MARC MAPINGOU, TU ES UN ANGE ET TA PLACE EST AUPRÈS DE DIEU !

CHER GRAND FRÈRE MARC,

En ce moment où ton âme d’Ange s’élève vers notre créateur divin, mon chagrin est immense et mes larmes intarissables. « Vanité des vanités, tout est vanité » aimais-tu me dire, devant la méchanceté et la cupidité des humains !

Aujourd’hui que notre Dieu a choisi que tu le rejoignes, les Congolais pleurent l’Homme public, mais pour ma part, je pleure un GRAND-FRÈRE qui me quitte et nous précède aux Royaume des cieux.

En ce  moment où mon cœur déborde de chagrin , où je ne peux écrire un texte avec mes larmes,  je n’ai pas trouvé meilleur Hommage, que le livre du Deutéronome 34 : 1-9

01 Moïse monta des steppes de Moab au mont Nébo, au sommet du Pisga, qui est en face de Jéricho. Le Seigneur lui fit voir tout le pays : Galaad jusqu’à Dane,

02 tout Nephtali, le pays d’Éphraïm et de Manassé, tout le pays de Juda jusqu’à la Méditerranée,

03 le Néguev, la région du Jourdain, la vallée de Jéricho ville des Palmiers, jusqu’à Soar.

04 Le Seigneur lui dit : « Ce pays que tu vois, j’ai juré à Abraham, à Isaac et à Jacob de le donner à leur descendance. Je te le fais voir, mais tu n’y entreras pas. »

05 Moïse, le serviteur du Seigneur, mourut là, au pays de Moab, selon la parole du Seigneur.

06 On l’enterra dans la vallée qui est en face de Beth-Péor, au pays de Moab. Mais aujourd’hui encore, personne ne sait où se trouve son tombeau.

07 Moïse avait cent vingt ans quand il mourut ; sa vue n’avait pas baissé, sa vitalité n’avait pas diminué.

08 Les fils d’Israël pleurèrent Moïse dans les steppes de Moab, pendant trente jours. C’est alors que s’achevèrent les jours du deuil de Moïse.

09 Josué, fils de Noun, était rempli de l’esprit de sagesse, parce que Moïse lui avait imposé les mains. Les fils d’Israël lui obéirent, ils firent ce que le Seigneur avait prescrit à Moïse.

YA MARC, KUENDA  MBOTE, NGUE ME BIKA BETO NA MPASSI , SAMBILILA BETO

Mingwa BIANGO

Diffusé le 05 mai 2020, par www.congo-liberty.org

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24 réponses à MARC MAPINGOU, TU ES UN ANGE ET TA PLACE EST AUPRÈS DE DIEU !

  1. Parfait BIANGO MPOLO dit :

    Beaucoup de tristesse en ces moments si mortifères avec ce mal qu’incarne le covid 19 à travers le monde et à travers le milieu africain en général et congolais de Brazzaville en particulier.
    Un pilier de la lutte pour la démocratie au Congo-Brazzaville s’en va, sans mot dire, à la surprise malheureuse de chacun d’entre nous épris de paix, de justice et de démocratie.
    Que son souvenir, son combat et l’amour du Congo et des congolais soient le carburant du Caterpillar congolais qui va déboulonner la dictature qui sévit helas encore dans notre pays.

  2. Bissa Bo dit :

    Juste un mot, un seul : INJUSTICE !
    Les dieux des injustices pourront se réjouir de cette disparition ! Qu’à cela ne tienne, les injustices n’auront surement jamais et jamais le dernier mot sur toute l’humanité.
    Bon voyage Marc, retrouve ta serénité éternelle !

  3. Anonyme 5 dit :

    Je suis vraiment triste de le voir partir sans avoir vu la fin de la barbarie dans notre pays

    Ka kadiambu ko tata yenda tou nouani kuna ku wélé kouzimba kani que beto tu shiri moumpassi

    Yenda mboté tata NZAMBI kaka ku sakumuna

  4. Prof. Alexis Samba dit :

    Dire adieu, en guise de signe, le bruissement du silence de congoliberty esseulé…

    Confier l’autre à Dieu, pour que le vécu de sa disparition ne soit pas, à l’instant même, la disparition de tout vécu du débat politique…
    La mort d’autrui est comme le panneau de signalisation qui rappelle les exigences de l’éthique dans la société.
    Devant la mort d’autrui, je sors de ma « clandestinité » pour rencontrer le tout-autre, c’est-à-dire le pur inconnu de la mort. Je prends, alors, conscience de ma condition de mortel. Cette prise de conscience, me permets de comprendre ma responsabilité pour autrui, responsabilité d’un mortel pour un mortel. La mort d’autrui est donc un moment essentiel de l’éveil éthique dans la société. D’abord, la mort d’autrui dépasse la portée du savoir, car la mort ne peut être réduite à l’expérience. Ensuite, puisque le rapport à l’autre est langage, la mort d’autrui indique l’arrêt du dire comme support transcendantal de la pratique de la langue.
    Que savons-nous de la mort ? Quasiment rien, des fragments d’incertitude.
    Il est difficile de penser la mort, dans la clarté du concept. La mort est quasiment informulable, inimaginable, infigurable. Dans ce concept, on ne trouve rien où se prendre, aucune prise à laquelle l’entendement puisse s’accrocher. Du point de vue empirique, la mort d’autrui suscite l’affection. Mais cette affection relève simplement de l’emphase ou du non-sens de la déchirure de l’ordre sensé.
    L’affection de par la mort n’est pas l’acte volontaire de ma conscience, elle ne s’explique pas par la langue, car elle se situe en dehors du champ du sensé.
    C’est l’angoisse devant ma mort et la crainte pour celle d’autrui qui, pensées ensemble, et dans la proximité de la signification néant-et-inconnu, nous conduiraient vers le « plein concept » de la mort.
    La conscience témoin ou le cogito du mourant s’anéantit à l’instant même où il est, dans une simultanéité fulgurante, n’est pas une conscience de la mort.
    Ce qui est vrai de la conscience par rapport à la mort-propre n’est pas moins vrai par rapport à la mort d’autrui : les vivants assistent le moribond durant ses derniers instants, puis ils accompagnent le mort jusqu’à sa dernière demeure ; mais le mourant lui-même, personne ne l’accompagne; personne ne lui fait escorte tandis qu’il accomplit le pas solitaire.
    D’aucune façon l’instant mortel n’est objet de connaissance ni matière à spéculation ou à raisonnement. Ce qui « disparaît », ce qui « finit » ou ce qui meurt dans la mort d’autrui, c’est le visage, l’expressivité qui englobe et cache les mouvements physiologiques, ce qui « perce la forme qui cependant le délimite », et non pas ce qui est « encore chose parmi les choses ». Autrement dit, ce n’est pas le phénomène, mais la défection de la phénoménalité en visage, l’énigme du visage ou le visage comme énigme qui meurt. C’est l’échappée du phénomène en énigme.
    Pour comprendre cette pensée, il convient de retenir ici deux concepts, qui ont été soulignés: inconnu et question, deux concepts qu’un troisième relie : inquiétude. L’inconnu est le « hors lumière », réfractaire à l’expérience, parce que non phénomène, et, en ce sens, il qualifie la mort qui est « mystère ». La mort est transformation du visage en image ou en caricature, elle est anéantissement, non pas du phénomène mais de sa défection. Elle est la disparition de la déchirure du sensible. La mort est effacement de l’animation. Elle est anéantissement ouvrant un néant qui ne débouche sur rien, sinon, peut-être, sur l’inconnu. L’inconnu de la mort signifie « que le sujet est en relation avec ce qui ne vient pas de lui. » Mais, pour les mêmes raisons, le visage comme un « mystère », le visage qui, nous l’avons noté plus haut, est « énigme ». Dans le visage, le « mystère » est traduit en « énigme » exactement dans la mesure où l’ « inconnu » l’est en « question », et cette double traduction est traduction éthique. Précisons cette idée.
    La question ici invoquée est question sans égale, en cela qu’elle est question « qui ne se trouve pas être une modalité de la conscience, qui est sans donnée », alors que le néant issu de la négation reste toujours lié au geste intentionnel de la négation et garde ainsi la trace de l’être que ce geste refuse, repousse, renie. Cette question n’est pas « question de… », mais irruption originelle de tout questionnement ou question saisie dans son pur soulèvement. Dans cette non-position, dans la non-coïncidence qu’elle signifie, ouvre la pensée à l’inconnu de la mort en l’ouvrant au non-repos, lui donnant à répondre au sans réponse qui fait l’acuité de la mort. « Sans réponse» qui est ce que m’envoie le visage lorsqu’il s’absente dans la mort. La mort (d’autrui) étant « départ, décès, négativité dont la destination est inconnue départ sans retour, question sans donnée, pur point d’interrogation. » Il s’agit d’un pur « point d’interrogation tout seul, mais marquant aussi une demande (toute question est demande, prière). » La mort d’autrui est un départ plus profond que tout départ empirique. C’est un départ vécu comme une perte, non pas de ce que j’ai, mais perte de ce qui ne m’appartient pas, perte de la rencontre que la relation avec autrui avait rendu possible et, finalement, perte de moi-même. En effet, dans la mesure où, je n’assiste à moi-même qu’en rencontrant autrui, la mort d’autrui est la perte du visage qui m’établissait comme sujet unique et responsable, perte du visage sous les espèces d’une question sans réponse.
    C’est à ce niveau que se fait la traduction éthique, le passage au plan éthique : le visage me parle et par là m’invite à une relation sans commune mesure avec un pouvoir qui s’exerce. Ainsi, la mort dans le visage de l’autre homme est la modalité selon laquelle l’altérité par laquelle le Même est affecté, fait éclater son identité de même en guise de question qui se lève en lui. Cette question de la mort est à elle-même sa réponse : c’est ma responsabilité pour la mort de l’autre. Le passage au plan éthique est ce qui constitue la réponse à cette question.
    De façon encore plus rude, le visage d’autrui me signifie une responsabilité irrécusable, précédant tout consentement libre, tout pacte, tout contrat. Le prochain m’assigne avant que je ne le désigne – ce qui est une modalité non pas d’un savoir mais d’une obsession et, par rapport au connaître, un frémissement de l’humain tout autre Dans l’approche, je suis d’emblée serviteur du prochain, déjà en retard et coupable de retard. Je suis comme ordonné du dehors – traumatiquement commandé – sans intérioriser par la représentation et le concept l’autorité qui me commande.
    Il convient de retenir ceci : la fragilité d’autrui se présente comme visage, dans la résistance éthique qui paralyse mes pouvoirs et se lève dure et absolue du fond des yeux du mourant sans défense, dans sa nudité et sa misère.
    La compréhension de cette misère instaure la proximité même de l’Autre.
    Il y a ici une double radicalisation : de ce que le visage a d’impératif, comme de ce qu’il a de fragile. Fragilité qui se traduit en mortalité d’autrui, d’où me viendrait la question sans égale, et où elle prendrait sa caractéristique propre, c’est-à-dire son caractère éthique. En effet, nous rencontrons la mort dans le visage d’autrui, et l’on peut ajouter que cette rencontre est obligation et commandement. La mortalité prend sa signification éthique avec la question sans égale ou question pure, en ce sens précis que cette question est à elle-même sa propre réponse.
    Réponse non théorique, mais éthique : crainte et responsabilité pour la mort de l’autre homme, même si le sens ultime de cette responsabilité pour la mort d’autrui était responsabilité devant l’inexorable et, à la dernière extrémité, l’obligation de ne pas laisser l’autre homme seul en face de la mort. Même si, face à la mort où la droiture même du visage qui me demande, révèle enfin pleinement et son exposition sans défense et son faire-face lui-même. Même si, à la dernière extrémité, le ne-pas-laisser-seul-l’autre-homme ne consiste, dans cette confrontation et cet impuissant affrontement, qu’à répondre « me voici » à la demande qui m’interpelle. C’est la crainte pour tout ce que mon existence, malgré son innocence intentionnelle et consciente, peut accomplir de violence et de meurtre.
    Ainsi, toute mort comporte une dimension de meurtre. Toute mort est prématurée. Dans toute mort, il y a responsabilité des survivants. Responsabilité des survivants, si l’on en croit les mots : « déjà en retard et coupable de retard », où le « déjà » signifie un nécessairement. Mais responsabilité sans décision, remontant à son tour à « l’impossibilité d’être responsable » qui caractériserait la responsabilité comme telle. Impossibilité de la responsabilité dans la responsabilité, qui ne m’en dispense pas, mais m’astreint à la responsabilité comme responsabilité : comme impossibilité. Impossibilité qui, à nouveau, n’est pas « ma faute », mais, précisément, le pur effet de l’irréductible altérité d’autrui dans sa proximité de visage ou de prochain, laquelle me met toujours et par nécessité en retard au rendez-vous qu’il m’assigne.
    Ainsi, la mort d’autrui est le lieu d’ouverture du Même à l’autre dans la mesure où le néant de la mort est nudité du visage d’autrui.
    Alors je dis adieu, pour le confier à Dieu.

  5. Val de Nantes dit :

    Que le bon Dieu t’accueille dans son royaume . Je suis dans une peine inconsolable ..
    C’est terrible ,quelle injustice !
    Adieu .Marc.

  6. Lucien Pambou dit :

    MARC MAPINGOU/ Repos et Paix Eternelle

    Tu n ‘es pas parti.tu es la avec moi avec nous par l ‘esprit meme si ton corps de chair a disparu.
    Nous ne nos connaissions pas beaucoup mais toujours tu me disais qu and on se rencontrait que l enfant vili que je suis avait beaucoup de choses à te dire.
    Et je te repondais il faudrait qu on se voie au resto pour en parler.cela ne s est pas jamais fait.MERCI pour ton affection a mon egard quand ma mere est decedee à pointe noire en 2016

    je m en veux de ne pas t avoir rappele pour notre dejeuner au resto
    Reposes en paix et de facon eternelle
    TON Dévoué pambou mouana vili comme tu aimais bien m apeller à chacune de nos rencontres
    SACRE MArco MAPS ( marc la carte geopolitique) comme j aimai bien t apeller

  7. Lucien Pambou dit :

    a marcmapingou
    lire repos et paix eternels bien sur

  8. Delbar dit :

    Le Général doit être bien seul dans sa prison avec le départ de son ami.
    J’espère qu’il pourra lire, ainsi que la famille du défunt, les magnifiques lignes du Professeur Samba.
    Le décès d’une belle personne nous plonge dans la tristesse mais doit aussi être signe d’espoir dans l’avenir.
    Il va falloir que ses amis reprennent son flambeau immédiatement.
    Bien à vous.

  9. Isidore AYA TONGA 100% Intérêt général dit :

    CONGO-BRAZZAVILLE/DIASPORA/NÉCROLOGIE: MARC MAPINGOU VIENT DE NOUS QUITTER ET PAIX A SON ÂME.
    Une grande perte pour la diaspora congolaise de France. Marc Mapingou, porte Parole du Général Jean Marie Michel Mokoko en France vient de nous quitter. Il a été emporté par le covid-19: Les condoléances les plus attristées à sa famille éprouvée et Paix à son âme que la terre lui soit légère. https://www.youtube.com/watch?v=sfTA0EPndoM

  10. Philippe Youlou dit :

    C’est avec un grand tristesse que je viens d’apprend le décès de Marc. Les Congolais perdent un démocrate.
    Homme de PAIX
    Soit en PAIX
    Philippe YOULOU

  11. Loathey dit :

    Le depart de Ya Marc est un coup dur pour la resistance, mais une bonne raison de continuer la lutte pour que son combat, ses aspirations ne disparaissent pas. Oui, il faut que des Josue s’elevent et poursuivent ce combat jusqu’a la victoire, c’est a dire jusqu’a l’avenement d’un Etat democratique au Congo.
    Consolation a la famille et a tous.
    Yenda kia mbote, Ya Marc.

  12. Végétarienne dit :

    Le sentiment inqualifiable des moments difficiles, quand se retrouvent leagués contre l’avancement d’un peuple, tristesse, panique, douleur, colère, impuissance et désespoir,
    Oui, ce sentiment désagréable, insupportable, inimaginable, bref incroyable et inacceptable a décidé unilatéralement de visiter ce 5 mai 2020, nos cœurs pourtant déjà meurtris, de congolais.
    Je me sens mal, et je sais que nombreux, sont des congolais et congolaises qui, à l’annonce du décès de monsieur Marc Mapingou, réalisent eux aussi, qu’il est plus que vrai : « qu’on apprécie le vrai bonheur, qu’après l’avoir perdu. »
    Rares sont de nos jours, les hommes politiques, capables de faire battre les cœurs des gens, comme lui, avait le don de le faire. Il était simple, humain, cultivé, courtois, gentil, etc.
    Que Dieu le reçoive dans son royaume !

  13. Bakala Téléma dit :

    Une triste nouvelle que j’ai appris en ouvrant mon téléphone. J’étais couac pendant quelques minutes face à ce rappel de notre frère vers Dieu le créateur. Démocrate, vous étiez même face aux provocateurs et adversaires. Sachez que vous avez touché certains cœurs, pour ne pas dire esprits par votre tenue citoyenne. Ces derniers temps, vous commenciez à nous lâcher certaines bribes de votre vie militante qui nous apprenez un peu plus sur votre ouverture à l’Autre. Puisse le Congolais fructifier cet héritage que vous nous laissez: l’ouverture à autrui et la tolérance dans le débat.

    Grand-frère, nous vous disons d’aller en Paix. Puissent nos ancêtres vous accueillir auprès de Nzambi Ya Mpungu.

  14. Bakala Téléma dit :

    Je pense au Général Mokoko qui vient de perdre en l’espace de moins d’un mois deux proches collaborateurs: son adjoint à Bangui, mort à New York, et maintenant notre grand-frère Marc.
    Beaucoup de courage, mon Général.

  15. David Londi dit :

    Chaque fois que nous perdons un Etre cher, cela interroge notre rapport avec la mort, la nôtre, et celle des personnes que nous aimons, et notre relation avec les personnes chères et qui sont mortes.
    Ce n’est pas rien. Et ce n’est pas inutile tellement nous sommes parfois tentés de nous désespérer face à la mort, ce qui nous conduit à mal placer notre vie présente. « Laisse les morts ensevelir leurs morts », dit Jésus dans (Matthieu 8:22).
    Avec cette phrase choc, il nous dit : Toi, tu n’es pas mort, ne désespère donc pas et va, avec au moins une seule parole tournée vers la vie, comme les combats à livrer auxquels Marc Mapingou s’est identifié. Cela nous dit que cette personne que nous aimons et dont le corps est mort n’est pas à compter comme morte pour autant. Ce n’est donc pas la personne que nous aimons que nous enterrons, c’est son corps. La preuve, cette personne, quand nous l’aimons encore et pensons à elle, peut encore nous aider à devenir meilleur. Ici, Marc Mapingou, de l’endroit où il est, nous appelle à donner le meilleur de nous-mêmes pour créer les conditions de l’unité des forces démocrates pour désintégrer le système dictatorial qui sévit au Congo parce que son message est éminemment politique. Au moins sa mémoire est encore vivante en nous, et tout ce qu’il y a de lui qui nous a influencés est encore vivant au fond de celles et ceux qui ont eu à le côtoyer ou entendu.
    Requiescat in pace !

  16. Val de Nantes dit :

    Les meilleurs s’en vont ; les voleurs pathologiques ,grimés en hommes politiques ,déambulent ,sans soucis ,dans les rues polluées du Congo…
    J’aurais aimé que ce soit l’inverse qui se produise ,mais la vie est le début de la mort .
    Comme disait Epicure : Quand la mort est là ,on n’est pas lâ ,quand elle n’est pas là ,on est lâ …
    Vu le combat de longue haleine que nous avons entamé pour le degagisme de Sassou ,la mort de Marc me paraît injuste ,tant le pays a besoin des esprits nantis des lumières pour éclairer la maison Congo…
    Et mon impression fataliste ,c’est que la mort se trompe des vraies cibles congolaises .
    C’est Dommage .

  17. Anonyme dit :

    À Dieu ya Marc, la démocratie sera rétablie tôt ou tard. RIP l’intelligentsia homme

  18. Vas en paix mon grand Marc MAPINGOU, un grand homme d’état s’en est aller. Vas en paix mon grand,nous toublirrons jamais

  19. Anonyme dit :

    Doyen Marc Mapingou
    La diaspora congolaise de France te restera reconnaissante pour le combat de la démocratie que tu as toujours mené pour notre cher et beau pays le Congo. Et ce combat nous le poursuivront sans toi.
    Paix à ton âme.

  20. Oh mon frère Marc nous sommes inconsolable on ne pouvait te rendre visite à l hôpital ont ne peut t accompagner dignement à ta dernière demeure la douleur est grande bas en paix toutes ta familles de zanaga te pleure le Congo en général et Sans oublier tes parents du Gabon vas en paix que dieu fortifie Nicole et toutes la famille

  21. Roger dit :

    M2R,
    À Monsieur Marc Mapingou,
    Merci pour tout…..
    Paix à votre âme.
    À la famille , courage…..

  22. Avec la disparition de Marc Mapingou, je perds un frère. Enfants, nous nous étions connus à Zanaga où nous avons été dans les mêmes classes. Je garde en mémoire l’image de son père qui était un ami de mon père. Nous partagions une multitude de souvenirs : les jeux et les chamailleries de notre enfance, les lectures, toute une formation, etc.
    J’adresse mes condoléances à toute sa famille.
    Repose en paix, cher frère !

  23. Grand frère Marc MAPINGOU je suis triste mais là où tu es que le saint esprit t’accueille, tu nous manques énormément.

  24. CD JUMEAU dit :

    Rest In Peace Mr MAPINGOU! Merci pour le combat que vous avez mené contre les Barbares pour la libération du Congo. Nous allons continuer le combat jusqu’à la victoire finale et le rétablissement d’un Nouvel État Congolais libéré des criminels et imposteurs, un État où chaque congolais ici pourra rentrer et prendre sa part au changement. Tâ MAPINGOU, VOUS ALLEZ NOUS MANQUER! RIP

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