LES DESSOUS DES CARTES D’UN REFERENDUM ILLEGAL AU CONGO-BZV
Tout porte à croire que DSN (Denis Sassou Nguesso) revenu au pouvoir à Brazzaville depuis 18 ans, après avoir renversé Lissouba Pascal en 1997, est en crise de légitimité. Le ras-le-bol général témoigne de sa déliquescence que la propagande du PCT ne parvient plus à masquer. Ni les échecs ni l’incompétence de sa gouvernance empêtrée dans une corruption endémique ne laissent plus le moindre doute du rejet collectif de son pouvoir usurpé. L’examen minutieux des rapports de force politiques en présence suggère que l’on prête attention à la propension de DSN à défier, contre vents et marrées, la vague contestataire qui, selon toute vraisemblance, est majoritaire dans le pays.
Un référendum illégal
La démarche de mise en route d’un processus de changement de la Constitution du 20 janvier 2002, procède d’une ineptie juridique sur fond d’arguties politiciennes cousues de fil blanc. Mais, il est trop tard, cependant, pour s’en plaindre. Les dirigeants en charge de la gestion de l’Etat ont, toute honte bue, vaincu l’horreur de la forfaiture et le poids de la perte d’honneur pour s’embourber dans la fange du ridicule. Le vin est tiré, il faut le boire… mais, pas jusqu’à la lie. Une réponse juste, proportionnée et efficace est requise. Reste à en définir les principes, les buts et enfin les tenants et les aboutissants.
Les raisons de l’entêtement d’un régime impopulaire
Il est fort à parier que DSN compte sur des appuis dans la société, principalement au sein de son opposition, y compris parmi les plus virulents de ses opposants officiels, avec lesquels il partage agendas et stratégies. Il ne fait aucun doute -la démonstration va être faite- que le jeu politique autour des acteurs dont les rôles et les actions procèdent d’un scénario finement élaboré, reste sous le contrôle et la maitrise de DSN. François SOUDAN, directeur de rédaction du magazine Jeune Afrique et supposé « gendre » de DSN en a étalé les principes, les mécanismes de mise en œuvre et même le calendrier. Les opposants traditionnels et officiels dont DSN est le véritable chef n’ont rien pu faire, non pas par incapacité, mais par ententes implicites qui règlent les rapports officieux d’une opposition nourrie à la mamelle du Trésor public. A tel enseigne, le pouvoir de Brazzaville dispose, tout à la fois, de l’administration publique, des finances de l’Etat, des armées, de la police, de la diplomatie, etc… mais aussi, de son opposition traditionnelle qui bénéficie depuis peu de l’arrivée (l’appui) de quelques « brebis galeuses » de la majorité en mission commandée dans les rang, en vue de se prémunir de tout risque de dérapage. Ainsi, DSN qui, au demeurant, craint l’éventualité d’une révolte populaire face à laquelle il ne pourra rien, s’est entouré de tous ces artifices pour en contrôler le déroulé et ainsi, le cas échéant, retourner en sa faveur une situation politique très défavorable.
Les travers d’une opposition rongée par des égos, sans envergure, mais démesurés
Dans le contexte d’adversité que traverse le Congo-Bzv, il n’y a aucune chance de construire une dynamique avec une opposition démiurge (à têtes multiples) sans « chef » reconnu par tous (ou plus ou moins) capable de se poser en interlocuteur crédible et sincère face à un système de gouvernement rangé derrière un homme qui fait office de gourou infranchissable. L’opposition congolaise est un nid de Présidents sans envergure (Idées, base électorale, alliances stratégiques). Ils se valent tous. Aucun ne peut faire consensus à un moment donné, pour une cause précise, et servir (ne serait-ce que ça) de porte-parole bénéficiant de la confiance des autres. Pour s’assurer du pouvoir de chacun, les plateformes (Collectif des Partis de l’opposition, FROCAD, IDC) se dotent, à chaque fois, de Conseils ou de Conférence des Présidents qui donnent l’illusion d’un organe de délibération. Mais, quand-même, fait insolite, ils se choisissent un « Petit » représentant « Poids plume » sur la base d’une garantie ; celle de ne point faire de l’ombre à personne. Tous les Présidents sont censés être maîtres de la stratégie (d’autant plus qu’elle n’existe pas), du calendrier et du pouvoir discrétionnaire que, seul un « chef » peut exercer avec efficacité et en toute responsabilité au nom et pour le compte des autres (qui demeurent des partenaires exigeants et respectables et non des subalternes). Ainsi, l’opposition traditionnelle et officielle de DSN n’a jamais pu poser une stratégie qui vaille : le modèle d’organisation ne pouvant s’y prêter. Mais aussi et surtout, parce que tout le monde soupçonne tout le monde de connivence avec on ne sait quel relais du pouvoir.
Les passerelles et les connivences pouvoir/opposition
DSN est conscient des risques liés à son projet de réformes dont le but avoué est de se maintenir au pouvoir. Peu importe qui de lui-même ou de ses proches (parents et amis) aura la meilleure posture pour faire passer la pilule dans une opinion hostile et rangée à bloc contre cette démarche considérée comme une initiative de trop. Le plus important pour lui, c’est de garder les commandes du pouvoir, quel que soit le prix à payer. Une alternance pacifique aura des conséquences incalculables pour ces « Arrivistes » qui ont accumulés, en toute impunité, biens et privilèges de manière illégale. Rien n’est laissé au hasard dans la stratégie de conservation. Parmi les clefs : l’opposition politique. Après avoir instrumentalisés des potiches comme Fila St-Eudes, Kignoumbi Kiamboungou, et autres potentats en errance ici et là, l’UPADS (toutes ailes confondues), Dzon Mathias, Christophe Moukoueke ou encore Jean Itadi, etc… ont été littéralement mis en situation de collaboration déguisée au service de la cause du pouvoir. Il faut des opposants au régime pour faire œuvre de démocratie. Alors, DSN ne s’est pas privé de s’en procurer, en les fabriquant (ou en les façonnant). Une opposition à son goût. Savez-vous que: (1) le Congrès (dit) unitaire de l’UPADS avait été entièrement financé par le pouvoir du PCT ? On évoque au bas mot, quelque-chose de l’ordre de 200 millions de francs cfa versés à Paris, en monnaie liquide, à Pascal Gamassa, le parrain de l’autre Pascal (Tsaty Mabiala) qui doit au premier son maintien à la tête de l’UPADS alors que les Moukouéké, Mbery, Tamba-Tamba, et consorts voulais bien se débarrasser de lui à l’issu dudit Congrès. (2) Moukouéké, Itadi, Nimi Madingou (gestionnaire de certains intérêts de Maurice Nguesso en France), obligés de partir pour n’avoir pas réussi à virer Pascal Tsaty Mabiala (encore une question d’égo) créent le CAP. Sauf que le parrain est le même : le PCT qui a tout financé. Du Congrès constitutif aux royalties propres à assurer le quotidien de chacun. Les frais de séjour et d’hébergement de J. Itadi sont entièrement pris en charge par le pouvoir depuis son retour au pays. L’épouse de Ch. Moukouéké (par qui transitent les prébendes) est femme de compagnie d’Antoinette Sassou Ng. Claudia Sassou, fille et Conseillère de DSN veille personnellement à la gestion de la relation entre le Pouvoir et les ténors du CAP. Les militants qui, parfois, semblent y croire ne voit que du feu ! (3) Dzon Mathias entretien une relation directe avec le Président qui l’appelle régulièrement pour faire le point de la situation. Les transactions financières sont assurées par le truchement de Mboulou Zéphirin, Ministre de l’intérieur. A titre d’exemple, lors du décès d’une ex-belle-sœur de Dzon, il y a quelques mois, sur instruction du Président de la République, Mboulou fait parvenir 42 millions de francs cfa au titre de participation aux obsèques de la défunte ex-belle-sœur. Allez-y comprendre ! La mission avait été confiée à une de gardes rapprochées de Mboulou, ce dernier se trouvant à Oyo aux côtés de DSN. Comme si cela ne suffisait pas, et compte-tenu de la faible capacité de ses opposants à se fondre dans les aspirations de la population, le pouvoir par une mécanique bien huilée prend appui sur quelques frondeurs (supposés) qui, très vite, presque sans aucune difficulté, prennent le contrôle des dynamiques de l’opposition au travers d’une OPA lancée dans la foulée de la tenue du Dialogue alternatif de Diata. Ainsi, Okombi Salissa André, encore membre du PCT dont il est le député de la circonscription de Lekana, Kolélas Parfait, Secrétaire Général du Mccdi, encore en partenariat avec le PCT suivant les accords signés par son père (Bernard Kolélas), Mabio Mavoungou, toujours membre du RDPS dont le Président (Marc Thystère Tchikaya) siège au Gouvernement depuis le dernier remaniement, et quelques autres, fondent l’IDC, officiellement pour appeler au respect de l’ordre constitutionnel. Soit dit en passant, pour être juste et objectif, Bowao Charles Zacharie, membre fondateur de l’IDC est le seul à ce jour à avoir tenu sa promesse d’aller au bout de la logique qu’impose l’entêtement du PCT. Il en a démissionné dès l’annonce par DSN de la convocation du référendum. Chapeau à lui ! Pour revenir sur Okombi, celui-ci avait été reçu nuitamment (en deux temps) par DSN peu après son retour à Brazzaville après son dernier et long séjour en France, pour s’entendre lui dire deux choses : la première, il lui recommandait de reprendre son siège de député à l’Assemblée Nationale, alors que le Bureau Politique du PCT se préparait à lui en privé l’exercice ; La deuxième, il (DSN) lui (Okombi) demandait de continuer à exprimer librement son opinion sur la question du changement ou non de la Constitution, à condition (précisait DSN) d’observer une limite à ne pas franchir : pas de dérapage, lui dit-il, car tu pourrais jouer un rôle dans un avenir proche, renchérissait DSN. Le même Okombi a fomenté un faux attentat sur sa personne dans les encablures de Lékana, son village, pour asseoir sa crédibilité faisant définitivement croire qu’il est en rupture de ban avec son mentor, qu’il appelle affectueusement « mon Président ». A beau mentir qui vient de loin !! Kolélas Parfait, quant à lui est écartelé entre la pression de ce qui reste de la base électorale du MCDDI qui voudrait bien le voir concourir pour la présidentielle de 2016, d’une part, et les contraintes de l’accord signé par son père en 2006 ; lesquels accords réactivant l’alliance URD-PCT des années 90 devenue entre-temps caduques après le rapprochement de Bernard Kolélas avec Pascal Lisouba, pendant la crise de 1997. Au nom de cette alliance, il faut retenir (par exemple) que la dernière Convention du MCDDI de novembre 2014 a été entièrement financée par DSN. Plus de 100 millions de francs cfa versés, à cet effet. Au nom du même accord, Landry Kolélas et Bernard Tchibambeléla siègent encore au Gouvernement. L’aile MCCDI de Kolélas Parfait en désaccord (apparent) avec le PCT sur le projet de changement de la Constitution du 20 janvier 2002, n’a toujours pas le courage de dénoncer les fameux accords de Sangolo, qui comporteraient un autre volet, qui lui serait mystique. Il aurait été scellé sous la garantie d’un serment couvert par le fétiche du Ndzobi. Comme quoi, en Afrique, la démocratie devra faire face à cette autre réalité qu’est la métaphysique des rapports de forces qui échappent à toute logique compréhensible par tous ! L’un (Okombi) comme l’autre (Kolélas) entendent bien profiter de leur liaison quasi incestueuse avec le PCT qui, en cas d’effondrement, ou d’échec dans la mise en œuvre de son projet, devra se rabattre sur ces alliés délocalisés (à cette fin). Au point où ces derniers, depuis le moment où ils font feu de tout bois contre le changement de la Constitution, la question essentielle liée à la gouvernance électorale ne les préoccupe point ! Munari Claudine, vous avez dit ! Une vipère pour la lutte. Ne posez surtout pas la question à Lissouba Pascal. Il vous répondra : Quelle référence !
Quid de Kinfoussia, Mierassa, Mbaya,… Pas grand-chose. Sinon, DSN sait que leur aptitude à porter une dynamique politique est extrêmement limitée voire insignifiante. Cependant, de nouveaux acteurs de la scène politique (peu nombreux certes) et d’une certaine société civile, sont suivis à la loupe par le pouvoir. Une surprise n’est jamais loin dans un contexte pré révolutionnaire où le ras-le-bol général a atteint un niveau tel, que la révolte en perspective enfantera ses leaders pour en assurer la gestion.
Le meeting du 27 septembre 2015
Grande réussite pour laquelle l’on est tenté de rendre hommage à ses initiateurs ! Il faut plutôt constater après cette démonstration, que l’argument dont se prévalait jusque-là DSN, c’est-à-dire la peur, n’est plus qu’un chiffon rouge qui risque, dans peu de temps, d’enclencher l’une des révolutions les plus spectaculaires de l’histoire du continent africain, post-indépendance. Au-delà donc du succès évident, quelques enseignements méritent d’être tirés. Mais aussi, des questions encore sans réponses interpellent certains esprits alertes. Selon une source vérifiable, il ressort qu’à quelques heures avant le début du meeting, DSN a dépêché son gendre Kourissa Jean de Dieu, député de Poto-Poto, pour s’assurer auprès d’Okombi, que la ligne rouge ne sera pas franchie, à savoir : pas de marche dans la ville, pas de consignes ouvrant la voie de la désobéissance civile généralisée. Ainsi, a-t-il été ! D’ailleurs, ce que la multitude des participants au meeting ne savent certainement pas, Okombi s’est joué les coudes avec ses alliés (FROCAD et IDC confondus) pour être le dernier à intervenir dans l’ordre des prises de parole le 27 septembre 2015, sur le Boulevard Alfred Raoul plein à craquer. L’enjeu est de taille. Il est question de contrôler le message de la fin. D’une simple et courte petite phrase, tout pouvait basculer, d’autant que le public présent était là pour ça. Et attendait que cela soit dit… ! Non, les ordres sont les ordres. Pour bien incarné le rôle, il fallait se monter tenace, déterminé. Mais, sans plus !! En réalité, la mobilisation de dimanche n’était ni l’apanage de X ou Y, mais plutôt l’expression populaire de la volonté d’en finir avec DSN. Ils sont venus nombreux attendre le mot d’ordre ce jour-là. Hélas ! L’explosion de la bombe (sociale) a été retardée. Il faut bien que les opposant s’organisent à garder la télécommande qui déclenchera la détonation afin de canaliser la suite. Si par malheur, cette population réussie à faire sauter -elle-même- la bombe (sociale), alors danger !!! (y compris pour les opposants).
Le plus dur est à venir…
En effet, si la suite des évènements se complique, tout le monde se souviendra de cette occasion (le meeting du 27 septembre 2015) comme étant le jour où le sort de DSN et sa bande de profiteurs égoïstes aurait pu être définitivement réglé. Bien sûr, avec quelques dégâts collatéraux. Mais avec une telle mobilisation, Brazzaville était sur le point de faire du pouvoir clanique de DSN, une bouchée. Ceci étant posé, il faut illico penser l’avenir. Cet avenir tout proche arrive à grande vitesse. Le soir même du 27 septembre 2015, pendant que les participants au meeting arrivaient à peine chez eux et prenaient le temps de raconter les émotions vécues, à ceux qui n’avaient pas pu faire le déplacement, et que l’histoire est sur le point de tourner une page dans notre pays, DSN comme par défi, ordonne la publication de deux décrets anti datés qui créent et nomment les membres de la commission chargée de la rédaction da sa « Nouvelle Constitution » à laquelle il tient tant. Aux dernières nouvelles, et dans les prochaines 48 heures, le Conseil des ministres programme à son tour un ordre du jour portant adoption du fameux projet de « Nouvelle Constitution » avant sa transmission au Parlement. Etape ultime en vue du référendum. Le processus s’accélère, et pour cause ! Il faut déclencher la crise maintenant que le dispositif de l’opposition est dans le bon ordre avant que l’espièglerie en cours ne soit démasquée. Parce que justement, plus on s’approche de l’échéance, plus les masques ne risquent de tomber. Auquel cas, les opposants en mission commandée, les frondeurs aux ordres du tyran et tous les avatars du système PCT vacillant dans tous les sens seront mangés à la même sauce que tous les traitres à la Nation.
Messieurs/Mesdames les opposants, choisissez ou disparaissez, Sinon… !
Contribution d’un patriote pour une révolution saine.
M’F. KANDA NPANDZOU
M’foa, le 03 octobre 2015.
Diffusé le 4 octobre 2015, par www.congo-liberty.org
Combien d’options restent-ils:
– 1 Sassou revient et annule le référendum prévu ( On peut toujours rêver !!!)
– 2 Sassou annonce la date du référendum et l’opposition tergiverse encore une fois et même avec un boycotte de ce dit référendum et seulement 10% d’électeur sa victoire est assurée.
– 3 Sassou Sassou annonce la date du référendum et le peuple comme un seul homme se soulève et balai tout ce clan de mafieux.
Tout le reste à ce jour n’est que gesticulations intellectuelles car l’excuse de la surprise n’existe plus.
L’heure est à l’action et à la préparation rapide et urgente de cette réplique à cette forfaiture et coup d’état (qui a déjà été) annoncé.
« DEGAGE », « DEHORS », « QUITTE-LA »
Facile de brailler quand on vit à l’étranger et loin des réalités du pays !
Je ne pense pas qu’ils ont sauvé Sassou,pour les chefs de l’opposition c’était aussi une façon de jauger leur capacité à mobiliser la population de B/ville,chose qu’ils ont réussi.Si Sassou annonce la date de son référendum la colère du peuple sera encore plus forte et la pression sera plus forte aussi sur les épaules des chefs l’opposition,et le prochain rassemblement du peuple sera le grand tsunami qui va emporter Sassou de son entetement.Je ne pense pas que le peuple attendra les ordres des chefs de l’opposition.
Dosons nos critiques, il faut nuancer nos propos, nous sommes toujours dans des affirmations sans retenue. Soutenons cette opposition qui se bat sur le terrain même si j’en conviens tout n’es pas parfait. Hier on regrettait l’absence d’opposition, aujourd’hui on la critique au moment où elle mobilise, cet article affaiblit l’opposition. Même si son auteur pensait que ses propos sont vrais mais ce n’est ni le moment ni l’opportunité de taper sur l’opposition au point de renforcer Sassou et son clan, c’est ce type d’articles qui renforcent le pouvoir de sassou. Faisons la politique, comprenons les enjeux. Toujours la passion, la fougue, soyons mesurés dans nos critiques
Sassou va accélérer le calendrier de son référendum,le peuple Congolais va accélérer sa chute.
Dans cette analyse, l’auteur cite les noms, donne des indications sur tous les opposants. L’argent encaissé pour tel ou tel événement, les rendez vous pris et ce qui c’est dit entre sassou et les opposants reçus. C’est à eux de venir contredire l’auteur de l’article mais pas à nous de prendre faits et cause pour les opposants qui du reste ne sont tous pas blancs comme neige.
Dans tous les cas de figure, cette opposition ne peut plus reculer, accord secret avec Sassou ou pas, nguirisés par Sassou, ses beaux frères, beaux fils, fils filles ou pas.
Ceux d’entre eux qui n’ont pas réellement compris que le vrai peuple rassemblé au bd Alfred Raoul le 27 courant ne veut plus de Sassou et que si cette opposition n’était là que pour faire le jeu de Sassou se trompent car le peuple les démasquera avant même que leur chef de bande ne soit chassé du pouvoir.
Diantre, mais que vient faire le dzobi des Mbérés dans une affaire d’accord entre Mbochis et Laris? Ah le Congo
Très belle analyse … certains faits sont vérifiables. Bravo
Cependant, je crois que Sassou va d’abord montrer au reste du monde (c’est en cours) qu’il a une popularité plus importante — regardez son Mega Meeting — après cela il va annoncer la date . Autre facteur non abordé par l’auteur, le meeting de l’opposition a eu pour effet de galvaniser les participants de Sassou — vérifiez, …. une mobilisation monstre est en cours.
Les heures et les jours sont graves, pour ma part ma détermination et mon moral sont intacts. Je me demande pourquoi n’allons-nous pas au Congo, ou ne sommes pas nous dans ces groupements politiques (Fracad-IDC) pour remplacer ces opposants. Vous savez bien ce qui se passe et vous pouvez soit intégrer ce groupe d’opposant et faire peser vos arguments, refuser d’être « nguirisé » ou dénoncer ces pratiques si cela continue pour embrouiller le peuple.
Je me demande à un certain moment que faisons-nous, pour ne pas prendre les choses en main. Vous connaissez la vérité, les enjeux c’est bien de nous en informer et vous que faites-vous concrètement, êtes-vous au Congo et donc au Frocad ou IDC mais que vos idées ne passent pas ou vous faites des analyses comme nous tous le faisons.
Je ne trouve pas noble vos analyses et vos critiques. Si vous êtes au Congo dans le cercle Frocad-IDC c’est bien mais si vous êtes de la diaspora de grâce, nous sommes fatigués avec vos analyses. Sassou va annoncer la date du référendum, qu’avez-vous prévu au cas où IDC-Frocad ne disent rien. Je connais des femmes et hommes qui sont au PCT qui sont très irrités en entendant le mot « changement » de constitution, ils n’ont pas démissionné, mais sont mêmes plus hostiles que certains opposants, et vous nous dites à chaque fois que l’opposition ne vaut rien. C’est le moment de vous démarquer et nous peuple allons vous suivre????
Rien à another!
@MADZANGOU
qui dit Autre facteur non abordé par l’auteur, le meeting de
l’opposition a eu pour effet de galvaniser les participants de Sassou
— vérifiez, …. une mobilisation monstre est en cours
Ce que je note suite au meeting de l’opposition:
1- Le CNR de nTOUMI a pondu un communiqué de retrait au processus en cours
2- La DRD via sa jeunesse a pondu un comminqué appelant au nom dau Referdum
3- L’accompagneur infatigable de Sassou NSILOU a pondu un communiqué
appelant à la resistance.
Et ceci sans avoir annoncer officiellement la date du referendum.
En outre du coté de l’opposition de Diata, je ne note aucune defection.
Vois tu cher compatriote, on peut tout faire dire à un meeting.
Chacun a ses references. Les miennes sont factuelles.
SI SASSOU ANNONCE LA DATE DU REFERENDUM
Ce criminel peut avoir tout le soutins de l’impérialisme, mais rien n’est plus fort que le peuple, nous ne sommes pas armés, comme hier Sassou mettais tous ces forfais sur le pouvoir qui était la.
VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE
VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE
VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE
NOS FRÈRES DU BURKINA MALGRÉ LE COUP D’ÉTAT MIJOTÉ PAR SASSOU ET SES BANDES DES TUEURS A ÉCHOUÉ
NOUS SOMMES CAPABLE TOUT PASSE PAR NOTRE DÉTERMINATION
VIVE LE CONGO
Kolelas Parfait et Tsaty Mabiala doivent se désolidariser de Dzon et OKOMBI et OBA Blanchard car ces derniers sont à la soldes de la mafia d’oyo ! Lors du meeting nous avions sentis la détermination de Tsaty et Kolelas devant l’extrême pauvreté des congolais nous Devons restés vigilant par rapport à Sassou !Car ce diable de sassou n’est pas congolais!!!
Je pense que l’auteur de cet article a pour mission de désarmer le peuple congolais de sa soif de chasser le putschiste constitutionnel SASSOU du pouvoir car ayant vu la réussite du méga meeting du 27 septembre 2015. Faisons attention, c’est une nouvelle stratégie que ce putschiste veut utiliser pour semer la discorde entre le peuple et les opposants. Il veut les décourager afin de ne plus répondre à leurs appels. Nous savons déjà que nos opposants ne sont pas certes blancs de neige mais pour le moment leur union nous rassure et même s’ils sont pour ce putschiste, ce qui est sûr le peuple est mature et le chassera comme un malpropre en plein midi comme son ami Blaise COMPAORE. Ne lisons plus ces types d’articles car nous avons besoin des messages stratégiques et de coaching capables de galvaniser le peuple.
@ KANDA MPANDZOU,
Ce que vous venez de relater semble une verite bien cachee a laquelle il faut preparer la riposte finale sans quoi il ne sera plus possible de se liberer du joug dictatorial. Mr. SASSOU avait deja echappe a la CNS grace Mgr. NKOMBO, du coup il a pu eviter aussi les poursuites judiciaires et les audits de petrole. Eh ben, il est revenu par les moyens qu’on lui connait avec combien de familles endeuillees?
Je rejoins LOUBAKI loua MALANDA, avec nos freres du Haut, on est jamais sure de leurs engagements parce qu’ils placent l’interet avant la Vie.
Nous ici apres le « chimou Djoue » nous attendons leur ordre apres l’annonce demain de la date inacceptable. Mais la Constitution nous l’autorise!
On nous fait voter des lois pour bien sure les respecter et les appliquer non?
Le Yaya a dit de façon polie ce que je m’apprêtais à dire. Je ne crois pas un seul mot du propos tenu par l’auteur de cet article qui est plus en mission commandé comme François Soudan que pour apporter une quelconque idée pour chasser petit satan.
Toujours des critiques stériles doublées des allégations sans fondement. Y a qu’à faire ci, y a qu’à faire ça. Allez-y à Brazzaville pour mettre en exécution vos idées.
L’opposition est responsable en dépit de ses imperfections. Le mandat de petit satan court jusqu’au 14 août 2016. Aussi, sur quelle base juridique allait-on lancer des innocents au casse-pique? Répondez ! Vos propos révèlent votre ‘immaturité et votre l’irresponsabilité; et sur ce point ‘ vous êtes des clones de petit satan le plus grand irresponsable et immature être que l’humanité ait connu.
Le peuple sur le droit de renverser ce satanique énergumène le jour où il annoncera la date de son référendum et commencera sa compagne. Ce n’est qu’en ce moment il sera dans l’illégalité constitutionnelle vu que la constitution actuelle ne prévoit pas les dispositions de son abrogation. Ce n’est qu’alors que put s’ouvrir le processus de destitution de ce sous-homme , et ce par la règle de droit ou par la force du peuple.
Pour ce qui doute encore, ce fils de lucifer ne passera pas la fin de l’hiver au Congo. C’est à travers un rétroviseur que l’on le regardera. Son sort a été plié depuis le ciel et sur terre. Aucun marabout ne peut le sauver. Signe des temps, notre villa suzette qu’il squatte a été saisie. L’administration Obama a déjà recensé la liste de ses biens meubles et immeubles à travers le monde. La France et plusieurs pays de l’Union Européenne ont reçu cette liste. Les prochains jours seront un véritable enfer pour petit satan et son clan.
Chers compatriotes ne vous laissez pas intoxiquer par ces éléments de petit satan qui viennent salir des compatriotes qui luttent sur le terrain au péril de leurs vies pour donner un coup de pied au Q de ce diable venu du Dahomey.
Après le meeting du 27 septembre, oser affirmer ce qui suit est d’une mauvaise foi patente.
« L’opposition congolaise est un nid de Présidents sans envergure (Idées, base électorale, alliances stratégiques). Ils se valent tous. Aucun ne peut faire consensus à un moment donné, pour une cause précise, et servir (ne serait-ce que ça) de porte-parole bénéficiant de la confiance des autres. »
Hier, vous avez hurlé que le Congo avait l’opposition la plus bête du monde. Aujourd’hui, elle vous montre sa capacité de mobilisation, vous sortez un odieux tissu de mensonges et de demi-vérités pour la discréditer. C’est à croire que votre vrai adversaire n’est pas le pouvoir du PCT aux abois, mais l’opposition qui galvanise un peuple désabusé. C’est pathétique !
Vous souhaitez un porte-parole d’envergure ? Personne ne tombera dans ce piège ridicule. L’IDC, le Frocad et toutes les forces qui s’opposent au changement de la constitution ont un objectif simple : maintenir la constitution actuelle qui garantit l’alternance ; obtenir la bonne gouvernance électorale sur la base de la Charte africaine dont le Congo est signataire ; aller à une élection crédible, incontestable et apaisée en juillet 2016. Après, que le meilleur gagne pour un Congo réconcilié avec lui-même.
Vous dites : « Aucun ne peut faire consensus à un moment donné, pour une cause précise, et servir (ne serait-ce que ça) de porte-parole bénéficiant de la confiance des autres. »
Une fois que vous avez affirmé un mensonge de cette ampleur, on fait quoi ? On laisse Sassou changer la constitution tranquillement, parce que lui au moins sert une cause bien précise ? J’oubliais qu’on peut aussi vous confier le rôle de porte-parole, quitte à vous de bénéficier de la confiance des autres. Non soyons sérieux. L’heure est grave. Le peuple congolais mérité mieux que vos lamentations inefficaces. Le peuple congolais vous attend pour prendre la tête de la constestation, de la désobéissance. Il y encore des places en dehors de l’IDC et du Frocad.
Si les causes précises que je viens d’énumérer plus haut ne vous conviennent pas, proposez les vôtres et surtout descendez à Brazza prendre la tête d’un cortège qui ira détrôner Sassou. Surtout, dépêchez-vous car le temps presse.
C’est trop simple et trop beau de faire la révolution par procuration, tapi derrière son écran. On vous attend à Brazza dans le camp de ceux qui veulent un Congo tourné vers l’avenir. Pour le moment, vous écrivez sous un pseudo et vous poussez les autres à la bêtise. La politique est un champ de courage. Tombez votre masque et venez affronter la police du pouvoir à Brazza.
Il ne vous est pas passé un seul instant par l’esprit qu’en tirant à boulets rouges sur l’opposition qui vient de prendre l’initiative au pays, vous faites le lit du changement de la constitution ? Vous êtes (sans le vouloir ?) un précieux allié du pouvoir que vous feignez de combattre.
Pascal Malanda
Mingwa,
Frangin, serait-il possible de ne plus publier ce genre d’articles? Congosite ou dépêches de Brazzaville serait l’endroit indiqué pour des articles de cet acabit. L’heure est à l’engagement pour donner l’estoquade finale à cette bande d’usurpateurs.
Cher homonyme, Loubaki, vous dites :
« Kolelas Parfait et Tsaty Mabiala doivent se désolidariser de Dzon et OKOMBI et OBA Blanchard car ces derniers sont à la soldes de la mafia d’oyo ! »
Vous reprochez à Sassou son tribalisme, parce qu’il fait exactement ce que vous auriez souhaité faire : diviser le Congo en Nord et Sud. Vous oubliez que si Kolelas et Tsaty avaient créé un front uni, le pouvoir serait tranquille en brandissant la menace de l’épouvantail sudiste.
Vous êtes trop méchant à l’égard d’Oba Blanchard, de Dzon et d’Okombi. Et votre méchanceté ne sert aucunement la cause commune à savoir un Congo réconcilié. J’ai pu rencontrer récemment Oba Blanchard. Le pouvoir ne lui pardonne pas d’avoir choisi le camp du NON. Il est considéré comme traitre à la cause du nord. Au lieu d’encourager son engagement pour la république, vous le rejetez vers ses origines tribales. Qui fait mieux la politique du pouvoir ? Vous ou Oba ? Vous aurez souhaité qu’Oba reparte vers Sassou afin de pouvoir vous réjouir en disant : « Voyez, il n’était venu que pour nous espionner, le voilà reparti chez lui » Sans la présence de ces compatriotes du nord, il y a longtemps que le PCT aurait réussi son coup. Il aurait dit partout au nord : « Voyez comment les sudistes menacent notre pouvoir. Resserrons les rangs entre nous pour mieux les affronter. »
La force de l’IDC-Frocad, c’est de réunir les Congolais de toutes origines et c’est cela qui fait mal au PCT. Vouloir casser cette dynamique, c’est faire le jeu du PCT aux abois. Tandis que ce parti ne sait plus comment gérer les défections, vous voulez le remettre en selle en alimentant l’opposition nord-sud, fonds de commerce des caciques de ce parti.
De grâce, ressaisissons-nous !
Pascal Malanda
KANDA MPANDZOU, merci pour ces précieuses révélations. Je dirai comme Anonyme: il nous faut nous préparer pour la riposte finale c’est tout. Cette fois ci le monstre et son système ne s’en sortiront pas.
j’ en ai l’intime conviction.
@MDR
Ah bon Nsilou, Ntumi, … et on nous dit qu’il faut exclure Ndzon, Okombi et Oba…. intéressant pour les partisans de Sassou. Je répète, ces actes sont en train de consolider ses partisans. Il sera à ce moment là difficile de soulever le peuple si une partie de la population doit considérer Sassou comme son protecteur.
@Malanda
C’est ce qui je dis à MDR
Tout se sait au Congo … d’une part on apprend les critiques aux opposants nordistes de l’autres on apprend que les sudistes quittent Sassou …. allez y comprendre!
Mon frère pascal Malanda , moi je ne suis pas dupe ! Surtout n’inverser pas les rôles ! Le tribalisme n’est pas l’affaire des sudistes car même lissouba avait un ministre de l’intérieur de Ouesso et chef d’état major du nord , Massamba Débat avait un ministre des finances de Mossaka et un chef d’état major de Ouesso , Milongo a eu deux ministres des finances du nord Malekat et Babakas , chose inimaginable chez Sassou en 32ans ! Les sudistes vont arrivé au pouvoir et nous allons rétablir la nation congolaise dans son vrai sens juridique ! Leçon élémentaires de doit publique que sassou et ses acolytes méprises ! Le discours de Mierassa et de Bowao sont pourtant limpide ! Cependant ce dernier est Koukouya comme okombi et Bowao de la Likouala ! Le congo est indivisible , sinon on fera le petit jeu du petit instituteur adjoint sassou Nguesso! Arrêtons avec manipulation des opinions !
@M’F. KANDA NPANDZOU, merci de ta lucidité. J’adhère à ton analyse. Tant pis pour celles et ceux qui n’y comprennent absolument rien du tout. Pourtant l’homme ne dit que la vérité. Mais, « la vérité est trop nue, elle n’excite pas les hommes » (Jean Cocteau). A vrai dire, avec ces « OPPOSANTS » là, tous venus de la mangeoire clanique et ne se découvrent « SAUVEUR DU PEUPLE » qu’après avoir été éjectés de la Goinfrerie ou après avoir participé aux MASSACRES HUMAINS entre 1997 et 2005, nous sommes en face d’un vrai jeu de dupes. Dans ce pays, le CONGO-BRAZZAVILLE, n’y a-t-il vraiment pas ou plus d’autres Compatriotes, d’autres citoyens Congolais qui n’ont jamais fait partie de la COMPAGNIE CLANIQUE et n’ont jamais été à la mangeoire? C’est dans ceux-là qu’il nous faudra chercher nos vrais valeurs humaines, nos vrais éléments crédibles si nous voulons sauver le pays et le peuple congolais. Ne comptons plus sur ceux qui sont plus affamés que nous tous… Que celle ou celui qui a des oreilles entende!
L’idée qui se cache en filigrane de cet article est que Sassou serait le seul à pouvoir diriger le Congo, à l’absence, selon l’auteur d’une alternative crédible.
Après la réussite du meeting de l’opposition qui était tant décriée, la diaspora congolaise essaye de trouver un moyen de continuer à occuper le paysage politique cybernétique ; quitte à emprunter la rhétorique du « Toubadour » ou de « Jeune Afrique » pour tirer sur des hommes luttant dans des conditions hasardeuses.
La critique est à la portée de tout le monde, surtout de ceux qui sont loin du théâtre des opérations.
Mais, cet article ressemble davantage à une mécanique destinée à torpiller des hommes dont la diversité de parcours est connu de tous, asseyant de se rassembler tant bien que mal autour d’un objectif commun : celui de vouloir arrêter un processus de conservation de pouvoir au sein d’une famille, passant par un changement de la constitution.
Pour ma part, je préfère écouter les opposants eux même et me faire mon propre opinion que de prendre ce genre de torchon en considération.
Et, quelque fois je me demande si les nguiris n’ont pas d’effets directs ou indirects sur les diffuseurs de ce genre masturbation cybernétique ou compagne de démobilisation.
Aucune œuvre humaine n’est parfaite !
VIVE l’IDC-FROCAD
https://youtu.be/9zfqWbpB1Gs?t=2
Cet article est l’œuvre des ennemis du congo.sachez néanmoins que l’heure des jongleries du pct est révolue . Votre sacré principe : diviser pour régner est définitivement enterré . Nous sommes un peuple assagi.nous savons que notre opposition est plurielle;nous connaissons ce que nous voulons .le 27 septembre 2015 n’a jamais été prévue comme la date de la fin de règne de Denis sassou nguesso.cette date fut pour l’opposition congolaise ,le jour de la démonstration de force,et nous l’avons prouvé . Ne poussez pas l’opposition congolaise à la division; Cette histoire de traiter okombi Salissa de taupe au service du pouvoir est une hérésie sortie de vos cerveaux diaboliques.
S’il y a un referendum au Congo, S-V-P ne parler pas de boycotte car s’il y a un seul votant le résultat sera la victoire de Sassou donc n’embrouillez pas les Congolais. La preuve est que sans participation de l’opposition a sibiti aujourd’hui l’unique dialogue que sassou reconnait c’est celui de sibiti. Si l’opposition n’est pas capable d’empêcher ce vote par un soulèvement populaire alors nous avons havons perdu du temps pour rien, ceci veut dire dans d’autre terme que l’opposition accompagne sassou pour atteindre son objectif.
A lire des articles comme celui-ci-dessus, on serait tenté de croire que les congolais ont la diaspora la plus bête du monde.
Croire qu’il suffit de rassembler une foule et donner un mot d’ordre à sa connivence, c’est prendre les jeunes congolais pour du bétail dont on se servirait à des moutons de Panurge.
Malheureusement, les opposants ont eu conscience des enjeux, préférant avancer à pas de caméléons que de jouer aux va-t-en-guerre.
L’opposition congolaise ne doit pas tomber dans les pièges tendus par le pouvoir. Celui-ci procède par la provocation pour trouver une faille, à la manière du cas de Ntsourou, qui lui permettra d’écarter bon nombre de personnes du champ politico-médiatique avant août 2016.
Mais, en analysant cet article de plus prêt, on a l’impression de lire un contre-feu du pouvoir à l’encontre de l’un des orateurs du meetings qui a marqué les esprits à travers des formules reprises même par les médias internationaux, notamment Okombi.
On pouvait par exemple lire ceci-ci de l’AFP qui avait un correspondant sur place le 27/09/2015 :
• « Le jour où le président Sassou Nguesso annoncera le référendum (la date), nous appellerons le peuple. Nous serons devant nous-mêmes et devant l’Histoire. Après le Niger, l’Égypte, la Tunisie et le Burkina, le tour est venu au Congo », a dit aux manifestants André Okombi Salissa, un des dirigeants de l’UDC, en faisant référence aux aléas des mouvements démocratiques qui traversent le continent africain depuis quelques années.
• « L’heure est à l’action », a-t-il ajouté …
Alors, il n’est pas étonnant que l’on commence à voir surgir des articles visant celui qui a incontestablement marqué les esprits ; même s’il faut avoir l’honnêteté de reconnaître que tous les orateurs ont été à la hauteur de l’événement.
Le plus important est qu’ils contribuent tous à atteindre un objectif est malsain de vouloir porter des coups de poignards sur des hommes de combat, alors que le pouvoir n’a jamais été aussi inquiété.
La meilleure façon de faire avancer le combat pour la libération du Congo des griffes de ce monstre qui l’ pris en otage, ce n’est pas celle qui consiste à voir le diable partout. Il serait mieux que ceux qui se sentent plus outillés descendent sur l’arène car l’heure est l’action.
Nelson Mandela, dans « Un long chemin vers la liberté » disait :
» Comme un jardinier, un dirigeant politique est responsable de ce qu’il cultive; il doit faire attention à son travail, il doit essayer de repousser les mauvaises herbes, garder ce qu’il doit l’être et éliminer ce qui ne peut réussir ».
VOILA ENCORE UN ARTICLE QUI VIENT POUR DESORIENTER L’ACTION DE L’OPPOSITION ET FAIRE CROIRE AUX POPULATIONS QUE LES ANIMATEURS DE CETTE OPPOSITION SONT DES COLLABOS,,,ATTENTION NE PAS CEDER AUX RUMEURS ET A L’INTOX,,,LE VIN EST TIRE IL FAUT LE BOIRE DONC PEUPLE DEBOUT,,,,CET ARTICLE EST UNE PREUVE QUE CE POUVOIR TREMBLE
Mes très chers frères,
A cette question, , , je reponds par OUI.
En effet il y a dans l’IDC et le FROCAD les Vainqueurs du 05 Juin 1997 qui ne veulent pas voir Denis SASSOU NGUESSO tomber comme Blaise COMPAOORE.
Voilà pourquoi ces unions sont contre nature.
Comment admettre que ton Bourreau puisse soudain devenir ton Sauveur ?
À chacune de ses interventions, RPP révèle davantage sa structure mentale, notamment, quand il écrit:
« Comment admettre qur ton Bourreau puisse soudain devenir ton Sauveur ? »
Pour un homme qui fréquente les églises et qui en principe doit avoir entendu parlé de l’apôtre Paul, c’est à se demander ce qui reste de sa lucidité.
Cet homme est d’autant plus celui qui vient d’un parti ayant un parcours exceptionnel en matière de retournement de veste, au point de générer de multiples satellites se réclamant de la même filiation.
Inutile de lui parler de l’Afrique du sud où bourreaux et victimes ont trouvé les moyens de faire équipe pour construire ce qui est devenu leur patrimoine commun.
l actualité c est le meeting du 17 a pointe noire et celui du 18 a dolisie ……le reste n est que foutaise que les pro sassou pensent déjà l exil au lieu de nous faire des analyses stupides….vive le frocad et IDC. DIEU va bénir le Congo…..
Nous sommes dans la phase de campagne dans la mesure où le référendum aura lieu le 25 octobre. L’opposition ayant déjà fixé ses dates, je sens que Sassou va ouvrir la campagne et transformer aussi son meeting du 10 octobre en meeting de campagne…à suivre
Cher RPP
J’attendais une réaction plus musclée de votre part pour montrer la pertinence de l’Etat Sud-Congo après le meeting du 27 septembre. Vous vous contentez d’une formule lapidaire : «En effet il y a dans l’IDC et le FROCAD les Vainqueurs du 05 Juin 1997 qui ne veulent pas voir Denis SASSOU NGUESSO tomber comme Blaise COMPAOORE. »
Le meeting a été un contre-argument massue à votre théorie de la partition du Congo. Ayez le courage de noter qu’au Boulevard Alfred Raoul, il n’y avait pas des Nordistes d’une part et des Sudistes de l’autre ; il y avait des Congolais sous un même drapeau en train de désavouer un pouvoir et non une ethnie. Cela dérange fortement votre plan de partition du pays. Alors vous sortez l’artillerie lourde : « les vainqueurs du 15 octobre 1997 ne veulent pas voir Sassou tomber comme Campaoré. »
Je suis comme vous partisan d’une république responsable où les citoyens se respectent et les leaders méritent le respect des citoyens. Ce Congo-là est possible par la décentralisation, la responsabilisation, la réconciliation etc. L’Afrique du Sud n’a pas implosé avec la fin de l’apartheid. La nation arc-en-ciel nous donne un exemple de dépassement de soi par des ennemis d’hier. Ce n’est pas parce qu’on y a échoué pendant 40 ans de règne PCT qu’il faille tenter l’aventure de la partition. Si en Europe, les séparations donnent plutôt lieu à des apaisement, en Afrique les sécessions sont souvent synonymes de calvaire : Sud-Soudan, Erythrée, Lybie, Mali etc.
Je vous accorde un seul point : l’obstination du PCT à vouloir transformer le pays en monarchie aura raison même des plus modérés. Si demain il me faut choisir entre une monarchie Nguesso et la république Sud-Congo de Poaty Pangou, la mort dans l’âme j’opterais pour ce Sud-Congo. Mais avant cela, essayons ensemble, du Nord au Sud, d’Est en Ouest d’assurer une alternance pacifique et d’entamer la reconstruction du Congo. Si nous n’y parvenons pas, alors je serai le premier à vous donner raison, cher R.P.P.
Pascal Malanda
L’IDC ET LE FROCAD ONT-ILS SAUVÉ LE DICTATEUR SASSOU LE 27 SEPTEMBRE 2015?
Nouvelles synthèses sociopolitiques à l’échelle de la période politique qui s’annonce au Congo Brazzaville: le président de la période de transition politique et le président de l’assemblée constituante seront originaires du Sud Congo.
Le Premier ministre et le président du haut conseil de la République pendant cette période de transition seront du Nord ou de l’Est et l’Ouest congolais.
Quelque soient l’exécutif (le gouvernement de la transition), le haut conseil de République, et l’assemblée constituante ; tous ses membres seront représentés à titre paritaire.
Au gouvernement (2.5 ministres par département du Congo) et au sein de l’assemblée constituante et le haut conseil de république ( 10 membres par département du Congo).
Quant aux postes-clés et ou stratégiques dans l’administration publique, au sein des armées, de la fonction publique, dans les entreprises étatiques et para-étatiques: tout cela sera étudié, structuré, organisé et managé dans l’unique but de respecter l’intérêt général, de promouvoir le sens de patriotisme et surtout de mettre en œuvre de compétences nouvelles. https://www.youtube.com/watch?v=Evkh8v7d_sw
Mes très chers frères,
Quand tu as tué, cela reste marqué toute ta vie.
Des familles entières ont étés détruites par guerre
Il y a ceux qui l’on financé et il y a ceux qui étaient sur le terrain pour tuer.
Les Victimes ne l’oublieront jamais.
S’il y a difficultés dans cette lutte, c’ est à cause de cette confusion qui s’ est instaurée entre les Vaincus et les Vainqueurs.
Cette lutte pout la réussir, seuls les Vaincus doivent la mener
Voici le lapsus révélateur de RPP qui avoue inconsciemment être financé.
Je ne vois pas comment il pouvait en être autrement, un raisonnement aussi anachronique.
Je comprends pourquoi il partage la même analyse que le PCT sur le meeting du 27/09/2015, même si il y ajoute une petite touche de sa litanie de mort des enfants kongo, son véritable gagne-pain.
Pourquoi ne se positionne-il pas sur la question de l’alliance PCT-MCDDI et de la multiplication des chapelles, alors qu’il doit commencer par réunir ces âmes perdues, avant de proclamer sa république du Sud qu’il a déjà vu « la »…????
ERRATUM
Mes très chers frères,
Lire : Ceux qui l’ont financé.
Merci.
Ceux qui ont donné l’argent à Denis SASSOU NGUESSO savent de quoi ils se reprochent dans cette guerre qui a détruit le SUD et bloqué la Démocratie.
S’il y a donc difficulté au sein des Vaincus de résoudre ce problème qui se pose à nous, c’est parce que, il y a des « FAUX » opposants qui ont infiltré le camp des Vaincus.
NB : Tout le SUD a compris que notre vie c’est dans l’Etat du SUD CONGO
RPP, aidez aussi ceux qui corrigent leur texte à les faire supprimer comme il en est le cas pour vous-même si nous voulons promouvoir l’égalité des chances , la transparence et l’honnêteté intellectuelle.
On ne peut pas lutter contre un manipulateur infatigable en employant ses méthodes, au risque d’arriver au même résultat que lui.
On espère vous voir sur la tribune du meeting de Pointe Noire si c’est bien celui-là votre territoire convoité virtuellement.
Pour le reste, des pays comme la RDC en sont à plusieurs manifestations et l’on ne voit nulle part la manifestation de fantasmes d’un coup manqué.
Allez-y comprendre !
PS: pour « l’on », la meilleure correction aurait été celle plutôt de mettre « ait » à financé et de garder » l’on ».
Bon vent.
Tout a ete dit sur les non dits de cet article. Je n’y reviendrais donc pas. L’auteur nous dit que cette opposition n’a pas leader qui a un aura transcendent…les clivages pour faire descendre dans la rue le peuple. Mais le peuple affame et mal soigne n’a pas besoin de leader charismatique pour montrer la porte a son affameur.
Les memes qui hire critiquaient la paraisse ou l’inaction de cette opposition, trouvent maintenant que la meme opposition a rate l’occasion de faire partir l’imposteur en chef. Non, le fait que l’IDC ait rejoin les rangs de l’opposition au changement de la democratie donne un cachet national a cette opposition. Sassou ne dira plus, come en 1997 a Mikalou: « si je meurs a 12 heures a 18 heures on ne parlera plus de vous »… Gros mensonge.
Meme si les ex de la mouvance presidentielle viennent a peine de voir la « lumiere » et de constater que leur montor n’etait pas un homme de parole, ils sont les bienvenus au mbongui des ACQUIS de la CNS, essentiellement celui qui concerne l’alternance democratique au Congo. L’objectif est de faire corps et barrer la voie a ce referendum illegale. Jusqu’a quand un seul home va t-il continuer a dicter ses caprices sur tout un pays? Pour ma part je n’ai aucun doute que demi dieu passe ses derniers instants au pouvoir. Une jeunesse affamee, humuliee et chosifiee n’ecoutera que qu’elle-meme. Les homes et femmes politiques qui vont dans le sens de ses interets, il saura les reconnaitre. Le reste n’est que des suppurations. Get up people of Congo, and go write a new page of your history! Time has come…