-04-13-51-57.html)
Revenu au pouvoir en 1997 après un horrible coup d’état sanglant qui a couté la vie des nombreuses personnes, fait des destructions matérielles incroyables, causé un traumatisme au sein de la population, Sassou Nguesso ne s’est attelé à ses crimes contre l’humanité. Il est venu torpiller les acquis de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) de 1991. Il est venu semer la terreur, initier des guerres, massacres, génocides et diviser les congolais. Les genocides des quartiers du sud de Brazzville, des régions du Pool,des disparus du Beach, des massacrés des exploision de Mpila, des massacrés au domicile de Ntsourou sont là pour le prouver. Sassou Nguesso est le créateur et l’homme qui arme, finance de la milice Ntoumi. Des informations de bonnes sources attestent aussi qu’ il est celui qui tirait les ficelles pendant les conflits de1993. Et il est celui qui avait initié et financé,armé la milice de Koléla. Sassou Nguesso, ses enfants, cousins, famille et clan sont venus s’enrichir d’une manière astronomique, scandaleuse. Ils sont venus s’acharner au détournement des recettes pétrolière et des autres matières premières ainsi que des taxes douanières pour satisfaire les besoins et plaisirs personnels. Le peuple est en tout cela laissé pour compte. On meurt au Congo de faim,de la malnutuction,des maladies dues souvent par manque d’hygiène et soins. Sassou Nguesso, ses enfants, cousins, clique volent systèmatiquemen, l’état congolais.Ils sont venus appauvrir d’une manière incroyable le peuple congolais.Les crimes économiques ainsi que les crimes de sang sont des crimes contre l’humanité. Les enquêteurs la justice française chargés du dossier des « Biens mal acquis par exemple,, vont dans une note de juin 2013,une simple révélation que » depuis 2007, plus de 60 millions ont été transférés par la DGT sur des comptes bancaires détenus par des sociétés planquées dans des paradis fiscaux, dont les bénéficiaires sont des membres ou des proches du clan Sassou. Entre 2005 et 2011, le Président lui-même a dépensé pour des chemises et costumes sur-mesure 1,18 million d’euros. Des sommes payées via des virements depuis des comptes en Suisse. Sur la même période, Denis Christel Sassou-Nguesso; le soit disant fils du président né et grandit en république du Congo démocratique, d’une mère de ce pays, a investi 473 796 euros dans son accoutrement. «Il change de chemises trois ou quatre fois par jour, et se vante de ne jamais les laver et de les utiliser comme des Kleenex»(http://www.liberation.fr/societe/2013/12/15/biens-mal-acquis-au-tour-du-congo_966787 ). Comment peut on encore tolérer que de tels individus dont le crime et les détournements sont les seuls motivations,restent encore des dirigeants d’un pays?
Pour un pays producteur du pétrole et pourvu de nombreuses matiéres premières, le developpement économique du Congo dont les villes comptent parmi les villes les plus sales du monde, laisse à désirer. Sassou Nguesso et sa cliques sont des cancres qui empêchent le peuple le peuple d’avoir droit à l’emploi, l’eau potable, à l’électricité, aux soins de santé, aux services d’éducation, au transport, à l’autosuffisance alimentaire. (http://www.congo-internet.com/pdf/congo_vu_par_thiery_hayes.pdf )Sassou Nguesso « s’est arrogé tous les pouvoirs : il est à la fois chef de l’exécutif (il n’existe ni de vice-président ni de premier ministre), le chef du parlement (il n’est responsable ni devant l’Assemblée nationale ni devant le Sénat), et le chef du système judiciaire (le procès bâclé des 353 du Beach en est une illustration, tout comme les enquêtes dans le cadre des explosions du 4 mars 2012). Il fait montre d’un grand savoir-faire en matière de manipulation. » comme l’a dit l’opposant Paulin. En effet,Sassou n’a pas tardé à désigner Ntsourou comme responsable des explosions de Mpila, de la série d’explosions dans le dépôt d’armes de Mpila et qui ont met à nue la défaillance du systéme de secours, de sécurité, d’ intervention au Congo. En tout cas,le manque total d’ambulances,de véhicules de secours, le désordre des services de pompiers, de la la police, le sous équipement des centres hospitaliers et l’incompétence du gouvernement, du chef de l’état ont été notoires un vrai deshonneur pour le Congo.Sassou Nguesso et sa clique qui achètent toute sorte d’armes de destruction massive pour rotéger leur pouvoir, ont pourtant été prompts pour « désigner un bouc émissaire sur mesure. Ce qui est une marque de fabrique de Monsieur Sassou NGUESSO qui a toujours brillé dans les démarches trop faciles, beaucoup plus faciles que de rechercher les vraies causes des explosions proclamées en réalité par eux mêmes. Sassou et « les personnes qui ont accusé Ntsourou, sont les mêmes qui, il y a trois décennies, ont conduit à la mort gratuite plusieurs de nos compatriotes innocents après un simulacre de procès qui a suivi la mort du président Marien NGOUABI.(http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=3054). « Au cours de son Message devant son parlement réuni en congrès, le 12 août 2014 à Brazzaville, le chef de l’Etat du Nord Congo, Denis Sassou N’Guesso reconnaît ses crimes de génocide contre les « autres ». Certes Sassou Nguesso est un très grand tribaliste et n’aime pas réellement les sudistes, très particulièrement les Bacongo-Laris, le plan Mouebara parmi tant d’autres action l’atteste, mais une chose qui est aussi évidente et cet ce que certains compatriotes, ressortissants du nord en géneral ont tendance à vouloir méconnaitre, Sassou Nguesso et entourages immédiat sont des gens trop irrésponsables et trop dangereux pour les laisser de continuer à diriger la république du Congo. Pour le bien de tous, il est impératif de les écarter dès maintenat car sont capables à emporter tout le mone. Sassou Nguesso ne recule devant rien pour défendre ses privilèges, ses intérêts particuliers, sa petite famille et les gens de son cercle restraint. Le peuple congolais du nord ou du sud ne comptent en réalité pas et s’il faut le sacrifier, il est sans état d’âme prèts à le faire. Le cas des explosions de Mpila et parmi tant d’autres dejà cites peuvent bien le démontrer. Le médiateur international autoproclamé dans les crises de la région; la crise en République centrafricaine est un satan qui n’a pas encore fini de faire souffrir, délaisser son peuple et de le sacrifier à un point, qu’un autre dictateur de monde moderne ne l’a jamais fait. Sassou Nguesso est un fou en mal de gloire, de pouvoir qui se met à distribuer l’argent des congolais à chaque coin du monde. Il cherche à corrompre le monde entier pour s’éterniser au pouvoir. Il n’ y a plus aucune raison que le criminel, génocidaire Denis Sassou-Nguesso et sa clique restent encore à la tête de l’Etat du Congo. Mettons-nous debout dès maintenant. Unissons-nous contre le système repressif à corruption. Comme le dit. le Colonel grégoire L. OKHANZÂ, aucune dictature au monde n’a mis indéfiniment un peuple à genoux. Mobilsons nous maintenant pour chasser Sassou Nguesso et toute sa clique et c’est la seule alternative. Il faut que l’impunité cesse. » »Les critères d’admission des dirigeants à la tête du Congo sont certaines vertus civiques telles l’honnêteté, le respect des lois, la sobriété, la loyauté, l’effort dans le travail « . Les hommes politiques qui ont déjà brillé par les qualités qui abaissent, telles, la haine, l’orgueil, l’intolérance, corruption, enrichissement illicite,crimes de sang, doivent être interdites à la tête des institutions de la république et de tous les secteurs d’activités publiques »