LE CONGO N’EST PAS LA PROPRIETE DES N’GUESSO
« N’y va pas ! » me disait ma mère avec insistance, des larmes dans les yeux en tentant de me retenir. Sur le pas de la porte que j’allais refermer sur elle, cruellement je lui répondis : « je ne veux pas mourir comme Papa à 47 ans sans avoir jamais ramené un salaire ! » Il n’était pas encore 11 heures, ce matin du 27 septembre 2015. Sans entendre geindre notre mère, je quittais alors la maison pour rejoindre le Boulevard Alfred Raoul avec ma jeune sœur de 15 ans à peine, que je tenais d’une main et dans l’autre le drapeau tricolore congolais. Nous avions fait le choix de partir sans déjeuner, ainsi nous pourrions courir plus vite en cas de nécessité.[fbvideo link= »www.facebook.com/uniteprogresdeveloppement.parluco/videos/945242318847377/?fref » width= »500″ height= »400″ onlyvideo= »1″]
A quelques mètres de la parcelle, nous retrouvâmes quelques inconnus de nos âges qui allaient dans la même direction. En approchant du Boulevard, où devait se tenir le rassemblement, nous nous sommes mis à chanter. Chacune de nos chansons était entrecoupée par le cri de colère de ma petite : « Sassou est un voleur ! » ; nous n’avions pas le cœur à rire en l’entendant. En mettant le pied sur le long boulevard, il paraissait si vide qu’on en a eu presque peur. Ma petite révolutionnaire, toute aussi émue que je pouvais l’être alors, me serra fort dans ses bras pour bien me faire sentir qu’elle ne reculerait pas. Puis comme par miracle, au fur et à mesure que nous avancions du centre où se trouvait la modeste estrade, des manifestants jeunes, tous jeunes, sont venus de toutes parts ; nous étions quelques petites centaines, nous devenions des milliers.
Non loin de nous, en retrait, se tenait un grand gaillard immobile ; il portait une pancarte écrite en rouge. On pouvait y lire : « LE CONGO N’EST PAS LA PROPRIETE DES N’GUESSO ». Un petit groupe s’approcha de lui et l’un d’eux proposa de lui payer son écriteau. Le gaillard impassible lui dit qu’il n’était pas à vendre. « Pourquoi ? Voilà 10.000 » enchérit l’acheteur. « Je ne peux pas ! Je n’avais pas de peinture alors je l’ai écrit avec mon sang… » Répondit-il avec flegme et toujours sans le moindre mouvement. Tout le petit groupe recula sans demander son reste et un grand frisson parcouru mon corps ; pas un instant il ne m’était venu à l’esprit que ce garçon pouvait, pince-sans-rire, plaisanter.
Tous les chants, tous les slogans se mélangeaient dans un joyeux brouhaha au fur et à mesure que la foule se faisait plus compacte. Nous n’avions bientôt plus la place pour la moindre danse. Alors, je dis à ma petite qu’elle ne devait pas me lâcher et si nous devions être séparés qu’il vaudrait mieux qu’elle rentre immédiatement à la maison. Un cinglant « pas question » me parvint pour toute réponse et elle se rapprocha de moi.
Nous étions des dizaines de milliers maintenant à nous agglutiner au point de rendez-vous, une véritable marée humaine inondant le Boulevard des Armées. Un même espoir illuminait nos regards et faisait vibrer nos chants : celui de nous libérer d’un humiliant esclavage bien plus que d’une opprimante tyrannie. Les hélicoptères se sont mis alors à survoler à distance notre foule compacte. Pas un de nous, par réflexe ou par crainte, n’a cherché un refuge ni un abri ; et chacun de tendre son bras nu et son poing fermé contre le bruyant oiseau de fer avec ses armes de guerre ; et chacun de le défier, de l’invectiver, de le provoquer et d’en rire. « Nous n’avions pas peur ! » Et nous n’aurons plus jamais peur de ce petit clan qui nous affame, qui a brisé notre jeunesse pour la laisser sans avenir, comme toute la génération de nos parents. Nous ne serons plus dupes des slogans creux et des mensonges d’un président, putschiste multirécidiviste, psychopathe pathologique totalement livré à sa jouissance personnelle, à sa folie des grandeurs, alors que nous, son peuple, nous manquions de tout.
Les orateurs se sont alors succédés à la tribune. Desservis par une sonorisation médiocre, nous en savourions néanmoins les bons morceaux : Parfait Kolelas dans un début de Mea Culpa pour avoir aidé le régime, le signe d’un Grand Homme sachant reconnaitre ses erreurs. André Okombi-Salissa galvanisant la foule comme il le fit avec ses troupes du front 400 pendant la guerre de 1997, nous assurant que le Congo allait rejoindre tous les pays africains qui s’étaient libérés. Au moins pourra-t-il nous éviter le goût du sang que nous a promis à Kinkala, le dictateur Sassou-N’Guesso dont le chant guerrier fut entonné pendant le discours de « Tout bouge » nous rassurait : « Okombiéé éh, Okombiéé éh , zwa yé, boma yé ( Okombi chope-le et massacre-le) ». Dans la ferveur générale, je me surpris en train d’applaudir Claudine Munari, la « P… de la République » comme certains la surnomment, alors qu’elle haranguait la foule comme une poissonnière qu’elle fut également. Pardon, importatrice de poissons !
Nous étions 100.000 et bien plus et nous n’attendions qu’un ordre, un seul, celui de nous rendre au Palais ! Cet ordre n’est jamais venu…bizarrement… ! Pourtant, pour le Peuple, Denis Sassou NGuesso a bel et bien franchi « la ligne rouge » le 22 septembre 2015, en annonçant son référendum anticonstitutionnel. Je ne pouvais croire qu’une nouvelle trêve politique avait été signée dans le dos du Peuple ?
La rumeur insistante qui courût pendant les Jeux africains me revenait à l’esprit. MM. Romain Kimfoussia et Jean Lounana Kouta avaient, disait-elle, négocié la trêve auprès des cercles maçonniques congolais ! Mais à quoi bon écouter ces ragots des quartiers sud de Brazzaville comme c’est déjà le cas pour notre télévision nationale.
En prenant le chemin du retour, nous étions 100.000 et bien plus à en être déçus. Il dura des heures, tant nous étions nombreux dans le long cortège à nous échanger impressions et commentaires. Pas un d’entre nous ne rendait grâce au Ciel de rentrer sain et sauf. Beaucoup se serait vus morts pour avoir renversé la dictature infâme. J’en étais. J’en suis encore !
Au fil des heures nous nous sommes dispersés, mais nous étions unis plus que jamais. A aucun moment quiconque n’a évoqué sa région, son origine, son quartier. Nous communions dans une belle et forte fraternité et il était acquis que nous nous retrouverions bientôt dans la lutte ; sur le Boulevard des Armées ou partout ailleurs, en espérant dynamiser la Résistance pacifique qui nous a cruellement fait défaut ce 27 septembre 2015 à Brazzaville.
Il était très tard dans la soirée quand heureux et fatigués nous mettions enfin pieds dans la parcelle. Dans l’obscurité profonde, assise sur son banc se tenait notre mère. Elle n’esquissa pas le moindre geste pour bien nous montrer qu’elle s’était déjà résignée à ne plus jamais nous voir rentrer. Elle murmura d’une voix très lasse « je vais vous servir à manger » ! Rassasié du vent de liberté qui avait soufflé toute la journée et auquel je n’avais jamais goûté, je lui répondis que je n’avais pas faim pendant que ma petite Che Guevara allait se blottir dans ses bras. J’allais directement me coucher impatient d’être déjà demain au « Cyber » pour découvrir ce que le monde et nos sites de l’opposition avaient pu retenir de ce 27 septembre à Brazzaville. Peut-être nous reconnaîtrai-je, avec ma petite sur une photo ou dans une vidéo ?
Pendant que mes yeux se fermaient d’épuisement, je formais le vœu de vivre dans un Congo libéré de Sassou Nguesso et de sa horde de pillards. Je faisais partie des 90% recalés au Bac mais je me jurais, dans le Congo libéré de la médiocratie qui le dirige, de reprendre et de réussir mes études. Le goût de la lutte m’avait conquis totalement dans ce rassemblement populaire.
Nous ne resterons pas plus longtemps les esclaves de ce voleur de Sassou et, pour survivre, ma petite bien-aimée n’ira pas se prostituer chez ses complices.
Par Sylvain Milandou
Diffusé le 1er octobre 2015, par www.congo-liberty.org
Sylvain Milandou, nous sommes encore le 30/09/2015 et ton article est daté le 1er:10:2015. Ce n’est pas grave. C’est la faute du Webmaster qui est trop rapide.
Tu parles de Parfait Kolelas qui fait un début de mea culpa. Oui, mais il ne dit pas que c’est la cupidité qui l’a conduit là. Et, vient Okombi Salissa avec sa CADD et son FRONT 400, de sinistre mémoire. Ce Front qui a fait des carnages dans le Pool pendant la guerre de 1997 à 2005; ce Front qui a ratissé m² par m² toute la zone sud de Brazzaville, aux côtés de Sassou Nguesso. A QUAND SON MEA CULPA ET SON PARDON?
Ce n’est pas parce qu’il se retrouve du côté de l’opposition qu’il n’aura plus à s’expliquer. S’il est profondément DEMOCRATE, il devra rendre des comptes, s’expliquer. De même pour Mme MUNARI qui avait trahi le président Lissouba, pour des raisons qu’elle connaît bien, etc.
En voila encore un de ces « savants de bistrots » que les réseaux sociaux savent fabriquer en quantité industriels.
C’est une marque de fabrique d’une diaspora congolaise, déconnectée de la réalité du terrain, toujours très loquace, quand il s’agit de partager ce qui relève plus de l’émotion primaire que de l’expression d’un quotient émotionnel remarquable.
Ce Milandou était dans la foule le 27 septembre 2015, et n’a rien trouvé d’original que de partager du déjà vu : des photos récupérées sur les réseaux sociaux, alors que bon nombre de congolais font l’effort d’équiper leurs proches pour immortaliser ces moments que l’on ne connait pas plusieurs fois dans sa vie.
Mes amis ivoiriens auraient dit : « foutaise ».
Ceux qui se croient capable de faire mieux que les MUNARI, OKOMBI ou KOLELAS n’ont qu’à aller le prouver sur le terrain en rassemblant davantage de personne pour psalmodier la fameuse prière de délivrance ou invoquer l’ordre d’enchainer le tyran.
Autrement, nous restons dans la masturbation intellectuelle, des personnes frustrées, incapables, de s’affirmer dans un paysage dont ils ont une approche virtuelle, ne faisant pas de quartier aux « couilles molles » ; des personnes qui font passer les réseaux sociaux pour des murs de lamentions.
Quant à la notion de pardon comme référence, cela est ridicule car la conférence nationale nous a fait découvrir l’écart entre les postures circonstancielles qui peuvent amener des gens à assumer publiquement des situations, sans pour autant y mettre leurs cœurs.
L’heure est à l’action réfléchie et à l’engagement sans réserve dans un combat de libération d’un système dont les victimes de tout bord se ramassent à la pelle.
Ce genre de discours ou polémiques, heureusement, peu audibles, sont plus favorables au système combattu et plutôt de nature à créer de la division, à affaiblir un combat qui commence à rassembler ceux qui se regardaient en chien de faïence il y a encore peu de temps.
Très beau texte cher Milandou, je me suis régalé, tant sur le fond que sur la forme..
Milandou en te lisant je me suis demande si c’est une histoire vraie ou imaginaire. Mais on dit que les histoires les plus simples sont parfois les plus belles et incroyables. Oko n’a t-il jamais montré la mer á Tati? Comme un africain n’a t-il jamais montrer la tour eiffel a un francais?
Moi aussi je n’ai pas encore compris pourquoi l’opposition n’a pas donné ce dimanche le feu vert final pour aller déloger le clan de Mpila? Mais une fois clamer, je crois qu’ils ont compris que ce dimanche 27, Mpila attendait l’occasion pour faire un carnage sur le peuple. donc pour le moment on va attendre et surtout continuer la pression sur ce clan. Mpila va s’enteter et faire une erreur pour que le feu vert de sa fin soit lancer. Salut la soeur, maman et toi.
Joli poème, la lutte n’est pas finie. a lutta continoua.
Sassou a allumé un contre feu en réactivant les troubles en RCA ce qui a pour but qu’il puisse espérer encore être considéré à l’internationale comme un interlocuteur indispensable dans ce conflit et surtout en cas de débordement à Brazza ce dimanche 27 septembre cacher et étouffer médiatiquement les exactions qui auraient pu être commises par ses chiens de garde.
Plus la peine de s’interroger sur le « SI » mais « QUAND » l’annonce du référendum sera donné. Ce feu vert sera l’annonce de la date du referendum qui d’ailleurs ne devrait pas tardé et la il n’y aura plus aucune alternative ce sera le combat pour la liberté ou le retour à l’esclavage et l’oppression.
Le peuple Congolais est devant son destin, rien ne nous sera donné.
‘NON au MASCARENDUM’
‘DEGAGE’
‘DEHORS’
‘QUITTE-LA’
Si vous voulez faire votre affaire ou mener une action, ne faites pas confiance au FRANCS-MACONS. La preuve, ce qu’ont fait KIMFOUSSIA et LOUNANA…
Comme dit la bible à tout péché miséricorde ! Parfait Kolelas , okombi , Munari et même Dzon seront gracié ! Pour avoir bravé le grand satan Sassou ! Car resté inertes devant ce désastre des nguesso , serait trahir le pays!!!
De nous meetings sont annoncés à l’intérieur du pays: Pointe Noire, Dolisie…
Une occasion pour notre apprentis rêveur d’aller invoquer l’ordre de descendre sur les palais construits à tout bout de chemin dans le cadre de la municipalisation décéléréé…
Et les fans applaudiront.
« Lassez à César ce qui est à César ».
http://mwinda.org/fr/actualites/actualites-a-la-une/actualites/278-sassou-satane-president-the-pepele-is-finished
Les partis de l’opposition avec le FROC AD ont su mobiliser et c’est une bonne chose pour l’image du pays à l’extérieur. Ca contraste avec les fausses idées reçues, selon que le Congo ne connaît aucune forme de pluralisme. Le meeting s’est bien dérouler, mais il n’y avait aucun guevariste parmi les compatriotes amassés au boulevard des armées. Pour la simple raison que le Ché lui était un maquisard et se battait souvent arme à la main. Ce grand leader marxiste et communiste n’avait rien d’un révolutionnaire des villes, encore moins de la « diaspora » de Paris. Il faut dire que l’opposition congolaise en générale est plus tôt de tendance libérale et pro américaine. Je doutes fort que le Ché soit un symbole qui leur parle, à moins que ça ne soit qu’un récit folklorique sur le Web. L’image de l’Oncle Sam dans les « Révolutions Colorées » serait à mon sens peut être plus approprié. Bien qu’il n’y a pas eu de vagues populaires déferlantes, pour l’instant. Le « Ché Baby » !
La secte maladroitement appellee franc macon qui n’a rien de la vraie franc mason creee par l’ancestre Ihmotep,les milices qui tiennent lieu de forces publiques et le pct qui a cesse d’etre un parti politique depuis le jour de l’assassinat de fondateur Ngouabi le 18 mars 1977 sont parmi les organisations a dessoudre a l’immediat.
Joli texte come savent le faire nos écrivains. Emouvant ! Tient où sont donc passés nos referenciels de la plume et des lettres pour donner leur position sur ce qui se passe ? Ils diront laissons la politique aux politiciens, nous, on est des hommes de lettres. Chiche! Mabankou, Dongala … j’en passe. Vous vous inspirez bien des faits politiques non ??? Alors dites un mot ou décrivez instantanément ce qui se passe chez nous, car l’heure est grave.
Le Professeur de la savane tropicale Placide Moudoudou: « En Afrique le serment n’a aucune valeur juridique. La sorcellerie prime sur le droit »
Défenseur du droit des sorciers en Afrique, monsieur Moudoudou désigné Président de la commission qui va rédiger une nouvelle Constitution qui permettra à son grand maitre sorcier monsieur Sassou Nguesso de larguer une fois de plus la civilisation et devoir mourir au pouvoir. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2015/10/placide-moudoudou-en-afrique-le-serment-n-a-aucune-valeur-juridique-la-sorcellerie-prime-sur-le-droit.html
Que Milandou et sa petite Che aient été au boulevard Alfred Raoul ou non, qu’il est écrit ce texte à Paris ou non, il faut reconnaître le talent de Milandou d’avoir imaginé et restituer ce qui a pu se passer dans la tête d’un manifestant la veille du meeting, comment il l’a vécu et comment il a pu juger tous les orateurs ayant pris la parole lors de ce meeting et qu’est ce qu’il en a tiré comme satisfaction ou déception. C’est la force de ce papier du sieur Milandou écrivain en herbe. Courage
Bravos au peuple congolais!
Mais quel gâchis que de voir les assassins comme Okombi, les voleurs de Kolelas, Munari, Dzon, et compagnie venir se racheter une pseudo virginité… Une injure à nos morts et un affront au peuple… Les crimes et les vols des deniers publics ne seront pas à absoudre… Comme au Burkina Faso, les criminels et les voleurs ne peuvent pas se présenter à une élection. Point!
Alors la, notre Mfoa est tres fache contre ceux qui ont le culot de s’opposer a la volonte de mourir de sassou. Comment encore douter que Mfoa soit du camp des imposteurs a la tete duquel se trouve le putschiste, voleur et assassin sassou?
Gorbatchev qui a misfin a la dictature communiste n’etait t-il pas membre du bureau politique du PCUS et du soviet supreme? Qui ne connait pas l’histoire des exactions du PCUS? Meme au Burkina Faso, ceux qui sont exclus du jeu democratiques sont ceux qui avaient soutenu le changement de la constitution, pas tous. Zéphirin Diabré, ancien ministre des finances, des mines, de l’economie, du plan, de l’industrie, president du conseil economique, conseiller de Compaore, passe a l’opposition pour lutter contre le changement constitutionnel, n’est pas exclu du jeu democratique.Au contraire, il est de ceux qui ont mobilise le peuple contre le projet monarchique de Compaore. C’est ce que font Okombi, Kolelas, Munari, Dzon… actuellement contre le projet de ton maitre de mourir au pouvoir.
Mes chers combattant de la liberation totale du peuple congolais, les vaillants democrates, quand la choses reussie il y a toujours les ivrognes du PCT qui cherchent des failles, en amusant la galerie, deja ils avaient peur du rassemblement avant et de la suite, Moise n’avait pas vecu dans le palais de pharaon? N’a t-il pas mange la nourriture de pharaon? KOLELAS, OKOMBI, MUNARI, KIFOUISSA, qu’ais-je encore, si par eux nous pouvons atteindre notre but nous allons faire avec toi qui vient pour le compte du PCT et ses partis satellites ne nous disvertit pas va plutot distraire les chefs qui ont deja les carences cardiaques de puis dimanche et si vous ne savez pas observer les signes du temps continuez a etre aveugler par les guiris qui appartiennent a notre peuple notre objetif principale « la sauvegarde de la democratie et proteger notre constitution »
Pour l’instant nous preparons notre peuple, en leur expliquant pour quoi nous sommes debout….
À Précolonialisme!
Je suis responsable de ce que j’écris et non pas de ce que vous comprenez!
Les raccourcis c’est le propre des fainéants et quand on aime son pays, on a une vision à 360°, on ne se regarde pas le nombril…
Même au Burkina on a exclu les anciens du pouvoir… Qui ont fini par montrer leur vrai visage. Je crois au peuple et non à ceux qui ont tué nos compatriotes gratuitement donc valable aussi pour sassou et ses sbires.
Si vous étiez HUMAIN voir ces criminels et voleurs toujours libres sera à suffisance un motif pour faire la révolution.
Le tribalisme des congolais les conduit à toujours excuser les criminels de leurs camps respectifs!
J’assume mes positions sans honte!
Par contre, vos jugements de valeur alors qu’on ne se connaît pas d’un iota, je m’en balance, ça ne fait pas ma journée!!!
@ Mfoa
Je suis TOUT A FAIT D’ACCORD AVEC VOUS cher MFOA.
Mfoa vient encore nous étaler ses carences dont il a la manie de nous exposer avec une arrogance déconcertante.
Il dit :
« Comme au Burkina Faso, les criminels et les voleurs ne peuvent pas se présenter à une élection. Point! »
Mon cher ami, au Burkina Faso, le code électoral s’inspire de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance qui stipule :« Ceux qui se sont rendus coupables de changements anticonstitutionnels doivent être frappés d’inéligibilité politique pendant 5 ans ».
En conséquence, tous les leaders des partis politiques ayant soutenu la modification de l’article 37 de la constitution du Faso ont été déclaré inéligibles, mais pas les militants de bases.
La question du jugement des crimes de toute sorte est renvoyée à la sphère judiciaire et non au processus électoral.
Donc, si les personnes(Kolelas, Munari, Dzon…) citées par Mfoa étaient au Burkina Faso, elles auraient pues participer aux élections.
Comme quoi, les infiltrés et faux opposants fabriqués par les officines d’Oyo Haram(dont Mfoa) sont aussi minables que la gestion chaotique du pays.
Récit bien élaboré. L’essentiel est entre les lignes…. Merci cher Sylvain M..
AUX COMPATRIOTES
Que pense mfoa?
dans chaque révolution ou pendant la révolution il ya ceux qui suivent et ceux qui s’arrêtent en cours de route, mais il ya aussi les traîtres collabos, pour le cas qui nous est ici présenté au Congo les personnes comme mfoa il y en a encore mais heureusement qu’elles ne ferons pas long feu puisque bientôt leurs masques tomberons de plus belle. Les propos de mfoa démontrent à suffisance qu’il a choisi son camps :celui de l’intox et de la démobilisation; parfois il est avec les compatriotes de la liberté tantôt il est avec l’oppresseur. Il est libre de dire ici ce qu’il veut mais qu’il accepte donc la contre offensive des autres. Dans tous les cas jamais le peuple n’a eu tort même si demain les ex zaïrois venaient à remplir les meetings du pct qui est le parti de « mfoa » pour lequel il s’évertue à défendre par des mots sournois, le vaillant peuple congolais saura comment débusquer ceux là qui n’aiment pas ce pays.
Biens mal acquis : des propriétés suspectées d’appartenir à Wilfrid Nguesso saisies en France
http://www.congo-internet.com/societe/biens-mal-acquis-des-proprietes-suspectees-dappartenir-a-wilfrid-nguesso-saisies-en-france/
Rassemblement du 27 septembre 2016 : la riposte annoncée du PCT
http://www.congo-internet.com/politique/rassemblement-du-27-septembre-2016-la-riposte-annoncee-du-pct/
La presse n’est sous la dependence que des directeurs de journaux.Quant a ces derniers,ils sont pour la plupart sous la dependence des Rothschild,des etablissements financiers et de la franc-maconnerie ce qui est tout un dixit Nicole Guihaume.BNP Paris vous dit quelque chose(B=ben,N=Niel et P=pigasse,le frère de l’autre journaleux qui a trouve depuis 1997 une gamelle garnie de petrocfa aupres du Tsar d’Edou
Mon commentaire:Rien de bien n’est venu hors de l’Afrique et tout ce qui est tire de l’afrique est aussitot modifie.Au moins dans sa conception et son objectivite la franc maconnerie creee biensur par notre ancestre Imhotep est differente de celle pratiquee a Rome ou ailleurs en Occident.Celle de l’Occident a pour but d’asservir d’avantage les noirs.Alors je crie tres fort abas tous ces faux franc macons(tous des grands pedes-nguires,abrutis et sacrificateurs des vies humaines au Congo),defroques,corrompus,criminels et destructeurs du Congo qui ecument le territoire national
Bravo!!! très cher Compatriote Milandou pour la pertinence de vos arguments par ailleurs très bien articulés.
Martin Manona.
Ô PEUPLE CONGOLAIS !
Saintes Ecritures persistent en ta faveur, résiste, farouche, terres KONGO
ESAÏE CHAP26/27
V17.
« Comme une femme enceinte, sur le point d’accoucher,
Se tord et crie au milieu de ses douleurs,
Ainsi avons-nous été, loin de ta face, ô Eternel!
Nous avons conçu, nous avons éprouvé des douleurs,
Et quand nous enfantons, ce n’est que du vent:
LE PAYS N’EST PAS SAUVÉ,
Et ses habitants ne sont pas nés.
Que tes morts revivent!
Que mes cadavres se relèvent!
Réveillez-vous et tressaillez de joie,
Habitants de la poussière!
Car ta rosée est une rose vivifiante,
Et la terre redonnera le jour aux ombres.
VA, MON PEUPLE, ENTRE DANS TA CHAMBRE,
ET FERME LA PORTE DERRIÈRE TOI;
CACHE-TOI POUR QUELQUES INSTANTS,
JUSQU’À CE QUE LA COLÈRE SOIT PASSÉE.
CAR, VOICI, L’ETERNEL SORT DE SA DEMEURE
POUR PUNIR LES CRIMES DES HABITANTS DE LA TERRE;
Et la terre mettra le sang à nu,
Elle ne couvrira plus les meurtres.
EN CE JOUR, L’ETERNEL FRAPPERA DE SA DURE, GRANDE ET FORTE ÉPÉE
LE LÉVIATHIAN, SERPANT FUYARD“
LE LÉVIATHIAN, SERPANT TORTUEUX“
ET IL TUERA LE MONSTRE QUI EST DANS LA MER.
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La parole de DIEU L’ETERNEL DES ARMÉES m’a été donné pour le Congo rendez LUI toute Gloire, le temps est en ta faveur Ô PEUPLE CONGOLAIS !
PRIEZ & PRIEZ!!!
« Ils avaient la Bible et nous la terre. Ils nous ont appris à prier les yeux fermés. Quand nous les avons ouverts, nous avions la Bible et eux la terre »
Jomo Kenyatta