L’Union africaine: organisation fantôme, cache-sexe des dictateurs. Par OLIVIER MOUEBARA

bechir-Mungabé-Sassou en juin 2015 en Afrique du Sud

bechir-Mungabé-Sassou en juin 2015 en Afrique du Sud

Le dernier sommet de l’Union africaine en Afrique du Sud a été perturbé par l’intrusion de la Cour Pénale Internationale. La photo des syndicats des dictateurs a été immédiatement jaunie. La pression exercée sur le gouvernement sud-africain de livrer à la CPI le président soudanais Omar El Béchir, a donné des sueurs froides à tous les dictateurs.

Clone de l’Organisation de l’unité africaine(OUA), l’Union africaine en a hérité toutes les imperfections.

Pour mémoire, l’article 1 de la charte de l’OUA condamnait explicitement les coups d’Etat en Afrique. L’encre de la charte n’avait pas encore séchée, qu’Eyadéma père exécutait froidement le père de l’indépendance, Chris Olympio. De là, le coup de force s’est installé comme culture de conquête du pouvoir en Afrique.

L’Union Africaine est de plus en plus discréditée. Dirigée par Robert Mugabé, qui, comme d’autres dictateurs africains voient d’un mauvais oeil l’alternance, cette organisation fantôme est l’ombre d’elle-même.

L’union africaine est génétiquement inapte et incapable de comprendre à quel point les populations africaines ne se reconnaissent pas en elle, elle n’est et ne sera jamais « le porte-parole de l’Afrique ».

Les africains déplorent aujourd’hui les silences, les absences d’une ligne politique claire, et le manque de courage politique de l’Union Africaine. Celle-ci se révèle telle qu’en elle-même: un cache-sexe des dictateurs.

Avec l’Union Africaine, « les dictateurs africains peuvent tuer leur peuple dans le silence et en toute impunité ». L’union africaine est là pour protéger les dictatures africaines et opprimer le peuple.

Incapable d’intervenir au Burundi, l’Union africaine n’est pas à même de faire entendre raison à Kurunziza, en l’enjoignant de respecter stricto-sensu les accords d’Arusha.

Soutenu financièrement par le boucher d’Oyo, le dictateur Sassou-Nguesso veille à ce que le verrou burundais ne saute pas. Sa survie politique en dépend.

Ultime provocation aux yeux et à la barbe de l’Union Africaine, le pathétique message fictif à la « Nation » du dictateur Sassou-Nguesso du 30 juin, dans lequel le bourreau des 353 disparus du Beach de Brazzaville impose un dialogue largement rejeté par les congolais.

Alors qu’aucune disposition constitutionnelle ne permet de telles contorsions, le dictateur Sassou-Nguesso s’entête dans une voie sans issue en essayant de faire peur au peuple congolais.

Avec une richesse personnelle estimée à 12000 milliards de FCFA au 31 décembre 2014 (3 fois le budget du Congo), alors que le pays manque de tout, le dictateur Sassou-Nguesso doit partir. C’est un impératif.

Face à une organisation fantôme qui ne sanctionne pas les errements des dictateurs, les peuples africains doivent prendre en mains leur destin.

Nous devons nous unir pour mettre hors d’état de nuire tous les imposteurs et les ennemis du peuple qui s’accaparent du pouvoir pour leur confort personnel, familial, tribal et ethnique.

De Kurunziza à Kabila en passant par le criminel Sassou-Nguesso, quoi qu’ils fassent, même avec la complaisance de l’Union africaine, leurs manœuvres dilatoires sont vaines. L’Afrique aspire aujourd’hui à l’alternance.

Blaise Compaoré a été chassé du pouvoir sous la pression populaire. Boni Yayi a renoncé au tripatouillage constitutionnel sous la pression de la société civile et de l’opposition. Nous pouvons chasser du pouvoir les dictateurs récalcitrants si nous avons une stratégie commune.

L’amer constat du discrédit profond qui frappe l’Union africaine est sans commune mesure. Cette organisation n’est pas à la hauteur des enjeux. Les africains doivent donner le tempo, impulser les révoltes et les soulèvements citoyens pour espérer « réformer » cette organisation obsolète.

L’Afrique, continent d’avenir est prise en otage par un syndicat de dictateurs qui refusent l’alternance et le développement. La fronde contre la CPI a pour objectif de protéger les dictateurs africains.

Face à une organisation fantôme, cache-sexe des dictateurs, donnons-nous les moyens de nous débarrasser de cette racaille, qui, depuis 50 ans tire le continent vers le bas.

De la FEANF (Fédération des Etudiants d’Afrique noire Francophone) en passant par l’OUA et L’Union Africaine, l’Afrique n’a connu que misère, corruption, famine, guerres civiles, coups d’Etat… Cette génération a abdiqué et a échoué sur tous les plans. Elle doit à présent passer pacifiquement la main, conformément aux dispositions constitutionnelles en vigueur.

Si elle s’y oppose, nous la pousserons vers la sortie… par tous moyens. Elle finira comme Compaoré en slip kangourou et traquée par la CPI. Nous ferons de leur exil un enfer.

Olivier Mouebara

Diffusé le 01 juillet 2015, par www.congo-liberty.org

SASSOU-NGUESSO PROMET DE FAIRE GOUTER LE SANG AUX CONGOLAIS ! (27 juin 2015 à Kinkala)

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6 réponses à L’Union africaine: organisation fantôme, cache-sexe des dictateurs. Par OLIVIER MOUEBARA

  1. De l'OUA à l'UA ou l'union des dictateurs et de dictatueurs sur le continent noir, mode d'emploi ! dit :

    Avec la récurrence des dictateurs ou des dictatueurs africains – nous approchons de la permanence de l’état de déni du droit à la vie, à la souveraineté, à la justice universelle – au droit du devoir de mémoire, aux libertés fondamentales et à la condition humaine en Afrique noire et plus particulièrement au Congo.

    Par conséquent aucune liberté fondamentale, condition humaine ou sociale ne sera plus stable en Afrique noire et notamment au Congo Brazzaville.

    Les dictateurs ou dictatueurs dont l’image dictatoriale vient à expirer, continuent d’être vendus sur le marché international, sous une nouvelle appellation démocraturiale (condensation pseudo démocratie + dictature).

    C’est par ce tour de passe-passe que les donneurs d’ordre ou les représentants du marché de matières premières – les marchants d’armes et de munitions de guerre civile en Afrique – et ceux opérant pour le crime organisé à l’échelle internationale vont décider de remplacer les anciennes dictatures stupides, sanguinaires et criminogènes – et de présenter la nouvelle génération de dictatures non addictives de violence, de barbarie et de crime contre l’humanité – bien que ces nouveautés ne soient pas plus efficaces sur le progrès des libertés fondamentales et de la condition humaine en Afrique noire.

    OUI, JACOB ZUMA A SOUILLÉ L’AFRIQUE DU SUD DE NELSON MANDELA ET LA CIVILISATION NOUVELLE A CETTE ECHELLE.

    POUR L’HONNEUR DE LA NATION SUD AFRICAINE – IL DEVAIT DÉMISSIONNER, CAR AUX YEUX DU MONDE LIBRE ET CIVILISÉ – L’AFRIQUE DU SUD DE JACOB ZUMA N’EST PLUS LE MODÈLE DE LA DÉMOCRATIE A L’ÉCHELLE DU CONTINENT NOIR… ET VOILA SOUS NOS YEUX, COMMENT L’HOMME AFRICAIN N’EST PAS ENCORE ENTRÉ DANS L’HISTORIE HUMAINE…

    Dans les années à venir, on assistera de plus en plus en Afrique à une création de toutes pièces de démocratures sponsorisées par les corporations liées au marché des matières premières, du trafic d’armes et du crime organisé.

    L’ACTUEL UNION AFRICAINE OU L’UNION DES DICTATUEURS ET DE CRIMES CONTRE LA CIVILISATION SOUHAITENT T-ELLES PERPÉTRER LEURS ACTES CRIMINOGÈNES A HUIT CLOS? OUI, C’EST A PEU PRES CELA, CAR L’UNION AFRICAINE NE SOUHAITE AUCUNE INGÉRENCE !

    La Cour pénale internationale est une juridiction permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité, de crime d’agression et de crime de guerre. Elle a cependant du mal à convaincre l’opinion internationale de son utilité pour l’humanité.

    La raison est que l’on n’a pas encore définit les quotas de victimes pour diligenter une enquête de la Cour pénale internationale.
    Faut-il 353, 400, 7.000, 9.0000, 10.0000, 150.000, 200.000, 300.000, 400.000, 500.000, 600.000, 700.000, 800.000, 900.000 victimes ou 1.000.000, 10.000000, 100.000.000 de victimes?

    Dans les situations génocide actuel dans le monde, le quota de référence serait alors de combien victimes?

    Si aucun consensus concernant le quota de victimes n’est trouvé – les dictateurs ou dictatueurs sanguinaires et génocidaires auront donc largement de temps et de marge manœuvre criminelle.

    Ils pourront alors faire plus de victimes avant qu’une intervention armée ou une procédure de justice pénale internationale soit lancée.

    Au 21è siècle, pourrons-nous encore entendre raison aux auteurs des crimes contre l’humanité?

    Si oui, n’allons- nous pas ouvrir la boite de pandore vers l’impunité et le négationnisme des crimes contre l’humanité sur différentes échelles de civilisation nouvelle?

    Donc, ceux qui ont le privilège de savoir ont le droit et le devoir d’agir – c’est à dire d’être humaniste, raisonnable, responsable, conscient donc de leurs actes, de leurs attitudes et de leur positionnement et comportement.

  2. Ce que je sais:
    1) petit satan va dire à Hollande qu’il veut changer la constitution pour préparer la prise du pouvoir par la nouvelle génération;
    2) pour préparer cette relève, il est le seul à garantir cette transition politique vu qu’il a le contrôle de tous les tueurs du Congo;
    3) pour atteindre cet objectif, il a seulement besoin de deux années i.e. le temps de mettre en place les nouvelles institutions devant sortir du référendum de 2016.

    Voilà ce que je sais des petits calculs de petit satan sur la route de Paris. Mais comme tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute et que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent, petit satan sait à quoi s’attendre de la part de Hollande.

    Hollande sait que la mise en avant de satantino n’est que l’arbre qui cache la forêt qui est son projet de mourir au pouvoir. Il n’y a pas de projet de transition politique chez petit Satan. Tout ce que fait satantino n’est qu’une diversion au bénéfice de son satanique de père qui veut enfumer Hollande et Obama en feignant qu’il veut transmettre le pouvoir à une nouvelle génération de con-golais. LUVUNU! LOKUTA!

    Pour finir sur un tout autre sujet. petit Satan dit qu’un groupe d’experts va discuter de ses questions à débattre lors de son faux dialogue. Comment peut-on choisir ces experts à moins de 11 jours de non événement? Sur quels critères seront-ils choisis?

    Tous savons que pour choisir des experts sur un sujet, il faut d’abord rédiger les termes de référence de leur travail; établir des critères de leur choix; lancer des appels à candidatures; analyser les candidatures soumises; sélectionner les candidats; leur remettre les termes de référence de leur travail. Tout ceci prend au minimum un mois. Bref, petit Satan qui est un CON veut nous prendre pour des Cons que nous ne sommes pas. Ceci dit, petit Satan avait déjà fait ce travail à l’avance et à sa liste d’experts qu’il a déjà contactés.

    Parlant du travail de ces faux experts. Comment en moins de 10 jours peuvent-ils collecter l’information relative à leur mandat, l’analyser et rédiger leurs rapports préliminaire et final en avant le 11 juillet? Bref, tout ceci veut dire que leur travail a été déjà fait car, discuter d’une constitution et de l’organisation des élections ne peut se faire en moins de 10 jours. LUVUNU!LOKUTA!

    petit Satan est vraiment le fils biologique de Satan.

    Con-golais, petit Satan vous ment. Ne participez pas à son événement qu’il a déjà écrit en avance.

  3. Samory dit :

    Bien que la tâche est difficile, vu les menaces exercées en coulisse, l’UA a montré la voie. En impulsant le processus de désengagement général du Traité de Rome, relatif à la CPI. Nous sommes des démocrates, nous respectons la justice. Mais encore faut il que cette structure internationale dite indépendante soit impartiale. Or, les faits démontrent que la Cour Pénale Impérialiste ne jouit d’aucune indépendance. C’est un instrument politique de répression des Etats africains pétroliers et de leurs dirigeants « insolents » en vers l’Occident.

    Et puis il y a la nouvelle procureur F.Bensouda, une femme africaine et Noire probablement honnête, mais qui a été mise en avant dans l’unique but de torpiller toute initiative salutaire entreprisr sur le continent. C’est ainsi que le President L.Bagbo a fini au mitar. Pour son entêtement à vouloir battre une monnaie souveraine, en lieu et place du FCFA. Je ne suis pas un soudanais pour autant. Le President Omar Bechir a probablement fait des erreurs. Sauf qu’au delà des info biaisées des médias occidentaux, la réalité est souvent très différente.

    Nous félicitons le President J.Zouma ainsi que tous ses paires africains, pour avoir maintenu leur unité dans cette affaire. Soulignons que le gouvernement de Khartoum a deja céder une concession importante aux Etats Unies, en leur offrant le Sud Soudan. Apres une longue guerre civile coûteuse, fomentée par des puissances extérieurs. Donc ces lobbys financiers tapis dans l’ombre de la CPI veulent le beurre (le pétrole du Sud Soudan) et l’argent du beurre. On peut difficilement comprendre comment les autorités soudanaises pouvaient rester sans réaction, face à une rébellion lourdement armée et sous influence étrangère.

    Le même schéma est appliquer à la region du Darfour au potentiel énorme qui risque d’etre arracher au Soudan. D’où le rôle obscure de la CPI qui n’est rien d’autre qu’une caisse de résonance des puissances d’argent. Cet organisme pourrait jouer un rôle positif, dans le résolution des crises socio-politiques en Afrique. Mais il semble qu’il y a d’autres interets derrière ce « machin ». Lors que l’UA a proposé une feuille de route cohérente pour la sortie de crise dans l’affaire de la Libye, la Cour Penale Imperialiste a maneouvré contre la médiation africaine. Le message est clair, c’est un instrument de répression politico-judiciaire au service de l’OTAN.

  4. De l'OUA à l'UA ou l'union des dictateurs et de dictatueurs sur le continent noir, mode d'emploi ! dit :

    @Samory

    Avec ses écosystèmes riches en scandale géologique et en biodiversité faunistique, floristique et en ressources naturelles – comment cela se fait-il que le continent noir reste toujours assisté par la communauté internationale?

    Mais à qui la faute? C’est vous et nous, africains d’abord et notamment congolais.
    Nelson Mandela l’avait pourtant dit en son temps je cite «c’est en révérant à un endroit où rien n’a bougé qu’on se rend compte à quel point on a changé».

    Par ailleurs, l’anthropologie sociopolitique africaine et en particulier congolaise a toujours retenu mon attention cognitive en ce sens qu’elle avait et a toujours le pouvoir quasi magique de me rendre plus éducatif et transgressif que jamais.

    En effet, cette anthropologie s’est toujours manifestée et se manifeste encore à nos jours par quatre caractéristiques réfractaires majeures.

    1 – L’esprit répétitif du même état d’esprit, c’est-à-dire des mentalités, des habitudes, du comportement et de certaines valeurs morales ont toujours empêché et empêchent encore aujourd’hui l’évolution du continent noir et cela fonctionne à l’échelle congolaise aussi. Et c’est récurrent.

    2 – Les africains depuis ces cinquante dernières années s’en remettent toujours aux autres communautés humaines venues d’ailleurs pour construire leur propre développement sociopolitique, économique et environnemental.

    En d’autres termes, ils ont toujours fait appel et font toujours appel aujourd’hui aux occidentaux, aux asiatiques, et à d’autres peuples proches ou hors du continent pour penser, réfléchir, construire, aider, et élever à leur place les libertés fondamentales et la condition humaine de leur peuple.

    3 – Les africains et notamment les congolais ont toujours trouvé et trouvent encore aujourd’hui des boucs émissaires tribaux, ethno-régionalistes et ethniques (racial) à leur situation politique, économique et sociale.

    C’est un bazar de déni et de renvoi mutuel des responsabilités sociopolitiques sur différentes échelles africaines et congolaises aussi. Agitez donc vos neurones et non la conscience réfractaire calqué sur la philosophie sociopolitique des boucs émissaires, voyant!

    4- L’absence de la culture de la raison et de l’esprit humain (l’esprit critique et l’éveil des consciences individuelles et collectives).

    Cela est d’autant plus évident par le manque d’éducation, de transmission, de principes et valeurs des libertés fondamentales, de valeurs morales (entre le bien et le mal) et de la condition humaine.

  5. Comme je m’en doutais, les dés étaient pipés dès le commencement de ce jeu satanique. Aussitôt annoncé son non événement que petit satan nous donne la liste des organisateurs de son cirque. Sur 36 noms, il y a 26 noms d’individus de son village et des environs. 26 noms de Ngala sur 36 alors que ces derniers ne représentent même pas 25% de la population. Les Teke et les Kongo sont marginalisés.quelle honte est devenue ce Congo?

    Tchadiens mingui samu na Congo. Voilà un individu qui croit que le Congo lui appartient au point de dire que c’est lui au final qui décidera d’appliquer ou pas les recommandations du rapport de son non événement. Voilà un individu qui, toute honte bue, va choisir qui participera ou pas à son non événement. Dites-moi, qui avant ce fils de satan avait osé défié les congolais jusqu’à ce point?

    Chers compatriotes, n’allez tout simplement pas à ce non événement dont l’issue est connue d’avance comme nous le fait constater l’analyse des trois décrets de petit Satan. Notre présence est inutile puisqu’au final, comme le dit son troisième décret, c’est lui, petit Satan le dahoméen, qui décidera de la suite à donner au rapport de son non événement. D’ailleurs, son goebbels de pigasse le dit si bien: il organisera son référendum et le résultat doit être accepté de tous au risque de goûter au sang de nos langues comme il nous a averti à Kinkala. Avec tout ça, a-t-on encore besoin d’une photo pour comprendre que petit Satan veut mourir au pouvoir pour échapper à la CPI et autres tribunaux qui l’attendent pour ses crimes de sang et économiques?

    Si nous n’avons pas les armes pour abattre son régime, nous avons au moins notre dignité. Aussi, disons non à son non événement. De toutes les façons, il ne veut pas des gens qui viendront contredire sa messe. À qui sert-il d’y aller? Politique de la chaise vide ou pas, petit Satan décidera et a déjà décidé qu’il y aura coup d’état constitutionnel. Lisez bien la fin de son dernier décret.

    Soyons dignes et fiers, chers compatriotes car, ce que je sais est que petit Satan ne sera plus président du Congo dans pas très longtemps. Je tiens cette vérité d’un sage. Aussi, dans l’adversité sachons avoir Foi car, la fin de petit Satan est non seulement très proche, mais aussi certaine et inéluctable. Il n’y aura d’élections au Congo avec petit Satan comme vainqueur. C’est FINI. petit Satan c’est maintenant une histoire du rétroviseur.

    http://www.lesdepechesdebrazzaville.fr/flex/php/simple_document.php?doc=20150702_DBZ_DBZ_ALL.pdf

  6. Samory dit :

    Diantre, qui va là ? Voilà qu’on dénonce à tout va les apologistes des présumés crimes et génocides nul part valider dans aucun écrit. Vous avez un probleme les « gars ». Où est donc passer l’esprit Charlie ? Les congolais affectionnent cet exercice vaniteux qui consiste à vouloir exercer Dieu ne sait quelle suprématie morale et intellectuelle, tout à fait inconnu des éditorialistes sérieux par ailleurs. Malheureusement, avec nos « grands clercs » des grandiloquents colloques parisiens en mal de reconnaissance l’opinion africaine ne saura jamais que la CPI comprend dans son arsenal de répression et de délation plusieurs ONG des services secrets américains qui n’ont aucun secret. Derrière les quelles ont retrouve le bon philanthrope juif, G.Soros. Cet individu est à l’origine des pressions exercées directement sur la justice sud africaine. Dont une partie se trouve encore entre les mains des afikaneers blancs.

    Il s’agit des anciens cadres du regime raciste d’Apartheid demeurés impuni jusqu’à ce jour. Encore moins par la prétendue CPI qui se donne ce droit là à perturber un sommet important de l’UA en Afrique du Sud. Le quel a jeter les bases d’une réelle indépendance de l’instance supranationale très largement financee par des fonds étrangers. Ce qui explique sans doute le zèle du fameux juge (le neveu direct du ministre de la Gestapo nazi de Hitler, précisez le) afrikaneer, prompt à punir un dirigeant africain souverainiste qui a bravé l’Occident et ses puissants lobbys financiers. Toujours est il qu’une réalité demeure. Le President Omar El Bechir (je n’en suis point un sympathisant, mais) est un ancien vétéran de l’armée de l’Egypte du President Gamal Abdel Nasser et du President Anouar Sadate. Ayant combattu Israel et les USA durant deux guerres majeures dans le désert du Sinaï.

    L’objectif militaire étant de défendre l’intégrité des frontières du Moyen Orient menacées d’annexion. Puis d’assuré la protection des populations de la Palestine génocidées, traumatisées et expulsés de leurs terres où ils vivaient en harmonie avec les autres communautés ethniques et religieuses depuis des siécles. Or, sous pretexte d’un conflit mondial en réalité européo-européen, un peuple énigmatique d’apatrides se pavane aujourd’hui sur une terre volée. Avec la bénédiction de la dite « communauté internationale » (ou occidentale). Il se trouve que face à ces usurpateurs multirécidivistes, sur la ligne de front, un certain officier soudanais s’est illustré. L’affront historique est probablement l’une des causes de l’acharnement d’un certain lobby sioniste (à travers Soros et le juge nazi sous pression) qui ne cessera jamais d’exiger un châtiment exemplaire. Tous les prétextes possibles et des plus farfelus serviront à ce but. A présent, qu’en pense la CPI de la situation des populations de Gaza où l’Israel teste toute les armes non conventionnelles sur ses « cobayes » favoris ?

    Mais allez y, je vous en prie, exercez donc sur un internaute à l’esprit trop ouvert à votre gout, vos préciosités et tout votre magistère parfaitement inconnu des libraires. Puis que vous semblez vous faire le meilleur distributeur sophiste des bons et mauvais points sur le Web. Ne me faites pas dire ce que je n’ai jamais écrit, car on ne peut justifier une guerre meurtrière, même juste soit elle. Par contre, vous semblez ignoré la réalité des rapports de forces (le Soudan étant un pays Non Aligné, proche de la Russie et la Chine) dans le système international dominé par l’Occident. Des pleurnichards d’intellectuels inconnus. Je ne prétend pas en etre un, du moins tel que vous l’entendez, mais les faits sont têtus au delà des JT des médias mensonges. Ces petits télégraphistes de l’empire occidental. Souffrez qu’on puisse le souligné tout simplement. Ô je n’ignore pas qu’il faut s’indigner sur commande contre le « pouvoir » et la « dictature », pour se faire un nom ou un « pseudonyme » sur Internet. Cependant, je n’est aucune réputation pédante à défendre sur les réseaux sociaux. Cela n’empêche d’avoir des convictions. N’en déplaise.

    Bref, vous qui prêtez des vertus cardinales aux fameux leaders occidentaux, sachez qu’à sa libération après 27 années d’incarcération le premier dirigeant à qui le Grand Nelson Mandela a rendu hommage était M.Kadhafi. Ce n’étaient pas les amis et dealers du regime d’Apartheid (détenteur d’armes nucléaires offert par la communauté internationale), pourtant sous embargo international de l’ONU. C.-à-d. la france, les Etats Unies, Israel, l’Angleterre, l’UE, ce conglomérat de fossoyeurs de la Grèce. Surtout pas les magistrats corrompus de l’ex tribunal pour la Yougoslavie (ancêtre de la CPI) détruite par l’OTAN et divisée en bantoustan insignifiant par les Etats Unies. Un Etat voyou qui vous est surement cher. Quid du Club Med de Guantanamo ? Allez y, puis que vous avez le monopole du coeur et de la raison. Un monopole imaginaire. Tant il est inexistant chez aucun libraire, pas même dans une seul bibliothèque de quartier. Nous avons accès aussi à d’autres chuchotement des coulisses d’un monde compliquer et dangereux. Contentez vous des biaiseries de la presse occidentale enjuivée. Ah béno ! Vous êtes des « penseurs ». Ben voyons.

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